La Vie sur les Autres Planètes

TABLES DES MATIÈRES

A VIE SUR LES AUTRES PLANÈTES

INTRODUCTION

Première Partie: LA LUNE

1. L'ÂGE ET L'ORIGINE DE LA LUNE

LE MAGNÉTISME, MÈRE DE LA FORME

LES CHAMPS MAGNETIQUES LUNAIRES

2. LA VIE SUR LA LUNE

L'HUMANITE LUNAIRE

LES COURANTS VITAUX ET LEURS RONDES L'OEUF ET LE SERPENT

L'APOGEE DE L'HOMME DE LA LUNE

L'INDIVIDUALISATION SUR LA LUNE

CARACTÉRISTIQUES DE L'HUMANITÉ LUNAIRE TOUJOURS PRÉSENTES CHEZ L'HOMME TERRESTRE

Caractéristiques psychologiques

3. LA DISSOLUTION DE LA LUNE

LE VAMPIRISME ENVERS LA LUNE

L'ORIGINE DU MAL PLANÉTAIRE LE 'GARDIEN' DE L'HUMANITÉ

Deuxième Partie: MARS

1. EXISTE-T-IL UNE VIE SUR MARS ? QUELQUES FAITS SCIENTIFIQUES ET COMMENTAIRES ÉSOTÉRIQUES

MAGNÉTISME MARTIEN

DÉPLACEMENT DE L'ORBITE DE MARS

L’ATMOSPHÈRE DE MARS

LES MERS DE MARS

LA FIN DE LA VIE SUR MARS

2. MARS ET LA SCIENCE ÉSOTÉRIQUE MÉTHODES ÉSOTÉRIQUES DE RECHERCHE

LA TERRE COMME (MÈTRE DE) MESURE DE LA VIE

LES ANNALES AKASHIQUES

3. LE FUTUR DE MARS

LA PROCHAINE RONDE SUR MARS

MARS ET LA CHIMIE OCCULTE

Propriétés connues de l'anhydride de carbone

Point de vue ésotérique

L'ASTROLOGIE ÉSOTÉRIQUE

Troisième Partie APPENDICES

LES DIX SCHÉMAS PLANÉTAIRES DU SYSTÈME SOLAIRE

COSMOGÈNÈSE

APPENDICE 2

LES DIX PLUS GRANDES DÉCOUVERTES SCIENTIFIQUES FAITES LORS DES MISSIONS APOLLO SUR LA LUNE

LA RECHERCHE SUR LA LUNE CONTINUE

APPENDICE 3

LE PRÂNA

APPENDICE 4

LA VIE SUR LA CHAINE LUNAIRE

EXTRAITS DE L'HOMME, D'OU IL VIENT ET OÙ IL VA, DE C.W. LEADBEATER

APPENDICE 5

ANCIENNES MORPHOLOGIES DE L'HUMANITÉ LUNAIRE

APPENDICE 6

LES VOLCANS DE MARS

ÉPILOGUE

L'HISTOIRE DES TROIS INDIENS AVEUGLES

A VIE SUR LES AUTRES PLANÈTES

Titre original

Life on Other Planets

Par

Dr. Douglas M. Baker

B.A., M.R.C.S., L.R.C.P.

© Copyright 1996 Douglas Baker

Little Elephant, High Road

Essendon, Herts. England

Première édition imprimée française 1999

© Copyright 1997 Edizioni Crisalide

Via Campodivivo, 43

04020 Spigno Saturnia (LT)- Italie

ISBN 9788871838106

Graphisme : BRUNO IRM1CI

Il s’agit du seul livre numérique (e-book)

autorisé de l’édition imprimée.

© Copyright Dr. Douglas M. Baker 2011

Édité par Baker eBooks Publishing

ISBN 9781625690692

Plusieurs conférences audio et certaines des images et diagrammes utilisés ici peuvent être gratuitement téléchargés en HD (haute définition) depuis notre site Web https://www.douglasbaker.org.

