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2004, Meta: Journal des traducteurs
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Traduction et langues, 2023
The paper is based on the concept of "productive Translation Studies", understood as a science of translation anchored in the present and designed to help both translators and translation scholars. To provide some directions for productive Translation Studies, the paper starts with a diachronic analysis of the discipline. The field acquired its autonomy in the 80s when it was no longer considered a branch of linguistics. Nevertheless, translation scholars have manifested some hesitations in the past and there are aspects to be rectified. To establish the aim and methodology of the discipline, a clear definition of translation (both as a process and as a product) is needed. In addition, the nature of Translation Studies should be discussed: whether they are a scientific field or a branch of humanities and to what extent they are interdisciplinary. This historical overview is also used to discuss the "ages" of Translation Studies, as defined by Jean-René Ladmiral. Thus, prescriptive Translation Studies fix some general principles of a "good" translation and have a theoretical nature; descriptive Translation Studies rely on comparative and contrastive methods, analysing translation as a product; inductive Translation Studies aim at discovering what happens in the translator's mind and are not developed yet; productive Translation Studies are connected to the reality of the market and provide methodological principles to translators and translation scholars to facilitate their work. In the final part of the paper, the author describes several strategies to be followed by contemporary Translation Studies. One step is to put an end to the scientific hesitations of the past and to have a coherent approach. Then, the debate concerning translation dichotomies (such as the possibility or impossibility of translation, faithfulness, and unfaithfulness in translation, translating form or translating meaning) should be left behind because it is unproductive. Connecting theory and practice and putting in contact with translators and translation scholars is another objective. Translation critics should give up the sacralization of the source text: in fact, any approach should put the translator on center stage to empower him/her. A double approachpsychological and sociological-may be needed to understand the translator's choices: the psychological approach is based on the Theory of Sense, while the sociological analysis takes into consideration the constraints of the market. New technologies should become a topic of research. Also, translation studies should be rendered into various languages to disseminate new ideas and trends.
Nous vivons une situation paradoxale : les nouvelles technologies sont omniprésentes mais leur aspect utilitaire n'est pas toujours bien perçu par nos étudiants qui appartiennent pourtant à la génération Y. Cet article se propose d'engager une réflexion sur l'impact actuel du numérique. Il met aussi l'accent sur la nécessité de repenser l'approche pédagogique car enseigner et apprendre à l'ère du numérique nécessitent un changement de référentiel. Et pour cause : aux multiples compétences que les apprentis-traducteurs doivent acquérir s'ajoute la compétence technologique susceptible de les aider à mieux s'adapter aux conditions de plus en plus exigeantes du marché du travail. Un mariage de raison entre traduction et informatique s'impose désormais pour donner naissance à une nouvelle catégorie de traducteurs : les « traducticiens ». « Les nouvelles technologies nous ont condamnés à devenir intelligents. Puisque nous avons le savoir et les technologies devant nous, nous sommes condamnés à devenir inventifs, intelligents, transparents. L'inventivité est tout ce qu'il nous reste. » (Serres, 2007 ; 133) Professeur associé à l'École de Traducteurs et d'Interprètes de Beyrouth (ETIB).
Target, 2012
Les trous noirs de la traductologie vont de pair avec les transformations des pratiques professionnelles en traduction. Ces transformations suscitent l’émergence de nouvelles dénominations de ces pratiques, ce qui ne facilite pas l’appréhension des marchés. Dans le même temps, la réflexion traductologique s’internationalise. Par ailleurs, le développement des technologies continue à brouiller les manières de produire, de distribuer et de recevoir les « textes ». Ces évolutions rapides répondent souvent à la seule logique économique, toujours ignorée cependant dans les travaux traductologiques.Après l’euphorie des années 1980–1990, la traductologie, longtemps alimentée par les textes littéraires canoniques et sacrés, semble marquer une pause : son objet se semble plus évident, sa pertinence sociale fait question, sa fragmentation apparente apparaît tantôt comme un handicap, tantôt comme un signe de vitalité. D’où les six inconnues qui concluent l’article.
