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ISSTE/SIPHAT
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Projet de fin dtudes
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Samar LARBI
DDICACE 2
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A mon cher frre Alaeddine: jJe tevous souhaite une vie pleine de russite et de
bonheur.r, sachez que je serais toujours vos cts.
A ma chre soeursur Sahar et son mari Haffa: pPour leur amour et leur
encouragement continu. et jJespre quils seront heureux et unis pour toute la
vie.
Je ddie aussi mon travail mon fianc Mohamed: qQui a toujours cru en moi
et qui na paslus cess de mencourager.
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REMERCIEMENTS
Je tiens avant touts remercier Dieu tout puissant de m'avoire donner la force
et la volont pour accomplirhever ce modeste travail.
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PRSENTATION DE LA S.I.PHA.T
Ce projet de fin dtude a eu lieu dans la Socit des Industries PHArmaceutiques de Tunisie
S.I.PHA.T. Cette socit publique de dveloppement et de production des mdicaments en
Tunisie est une filiale de la Pharmacie Centrale de Tunisie fonde en 1989 dans le cadre de la
restructuration de cette dernire.
Parmi les 27 units dindustrie pharmaceutique implantes en Tunisie, la SIPHAT est le doyen
du secteur disposant en consquent dassez dexprience dans ce domaine dactivit.
Cette maitrise de lactivit lui a procur la position de leader sur le march tunisien assurant
14% de la production nationale et 10% des besoins due pays en mdicaments.
De plus, la SIPHAT dispose de plusieurs avantages en termes de :
DATES CLS
Activits :
Les principales activits de la SIPHAT sont: la recherche, le dveloppement, la fabrication et la
commercialisation des mdicaments.
Le taux de la couverture locale des mdicaments localement a dpasser les 50% en l'an
2007.
La SIPHAT est le leader du secteur des industries pharmaceutiques en Tunisie. Elle assure le
quart de la production nationale et couvre 10% des besoins du pays en mdicaments. Sa gamme
de produit porte sur 270 formes de mdicaments dont 139 sont destines au secteur hospitalier
(84 produits) et 131 au secteur officinal (79 produits). Son chiffre d'affaire ralis est de 50%
dans le secteur hospitalier et de 50% dans le secteur officinal, 25% concernent les produits
fabriqus sous licence en partenariat avec 10 laboratoires trangers et les 75% concernaent des
produits gnriques dvelopps par l'entreprise elle-mme.
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D=Direction
P=Production
RH = Ressource Humaine
AI = Audit Interne
C = Commercial
ME = Maintenance et environnement
POL = Planning Organisation Lancement
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Figure 1 : Schma des traitements des effluents bruts dans une station d'puration, et
processus responsables de la dgradation ou du pigeage des rsidus mdicamenteux
pour chaque tape...................................................................................................................7
figure 2 :Schma: Schma des sources possibles et des voies de contamination des
substances mdicamenteuses dans
lenvironnement.............................................................................10
Figure 3 : Schma synoptique de la station.........................................................................19
Figure 4 : Flacons dchantillonnage...................................................................................25
Figure 5 : Chane HPLC utilise..........................................................................................26
Figure 6: Schma du principe de lHPLC...........................................................................27
Figure 7 : Extraction en Phase Solide SPE.........................................................................28
figure 8: Schma du principe de la SPE..............................................................................31
Figure 9 : Appareil de SAAF utilis.....................................................................................33
Figure 10 : Schma du principe de la SAAF.......................................................................35
Figure 11 : Variation des teneurs du Ni lentre et la sortie de la station..................41
Figure 12 : Variation des teneurs du Cd lentre et la sortie de la station.................42
Figure 13 : Variation des teneurs du Fe lentre et la sortie de la station..................43
Figure 14 : Variation des teneurs du Zn lentre et la sortie de la station.................44
Figure 15 : Variation des teneurs du Cr lentre et la sortie de la station.................45
Figure 16: Variation des teneurs du Pb lentre et la sortie de la station................46
Figure 17: Chromatogramme tmoin OTC........................................................................48
Figure 18 : Chromatogramme dun chantillon dentre la station..............................48
Figure 19 : Chromatogramme dun chantillon de sortie de la station............................49
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Tableau 1151: Concentrations des traces de lOTC trouves dans les chantillons
(ppm)49
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Revue bibliographique.......
3Page
2.
2.1 Dfinition................................................................................4
2.2 Principales classes des CIEs...........................
4
2.3 La prsence des CIEs dans lenvironnement..
4
2.4 Stabilit environnementale des CIEs : cas des rsidus mdicamenteux....
5
2.5 Exemple dun CIE : lOxyttracycline ..........
7
2.6
2. Mdicaments et environnement..........................
9
6. Mthodes danalyses
6.1Chromatographie en Phase liquide haute performance
6.1.1 Principe
6.1.2 Appareillage
a)Rservoir de la phase mobile
b)Pompe
c)Injecteur
d)colonne
e) Dtecteurs
f) Intgrateur
6. Mmthode dextraction
6.1 Extraction en Phase solide
6.1.1 Principe
6.1.2 Processus de la SPE
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3) Fer....................................................................
43
4) Zinc..................................................................44
5) Chrome............................................................
45
6) Plomb...............................................................
46
Conclusion et perspectives.........................53
Bilan personnel.
Bibliographie et webographie.
Annexe A : La norme NT 106.002
Annexe B : Normes et lgislations relatives au rejet industriel.
Annexe BC : Gammes talons utilises dans le dosage par SAAF.
Annexe CD : Conception de la nouvelle station de prtraitement.
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INTRODUCTION
GNRALE
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Depuis quelques annes, les scientifiques ont commencent s'intresser aux rejets des
substances mdicamenteuses dans le milieu naturel. Les composs pharmaceutiques font
partie des substances actuellement retrouves dans les divers systmes aquatiques. Les
diverses sources (agriculture, effluents urbains, rejets industriels...) et le nombre important
des substances concernes appartenant des classes chimiques trs varies font de ces
composs lobjet de nombreux questionnements de la part des instances publiques
lchelle franaise et europenneinternationalle, aussi bien dans le domaine environnemental
que dans celui de la sant publique.
De mme, lLa connaissance de la contamination de lenvironnement par les contaminants
intrt mergent et les lments traces mtalliques sest dveloppe au cours du XXme
sicle afin dexpliquer leurs comportements, leur impact sur les cosystmes et sur la sant
humaine .
C'est dans ce contexte que se place ce projet de fin dtudes portant dune part sur la
recherche des traces dun antibiotique (Oxytetracyclique) par HPLC, et dautre part sur la
dtctiondtection par SAAF et des six sept lments traces mtalliques suscceptibles dtre
prsents dans les eaux uses pharmaceutiques .
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Ce travail prsentera une revue de littrature sur les contaminants organiques dintrt
mergent en mettant accent particulirement sur lOxyttracycline. Ensuite , seront
expliquexpliqus les liens entre les mdicaments et lenvironnement en accordant une
importance particulire aux lmentaux lments traces mtalliques. Par ailleurs une brivebrve
description de la station de prtraitement des eaux uses de la SIPHAT sera prsente. Le
chapitre Matriel et Mthodes illustaillustrera les mthodes danalyses et dextraction supportant
les travaux de ce projet. Le chapitre Rsultats et Discussions dveloppera les rsultats de nos
analyses sur les ETMs et leur comparaison avec la norme NT 106.002. En outre, une
interprtation des rsultats de la recherche des traces dOTC sera prsente en se rfrant aux
achvements dcrits dans la littrature puisquaucune rglementation nexiste encore concernant
les valeurs limites de cette molcule dans lenvironnement. Dans le dernier chapitre Conclusions
et Perspectives on illustrera notre synthse et on prsentera nos propositions afin damliorer le
traitement des eaux uses la SIPHAT.
.
Dcrit un peu la dmarche que tu as suivi dans ton manuscrit
REVUE
BIBLIOGRAPHIQUE
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Revue bibliographique
1. Les contaminants intrt mergent:
1.1 Dfinition:
1.2
1.3
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Les contaminants dintrt mergent (CIEs) sont appels ainsi, car ce sont des
contaminants que lon dtecte au fur et mesure de lvolution des moyens analytiques.
Leur prsence dans lenvironnement peut prsenter un risque sur le plan de la toxicit et
suscite tout particulirement lintrt de la recherche afin de mettre en place les futures
rglementations et normes de demain.(. ( HarouneHaroun, 2016)Biblio
Les produits de soin personnels sont, linstar des pharmaceutiques et des pesticides, des
substances rfractaires aux mthodes de traitements traditionnels, lutilisation des
procds doxydation avance comme moyen de dgradation semble la meilleure solution.
(Haroune, 2016)
biblio
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Dans les STEPs, le devenir des rsidus mdicamenteux est dpendant de diffrents
paramtres : la temprature, le pH, la biodgradation ou encore le temps de rtention
solide qui correspond la dure moyenne des boues actives dans le systme (Radjenovic et
al.,al. 2009)
. Les traitements exercs sur lesdes eaux uses dans lesau niveau des stations dpurations
sont lorigine de plusieurs processus qui influencent le devenir des rsidus
mdicamenteux: photolyse, absorption, isomrisation/pimrisation, hydrolyse, oxydation,
rduction ou biodgradation (dgradations biologiques par voies bactriennes ou
fongiques) (Oberl,2013, 2013)
biblio
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Figure 1 : Schma des traitements des effluents bruts dans une station d'puration, et
processus responsables de la dgradation ou du pigeage des rsidus mdicamenteux , 2013
pour chaque tape
Figure 1 : Schma des traitements des effluents bruts dans une station d'puration, et
processus responsables de la dgradation ou du pigeage des rsidus mdicamenteux .