La loi du 11 mars 1957 n'autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3 de l'article 41, d'une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste e! non destinées à une utilisation collective et, d'autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d'exemple et d'illustration, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, esi illicite.

Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal.

Pour ce livre et d'autres livres imprimés

par Dr. Baker en français, n'hésitez pas à

vous rendre sur: www.crisalide.com

dédié à

À Hassan Issa

Ne te demande pas : « Est-ce offensant, ce que je lis ? »

Si ce que tu lis n 'est pas vrai, inutile de t'en offusquer.

Si par contre, c'est vrai, s'en offusquer serait ridicule.

PREFACE A L'EDITION FRANÇAISE

Avec cette édition des œuvres de Douglas Baker, le public français a, lui aussi, la possibilité d'accéder à la vaste source d'illumination que ses enseignements constituent.

Le genre humain est plongé dans le flot immense de l'évolution, qui l'entraîne inexorablement vers un nouveau règne de la Nature, le cinquième, le règne de l'âme.

Quelques hommes, très peu cependant, assument la responsabilité personnelle d'accélérer délibérément ce processus évolutif. Ce sont ceux qui ont déjà entendu, plus ou moins clairement, la voix de leur âme, la voix du silence.

Cette voix leur demande instamment de hâter le pas sur le sentier du retour à l'origine. Qui l'a entendue une fois déjà, ne peut plus l'ignorer, sous peine de perdre la signification de sa propre vie.

À ceux-là, les enseignements de Douglas Baker se révéleront d'une grande utilité. Grâce à eux, ils pourront acquérir une connaissance exacte de la véritable nature de l'homme et de l'univers, ainsi qu'une méthode d'une valeur inestimable, leur permettant d'établir un dialogue stable et significatif entre leur personnalité et leur âme, leur Être Véritable.

Raffaele Iandolo

Éditeur de l’édition imprimée

PRÉFACE

D'un jour à l'autre, le mode de penser de millions de personnes a subitement changé. Ce que certains ont proclamé à tous vents, pendant des siècles et des siècles, sans être écoutés, semble tout à coup absolument normal et naturel : la vie extraterrestre existe. La NASA cibla le phénomène, et avec l'aide du président Clinton, la « vie dans l'espace » est devenue une réalité officielle.

Naturellement, une bonne moitié de la communauté scientifique savait déjà depuis dix ans que dans l'Antarctique, sur des météorites que le retrait des glaciers avaient laissées à découvert, on avait trouvé des cellules fossiles. De telles cellules, comme il a été maintes fois affirmé, n'avaient rien en commun avec une quelconque forme de vie terrestre. Ceci laissait la place à des quantités de spéculations sur Mars et sur la Lune, mais des échantillons de roches provenant de ces planètes avaient déjà été examinés, sans que la moindre trace de vie n'y ait été trouvée.

Sans vouloir paraître trop cynique, il me semble justement qu'aux États-Unis, à la veille des élections, cet intérêt soudain pour la « vie dans l'espace » se soit révélé d'une aide inattendue : pour Clinton, qui est à la recherche désespérée de popularité, et pour la NASA, qui, par contre, est à la recherche désespérée de fonds. Cependant, la science ésotérique qui affirme cette vérité depuis des siècles, n'est pas particulièrement enchantée de cette contribution de la science orthodoxe. Au cours de ces quarante-cinq dernières années, j'ai fait des conférences dans le monde entier au sujet de la vie sur les autres planètes, et je n'ai jamais manqué de remarquer le silence qui tombe sur le public dès que l'on mentionne des preuves scientifiques. À l'idée de la découverte d'autres formes de vie, tous les yeux s'écarquillent.

De tout temps, certains se sont demandé : « Qui sommes-nous ?... Sur cette planète minuscule, perdue comme un petit grain de sable sur les plages de l'univers... Sommes-nous seuls ? Ou bien, y a-t-il aussi, à l'extérieur, des planètes habitées comme la nôtre ? » Aujourd'hui, la science confirme l'existence de centaines de milliers de systèmes solaires avec des planètes comme la nôtre, capables de générer un type de vie semblable à celui de la Terre.

