République Romaine

L’épave Pointe de Pomègues 1 a été découverte en 1977 et a fait l’objet de fouilles archéologiques jusqu’en 1979, sous la direction de Jean-Claude Négrel de la Direction de recherche en archéologie sous-marine (DRASM), qui deviendra le département de recherche en archéologie subaquatique et sous-marine (DRASSM) quelques années plus tard. Les fouilles ont révélé que l’épave antique devait transporter environ trois mille amphores depuis l’Italie centrale vers le sud de la France au Ie siècle avant notre ère. Une étude de la collection a été réalisée pour un précédent mémoire de l’Université de Montréal, sur la relation commerciale issue du transport de cette céramique. Son étude a permis la construction d’un catalogue archéologique de cent quatorze de ces amphores, car celui-ci n’avait pas été revu depuis 1983 au moment du déplacement des collections archéologiques du DRASSM depuis le Fort St-Jean vers le Dépôt archéologique des Milles. À l’occasion du Master MoMArch, ce présent mémoire vise à recentrer la recherche autour de la collection d’amphores Dressel 1 considérant les avancées en céramologie des dernières années. La reprise de la recherche a nécessité une étude des archives, du mobilier archéologique, des rapports de fouilles et analyses dendrologiques effectuées sur l’épave, ainsi que la consultation d’experts en céramologie du Centre Camille Jullian de l’Université d’Aix-Marseille. Elle a également bénéficié de la collaboration des archéologues du DRASSM.

Mots-clés : Archéologie, Antiquité, Rome, Gaule, Amphore, Céramique, Transport, Commerce, Épave, République romaine, Vin

La première revue internationale entièrement consacrée à la République romaine. Elle s’inscrit dans un débat historiographique dense et vivace sur la nature du système républicain, qui implique des questionnements encore d’actualité, tels que la légitimité d’une classe dirigeante, le rôle du consensus ou la crise d’un système politique. Sa vocation est d’accueillir non seulement des articles d’histoire politique, mais aussi d’archéologie et d’histoire de l’art, de droit, d’épigraphie, de littérature et d’historiographie, afin de proposer des travaux qui mettent en valeur des aspects spécifiques et complémentaires de la période républicaine. La revue est également ouverte aux contributions relatives à la réception et aux réutilisations des formes institutionnelles (par exemple, les républiques romaines de 1798 et 1849), ou celles qui retracent l’évolution des maîtres-mots et de la propagande inspirés par le modèle politique romain (comme ce fut le cas pendant la Révolution française).

ABSTRACT IN ENGLISH FURTHER DOWN / 

RÉSUMÉ : cette étude tente d’expliquer et de contextualiser le lien, admis depuis longtemps mais jamais véritablement prouvé jusque là, entre la construction des temples votifs en ville de Rome et l’utilisation de la catégorie de butin appelée "manubiae".

La notion même de "manubiae" y est l’objet d’une tentative de définition (laquelle a cependant été mieux précisée depuis lors grâce aux travaux récents de Michel TARPIN), reposant en partie sur l’analyse de passages du "De lege agraria" de Cicéron. Des rapprochements sont proposés avec le traitement du butin dans la Grèce archaïque, où l’équipement de l’ennemi vaincu revenait soit au vainqueur, soit aux dieux, soit à la collectivité.

L’analyse détaillée des notices de Tite-Live relatives au vœu, à la locatio et à la dédicace de temples votifs, ainsi qu’une étude prosopographique des auteurs de ces constructions, permet d’obtenir une meilleure image des compétences respectives des magistrats et du Sénat dans ce domaine. Elle ouvre également des perspectives nouvelles pour la compréhension de la politique édilitaire des grands personnages de l’État romain jusqu’à César et au delà, y compris dans le domaine des constructions profanes, associées ou non à des triomphes. Le rôle des censeurs en matière de constructions publiques, religieuses ou non, est aussi abordé dans ce cadre.