(Oberl, 2013)
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(McCoy, 1982)
Normes et lLgislation :
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2. Mdicaments et environnement:
De la consommation des mdicaments, qui serait la principale origine mais elle est
difficile valuer. En effet, aprs leur ingestion les mdicaments subissent des
modifications chimiques et les mtabolites issus de ces ractions peuvent tre plus ou
moins toxiques que le mdicament initial et auraient galement des proprits
diffrentes, voire antagonistes. Certains mdicaments sont par contre excrts sans
biotransformations. Il faut galement citer comme source potentielle de pollution la
part des mdicaments non utiliss ou qui ne servent plus et qui sont limins travers
les points dvacuation des eaux uses. Biblio
Des rejets dhpitaux : La consommation des mdicaments au niveau de ces
tablissements est importante. Les principaux produits sont : les anticancreux
notamment radioactifs, les antibiotiques, les analgsiques, les hormones et les
mdicaments cardiovasculaires. Biblio
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FFfigure 2 : Schma des sources possibles et des voies de contamination par des substances
mdicamenteuses dans lenvironnement
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igure 2 : Schma des sources possibles et des voies de contamination par des substances
mdicamenteuses dans lenvironnement.
, 2013
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o les mtaux lourds galement appels lments traces mtalliques ETMs (zinc,
cuivre, plomb, chrome, nickel, cadmium, mercure...);
o les composs trace organiques (parabne, benzopyrne ...)
o les rsidus mdicamenteux (Hassine et Hamza,2009)
Les lments traces mtalliques ETMs sont gnralement dfinis comme des mtaux lourds. On
appelle aAppelle ETMsmtaux lourds tout lment mtallique naturel dont la masse
volumique dpassentdpasse
5g/cm3. Ils englobent l'ensemble des mtaux et mtallodes prsentant un caractre toxique
pour
laLa sant et l'environnement (certains dentre eux sont ncessaires lorganisme en petites
quantits et qui peuvent devenir toxiques doses plus importantes) (DSpace Universit abou
Bekr Belkaid Tlemcen)biblio
Dans le cadre de chimie, En chimie, les ETMs mtaux lourds sont gnralement dfinis sur la
base de leurs
proprits physico-chimiques. En toxicologie, ils peuvent tre dfinis comme des mtaux
caractre cumulatif (souvent dans les tissus biologiques) ayant essentiellement des effets
trs nfastes sur les organismes vivants.
Dans les sciences environnementales, les ETMs mtaux lourds associs aux notions de
pollution et
de toxicit sont gnralement : larsenic (As), le cadmium (Cd), le chrome(Cr), le cuivre
(Cu), le
mercure (Hg), le manganse (Mn), le nickel (Ni), le plomb (Pb), ltain (Sn), le zinc (Zn).
Les ETMs mtaux lourds sont redistribus naturellement dans lenvironnement par les
processus
gologiques et les cycles biologiques. Les activits industrielles et technologiques diminuent
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cependant le temps de rsidence des mtaux dans les roches, ils forment de nouveaux
composs
mtalliques, introduisent les mtaux dans latmosphre par la combustion de produits
fossilifres.
Les ETMsmtaux lourds existant dans les eaux uses pharmaceutiques sont extrmement
nombreux. Les plus abondants sont le fer, le zinc, le cuivre et le plomb. Les autres mtaux
(manganse, aluminium, chrome, arsenic, slnium, mercure, cadmium, molybdne,
nickel...) sont prsents ltat de traces. (DSpace Universit abou Bekr Belkaid Tlemcen)
Biblio
Impact toxicologique:
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mtaboliques et manifestent des proprits toxiques. (DSpace Universit abou Bekr Belkaid
Tlemcen) Biblio
Arsenic As Toxique.
Cancrigne.
Une exposition aigu entrane une diminution de la conductivit des
nerfs moteurs.
Cadmium Cd Lexposition aigu entrane une somnolence, une perte des rflexes et
une paralysie respiratoire.
Une exposition chronique entrane des troubles moteurs et des
douleurs osseuses.
Mercure Hg Toxique.
Les symptmes dune exposition long terme sont: une excitation
anormale, des tremblements de la tte, des mains et des mchoires et
un dysfonctionnement du systme nerveux.
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Le cadre institutionnel de la gestion des eaux uses (brutes et traites) comporte plusieurs
acteurs aux niveaux national, rgional et local.
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Autres acteurs:
Cette norme a pour objet de dfinir les conditions auxquelles sont subordonns les rejets
d'effluents dans le milieu hydrique et les conditions de branchement et de dversement des
effluents dans le rseau public d'assainissement.
Pour une gestion plus rigoureuse des rejets liquides, la NT 106.002 a t homologue le 20
juillet
1989 et a pris effet le 1er octobre 1989.
Cette norme a dfinit la qualit de leffluent en fonction du milieu rcepteur quil soit
maritime, public hydraulique ou canalisations publiques sans tenir compte de ses
particularits. Elle a dfinitdfini les seuils de rejet de 54 paramtres physico-chimiques,
bactriologiques, plusieurs mtaux lourdsETMETMs et quelques micropolluants
organiques : hydrocarbures, pesticides, PCB/PCT et phnols. (Voir annexe AA)
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Code des eaux Loi n16-75, du 31 mars 1975, portant promulgation du Code des eaux.
(JORT n 22, du 1er avril 1975, page 612). Chapitre VII. Effets nuisibles de l'eau
Section I.
Lutte contre la pollution hydrique : Articles 126, 129, 130, 131, 134. (voir les textes de
ces articles dans lAnnexe B).
Article 126 : L'limination de la pollution est la charge des utilisateurs et des
entreprises, des collectivits publiques, responsables de l'vacuation de leurs dchets dans
les eaux.
Article 129 : L'aide financire de l'Etat, accorde au dveloppement des industries est
assortie des conditions prvoyant notamment l'obligation de raliser des systmes
d'puration adquats.
Article 130 : Une aide financire de l'Etat, complte, le cas chant, par une aide
technique au fonctionnement des moyens d'puration des eaux rsiduaires, peut tre
accorde pour la ralisation d'installation de traitement d'eaux rsiduaires.
Les conditions de contrle de l'efficacit de l'puration des rejets sont dfinies par des
conventions entre l'Etat et les matres d'ouvrage bnficiant ventuellement de l'aide de celui-ci
pour la ralisation des stations d'puration.
Article 131 : Les entreprises qui construisent ou font construire des immeubles destins
l'puration des eaux industrielles peuvent pratiquer, ds l'achvement de ces
constructions, un amortissement exceptionnel de 50 % de leur prix de revient.
La valeur rsiduelle des immeubles est amortissable sur leur dure normale d'utilisation.
Article 134 : Tout dversement d'eaux rsiduaires, autres que domestiques, dans les
gouts publics doit tre pralablement autoris par le Ministre de l'Agriculture aprs avis
de la collectivit laquelle appartiennent les ouvrages qui sont emprunts par ces eaux
uses avant de rejoindre le milieu naturel. Ce dversement, aprs autorisation, peut tre
subordonn notamment un prtraitement individuel ou le cas chant, collectif.
Dans ce dernier cas, et s'il est constat une dfaillance la ralisation des ouvrages de
prtraitement, l'Administration se rserve le droit, aprs mise en demeure pralable, d'effectuer
les ouvrages prcits aux frais des intresss qui sont en outre tenus de participer aux dpenses
d'entretien et d'exploitation des ouvrages en question.
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Des mesures de communication peuvent galement tre mises en place. Celles -isi
consistent en :
mettre en place un affichage plus clair dinformations sur les emballages. Cela peut se
faire par la cration dcolabels.
raliser des campagnes dinformation et des guides de bonnes pratiques pour rduire
lutilisation et le rejet inappropri de mdicaments.
Inciter les producteurs indiquer plus clairement les doses suffisantes de traitement des
patients et vendre des portions plus petites pour rduire la quantit de mdicament non
utiliss.
convaincre les hpitaux dajouter le profil environnemental parmi leurs critres de choix
des mdicaments lors des achats.
Mesures techniques:
Des traitements peuvent tre ajouts ou amliors dans les STEPs dans le mme but. Les
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processus de traitement qui peuvent tre utiliss sont les suivants : phototolysephotolyse et
ractions de Fenton ,Fenton, charbon activ, ozonation, biofiltration sur membrane
(nanofiltration, osmose inverse), coagulation/floculation suivie dune filtration suivie dune
dsinfection.
Selon la littrature, ces traitements peuvent permettre dliminer la plupart des substances
pharmaceutiques des taux suprieurs 95% . Lozonation des eaux rsiduaires est le
procd de traitement qui prsente le plus grand potentiel dlimination de beaucoup de
substances pharmaceutiques cibles et il est financirement abordable. Losmose inverse et
la nanofiltration sont aussi les traitements les plus adapts mais leur cot est lev.
