Coupelle-Neuve
Coupelle-Neuve | |||||
La mairie-école. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Montreuil | ||||
Intercommunalité | CC du Haut Pays du Montreuillois | ||||
Maire Mandat |
Emmanuel Marguet 2020-2026 |
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Code postal | 62310 | ||||
Code commune | 62246 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Coupellois | ||||
Population municipale |
147 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 32 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 30′ 03″ nord, 2° 07′ 15″ est | ||||
Altitude | Min. 113 m Max. 157 m |
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Superficie | 4,54 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Fruges (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Fruges | ||||
Législatives | 4e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Coupelle-Neuve est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Coupellois.
La commune fait partie de la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois qui regroupe 49 communes et compte 15 703 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est limitrophe, au sud, de Fruges.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de trois communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 4,54 km2 ; son altitude varie de 113 à 157 m[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
C'est dans la commune que deux cours d'eau prennent leur source :
- le fossé du bois burette, cours d'eau naturel de 2,48 km qui se jette dans le Herbecques au niveau de la commune de Fruges[3] ;
- le Fruges, cours d'eau naturel de 2,17 km qui se jette dans la Traxenne au niveau de la commune de Fruges[4].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 913 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Radinghem à 5 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 038,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,6 | 1,6 | 3,3 | 5 | 8 | 10,8 | 12,9 | 13,1 | 10,8 | 8,1 | 4,8 | 2,2 | 6,8 |
Température moyenne (°C) | 4 | 4,4 | 6,8 | 9,4 | 12,4 | 15,2 | 17,4 | 17,7 | 14,9 | 11,4 | 7,4 | 4,5 | 10,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,4 | 7,1 | 10,2 | 13,8 | 16,8 | 19,6 | 22 | 22,2 | 19 | 14,7 | 9,9 | 6,9 | 14 |
Record de froid (°C) date du record |
−13,8 02.01.1997 |
−14,6 04.02.12 |
−10 04.03.05 |
−3,8 02.04.1996 |
−0,7 05.05.1996 |
1,4 02.06.1991 |
5,7 07.07.1996 |
6,6 13.08.1993 |
3 17.09.1994 |
−4,3 29.10.1997 |
−7,8 23.11.1998 |
−12,3 18.12.10 |
−14,6 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15 01.01.22 |
18,4 26.02.19 |
23,2 31.03.21 |
25,5 20.04.18 |
30,2 27.05.05 |
32,8 21.06.17 |
40,4 25.07.19 |
36,7 10.08.03 |
32,1 09.09.23 |
28,1 01.10.11 |
20 01.11.15 |
15,7 30.12.22 |
40,4 2019 |
Précipitations (mm) | 97,7 | 84,7 | 71,6 | 60,1 | 69,5 | 70,3 | 72,9 | 83,6 | 76,9 | 107,8 | 118,6 | 124,4 | 1 038,1 |
Paysages
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[11]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy…[12].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espèces faunistiques et floristiques
[modifier | modifier le code]Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 232 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 54 protégées et 22 menacées et quasi-menacées[13].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Coupelle-Neuve est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fruges, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[15]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,8 %), prairies (23,3 %), zones urbanisées (7,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies de communication
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par la route départementale D 104[19].
Transport ferroviaire
[modifier | modifier le code]La commune se trouve à 10 km, au nord, de la gare de Blangy-sur-Ternoise, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France[20].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Noefve-Couppelle (1476), Coupellenoeuves (1559), Coupelle-Neuve (1789)[21], Coupelle-Neuve depuis 1793 et 1801[1].
Comme Coupelle-Vieille, son nom viendrait du bas saxon koppe, kuppe « sommet (de la montagne) ».
Avant d'être une commune, Coupelle-Neuve était un hameau de Fruges, et ce jusqu'à la Révolution.
Histoire
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune a fait partie, de 1994 à 2016, de la communauté de communes du canton de Fruges et environs et, depuis le , elle fait partie de la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois dont le siège est basé à Fruges.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie du canton de Fruges (1793 et 1801), depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements[1].
Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014, elle demeure rattachée au canton de Fruges qui passe de 25 à 52 communes[22].
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]La commune dépend du tribunal de proximité de Montreuil-sur-Mer, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[30].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Coupellois[31].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].
En 2021, la commune comptait 147 habitants[Note 4], en évolution de −11,45 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 77 hommes pour 81 femmes, soit un taux de 51,27 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Antoine, datant du XVIIIe siècle.
- Le monument aux morts surmonté d'une croix latine[37].
-
L'église Saint-Antoine.
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Écartelé : aux 1er et 4e chevronné d'or et de gueules de douze pièces, aux 2e et 3e d'or à saint Antoine l'Anachorète de carnation habillé de gueules, nimbé, tenant un bâton croiseté posé en barre auquel est appendue une clochette dans sa senestre et un livre dans sa dextre, le tout du même[38]. |
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Détails | Écartèlement des armes de la famille D'Egmont, du fait qu'un un comte d'Egmont fut seigneur du village au XVIIIe siècle, et d'une figure de saint Antoine, patron de la paroisse et de l'église. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Liste de monuments aux morts français surmontés d'une croix latine
- communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois
- Pays des Sept Vallées
Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 5]
- « Coupelle-Neuve » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - fossé du bois burette (E3511450) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fruges (E3511280) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Coupelle-Neuve et Radinghem », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Radinghem » (commune de Radinghem) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Radinghem » (commune de Radinghem) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- ’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Coupelle-Neuve ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fruges », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Distance entre la commune et la gare de Blangy-sur-Ternoise », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 111.
- « Liste des communes composant le canton », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Pascal Butstraen, « Le bilan des maires : à Coupelle-Neuve, les éoliennes pourraient financer la construction de la salle communale : En arrivant à la mairie, jeune retraité et novice de la vie municipale, Jean-Claude Costenoble avait deux grands projets pour la commune : rénover l’école-mairie et créer une nouvelle salle communale. Le premier a été réalisé de manière originale, dès la deuxième année du mandat, « pour 30 à 40 000 euros seulement », grâce à la mise en place d’un chantier école, qui a eu l’avantage également de permettre à huit jeunes de l’arrondissement de remettre le pied à l’étrier », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Coupelle-Neuve : Jean-Claude Costenoble retrouve son fauteuil de maire », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Philippe Lambert, « Coupelle-Neuve : la fibre optique au programme de Jean-Claude Costenoble : Jean-Claude Costenoble, 66 ans, entame son second mandat de maire (tendance gauche). Il a de gros projets pour sa commune, rendus possibles en partie grâce aux revenus liés à l’éolien. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21598579
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Coupelle-Neuve (62246) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).