Exercices Corriges Mecanique Du Point

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Faculté des Sciences de Monastir

Département de Physique

MECANIQUE DU
POINT MATERIEL
EXERCICES CORRIGES
PREMIER CYCLE UNIVERSITAIRE SCIENTIFIQUE

L OTFI BEJI
AHMED REBEY
BELKACEM EL JANI

>0
Cinématique du point matériel (I)

Exercice 1
→ →
Soit un repère fixe R0 (0,x,y,z) de base ( i , j , k ) et M un point défini dans R0 par ces
cordonnées :
x=cos , y= sin , z=sin2 , ; avec un paramètre réel .
Soit M0 la position de M pour =0, et S la longueur de l’arc M0M.


a-Trouver les vecteurs unitaires  et n de Serret-Frenet en M. 1
b-Calculer le rayon de courbure . Pour =0, vérifier que = .
5

Exercice 2
Soit un point matériel repéré par ces cordonnées cylindriques , , et z telles que :

  at 2 ,z  at ,  t , où a et  sont des constantes.


1-Calculer les composantes cylindriques du vecteur vitesse.
2- On déduire les composantes cylindriques du vecteur accélération.

3- Calculer les modules des vecteurs Vet

Exercice 3
→ →
Soit un mobile M se déplaçant sur une branche d’hyperbole dans un repère R (o, i , j
, k ).
→ a →
M est repéré par le vecteur position OM =x(t) i  j , avec a constante positive et x(t) = at.
x(t)
→ →
1 Déterminer les vecteurs unitaires de Serret-Frenet en fonction des vecteurs i , j
, et k

2Calculer le rayon de courbure  (t) et le centre de courbure C.


3- Tracer l’hodographe
Exercice 4
Dans le plan (Oxy), le mouvement d’un point P est déterminé par
les équations paramétriques 1: 2
où v0 est la vitesse initiale de P et est l’angle que fait v0 avec
x=v0 t cos , y v t sin  2 gt
0

l’axe Ox.
1- quelle est la nature de la
trajectoire ? 2- Déterminer :
- Les accélérations normales et
tangentielles.
- Le rayon de courbure  (t) ainsi que
le centre de courbure C(t)
- Les expressions des vecteurs
unitaires de Serret-Frenet. 1
3- Trouver l’angle entre les vecteurs vitesses et accélérations au point où la trajectoire
recoupe l’axe Ox.

Exercice 5
Le mouvement d’un point matériel M dans un plan est défini par les équations paramétriques

t2 t2
suivantes : r( t )  r0 exp(  );  ( t )  où r0 et étant deux constantes positives.
2 2


On appellera ur le vecteur unitaire porté par OM
u et u le vecteur qui lui est directement
perpendiculaire (voir figure).

ur
r M

O x

1 Calculer le vecteur vitesse V (M ) ainsi que son module.



2Evaluer l’angle entre le vecteur unitaire ur de la tangente à la trajectoire en M et le vecteur

unitaire radiale. Que peut –on dire de cet angle ?

3 Calculer l’accélération  (M ). En déduire ses composantes tangentielle et normale dans la



base de Serret-Frenet ( u→
r ,u N , B) .

4- Calculer le rayon de courbure ainsi que le centre de courbure de la trajectoire à l’instant t.

Exercice 6
Un mobile assimilé à un point matériel M a pour coordonnées à l’instant
t X(t) = v0 t cos t ; y(t) = v0 t sin t ; z(t)=0
où v0 et  sont des constantes positives.
1Donner les expressions vectorielles de la vitesse instantanée et de l’accélération instantanée
de M ainsi que leurs modules.
2Calculer les composantes tangentielles et normales de l’accélération ainsi que le rayon de
courbure.

3- Lorsque v0= 50  m / s et = 23 , déterminer entre l’instant t=0 et ts= 6 mn


a. L’équation de la trajectoire. Tracer cette trajectoire
b. La longueur curviligne S parcourue par M.
c. Représenter les différents vecteurs vitesses et accélérations aux
instants : t= 0, t =3 mn et
t = 4 mn 30 s.

2
Exercice 7
Soit un plan rapporté au système d’axes (Oxy) (voir figure).

Dans ce plan une manivelle OA tel que OA = r est animée d’un mouvement circulaire
––→ ––→
uniforme autour du point fixe 0, ce qui revient à dire que l’angle  
( Ox ,OA)  t avec  = cte.

Dans son point A, la manivelle est articulée sur la bielle AB tel que AB =l, cette dernière met en

mouvement par l’intermédiaire d’une articulation un point matériel B qui se déplace suivant Ox
entre deux glissières de guidage parallèles.

1- Donner l’équation du mouvement du point matériel B. (On posera   lr )


L’équation du mouvement sera donné en fonction de r ,l , , , et
t 2- En déduire la vitesse et l’accélération du point B.
3- Dans l’hypothèse où  << 1 donner des expressions approchées de
l’équation du mouvement, de la vitesse et de l’accélération du point B.

3
Solution des exercices
Exercice 1
→ d OM d OM d → →
a-
v   ˙ (sin  i  cos j  2sin 2
k)
dt dt dt
→ 2
v  ˙ 1  sin
2 d
→ → d→ d d dt

1
→ v  sin i  cos j  2 sin2 u→
 v→  N 
ds ; d
1  sin 2 d ds  d dt ds 
→ 1 sin2 2 d
k
; 2 ds

d  cos ( 1  sin2 2 )  sin sin4  i  sin( 1  sin2 2 )  cos  sin 4  j  2
→  3
d  cos 2 k (1  sin2
2  )2

 d→ 5  3 sin2
3
2ds (1 sin2 2 )2

 cos( 1  sin2 2 )  sin


→ 1
uN   sin( 1  sin2 2 )  cos
sin4
5  3 sin 2 1  sin2
2
cos 
2sin4
2 2
3

uN d 1 (1  sin 2 2 )
b- 

 
 2 1
 ds d (5  3sin 2 )
2


1  ds 2

pour   0;  0  5

Exercice 2 :
→ → →
1- OM    zk→; v
u → d OM u du   z˙

dt    dt
k
→ →
du  du d ˙ → →
Or :    u  v  2atu  at 2u 
dt d → dt →
ak
2- 

 →
2at u  2at 
→ →→  ( 2a at 22 →
) u  4 at
→ u  at  u 
2 2
 
 → 
1 
u  2at u
→ → 1

3- v  a ( 4t 2  t 42 
;   a ( 4  t 44 )2
1)2

4
Exercice 3
1- v→ ai→ 21 j ; v→  a 2 (1 1
)
t
→ 2
 (at 2 ) 2

1 →
→ (i  1
 1 j→)
 1 at 2
(at 2 )2

bk → b→ →
; n 1 1 i→
   1 ( 
1 )2

(1 j)
 a 2t 4 at 2
3
2 → → 2 1 2 3 1 )2
2-  n  v ;   2t 3 j  n   n 1    a t (1
→ 1 )2  2
  t ( 1
3 a 2t 4
a 2t 4

→ –––→ –––→ ––– – at
0C  OM  MC  OM  n →
 OC = 1 → 1
( 2  a2 4 1 →
→ → 2 (3  2 4 ) i  (1 ) )
at 2t t a 2t 4
3- L’hodographe : j
Vy
Vx  a  cte

V 
Vy   1
2
t

a
Vx

Exercice 4

→ → 1 →
1- OP  v0 t cos i  ( v0 t   gt 2 )i
sin 2

x x 2
x  v0 t cos  1  x tan
t  y  2 g v 2 cos2 
v 0 cos 0 g
dy  2  gx v02 sin 
0 tan g  0  xM 
dx  v0 cos2   2 2
g
2 sin
xM  0
22
Mouvement parabolique admettant une tangente horizontale au point M : v g2
2 sin
yM  0
v 2
g

5
y
M
yM


v0

O xM x


→ x  v0t cos
→ v0 cos → 0
2- OP =  v 
y  v0 t sin  gt 2  v0 sin  gt  
12
g
→ 2
v  ( v0  g2 t2  2 gtv 0  )12
sin
g2t  v gsin
1
dv
* t 0
;  2  t2  2  n  ( 2  2 2

dt  v 2  g2 t 2  2 gtv
t
 0 0
r
 )
sin
v0 gcos
n  2
v0  g2 t 2  2 gtv0
sin
3

2 2 (v 2  g 2 t 2  2gtv sin
* Rayon de courbure :  n  v   v ;   0 2
  ) v0 g cos
0

–→ ––→ ––→ –– →n
→ OP  PC  OP  un
* OC

→  
un   u
→ n ?
→ →
→ v v0 cos i  ( v0 sin  gt )
uj   v→ v02  g 2t 2  2 gtv0

t v gsin
g2sin → →
u 
   v 2  g 2t 2  2 gtv
0
( v0 cos  i  ( v
0 sin   gt )

0 0 j

→ ( v0 sin  g t ) i  v0 cos
sin

j un 
v02  g 2t 2  2 gtv0 s
in
–– 
v0 sin   gt  v0  g t  2gt v0
2 2 2
 →
→   v0 t cos 
OC sin v0 gcos  i 
  
 1 2 1 2 →
 0v t sin   gt   v  g t
2 2
 2gt v 
 j
0 0
 2 g sin

6
→– = v0 sin
* OC
 v 2
0  3v0 t
g sin  3g2t2  gt 3 3
→  3 v2 
v0 g cos i  3 tv 0 sin  2 g t 2 g0  j
 →

→ 
→ →
* b  k u u 
n

v 2
3 - La trajectoire recoupe l’axe Ox  yc  0  tc  2 0 sin   cx v 0 sin
2 g g
→→ → v t  gt  v0 sin
→  cos  cos  →
v   v t  t v →   cos v 2  g 2t 2  2gtv
0 0
v →   sin
v0 sin
A l’instant tc  cosc  
v0  4v0 sin2   4v02 sin  sin    2 
c
2 2

 
Exercice 5
––
→ → → → → t t2

dOM
1- OM = r( t )ur ; v( M )  dt  r
 r( t )˙ u  v( M ) = 2 r exp(  )( →
u
r
 

2 0 2

˙r( t )u u )
t
v→M  2 2 r exp   t 2 
2

2 0
  
 →
→→→ vur 1
2- vu r  v ur cos  cos  →   
→ v cte3 2 4
α est l’angle que fait le vecteur unitaire tangent à la trajectoire en M avec le vecteur unitaire
––→
radiale. Il nous donne l’orientation du vecteur vitesse par rapport à OM
   cte  ––
l’orientation du vecteur vitesse par rapport à OM
→ ne change pas au cours du temps.