Cependant certains procds (ozonation par exemple) conduisent lintroduction de
mtabolites toxiques dans lenvironnement et augmentent significativement le cot des
traitements des STEP.
Une autre approche serait de modifier les paramtres des traitements dj en place. Des
tudes ont montr que lefficacit dlimination des substances mdicamenteuses en
gnral est augmente lorsque :
Il faut noter que cela va lencontre de la tendance actuelle de gestion des STEP qui est de
rduire les temps de traitement pour augmenter les dbits traits et la compacit.
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Tunisie SIPHAT est lune des usines quy existe depuis 1989 et qui est considre parmi les
industries les plus consommatrices deau dans cette zone.
Ces eaux sont surtout utilises dans les procds de fabrication, de nettoyage, de lavage, de
refroidissement et de production de la vapeur.
A la SIPHAT, le rseau de drainage deau est un rseau d'eau sparatif qui contient
seulement une catgorie de rejets ou une catgorie d'eaux dans chaque canalisation,
les rejets hydriques donc sont de trois types :
Les eaux pluviales : elles sont draines via un rseau qui est leur propre et dverses dans
la canalisation des eaux pluviales de la zone industrielle.s
Les eaux sanitaires : ces eaux sont dverses directement dans le rseau de lOffice National
de lAssSainissement (ONAS).
Les eaux uses industrielles : ces eaux ne dpassent pas les 30m 3 /jour. Ce sont des eaux de
nettoyage, de rinage des ustensilsustensiles et des quipements de laboratoires et surtout les
eaux des procds de fabrication des mdicaments. Elles renferment des lementslments
cotoxiques pouvant avoir ayant par la suite un impactsimpact sur la sant humaine. Par
consquent, ces eaux doivent subir un prtraitement assurant ainsi la minimisation de la
pollution et de la toxicit de ces effluents.
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Leau rsiduaire industrielle dsigne l'eau qui provient des activits industrielles. Leau
cetteCette eau rsiduaire industrielle est diffrente des eaux uses domestiques et ses
caractristiques varient d'une industrie l'autre. En plus des matires organiques, azotes
ou phosphores, elle peut galement contenir des produits toxiques, des solvants, des
mtaux lourdsmtaux lourdsETM, des micropolluants organiques, des hydrocarbures.
Certaines d'entre elles doivent faire l'objet d'un prtraitement de la part des industriels
avant d'tre rejetes dans les rseaux de collecte. Elles ne sont mles mlanges aux eaux
domestiques que lorsqu'elles ne prsentent plus de danger pour les rseaux de collecte et ne
perturbent pas le fonctionnement des stations de traitement.
dfinitionduDdictionnaireEenvironnementetdveloppementdurablebiblio
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La station de prtraitement des eaux uses existante la SIPHAT est dcrite par le synoptique
illustr dans lannexe B
La station de prtraitement de la SIPHAT est compose de quatre principaux
compartiments savoir : le regard de relevage, le bassin daration, le bassin de
dcantation et le bassin de stockage. Ces derniers seront dcrits indpendamment
a. Le regard de relevage:
Le regard de relevage a une fonction de collecte. En effet les rejets hydriques pharmaceutiques,
en provenance des usines de fabrication et des laboratoires de contrle de la qualit, se voient
tre achemins gravitairement vers la station de prtraitement puis collects dans le regard de
relevage.
Le regard de relevage est quip dune pompe submersible, protge par un panier grilles, qui
pompe leau vers le bassin daration avec un dbit de 4m3/h.
b. Le bassin daration:
Le bassin daration est le lieu de neutralisation et doxygnation des rejets hydriques. En effet,
les eaux uses receuilliesrecueillies dans le regard de relevage sont achemines vers lui, il sagit
dun bassin rectangulaire de volume 30 m3 .
La neutralisation :
Les oprationoprations de mesure et de rgulation de la valeur de pH sont effrectueseffectues
dans le bassin daration ; la valeur de pH mesure doit tre conforme la norme NT106.002 .
La neutralisation est assure laide dune sonde pH et de deux pompes doseuses. En effet, en
fonction de la valeur trouve, on injecte soit de la soude dans le cas dun pH acide soit de lacide
chlorhydrique dans le cas dun pH basique.
Loxygnation :
Le bassin daration est quip dune soufflante dair dbitant 70 m3/h et d'une installation de
disques diffuseurs-fines bulles.
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La soufflante injecte de lair travers une installation forme de 10 disques diffuseurs dbitant
5m3/h de fines bulles dair. Les bulles dair ascendantes ralisent un brassage et une forte
turbulence de la masse deau.
c. Bassin de dcantation:
Aprs laration, les eaux dbordent du bassin daration vers le bassin de dcantation.
Il sagit dun bassin rectangulaire de 14 m 3 o les eaux en provenance du bassin daration sont
dcantes. Loprateur intervient systmatiquement laide dune motopompe de surface pour
drainer les boues qui se sont formes au fond du bassin vers les lits de schage. Une couronne
mtallique est installe sur le dcanteur pour empcher les matires en suspension dtre
vacues avec les eaux dcantes.
d. Bassin de stockage:
Le bassin de stockage ou le bassin de collecte est un bassin de 14 m 3 de volume juxtaposant le
bassin de dcantation.
Le bassin de collecte est le lieu de stockage des eaux clarifies destines tre dverses dans le
rseau de lONAS.
Loprateur intervient laide dune pompe doseuse pour linjection du chlore dans le but de
dsinfecter les eaux clarifies.
dans le tableau 4.
Loxygnation :
Le bassin daration est quip dune soufflante dair dbitant 70
m3/h et une installation de disques diffuseurs-fines bulles.
La soufflante injecte de lair travers une installation forme de 10
disques diffuseurs dbitant 5m3/h de fines bulles dair. Les bulles
dair ascendantes ralisent un brassage et une forte turbulence de la
masse deau afin de favoriser loxydation de la charge polluante.
Les lits de schage Les boues draines du fond du bassin de dcantation sont dverses
vers deux lits sable afin dacclerer leur scharge. Leau filtre
dans les lits de schage est finalement vacue vers le rseau de
lONAS
Partie commande et La station existante est commande partir dune armoire
armoire lectrique lectrique.
Chaque quipement ou instrument dans la station possde une son
propre faon de commandemoyen de fonctionnement, citant par
exemple :
La pompe du regard de relevage, qui relve les eaux uses vers le
bassin daration, est commande par un flotteur lectrique qui
dclenche larrt de cette dernire quand il atteint un seuil
minimum.
5. Mthodes danalyses
7. Mthodes danalyses
Ce chapitre ????? est consacr la prsentation des principales mthodes analytiques adoptes
au sein du laboratoires de contrle qualit physico-chimique.
Pour cela, deux parties ont t dveloppes afin de mieux comprendre et dassimiler le principe
fondamental de chaque mthode. La premire partie traite une mthode chromatographique et
plus prcisment celles en phase liquide haute performance (HPLC) la seconde concerne une
mthode spectrale : spectroscopie dabsorption atomique flamme SAAF.
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6.1.1 Principe
Les composs sparer (soluts) sont mis en solution dans un solvant. Ce mlange est introduit
dans la phase mobile liquide (luant). Suivant la nature des molcules, elles interagissent plus ou
moins avec la phase stationnaire contenue dans un tube appel colonne chromatographique.
La chromatographie en phase liquide est base sur les diffrences dinteractions entre les soluts,
la phase mobile et la phase stationnaire. Ces interactions provoquent des changes qui
aboutissent la sparation dsire.
Au niveau de la colonne, les composs en solution se rpartissent suivant leur affinit entre la
phase mobile et la phase stationnaire. La thorie de la sparation montre que le signal enregistr
la sortie dun dtecteur appropri, en fin de colonne possde la forme dun pic.
6.1.2 Appareillage
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Projet de fin dtudes
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Le plus souvent ce rservoir est une bouteille en verre dans lequel plonge un tube avec une
extrmit filtrante en tflon. S'il est ncessaire le dgazage peut se faire par agitation puis
conservation du solvant sous atmosphre d'hlium.
b) Pompe
Elle dlivre en continu la phase mobile. Elle est dfinit par la pression qu'elle permet d'atteindre
dans la colonne, son dbit, et la stabilit du flux. Actuellement les paramtres d'une pompe sont
* dbit : 0,01 10 mL/min* stabilit < 1% (<0,2% pour des chromatographies d'exclusion
diffusion) * pression maximale > 350 bars
Certaines sont pilotes par informatique (bien utile lors de l'utilisation de gradient d'lution).
c) Injecteur
Le type d'injecteur le plus couramment utilis comporte une vanne boucle d'chantillonnage
d'une capacit fixe (10, 20, 50 L...). Cette boucle permet d'introduire l'chantillon sans modifier
la pression dans la colonne.
d) Colonne
En mode analytique, les colonnes en inox ont gnralement un diamtre interne de 4,6mm. La
longueur est de 5, 10, 15, ou 25cm. Le remplissage (en silice, silice greffe ou particules
polymriques) a une granulomtrie de 3, 5, ou 10m. Le diamtre interne d'une colonne est
usuellement de 4 ou 4,6 mm. Si des substances pures doivent tre collectes en fin de
chromatogramme des colonnes de gros diamtre seront ncessaires.
e) Dtecteurs
Le dtecteur suit en continu l'apparition des soluts. Pour dtecter, on utilise diffrents
phnomnes physico-chimiques. Le signal obtenu est enregistr en fonction du temps.
