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2005, Revue médicale de Liège
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Il existe des differences ethniques (raciales) pour un ensemble de caracteristiques physiologiques de la peau. La couleur est responsable de la typologie et de la resistance aux rayonnements ultraviolets. D'autres differences ont ete egalement suggerees au niveau de la perte insensible d'eau, de la taille et de la cohesion corneocytaire, de la reactivite vasculaire, des proprietes biomecaniques, du pH, du contenu lipidique, de la microflore de surface et de la structure des mastocytes.
2003
Le concept d’ethnocosmetique, apparu il y a plus d’une dizaine d’annees, qualifie les produits cosmetiques specifiques aux peaux pigmentees. Ce secteur est bien developpe aux Etats Unis ou les communautes d’origine non caucasienne representent une population importante. Les peaux ethniques y designent les peaux noires, asiatiques et hispaniques.La litterature sur le sujet, essentiellement anglo-saxonne, reflete cet etat de fait et porte donc surtout sur le marche americain.Les produits a destination des peaux ethniques concernent les produits de soins adaptes aux specificites de ces peaux et les produits de maquillage repondant aux gouts et aux besoins de ces communautes.
Ethnologie française, 2020
The colour of skin: bodily inscriptions of slavery The so-called “black” colour of skin and the phenotypic traits associated with it – physical characteristics that are genetically transmitted – have served to support the memory of servitude in societies marked by colonial slavery. This trace, printed on both the bodies of those who were dominated and their descendants, played a significant role in the invention of the colonial conception of race: ideas and practices were imposed in the “old colonies” by clinging to this imprint, thus surviving the period of slavery in which they originated, and spreading therefrom to their contemporary avatars. Given the possible erasure of the trace in mixed race individuals, a racial obsession has emerged focused on identifying distinctions that can no longer be seen. This attention to the trace continued after the abolition of the slavery, when it acquired a new symbolic dimension: whereas it was initially seen as something imposed on individuals, it is now largely permeated by self-assertion, as illustrated by the “reversal of stigma” that emerged early in the 20th century. This turnaround was further reinforced at the beginning of the 21st century, with the advent of a new paradigm: DNA.
2018
The aim of this article is to contribute to a better understanding of the conceptualization of skin color in medieval medicine, through the study of commentaries on the key text on the subject, Johannitius' Isagoge. The study of skin color is complicated by the gap between the medieval color system and the classifications to which we are accustomed today. The relationship between skin pigmentation and named color is, moreover, often quite complex. Even seemingly straightforward adjectives such as “black” or “white” pose difficulties, due to the coexistence, even confusion, in medieval medical sources of at least two systems of skin color, both of Greco-Arabic origin: a first medical, humoral or physiognomonic model focused on the individual and limited to the oikoumènè or “temperate zone”; a second, ethnological and geographical model, taking into account different peoples according to the latitude of their origin (“climate”). Color terms do not have the same meaning in these two systems, and skin color does not have the same status or causality. Following Johannitius, medieval commentators explain skin color as an outward sign of an individual's humoral complexion. They were less interested in ethnic color. This is not to suggest that skin color among medieval physicians was alien to the prejudices of the time. As with humorous temperaments, ethnic portraits incorporate a characterization of the mores of different peoples. Nevertheless, the primacy of semiology must be affirmed. In medieval medicine, skin color was part of a way of thinking that, through infinite classifications of complexions, sought to decipher bodies, in order to adapt diet and treatment to each patient.