→ dv 0r  t 2  → 2r  t 2  t2 
3-   dt   2 2 exp  2 ur  2 0 exp  1  4 2 u
→       
  
2

dv
r  t2   t2 
 t  dt  2 2 2 0 1  2 2 exp  2 
      
v2 v2  t2 
4- Rayon de courbure :  n          2r 0exp   2 
n  
–→ –––→ –––→ ––– 1
→ OM  CM  OM  →
OC uN ; → v
v  2 u→
ut  → →
r  u 

→ 
u→  2 2u→ 2 1  4 t2 u  2 1  2t2 ur  2 1  2t2  →
2 2 2
N  2 
   
t
     →  
→ N 4 2 u → r
  
 t

 u→
1 
r  u  OC   r0 exp  
 uN  t 22  
→  → 
u
 2

7
Exercice 6
x(t )  v0 t v 0t sint  v0 cost
2v0 sint  v0 t2
–––→ → →
1- OM  cos 2v
y( t)t v0 t sint v  v0twcost  v sint   cos t
0  coswt  v0 t
2

0 t
sin
0
z( t ) 
0
0
→ 1
→ 1


v  v0 1   2 2 2
;   v0  4  
2 2 2

t t
 v0 t2 
dv
2-  t  dt  1

1  t
2 22

1
1
 N  2   t
2 2
 N  v0  4  2t 2 4  2t2   v0  2  2t 21
2 1  2t2 


 
1  2t 2
3
 3

2
 N v   v   
2 v0
1   t2 2
 t 
v0 12  
2 2 2

 N 
1

4  2 t2 4  2  2  2t 2
2


2

t 2 

4- a- Equation de la trajectoire :
 
x 2  y 2  v0t  En coordonnées polaires : r  v t  r    v 
0
0 : Equation d’un

  t
mouvement spirale.
t (s) 0 90 18 0 270 360

x (t) 0 0 -9 0 18

y (t) 0 4.5 0 -13 .5 0

ts 1
dS
b- v=  dS  vdt  S   v0 (1  2 t2 )2
dt dt 0
Argshts
v0 v0
On pose t  shu  dt 
chu du
s
2

ch udu   1
 2w 0 sh2udu

8
y

0
M(t1)

x

v0
M(t0)
1
v1 2


v2
M(t2)

v0  1 s  AN : S ≃ 61
S Argsh ( ts )
2 sh2Argsh t
2   mm
→ → → 
;  0  2v0 j
t  0 ; v0  v0i
→ → → →
t  180s ; v1  v0 ( i   j ) ;  1  ( →i 2
v 0 → 3 → → j ) → 3
t  270s ; v2  v0 ( i  j) ; 2 
→ 2 ( 2i  → j )
v 0 2
Exercice 7

A
r
φ ψ x
O C

1- Equation du mouvement du point matériel B.


x  OB  OC  CB  r cos  l cos

r
On a AC  r sin   l sin  sin  l sin    sin

9
sin2   1cos2   2 sin2   cos  1 2 sin2 

Finalement : x  r cost  l 1  2 sin2 t

dx 1 sin2t
2- Vitesse : v  dt  r sint 2 2l 1  2 sin2 t

4l2 sin2t
Accélération : d2 x cos2t
  dt2   r cost
2
 l
2 2
 2 1  2 sin2 t
1   sin t 2 2

1
1

3- Expressions approchées pour  ≺≺1 : 1   2 ≃ 1 
 2

2

x  r cost  l 1
 sin2 
t 
 2 

2
v  r sint  2 l
sin2t r2 cost  2l2 cos
2t

10
Cinématique du point matériel (II)

Exercice 1
Accompagné par son fil, un pêcheur de Saumon remonte à contre courant une rivière à
bord d’une barque. Prévenue par son fil d’avoir perdu, 4 mn plutô t, sa canne à pêche, il fait alors
demi-tour et récupère la canne emportée par le courant.
Constatant un déplacement de la canne de 400 m par rapport à son point de chute, la
garçon veut déterminer pour son père la vitesse Vc du courant sachant que la vitesse Vb de la
barque reste constante.
Faites le calcul pour lui.

Exercice 2
Dans un plan fixe xoy, une droite D tourne autour du point O avec une vitesse
angulaire ––→ →
(t)= d ,   Ox ,D ; un point M est mobile sur la droite D. A l’instant t on a OM
dt
 r t  ,
–– →
→ rur .
soit ur Le vecteur unitaire porté par la droite D tel que OM

1- Calculer la vitesse de M dans le référentiel lié à


D. 2- Calculer la vitesse de M dans le repère (Oxy).
3- Calculer l’accélération  M  par rapport au repère et montrer qu’elle est la


somme → →→
→trois termes.
de ––On utilisera pour ceci la notion du point coïncident. Si =ct,
  (  )
e  OM
démontrer que
Exercice 3
On considère un repère absolu R0 , et deux repères distincts R1 et R2 en mouvement de

rotation quelconque l’un par rapport à l’autre et les deux par rapport à R0
1 Montrer la relation générale suivante :
→ →
VE 2 / 0 ( M )  VE 2 / 1 ( M )  VE 1 / 0 ( M )

2 Montrer qu’une relation du même type que la précédente est facilement vérifiable pour

 E   C 2 / 0
NB : VE i / 0 M  , →M et
E i / 0  
signifient, respectivement, la vitesse
C i/0
(M)

d’entrainement, l’accélération d’entrainement, l’accélération de Coriolis de M lorsque R est le
 i

repère relatif et R0 le repère fixe.

11
Exercice 4
On considère un avion supersonique qui se déplace le long d’un cercle parallèle de l’Ouest

vers l’Est avec la vitesse de 500 ms-1. On donne la latitude de ce parallèle :   60  et le rayon de

40000
la terre R  2 km . On néglige la hauteur de l’avion.
1- Calculer le vecteur accélération de Coriolis  C de
l’avion.
2- Comparer  C au module de l’accélération d’entrainement E de l’avion.

→ →
Représenter C et E en M sur le schéma ci-joint.

3- Calculer C  C si l’avion se déplace le long d’un cercle méridien. En déduire sa valeur à
l’équateur sans faire→
et de calcul ; à t =0, l’avion est au pô le nord.
N .B : Les applications numériques sont demandées.
z

M
Parallèle
O
E
λ
yx

Méridien

x S

Exercice 5

→–
Soit R0 (O,X,Y,Z) un repère absolu de base  I, →soit un fil rigide ayant une forme
J ,K ,
parabolique d’équation z  ax 2  dans le plan xOy d’un repère mobile
, disposé verticalement
R(O,x,y,z).

12
→ –
R/ R   1   t2 K : est le vecteur rotation instantanée du repère R par rapport à R 0. A t= 0, les

 2 
0

deux repères coïncident.


Un mobile M, initialement au repos en 0, se déplace sur le fil de façon que la composante de sa
vitesse suivant Ox est constante : Vx=V0
1-a- Etablir la relation entre les vecteurs unitaires des deux bases.
b- Déterminer dans R : le vecteur position, le vecteur vitesse d’entrainement et le vecteur
accélération de Coriolis.
2- Quelle est la longueur parcourue par M lorsque le fil fait un tour complet.
Z

.M

O Y

X
x

Exercice 6
Un manège d’enfants, constitué d’un disque de rayon a, au bout duquel sont fixées des
petites voitures, tourne autour de l’axe OZ avec une vitesse angulaire constante 0. Un homme
debout sur l’axe OZ et qui surveille les enfants sur les voitures, peut se déplacer sur le disque
tournant.
Une personne placée sur l’axe OX au point fixe A(x0, 0, 0), dans le même plan que le
disque, commande la rotation du manège.

Le repère R(O,X,Y,Z) de vecteurs de base (I , J ,K ) est fixe.
1 M se trouve en O mais lié au disque, observe la voiture en B. On demande de calculer dans
→ →
le repère fixe R (O,I , J ,K ) :

a.Le vecteur position de B par rapport à O. En déduire la vitesse absolue VB et l’accélération

absolue  B .

b. Le vecteur position de B par rapport à A .En déduire la vitesse VB / A et l’accélération  B/A


de B par rapport à A.
13
2- Le surveillant M se dirige maintenant tout droit vers la voiture B avec une vitesse d module
constant V0.
––– →
a. → (t ) si M quitte O à t=0. En déduire la vitesseVa et
Exprimer dans R le vecteur position OM

l’accélération absolue  .
a

b. Tracer l’allure de la trajectoire de M dans R sans faire de calcul, dans les cas suivants :
a0  V0 ; a0  V0 et a0  V0

3- On veut étudier ce même mouvement de M avec la composition des vitesses.


a. Définir un repère mobile R1 par rapport à R et donner le’ vecteur rotation instantanée de
R1 / R .


b. Calculer la vitesse d’entrainement Ve et la vitesse Vr , en déduire la vitesse absolue VM

exprimée dans R1.


4- La voiture B est maintenant placée sur des ressorts qui lui permettent d’effectuer un
mouvement sinusoïdal vertical entre z=0 et z=2d de position d’équilibre z=d et de pulsation 
constante. A l’instant initiale la voiture B est placée en B0(a,o,o) avec une vitesse initiale nulle.
c.Donner les équations paramétriques de la trajectoire de B par rapport à R1 puis par rapport à R.
d.Trouver la relation entre α et 0 pour que la voiture B vienne à sa position initiale B0 après
avoir effectué un tour complet.
e. Calculer la vitesse et l’accélération absolues exprimées dans R1.
5A la fin du spectacle, le manège est freiné pour être arrêté. Sa vitesse angulaire devient
décroissante avant de s’annuler (t) =-βt + 0
a. Quel est le temps nécessaire pour l’arrêt total en fonction de β et 0
b.La vitesse et l’accélération absolues de la question 3b et 3c changent-elles ? De quelle
manière ?

14
Exercice 7

Soit R0 O, I , J , Kun repère absolu, et soit un disque tournant autour de l’axe O, k ,  
de →

centre O1 et de rayon a, le centre étant défini par : OO1  h(t) K (où h(t) est une fonction du

temps) . Le disque étant dans un plan parallèle à O, i , j .  



i , j , k  K ) , le repère relatif lié au disque et on pose l’angle (I , J )   t .
Soit R1 ( O1 , →

Soit M, un point matériel en mouvement qui décrit l’extrémité du disque et dont la position est
→→ avec → un vecteur unitaire porté par – O–
–M .

repérée par l’angle  t  i ,u , u →
  cylindrique u→,u ,k
→ 
1
On associe au point M la base  

. 1- Donner le vecteur position de M par rapport à R0


→ →
2- Calculer les vecteurs vitesses : Va ,Ve et Vr
3- Calculer les vecteurs accélérations :

 et → . En déduire les vecteurs accélérations :  et

a r
e
c

y
k j θ
O1
→ Y
φ
i
M

θ K
O Y
X

→ J
x I

Exercice 8
Un disque plan vertical de centre O1 tourne autour de son axe horizontal OO1 avec la vitesse

angulaire constante ˙ . L’ensemble (disque + axe) tourne autour de l’axe vertical OZ à la vitesse

angulaire constante ˙.


15
Un point matériel M se déplace sur un rayon du disque avec une vitesse uniforme. On pose
––––
→1M t   r(t )  r
O
On
.
définit les repères :
→ → →
R0 (O,I , J ,K ) : Repère absolu

R1 ( O1 ,i→, j ,k
→) :→Repère lié à l’axe du disque avec k  K
→ →
R2(O1 ,u→
r ,u ,i ) : Repère lié au disque

→ → –––→ → –––– →
Avec i porté par OO →1 ; ur porté par O1M;   l’angle I,i  →

;   l’angle r


– 
j ,u →
1- Donner le vecteur rotation instantané 2 / 1 →

de R2 par rapport à R1

En déduire et exprimer dans R2 .


a- La vitesse de M par rapport à R1 : →
VR 1 ( M )

 R (M )
b- L’accélération de M par rapport à R 1 : 1

––
4- Donner le vecteur rotation instantané →1 / 0 de R1 par rapport à R0 , en déduire et exprimer
dans R1

a- La vitesse absolue : VR 0 ( M )

b- L’accélération absolue : →
R (M
0

16
Exercice 9
Soit un cercle de centre O ' et de diamètre OB= 2R, contenu dans le plan O 'x 1 y 1  du repère



R1 ( O' , x1 , y1 ,z1 ) de base orthonormée directe →
i1 , j1 ,k1  articulé en O
. Soit une tige AC=2R '

AO '
 O B  R en rotation autour de l’axe O z
' '
1 // Oz avec une accélération angulaire

constante d2 

dt 2 →
'
Soit R2 ( O , x2 , y2 ,z2 ) le repère mobile lié à la tige de base orthonormée directe →
i2 , j2 ,k2 . 
Soit un mobile oscillant autour de O '  M, comptée
le long de la tige. L’élongation de
–––
positivement de O ' vers C, est O→
'
M  Rsint . A t = 0, la tige est portée par l’axe Ox1 est au
repos.
I- Dans cette partie, on suppose que le repère lié au cercle (R1) est fixe.

