Available online at http://ajol.info/index.php/ijbcs
Int. J. Biol. Chem. Sci. 7(3): 1338-1343, June 2013
ISSN 1991-8631
Short Communication
http://indexmedicus.afro.who.int
Survenue des obstructions tubaires chez les femmes à Cotonou (Bénin) : rôle
des bactéries
S. GANDJI 1, H.S. BANKOLE 2, T.V. DOUGNON 1*, J. DA SILVA3, C. ZANNOU 3 et
O. BIAOU 4
1
Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi, Département de Génie d’Imagerie Médicale et de Radiologie (GIMR),
Université d’Abomey-Calavi, 01 BP 2009 Cotonou, Bénin.
2
Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi, Laboratoire de Recherche en Biologie Appliquée, Université
d’Abomey-Calavi, 01 BP 2009 Cotonou, Bénin.
3
Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi, Département de Génie de Biologie Humaine (GBH), Université
d’Abomey-Calavi, 01 BP 2009 Cotonou, Bénin.
4
Faculté des Sciences de la Santé, Université d’Abomey-Calavi, Champ de Foire, Cotonou, Bénin.
*
Corresponding author: E-mail:
[email protected]; Tel. 00 (229) 97 73 64 46.
RESUME
Les trompes utérines jouent un rôle très important dans la reproduction humaine. Elles peuvent être
facilement atteintes par diverses pathologies dont l’obstruction tubaire. La présente étude a permis de
déterminer le taux d’obstructions tubaires dues aux infections et de relever les bactéries en cause à Cotonou.
Pour ce faire, 111 femmes venues pour hystérosalpingographie (HSG) ont été soumises aussi à des
prélèvements sanguins et cervicaux (bilans microbiologiques). Au total, 51,3% de femmes souffrent
d’obstructions tubaires. La majorité d’entre elles (89,4%) a un âge compris entre 25 et 39 ans. Les germes
banaux, les mycoplasmes et Chlamydia trachomatis ont été isolés dans respectivement 28,1%, 38,6% et 36,8%
des cas. Les différents germes étudiés se retrouvent aussi bien chez les sujets souffrant d’obstructions tubaires
que chez celles qui n’en souffrent pas. Les infections dues aux germes banaux, aux mycoplasmes et à C.
trachomatis pourraient engendrer une obstruction tubaire, d’où l’intérêt d’un traitement correct de ces
infections afin d’éviter qu’elles ne deviennent chroniques.
© 2013 International Formulae Group. All rights reserved.
Mots clés : Obstructions tubaires, Hystérosalpingographie, Infections.
INTRODUCTION
Tant chez l’homme que chez la femme,
l’infertilité demeure un sujet de préoccupation
majeure. Mais dans la plupart des sociétés et
particulièrement en Afrique, lorsqu’un couple
est confronté à ce problème, c’est souvent la
femme qui est indexée. L’infertilité constitue
© 2013 International Formulae Group. All rights reserved.
DOI : http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v7i3.39
un drame social et est souvent l’une des
causes majeures de mésentente conjugale ou
de divorce. En Afrique, un enfant consolide
les liens qui existent entre les familles.
L’infertilité constitue alors une rude épreuve
que le couple doit surmonter. Il s’agit d’une
situation qui nécessite un traitement long et
S. GANDJI et al. / Int. J. Biol. Chem. Sci. 7(3): 1338-1343, 2013
été constitué. Des critères d’inclusion ont été
définis : femme de race noire en âge de
procréer et
en
période
pré-ovulatoire;
détention d’une demande d’examen de HSG ;
suspicion d’obstructions tubaires. De même,
les critères de non-inclusion (femme en
période ovulatoire ou post-ovulatoire ; femme
en métrorragie ; femmes gestantes ou femmes
ménopausées ; femmes présentant une contreindication à l’HSG ont été définis. L’examen
de HSG a été réalisé conformément à la
méthodologie de Bourrit et Kinkel (2007).