Imaginaires cinématographiques de la peau, 2022
Amsterdam / New York, Brill, 2022. Comment figure-t-on la peau à l’écran, dans sa double fonction de surface et d’enveloppe corporelles ? Comment les cinéastes la représentent-ils dans la diversité de ses marques et inscriptions, de ses couleurs et textures ? Quelles valeurs esthétiques, symboliques, idéologiques, voire politiques, revêt-elle au sein d’une fiction cinématographique, selon l’époque et l’aire culturelle ? Dans quelle mesure l’image et la surface écranique peuvent-elles se muer elles-mêmes en peau du film ? Telles sont les questions auxquelles chercheurs et praticiens du cinéma se proposent ici de répondre au prisme d’un corpus de films pluriel et multiculturel. Cet ouvrage collectif vous propose une plongée dans l’imaginaire épidermique de réalisateurs issus de différents horizons, au croisement de l’analyse universitaire et de témoignages inédits de professionnels du cinéma. Des Yeux sans visage à La piel que habito, de The Pillow Book à Memento, sans oublier quelques détours par les cinémas du Japon, de la Grande-Bretagne, de la Russie, des pays lusophones ou hispano-américains, les peaux de l’écran sont explorées dans la multiplicité de leurs formes, de leurs sens et de leurs enjeux. How is skin depicted on screen, be it as the body’s surface or its envelope? How do filmmakers represent skin in its multitude of marks, inscriptions, colours and textures? What aesthetic, symbolic, ideological, or even political values does skin adopt in cinematographic fiction, depending on the period and the cultural area of the film? To what extent can the surfaces of the image and the screen themselves become the film’s skin? In this book, researchers and cinema professionals offer answers to these questions through a plural and multicultural selection of films. This collective work dives into the epidermal imaginative world of directors from various backgrounds, at the crossroads of academic analyses and exclusive testimonies from those who work in the film industry. From Eyes Without a Face to La Piel Que Habito, from The Pillow Book to Memento, and including a few incursions into cinema from Japan, Great Britain, Russia, Portuguese-speaking or Spanish-American countries, this collection explores the multiple shapes, meanings, and implications of skins of and on the screen.
La chirurgie plastique reconstructrice et esthétique est sans aucun doute l'une des spécialités médicales les plus généralistes : ces interventions s'étendent potentiellement sur tout le corps. De la reconstruction après cancer, du sein, de la peau, à la chirurgie des brûlés ou de la main (qui correspondent à la partie plastique et réparatrice de l'activité) au lifting ou augmentation mammaire (relevant de la chirurgie esthétique) et autres, son champ apparaît si vaste qu'il n'existe désormais plus aucun praticien pour la maîtriser entièrement et parfaitement. Si elle n'est affiliée à aucun organe particulier, son action se concentre essentiellement sur la peau, espace « superficiel » pour cet univers fantasmatique que constitue la Chirurgie. Pire, son « geste » est parfois qualifié de faiblement technique. A ces facteurs dépréciatifs s'ajoute une mise à distance de la mort, face à laquelle la spécialité n'est que peu confrontée. Ici c'est la forme qui est travaillée, au détriment de la fonction. L'organe opéré est, d'un point de vue physiologique, sain, souvent. Les patients apparaissent a priori non malades, voire même pour certains comme des clients. Des soupçons quant aux véritables raisons de la pratiquer viennent enfin alimenter le parfum de luxe qui s'en dégage. La spécialité souffre d'un manque de considération évident. Pourtant sa disqualification, ne doit pas masquer une réalité troublante : la chirurgie plastique est la spécialité chirurgicale la plus demandée chez les internes, et la plus rapidement pourvue à l'issue de l'épreuve nationale classante. Les perspectives financières, comme certaines spécificités (gardes moins importantes, charge émotionnelle liée à la mort et à la maladie plus faible, intérêt pour la forme, etc.), semblent tout à la fois la déconsidérer, sur le plan symbolique, et la valoriser. Ce paradoxe dessine une pratique encore mal connue dans le milieu médical, qu'elle interroge dans ces fondements même, et ailleurs.
Cahier des thèmes transversaux ArScAn, 2001
Strates Materiaux Pour La Recherche En Sciences Sociales, 2004
2011. L’interculturalité comme justification: Sexe ‘couleur locale’ dans la Cuba touristique. In Anthropologies de l’interculturalité. Anne Lavanchy, Fred Dervin, and Anahy Gajardo (eds.), pp. 197-225. L’Harmattan: Paris.
2017
Revista La Lupa. Colección Fueguina de Divulgación Científica, 2024
Çağdaş Türkiye Tarihi Araştırmaları Dergisi, 2014
Darnioji daugiakalbystė, 2024
Red Thread , 2020
Designing Interactive Systems (DIS), 2024
Dialeghestai rivista di Filosofia , 2023
propriétés intellectuelles , 2021
Space and Polity, 2020
Law and Contemporary Problems, 1982
Archives of pathology & laboratory medicine, 2004
Comparative Immunology, Microbiology and Infectious Diseases, 2013