05/06/2008
Chanson française
Les disques, appareil phonographiques et affiches de films musicaux composent cette rétrospective.
Avec tous les chanteurs qui parcourent la blogosphère, je me devais de noter cette exposition
At the moment there is an exhibition about french song in the library.
Some discs, phonographs and musical film posters compose this show.
With all the singers who scroll through the blogosphere, I had to note this cultural event.
16/05/2008
Le temps des cerises
Quand nous chanterons le temps des cerises
Et gai rossignol et merle moqueur
Seront tous en fête
Les belles auront la folie en tête
Et les amoureux du soleil au cœur
Quand nous chanterons le temps des cerises
Sifflera bien mieux le merle moqueur
Mais il est bien court le temps des cerises
Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant
Des pendants d'oreilles
Cerises d'amour aux robes pareilles
Tombant sous la feuille en gouttes de sang
Mais il est bien court le temps des cerises
Pendants de corail qu'on cueille en rêvant
Quand vous en serez au temps des cerises
Si vous avez peur des chagrins d'amour
Evitez les belles
Moi qui ne crains pas les peines cruelles
Je ne vivrai pas sans souffrir un jour
Quand vous en serez au temps des cerises
Vous aurez aussi des peines d'amour
J'aimerai toujours le temps des cerises
C'est de ce temps-là que je garde au cœur
Une plaie ouverte
Et Dame Fortune, en m'étant offerte
Ne saura jamais calmer ma douleur
J'aimerai toujours le temps des cerises
Et le souvenir que je garde au cœur
[Suit un couplet supplémentaire, écrit par Francis Lemarque, qu'il chanta en 1990 sur scène avec Léo Ferré, pour fêter les 70 ans du Parti Communiste]
«Lorsque coulera le sang des cerises,
Les chansons d'hier, les mots de demain
Deviendront tempête.
Les voltes d'amour toujours se répètent,
Changeront un jour ce monde inhumain.
Lorsque coulera le sang des cerises,
Jamais plus la vie ne tendra la main.»
When we sing the time of cherries And merry nightingale and blackbird mocker Will be all celebrates the beautiful ones will have the madness at the head And the in love ones with the sun in the heart When we sing the time of the Sifflera cherries well better the blackbird mocker But it is quite short the time of cherries Where one from there two will gather oneself by dreaming Of hanging of Cerises ears of love with the similar dresses Falling under the sheet in drops from blood But it is quite short the time of the Pendants cherries of coral that one picking by dreaming When you are in the the time of cherries If you are afraid of the unhappy love affairs Evitez beautiful Ego which do not fear not the cruel sorrows I will not live without suffering one day When you is in the the time of cherries You have as sorrows of love I always like the time of cherries It is EC time as I keep in the heart an open wound And Rams Fortune, while me being offered will not be able to never calm my pain I will always like the time of cherries And the memory which I keep in the heart [ Follows an additional verse, written by Francis Lemarque, which it sang in 1990 on scene with Léo Ferré, to celebrate the 70 years of the Communist Party ] "When the blood of cherries runs, the songs of yesterday, them The voltes of love always are repeated, Changeront one day this world inhuman. When the blood of cherries runs, Jamais more the life will not tighten the hand."
