Urgence Veterinaire Geneve

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Les chiens et les chats qui sont présentés au veterinaire de garde Geneve lors d’urgences
veterinaires Geneve manifestent toutes sortes de pathologies. Certains animaux ont peut être déjà
été soignés dans une clinique vétérinaire  Genève quelques jours auparavant. Puis soudainement
le problème s’empire lorsque la clinique vétérinaire de Genève est fermée. Il faut alors appeler
SOS vétérinaire ou trouver de toute urgence  un vétérinaire de nuit. Lorsque les jours féries se
suivent, il n’est pas rare que le veto de garde change a plusieurs reprises. Ainsi un animal malade
peut être amener à voir plusieurs  vétérinaires de garde Genève ou même plusieurs cliniques
vétérinaires Genève. Souvent le vétérinaire de garde  qui reçoit ainsi votre animal  malade a bien
du mal à se rendre compte de l’évolution de la maladie puisque les examens et les soins
précédents ont été faits dans une autre clinique vétérinaire de Genève part un autre vétérinaire de
garde.

Beaucoup de propriétaires de chiens et de chats préfèrent choisir un vétérinaire qui assure lui
même les urgences vétérinaires pour ses propres patients. Ainsi ils sont assurés que tous les soins
sont prodigués dans la même clinique vétérinaire par le vétérinaire qui suit l’animal tout au cours
de l’année. C’est un grand soulagement de voir des visages que l’on connaît dans un
environnement familier lorsqu’une urgence vétérinaire survient. C’est un réel réconfort tant pour
vous que pour votre animal.

Voici quelques exemples d’urgences vétérinaires Genève:

Diarrhée
La diarrhée est une manifestation clinique qui peut
s'exprimer à tout moment de la vie d'un animal :
chez le chiot ou le chaton, les troubles
digestifs connaissent volontiers des formes aiguës
dont l'évolution peut être très favorable ou
mortelle. Chez l'adulte, la diarrhée peut aussi perdurer des
semaines ou des mois, et nécessiter un grand nombre
d'examens complémentaires avant qu'un diagnostic précis soit
émis. En effet, la diarrhée chez les carnivores domestiques
résulte potentiellement d'un très grand nombre de perturbations
d'origine métabolique ou de lésions strictement digestives
d'étiologie variée.
Après un bref énoncé des
particularités
cliniques et des
mécanismes
physiopathogéniques générateurs de la diarrhée, le but
de cet article est de proposer une démarche diagnostique cohérente au clinicien.
Cette démarche doit s'intégrer dans un contexte clinique précis, distinguant la diarrhée aiguë de
la diarrhée chronique, ces deux entités nécessitant une séquence d'examens complémentaires et
des protocoles thérapeutiques différents.
Extrait de : Diarrhée chez les carnivores domestiques
Dr Valérie Freiche : Docteur vétérinaire, chargée de consultation vacataire en gastro-
entérologie .Unité pédagogique de médecine, école nationale vétérinaire d'Alfort, 7, avenue du
Général-de-Gaulle, 94704 Maisons-Alfort cedex France

Intoxications
Lors d'intoxications, il est indispensable d'instaurer aussi rapidement que possible un traitement,
car la vie de l'animal en dépend ; il n'est en général pas question d'attendre la confirmation du
laboratoire d'analyse. Aussi, même dans l'impossibilité de mettre en place un traitement
spécifique, un traitement général d'urgence, non spécifique, s'avère indispensable pour tenter de
sauver l'animal.
Ce traitement non spécifique peut être appliqué pour la plupart des toxiques, indépendamment de
leur nature. Il sera complété si possible par un traitement spécifique, dans la mesure où un
diagnostic étiologique aura pu être établi. Ce traitement d'urgence doit avoir plusieurs buts :
préserver les fonctions vitales de l'organisme, empêcher toute résorption supplémentaire de
toxique qui ne serait pas encore parvenu dans la circulation générale, éliminer le toxique déjà
résorbé dans l'organisme. Ce traitement doit s'accompagner de mesures préventives pour limiter
tout contact ultérieur avec le toxique et empêcher le renouvellement de l'intoxication.
Le traitement d'urgence a pour but de protéger les fonctions vitales de l'organisme et de
combattre éventuellement les troubles cliniques, notamment les convulsions qui peuvent mettre
en péril la vie de l'animal. Il importe tout particulièrement de mettre en œuvre une assistance
respiratoire, une assistance cardiovasculaire, de contrôler la température corporelle et de
supprimer les convulsions