Gnralement, on compare le signal obtenu pour la phase mobile et le solut celui de la phase
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
mobile seule.
rfractomtre diffrentiel
UV barrette de diodes
lectrochimique
Spectromtrie infrarouge
Spectromtrie de masse
f) Intgrateur
La chromatographie est une mthode de sparation utilise en vue d'un dosage. Il faut donc avant
tout chercher sparer correctement les pics avant de les intgrer. Une intgration consiste
mesurer la surface sous un pic.
La largeur de pic est peu prs prvisible en fonctions de la technique d'analyse et des
conditions opratoires. Elle dtermine la frquence d'chantillonnage du signal. Le pic est alors
dcoup en tranches. Le seuil d'intgration est la valeur du signal partir de laquelle le
calculateur repre un dbut de pic
en solution. Cette mthode danalyse lmentaire impose que la mesure soit faite partir dun
analyte ( lement doser) transform ltat datomes libres.
6.2.1 Principe
Lors du procd dabsorption atomique lnergie fournie latome provient dune source
lumineuse appele lampe cathode creuse. Latome dans son tat de base absorbe lnergie
lumineuse une longueur donde spcifique et passe un tat dexcitation. Un dtecteur mesure
la quantit de lumire absorbe et un signal lectronique est produit en fonction de lintensit
lumineuse. Ce signal est trait et la quantit danalyte dans lchantillon est dtermine en
fonction de labsorbance mesure.
Le contact entre les atomes et la source lumineuse est assur par la cellule dabsorption. La
cellule dabsorption est en fait une flamme gnre par la combustion dun mlange air/actylne
(2500C) ou un mlange protoxyde dazote/actylne (3100C) pour les lments rfractaires
(exemples : Al, Mo, Sr) pour que les combinaisons chimiques dans lesquelles les lments
sont engags soient dtruites.
Lchantillon analyser est aspir par lappareil et transform en arosol. La flamme atomise
ensuite les lments contenus dans larosol qui passent travers le faisceau de la lampe
cathode creuse.
La lampe cathode creuse met le spectre lumineux spcifique llment analys. La cathode
et lanode de la lampe sont composes uniquement de llment dont le spectre lumineux doit
tre produit. Un potentiel lectrique est appliqu entre lanode et la cathode, ce qui a pour effet
dioniser le gaz contenu dans la lampe.
Les ions de gaz vont ensuite entrer en collision avec la cathode, ce qui dloge des atomes
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
mtalliques. Ces atomes vont aussi entrer en collision avec les ions de gaz ce qui les fait passer
un tat dexcitation. Ils retournent aussitt leur tat de base ce qui produit lnergie lumineuse
dsire.
Si plusieurs lments doser, on ralise cette manipulation pour chaque lment de lchantillon
une longueur donde fixe, pour cette raison et chaque manipulation on choisit une souce
adapte pour clairer llment exciter.
6.2.2 Appareillage
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
La lampe cathode creuse est constitue par une enveloppe de verre scelle et pourvue d'une
fentre en verre ou en quartz contenant une cathode creuse cylindrique et une anode. La cathode
est constitue de l'lment que l'on veut doser. Un vide pouss est ralis l'intrieur de
l'ampoule qui est ensuite remplie d'un gaz rare (argon ou non) sous une pression de quelques
mm de Hg. Lorsqu'on applique une diffrence de potentiel de quelques centaines de volts entre
les deux lectrodes, une dcharge s'tablit. Le gaz rare est alors ionis et ces ions bombardent
alors la cathode, arrachant des atomes celle ci. Ces atomes sont donc libres et sont excits par
chocs : il y a mission atomique de l'lment constituant la cathode creuse. La particularit du
rayonnement ainsi mis est qu'il est constitu de raies trs intenses et trs fines.
b) Le nbuliseur
L'chantillon analyser est en solution. Celle-ci est aspire au moyen d'un capillaire par le
nbuliseur. A l'orifice du nbuliseur, du fait de l'jection d'un gaz grande vitesse, il se cre une
dpression (effet Venturi). La solution d'analyse est alors aspire dans le capillaire et la sortie,
elle est pulvrise en un arosol constitu de fines gouttelettes. Cet arosol pntre alors dans la
chambre de nbulisation dont le rle est de faire clater les gouttelettes et d'liminer les plus
grosses. Ce brouillard homogne pntre alors dans le brleur.
c) La flamme atomisation
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
L'arosol pntre dans le brleur puis dans la flamme. Au bout d'un certain parcours au seuil de
la flamme, le solvant de la gouttelette est limin, il reste les sels ou particules solides qui sont
alors fondus, vaporiss puis atomiss. La flamme air/actylne est la plus rpandue et permet de
raliser le dosage de nombreux lments. Sa temprature est de 2500C environ. A la place d'une
flamme, on peut galement utiliser un four cylindrique en graphite pour atomiser l'chantillon.
La lumire qui quitte la source nest pas monochromatique. On obtient un spectre de raies
contenant :
- les raies de llment doser,
- les raies du gaz de remplissage dans la source,
- les raies dventuelles impurets,
- les raies de latomiseur (flamme). Le rle du monochromateur consiste liminer toute la
lumire, quelle que soit son origine, ayant une longueur donde diffrente de celle laquelle on
travaille.
d) Le dtecteur
Le faisceau arrive ensuite sur le dtecteur. Ce dernier mesure les intensits lumineuses
ncessaires au calcul des absorbances. Il est reli un amplificateur et un dispositif d'acquisition.
On dtermine : Absorbance spcifique = Absorbance totale Absorbance non spcifique
L'absorption spcifique est due l'lment doser (sur une raie). L'absorption non spcifique est
due l'absorption continue de la matrice.
8. Mthode dextraction
7.1.1 Principe
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Lextraction sur phase solide (SPE) est une technique utilise pour la prparation dun
chantillon surtout dans l'analyse environnementale.
Le principe de la SPE implique le partage des soluts entre deux phases : entre une phase
liquide, lchantillon, et une phase solide, ladsorbant.
En effet, elle est similaire un processus chromatographique dans lequel ladsorbant est la
phase stationnaire et lchantillon constitue la phase mobile. Les soluts sont retenus sur la
phase stationnaire et la matrice de lchantillon est limine ; les soluts sont lus avec un
faible volume de solvant dextraction de forte force luante.
Le but principal de la SPE est dextraire certains composs prsents dans un chantion
complexe avant leur analyse. Elle permet de rmedier labsence de slectivit du systme
de sparation entre la matrice et les composs dintret et la faible sensibilit du dtecteur
dans le cas de solutions dilues ou dun effet matrice et permet de prserver le matriel
chromatographique.
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Il sagit dune tape de rtention quantitative des analytes dintrts sur la phase
stationnaire.
Les volumes dposs dans le systme varient de quelques l L. Pour assurer une bonne
rtention , il faut que la vitesse de passage doit suffisamment faible. Au cours de cette tape,
certains composants de la matrice peuvent tre retenus aussi. Donc il sagit dune
purification.
C'est le passage dun solvant dtermin pour liminer les interfrents faiblement
retenus mais sans affecter la rtention des soluts. Il est recommand la fin de cette tape
dasscher le support pour vaporer les traces de solvant de lavage. Cette tape amliore le
rendement dextraction.
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
MATRIELS ET
MTHODES
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Dans cette partie, on va prsenter et dcrire les mthodes de travail quon a utilis afin de
raliser les recherches des traces des mtaux lourds et de lOxyttracycline dans les eaux de rejet
Le dosage et lidentification de toute substance mdicamenteuse font appel des mthodes
danalyses trs performantes pour obtenir des apprciations qualitatives et quantitatives afin
dassurer une bonne qualit du produit.
Cette partie est consacre la prsentation des principales mthodes adoptes au sein du
laboratoiresdu laboratoire de contrle de la qualit physico-chimique.
Pour sce faire, on commencera tout dabord par exposer les prcautions prendre et les
astuces appliquer afin de russir une campagne dchantillonnage. On introduira Eensuite
deux parties ont t dveloppes afin de mieux comprendre et dassimiler le principe
fondamental de chaque mthode analytique. La premire partie traite une mthode
chromatographique et plus prcisment celles en phase liquide haute performance (HPLC)
couple une mthode dextraction en phase solide SPE et la seconde concerne une mthode
spectrale : spectroscopie dabsorption atomique flamme SAAF. .
Pour ce faire, on commencera tout dabord par exposer les prcautions prendre et les astuces
appliquer afin de russir une compagne dchantillonnage. On introduira ensuite, les modes
opratoires des deux mthodes danalyses et la mthode dextraction utilises.
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
L'objectif de l'chantillonnage des fins d'analyse est d'obtenir des renseignements sur un
milieu donn l'aide d'chantillons reprsentatifs.
