Merck-Saint-Liévin
Merck-Saint-Liévin | |||||
Une vue de la commune. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Saint-Omer | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer | ||||
Maire Mandat |
Philippe Hochart 2020-2026 |
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Code postal | 62560 | ||||
Code commune | 62569 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Merckois | ||||
Population municipale |
674 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 57 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 37′ 40″ nord, 2° 06′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 56 m Max. 172 m |
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Superficie | 11,85 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Fauquembergues (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Saint-Omer (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Fruges | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Merck-Saint-Liévin est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Merckois. La commune est membre de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Mercatel, traversée par le fleuve l'Aa, est une commune rurale située à 19 km au sud-ouest de la commune de Saint-Omer (chef-lieu d'arrondissement).
Le territoire de la commune est limitrophe des territoires de six communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 11,85 km2 ; son altitude varie de 56 à 172 m[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par le fleuve l'Aa, un cours d'eau naturel de 56 km, qui prend sa source dans la commune de Bourthes et se jette dans le canal de Neufossé au niveau de la commune de Saint-Omer[3].
Le cours d'eau, autrefois salmonicole, était riche en truites de mer et saumons.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 892 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nielles-lès-Bléquin à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 976,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2] :
- les coteaux de la haute vallée de l’Aa et les carrières de Cléty. Cette ZNIEFF est constituée d’une craie marneuse formée il y a environ 90 millions d’années par la sédimentation marine. L’érosion du plateau crayeux de l’Artois a donné naissance à de nombreuses vallées sèches ou parcourues par des ruisseaux temporaires, voire de véritables cours d’eau[10] ;
- La haute Aa et ses végétations alluviales entre Remilly-Wirquin et Wicquinghem, d’une superficie de 564 ha et d'une altitude variant de 40 à 118 mètres[11].
et deux ZNIEFF de type 2[Note 3] :
- la moyenne vallée de l’Aa et ses versants entre Remilly-Wirquin et Wizernes. La moyenne vallée de l’Aa et ses versants représentent un remarquable ensemble écologique associant des habitats très différents constituant des complexes de végétations souvent complémentaires[12] ;
- la haute vallée de l’Aa et ses versants en amont de Remilly-Wirquin. La haute vallée de l’Aa se rattache à l’entité paysagère des hauts plateaux artésiens, elle intègre la source de ce fleuve côtier situé à Bourthes et les premiers kilomètres de ce cours d’eau qui trace un sillon profond dans les collines de l'Artois[13].
Espèces faunistiques et floristiques
[modifier | modifier le code]L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[14].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Merck-Saint-Liévin est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Fauquembergues[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est ville-centre[Note 5],[16],[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[17]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,5 %), prairies (17,7 %), zones urbanisées (4,1 %), forêts (2,8 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune disposait d'une gare sur la ligne de chemin de fer Anvin - Calais, de 1882, année de la création de la ligne, jusqu'à la fermeture définitive de la ligne en 1955[21].
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Risque inondation
[modifier | modifier le code]À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[22].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Merkenez en 1139 ; Merquenes en 1289 ; Merques en 1323-1324 ; Merc en 1335 ; Merkenes au XIVe siècle ; Merquennes en 1559 ; Mercques-Saint-Liévin en 1739 ; Saint-Liévin-Marcq en 1739[23] ; Saint Lievin en 1793 ; Merq-Saint-Lievin et Merck-Saint-Liévindepuis 1801[1].
L'hagiotoponyme Saint-Liévin fait très probablement référence à Liévin de Gand, évêque irlandais, qui fut un grand évangélisateur des Morins au VIIe siècle et qui fut beaucoup vénéré dans le Nord de la France.
La commune porte le nom de Merck-Saint-Lévin en picard et Sint-Lievens-Merk en flamand[24].
Histoire
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais[25].
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer qui regroupe 53 communes et compte 104 937 habitants en 2021[25].
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton de Fruges[25].
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais[26].