1- Calculer la vitesse absolue de M V R1 ( M ) , en utilisant la composition des vitesses, dans la


base i→

2 , j2 ,k 2 .

2- Demême, calculer les accélérations d’entrainement, de Coriolis et absolue dans la même
base.
II- Dans la suite du problème, on considère que le repère R1, lié au cercle est en rotation par


rapport à un repère absolue R0 ( o, x , y ,z ) , de base i , j ,k  avec une vitesse
angulaire

constante 0, autour de Oz. On se propose d’étudier le mouvement de M par rapport à R0.
Sachant que le mobile M continue d’avoir le même mouvement relatif que précédemment.
A t=0, Ox1 est confondu avec Ox de même Oy1 est confondu avec Oy.
2- Vérifier les deux relations suivantes. y
1- Représenter
→ sur un schéma clair,
→ ce mouvement à un instant t.
y1
VE R2 / R0   VE R2 / R1   VE R / R0 
1
y2
→ → → →
( E  C R / R)  E
2 0
C  R / R  E
C R1 /

2 1
R0 C x2
On donne : VE R/ R →
vitesse→
i j  d’entrainement
Θ(t
accélération x
de Ri par rapport à R j et ( E  c R / R i j

O O B x1

d’entrainement et de Coriolis de Ri par rapport à Rj
 )
A

17
Exercice 10

→ –→
Soit OA des heures d’un réveil et OB l’aiguille des minutes, tel
––
– l’aiguille que
OB
→  2 OA
→  2a

Soit un repère fixe R0 (O,x,y,z) de base (i , j ,k ) constituant un trièdre direct et tel que
les axes
Ox et Oy indiquent en permanence 3h00 (figure1). Soit un mobile M se trouvant toujours au
milieu du segment AB joignant les extrémités de la petite et de la grande aiguille.
Initialement le réveil indique 12h00
I- Seulement dans cette partie, on suppose que la petite aiguille reste immobile sur midi
(figure1) et seul la grande aiguille est en mouvement.
Soit R2 (0, x 2 , y 2 ,z ) est un repère orthonormé mobile de base i→  → tel que OB
2 , j2 ,k
→–  OB

– j
2

– →
1-a- Déterminer le vecteur rotation instantané →
2/0
 mobile R
du repère 2 par rapport à R0. On

pose →2 / 0  0
→ → →
→
b- Etablir les relations entre les deux basesi , j ,k et i , j ,k2 2

c- Déterminer le vecteur position du mobile 



M dans la base i→ , j ,k . Il est conseillé d’introduire

a
un point 0 ( 0, ,0 ) 
1
2

Y Y y1
y2

12 12
M B
A y2
A M
a B
9 3 6 3
O x O x
O

6 9
x2
x1
Figure 1 Figure 2

d- Montrer que la trajectoire de M est un cercle dont on déterminera le centre et le rayon.


2-a- Calculer dans R0, la vitesse d’entrainement par deux méthodes. Puis, déterminer la vitesse
absolue dans R0 en fonction de a et 0 t.

18
b. Calculer dans R0, l’accélération relative  R ( M ), l’accélération d’entrainement  E 2 / 0 (M ) et
2

l’accélération de Coriolis  C 2 / 0 (M )

c. Représenter sur un schéma clair la vitesse absolue ainsi que l’accélération absolue.
II- Dans la suite du problème, on considère le cas réel c'est-à-dire qu’en tiendra compte du
mouvement de la petite aiguille (figure 2).
– →
Soit un deuxième repère mobile R1 (0, x 1,y 1, z) lié à OA
→, la petite aiguille , de base i→
, j ,k 

→ –
1- a- Déterminer les vecteurs rotations instantanées →
2 / 1 et 1 / 0 respectivementdu repère R 2



par rapport à R1 et du repère R1 par rapport à R0. On pose –→
2 / 1  2et  1 / 0  1

c- Tracer, point par point, la trajectoire de M lorsque le temps varie de midi à 14 h 12 mn. Il est
conseillé de procéder par intervalle de 12 mn
→ →
d- Comparer les accélérations d’entrainement  et  respectivement du repère
E( 1 / 0 ) E( 2 / 1 )

R1 par rapport à R0 et du repère R2 par rapport à R1.

 ––
L’approximation faite en première partie  OA demeure fixe  est elle bonne ?
 

19
Solution des exercices
Exercice 1
Soit A le point où la canne est tombée, B le point où la barque fait demi-tour et C le point où la
canne est récupérée. t1 le temps mis pour aller de A à B et t2 le temps mis pour aller de B en C.


vC
+

* * *
C A B
AB –AC =AC soit :

( vb  vc )t1  vb  vc t2  vc ( t1  t2 )

 vb t1  t2   vc t1  t2   vc t1  t2


 vb t1  t2   0  t1  t2 et AC  2vct1

 400 ms1
 vc  2  4  
0 ,86 60
Exercice 2 :
Soit R → →
O, i , j , k  le repère fixe et R '

 → →   ,u , k  le repère mobile lié à



r

O,u y
(D)
(D)

M
→ →
u j ur

1-V (M )  dOM ' x
˙r
'
R
dt / R = ru O
i

→ → → →
du r →  →
R M   r˙ur 
d OM  ru  r d du r
 V
2-V R (M )  dt / R r
dt  r ˙ u  dt d →

r
˙ r rw(t)u 
3-
–– →
→ d ˙rur  
dVR ( M ) 
→
R (M ))  2d
dt /R  dt /R r  ( t
→ dt )u /R
OM

→ →  r d  r 2 →
  ( M )rur  r( t→
R ˙ )u  r( t )u 
˙ u ( t )u
→ → dt  r
 → ˙˙rmr(t )u → d →
 ˙˙
2˙r( t )u  r u  r ( t )u 2
ur –_ –,  →dt ––_
→
r – →
c
r – – –,

(M ) relative

(M )de Coriolis →
E
Accélération Accélération 
Accélération(M )
d'entrainement

20
→ dV → – → –
 r  ( MR ) ;  c  2→
'
'

dt VR (M)

La relation s’effectue autour de l’axe oz 


k
––→ →
→e  ddtOM/ R
2 '
d
dt u  r
2 r
(M fixe dans R )=  r

(→t )u
d → → → – → – → –––
Si = cte 
dt
 0 et e  r2 (t )ur  
→ →k  k  ru r 
→      
OM
Exercice 3 
→ ––dOM
1- V (M) → (M fixe dans R2)
E 2 / 0 
dt / R0

O : est le centre du repère R0, O1 celle du repère R1 et O2 celle de repère R2.


→–– ––→ ––––→
dOM  dO 1M
 dOO
(M fixe dans R2)= dt1 / R dt / R (M fixe dans R2)
dt / R0
0 0

––– ––––
 dO→
1M

→ ––––
dO→ 1M  R /O
R M
dt /R
 dt /R
→ 1 0 1
0 1

–––→ ––––→ ––––


dO M dO1O2 →2 M
 dO
 dt1  dt dt / R 1
/R
–_
K
–,
/R 1 1

VR1 O2 

––– ––––
dO – ––––
dO→2M  →2M  →R O2 M
→
 2 / R1

dt /R
1
–_ –,
dt /R 2

0 car M est fixe dans R2

→ → – ––––



 VE 2 / 0 M   VR O2   R / R  O2 M  VR O1– –→ R / R →
–– O 1M
– – ––→ _ – –→– –, 1 2 1 0 1

0

_ – – ––, V   M  E 2/ 1 VE 1/ 0 M 

2- Va2 /0 ( M )  V→ M   V R M
E 2 /0

––
2


V M   dO→
R2
2M

dt /R
2

E 2 /0  C2 /0  R 


 a2/ 0  → → M
––––
2

→ →
d 2
O 2M

 M R   →
2
dt /R 2

dVE 2/ 0
dV M 
 a2 / 0 
R2

dt /R 0 dt /R 0
→ →
dV R2 M  – →
dVR ( M )  R / R 
 2
→ R M
dt dt
1 0
2
/R 0 /R
V

1

21

dV R – →
2
  dVR ( M )
 V
(M)  → R / R 2
R 2 1
2

dt dt /R ( M )
– –
2

→ → →

1 2

→ →
– → →

→R 1/ R 0 R V 2 ( M )  R / R
 

/ R1
 VR1 ( M) V
 →R 1/ R  V R1 ( M )   R
E 2 / 1  

0
1 / R0  VE 2 / 1


→ → – → – → →
R ( M )   ( M)
 dVE( 2 / 0)   R / R  VR ( M )  R  →  V

/ R0
 R / R
1 0 1
a( 2 / 0)
dt 1 VE 2 / 1 R 2

2

→ / R0 2 1

 dV E 2 / 0 → →
 – → – –
→ →R / R  V R  M →R  1 
→R2 / R1  VR ( M )
 E C 2/ 0  1 1/ / R0 VR /R
0 2


1 0
dt /R
0

→ dV→
→  la question 1 ;
D’après dVE 2 / 0 dVE 2 / 1 
E 1 / 0

dt dt  dt
/ R0 / R0

d – →
dVE2/ 1  V E2/ 1 1 → 
d / R0 dt /R R / R VE2/ 1 1 0

t → →
dVE2/ 1 – → – →
 E
dVE1/ 0
→   → VR M →
 R / R R M
V
C (2/0)
d / R0 dt / R1
R /R  1 0
1 2 1 2


→ t ––– – 
dV E( 1 / 0 ) → – ––––
  R O1  →R / R0  dO →1
M

→R
d 1 / R0 O1 M
→
dt / dt dt
1
0

R0 
/ R0 / R0

–––→ ––– –
dO 1M → – ––––
 d O 1M 
→ R 1 / R 0
 O
→1 M
dt 0
dt 1


/ R / R

dV E( 1 / 0 ) → – – –––– dR / R ––––→ – →


dt /
  R O1   →R
0
1 / R2  
→R  1 / R0
O1 M 
→
dt
 2 0
→O1 M  R 1 / R0
 R1 M 
R0  /
R0 V
–––– →
dVE 2 / 1 → → dO M dw ––––
 R O 2  R / R  →2 / R 1  R /R
/ R1  →O2 2 1

dt /R  1
1
dt dt M
2 1

w ––– ––––
→ → – ––––
dOdt2 M /R  dOdt2 M /R  →R / R  → O2 M 2 1

 1 2


dV E 2 / 1 → – – –––– →R / R ––––→ – →
  R  O2   →R / R   → R / R  O2 M 
→  d
O→ M  R / R  V R M  2 1


2 2
dt / R  dt
1 1 2
1 2

/R
1  2 1 1


→  – – –––– d R / R ––––→ – → 
→ E
 C 2/ 0 →  O2  →R / R  →R / R  O→2M  dt /R →2
  R
1   O M  R / R  V R M 

1  2 1
2 1 2



2 2  1 2 1

 –
  – –––– d R /R ––––→ – 
 O  →R / R   → R / R  →O M   O1 M  2R / R  →


R M 
1 0

→ R 1  dt /R V
1 0

0 1
1 0 1 1 0 0

 

 E
→ C 2/ 1  →
E
C 1/ 0

→  → 
22
Exercice 4
→ →
Soit R( O,i , j ,k )
un repère fixe et
 ' '

R 0 ,i→, j ,k  un repère mobile lié à la terre.