En définitive, la construction de temples votifs, marques visibles et pérennes de l’appui apporté par les dieux aux généraux vainqueurs, permettait aux membres les plus éminents de la nobilitas patricio-plébéienne de justifier leur position sociale et leur pouvoir politique. Dans ce contexte, la motivation à remporter des victoires et à faire du butin pourrait avoir joué un rôle non négligeable dans la dynamique de l’impérialisme romain sous la République.

En appendice à cette étude, quelques cas particuliers d’interprétation plus délicate sont abordés, tels que l’aqueduc de l’Anio vetus construit par M’ Curius Dentatus ou l’aedes Herculis Musarum attribué à M. Fulvius Nobilior.


ABSTRACT :  This study attempts to explain and put into context the connection between the construction of votive temples in the city of Rome and the use of the kind of booty called "manubiae". Such a connection has been acknowledged for a long time but had never really been proven since then.

An attempt is made herein to define the very idea of "manubiae" (which has since, however, been better explained thanks to recent work of Michel TARPIN), based in part on an analysis of passages of Cicero's "De lege agraria". Similarities are suggested with the treatment of booty in Ancient Greece where the conquered enemy's equipment reverted either to the conqueror, or to the gods, or to the community.

A detailed analysis of Livy's notes relating to the vow, the "locatio" and the dedication of votive temples, as well as a prosopographic study of the authors of these constructions, gives us a better picture of the respective powers of the magistrates and of the Senate in this field. It also gives us new ways of understanding the building politics of important figures of the Roman State up to Caesar and beyond, including in the field of secular monuments, whether associated with conquests or not. The role of censors in the field of public buildings, whether religious ones or not, is also covered in it.

Finally, the construction of votive temples, visible and perennial signs of the support of the gods towards the conquering generals, allowed the most eminent members of the patrician-plebeian nobility to justify both their social status and their political power. In this context, the will to be victorious and procure booty may have played a non negligible role in the dynamics of Roman imperialism under the Republic.

In the appendix, a few particular cases of more complex interpretation are discussed, such as the "Anio vetus" aquaduct built by M’ Curius Dentatus or the "aedes Herculis Musarum" attributed to M. Fulvius Nobilior.

Abstract – Logistics and the autonomy of the Roman legions during the Ist century BC

The aim of this article is analyzing the logistical autonomy of the legions of the Ist century BC to precisely define its means and limits. Several elements allow the Roman armies to lead operations without depending on their rear bases. First, the legions carry their own supplies through the army train or individual loads (impedimenta and sarcinae). Then, the commanders can live directly off the land through foraging (frumentatio and pabulatio). Each element has its own limits, depending on its very own structure or on the situation. These limits do not allow the Roman armies to fully free themselves from logistical rear support.

Key words: logistics; legions; supply; autonomy; impedimenta; sarcinae; frumentatio; pabulatio; plunder.

Moatti Claudia, Res publica. Histoire romaine de la chose publique, Paris, Fayard, 2018, 467 p. S'il est un mot (ou plutôt une locution) dont la traduction et l'usage moderne posent question, c'est bien celui de res publica. L'ambitieux livre de Cl. Moatti part d'une idée simple : les mots ont une histoire et, de fait, leur acception, évolue dans le temps. D'où la nécessité, afin d'éviter les malentendus, de retrouver comment les Romains ont utilisé cette notion tout à la fois polysémique, conflictuelle et intraduisible. Cl. Moatti note d'emblée que la res publica n'était originellement ni une abstraction ni un régime politique. Dans la locution, le mot important est res, qui n'est ensuite que précisé. Cette « chose », note l'auteure, est, ce point est fondamental, une sorte d'enveloppe au contenu incertain, sans référent précis a priori, mais qui est nécessairement l'« objet » de quelque chose, ce sur quoi on porte le regard, ce dont on parle, ce sur quoi on agit. Res appartient par ailleurs au langage judiciaire : c'est l'affaire qu'il faut qualifier et à propos de laquelle il faut délibérer. De fait, quand on parle de res publica, l'expression désigne les « affaires » dont parlent les citoyens et qu'ils ont en commun. De fait, la res publica est ce qui est commun à tous sans pour autant être consensuel : la conflictualité est consubstantielle à la notion de res publica.