C’est un examen qui consiste en une
radiographie aux rayons X de l'utérus et des
trompes de Fallope après injection d'une
substance opaque dans la cavité utérine.
Cinq (5) ml de sang ont été recueillis
dans un tube sec stérile chez chaque patiente
au niveau des veines du pli du coude. Les
prélèvements cervicaux ont été faits après
avoir introduit le spéculum dans le vagin. Un
écouvillon stérile a été introduit dans la cavité
fusiforme de l’endocol. Par frottement, des
sécrétions endocervicales ont été ramenées.
Les prélèvements ainsi obtenus ont été
envoyés au service de laboratoire pour
examens microbiologiques (Recherche de
germes banaux, de mycoplasmes et de C.
trachomatis). Toutes les informations
obtenues sur les patientes ont été enregistrées
sur des fiches d’enquête, lesquelles ont été
classées et ordonnées pour un traitement
informatique au moyen du logiciel Epi info
6.4 version française; ce qui a permis de
calculer les moyennes et fréquences des
différents paramètres ainsi que le risque
relatif. L’étude a pris soin de recueillir le
consentement de tous les sujets recensés dans
l’anonymat.
coûteux. Elle est engendrée par de nombreux
facteurs
étiologiques,
et
de
leurs
connaissances précises, dépend la prise en
charge adéquate des couples infertiles.
L’infertilité touche un grand nombre de
patientes en Afrique Noire et l’étiologie
tubaire est souvent évoquée (Attolou et
Hitoemeto, 2004). De nombreux travaux ont
été effectués sur ce sujet dont ceux de
N’dakena et al. (1993) qui avaient fait
ressortir les aspects radiologiques de la
pathologie tubaire dans la stérilité féminine au
CHU de Lomé en 1993. De Muylder (1995)
au Zimbabwe avait étudié la place de l’HSG
dans l’évaluation d’une infertilité en Afrique
Noire. Attolou et Hitoemeto (2004) avaient
démontré que 16% des obstructions tubaires
proximales étaient d’origine spasmodique.
Quel peut donc être la part de responsabilité
des microbes dans les obstructions tubaires?
C’est la raison pour laquelle la présente étude
a été initiée. Elle a eu pour but de déterminer
le taux d’obstructions tubaires dues aux
infections et surtout de préciser les
microorganismes impliqués.
MATERIEL ET METHODES
Matériel d’étude
Il est constitué aussi bien de matériel
radiologique que microbiologique. Le matériel
radiologique était constitué du cabaret à HSG
contenant des spéculums, des pinces, des
hystéromètres, des canules de Bommelaer, des
seringues, des aspirateurs, des baladeuses, des
antiseptiques,
du
lubrifiant,
des
antispasmodiques injectables, des cassettes et
films 18 cm x 24 cm et celui microbiologique
d’écouvillons et aiguilles stériles ; d’eau
physiologique, de bouillon Trypcase Soja
entre autres.
RESULTATS ET DISCUSSION
Cette étude a permis de faire ressortir
des
aspects
radiographiques
et
microbiologiques des obstructions tubaires et
de préciser les germes impliqués. La moyenne
d’âge de nos patientes est de 31 ans. Elle est
assimilable à celle qu’avait observée Lahady
et al. (2000) (30 ans) et à celle de Muteganya
Méthodes d’étude
Une étude prospective et transversale a
été menée sur une population de femmes
béninoises dans la période allant du 10
octobre 2006 au 29 mai 2007 à l’Hôpital de la
Mère et de l’Enfant (HOMEL). Un échantillon
de 111 patientes ayant bénéficié d’une HSG a
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avaient été levées par l’injection d’un
antispasmodique. Selon Palmer et al. (1975),
la cause la plus fréquente d’un faux diagnostic
d’obstruction
tubaire
proximale
est
certainement le spasme et sa fréquence en
HSG est de l’ordre de 5 à 25%. Il existe donc
des erreurs ou des imprécisions diagnostiques
imputables à l’HSG. Environ 31,5% des
femmes portent des germes banaux dans leurs
sécrétions endocervicales. Cinq espèces
bactériennes ont été isolées et identifiées dans
les sécrétions endocervicales de ces femmes.