03/10/2007
Dead leaves #5
Oh je voudrais tant que tu te souviennes Cette chanson était la tienne C'était ta préférée, je crois Qu'elle est de Prévert et Kosma Et chaque fois les feuilles mortes Te rappellent à mon souvenir Jour après jour les amours mortes N'en finissent pas de mourir Avec d'autres bien sûr je m'abandonne Mais leur chanson est monotone Et peu à peu je m'indiffère A cela il n'est rien à faire Car chaque fois les feuilles mortes Te rappellent à mon souvenir Jour après jour les amours mortes N'en finissent pas de mourir Peut-on jamais savoir par où commence Et quand finit l'indifférence Passe l'automne vienne l'hiver Et que la chanson de Prévert Cette chanson, Les Feuilles Mortes S'efface de mon souvenir Et ce jour là, mes amours mortes En auront fini de mourir | Oh I would like as much as you remember This song was holds it It your was preferred, I believe That it is of Prévert and Kosma And each time dead sheets Te recall to my memory Day after day dead loves Do not finish any dying With other of course I give up myself But their song is monotonous And little by little I indiffère With that it is nothing to make Because each time dead sheets Te recall to my memory Day after day dead loves Do not finish any dying Can one never know with where starts And when the indifference finishes Pass the autumn comes the winter And that the song of Prévert This song, Dead Sheets Be erased my memory And this day there, my dead loves In will have finished dying |
11/09/2007
Envol #4
Paroles et Musique: Barbara
Paroles et Musique: Barbara
Un beau jour, ou peut-être une nuit, Près d'un lac je m'étais endormie, Quand soudain, semblant crever le ciel, Et venant de nulle part, Surgit un aigle noir, Lentement, les ailes déployées, Lentement, je le vis tournoyer, Près de moi, dans un bruissement d'ailes, Comme tombé du ciel, L'oiseau vint se poser, Il avait les yeux couleur rubis, Et des plumes couleur de la nuit, A son front brillant de mille feux, L'oiseau roi couronné, Portait un diamant bleu, De son bec il a touché ma joue, Dans ma main il a glissé son cou, C'est alors que je l'ai reconnu, Surgissant du passé, Il m'était revenu, Dis l'oiseau, ô dis, emmène-moi, Retournons au pays d'autrefois, Comme avant, dans mes rêves d'enfant, Pour cueillir en tremblant, Des étoiles, des étoiles, Comme avant, dans mes rêves d'enfant, Comme avant, sur un nuage blanc, Comme avant, allumer le soleil, Etre faiseur de pluie, Et faire des merveilles, L'aigle noir dans un bruissement d'ailes, Prit son vol pour regagner le ciel, Quatre plumes couleur de la nuit Une larme ou peut-être un rubis J'avais froid, il ne me restait rien L'oiseau m'avait laissée Seule avec mon chagrin Un beau jour, ou peut-être une nuit, Près d'un lac, je m'étais endormie, Quand soudain, semblant crever le ciel, Et venant de nulle part, Surgit un aigle noir, Un beau jour, une nuit, Près d'un lac, endormie, Quand soudain, Il venait de nulle part, Il surgit, l'aigle noir... | One fine day, or perhaps a night,
02/09/2007
Dis, quand reviendras-tu ? #3
Dis, quand reviendras-tu ? Paroles et Musique: Barbara | |
Voilà combien de jours, voilà combien de nuits, Voilà combien de temps que tu es reparti, Tu m'as dit cette fois, c'est le dernier voyage, Pour nos cœurs déchirés, c'est le dernier naufrage, Au printemps, tu verras, je serai de retour, Le printemps, c'est joli pour se parler d'amour, Nous irons voir ensemble les jardins refleuris, Et déambulerons dans les rues de Paris, Dis, quand reviendras-tu, Le printemps s'est enfui depuis longtemps déjà, Dis, quand reviendras-tu, J'ai beau t'aimer encore, j'ai beau t'aimer toujours, Dis, quand reviendras-tu, | Here are how much days, here are how much nights, Here is how long that you set out again, You said to me this time, it is the last voyage, For our torn hearts, it is the last shipwreck, In spring, you will see, I will be back, Spring, it is pretty to speak itself about love, We will see the gardens refleuris together, And will saunter in the streets of Paris, Say, when you return, Spring fled for a long time already, Say, when you return, I still love you in vain, I always love you in vain, Say, when you return, |
14/07/2007
Mon pote Léo #2
