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2023
Andres Ginestet-Séminaire international de lecture Éducation et justice sociale Centre d'études du CELEI 1,53 k abonnés 123 vues Il y a 3 ans
Que veut-on dire lorsque l’on affirme qu’un savoir « vaut » plus qu’un autre, qu’il a plus de poids ? Nous vivons dans un univers traversé par des paroles, des témoignages, des diplômes, des statuts professionnels, des expertises, des données probantes (evidence-based) et des meilleures pratiques (best practices). Alors que certains font autorité, d’autres sont déconsidérés, écartés comme source de savoir légitime et se retrouvent en bas de la hiérarchie des savoirs. Les groupes dont les savoirs sont stigmatisés peuvent avoir du mal à faire exister dans l’espace public la réalité qu’ils vivent, à se mobiliser et à revendiquer d’autres conditions de vie. En poursuivant sa carrière, en explorant sa curiosité intellectuelle, en répondant aux demandes sociales des acteurs et institutions, en s’engageant pour une cause sociale, en recueillant des témoignages, en produisant des analyses, le sociologue contribue-t-il à consolider cette hiérarchie des savoirs légitimes ou à la subvertir ? Si oui, avec quelles méthodes, quels concepts, quelles postures et quels acteurs ? Ce cours propose une réflexion sur l’épistémologie sociologique dépassant la stricte interrogation sur les conditions de scientificité du discours sociologique (le savoir sociologique par distinction avec le sens commun) et l’enjeu des frontières disciplinaires (la sociologie par opposition avec les autres disciplines). Il vise à situer la sociologie dans un univers de savoirs dans lequel le sociologue – en tant que producteur de savoirs légitimes dans l’espace public – donne la parole à des acteurs dont il cherche à comprendre la réalité, voire à la transformer, tout en étant parfois interpellé à son tour comme citoyen, scientifique et expert, décidant de prendre ou non la parole. Il semble d’emblée y avoir une asymétrie entre le sociologue et les personnes qu’il interview dans la mesure où il contrôle l’ensemble des opérations du processus de recherche. La sociologie vise à faire parler les acteurs, à leur tendre l’oreille ou le micro de l’enregistreuse. Se faisant, le sociologue se fait-il un simple relai de leur parole en effaçant lui-même sa présence ? À travers sa démarche, contribue-t-il à faire entendre la parole des acteurs ? Ou au contraire, relayant leur propos, parlant parfois à leur place, monopolisant la production des données scientifiques, réduit-il au silence les interviewés qu’il fait parler ? Dans quelle mesure les formes de recherche (recherche-action, recherches participatives) qui visent explicitement à remédier à cette asymétrie en démocratisant la production des savoirs réussissent-elle leur pari ?
2006
Séance 1 : La maladie et la santé comme faits sociaux : des déterminants sociaux de la santé à la construction sociale de la maladie.Séance 2 : Maladie, savoir médical et régulation sociale : Foucault et Parsons.Séance 3 : Sociologie des organisations et fonctionnement des institutions de santé.Séance 4 : Professions, stratégies professionnelles et systèmes de santé.Séance 5 : De l'étude des facteurs sociaux de l'augmentation des dépenses de santé à l'analyse de la médicalisation de la société.Séance 6 : Le débat Etat-médecins sur la maîtrise des dépenses de santé.Séance 7 : Les difficultés dans la mise en œuvre des politiques de santé publique : principes d'analyse et études de cas : lutte contre le tabagisme et la toxicomanie, le sida et l'amiante.Engineering schoo
