Quoi de neuf depuis le mois de juin ? La collaboration à l’inventaire des deux stagiaires de la Mission Développement Durable, Angélique BACCOLINI et Damien DIJOUX-MILLET de mai à fin juillet a permis d’augmenter considérablement le...
moreQuoi de neuf depuis le mois de juin ?
La collaboration à l’inventaire des deux stagiaires de la Mission Développement Durable, Angélique BACCOLINI et
Damien DIJOUX-MILLET de mai à fin juillet a permis d’augmenter considérablement le nombres d’observations et
d’identifications d’espèces tous règnes confondus, passant de 308 espèces à 428.
Le nombres de contributeurs externes a aussi considérablement augmenté, passant de 172 identificateurs (personnes
proposant des taxons) à 269. Ces contributeurs suivent en ligne l’avancée de l’inventaire, parmi eux des naturalistes
amateurs mais aussi beaucoup de spécialistes en ornithologie, entomologie, mammalogie et botanique.
En interne, malgré une publicité en vue d’inciter des volontaires à participer et la publication du premier rapport
d’étape sur l’intranet, pas encore de nouvelle recrue. C’est dommage, d’autant plus que le camp de baguage de la LPO
qui devait avoir lieu sur site d’août à novembre a été reporté à l’an prochain.
Certaines observations sont sélectionnées par des conservateurs de collections internationales et enrichissent des
catalogues en ligne spécialisés tels les Papillons ou les Reptiles ou Amphibiens d’Europe et chaque donnée portant sur
les observations animales sont reportées sur le site Faune-Aquitaine qui valide ou précise des taxons, afin d'enrichir
les statistiques de la LPO.
Progression de l’inventaire
Cet été a été particulièrement chaud, caniculaire même pendant de longues périodes, très sec, pas de pluie sauf rares
averses, les espaces verts laissés en jachères ont été un vivier pour les insectes et par ricochet pour les oiseaux avant
d’être rasés et de se dessécher.
Mi-août, des fauconniers sont venus sur le site avec un couple de Buses de Harris dont l’utilité était d’effaroucher les
étourneaux sansonnets mais elles s’en sont pris à des pigeons bisets domestiques qui contrairement aux étourneaux
ne prédatent pas les vignes.