' '


R 1 /R  k : Avec  est la vitesse de rotation de la terre autour d’elle même.

L’avion est en mouvement de rotation dans le repère R ' avec une vitesse angulaire 1. Soit,
u 1 ,u→
 1 et uz les vecteurs unitaires liés au mouvement de l’avion :

––– →
→ dO→ '
M du → →
1-V R  M   Rcos   R1 cos u  VR ( M ) 
1
1
dt /R dt /R Vu → 1 1 1

 →  2 → V ( M) 
1 1


2C  V u ;  C 
R / R R 1 1

→ 2V
1

AN : → 2  500 C 7,2710 ms
2 2
C 2 
 24 ;

→ →3600 – ––– →
2- →   R–
E  / R  R / R  O
1 
→M R cos  et E  R cos 
'
1

u
2


2
1

→ = 

AN :  E  1, 6810 ms  E  C
2 2

→→  →
3- VR (M )  Vu ; soit   → ON ,

→ →u  cos  sin 


1

→ →
OM →
→ VR M   → i '
 C 2wR / R 1
2wk  uV  2wVk cos j
1


→ AN :  C  7.27102 cos ms2
et  C  2wV cos

Au pole nord   0  C 
→ 2V

A l’équation   2  →
C 
0
Exercice 5
→ →
1-a- : i  cos I  sin J ; → 1
avec   4  t 2
J  sin I  cos
b- J
–– →
 OM 2→ →
→  x i  zk  v0 t i  ax k  v0 t i  av 0 t
2 2

k
2 →
 V→ →
–– →
––
0t  j
R/ R  OM  1 v
E
2
0

→ →
→ → → –
–– d 1 1
 E  R / R →OM   v0 t 3  2 i→  k→ v0 t
––
R/R 0

 
R/R

0
 OM dt i →
0
4 2
1 →
 v0 t3 2 → i    v0 t j
4 1
 2 ––
→ → → → → → →
C  2R / R  V→;r V r  dOM / R  v0 i  2av20 tk  C  v0
0
dt tj →

23
1 1

   v 1 4v
1
dS
dS  v 1 4v a t 
2-  vr  v02  4a2 v0 4 t 2 2 2 2 2 2

2 2 2 2

dt
0 0 at 0 0 dt
 1 8
 1
1
8 2
  2  4 T 2  T     s  v0  1 4v a t 
2 2 2
0
2
dt
0
 pose : u2  4v2a2t 2  u  2v at
On
0
0
8
2v0a 
v0
du
s  2v0a  dt  s  2v0a  1 u2 du; si on pose u  shx  du  chxdx
0

8
Argsh ( 2v0a  ) A
1
4a 0
1  ch xdx 
2
( ch2x 
1 u2  1 sh2 x  chx  s  2a
0 1)dx
1 8 1 8
s  4a Argsh( 2v0 a )  sh( 2( Argsh( 2v0a  )))
8a
–→ 6
Exercice →
1- a- OB  auOB  acos I  a sin j avec   0
t – →
→ →   a2 cos  sin
VB  dOB  a0 sin → J →B
I  a0 cos→
dt  →
 0
I
b- →
–– →
AB ––AO
– →
–  ( X acos  ) I  asin J
OB 0
J
→ →
B/ A V B/ A B/O
→B / O
2- V  et  
–– →
OM
→  v0t uOB  v0t cos I  v0t sin j
→ →
V→a  v0 cos  vOt0 sin  I  v0 sin   v0 sin  v0t0 cos ) J

→ →
 a  2v00 sin v 002 cos I  2v 00 cos  v02 t  J
sin 0

3-a : 
R1 O, x , y ,z  : repère mobile lié au disque.
→ Z z

R / R  0k y
→ → –––
1
R /R

→ →
1

b-  R1 / R  OM v0t j→
→ ve → ; vr  v0 i j
vM  ve  vr  v0i v0t j K
→ I O Y
→ → – –––

1
i
c-  e  
2
R /R  B
→ →
R / R  OM   v t i
1 0 0 θ
 → → 

 2 v
→ x
r j
C
R / R vr 0 0
 0 ;  → 1
→ X
→ 2
v ti  20v0 j
→a → →
e  C   r  0 0
 
24
4-a :

–– x  a –– X  acos0t


OB
→ /R 1  y  OB
→ /R Y  asin0
0 z  2d sint t Z  2d sint
 

n
b- z(T )  0  sinT  0  T  n / nN   2 0 /
nN → →
 a /R 1  0 i  2d sint k
2 2
c- V / R  a j  2d cost j
a 1 0
a
0
5-a : (t )  t  0  (ta )  0  ta
 
→ → →
b- : →    3 t
2
va  0v i  v0 t 0
 t →
j    v t  t 
a 0 0 0
i v 2
 0
j
 7
Exercice 
––→ –––→ –––– →
1- OM
→  OO1  O1M  h(t )k 
au→ ––
2-  → → du→
va ˙ 

dt / R  h( t )k  a dt / R
dOM
O 0


→– →
du du
 dt →R / R
˙ ˙ u  v a ˙
u  ˙ u   u  ˙ 
h 
t k  a ˙
    
dt ˙
1 0
/ R0 /R
u
  
1

––
→ → → →
v→  (M fixe dans R1)  ve  ˙
→ hk  a u et vr  va  ve  ˙
e
dt / R →
dOM 0
a˙u

→ du

3-  a  ˙˙ → 
 hk  a ˙˙   u  
 ˙ ˙  
dva dt / R ˙˙
 → dt / R
0 0

→ a →
du  du  u   ˙  ˙
dt   wR 1 / R 0
dt
/ R0 / R1
→ u
du
→ ˙→ →
  a  hk  a˙   u  a ˙ 
˙
 ˙ ˙ ˙˙  dt
→
˙
/ R0

u  a  u 2
→
r  
––→ 

→ → → ˙˙
a˙˙ d 2
˙˙  a˙2
e  hk  a u
OM  (M fixe dans R )    1


e
dt
→ / →
R → → u → 

   ˙→     
0

2a  ˙ 
c a e r c u
Exercice 8

1-  2 / 1  ˙
i –– → → d O1
(M )  →
/ R1  ru
˙ r

a- OM )  rur  v R M dt 
r u
1

˙

25
→ 2

→ 2
(M) 
b-  R1 (M )  R1

– → → r
˙r→˙ ˙ ˙ ur 
2- 1/ 0  k → 2˙r˙ u

––  →–  u→–
– ˙r˙– u  r→˙ ur
a- OM OO 1  O1O  →OO1 i 
ru→ →
r →
vRO ( M )  vR1  M  e

v

→ → ––––
ve  vR0 ( O1 )  R1 / R 0  →
O1
→ → M
 ––→
→ –
––→ →– OO
vR0 ( O1 )  1
di  OO1˙ j On pose 1 
OO dt d
/R
→ 0

→ –––– → ru→ → → →
 O M  
˙ k  ˙k  r (cos  j  sin  k )  ˙ r cos 
 R / R0 → 1 r

→ → i
1

v  d ˙ j  r cos
 
 e
→i ˙ →
v→M ˙  ˙
→k  r  sin→j  cos→
 r cos j  sin k
R /R

1 1


 →
v  R /R
M  r 
˙ cosi  d ˙  ˙ 
0 1   ˙r cos ˙ r sin j  r sin  ˙ cos
  (M ) 
b- R0 / R 1
 r j
?
dvR ( M )
 R (M ) 
0
0

→ ˙ dt /R → 2 → 0

 ˙˙r cosi ˙ sini 
˙ cos j  
˙r˙  2
sin  ˙ cos 
→ →
r cosr  cos  cos   r ˙
j 2 cos
d˙ 2 sin˙  i   ˙ ˙r sin   r
→ r  2
˙ ˙ ˙→r ˙ →
˙ (M
R0r˙ ) / R1    
˙  2r˙˙ cos   ˙˙ sin i  2r˙ k   r cos ˙
˙   2
 ˙ 2
j  
d →
2r ˙ r  ˙ 
( 2˙r˙ cos  r˙ 2
sin 
cos ) k

Exercice 9
Y1
I-

j1 i2 θ
j2
x1 x
O
’ i1 B
O

A
26
d 2 d d ; la tige est au repos à t= 0
1- dt 2    dt t 
t 0
dt
d 1
0   t   t    t 2   t  0
ddt dt 2
 t 0

Or à t=0, la tige est portée par Ox1  0  0   t  2


12
t 
'

R O , x , y , z  Repère lié au cercle supposé fixe.


2 O , x , y , z  Repère lié à la
1 1 1 1
R
tige. '
2

→ – ––––
vR M   vR M  →
2
R2 / R1  →O'
→' 1 2

– z // O z //M
O '

O 'z k2 → tk → –––– →

 R–/ R  ˙
–––
1
2 1
→
 ti2 
  –R / R  → O' M  R t sin t k→ i2  R t sint 2
2 1 
O
→M  R→sin j→
'

–––– 
→ → → →
vR2  M  '  R cost i2 vR1 M  R cost i2  R t sint
dO dtM / R j2 →
 
2

→ –
– – –––– →R / R –––– →
   (   O'
M )  → →
2-  M  →
E R / R → R / R 2 → 1 2 1 →
d dt /R  O M = R t sint k  j   k  R
' 2 2 2 2 1 2
 →
1
→ sinti
→ R 2 t 2 sint i2  R sint → j2
E
→ –→ → →
  2
 v M   t k  R
c
 R / R1 2

cos →
1
R
→→ →t i2  2tR cost j2
2
dvR M

 (M )  dt
R
 R  2
sin ti 2
 /R
2
2
2

→ → → → →
a  R (M)  t  c  R2 sint  R2 t2 t  i2  R t  2 tRcost  j2
→ c

sin sin
II/ 1-

27

2-    t   t   2
d →k
12  0t  → R /R  t k    
0
t
2 0


 – ––– →
→dt →
v E  R2 / R0  vR O'  →R / R  O→M  R0 j1   0   t k  R
'

→ 0

2 0 2
  sinti  →
  R0 j1  w0   t Rsintj2

→ → ' – –––→ →

vE R 2 / R 1  v–R _, O → 1
R / R  O
1
'
M  R2
 t 2
sin  tj
→ ' –
0


v E R 1 / R 0  R O  →R / R  –
'
O––
1 –→ 0


0

M
di1 
v→ → – ––– → → →
v R O'      
'
0  R j0 1 ; → R / R  O→ M  0 k
1  R 1
ti2 
0
R 0 sin tj2
R dt / R sin
 →
0
→ →
v
 E 2  R / R1   v E R 1 / R 0   R  j
0 1   t  0 Rsin  tj2  vE R2 / 0

→  R
Exercice10  

I-1-a : →2/ 0  0k
→ → → →
b- i2  cos0ti
→  sin 0 tj ; j 2  sin 0 ti 
cos0tj

–– →
– →
–– a →
c- OM  OO1  O1M  j
→ 2
aj2 ––
–––→ ––→ –––→ ––
→ →
→  OA  AM  OA  AB