Le séminaire “confrontations sociales” se propose, pour la deuxième année consécutive, d’explorer la question des contacts entre agent·e·s issu·e·s de classes sociales distantes. Qu’il s’agisse de situations qui vont de la simple communication médiée jusqu’à une coprésence physique, qui donnent lieu à des interactions fugaces ou prolongées, anodines ou signifiantes, occasionnelles ou répétées, accidentelles ou institutionnalisées, la focale retenue se veut volontairement large. Il s’agit toujours de s’intéresser aux interactions ayant lieu entre agent·e·s issu·e·s d’univers sociaux contrastés, situé·e·s dans des zones différentes de l’espace social et qui sont amené·e·s, dans un cadre public ou privé, professionnel ou de loisir, officiel ou clandestin, à se côtoyer, à s'affronter ou au contraire à collaborer. Comment penser sociologiquement ces rencontres sans affinités électives, sans connivence de classe? La recherche en sciences sociales a beaucoup abordé le pendant inverse des confrontations sociales, c’est-à-dire la question de l’entre-soi, que ce dernier soit choisi (PINÇON et PINÇON-CHARLOT, 2007) ou qu’il soit subi (SCHWARTZ, 1990). En revanche, la question du contact entre classes sociales distantes est, quant à elle, rarement thématisée en elle-même, à quelques exceptions près : par exemple à l’occasion d’une réflexion sur le peuplement des grands ensembles (CHAMBOREDON et LEMAIRE, 1970), sur les relations entre maîtres et domestiques (MEMMI, 2003), entre locataires d’immeubles huppés et concierges (BEARMAN, 2005), entre apprenti·e·s ethnographes et classes bourgeoises (JOUNIN, 2014) ou encore entre intellectuels et classes populaires dans les tranchées (MARIOT, 2013). La question de ces rapprochements entre classes sociales distantes peut certes constituer, dans certains travaux, un des aspects que le·la chercheur·se est amené·e à traiter comme une constituante secondaire de son objet ou une réalité qu’il·elle est amené·e à rencontrer au détour de son terrain - par exemple sur les rapports entre client·e·s et vendeur·se·s des grands magasins (BARBIER, 2012). Mais rares sont les travaux qui en font l’objet central de leur analyse. La rareté de ces travaux trouve notamment son origine dans le découpage des objets d’études. En effet, qu’il s’agisse de l’histoire, de la sociologie ou encore de l’économie, les publications visent à concentrer leur analyse sur une classe sociale en particulier (et plus particulièrement sur les classes populaires ou sur les élites). En témoignent par exemple le découpage par “réseaux thématiques” (RT) de l’Association Française de Sociologie ou encore les spécialisations au sein des disciplines (sociologues des classes populaires, historien·ne·s de la bourgeoisie, économistes de la pauvreté, etc.). Autant de subdivisions académiques peu propices à un travail sur cette thématique de la confrontation entre classes sociales éloignées. Cette dernière soulève pourtant des enjeux féconds, aussi bien théoriques que méthodologiques. D’un point de vue théorique d’abord, le rapprochement entre classes sociales distantes fait plutôt figure d’exception ou d’atypie sociologique, dérogeant aux considérations maintes fois tenues, souvent à bon escient, sur les stratégies d’évitement (FRANCOIS et POUPEAU, 2004), sur la défense de l’entre-soi (GIRARD, 1964; TISSOT et al., 2014), ou, bien suûr, sur les phénomènes de distinction (BOURDIEU, 1979). Pourtant, ce questionnement en termes de confrontations sociales, qui délaisse les phénomènes de cloisonnement pour se pencher au contraire sur les lieux, les moments et les occasions sociales de promiscuité entre agent·e·s socialement éloigné·e·s, est stimulant pour la recherche en sciences sociales. Il ne s’agit pas de céder à une vision en termes de “moyennisation” ou de disparition des classes et de rejeter ce faisant le soubassement général d’une sociologie attentive aux différences entre classes et aux inégalités. Il s’agit plutôt, dans ce même cadre théorique qui tient compte de la réalité de la domination, d’observer des situations d’emprunts, de réappropriations, de conflictualités plus ou moins larvées ou au contraire d’alliances inédites. L’étude de ces situations permet d’enrichir la description et la compréhension du monde social, en prenant en compte ces zones de flou ou de frottements entre mondes sociaux que tout, a priori, était censé séparer. D’un point de vue méthodologique ensuite, les travaux existant sur la question des confrontations entre classes sociales distantes visent surtout à analyser une relation entre enquêteur·trice et enquêté·e, que ce soit sur le terrain même (CHAMBOREDON et al., 1994) ou dans la manière dont on procède à l’analyse (GRIGNON et PASSERON, 