Trésor

Après avoir mis en lumière, en 2006, un groupe de tétartémoria à « la tête d'homme de race noire » (groupe Ja) venu se rajouter à celui des hémioboles au même type de la phase B archaïque de la Marseille grecque (groupe J du trésor d'Auriol), nous présentons un hémiobole qui offre la spécificité d'avoir été frappé, au droit, par le coin utilisé pour le groupe de tétartémoria. Cette rare spécificité n'avait encore jamais été rencontrée au sein de ce monnayage.

El lector encontrará, al abrir este libro en que se
cruzan los caminos de la literatura oral, la
historiografía, la historia oral y la etnoarqueología, un
precioso repertorio de leyendas y noticias de tesoros
ocultos que fue registrado de la tradición oral de
Castellar de Santiago (Ciudad Real), acompañado de
un denso estudio filológico-comparatista.
Se traza después, sumando las voces de los
descubridores y de sus familiares, la crónica del
hallazgo de tres tesoros ibéricos que fueron
encontrados en 1934 (el Tesoro de la Torre de Juan
Abad, hoy en el Museo Arqueológico Nacional),
1937 (el Tesoro de Castellar de Santiago, hoy
perdido) y 1961 (Tesoro de la Alameda, Santisteban
del Puerto, hoy en el Museo de Jaén).
Se añade el análisis, la datación y la catalogación de
las piezas recuperadas y se ofrecen datos e hipótesis
acerca del complicado itinerario que siguieron,
incluido el de su ocultamiento.

Présentation et notices des œuvres majeures du trésor de la cathédrale Saint-Pierre de Vannes, in"Trésors des Cathédrales", sous la direction de Judith Kagan et Marie-Anne Sire, éditions du Patrimoine, CMN, novembre 2018.
Pages 290 et suivantes. Une notice réalisée par Jean Jacques RIOULT, conservateur en chef du patrimoine, service de l'inventaire du patrimoine, Région Bretagne

The Hoard of Medieval Coins from the Village Stizhok. In the spring of 2011, a clay pot was found in a field nearby the village Stizhok (Shumsk district, Ternopil’ region,Ukraine). The pot contained about 2500 silver coins struck in the Golden Horde, Crimean Khanate, Caffa, Principalities of Wallachia and Moldavia, and Lithuania. The significant part of oriental coins bears the Tartar, Moldavian and Lithuanian countermarks. Most likely, the treasure was hidden during the Tartar military expansion atthe end of 15th and beginning of 16th centuries.

Keywords. Numismatics, medieval numismatics, coin hoard, Genoese colonies in Crimea,  Genoese history, Poland, Ukraine, Golden Horde, Grand Duchy of Lithuania, Moldova, Romania, Wallachia, Asprokastron, 15th century.

457 pièces d’argent, conservées dans un pot en grès, ont été mises au jour dans une ferme de la Manche en 2010. Il s’agit essentiellement d’écus royaux de 6 livres frappés entre 1726 et 1790 (116) et de pièces de 5 francs frappées entre 1795/96 et 1824 (335), date probable d’enfouissement de l’ensemble. Ce trésor, restauré et étudié dans son intégralité, permet d’apporter un éclairage nouveau sur la longue durée de circulation des espèces, le frai qui en découle, la pratique de la thésaurisation dans les campagnes et les capacités financières des hommes de l’époque.