Une bonne planification de la campagne d'chantillonnage est ncessaire pour viter les
pertes de temps et minimiser les erreurs. Elle doit tenir compte du contexte et des objectifs
du projet dans lequel lchantillonnage doit avoir lieu. Dans notre cas, les analyses
environnementales vont nous permettre dassurer :
La surveillance environnementale ou industrielle (routinire).
Lvaluation du rendement de certains quipements purateurs.
La vrification de la conformit aux normes de rejet .(le respect dune rglementation)
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
eaux domestiques, des eaux de refroidissement, etc. Un rseau d'eau sparatif est un rseau qui
contient seulement une catgorie de rejets ou une catgorie d'eaux.
Eeffectuer une visite prliminaire sert noter les dtails permettant la planification
optimale de la campagne dchantillonnage. Les principaux points suivants sont
vrifier :
o la prsence dquipement et dappareils installs de faon assurer la
reprsentativit des prlvements (puits dobservation, points
dchantillonnage de chemines, etc.)
o la disponibilit d'installations lectriques appropries (armoire lectrique)
o l'quipement de scurit requis (cordes, ceintures de scurit, gants, etc.);
o la disponibilit dun local adquat pour effectuer la prparation, la
manipulation et parfois mme lanalyse (pH, conductivit, etc.) des
chantillons, ainsi quun lieu adquat pour lentreposage scuritaire des
chantillons et du matriel.;
o la possibilit d'utiliser des accessoires pour le lavage des quipements
d'chantillonnage (solvants, eau purifie, brosses, contenants de
rcupration, etc.)
o la disponibilit deau potable et la prsence de services de sant proximit.
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Projet de fin dtudes
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I. HPLC:
La chromatographie, mthode danalyses physico-chimique, consiste sparer les
constituants dun mlange par entrainement au moyen dune phase mobile (liquide ou gaz)
le long dune phase stationnaire (solide ou liquide fix), grce la rpartition slective des
soluts entre ces deux phases. Chaque solut est donc soumis une force de rtention
(exerce par la phase stationnaire) et une force de mobilit (due la phase mobile).
II. HPLC
La chromatographie, mthode danalyses physico-chimique, spare les constituants dun
mlange par entrainement au moyen dune phase mobile (liquide ou gaz) le long dune phase
stationnaire (solide ou liquide fix), grce la rpartition slective des soluts entre ces deux
phases. Chaque solut est donc soumis une force de rtention (exerce par la phase
stationnaire) et une force de mobilit (due la phase mobile).
1) Principe
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ISSTE/SIPHAT
Les composs sparer (soluts) sont mis en solution dans un solvant. Ce mlange est introduit
dans la phase mobile liquide (luant). Suivant la nature des molcules, elles interagissent plus ou
moins avec la phase stationnaire contenue dans un tube appel colonne chromatographique.
La chromatographie en phase liquide (Figure 5) est base sur les diffrences dinteractions entre
les soluts, la phase mobile et la phase stationnaire. Ces interactions provoquent des changes
qui aboutissent la sparation dsire.
Au niveau de la colonne, les composs en solution se rpartissent suivant leur affinit entre la
phase mobile et la phase stationnaire. La thorie de la sparation montre que le signal enregistr
la sortie dun dtecteur appropri, en fin de colonne, possdepossde la forme dun pic.
Le plus souvent ce rservoir est une bouteille en verre contenant la phase mobile dj filtre
(pour prvenir le colmatage de la colonne).
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Pompe:
Elle dlivre en continu la phase mobile. Elle est dfinie par la pression qu'elle permet d'atteindre
dans la colonne, son dbit et la stabilit du flux.
Injecteur:
Colonne:
Une colonne est un tube construit dans un matriau le plus possible inerte aux produits
chimiques, souvent en inox ou en verre.
Dtecteur:
Le dtecteur suit en continu l'apparition des soluts. Le signal obtenu est enregistr en fonction
du temps. Gnralement, on compare le signal obtenu pour la phase mobile et le solut celui de
la phase mobile seule.
Intgrateur:
La chromatographie est une mthode de sparation utilise en vue d'un dosage. Il faut donc avant
tout chercher sparer correctement les pics avant de les intgrer. Une intgration consiste
mesurer la surface sous un pic.
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
1) 7.1.1 Principe:
Lextraction sur phase solide (Figure 7SPE) est une technique utilise pour la prparation
dun chantillon surtout dans l'analyse environnementale.
Le principe de la SPE implique le partage des soluts entre deux phases : entre une phase
liquide, lchantillon, et une phase solide, ladsorbant.
En effet, elle est similaire un processus chromatographique dans lequel ladsorbant est la
phase stationnaire et lchantillon constitue la phase mobile. Les soluts sont retenus sur la
phase stationnaire et la matrice de lchantillon est limine ; les soluts sont lus avec un
faible volume de solvant dextraction de forte force luante.
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Le but principal de la SPE est dextraire certains composs prsents dans un chantillonon
complexe avant leur analyse.
Elle permet de rmedier labsence de slectivit du systme de sparation entre la matrice et les
composs dintret et la faible sensibilit du dtecteur dans le cas de solutions dilues ou dun
effet matrice et permet de prserver le matriel chromatographique.
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Il sagit dune tape de rtention quantitative des analytes dintrts sur la phase
stationnaire.
Les volumes dposs dans le systme varient de quelques l L. Pour assurer une bonne
rtention ,rtention, il faut que la vitesse de passage doit suffisamment faible. Au cours de
cette tape, certains composants de la matrice peuvent tre retenus aussi. Donc il sagit dune
purification.
C'est le passage dun solvant dtermin pour liminer les interfrents faiblement
retenus mais sans affecter la rtention des soluts. Il est recommand la fin de cette tape
dasscher le support pour vaporer les traces de solvant de lavage. Cette tape amliore le
rendement dextraction.
Cette tape entrane la totalit des molcules dintrts vitant ainsi dluer les
interfrents fortement retenus. Cest ltape la plus importante , aussi, faut-il choisir le
solvant adquat. La vitesse dcoulement du solvant doit tre lente pour favoriser llution
et le volume de solvant doit tre optimis de manire luer tout le solut retenu sur le
support .support.
Analytes
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Interfrents
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Conditionnement Percolation Lavage Elution
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
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ISSTE/SIPHAT
Pompe
Colonne Dbit 1 ml/mn
WAT046980 Symmetry C18 5m (3,9*150 mm)
Temprature 25C
Dtecteur Dtection ultraviolette UV, = 355 nm
Temps danalyse 15 min
Mode Opratoire:
IV.
Mode opratoire
a. PrpatationPrparation du tmoin:
La solution mre de lOxyttracycline a t prpare dans lacide chlorhydrique HCl
(0,01N) en faisant dissoudre 100mg de lOxyttracycline dans 100 ml de HCl.
b. Prparation de lchantillon :
Pour chaque chantillon des eaux de rejets, 250 ml ont t filtrs laide des filtres
seringues de lordre de 0.45 m pour faciliter aprs ltape de lextraction par SPE.
pH 2-3
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ISSTE/SIPHAT
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
1) 6.2.1 Principe
Lors du procd dabsorption atomique lnergie fournie latome provient dune source
lumineuse appele lampe cathode creuse. Latome dans son tat de base absorbe lnergie
lumineuse une longueur donde spcifique et passe un tat dexcitation. Un dtecteur
mesure la quantit de lumire absorbe et un signal lectronique est produit en fonction de
lintensit lumineuse. Ce signal est trait et la quantit danalyte dans lchantillon est
dtermine en fonction de labsorbance mesure.
Le contact entre les atomes et la source lumineuse est assur par la cellule dabsorption. La
cellule dabsorption est en fait une flamme gnre par la combustion dun mlange
air/actylne (2500C) ou un mlange protoxyde dazote/actylne (3100C) pour les
lments rfractaires (exemples : Al, Mo, Sr) pour que les combinaisons chimiques dans
lesquelles les lments sont engags soient dtruites.
Les ions de gaz vont ensuite entrer en collision avec la cathode, ce qui dloge des atomes
mtalliques. Ces atomes vont aussi entrer en collision avec les ions de gaz ce qui les fait
passer un tat dexcitation. Ils retournent aussitt leur tat de base ce qui produit
lnergie lumineuse dsire.
Si plusieurs lments sont doser, on ralise cette manipulation pour chaque lment de
lchantillon une longueur donde fixe; pour cette raison et chaque manipulation on
choisit une soucesource adapte pour clairer llment exciter.
2) 6.2.2 Appareillage:
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Comme dans toute spectroscopie, il est ncessaire de faire une correction de la ligne de base.
Un montage optique double faisceau permet de stabiliser la lumire de la source et dapprcier le
fond lumineux de la flamme.
Le hacheur spare le faisceau issu de la cathode en deux. La partie qui traverse la flamme est
susceptible d'tre absorbe, l'autre partie passe en dehors. L'ensemble des deux faisceaux est
renvoy sur le monochromateur grce un systme de miroirs.
Pour les chantillons solides tudis ltat naturel ports haute temprature : le bruit de
fond est important donc il engendre une atomisation incomplte et par consquent il y aura une
production dune absorption parasite (effet de matrice).
On utilise alors une seconde source (lampe au deutrium) pour corriger cet effet.