1989). Si ce séminaire pourra permettre de poursuivre ces réflexions importantes autour de la relation d’enquête, il vise cependant surtout à examiner comment ces relations existent dans d’autres situations sociales. En effet, au-delà de cet enjeu de la distance sociale lorsqu’elle se joue dans la relation entre enquêteurs/trices et enquêté·e·s dans le sens d’une domination des premier·e·s (MAUGER, 1991) ou des second·e·s (PINÇON et PINÇON-CHARLOT, 1997), le fait d’être attentif sur son terrain aux contacts entre classes sociales distantes invite le chercheur à une forme d’inventivité pour trouver des repères pertinents, des indicateurs utiles, des archives inédites, afin de traquer, décrire et analyser les effets de ces confrontations entre agent·e·s contrasté·e·s. A travers la présentation d’enquêtes empiriques par leurs auteurs issus d’horizons disciplinaires différents (sociologues, anthropologues, politistes, historien·ne·s, etc.) ce séminaire se donne ainsi pour but de proposer à des chercheurs et chercheuses débutant·e·s ou confirmé·e·s de mettre la focale sur cet aspect de leurs travaux, les invitant à relire éventuellement leurs recherches à la lumière de cette interrogation spécifique. Le séminaire, ouvert à tou·te·s dans la limite des places disponibles, se veut aussi l’occasion d’initier les étudiant·e·s qui le souhaitent à l’animation de la recherche en leur confiant, à chaque séance, une partie de la modération et de la discussion, travail qui, au choix avec le rendu d’une fiche de lecture d’ouvrage, donnera lieu à validation de 3 crédits ECTS.
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2008
Les auteurs prennent soin de préciser qu'ils se placent en historiens pour étudier ces modèles, leur élaboration, leur transmission, sans pour autant aller jusqu'au bout de la démarche puisqu'ils négligent (délibérément, ils le précisent page 165) une grande partie des sources pour ne s'intéresser qu'aux recoupements directement possibles grâce à l'historiographie récente. Leur travail, qui correspond à une tendance que je désignerai par le terme de " biographique" assez développée en France dans les années 80, a le mérite de mettre en évidence la relativité de l'autonomie de la forme.
Le séminaire “confrontations sociales” se propose d’explorer la question des contacts entre agents issus de classes sociales distantes. Qu’il s’agisse de situations qui vont de la simple communication médiée jusqu’à une coprésence physique, qui donnent lieu à des interactions fugaces ou prolongées, anodines ou signifiantes, occasionnelles ou répétées, accidentelles ou institutionnalisées, la focale retenue se veut volontairement large. Il s’agit toujours de s’intéresser aux interactions ayant lieu entre agents issus d’univers sociaux contrastés, situés dans des zones différentes de l’espace social et qui sont amenés, dans un cadre public ou privé, professionnel ou de loisir, officiel ou clandestin, à se côtoyer, à s’affronter ou au contraire à collaborer. Comment penser sociologiquement ces rencontres sans affinités électives, sans connivence de classe ? La recherche en sciences sociales a beaucoup abordé le pendant inverse des confrontations sociales, c’est-à-dire la question de l’entre-soi, que ce dernier soit choisi (Pinçon et Pinçon-Charlot, 2007) ou qu’il soit subi (Schwartz, 1990). En revanche, la question du contact entre classes sociales distantes est, quant à elle, rarement thématisée en elle-même, à quelques exceptions près : par exemple à l’occasion d’une réflexion sur le peuplement des grands ensembles (Chamboredon et Lemaire, 1970), sur les relations entre maîtres et domestiques (Memmi, 2003), entre locataires d’immeubles huppés et concierges (Bearman, 2005) entre apprentis ethnographes et classes bourgeoises (Jounin, 2014) ou encore entre intellectuels et classes populaires dans les tranchées (Mariot, 2013). La question de ces rapprochements entre classes sociales distantes peut certes constituer, dans certains travaux, un des aspects que le/la chercheur/se est amené.e à traiter comme une constituante secondaire de son objet ou une réalité qu’il/elle est amené.e à rencontrer au détour de son terrain - par exemple sur les rapports entre clients et vendeurs des grands magasins (Barbier, 2012). Mais rares sont les travaux qui en font l’objet central de leur analyse. La rareté de ces travaux trouve notamment son origine dans le découpage des objets d’études. En effet, qu’il s’agisse de l’histoire, de la sociologie ou encore de l’économie, les publications visent à concentrer leur analyse sur une classe sociale en particulier (et plus particulièrement sur les classes populaires ou sur les élites). En témoignent par exemple le découpage par “réseaux thématiques” (RT) de l’Association Française de Sociologie ou encore les spécialisations au sein des disciplines (sociologues des classes populaires, historiens de la bourgeoisie, économistes de la pauvreté, etc.). Autant de subdivisions académiques peu propices à un travail sur cette thématique de la confrontation entre classes sociales éloignées. Cette dernière soulève pourtant des enjeux féconds, aussi bien théoriques que méthodologiques. D’un point de vue théorique d’abord, le rapprochement entre classes sociales distantes fait plutôt figure d’exception ou d’atypie sociologique, dérogeant aux considérations maintes fois tenues, souvent à bon escient, sur les stratégies d’évitement (François et Poupeau, 2004), sur la défense de l’entre-soi (Girard, 1964 ; Tissot et al., 2014), ou, bien sûr, sur les phénomènes de distinction (Bourdieu, 1979). Pourtant, ce questionnement en termes de confrontations sociales, qui délaisse les phénomènes de cloisonnement pour se pencher au contraire sur les lieux, les moments et les occasions sociales de promiscuité entre agents socialement éloignés, est stimulant pour la recherche en sciences sociales. Il ne s’agit pas de céder à une vision en termes de “moyennisation” ou de disparition des classes et de rejeter ce faisant le soubassement général d’une sociologie attentive aux différences entre classes et aux inégalités. Il s’agit plutôt, dans ce même cadre théorique qui tient compte de la réalité de la domination, d’observer des situations d’emprunts, de réappropriations, de conflictualités plus ou moins larvées ou au contraire d’alliances inédites. L’étude de ces situations permet d’enrichir la description et la compréhension du monde social, en prenant en compte ces zones de flou ou de frottements entre mondes sociaux que tout, a priori, était censé séparer. D’un point de vue méthodologique ensuite, les travaux existant sur la question des confrontations entre classes sociales distantes visent surtout à analyser une relation entre enquêteur/trice et enquêté.e, que ce soit sur le terrain même (Chamboredon et al., 1994) ou dans la manière dont on procède à l’analyse (Grignon et Passeron, 1989). Si ce séminaire pourra permettre de poursuivre ces réflexions importantes autour de la relation d’enquête, il vise cependant surtout à examiner comment ces relations existent dans d’autres situations sociales. En effet, au-delà de cet enjeu de la distance sociale lorsqu’elle se joue dans la relation entre enquêteurs/trices et enquêté.e.s dans le sens d’une domination des premier.e.s (Mauger, 1991) ou des second.e.s (Pinçon et Pinçon-Charlot, 1997), le fait d’être attentif sur son terrain aux contacts entre classes sociales distantes invite le chercheur à une forme d’inventivité pour trouver des repères pertinents, des indicateurs utiles, des archives inédites, afin de traquer, décrire et analyser les effets de ces confrontations entre agents contrastés. À travers la présentation d’enquêtes empiriques par leurs auteurs issus d’horizons disciplinaires différents (sociologues, anthropologues, politistes, historiens, etc.) ce séminaire se donne ainsi pour but de proposer à des chercheurs et chercheuses débutant.e.s ou confirmé.e.s de mettre la focale sur cet aspect de leurs travaux, les invitant à relire éventuellement leurs travaux à la lumière de cette interrogation spécifique. Le séminaire, ouvert à tou.t.es dans la limite des places disponibles, se veut aussi l’occasion d’initier les étudiant.e.s de l’ENS qui le souhaitent à l’animation de la recherche en leur confiant, à chaque séance, une partie de la modération et de la