Einerseits ist der Text in den Partien, die das « ius postliminii in bello » zum Gegenstand haben (Pomponius D. 49, 15, 5, 1, 3), als Rezeption traditioneller Fallkonstellationen und juristischer Fallbewertungen zu begreifen, wie sie bereits im 1. Jh. v. Chr. begegnen. Andererseits erweist sich der Text in der Unterscheidung zwischen « i. p. in bello » und « i. p. in pace » als Schöpfung des Pomponius, mit der er die juristische Begriffsbildung didaktisch vorantreibt und die Meinung widerlegt, eine Notwendigkeit des « i. p. » gebe es innerhalb des Imperium Romanum nicht mehr. Eine Schöpfung des Pomponius ist auch sein abstraktes Fallbeispiel für das « i. p. in pace » (Pomponius D. 49, 15, 5, 2). Das von Pomponius aufgestellte Prinzip einer Rechtlosigkeit des Römers in der Welt ausserhalb der « fines imperii » oder des Ausländers aus der Fremde in Rom war den Autoren des 2./1. Jh. v. Chr. unbekannt.

L’angle de ce colloque prenait résolument le contrepied de l’histoire de la Guerre sociale telle qu’elle est enseignée traditionnellement, d’une part en dépassant le cadre chronologique des années de guerre, d’autre part en portant une attention particulière aux populations contestant la domination romaine.

Im sechsten Teile der „Forschungen“ wird das bisher gewonnene Bild von der rechtlichen Konstruktion der römischen Außenbeziehungen vertieft,  indem nun auch nach den formalen und rechtlichen Implikationen der Abstrakta amicitia, societas und der Junktion amicitia et societas in der politischen Praxis Roms gesucht wird. Zunächst wird die Semantik der Begriffe in der Überlieferung des 2. und 1. Jh. v.Chr. hinterfragt, um die zugrundeliegende rechtliche Systematik zu erschließen. Es wird in Opposition zu der von Alfred Heuss (1933) begründeten und heute überwiegend herrschenden communis opinio, wonach Rom ein vertragsloses und formlos herbeigeführtes amicitia-Verhältnis im intergesellschaftlichen Verkehr anwendete und dieses auch gezielt als politisches Mittel einer flexiblen Außenpolitik nutze,  die nachfolgende Deutung vertreten: Die Begriffe amicitia und (amicitia et) societas sind die Benennungen für eine vom Senat oder vom Magistrat auf Anfrage eines fremden Gemeinwesens förmlich herbeigeführte und vertragliche Verbindung mit Rom. Sie gewähren mit dem Mittel des intergesellschaftlichen Vertrages fremden Einzelpersonen oder Gemeinwesen eine von Organen der römischen Gemeinde garantierte Teilhabe am „Gesellschaftsvertrag“ Roms (rechtliche – soziale – politische Ordnung). Die amicitia und die (amicitia et) societas haben demnach keine spezielle Form des Vertrages als notwendige Voraussetzung, sondern sie sind selbst (!) Formen des rechtlich verbindlichen intergesellschaftlichen Vertrages. Die Systematik der Begrifflichkeit ist in ihren Grundzügen zu erkennen: Es gibt erstens die „bloße“ amicitia mit Rom. Sie gewährt einem fremden Gemeinwesen lediglich das hospitium (im Sinne von Verkehrsgemeinschaft) in der römischen Rechtsordnung, womit von Seiten Roms keinerlei Verpflichtung oder Bereitschaft zur militärischen Unterstützung des Vertragskontrahenten verbunden ist. Die Vereinbarung einer solchen „bloßen“ amicitia wird in der Regel von einer weiteren vertraglichen Regulierung (gelegentlich auch in der Form des foedus) des Verhältnisses mit Rom begleitet. Zweitens gibt es die amicitia et societas bzw. societas, mit der zumindest die Bereitschaft Roms zur militärischen Unterstützung des Vertragskontrahenten verbunden ist. Auch diese Rechtsform wird in der Regel mit weiteren Vereinbarungen über das Verhältnis der Vertragskontrahenten verbunden. Der zeremonielle Abschluss eines foedus, mit Eid und Opfer, kann auf einen vorherigen Senatsbeschluss bzw. auf ein magistratisches decretum über die „bloße“ amicitia oder auch die amictia et societas folgen bzw. er kann auch davon begleitet werden, er muss es aber nicht (z.B. Sherk, RDGE Nr. 18 mit dem neuen Fragment SEG 52 Nr. 1059 Z. 15-27 des Dokumentes). Diese politische Praxis ist zugleich die lebensweltliche Voraussetzung dafür, dass die amicitia und die (amicitia et) societas in der literarischen Überlieferung in den semantischen Kontext mit dem foedus gestellt werden kann, ohne aber der Rechtsform nach mit ihm identisch zu sein. Das foedus ist in der politischen Praxis Roms neben der amicitia, (amicitia et) societas, der sponsio, dem hospitium und der pactio nur eine von mehreren Rechtsformen für einen förmlichen intergesellschaftlichen Vertrag (Cicero Balb. 29), und er kann mit der amicitia und der (amicitia et) societas kombiniert werden (Livius 1,1,6-9). Dabei stellt die Verbalisierung der amicitia oder der amicitia et societas, z.B. im Text eines foedus (z.B. Plb. 3,22,4 und Clinton, Chiron 33, 2003, 408 Dokument Z. 10f), einen „Vertrag im Vertrag“ dar. Sie ist außerhalb des foedus-Textes, z.B. in den zum foedus gehörigen Akten (z.B. bei der Erneuerung der amicitia et societas im senatus consultum, beispielsweise Reynold, Aphrodisias Nr. 8 Z. 21f), ein eigener und gesonderter Vertrag neben dem foedus. Die amicitia, (amicitia et) societas, das hospitium und das foedus haben zwischen den Vertragskontrahenten durch die Gewährung des Personenstatus die reziproke Rechtssicherheit zum rechtlichen Effekt (z.B. Pomponius D. 49,15,5,2). Auch deshalb werden diese Begriffe in der literarischen Überlieferung in einen engen semantischen Zusammenhang gestellt.