– →– a →
Autre méthode : OM 2  OA  OB  2 j  aj2

→–– a →
OM  (  acos0t ) j  asin0ti
→ 2

d- →OM  a j→
––  acos0 tj→
 asin0 ti
–––  a →j  a2 
  OM  1
→ 2 C(O→,a) 22 
→ – → –––
2-a →2/ 0  OM
vE  

 v E  a 0

2  cos 0
t  i   sin tj
 0 0
 →
→a –
1–– →
→ a –
– →
v ( M )  dt
R 2

dOM 
a dj  → 0/ 2  j

2 2 dt /R

2 2
/R

→ vR ( M )   a 0→
→
2
Or –→
0/ 2  2 / 0 0k
i
2

Autre méthode : → →
j   sin0ti→ cos0tj2

; i  cos0ti  sin0tj2

28

dj → →
 0 (cos 0ti→ sin 0 t j2 )  0
dt / R 2 i
v (M )   0 → i
→R 2
 2

a →
→ – –
→ –––– dR2 / ––––

 E R 2 / R 0   R O   →
'
R / R  ( 
→ R / 0
R  →O'
M )
R
→ 2 0

 /R
 O' M 0


2 0 0

 → ' 2 dt
 R O 
0 i

→ – 0 1 ––– –
R
→ R / R  (R / R  →
 2 0
O' M )  0   t →
2 0k  0   t R sint j 2
 2 → →
 0   t R sint i2

 →R2 / R  –O––'–M  →k  R sinti   sint → j2
d dt /R → 0
2
R 0 →
→ → → →
 E  R2 / R0  R2  0   t R sint i2  R
2
t j2
sin→  – 0 i1
 c  R 2 / R0  → v ( M )  2 0   t k→  R costi2
R / R  R →
2 0 2
2 →
  c R2 / R0   20   t R cos→
→ t j2
→ →
→ E R / R   R2 →    t R sint 
2
(  c 2
0 i1 0 0  ( R sint  2    t R cost )
0
i2 →
→→) → ' – – ––––j–2 d  R / R ––––' – –
 ( c  E ) R / R    R O  → R / R  
→ →   →O '
M  O
→ M 

→ R / R  vR (M )
2 1

 – 0_ –,
R / R

dt
2 1 2 1 2 1 2
2
1

2 1


 R 2t2 sin ti2   R sin t  2 tR cost  j 2


– –→ ––––

( c E  R / R   R O →
→  '
R / R R / R → R / R  vR (M )
1 0 1 0 1 0



0 1


1 0

→→R )  O'  R02 i1   (  O'M )  →


–––––
0
– – → 2 →
 → 1R 
/ R  (
→0R / R  →O '
M )   1

0 k  0 k  R sin ti2 )  02 sin ti2
( –→ → R→→ → →
0


2R / R  vR (M )  0 k  R costi→
1 0 1 2   t sin tj 2   2R0 costj 2  2R t sin 2
2 R

 ti
( c E R / R   (c E  R / R  R t sin t  2R 0 sin ti2  
→ → 2 2  R sin t  2Rt cost  →
2


1
t
1 0
 2R0 cost  j2
R)2 sin ti→ R)2 →  R  t  2 sin →
→ → →
0 2 0 ti2 (R sin t  2R 0   t cos t) → j2  R2
0 i1 0 i1
→  → → 
 ( c E  R / R   ( c → E  R / R  (c

E  R / R

2 0 2 1 1 0

va  a0 cos  
→ ) → )0ti→ a0 sin
→)0t j  a0i2
dvR ( M ) a 2→
b- R
(M )  2  0 j

2
dt / R2 2

29
→ →
– →  1
–O
–––'→ →
M )  a0  sin 0ti   cos0 t  
2
 
 E 2 /0 R2 / R0 R2 /R 0
(M )   (    2 j

→ – → →  
 c2 / 0  (M )  2
→2 R /R 0
v R2( M )a
2
0 j
→ → → →
   a
→ →c → 2
ti  cos tj  a 2
r
a  E  0 0 0
0 j2

c- sin


– –→

→→
–– → → → → → → → → →
b-  OM
II-1-a  j  aaetj2 j21/sin
2/1  221k
 ti  cos0tj ; j1  sin1ti  cos1tj avec 0=1+2
0  01k


–– →
 OM  a sin0 t  1 sin1 t i  a cos0 t  1 cos1 t
2 2
j     →
2
2
2  T avec T2 =1h=3600s  2 rds 1 ;  1  2 avec T1 =12h=43200s
2  3600 T1

2
 1  rds 1
43200

0m
t-12h 12mn 24mn 36mn 48mn 60mn 72mn 84mn 96mn 108mn 120mn 24mn
n

   2
   7
 4 3  11
W1t 0
30 15 10 15 6 5 30 15 10 3 30
2 4 6 8 12 14 16 18 22
W2t 0 2 4
5 5 5 5 5 5 5 5 5
x 0 1 ,030 0,510 1,105 -0,539 0,750 1,244 1,143 -0,622 0,095 1,299 1,12
a
y 3
0,705 -0,424 0,166 1,125 1,299 0,095 -0 ,216 0,230 1,244 0,750 -0,530
a 2

13 13 13 26 13 13 81 52 39 13 143
0
W0t
30 15 5 15 6 5 30 15 10 3 30

30
N .B : Les axes ne sont pas
gradués de la même façon.

c-
– →
– →
 E( 1,0 ) → –
–––→ 2
k k j  →
    2 
 → aj  2 1
1/ 0 1/0
→ → (  1
  
 a 2→ →
 1 2 k  a → i1  ai→2 
  1 1j  aa12→2
j  2 2
 OM)  
'
 →  1
 2

1 
 1 cos  t  cos t  j  sin1 t  sin  →
 E( 1 / 0 ) 2
1 0
 0t  i 
a     2  

2 
 E( 1 / 0 )  a 1   1  1  cos 1 t cos 0 t  sin1 t sin
2 4

 4 t 0 


 
 a2 14  5  cos(0  1 )t  a2 14  5  cos( t
 4   4 2 
– –
→ → → →
→ ––
–→ 2
 a 
 E( 1 / 2 ) 1/ 2 1 / 2 OM )  2 k→  k  2 j1 aj2 
 (   

 →  1
cos  t  cos  t  sin t 
 2
 1 sin 1
2 
→
j  0t  i 
1
a  2 0  2
 
1
2
 E( 1,2 )   5  cos 
2
2
a 4 t 2 


→ →
 E( 1,2 ) 22 →
→  or 2 >> 1   E( 1,2 ) >>
 E( 1,0 ) 2  E( 1,0 )
1

 L’approximation faite en première partie est bonne.

31
Dynamique du point matériel
Exercice 1
Un point matériel M de masse m se déplace dans un plan (π) défini par le système d’axes Oxy,
qui constitue le référentiel galiléen Ra. Un système d’axes OXY mobile (par rapport à Ra) du plan
(π) constitue un repère relatif Rr. Le mouvement de M par rapport à Ra sera dit « mouvement
absolue de M », et le mouvement de M par rapport à Rr sera dit « mouvement relatif de M »
On désigne par :
 θ=t , l’angle que fait OX avec Ox ,  étant une constante positive et t le temps.

X et Y les coordonnées de M dans le système d’axes OXY. I et J les vecteurs unitaires des axes
OX et OY.

Le point M soumis à la force F de composantes Fx et Fy suivant I et J .

1 Montrer que la loi fondamentale de la dynamique peut s’écrire : mr  F  Fe  Fc


Où r est l’accélération de M par rapport à Rr , Fe , Fc sont des forces que l’on explicitera en

fonction de X, Y et leurs dérivées s’il y a lieu .

2Démontrer que dans le mouvement relatif de M l’une des deux forces Fe et Fc ne travaille

pas et que l’autre dérive d’un potentiel dont on donnera l’expression. (On considérera pour cela

les puissances relatives de Fe et Fc ).

Exercice2
Etude de l’usure des rails de chemin de fer
Soit un repère galiléen R0 (O, X, Y, Z). Centré au centre de la terre et dont l’axe OZ coïncide avec
l’axe passant
→ par les pô les Sud et Nord (S-N).
Soit un repère mobile R(O,x,y,z) , lié à la terre , dont l’axe Ox est initialement confondu avec l’axe
OX. Soit  le vecteur rotation instantané de R par rapport à R0.
Soit un train de masse m, assimilé à un point matériel M, se trouve sur une voie ferrée, situé en
Afrique du Nord et reliant une gare de départ M0 et le nord –Est du pays.
I.Cas dul’angle
 ' Est train en
quearrêt
fait àlaladirection
gare de départ Onferrée avec le Nord. λ est la latitude de la gare M .
de la voie 0

considère le train en arrêt en M0 (Figure 1)


1Déterminer l’accélération absolue de M, en appliquant la loi de composition des
accélérations, dans la base sphérique.
2 a- Etablir le bilan des forces dans R.
b- Ecrire le principe fondamental de la dynamique dans R.

32
→ →
ur ,u ,u , déterminer les composantes de la réaction.
3- a- En projetant le PFD sur la base 
b-Pour quelle composante la réaction nongaliléenne est très négligeable ? on appellera cette

composante R1.
c. Etudier les différentes composantes de la réaction en fonction de la latitude λ. Conclure.
d.A .N : On donne λ=30°, g= 10 ms-2, m= 100 tonnes, rayon da la terre = 6400 Km. II-
Cas du train en mouvement uniforme :
Le train se déplace vers le Nord-Est avec une vitesse relative constante(V0).
A l’instant t, il se trouve en M . (figure 2).
–––––→
1-a Déterminer le vecteur M0 M . Etant que le train se déplace en Afrique du Nord,
cette nouvelle
latitude sera-t-elle très différente de la précédente ?
b- Ecrire le principe fondamentale de la dynamique dans R .
b- Montrer que la composante R→ 1 de la réaction opposée au poids reste pratiquement

inchangée par rapport au cas I.


A.N : t= 100 mn , V0 = 100 Km/h , θ’= 45°. Calculer la tension de cette composante en gardant les
données numériques précédentes.
Calculer les nouvelles corrections non galiléennes affectant les deux autres composantes de la

réactionR→,et R–
2
3

→de décomposer →R
On propose 2

 R3 dans le cas II comme suit :
→ → →
R→2  R 3 II = R c 2 3 I
→ → →  R→ R avec Rc : la nouvelle correction non galiléenne à R 2
R3
I
du
→ →
 →
→ 
cas I. Déterminer la direction, le sens et l’intensité de R . Déterminer
c R2 , R3 , et Rc

Figure 2

33
Exercice 3
Un homme se tient debout et immobile au bord d’un plateau circulaire horizontale de rayon
R , autour de son axe OZ avec une vitesse angulaire  constante . Soient R(OXYZ) le repère fixe
au sol et R’(O’ xyz) le repère lié au plateau dont l’origine O’ coïncide avec le pied de l’homme.
L’angle (OX ,O’x) est égale à θ =  t .
→ →
1- Calculer les vecteurs vitesses d’entrainement Ve et accélération d’entrainement 
e de l’homme.
2A l’instant t=0, l’homme lâ che sans vitesse initiale une bille M de masse m, d’un point M0 de
l’axe O’Z situé à une hauteur h au dessus du plateau.

a. Quelle est la vitesse initiale Va (M,t=0) de la bille ?

b. Déterminer les coordonnées X,Y,Z de la bille en fonction du


temps .
c. La bille tombe- t- elle sur le plateau ou à l’extérieur ?
Calculer la distance du point d’impact (Z=0) par rapport au centre
du plateau.
3- A l’instant t=0, l’homme lance du point O’ la bille sur le plateau, dirigée vers le centre O. Le
mouvement s’effectue sans frottement.

a.Ecrire la relation fondamentale de la dynamique appliqué à la bille dans le référentiel R’(O’


x y z).
b. Déterminer les coordonnées x(t), y(t), et z(t) de la bille.