discussion, travail qui, combiné au rendu d’un dossier, donnera lieu à validation de crédits ECTS. Bibliographie ● Barbier, Pascal. « Contrainte relationnelle et résistance au travail : Les vendeurs des grands magasins ». Sociétés contemporaines, no 86 (avril 2012) : 31‑57. ● Bearman, Peter S. Doormen. Chicago : University of Chicago Press, 2005. ● Benquet, Marlène. Encaisser ! Enquête en immersion dans la grande distribution. Paris : la Découverte, 2013. ● Bourdieu, Pierre. La Distinction. Critique sociale du jugement. Paris : Éditions de Minuit, 1979. ● Chamboredon, Jean-Claude, et Madeleine Lemaire. « Proximité spatiale et distance sociale. Les grands ensembles et leur peuplement ». Revue française de sociologie 11, no 1 (1970) : 3-33. ● Chamboredon, Hélène, Fabienne Pavis, Muriel Surdez, et Laurent Willemez. « S’imposer aux imposants. À propos de quelques obstacles rencontrés par des sociologues débutants dans la pratique et l’usage de l’entretien ». Genèses 16, no 1 (1994) : 114‑32. ● François, Jean-Christophe, et Franck Poupeau. « L’évitement scolaire et les classes moyennes à Paris ». Education et sociétés no 14, no 2 (2004) : 51‑66. ● Girard, Alain. Le Choix du conjoint. Une enquête psycho-sociologique en France. Presses universitaires de France impr. Brodard et Taupin, 1964. ● Grignon, Claude, et Jean Claude Passeron. Le savant et le populaire. Misérabilisme et populisme en sociologie et en littérature. Hautes études. Paris : Gallimard / Le Seuil, 1989. ● Hoggart, Richard. 33 Newport Street autobiographie d’un intellectuel issu des classes populaires anglaises. Paris : Ed. du Seuil, 1988 [trad. 2013]. ● Hoggart, Richard. La culture du pauvre. Étude sur le style de vie des classes populaires en Angleterre. Le sens commun. Paris : Éd. de Minuit, 1981. ● Jounin, Nicolas. Voyage de classe. Des étudiants de Seine-Saint-Denis enquêtent dans les beaux quartiers. Paris : La Découverte, 2014. ● Lahire, Bernard. L’homme pluriel. Les ressorts de l’action. Paris : Pluriel, 2011. ● Mariot, Nicolas. Tous unis dans la tranchée ? 1914-1918, les intellectuels rencontrent le peuple. L’univers historique. Paris : Seuil, 2013. ● Mauger, Gérard. « Enquêter en milieu populaire ». Genèses 6, no 1 (1991) : 125‑43. ● Memmi, Dominique. « Une situation sans issues ? Le difficile face à face entre maîtres et domestiques dans le cinéma anglais et français ». Cahiers du Genre n° 35, no 2 (1 décembre 2003) : 209-35. ● Pasquali, Paul. Passer les frontières sociales. Comment les « filières d’élite » entrouvrent leurs portes. Paris : Fayard, 2014. ● Pasquali, Paul et Olivier Schwartz. « La Culture du pauvre : un classique revisité. Hoggart, les classes populaires et la mobilité sociale », Politix, n°114, 2016 : 21-45. ● Pinçon, Michel, et Monique Pinçon-Charlot. Voyage en grande bourgeoisie. Journal d’enquête. Réimpr. de la 2. éd. Paris : PUF, 1997 [2006]. ● Pinçon, Michel, et Monique Pinçon-Charlot. Les Ghettos du Gotha : Comment la bourgeoisie défend ses espaces. Paris : Seuil, 2007. ● Schwartz, Olivier. Le monde privé des ouvriers. Hommes et femmes du Nord. Paris : PUF, 1990. ● Tissot Sylvie (dir.), « Les espaces de l’entre-soi », Actes de la recherche en sciences sociales, n° 204, 2014.
2013
L'usage du pluriel dans le titre de cet article rappelle la pluralite des didactiques et l'existence de divisions internes a la sociologie. Elles ne seront neanmoins pas detaillees ici car l'objectif est d'aborder, d'une part, les objets d'etude des didacticiens et des sociologues en rapport avec les savoirs scolaires et leurs conditions d'apprentissage, puis, d'autre part, les modes de cohabitation de ces chercheurs qui travaillent sur ces objets.
Revista de Literatura y Lingüística, 2024
Rika Rahayu Muslimin, 2024
Biological conservation, 2024
Verbum et Lingua: Didáctica, Lengua y Cultura, 2024
Research and Development in Higher Education: The Shape of Higher Education, 2016
E3S Web of Conferences, 2022
Society of Extension Education, Agra , 2019
The Qualitative Report, 2021
Sri Lankan Journal of Infectious Diseases, 2016
Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, 2021
International Journal of Gynecology & Obstetrics, 2013