Si ceci est vrai, nous devons nous demander, sans arrogance, si les civilisations de l'espace ont atteint le même niveau de développement que nous. Si l'humanité se trouve à un niveau de développement moyen, des systèmes bien plus avancés que le nôtre doivent exister. Penser à la technologie que peuvent avoir développée des civilisations de milliers ou de millions d'années en avance sur nous donne le vertige. Pour de telles civilisations, l'émission ou la réception de signaux radio doit être un jeu d'enfants. Eh bien, la Terre envoie depuis longtemps dans l'espace des messages radio, en expliquant qui nous sommes, quelle est notre position dans la galaxie, quel est notre aspect, demandant une réponse. La transmission dure désormais depuis plus de quarante ans, sans qu'il y eut même l'ombre d'une réponse !

Les autres civilisations technologiquement avancées ne se posent-elles pas les mêmes questions que nous ? La réponse à cette énigme pourrait être que de telles civilisations ont peut-être déjà atteint et dépassé le niveau où la majorité des habitants s'est rendue compte, grâce à de continuelles renaissances (spirituelles) et de réincarnations (physiques, sur des globes de type D dans une quantité de galaxies), de sa propre immortalité. Et pour quelle raison des êtres immortels devraient-ils prêter attention à des civilisations comme la nôtre, dont les membres ne sont pas encore arrivés à comprendre qu'àl'intérieur d'eux-mêmes brûle l'étincelle divine de la Monade ? Pour le dire plus simplement, supposons que le lecteur soit un de ces êtres immortels qui, se promenant dans son jardin, tandis qu'il se dirige vers le portail, remarque tout à coup une petite fourmilière. C'est un phénomène très courant, qui ne s'arrêtera ni pour empêcher l'activité des fourmis (en versant, par exemple, de l'eau sur la fourmilière), ni pour les aider, en ôtant des cailloux de leur chemin. Pourquoi devrait-il le faire ? Les fourmis s'en sortent très bien toutes seules, sans aucune espèce d'interférence.

Il est inutile de s'attendre à de l'aide de la part de civilisations plus avancées que la nôtre. Nous méritons le bon karma résultant du dépassement par nous-mêmes de nos difficultés. Certains d'entre nous, grâce à des expériences personnelles, sont déjà conscients du fait qu'ils sont immortels, et peuvent dire, avec Bertrand Russell :

« Nous, immortels, nous sommes joyeux ! »

Nous qui avons le temps de nous demander qui nous sommes, d'où nous venons, pourquoi nous sommes ici et ce que le futur nous réserve, nous sommes engagés à aborder un autre problème. Quand j'étudiai - dans ce que nous appelons, dans la tradition ésotérique, le cours d'apprentissage, et, en Occident, l'école supérieure - toute la litanie de la théorie évolutionniste de Darwin, l'idée que le cerveau humain a pu évoluer et s'organiser selon les mécanismes de la sélection naturelle me laissait très sceptique. Personne aujourd'hui ne nie que la pensée humaine est une espèce d'ordinateur, et je voudrais souligner qu'il s'agit d'un ordinateur tellement parfait que pas même les efforts conjoints de tous les savants de la Terre, prolongés pendant cent ans, ne pourraient en produire un semblable. Et devons-nous croire qu'un objet aussi extraordinaire ait évolué à partir d'une simple fange primordiale qui se serait déposée sur le rivage des mers il y a trois milliards d'années ? Ou bien que la combinaison fortuite d'un groupe d'acides, en donnant naissance aux protéines, avec, évidemment, l'aide des forces naturelles telles que les éclairs ou les rayons cosmiques, ait généré une formule capable de dépasser tous les cataclysmes géophysiques jusqu'à nos jours ? Et qu'une telle formule ait ensuite donné naissance à un brillant cerveau-ordinateur comme celui de l'homme