This study focuses on prince insertion in the republican institutions at the beginning of the Principate. The republic was not a political regime, unlike monarchy, oligarchy or democracy, but ares publica was a kind of autonomous subsystem from the political regime. For its part, the SPQR was an interface through which res publica could embody itself in a status. It required to act together and was perceived as an obstacle to dominatio. In some ways, it symbolized the political DNA of Rome. It did not prejudiced of the status. With the establishment of the Principate, the prince was compelled to combine with this SPQR, emanation of the res publica, mainly in connection with Senate's claims. The comitia continued to play a role in decisionmaking process, but in a ritualized form, as a reminder of its formal sovereignty. The Senate, which included the melior pars of populus, was associated too with power sustainably. The debate on prince's position within the res publica has initiated a « republican » ideology, opposed to a princely ideology, without having to interpret it as an opposition to the Principate.

Ce volume réunit les Actes de deux journées d’études consacrées à « La classe dirigeante de la mort de Sylla à la mort de Crassus : les mutations d’une “culture” politique », qui ont eu lieu à Strasbourg, respectivement les 21-22 mars 2019 et les 23-24 septembre 2020, dans le cadre du projet de l’UMR 7044 Archimède1. Cette opération scientifique bénéficie du partenariat avec l’Istituto Italiano per la Storia Antica (IISA) et de la collaboration avec le projet de la fondation Alexander von Humboldt (Westfälische Wilhelms-Universität Münster) Palingenesie der römischen Senatsbeschlüsse (509 v. Chr. – 284 n. Chr.).