3)
g) Le nbuliseur
L'chantillon analyser est en solution. Celle-ci est aspire au moyen d'un capillaire par le
nbuliseur. A l'orifice du nbuliseur, du fait de l'jection d'un gaz grande vitesse, il se cre une
dpression (effet Venturi). La solution d'analyse est alors aspire dans le capillaire et la sortie,
elle est pulvrise en un arosol constitu de fines gouttelettes. Cet arosol pntre alors dans la
chambre de nbulisation dont le rle est de faire clater les gouttelettes et d'liminer les plus
grosses. Ce brouillard homogne pntre alors dans le brleur.
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
h) La flamme atomisation
L'arosol pntre dans le brleur puis dans la flamme. Au bout d'un certain parcours au seuil de
la flamme, le solvant de la gouttelette est limin, il reste les sels ou particules solides qui sont
alors fondus, vaporiss puis atomiss. La flamme air/actylne est la plus rpandue et permet de
raliser le dosage de nombreux lments. Sa temprature est de 2500C environ. A la place d'une
flamme, on peut galement utiliser un four cylindrique en graphite pour atomiser l'chantillon.
La lumire qui quitte la source nest pas monochromatique. On obtient un spectre de raies
contenant :
- les raies de llment doser,
- les raies du gaz de remplissage dans la source,
- les raies dventuelles impurets,
- les raies de latomiseur (flamme). Le rle du monochromateur consiste liminer toute la
lumire, quelle que soit son origine, ayant une longueur donde diffrente de celle laquelle on
travaille.
i) Le dtecteur
Le faisceau arrive ensuite sur le dtecteur. Ce dernier mesure les intensits lumineuses
ncessaires au calcul des absorbances. Il est reli un amplificateur et un dispositif d'acquisition.
On dtermine : Absorbance spcifique = Absorbance totale Absorbance non spcifique
L'absorption spcifique est due l'lment doser (sur une raie). L'absorption non spcifique est
due l'absorption continue de la matrice.
Mode opratoire :
Linstrument utilis dans cette manipulation est pilot par un logiciel appel WinLab
Software, qui permet dobtenir directement les courbes de calibration et de dduire les
valeurs de concentrations de chaque chantillon inject.
Toute la verrerie a t soigneusement nettoye avant tout dosage des lments en traces, en la
rinant avec l'acide nitrique dilu (HNO3 10 %) puis plusieurs fois avec de l'eau distille.
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Nos chantillons ont t filtrs sous vide laide du papier filtre de porosit 0,45 m.
Analyse des chantillons : lessai blanc (eau PPI : eau pour prparation injectable) ainsi
que les chantillons, ont t analyss comme il est dcrit dans le manuel de lappareil.
Linstrument utilis dans cette manipulation est pilot par un logiciel, fourni par le
constructeur (fournisseur), qui permet dobtenir directement les courbes de calibration et de
dduire les valeurs de concentrations de chaque chantillon.
Toute la verrerie doit tre soigneusement nettoye avant tout dosage des lments en traces,
en la rinant avec de l'acide nitrique dilu (HNO3 10 %) puis plusieurs fois avec de l'eau
distille.
Nos chantillons des eaux de rejet doivent tre filtrs sous vide laide des papiers filtres de
porosit 0,45 m.
Ltalonnage et la prparation des solutions standards : on va utiliser 3 standards par
talonnage rpartis uniformment dans la gamme de mesure (indique dans le tableau 8).
Analyse des chantillons : lessai blanc (eau PPI : pour prparation injectable) ainsi que les
chantillons sont analyss comme dcrit dans le manuel de lappareil.
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Standard 1 5
Standard 2 10
Standard 3 20
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RSULTATS ET
DISCUSSION
On prsente dans ce chapitre nos critiques aprs ltude de la station existante et les rsultats
obtenus par HPLC et SAAF en comparant ces dernires avec les normes tunisiennes.
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
I. Rsultats et interprtation:
La teneur des lments traces mtalliques doss dans les eaux uses industrielles, au niveau
de lentre et la sortie de la station de prtraitement, dpendent des mdicaments produits
durant la priode de lchantillonnage et aussi du fonctionnement de la STEP.
Les concentrations des standards, leurs absorbances et les courbes dtalonnage de chaque ETM
peuvent tre consults dans lAnnexe C.
de la gamme talon
1- Nickel:
Le tableau ci-dessous reprsente les concentrations des chantillons injects dans la SAAF afin
de doser le Ni et la courbe illustre la variation, lentre et la sortie de la station, des teneurs
de cet lment durant la priode dchantillonnage.
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
courbe : Abs=f(C)
0.8
0.7
f(x) = 0.03x + 0.09
0.6 R = 1
0.5
Absorbance
0.4
Linear ()
0.3
0.2
0.1
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20 22
concentration (ppm)
Jour 1 2 3 4 5
Point E S E S E S E S E S
dchantillonnag
e
Concentration 0,05 0,02 0,03 0 0,03 0 0,01 0,01 0 0
(ppm)
0.06
0.05
Concentration en ppm
0.04
Variation des teneurs du
Ni l'entre de la
0.03 station
Variation des teneurs du
Ni la sortie de la
0.02 station
0.01
0
Jour 1 Jour 2 Jour 3 Jour 4 Jour 5
Figure 11 :
Variation des teneurs du Ni lentre et la sortie de la station.
Samar LARBI 66
66
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Les concentrations du Nickel dans les diffrents chantillons permettent de distinguer une
variation des taux du Ni entre 0 et 0,05 ppm. Ces concentrations sont infrieursinfrieures
la concentration limite gale 2 ppm s.elon la norme NT 106.002.
2- Cadmium:
Quant au tableau suivant, il reprsente les concentrations des chantillons injects dans la
SAAF afin de doser le Cd et la courbe illustre la variation, lentre et la sortie de la
station, des teneurs de cet lment durant la priode dchantillonnage.
Courbe : Abs=f(C)
0.8
0.7
f(x) = 0.03x + 0.12
0.6 R = 1
0.5
Absorbance
0.4
Linear ()
0.3
0.2
0.1
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20 22
Concentration ( ppm)
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67
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Elment Cd
Jour 1 2 3 4 5
Point E S E S E S E S E S
dchantillonnag
e
Concentration 0,1 0,05 0,07 0,03 0 0 0 0 0 0
(ppm)
0.12
0.1
Concentration en ppm
0.08
Variation des teneurs du
Cd l'entre de la
0.06 station
Variation des teneurs du
Cd la sortie de la
0.04 station
0.02
0
Jour 1 Jour 2 Jour 3 Jour 4 Jour 5
Figure 12 : Variation des teneurs du Cd lentre et la sortie de la station.
Les concentrations du Cadmium montrent une valeur maximale de 0,1 ppm, gale au seuil
fix par la NT 106.002, enregistre au niveau de lentre du premier jour dchantillonnage.
Par contre on a dtctdtect une absence de toute trace de Cd durant les trois derniers
jours.
3- Fer:
Les concentrations des chantillons injects dans la SAAF afin de doser le Fe et la courbe
illustre la variation, lentre et la sortie de la station, des teneurs de cet lment durant la
priode dchantillonnage sont reprsentes dans le tableau suivant:Le tableau ci-dessus
reprsente les diffrentes absorbances et concentrations enregistres pour le Fer
Samar LARBI 68
68
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
5 0.204
10 0.399
20 0.668
0.4
Linear ()
0.3
0.2
0.1
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20 22
Concentration (ppm)
Elment Fe
Jour 1 2 3 4 5
Point E S E S E S E S E S
dchantillonnag
e
Concentration 1,39 0,35 0,73 0,70 0,10 0,13 0 0,2 0,5 0
(ppm)
Samar LARBI 69
69
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
1.6
1.4
1.2
Concentration en ppm
0.2
0
Jour 1 Jour 2 Jour 3 Jour 4 Jour 5
Figure 13 : Variation des teneurs du Fe lentre et la sortie de la station.
Les teneurs enregistrs en Fer montrent une valeur maximale de 1,39 ppm et une valeur
minimale nulle. Ces valeurs sont beaucoup plus infrieures celle fix par la norme NT
106.002.
.
4- Zinc:
Le tableau suivant illustre les concentrations des chantillons injects dans la SAAF afin de
doser le Zn et la courbe illustre la variation, lentre et la sortie de la station, des teneurs de
cet lment durant la priode dchantillonnage.
Elment Zn
Samar LARBI 70
70
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Jour 1 2 3 4 5
Point E S E S E S E S E S
dchantillonnag
e
Concentration 4 2,16 1,5 2,05 3,33 2,5 2,9 1,47 0 0,1
(ppm)
4.5
3.5
Concentration en ppm
3
Variation des teneurs du
2.5 Zn l'entre de la
station
2 Variation des teneurs du
Zn la sortie de la
1.5 station
1
0.5
0
Jour 1 Jour 2 Jour 3 Jour 4 Jour 5
Les concentrations du Zinc ne dpassent pas les 4 ppm et elles sont infrieures au seuil
critique fix 5 ppm selon la norme NT 106.002.