Suppression de la résorption du toxique


Les voies digestives et cutanées sont les deux
principales voies d'entrée des toxiques chez l'animal. Un
certain nombre de moyens thérapeutiques peuvent être
mis en œuvre pour éviter la pénétration dans la
circulation générale du toxique présent soit dans le
tractus digestif, soit à la surface du tégument.
Arrêt de la résorption digestive du toxique
On peut limiter la résorption digestive du toxique
soit en favorisant sa sortie du tractus digestif, soit
en le neutralisant dans le tube digestif. La dilution
du toxique dans le tube digestif avec du lait ou de
l'eau est en règle générale à proscrire. Le lait a la fausse
réputation de posséder un pouvoir antitoxique, c'est-à-dire de neutraliser les toxiques. En réalité,
il favorise au contraire la résorption des toxiques liposolubles en facilitant leur mise en solution.
L'eau n'est indiquée que pour diluer les substances très corrosives.
Vidange du tractus digestif
La vidange du tractus digestif consiste à vider l'estomac et/ou à accélérer le transit digestif pour
limiter la résorption digestive du toxique.
Élimination du toxique
Il faut par ailleurs favoriser l'élimination du toxique présent dans l'organisme. En pratique, on
peut accroître l'élimination rénale du toxique et, en cas d'insuffisance ou d'atteinte rénale sévère,
y suppléer par le recours à la dialyse péritonéale.
Élimination rénale du toxique
La voie rénale est l'une des voies majeures d'élimination des déchets de l'organisme et des
xénobiotiques. Lors d'intoxication, on peut favoriser cette excrétion rénale, en augmentant la
diurèse et souvent aussi en modifiant le pH des urines pour limiter la réabsorption tubulaire
passive de certains toxiques.
Extrait de : Traitement général des intoxications chez les carnivores domestiques. Jean-
Dominique Puyt : Professeur, Gérard Keck : Professeur

Pyomètre de la chienne

Le pyomètre ou « complexe pyomètre/hyperplasie glandulokystique de l'endomètre » est une


affection particulièrement fréquente chez la chienne. Consécutif à un dysfonctionnement du
métabolisme de la progestérone, il est observé pendant la phase lutéale du cycle sexuel de la
chienne et caractérisé par la présence de pus en grande quantité dans la lumière utérine. La
symptomatologie n'étant pas univoque, des examens complémentaires sont nécessaires pour
confirmer le diagnostic qui doit être établi précocement pour prétendre obtenir la guérison.
L'évolution est en effet rapide et de très mauvais pronostic. Le traitement classique est
l'ovariohystérectomie

Extrait de : Pyomètre de la chienne (Complexe pyomètre/hyperplasie glandulokystique de


l'endomètre) C. Dumon: Docteur vétérinaire
161, chemin de plateaux, 78520 Saint-Martin-la-Garenne, France 

Manifestations cutanées des maladies internes du chien

Les manifestations cutanées des maladies internes commencent à être bien connues chez le
chien, même si leur étiologie et leur pathogénie ne sont pas toujours élucidées. Elles sont d'une
très grande diversité clinique et en relation avec des maladies internes variées. Leur connaissance
est importante car ces lésions cutanées entrent dans de nombreux diagnostics différentiels et
apparaissent, pour certaines, précocement avant les symptômes de la maladie interne sous-
jacente. Enfin, certaines de ces manifestations cutanées constituent des syndromes
paranéoplasiques cutanés. Sont envisagées la dermatofibrose nodulaire, l'érythème nécrolytique
migrant, la dermatomyosite, les calcinoses, les amyloses, les xanthomes cutanés, le syndrome
d'automutilation podale et le syndrome syringomyélie.
Extrait de : Manifestations cutanées des maladies internes du chien
E. Guaguère, T. Hubert, A. Muller
Clinique Saint-Bernard, 598, avenue de Dunkerque, F, 59160 Lomme, France 
Clinique Saint-Bernard, 598, avenue de Dunkerque, F, 59160 Lomme, France 
Clinique Saint-Bernard, CHRU, Inserm Erit-m 0106, 1 place de Verdun, 59045 Lille, France 

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