Exercice 4
Soit R0 (O x y z) le référentiel du laboratoire que l’on suppose galiléen de vecteurs de base
→ →
 
i , j , k . Une tige  , dont la partie inférieure est fixée en O, tel Oz,     , tourne

que
uniformément autour de Oz. cte

34
Un anneau M de masse m peut coulisser sans frottement sur  . L’accélération de la pesanteur

dans R0 est g. Soit R 1(O x 1y 1z 1) un référentiel de vecteurs de base → →


i1 , j1 , k  tel que la tige 
soit
constamment dans le plan x1oz.
1ère partie
Tout d’abord l’anneau se déplace sur la tige avec une vitesse uniforme vr .
1Calculer directement les composantes des vecteurs : vitesse et accélération absolues de M, en
déduire les expressions dans R1.
2En utilisant les théorèmes de la composition des vitesse et accélération calculer : a-
La vitesse relative et d’entrainement dans R1.
b- L’accélération relative, l’accélération d’entrainement et l’accélération de Coriolis
dans R1

z
∆ Y1

0 t
x
X1

2ème partie
Maintenant à l’instant (t=0) l’anneau est lâ ché sans vitesse initiale d’un point M0 tel que OM0 = r0.
1 Quelles sont les forces appliquées à M si l’on se déplace dans le repère R1
2 Déterminer l’équation horaire du mouvement de l’anneau r(t) ?
3 A quelle distance r0=r de l’origine l’anneau reste-t-il immobile ?
4Calculer la composante de la réaction de la tige sur l’anneau M suivant Oy
N .B : On rappelle que l’équation différentielle suivante :

˙f( t )  2 f ( t )  A, admet pour solution f ( t )  A e  A et  A2


t 1 2 
˙
Exercice 5
Une particule assimilée à un point matériel de masse m, se déplace sur la rainure intérieure d’un
cerceau de centre 0, de rayon a et d’axe horizontale Oz, avec une force de frottement visqueux
→ →
f  bmv où v désigne la vitesse relative de la particule par rapport au cerceau et b un

coefficient positif constant.

35
––→ –––
La particule est repérée par 
  OX
→ ,OM .
On supposera  petit dans tout le problème.
La particule est abandonnée à l’instant
t=0 depuis la position   0 sans vitesse

initiale. A- Le cerceau est immobile :


1Etablir l’équation différentielle du

second ordre vérifiée par  t .


2a – Quelle valeur ac faut-il donner au rayon du cerceau pour que la particule atteigne
l’équilibre le plus rapidement possible ? Déterminer alors la loi horaire θ(t).
b- Calculer dans ces conditions la valeur maximale du module de la vitesse la particule et la
réaction correspondante.
B- Le cerceau est animé d’un mouvement oscillatoire de rotation, de faible amplitude autour
de son axe Oz.
––→ ––→ ––
  0 sint où   → 
Ox ,OA
désigne un rayon fixe de cerceau.
, OA
1 
Etablir l’équation différentielle du second ordre vérifiée par t .

2 Déterminer l’amplitude θM de l’élongation  t  ainsi que le rayon aR du cerceau qui


permet
d’obtenir la résonance d’amplitude. (Il est conseillé d’utiliser dans cette question la méthode
complexe)

Exercice 6 –

Un plateau horizontale(P) tourne à vitesse angulaire constant  autour d’un axe vertical OZ d’un
repère fixe (O, X, Y, Z).
Un point matériel M de masse m est mobile sans frottement sur un guide rectiligne Ax lié au

plateau à la distance OA=a du centre O. Ce point est rappelé vers A par une force de rappel F

Proportionnelle à x  AM F  kx  grâ ce à un ressort de raideur k et de masse négligeable (figure 1)

1 En prenant un repère entrainé d’origine A : (A,x,y,z) :


a. Etablir le bilan de toutes les forces agissant sur M par rapport à ce repère.
b. Ecrire le principe fondamental de la dynamique par rapport à ce repère et projeter la
relation vectorielle obtenue sur l’axe Ax. Indiquer si le point M peut être en équilibre relatif par
rapport au plateau ?
c. Si oui, déterminer les positions d’équilibre relatif. Etudier leurs stabilités.

36

2 A l’instant initial, M est au point A, il y est lâ ché avec une vitesse relative . Démontrer
v0
qu'on pourrait avoir deux solutions pour x(t) dont on déterminera les amplitudes
correspondantes : Un mouvement relatif oscillatoire dont on déduit la période des oscillations et
un mouvement où la particule s’éloigne indéfiniment.
3 Maintenant la force de rappel est supprimée et le point matériel M est un petit cube qui
glisse sans frottement sur le plateau(P). Mais s’appuie sur un guide vertical avec un frottement
de coefficient f (voir figure2).

Le point M est d’abord fixé au point A (x=0) et lâ ché à l’instant t=0 avec une vitesse initiale .
v0
→ → → →
On désigne par R 1 la réaction du plateau sur M et par R 2  T  N , la réaction du guide vertical

sur M (M désigne le petit cube) ; T→et N sont respectivement les composantes tangentielle
→ →
(parallèle à Ax )et normale ( parallèle à Ay) telles que : T  f N

a. Ecrire le principe fondamental de la dynamique par rapport


au repère (A,x,y,z).
b.Projeter cette relation sur les trois axes Ax, Ay et Az. Démontrer
que la loi horaire en x(t) vérifie l’équation différentielle :
d 2x dx
dt 2  2 f    x   f 
2

2
a
dt
Intégrer cette équation différentielle et montrer que le mouvement de M suivant Ax est
apériodique.

37
Exercice 7
Soit un repère galiléen R0 (OXYZ), de base I , J , K  , centré au centre de la terre O et
dont OZ coïncide avec l’axe passant par les deux pô les .
Soit une zone d’exploration géologique située a une profondeur L d’un point O1, de latitude λ
fixe
à la surface de la terre. L’accès à cette zone se fait grâ ce à un forage (~ un puits) cylindrique
dont l’axe de symétrie O1z passe par le centre de la terre O.
On se propose d’étudier le mouvement d’une masse m, assimilée à un point matériel M,
lâchée en chute libre, de O1 sans vitesse initiale par rapport à la terre. →

On néglige les variations du module de l’accélération de la pesanteur g .


→ →
Soit un repère direct R 1 (O 1,x,y,z) de base i , j ,k tel que l’axe O 1x est porté par la tangente

à la surface de la terre et dirigé vers l’Est . A t=0 s , M est en O dans le plan XOZ (voir figure) .
1

I-1-a- Le repère R1 est-t-il galiléen ? Déterminer le vecteur rotation instantanée de R1


par rapport à R0
1-c – Ecrire le principe fondamentale de la dynamique (PFD) appliqué à M dans R1.
1-a- Déterminer le module de la force de Coriolis.
1-b- Déterminer le module de la force d’entrainement.

1-c-
On peut négliger un terme par rapport à un autre s’il est 20 fois plus petit. Pour   4
→ 2
et g  10m/ s , trouver les domaines de profondeur L où on peut négliger les effets de la force

de Coriolis Fc devant ceux de la force d’entrainement Fe et vice-versa.

On donne : T (période→de la terre)=24 Heures ; Rt (Rayon de la terre)=6400 Km


III- Dans le cas où F→
e  Fc , on se propose d’étudier la déviation de la particule M par rapport

à O1z.
→ →
1-a- 
Exprimer le vecteur K dans la base i→
, j ,k .

1-b- Réécrire le PDF appliqué à M dans R  1.

1-c- En déduire les équations du mouvement de M.


2-a- Montrer que l’abscisse x(t) de la masse m s’écrit sous la forme suivante :

x( t )   gcos   / 4 2  2t  sin 2t 


2-b-
Quelle est la période T’ de la fonction sin2t ?
2-c-
Pour des durées de chutes libres t <<T’, et en effectuant un développement limité de x(t)
au premier terme non nul, déterminer le sens de la déviation compté sur le cercle
parallèle passant par O1 .
38
3-a- Calculer l’ordonnée y de M à l’ instant t.
3-b- En déduire le sens de la déviation compté sur le méridien de O1
3-c- Cette déviation se fait –elle dans le même sens lorsque O1 est situé dans l’hémisphère
nord ou lorsqu’il est situé dans l’hémisphère Sud ?
4- Quelle est la position du point d’impact de la masse au fond d’un forage, situé en Tunisie,
par rapport à son axe.

N .B : Pour une équation différentielle de la forme x   A2 x  B où A est une constante et B est

 B 
une fonction du temps, sa solution générale est de la forme : x( t )  acos At  b sin At  A 2 

avec a et b des constantes d’intégration qu’on déterminera à partir des conditions initiales.

39
Correction des exercices
Exercice 1

Y
X

I
J
θ x
O
→ → →
1- F  Fx I  Fy J

Ra un repère galiléen  ma  F



→ –→ –→ –→ –→ –→ –→ –→ –→ –→ –→

→a   r –→
–  e –
–→  c   r   a   e   c  m r  m a  m e  m
→ c

F–→
e  m e et F c  m c




dOM → →
OM  X I→

–  Y J→ V– e  → /  X
dI dJ dI d dJ d
dt dt  Y dt  X dt dt  Y dt dt
→ R , avec X ,Y  cte

– → → –a
dV→e –––
 –→ e
  XI  YJ    dt
/   2 →
OM
 Ve Ra , avec X ,Y  cte

→ 2 ––– 2 →
 F→e  m OM  m ( XI →
YJ )
→ → – → – –→
˙ → ˙
 c  2  V r  F c  2m XI  YJ
2- Puissances relatives →
Vr  ˙ ˙
→X I –
– Y J
→ →

P F– 
→e  F e V r  m XX 
2 ˙

˙

YY
 – 
m 2
 F e ne travaille pas.

e 
U   P F→ dt  2 X 2  Y 2  
e


 
P F→e  2m˙XX  YY 
cte
0 ˙
3-  
Condition nécessaire et suffisante pour que F dérive du même potentiel dans les deux
mouvements absolu et relatif.

 
Il faut que F.Va  F.Vr  F Vr  Ve  F.Ve  0
40
→ → → →


– →
 XI→YJ Fx I  F y J  0  XFy YFx → est une force centrale de

centre O  0  OM  F  0 
F
Exercice 2
I- Cas du train en arrêt à la gare de départ
→ →→ → –
→ – → –––
1-  r  0 ; →
→→  0        (  OM0 )
c a e
→ → → → → → → →
k  cosur  sinu  sinur  cos  e  a  R2 cos  cos ur  

u 
→ → sinu

P  mgu ; R  R u  R u : Forces réelles
 → →
 F→ 0→
r 1 r 2 
2-a : bilan des forces dans R : →   r  sinu  : Forces fictives
2
 c ; F e  R cos cos u→
→ → →
c- RFD dans R   F →reeles   F fictives m r

→ → → → →
 mgur  R1 ur  R2  mR2 cos  cos ur  sinu  

u 
→ 0

3-a- Projection de la RFD sur ur  R1  m g  R cos 2 2


Projection de la RFD sur u  R2  mR 2 cos  sin

b-Si g  R 2 cos 2   R1 ≃ mg la correction non galiléenne est
négligeable
c-

 m g  Rw2 à l'équateur   0 ( R1 est


 min)
R1  mg  Rw2 cos2 
  mgau poˆ le nord    ( R2 est max)
 2

0 pour =0

r 2 R 2 
R  m 2 sin 2  m 2
2   pour   ( R2 est min)
 4
 
0 pour   2
→ →
d - A.N : R1  999975 N, R2  1466
Newton
II- Cas du train en mouvement uniforme.