When we see the scientific production of the Hellenistic period, it’s reveals that a particular choice is focused on the greats kingdoms founded by Alexander the Great’s soldiers. This choice is not fortuitous. The abundance of sources has undoubtedly contributed to the easy exhumation of the past of these kingdoms. The kingdom of Pergamum, which we give ourselves to look the global military aspect is the first time, that one study takes all parts of military aspect of this kingdom. The particularity of Pergamon kingdom is that it was not founded by one of the generals of the Macedonian conqueror. Philetairos, a simple steward of Lysimachus was the founder of attalid dynasty which reigned in Pergamon after Lysimachus death in 281 BC during the Battle of Couroupedion. the attalid dynasty began its reign on the modest city of Pergamum but, it became powerful after many battles.In 188 BC, Pergamon became the most important city of Asia Minor and the principal Rome’s ally.At this time, ...

Les 13 et 14 septembre, à la MISHA (salle de la Table ronde), première journée d’études de l’opération scientifique « La ‘culture politique’ d’une République finissante : les optimates de la mort de Sylla à la mort de Crassus ». L'opération est menée en partenariat avec l’Istituto Italiano per la Storia antica (IISA, Rome) et le projet de la fondation Alexander von Humboldt (Westfälische Wilhelms-Universität Münster) Palingenesie der römischen Senatsbeschlüsse (509 v. Chr. – 284 n. Chr.).

Ce séminaire de doctorants et jeunes docteurs a pour mission de discuter des avancées de la recherche doctorale au sein du laboratoire EA 1132 Hiscant-Ma. En communiquant sur un thème de la thèse, cela permet à la fois de présenter son travail à ses pairs mais également d’améliorer ses recherches en échangeant et en débattant.

Cette rencontre annuelle apporte savoirs, échanges et connaissances dans un milieu solitaire.

Ni sanction financiere, ni exclusion de la communaute, l’aerarium facere et le tribu mouere etaient des mesures complementaires prises par les censeurs dans le cadre du regimen morum servant a classer les citoyens. Le citoyen indigne etait rejete de son rang et relegue avec les humillimi, les affranchis et les citoyens de fraiche date dont la parole etait suspecte, l’avis negligeable et les possibilites de servir la cite moindres. Pour cela, on l’inscrivait dans une tribu urbaine (tribu mouere) et une centurie defavorisee de la cinquieme classe (aerarium facere), mesures humiliantes. Les censeurs lui refusaient de la sorte le droit de participer activement a la vie civique et incitaient ses concitoyens a se mefier de lui. Ils exigeaient neanmoins qu’il continue a s’acquitter des devoirs fiscaux et militaires dus a ses capacites financieres. Jamais les censeurs ne priverent du droit de vote qui etait un element bien trop important de l’identite civique romaine.

Les Cahiers de l'École du Louvre Recherches en histoire de l'art, histoire des civilisations, archéologie, anthropologie et muséologie 11 | 2017 Cahiers 11 La constitution des collections du Muséum par l'appropriation : du rassemblement du mobilier de la Couronne dans la Grande Galerie aux saisies en Europe, à travers les actions d'Henri Reboul (1763-1839) The constitution of the collections of the Muséum by appropriation: from the assembly of the Mobilier de la Couronne in the Grande Galerie to the confiscations in Europe, through the prism of the acts of Henri Reboul (1763-1839

Deuxième rencontre strasbourgeoise de l’opération scientifique consacrée à la classe dirigeante post-syllanienne. Cette opération est menée en partenariat avec l’Istituto Italiano per la Storia Antica (IISA, Rome) et le projet de la fondation Alexander von Humboldt (Münster) Palingenesie der römischen Senatsbeschlüsse (509 v. Chr. - 284 n. Chr.).

Dans le cadre de l’opération scientifique « La classe dirigeante de la mort de Sylla à la mort de Crassus : les mutations d’une culture politique » de l’UMR Archimède, une rencontre franco-italienne sera organisée, en partenariat avec l’Istituto Italiano per la Storia Antica, les 21-22 février, à Rome.