Risalendo la corrente: il Libro del Tesoro castigliano e la sua fonte per M.C.C., maestra È ormai un secolo e mezzo, e cioè dai tempi di Amador de los Ríos (1863, 561), che l'idea di un ruolo privilegiato della corte di Castiglia nella storia del Livre dou Tresor e del suo autore continua ad affascinare la critica, a partire dalla notizia dell'ambasceria che dovrebbe aver portato Brunetto Latini, nell'anno 1260, a visitare Alfonso X per ottenere il suo appoggio ai guelfi fi orentini contro Manfredi. La forte carica suggestiva del contatto tra due fi gure chiave della cultura europea del XIII secolo ha favorito le ipotesi di scambi diretti di particolare peso; in tal modo, se da un lato Bolton Holloway (1990) ha sviluppato la teoria di un infl usso decisivo della cultura alfonsina sul maestro di Dante, dall'altro Baldwin e Barrette (2003) hanno motivato la scelta del codice base della loro edizione con la congettura che esso potesse essere stato inviato in Castiglia da Brunetto appena tornato in Italia dall'esilio, come omaggio e ricordo della frequentazione passata 1 . Era naturale che ciò si riverberasse anche sul Libro del Tesoro castigliano, attribuito dai manoscritti ora all'impulso di Alfonso X, ora a quello del suo successore Sancho IV: nelle sue pagine si sono infatti cercate tanto le tracce di una lettura 'castigliana' dell'enciclopedia francese quanto le allusioni dell'autore italiano alla corte alfonsina 2 . Soltanto in quest'ultimo decennio l'accelerazione degli studi sulla tradizione manoscritta del Tresor ha permesso di iniziare a ragionare su basi diverse, dando una nuova consistenza alle ipotesi sulla diffusione dell'opera, anche in area iberica: grazie a Zinelli (2008) si è chiarito, ad esempio, che il codice escurialense pubblicato da Baldwin e Barrette (ms. L.II.3, siglato M 3 ) proviene effettivamente dalla nostra penisola, ma non ha origini fi orentine, quanto piuttosto genovesi-pisane, assieme a un buon numero di altri codici, riuniti tradizionalmente nella famiglia Δ; e che anche sulla sua natura di esemplare di dedica è lecito avere seri dubbi 3 . Vi sono buone ragioni, inoltre, per ricondurre alla stessa famiglia 1 Baldwin / Barrette (2003, XXXV). 2 La bibliografi a sull'opera non è molto ampia; a parte i saggi che citerò in seguito, vanno tenuti presenti gli studi registrati da Torrens (1994), Salinas Espinosa (1994), e più di recente Gómez

Yann Potin propõe-nos, através de uma análise interdisciplinar, que olhemos para a governação política e administrativa do território a partir de instituições memorizadoras – o arquivo, a biblioteca e o tesouro - e sobretudo a partir do documento escrito, centrando a sua análise no conjunto dos documentos, seja o arquivo, seja a biblioteca, destacando-se aqui o arquivo régio, o Trésor des chartes, e a “livraria” do Louvre, a biblioteca de Carlos V. Um estudo que coloca o arquivo, que sendo um lugar, no seu lugar: não apenas como fonte da história, mas como a personagem central da própria história. Para tal, coloca em diálogo a arquivística e a história medieval, e particularmente a história dos poderes. Mas convoca ainda os contributos da história do livro, sublinhando neste particular o legado de Roger Chartier, e também da diplomática, tão cara a Olivier Guyotjeannin, da Codicologia quantitativa, através da influência de Carla Bozzolo e Ezio Ornato, e da Paleografia. Tudo isto para, no fim, fazer uma arqueologia dos arquivos das instituições.

La  Jeanne-Élisabeth  était un brick de 25 mètres de long et de 6 mètres de large chargé d’une petite part des millions de tonnes de ce métal blanc de Potosi extrait sur ces hauts plateaux andins. La ville de Potosi était alors plus peuplée que Madrid, Séville ou Rome. Depuis la fin des années 1540, l'argent du "Pérou" venait par galions alimenter l'Etat espagnol et plus on commerçait avec les Espagnols et plus il y avait abondance d’argent.  C'est pour cela que La  Jeanne-Élisabeth chargée de Piastres  s’est trouvée échouée après un coup de vent du Sud au large de Palavas en novembre 1755.

La découverte d’un trésor pose toujours et partout une même
question aux juristes : celle de son attribution. Ce qui peut, en revanche, différer d’un droit à l’autre, ce sont les réponses à cette question. Le présent article expose celles de l’ancien droit privé français des temps modernes (XVIe-XVIIIe siècle). Droit écrit, coutumes, arrêts de parlements, œuvres des jurisconsultes permettent d’en découvrir les règles. En théorie, les parts de l’inventeur et du propriétaire du fonds, solutions redécouvertes du droit romain, sont réaffirmées ; par tradition (droit féodal), une part est maintenue au profit du seigneur haut-justicier. En pratique, se pose une difficulté technique
particulière : celle de l’identification du propriétaire du fonds duquel le trésor a été extrait. Qui – du seigneur ou du vassal, du nu-propriétaire ou de l’usufruitier, du mari ou de la femme (en régime de séparation de biens ou de communauté), du débiteur ou du créancier d’un fonds affecté en sûreté
– a droit au trésor, pourquoi et comment ?

Un fait-divers tragique (deux morts en juin 1762)  : la quête d'un trésor (dans le sous-sol d'une maison à Barre-des-Cévennes) qui, au fil du temps, se transforme en légende, celle de la chèvre d'or.
Comment un fait-divers local, la mort d'un chercheur de trésor, renoue avec la légende de la chèvre d'or ? A moins que cela ne soit l'inverse : comment l'antique thème d'un animal à la toison d'or a-t-il conduit un habitant à chercher un trésor dans la cave de sa maison ?
ou encore : comment la légende rejoint la réalité ou la réalité la légende ?