Au nombre de ces espèces, deux
(Escherichia coli et Streptocoque D) ont été
retrouvés à la fois chez les femmes qui
présentent une obstruction tubaire et chez
celles qui n’en présentent pas.
Henry-Suchet (1987) avait, par ailleurs,
montré qu’il existait une relation entre
l’infection et les divers germes aérobies et
anaérobies, notamment E. coli et Streptocoque
D. Trente-cinq virgule un pour cent (35,1%)
des patientes hébergent dans leurs sécrétions
endocervicales les mycoplasmes à un titre
pathogène établi par le kit IST2 de bioMérieux. Ce chiffre est plus faible que celui
trouvé par Faïhun et Nahoum (1997) (49,31%)
et par Segonds et al. (1992) (65%). Ces
différences seraient probablement attribuables
soit à la technique utilisée soit ou au kit
utilisé. Ureaplasma urealyticum a été l’espèce
de mycoplasme la plus identifiée, soit 30 cas
sur 39 (76,9%). Nos résultats sont proches de
ceux de Segonds et al. (1992) qui avaient
trouvé 74%. Ce germe a été observé aussi bien
chez les femmes ne présentant pas une
obstruction tubaire que chez celles qui en
présentent mais avec une fréquence plus
élevée chez ces dernières. Mycoplasma
hominis quant à lui, a été isolé dans 2,56% des
cas. Le taux de l’infection à Chlamydia
trachomatis dans cette population d’étude est
de 38,7%. L’étude réalisée par Coco et
Koonou (2005) et celle de Bezian et al. (1992)
ont donné respectivement 20,9% et 32,4%. Ce
dernier résultat est plus proche de celui de
notre étude. Par contre, les travaux réalisés par
et al. (1997) (29,4 ans). Quatre-vingt-sept
virgule trois pour cent (87,3%) sont des
femmes de la tranche d’âge de 25 à 39 ans
(Figure 1). Cela prouve que c’est dans cette
période que les femmes ont un désir de
maternité beaucoup plus prononcé au Bénin.
Godjo (1994) avait démontré que 67,3% de
femmes stériles se retrouvaient dans la tranche
de 20 à 34 ans. Vingt-trois patientes (23) sont
des nullipares, soit un pourcentage de 20,7%.
Cela permet de déduire que la majorité
(79,3%) des patientes incluses étaient des
femmes ayant porté au moins une grossesse,
laquelle n’a pu aboutir, certainement à cause
de raisons étiologiques.
Ces femmes présentent donc une
infertilité secondaire qui pourrait être due soit
à des infections post-abortum ou post-partum.
Nos résultats corroborent ceux de N’dakena et
al. (1993) qui avaient obtenu 75% de cas
d’infertilités secondaires.
Sur 111 HSG réalisées, 51,3% de
femmes présentent une obstruction tubaire.
Cette fréquence est proche de celle de Lahady
et al. (2000) qui ont obtenu 61,29% mais
diffère de celle obtenue par N’dakena et al.
(1993) qui avaient trouvé un taux de 30% sur
1314 cas. Cette différence pourrait s’expliquer
par la grande taille de l’échantillonnage et
l’usage d’un antispasmodique dans certains
cas. Les fréquences d’obstruction tubaire les
plus élevées se retrouvent dans les tranches
d’âge allant de 25 à 39 ans soit 89,4%. En
effet, elles constituent la majorité de la
population étudiée et il est aisé de déduire que
c’est dans ces tranches d’âge que se pose le
plus le problème d’infertilité d’origine tubaire.