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2005
« En principe, n'importe quel genre peut s'introduire dans la structure d'un roman, et il n'est guère facile de découvrir un seul genre qui n'ait été, un jour ou l'autre, incorporé par un auteur ou un autre. » (Mikhaïl Bakhtine, 1978, p. 141) « Le gouvernement est l'émanation du peuple. Si le peuple est en désaccord avec le gouvernement, alors il faut dissoudre le peuple et en élire un autre. » (Berthold Brecht 1) « La recherche, d'ailleurs, est-elle tenue de se traduire dans une pratique ? » (Meta, 50 e anniversaire, appel à communications) RÉSUMÉ Cette communication est l'oeuvre d'un praticien devenu enseignant, puis chercheur. Parce qu'il existe des traductions sans traducteurs et que les traducteurs se limitent de moins en moins à la traduction, nous pensons qu'une traductologie proactive doit choisir entre ces deux pôles et, en l'occurrence, se construire autour des problèmes concrets rencontrés par les traducteurs : comment s'agencent, pour les praticiens, les questions de la confiance, des différentiels de savoir, de l'erreur, de la transparence des textes… En assumant l'impureté consubstantielle à cette profession, on parviendra ainsi à une réflexion opératoire sur la mise en cycle des savoirs, l'hybridation et le dialogue des disciplines. Nous explorons, exemples à l'appui, deux de ces dialogues possibles entre, d'une part, la traduction pragmatique et, d'une part, la terminologie et narratologie. Familier des espaces liminaires, le traducteur est ainsi idéalement placé pour se livrer à un ensemble de raisonnements aux limites, qui pourront à bon droit sembler simplistes, mais dont le caractère opératoire est attesté par une pratique.
Meta: Journal des traducteurs, 2000
Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998.
2007
Archive institutionnelle de l'Université de Genève - Institutional Repository of the University of Geneva.
TTR, 2013
Dans l'impatience épistémologique que lui donne sa jeunesse disciplinaire, la traductologie aime importer des architectures globalisantes. Parmi elles, tel concept, telle méthodologie, à peine adaptés, viennent grossir le lexique traductologique et alimenter publications et communications. On l'a connu avec la linguistique, puis avec les théories du discours et de la communication et, plus récemment, avec la sociologie. Au cours des vingt dernières années, les traductologues ont découvert tour à tour les écrits de Pierre Bourdieu, de Niklas Luhmann, de Bruno Latour, de Michel Callon, d'Anthony Giddens, de Bernard Lahire et d'autres encore. À chaque fois, on a clamé l'utilité des concepts et méthodes développés par ces penseurs, on a cherché à les « appliquer », sans toujours interroger en profondeur les limites d'une telle démarche, ni contextualiser les concepts et méthodes en question. C' est pourquoi, aussi riche et prolifique soit-il, le « virage sociologique » frappe également parfois par son apparente superficialité et une fragmentation croissante, à l'image de la traductologie. La pratique traductive est d' emblée une pratique sociale, que son empiricité ait été théorisée ou non-seule sa théorisation institutionnalisée peut prétendre ouvrir une nouvelle étape dans la recherche traductologique. En effet, dans l' espace hérité du pupitre de Jérôme, pourvu ou non d'un ordinateur, la solitude du traducteur 1 est peuplée de multiplicités. Dès le départ, il est confronté à une duplicité sous la forme des deux langues de travail dont il sait qu' elles accueillent en elles-mêmes de nombreux 1. Le générique masculin est utilisé sans discrimination et uniquement dans le but d'alléger le texte.
Blockchain [1][2][3], originally block chain [4][5], is a continuously growing list of records, called blocks, which are linked and secured using cryptography [1][6]. Each block typically contains a cryptographic hash of the previous block [6], a timestamp and transaction data [7]. By design, blockchain is inherently resistant to modification of the data. It is "an open, distributed ledger that can record transactions between two parties efficiently and in a verifiable and permanent way"[8]. For use as a distributed ledger, blockchain is typically managed by a peer-to-peer network collectively adhering to a protocol for validating new blocks. Once recorded, the data in any given block cannot be altered retroactively without the alteration of all subsequent blocks, which requires collusion of the network majority. Blockchain are secure by design and exemplify a distributed computing system with high Byzantine fault tolerance. Decentralized consensus has therefore been achieved with blockchain [9]. This makes Blockchain potentially suitable for the recording of events, medical records [10][11], and other records management activities, such as identity management [12][13][14], transaction processing, documenting provenance, food traceability or voting.
Ler História, 2024
Historia Ludens (online), 2024
Новое литературное обозрение, 2019
Prometeo: Quarterly Magazine of History and Sciences, 2024
PLOS ONE, 2023
ANE Today, 2020
IJCSAM (International Journal of Computing Science and Applied Mathematics), 2023
European Urology Supplements, 2008
Physical Review E, 2016
Journal of experimental botany, 2016
Research on Engineering Structures and Materials