1-a- M 0 M ? soit ψ l’angle (M0Ô M)

‸M M  v t  R
0 0

–––0––
M →
M–––––→  ––– –→
––– –→ →


sin 2  2R  M0 M  2R sin 2  M0 M  M0 M u  2R sin→2 u
On considère maintenant le triangle OM0A avec l’angle (M0OA)= '  

41
–––– ––––– vt
→0M cos  2Rsin   2    sin  2    sin 2 cos  cos' sin2R
M A  M '  '   '  '
→0 0
  
 
Le déplacement en Afrique du Nord vers le Nord-Est sera très limité à cause de la méditerrané

v 0t  '   
 2R   sin 2  ≃ 0   ≃
'


La nouvelle latitude ne sera pas très différente de la précédente ( ' ≃ )
→ →
→ → → 2 →
e   k  (→
2 ' '
 e  R cos '  cos ' ur  sin' u
b-  k u ) or k  sin  u r→
 cos  u →
 r 

v or v→ →
v0u avec u  cos →
'
u  sin' M
→
c  2k r r

→ u → → → →
c →  
 2v0 sin' ur  cos ' u  cos' u  sin' 
→  Θ’

→ u
  '→ → u
 c  2v0 sin'(cos u  sin u )  cos   ur

' '
 M0

sin u
2- R .F .D dans
R → →
Mouvement uniforme   r  0
→ → →
mgur  R1ur  R2 u  R3   mR2 cos ' cos →r  sin → u 
' '


u '→ 'u '→  →
2m0 v0 sin ' (cos u  sin  u )  2m v cos '
sin u r  0

  0


b- Projection de la R.F.D sur ur  R1  mg  mR 2 cos 2  '  2mv0 cos ' '

→ sin
Projection de la R.F.D sur u  R2  mR  2 cos  ' sin '  2mv0 cos ' sin '

Projection de la R.F.D sur u  R3  2mv0 sin
' '

R  v0  R1 ≃ mg  R cos cos  or     R  ≃ R 2
2 ' '
1 I

1 II

A.N : R1  397405 N

3-a- Voir 2b.

b- On a Rw  v0  la nouvelle correction non galiléenne affectant la composante R2 n’est pas

très importante.


R3 → 
 0et R3 →  0→→La correction non galiléenne est importante.
  
I II
4- R c  R 2  R 3  R2  R3
II → I

→ 
Rc  m 2 sin2   sin2  2mv0 sin sin  u 
R2
'
 ' '
' 
0 sin' cos →

2m v u
→ →
Rc  Au  Bu
→ →
On a ' ≃   Rc  v0 sin sin  ' u  cos' u 

2m
42
→ → → →
R→c  R c u Rc ; Rc  2mv0 sin  et uRc   sin ' u  cos'

u
A.N :

Rc =202 N.

C’est cette composante qui provoque l’usure


des rails de chemin de fer.

Exercice 3
–––→ → → →
→ dOO' d( Ri )
1- ve   →
dt / R dt  R j  R(  sin I  cos
––– – J)
OO  d
→ d2' → –––– – → – ––––
e  → → '
O M →   ( →O'
– dt dt
2
M)
→ ––– '

→–  →
––––
–  O' M ) 
 O
→ M  ( →
dtd 0 →
 – –

→ d 2' OO → → →

 e  →2 R 2 i  r 2 cos I sin
dt


→J →
2-a- Vitesse initiale de la bille : va  0  v (t  0 )  ve (t  0 )  R
M ,t →
homme
→ j

c- Coordonnées de la bille en fonction du temps :

a a

 d 2 X 0→ →
dX
 dt 2: m
P.F.D  mg  Cx  g
2
 dt Cx  0
d Y 
dY
0    Cy conditions initiale  C y  R
 dt 2  dt
2 C Z  0
 d Z2 dZ
g   gt  CZ
 dt 

dt
 dX  0  
 dt  X ( t )  C '
x
 C' x  R  X(t )  R
dY   ' 
  R   condition sinitiales C y  0   Y( t ) 
Y ( t )  Rt  C y
'

 dt  1 2 Rt  1 2
'  '
Z( t )   2 gt C Z
CZ h
Z( t )  2 gt
h
dZ

  gt

dt

43
2h 2h la bille
c - La bille mis du temps pour Z=0 ;  t 0  g ; X(t )  R;Y( t )  R g  0
0 0

tombe à l’extérieur du plateau

 2h 
02   0  R 1 2 h
2
Point d’impact :
2
 R2 2

R   g  g

3- Relation fondamentale de la dynamique appliquée à la bille dans le référentiel R ' (O ' xyz )
–––→ →
O' M  x →i  y j  zk
→ → → → →
F     car mg
→ → R→ 0
a- m r  e
Fc R Fe Fc 
mg → →
F  me–  
F→ 2 2m →
me C Ri →
vr
–   →

0 → →
   
  0  ; vr  ˙y →F  2m(˙zi 
c

˙x  ˙z


˙xj  )
b- 

˙x˙  R 2  2˙z
( 1) (2
˙˙y 
)
˙z˙
2˙x (3)
0
(3)  z˙  cte , à t =0 ,  z=cte=0
(1) ˙x˙  R 2  ˙x  R2t  C ˙x  v0 
,2 à t=0 , 1
R
1 t2 C' 1 à t =0, x=0  C 1 ' 0  x( t )  1 R 2t 2  v t
2
 x˙   Rt  0v    v t  0
2
0
C 2
x(t)
(2) ˙˙y  2˙x  2  2Rt  v   2 3Rt 

2v 0
t 3 0
˙y 2  R  2v0t  C2 à t=0 , y˙  0  C2  0
22

3 2 1 3 3 2 '
˙y   Rt  20v t  y( t ) 
3  Rt  0 v t 2

C
' 3 3
2
à t=0 , y=0  C 2 donc y( t )   Rt 
3
v0t

44
Exercice 4
1ère partie z →
ux
–– →
→  ru→ M y1
1- OM r  vrtur θ

→ sin cos0t
ur → →  sin  sin 0t
→ y
 
 



cos
i, j, 

k)
w 0t
x1
x
* Composantes de vecteur vitesse
absolue dans R0
→ vr sin cos0t  0r sin sin 0t
VM / R → →  v sin sin 0 t  0 r sin cos0 t
 0   r

i,j, 
→ k

vr 

cos
 

* Composantes de vecteur accélération absolue dans R0


2
2v r 0 sin sin 0t   r sin cos0
→ 
 M / R → →  t 2vr 0 sin cos0t  2 r sin sin 0
t 0
0


i,j, 

→ 

k


* Dans le repère R1

2r sin
V→
M/R 
vr sin
0r sin ;  M / R 2vr0 sin
→ →
0 0 → → →
→ →v cos
  
i1 , j1 ,k
   

  r 
 
 i , j ,k

 0
2- Théorèmes de la composition des vitesses et des accélérations :
–– → →
→  rur  r cos k 
a- OM   1
sin i
→ vr sin
vitesse relative : V →  0
M / R  →
1
i , j ,k 
v cos
 1

1 
  r

Vitesse d’entrainement :
→ → → →
ve   –→ →
R1 / 0  OM  0 k  r cos k  sin 1i  v

e   
→ →
 0r sin j1
R
→ (M ) i , j ,k
→1 1

b- Accélération relative

45

→ d( v M / R ) d → → → →

(M )/ R   r 
1
dt
1 
/ R1 v dt
vr cos k   r sin 1 /R 1
 r 
→ →
i →–– 0
- Accélération d’entrainement →    (  ) →  2 r
sin  i1
e R /R
R / R 1 0 1 0 e 0

→ →
-Accélération de Coriolis  c  2R / R  VM / R OM
1
 20
0 1 r sin j1
v
2ème partie
1- R1 est un repère non galiléen :

Forces réelles : Poids P  mg→


; Réaction R 
→ →  2
Fe  me  m0 r  i1
Forces fictives : →sin → →
Fc  m c  2m0 ˙r  j1
sin
2- L’équation horaire du mouvement de l’anneau
→ → → →
→ : m
P.F.D   

P r

R sur  :
Projection
Fe
→ → →→ → → → →→ →
m Fr c Pur  Rur  Feur  Fcur or Rur  Fcur 
r u
→0 → d 2r →
mgcos  m02 r sin2   m 2 ˙ ˙ 0  r  gcos
2

dt r  
sin 
gcos
 r( t )  C1 0 sin t  C 2e 0 sin t  2 2
e 0 sin 
 g cos

r  r  C  C  r 02 sin 2 
0 1 2 0
Condition initiale t=0
 r˙  0  C  C 
 1 2

0
1  gcos
 C  C 2
1 2 0
02 sin 2 )
(r
r( t )  0  gcos )ch t sin   gcos 
(r 0 sin 
2 2 0 0 sin 2
2

3- L’anneau est immobile r˙t 


0
0  2 g cos  g cos
r˙(t)  (r 0 sin 2  ) 0 sin sh (0 t sin )   r0
 02 sin 2 
0
4- La composante de la réaction de la tige sur l’anneau M suivant Oy1

P→ j1→
 0; R→j1→  Ry ; F→ → → j 
e j1  0 ; Fc
Projection du P .F .D sur j1 : → → → → 1

2m/0Rr1 ˙jsin
1  
0 r j1

 (M )
 Ry  2m0˙r sin  0  Ry  2m0˙r
sin

46
Exercice 5
A- Le cerceau est immobile :
1- Equation différentielle du second ordre vérifié par θ(t) :
J
R(Oxyz) est galiléen O y

→ →
P.F.D : m   Fappliqué U¯θ
→ R¯ →

ı → M
→ → →
Forces : Poids : P  mgi
→ ¯U¯

Réaction
Frottement  rur : f  bmV
: Rvisqueux ƒ →
r

x
→ ––––→ → – ˙
Dans la base →
ur , u  , on a→ OM  au r  V  a →
u 

→ → 
→ a˙   mg cos  R  0
2
  ˙ ; P→ 
 a  mg sin ; R   0  et f  bma˙
˙ ˙
 Rr : ma  mgcos 
u
Projection suivant 2


u→ : ma ˙ ˙
Projection suivant   mgsin 
bma˙
 : petit  sin ≃   ˙˙  ba˙ 
g
 retour
2-a Le  0 à l’équilibre le plus rapidement possible s’effectue suivant le régime critique 
Le discriminent du polynô me caractéristique doit être nul :
g g 4 b
r 2  br   0 ;   b2  4  0  ac  , alorsr1  r2 
g
a a 2
 b2

2b t
La loi horaire :  t    At  Be avec  0  0 et ˙0  0   0  B
et
Bb
 2 t
b
 At  B  b    A  0  0

   A
e t  B
  2 
 A 2 2
 bt 0
Soit  t     bt 
1 e 2
0 
2

b- Valeur maximale du module de la vitesse

b t  c
ab 2
→ ac b2
0 t e 2t 0t e 2t
b b b
 b b2 Soit v 
On a v  v  ac˙  ac0 2  4 t  2 e 2 4 4



→ a b 2
b
dv bt  t
v est max pour dt
0 c
 [1 ]e 2
4 2

47
ac b0 ; → 2g
2
Soit t  b  v 
2e v max  eb
0

max

˙2  mgcos  R  R  mgcos  ma
- La réaction : on a mac  2
c
 ˙
20 2 V2 2 g b2
avec   e et ac˙  a  beb 0 4 g  2e0
c

R  m gcos  2 0   mb 0
 e  2e
B- Le cerceau est animé d’un mouvement oscillatoire de rotation, de faible amplitude autour de
son axe Oz