Il n’y a pas eu une grande différence entre les
fréquences des principaux types d’obstruction
tubaire [proximale (43,9%), distale (38,6%)].
Toutefois, nous notons une fréquence
légèrement élevée dans les cas d’obstruction
tubaire proximale. C’est aussi dans ces cas
qu’on rencontre le plus les cas d’obstructions
spasmodiques tels que l’ont décrit Palmer et
al. (1975) puis Attolou et Hitoemeto (2004).
Ces derniers avaient remarqué que sur 50 cas
d’obstruction tubaire proximale, 8 soit 16%
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différences
de
fréquences
observées
pourraient s’expliquer par plusieurs facteurs à
savoir : la technique de dépistage utilisée, la
taille de l’échantillon et les critères de
sélection des patientes, le milieu socioéconomique
et
environnemental,
les
traitements mal conduits et l’automédication.
Le risque relatif calculé est de 3,49. Cela nous
permet de déduire que les femmes infectées
feraient donc 3 fois plus l’obstruction tubaire
que les non infectées. Les patientes ayant été
soumises à une prémédication avant l’HSG
représentent 78 cas, soit 70,3%. Parmi elles,
21, soit 26,9% portent encore des germes
banaux. Vingt-six patientes (33,3%) ont des
mycoplasmes
dans
leurs
sécrétions
endocervicales. Cela montre que malgré une
antibiothérapie sans identification et sans
antibiogramme avant l’HSG, les germes sont
encore présents chez ces patientes.
L’automédication telle que cela se pratique
aujourd’hui, est-elle donc efficace ?
On ne saurait en être certain. Une étude
plus élaborée sur un échantillon plus grand
permettrait sans nul doute de l’approfondir.
Bankolé et al. (2001) en Côte d’Ivoire, ont
donné 10,8%. Muteganya et al. (1997) avaient
isolé C. trachomatis dans 71% des cas au
niveau de l’endocol. Ces différences
pourraient être dues à la population étudiée, à
la technique utilisée et au lieu où les
prélèvements ont été effectués.
La sérologie chlamydienne est positive
chez 36,8% des femmes présentant une
obstruction tubaire contre 40,75% chez les
femmes n’en présentant pas. C. trachomatis
n’occasionne des dommages au niveau des
trompes utérines qu’à la phase chronique de
l’infection ; les femmes aux trompes non
obstruées feraient donc une chlamydiose en
phase aiguë ou subaiguë (Picaud et al., 1990).
Cela témoigne que cette infection est aussi
présente chez les sujets obstrués que chez les
non obstrués. Mefane et al. (1988) avaient
noté une sérologie chlamydienne positive chez
84% des femmes présentant une obstruction
tubaire. La responsabilité de ce germe dans les
obstructions tubaires a été également reconnue
par plusieurs auteurs (Keilani et al., 1989 ;
Nahmonovici et Pastorini, 1989 ; HenrySuchet, 1991 ; Muteganya et al., 1997). Les
Figure 1: Répartition des patientes par tranche d’âge.
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S. GANDJI et al. / Int. J. Biol. Chem. Sci. 7(3): 1338-1343, 2013
Cotonou.
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dans les infections utéro-annexielles ou
Conclusion
Cent onze femmes ont été soumises à
des
examens
radiologiques
et
bactériologiques. Il a été établi que 51,3 %
des femmes admises pour HSG présentent
une obstruction tubaire. Elles souffrent
d’infections dues aux germes banaux, aux
mycoplasmes et à C. trachomatis. Le risque
relatif calculé a prouvé que les femmes
infectées font trois fois plus l’obstruction
tubaire que les autres. Face à cette situation,
il urge d’informer les femmes sur les divers
risques dus aux Infections Sexuellement
Transmissibles (IST) en vue de préserver leur
fécondité.
REFERENCES
Attolou A, Hitoemeto C. 2004. Aspects
hystérosalpingographiques
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tubaires
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