Regarde-les ces suicidés qui déambulent Boulevard des Ritals à Paris, samedi "C'est au vert, vas-y camarade ! Sur l'autoroute il y a des songes Des coureurs au long cours et qui freinent Et qui rongent leurs freins malades C'est l'automne, vas-y camarade !" T'as d'beaux yeux, tu sais ? Quand ils sont verts j'y vais cueillir la pâquerette Quand ils sont bleus j'y plonge au fond de leur marine Quand ils sont noirs j'y prends le deuil de ma voisine Quand ils sont mauves alors j'y cueille ta violette T'as d'beaux yeux, tu sais ? Regarde... Regarde... Regarde-les ces suicidés qui déambulent Boulevard des Ritals à Paris, samedi Je les vois dans un grand panier Au bras d'une géante noire Aux cheveux noirs en voile rouge Elle passe sur moi sur la marge et ça bouge Et sa chatte comme un arc-en-ciel me fait "minou" La chatte de la Mort la nuit Ne ronronne jamais... T'as d'beaux yeux, tu sais ? Regarde... Regarde... Mais Regarde ! Quand ils sont verts j'y vais m'inscrire à l'espérance Quand ils sont bleus je me prends pour ton capitaine Quand ils sont noirs je t'y plonge et puis t'y ramène Quand ils sont mauves alors mon carême commence T'as d'beaux yeux, tu sais ? Regarde... Regarde Le carême de la Camarde Ca commence quand tu regardes La chatte de Paris la nuit je la vois quand tes yeux sont gris Regarde... Regarde... Elle se fait enverguer par des prolos au ventre triste Qui s'en vont aux urgences jerker avec l'URSSAF | Look at them these committed suicide which saunter Boulevard of the Wops in Paris, Saturday "It is with the green, go ahead comrade! On the motorway there are dreams Runners with the long course and which slows down And which corrodes their sick brakes It is the autumn, go ahead comrade!" Beautiful eyes, you have you know? When they are green I there will gather the daisy When they are blue I plunge there at the bottom of their marine When they are black I take the mourning of my neighbor there When they are mauve then I y picking your violet Beautiful eyes, you have you know? Look at… Look at… Look at them these committed suicide which saunter Boulevard of the Wops in Paris, Saturday I see them in a large basket With the arm of a black giantess With the black hair in red veil She passes on me on the margin and that moves And its she-cat like a rainbow makes me "pussy" The she-cat of Dead the night Never hum… Beautiful eyes, you have you know? Look at… Look at… But Look at! When they are green I there will be registered with the hope When they are blue I am caught for your captain When they are black I plunge you there and then brings back for you there When they are mauve then my Lent starts Beautiful eyes, you have you know? Look at… Look at The Lent of Camarde Ca starts when you look at The she-cat of Paris the night I see it when your eyes are gray Look at… Look at… It is made enverguer by proles with the sad belly Who from go away to the urgencies jerker with the URSSAF |
04/06/2007
La foule (Song #1)
The crowd song by Edith PIAF
Je revois la ville en fête et en délire
Suffoquant sous le soleil et sous la joie
Et j'entends dans la musique les cris, les rires
Qui éclatent et rebondissent autour de moi
Et perdue parmi ces gens qui me bousculent
Étourdie, désemparée, je reste là
Quand soudain, je me retourne, il se recule,
Et la foule vient me jeter entre ses bras...
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux.
I re-examine the city celebrates some and is delirious about it
Suffocating under the sun and under the joy And I hear in the music
the cries, the laughter Which bursts and rebounds around me And lost
among these people who hustle me Étourdie, disabled, I remain When
sudden there, I am turned over, it is moved back, And crowd comes to
throw me between her arms...
Carried by the crowd which trails us involves Us Écrasés one
against the other We form one body And the flood without effort pushes
Us, connected one and the other And leave us both Épanouis, enivrés
and happy.
Involved by the crowd which springs And which dances an insane
farandole Our two hands remain welded And sometimes raised Our two
intertwined bodies fly away And fall down both Épanouis, enivrés and
happy...
And the joy splashed by its smile transpierces Me and flashes
back at the bottom of me But suddenly I push a cry among the laughter
When crowd comes to tear off it among my arms...
Carried by the crowd which trails us involves Us moves away Us
one from the other I fight and I debates But the sound of its voice is
choked in the laughter of the others And I shout of pain, of fury and
of rage And I cry...
Involved by the crowd which springs And which dances an insane
farandole I am carried with far And I contract my fists,
cursing the crowd which steals me the man that it had given me
And that I never found...