Samar LARBI 71
71
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
courbe: Abs=f(C)
0.8
0.7
f(x) = 0.03x + 0.08
0.6 R = 1
0.5
Absorbance
0.4
Linear ()
0.3
0.2
0.1
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20 22
Concentration (ppm)
5- Chrome:
Comme le montre le tableau ci-dessus, nous avons les concentrations des chantillons
injects dans la SAAF afin de doser le Cr et la courbe illustre la variation, lentre et la
sortie de la station, des teneurs de cet lment durant la priode dchantillonnage.
Le tableau ci-dessus reprsente les diffrentes absorbances et concentrations enregistres pour le
Chrome
Tableau 10e: Les valeurs des concentrations et dabsorbances du Chrome
Concentration (ppm) Absorbance
5 0.264
10 0.434
20 0.720
Samar LARBI 72
72
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Courbe: Abs=f(C)
0.8
0.7
f(x) = 0.03x + 0.12
0.6 R = 1
0.5
Absorbance
0.4
Linear ()
0.3
0.2
0.1
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20 22
Concentration (ppm)
Jour 1 2 3 4 5
Point E S E S E S E S E S
dchantillonnag
e
Concentration 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
(ppm)
1
0.9
0.8
0.7
Concentration en ppm
Samar LARBI 73
73
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
6- Plomb:
Ce dernier tableau nous permet d'avoir une ide sur les concentrations des chantillons
injects dans la SAAF afin de doser le Pb et la courbe illustre la variation, lentre et la
sortie de la station, des teneurs de cet lment durant la priode dchantillonnage.
Courbe: Abs=f(C)
0.8
0.7
0.6 f(x) = 0.03x + 0.02
R = 1
0.5
Absorbance
0.4
Linear ()
0.3
0.2
0.1
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20 22
Concentration en ppm
Samar LARBI 74
74
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Elment Pb
Jour 1 2 3 4 5
Point E S E S E S E S E S
dchantillonnag
e
Concentration 0,03 0,01 0 0 0,02 0,01 0 0 0 0
0.06
0.05
0.04
Variation des teneurs du
Pb l'entre de la
0.03 station
Variation des teneurs du
Pb la sortie de la
0.02 station
0.01
0
1 2 3 4 5
Les concentrations du Plomb schelonnent entre 0,03 et 0,01 ppm. La norme NT 106.002
exige une valeur seuil de 1 ppm dans les rejets destins tre dverss dans les canalisations
publiques.
Les rsultats de la recherche des lments traces mtalliques ETMs dans
les eaux de rejets :
La recherche des ETMs pour les diffrents chantillons donne les principaux rsultats obtenus dans le
tableau suivant
Samar LARBI 75
75
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Elment dos Fe Ni Pb Cd Zn Cr
Point E S E S E S E S E S E S
dchantillonn
age
Jour 1 1 0 0 0 0 0 0, 0 4 2 0 0
, , , , , , 1 , ,
3 3 0 0 0 0 0 1
9 5 5 2 3 1 5 6
Jour 2 0 0 0 0 0 0 0, 0 1, 2 0 0
, . . 07 , 5 ,
7 7 0 0 0
3 0 3 3 5
Jour 3 0 0 0 0 0 0 0 0 3, 2 0 0
. , , , , 33 ,
1 1 0 0 0 5
3 3 2 1
Jour 4 0 0 0 0 0 0 0 0 2, 1 0 0
, , , 9 ,
2 0 0 4
1 1 7
Jour 5 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
, ,
5 1
La teneur des lments traces mtalliques doss dans les eaux uses industrielles, au niveau
de lentre et la sortie de la station de prtraitement, dpendent des mdicaments produits
durant la priode de lchantillonnage et aussi du fonctionnement de la STEP.
Les teneurs enregistrs en Fer montrent une valeur maximale de 1,39 ppm et une valeur
minimale nulle. Ces valeurs sont beaucoup plus infrieures celle fix par la norme.
Samar LARBI 76
76
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Les concentrations du Nickel dans les diffrents chantillons permettent de distinguer une
variation des taux du Ni entre 0 et 0,05 ppm. Ces concentrations sont infrieurs la
concentration limite gale 2 ppm.
Les concentrations du Plomb schelonnent entre 0,03 et 0,01 ppm. La norme tunisienne
exige une valeur seuil de 1 ppm dans les rejets destins tre dverss dans les canalisations
publiques.
Les concentrations du Cadmium montrent une valeur maximale de 0,1 ppm, gale au seuil
fix par la NT 106.002, enregistre au niveau de lentre du 1 er jour dchantillonnage. Par
contre on a dtct une absence de toute trace de Cd durant les 3 derniers jours.
Les concentrations du Zinc ne dpassent pas les 4 ppm et elles sont infrieures au seuil
critique fix 5 ppm.
Tout au long la priode dchantillonnage, aucune trace de Chrome na t dtcte par notre
systme.
Les rsultats obtenus du dosage des lments mtalliques traces dans les rejets industriels de
la SIPHAT lentre et la sortie de la station de prtraitement nous a apport les
indications suivantes :
Dans la plupart des rsultats, mme si lentre est charge en certains lments
mtalliques, les eaux uses prsentent des teneurs plus faibles en ETMs la sortie de la station
de la SIPHAT.la sortie va prsenteprsenter un teneur plus faible que celui de lentre.
Dans les autres cas o la concentration dun mtal lentre dpasse celle de la sortie,
celcela peut tre expliqu par le phnomnephnomne de ladsoptionadsorption des mtaux
par les boues dcantes au fond du bassin de dcantation .dcantation.
Ladsorption sexplique par la fixation des ETMs aux particules, constituant les boues,
par des liaisons faibles de type Van Der Waals. [Toubkal, 2012]
Les paramtres influenant le mcanisme dadsorption sont :
leffet de la masse de ladsorbant et de ladsorbat.
leffet du pH.
leffet de la concentration initiale en mtal.
leffet de la temprature.
leffet de la granulomtrie des particules constituantsde particules constituantes des boues.
Samar LARBI 77
77
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
I. Rsultats:
Figure 8: Chromatogramme tmoin OTC
Samar LARBI 78
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Samar LARBI 79
79
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Tableau 151: Concentrations des traces de lOTC trouves dans les chantillons (ppm).
Semaine 1 2 3 4 5 6
Entre ND- ND- ND- ND-
0.00,3.10-2 0.05,7.10
-2
Samar LARBI 80
80
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
4
Trace d'OTC en 10-2ppm
3
Traces de l'OTC
l'entre de la station
2
Traces de l'OTC la
sortie de la station
1
0
1 2 3 4 5
ne ne ne ne ne
ai ai ai ai ai
em em em em em
S S S S S
Samar LARBI 81
81
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Depuis ces trois donnes on peut admettre que lOTC possde un LogP ngatif et
donc cette molcule est considre hydrophile.
La faible liposolubilit diminue les risques de bioaccumulation .
dans les organismes
La solubilit de lOTC:
Daprs YALKOWSKY,SH & DANNENFELSER,RM (1992), la solubilit de lOTC est de
313 mg/L 25C qui est considre comme une solubilit trs limite.
Samar LARBI 82
82
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
En conclusion, la dgradation de lOTC dans les stations de prtraitement est possible et faisable.
Cette dgradation peut tre une photodgradation ou une hydrolyse, ces 2 voies de dgradation
peuvent tre catalyses en jouant sur quelques paramtres comme :
le renouvellement en oxygne.
le pH.
la temprature.
la teneur en cations divalents.
le temps de sjour des effluents dans la station.
les traitements des eaux uses industrielles utiliss (Ozonation, UV...).
Samar LARBI 83
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
CONCLUSION ET
PERSPECTIVES
Samar LARBI 84
84
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Le problme de la pollution des eaux par les ETMs et les rsidus des mdicament, en
particulier les antibiotiques, reprsente sans aucun doute un des aspects les plus inquitants
de la dgradation du milieu naturel., le phnomne de contamination par les eaux urbaines
ainsi que les eaux uses industrielles impose des traitements spcifiques pour chaque type de
pollution avant leur rejet dans le milieu rcepteur afin de ramener les teneurs en substances
polluantes au-dessous des normes fixes par lEtat et les organisation internationales de la
protection de lenvironnement. Pour grer rationnellement et matriser ce type dela
micropollution en ETMs, il faut contrler les rejets industiels et sassurer quil n' y a aucun
risque de e contamination du milieu naturel.
Dans ce projet, on a tudi en premier lieu le niveaudegr de contamination des eaux de
rejets de la SIPHAT en dterminant les teneurs deen six ETMs ( Fe, Cd, Ni, Zn, Cr, Pb )
dans les eaux uses industrielles par SAAF ( lentre et la sortie de la station) et ainsi, les
comparant avec les valeurs seuils fixes par la norme tunisienne NT 106.002 (1989). Les
rsultats taient tous satisfaisants et conformes la rglementation. En deuxime lieu, on a
dtrmin la prsence de lOTC dans les eaux uses industrielles et dans la mesure du possible
on l' a quantifi. lHPLC couple la SPE est la mthode quantitative de choix pour la
confirmation et le dosage des rsidus de lOTC.
On estime que lLa production et le rejet hydrique industrielusage intensif des antibiotiques
en mdecine humaine et vtrinaire prsentent deux consquences graves en matire
dimpact environnemental : la prsence de rsidus de molcules actives dans le milieu
aquatique et laugmentation de la slection de bactries antibiorsistantes.