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont appelés les Merckois[33].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2021, la commune comptait 674 habitants[Note 7], en évolution de +3,53 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 335 hommes pour 324 femmes, soit un taux de 50,83 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Monuments historiques
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Omer. Elle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [39]. Elle est brûlée en 1638 par les troupes françaises puis pillée en 1710, et endommagée durant la Première Guerre mondiale. Elle possède une flèche à crochets ajourée élevée au XVIe siècle. Les marins y viennent en pèlerinage pour vénérer les reliques de l'Irlandais saint Liévin.
- L'église héberge 29 éléments patrimoniaux, répertoriés dans la base Palissy, classés ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques, dont neuf sont classés[40].
- Le portail du cimetière fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [41].
-
L'église.
-
La porte latérale de l'église.
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La flèche à crochets.
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La chaire de l'église.
-
Les fonts baptismaux.
-
Le portail du cimetière.
Autres lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le monument aux morts, surmonté d'une croix latine[42].
- Au cimetière, une tombe de guerre de la Commonwealth War Graves Commission.
- L'ancienne gare du chemin de fer.
- Le moulin de Suzette et les étangs de l'Aa.
-
Le monument aux morts.
-
L'ancienne gare.
-
Les étangs de l'Aa.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Liévin de Gand, évêque irlandais, évangélisateur des Flandres au VIIe siècle.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'argent à une torche enflammée de gueules posée en bande, au chef du même chargé d'une truite d'argent (nageant de front)[43]. |
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Détails | La torche évoque saint Liévin, patron de la paroisse, à qui était dédié autrefois un pèlerinage très populaire, à la lumière des torches. La truite rappelle les eaux poissonneuses de la commune. Adopté en 1996. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Ouvrages consultables aux archives départementales du Pas-de-Calais[44] :
- R. Grandval, Merck-Saint-Liévin. Coup d'œil sur son histoire et son patrimoine, Fauquembergues, Comité d'histoire du Haut-Pays, 2005.
- Robert, Notice historique sur Merck-Saint-Liévin, Saint-Omer, 1842.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Dossier de la commune sur le site de l'Insee[Note 8], [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur "Remonter le temps", sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 9]
- « Merck-Saint-Liévin » sur Géoportail.
Bases de données, dictionnaires et encyclopédies
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Fauquembergues comprend trois villes-centres (Fauquembergues, Merck-Saint-Liévin et Renty) et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Aa (E4030570 ) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Merck-Saint-Liévin et Nielles-lès-Bléquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nielles-les-blequin_sapc » (commune de Nielles-lès-Bléquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nielles-les-blequin_sapc » (commune de Nielles-lès-Bléquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « ZNIEFF 310030111 - Coteaux de la haute vallée de l’Aa et carrières de Cléty », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310014125 - La haute Aa et ses végétations alluviales entre Remilly-Wirquin et Wicquinghem », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013266 - La moyenne vallée de l’Aa et ses versants entre Remilly-Wirquin et Wizernes », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007271 - La haute Vallée de l’Aa et ses versants en amont de Remilly-Wirquin », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Fauquembergues », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
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- Jean-Marc Szuba, « Projets des maires: à Merck-Saint-Liévin, Marie-Françoise Caron, lointain successeur de son beau-père : Colistière pendant deux mandats de Francis Dhalleine, Marie-Françoise Caron est la belle-fille de Michel Caron, maire jusqu’en 2001. Elle entend continuer le travail accompli par son prédécesseur. « Nous n’allons pas vivre au-dessus de nos moyens. » », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Merck-Saint-Liévin : Francis Dhalleine nommé maire honoraire : Depuis 1971, Francis Dhalleine occupe la scène du conseil municipal, il était maire depuis 2001. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Merck-Saint-Liévin (62569) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
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- « Éléments patrimoniaux de la commune inscrits ou classés au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du ministère de la Culture (consulté le ).
- « Portail du cimetière », notice no PA00108348, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- « Merck-Saint-Liévin », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- « La commune de Merck-Saint-Liévin », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).