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Pour la dtermination des rsidus de loxyttracycline dans les eaux de rejets de la SIPHAT,
lH.P.L.C. est la mthode quantitative de choix pour la confirmation et le dosage des rsidus de
lOTC. En Tunisie galement on ne possdepossde aucune norme ou rglementation qui
dfinissentt un seuil critique pourde lOTC dans les eaux de rejet ou dans le milieu
aquatique.
Aprs la dtctiondtectione dosage de cet antibiotique, on a tudi le comportement de son
rsidu dans la station de prtraitement . finalementEn se rfrant galement Finalement
dautres tudes, on a expliqu lses modes de dgradation de lOTC et les paramtres qui les
influenentinfluencent ( pH, temprature, profondeur de leau et la prsence des cations
mtalliques). On a cConclutconclu finalement finalement que la photolyse peut tre la voie
dominante de dgradation de l'OTCoxyttracycline dans leau.
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86
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Samar LARBI 87
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
BILAN
PERSONNEL
Jai eu la chance d'obtenir un stage dans le secteur pharmaceutique que je souhaitais
dcouvrir, en plus du fait de suivre une station de prtraitement des eaux uses industrielles et
de raliser des analyses environnementales. Ce stage ma aussi donn l'opportunit de
dcouvrir en partie la pharmacotoxicologie et ma permis de confirmer mon choix de
poursuivre mes tudes au-del de la licence.
Durant ce stage, jai eu loccasion de rutiliser une partie de mes connaissances pratiques
acquises au long de mes annes de licence. De plus, tout au long de ce stage, jai toujours t
bien entoure et bien encadre. Les explications ncessaires mont t donnes pour que je
puisse ensuite me dbrouiller seule dans la ralisation de mes manipulations. Cela ma permis de
m'affirmer et d'avoir plus de confiance en moi. Jai rapidement eu ma propre marge de
manuvre en ce qui concerne lorganisation du travail que javais raliser.
Par ailleurs, la bonne ambiance qui rgnait dans le dpartement Maintenance et Environnement
et dans les laboratoires du Contrle Qualit physico-chimique la SIPHAT ma permis de me
sentir laise ds les premiers jours. Ce stage ma appris dvelopper en moi lesprit dquipe
aussi bien que lautonomie.
Samar LARBI 1
1
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Bibliographie
Amouroux.I et al. , 2016, Avantages Et Limites Du Recours Aux BCF - BAF Pour Produire
Des Vge Mollusques quivalentes Aux Nqe Dfinies Dans Leau, lOffice National de lEau
et des Milieux Aquatiques (Onema),France
BOCALY.M , 2010, Impacts des substances pharmaceutiques sur leau et les milieux
aquatiques, AgroParisTech-ENGREF et lOffice National de lEau et des Milieux Aquatiques
(Onema).
HASSINE.K et al. , 2010, Les risques lies aux elements biologiques et mineraux des eaux
usees urbaines, Agence Nationale De Contrle Sanitaire Et Environnemental Des Produits
Tunis, Direction Rgionale De La Sant Publique De Bizerte.
KHARROUBI.N , 2014, Mise Au Point Dune Nouvelle Mthode Hplc-Spe Pour Le Dosage
Des Ultras Traces Des Ttracyclines Dans Les Eaux De Rejet De La Siphat, Projet de fin
dtude dun cycle ingnieur en Biologie Industrielle lINSAT.
Impacts des substances pharmaceutiques sur leau et les milieux aquatiques, bocaly melissa
mars 2010
Les risques lies aux elements biologiques et mineraux des eaux usees urbaines, khaled
hassine et ridha hamza
(agence Nationale De Contrle Sanitaire Et Environnemental Des Produits -Tunis**
Direction Rgionale De La Sant Publique De Bizerte)
Vers une comprhension mcanistique de la biocatalyse des composs pharmaceutiques
dans des matrices complexes par traitement fongique (trametes hirsuta)
, louns haroune, Octobre 2016
Les substances medicamenteuses rejetees dans les eaux usees urbaines, corvaisier
nolwenn
ZAVISKA.F et al. , Procds doxydation avance dans le traitement des eaux et des
effluents industriels: application la dgradation des polluants rfractaires, Volume 22,
numro 4, 2009, p. 461-573
Webographie
www.drugbank.ca /drugs/DB00595
www.chemaxon.com
http://www.vcclab.org/ Virtual Computational Chemistry Laboratory
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ISSTE/SIPHAT
YOUR TEXT
HEREANNEXE AB
NORMES ET LGISLATIONS
TUNISIENNES RELATIVES AU REJET
INDUSTRIEL
YOUR TEXT
HEREANNEXE A
LA NORME NT 106.002
Samar LARBI 5
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ISSTE/SIPHAT
Samar LARBI 10
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Le Code des Eaux N76-75, promulgu le 31 mars 1975 qui prvoit des mesures
propres la prvention de la pollution des ressources hydriques et traite en partie
des eaux marines.
Code des eaux Loi n16-75, du 31 mars 1975, portant promulgation du Code des
eaux. (JORT n 22, du 1er avril 1975, page 612). Chapitre VII. Effets nuisibles de
l'eauSection I.
o Lutte contre la pollution hydrique
Article 126 : L'limination de la pollution est la charge des utilisateurs et des
entreprises, des collectivits publiques, responsables de l'vacuation de leurs dchets dans
les eaux.
Article 129 : L'aide financire de l'Etat, accorde au dveloppement des industries est
assortie des conditions prvoyant notamment l'obligation de raliser des systmes
d'puration adquats.
Article 130 : Une aide financire de l'Etat, complte, le cas chant, par une aide
technique au fonctionnement des moyens d'puration des eaux rsiduaires, peut tre
accorde pour la ralisation d'installation de traitement d'eaux rsiduaires.
Les conditions de contrle de l'efficacit de l'puration des rejets sont dfinies par des
conventions entre l'Etat et les matres d'ouvrage bnficiant ventuellement de l'aide de celui-ci
pour la ralisation des stations d'puration.
Article 131 : Les entreprises qui construisent ou font construire des immeubles destins
l'puration des eaux industrielles peuvent pratiquer, ds l'achvement de ces
constructions, un amortissement exceptionnel de 50 % de leur prix de revient.
La valeur rsiduelle des immeubles est amortissable sur leur dure normale d'utilisation.
Article 134 : Tout dversement d'eaux rsiduaires, autres que domestiques, dans les gouts
publics doit tre pralablement autoris par le Ministre de l'Agriculture aprs avis
de la collectivit laquelle appartiennent les ouvrages qui sont emprunts par ces eaux
uses avant de rejoindre le milieu naturel. Ce dversement, aprs autorisation, peut tre
subordonn notamment un prtraitement individuel ou le cas chant, collectif.
Dans ce dernier cas, et s'il est constat une dfaillance la ralisation des ouvrages de
prtraitement, l'Administration se rserve le droit, aprs mise en demeure pralable, d'effectuer
Samar LARBI 11
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
les ouvrages prcits aux frais des intresss qui sont en outre tenus de participer aux dpenses
d'entretien et d'exploitation des ouvrages en question.
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ISSTE/SIPHAT
ANNEXE BC
GAMMES TALONS UTILISES POUR
LE DOSAGE PAR SAAF
Samar LARBI 13
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ISSTE/SIPHAT
1) Nickel
courbe : Abs=f(C)
0.8
0.7
f(x) = 0.03x + 0.09
0.6 R = 1
0.5
Absorbance
0.4
Linear ()
0.3
0.2
0.1
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20 22
concentration (ppm)
2) Cadmium
Samar LARBI 14
14
Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Courbe : Abs=f(C)
0.8
0.7
f(x) = 0.03x + 0.12
0.6 R = 1
0.5
Absorbance
0.4
Linear ()
0.3
0.2
0.1
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20 22
Concentration ( ppm)
0.4
Linear ()
0.3
0.2
0.1
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20 22
Concentration (ppm)
4) Zinc
Tableau 12 : : Les concentrations des standards et leurs absorbances du Zinc
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
courbe: Abs=f(C)
0.8
0.7
f(x) = 0.03x + 0.08
0.6 R = 1
0.5
Absorbance
0.4
Linear ()
0.3
0.2
0.1
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20 22
Concentration (ppm)
5) Chrome
Tableau 13 : Les concentrations des standards et leurs absorbances du Chrome
Concentration (ppm) Absorbance
5 0.264
10 0.434
20 0.720
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Projet de fin dtudes
ISSTE/SIPHAT
Courbe: Abs=f(C)
0.8
0.7
f(x) = 0.03x + 0.12
0.6 R = 1
0.5
Absorbance
0.4
Linear ()
0.3
0.2
0.1
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20 22
Concentration (ppm)
Courbe: Abs=f(C)
0.8
0.7
0.6 f(x) = 0.03x + 0.02
R = 1
0.5
Absorbance
0.4
Linear ()
0.3
0.2
0.1
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20 22
Concentration en ppm
Samar LARBI 17
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ISSTE/SIPHAT
YOUR TEXT
HEREANNEXE CD
CONCEPTION DE LA NOUVELLE
STATION
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ISSTE/SIPHAT
)(
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:
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