1- v→ → → → ˙ → 
a ˙ u  vr  a  ˙
vr  e  a ˙u  Vr  a 
v → u → →
P.F.D suivant
u

: ma˙˙  m gsin  bma˙  ˙   ˙˙b  b˙
g
 t   0 sint  ˙  
 0 cos
b˙t

g
Soit ˙˙  bb˙    b0  
cos t
 t   M cos(  t   )
2- L a solution est de type
Méthode complexe :  t    (t)  M e (t)  b0  e j t
j  t  
 t 
 g  b0 
Soit   2j  j b  M e j e j t  b0  ej t  M e 
 a  g
a    j
2

b
b 0 
où M  . Le phénomène de résonance est obtenu lorsque  M est max.
g
(  2 )2   2 b2
a

d M 2  g g
 0  d  g 
      b   0  aR    a 
2 2 2 2 R 2

d d 

a
Remarque : On peut aboutir à la même
 équation A-1 , en utilisant le théorème de moment
cinétique
→ →
L→ –→
0  OM  mv  au r  ma u  ma2  ˙
→ k ˙→ → →
→ →
M 0 (R)  au r  Ru r   0; M 0 ( →
→→

f )  aur  bmV  a2 ˙
bm → → → k→
M 0 (mg)  au r  mg cos r  mg sin u   mga
→ 
u→ → sin k
dL0 → g
 M 0 (R)  M 0 ( f )  M 0 (mg )  ma2 ˙˙  a 2bm  mga sin   ˙     
dt
 → ˙ b ˙ 0 a

48
Exercice 6

 Poids :mg
1- a- Forces réelles : Réaction : R →

Ax
 →
 Force de rappel du ressort : F

y
O

a
x
M v

x F
z Fe
A Fc
→ ––
Force d’entrainement : m e 
2
Forces fictives : →
m → → →OM
Force de Coriolis : m c  2m 
→ v
v est porté par Ax, donc  mc  
Ax
b- Le principe fondamental de la dynamique.
→ → → 2→
– →
→ dv ––  
m
r
m
dt  mg  R  F  m OM  →
v
2m
Projection sur Ax

d 2x d 2x
m  kx  m 2 x  x( k  m 2 )  m  x( k  m
2
) dt 2 dt 2
Equilibre relatif : solution x=0 , ( d 2x 
2
0)
dt
Si x  0 , la force suivant Ax est  x(k  mw2 ) est de rappel, donc l’équilibre sera stable si

k  m 2 . L’équilibre est instable si k  m 2 . Il est indifférent si k  m 2

k  m
2- * Si k  m 2 , soit 2 2 ; x(t)  A cos t  B sin
 m t
dx v0
Condition initiales : x=0 ,  0 pour t=0 donnent A=0 , B=
dt
v0 2
x( t )  sint; T   2

 m
49
k  m
2
m 2 
* -Si k  m2 , soit   ; x(t)  et  t
k m
e
v0
x˙(0)      v 0      et      v0   v
et    2 0
x(0)       2
0   
v
x(t)  0 sh t : Le point M s’éloigne indéfiniment.
3-a - Principe fondamental de la dynamique :
→ → –––→ – →
m dt  → 
dv mg  1  N  T  m →
2
OM  2m  
R v
→  d 2x d 2x
b- Projection sur l’axe Ax : m dt 2  T  m
2
 m 2
  fN  m2 (1)
x dt
x
dx
Projection sur l’axe Ay : 0  N  m 2a  2mdt
(2)
Projection sur l’axe Az : 0  R1  mg
Pour trouver l’équation différentielle vérifiant la loi horaire en x(t).

dx
(2)  N  m 2a  2mdt , remplaçant N dans l’équation (1)

m d x2   f   2 a  2m dx   m2 x  d 2x  2 f  dx  2 x   f 2
2 2

m dt  a dt  dt dt

Résolution de cette équation différentielle : r 2  2 f    2  0 ; '   2 ( f 


1)
r1,2   f    f 2  réels, le mouvement est donc apériodique.
1
a(1 f )
à t=0, x=0 et dx  v 0 . La solution générale est:
dt
x(t)  
r1  2 af
re
1
r2 t
 r2 er1t  
r
où af est une solution particulière

Exercice 7
I- 1-a R1 est en mouvement de rotation autour de R0 (fixe), R1 n’est pas galiléen.

R / R 
1 0

K
1-b Bilan des forces dans R1 :

- Forces réelles : Poids : P  mgk


Force de Coriolis F  m→  2mk  →
( M ) c c vR
- Forces fictives :  → → →1 1


Force d'entrainement Fe  m  m  1  
→ → →
––
O 
e  O / M

1-c P.F.D appliqué à M dans R1 R

50
––
→ → → →
d OO
m R ( M)  mgk  K→ VR ( M)  2 2 1 R → →→ –

2m
1

m
1
dt /  m    O1 M
 
–––

VR ( M )
d O→1M  ––––
/ R1 or O M  gt 2

k  VR ( M ) 
→ 12
dt

1 1 1
 gtk

k

2-a- Force de Coriolis . Fc  2m gt sin ‸K ,

  2m gt cos

2-b- Force d’entrainement :
–––– 
→  d OO
→ → → –––– → –––––
–O
––––→   m
  
1
Fe  m  2 1          OO1   O 
→ → → → →1 M 
 dt 2 / M  
→ →  


1R 2 


m  R  2 gt  2 K  K 

k→ →
k  cos  u  sin →


K;( u→
, i , K ) trièdre

direct → →
K  k  cos
→i →
 Fe  m  R 1 gt 2 cos
 2 2
  


3- Cas où Fc  20 Fe 1 2 2  1 2 
2m gt cos   20m  R 2 gt   cos   gt 10  g t  
0 2 
R
 5gt 2  gt 10R   0;   g 2  200 g2 R 
0
g  g  
t 1  10  0 : a rejeté ; t2  10
g g

t 0 t2 +
5 gt 2  gt  10R +
- 0

 Pour t 0,t2 : 5 gt  gt  10R 0


2

1
or L  gt 2  L 0 , gt  : Domaine où on peut négliger →
F devant F
2
 1
2
2  →
2 c e


c  20 Fe il faut que L0; 3300 km
A.N : pour que F→

e  20 Fc
- Cas où F→

 gt 2  80 gt  2R  0 ; '  40 g  2Rg 2  0


2

51
40 g  '  0 arejeté ; 40 g  '  0
t1  g
2  g
t

t 0 t2 +
gt 2  80 gt  2R
- +

0 1
 Pour t  t2 on a gt  80gt 
2
  0  L  gt2 2
2R 2
A.N : L  6 m
→ →
II- On se place dans le cas où Fe 
Fc
→ →
→ cos →  →
1-a- K k  sin j or   
 → 2 ; K  sin k  cos 
1-b- PFD appliqué à M dans R1 j

→ V ( M)
mR1 ( M)  mgk  2mK R1

  d2 x dx
 dt 2  dt
2 → 0
d y
m  2   mgk  2m cos 
 dy
 dt  dt
2 sin dz
d z
 2
 dt 

1-c- Equations du mouvement de M dt
:
2
 d x  2  cos  dz  sin dy  ( 1)

 dt 2  dt dt 
d 2 y dx
 2  2 sin
dt
dt
d2 z
 2   g  2 cos 
dx
dt
dt

2-a : dx
 2 cos z  sin y
 dt
dy  0  →  0 
àt  0 M enO1  et VR1 ( O1 ) 0 
1è re intégration    2 sinx
 dt 0  0 R 1  0 
dz

 gt  2xcos 

dt
52
dz
dy
En remplaçant dans (1) les expressions de dt et dt

On obtient :

d2 x
dt 2  2 gt cos   4 xcos   4 x sin   4 x  2 gt
2 2 2 2 2

cos 
d2 x
 dt 2  4 2 x  2 gt cos

gt cos 
Solution particulière : xp  2
Solution générale : x  x p  Asin 2t  Bcos 2t

dx  gcos 
à t=0, x=0 et dt  0  B  0 et A  4 2

gcos 
4 2 
Soit x( t )  2t  sin 2t 

2  T
2-b : T ' 2   2  12
heures
2-c : sin2t ≃ 2t 2t  3

pour une durée de chute t  T '


 3!

t3
 x( t )  g cos   0  la déviation est vers l’Est.
3
dy
gt 3 sin cos
3-a : 2  2x sin ≃ 
2

dt 3
 2 2
 y( t )  gt 4 sin cos    gt 4
sin2 6 12

3-b :   0,    sin 2  0  y  0  la déviation est vers le


 2
sud.
 
3-c * O1 situé dans l’hémisphère nord   0,  Déviation vers le sud
 2

 ,0   y  0  Déviation vers le nord


* O1 situé dans l’hémisphère sud    
2   
4- La Tunisie est situé en hémisphère nord  déviation vers le Sud –Est.

53
Energie
Exercice 1
Un point matériel de masse m se déplace dans le plan xOy de façon que son vecteur position soit
donné par :
r→ = a cos ωt →ı + b sin
ωt →J où a et b sont deux constantes positives telles que a>b
1-a- Montrer que le point
matériel se déplace sur une ellipse.
b. Montrer que la force agissant sur le point matériel est en
tout point dirigée vers l’origine.
c. Montrer que cette force dérive d’un potentiel.
2- a- Calculer l’énergie cinétique du point matériel aux points
A (a, 0) et B (0, B).
d. Calculer le travail fourni par le champ de force en
déplaçant le point matériel de A à B.
e.Montrer que le travail total, effectué en faisant faire au point matériel une fois le tour de
l’ellipse, est nul.
f. En utilisant le résultat de la question (c), calculer l’énergie potentielle aux points A et B.
g.Calculer
1- l’énergie totale
Déterminer du point
l’énergie matériel et Emontrer
potentielle p dontqu’elle est constante,
dérive la forceen¯Fd’autres
(Fx, termes,
Fy,
F )
démontrerFx le=principe
ax + by2de la conservation de l’énergie. →
z

Exercice 2 a et b sont deux constantes. On vérifiera que la force est conservative.


avec : { Fy = az + 2bxy
Fz =
2On abandonne sans
ay + bz 2 vitesse initiale une bille P de masse m en un point A d’un cerceau (C1) ; au
point O le plus bas de (C1), on suppose que la trajectoire de P décrit un deuxième cerceau
(C2), de centre C et de diamètre OB = 2R, intérieur à celui de (C1). On suppose que le mouvement
de P s’effectue sans roulement et que les frottements sont négligeables.
a. Calculer la vitesse minimale de P au point B.
b.En déduire l’altitude minimale h du point de départ A de P en appliquant la loi de
conservation de l’énergie.
c. Donner l’expression de l’énergie
potentille de P en un point M en fonction
de , m, R et g.
d.Déterminer les positions d’équilibre de
P et discuter leurs natures.

54
Exercice 3
Dans un repère R (O, x, y, z) fixe, on considère un tube circulaire de rayon a et de centre O1
(0,0,a) en rotation autour de l’axe Oz avec une vitesse angulaire ω=cte. La masse et la section du
tube sont négligeables.
Soit R1 (O1, x1, y1, z) un repère mobile tel que le plan x1O1z contient le tube. A t=0, ce plan
coïncide avec le plan xOz. Une masse ponctuelle métallique m se déplace sans frottement à
l’intérieur du tube.
I. Calcul de l’énergie :
a. Etablir le bilan des forces appliquées à la masse m dans R1.
b.Quelles sont les forces qui ne travaillent pas  Montrer que les forces restantes sont
conservatives.
c. En prenant Ep(= 0) =0, montrer que l’énergie potentielle totale est de la forme :
1 2 2
Ep () = — m ω r — mga cos  +
2
cste M par rapport à l’axe Oz. 
avec r : distance du point

=(O¯O¯→1 ¯O¯1¯M¯→). d- Calculer l’énergie mécanique totale.


Justifier sa conservation. II- Etude des positions d’équilibres
relatives
Déterminer les positions d’équilibres relatives et étudier leur
stabilité.
III- Etude du mouvement relatif :
Dans la suite du problème, on considère le cas où ω2<g/a et on s’intéresse seulement aux petits
2
mouvements par rapport à la position d’équilibre1 relatif
d E p stable.
d’équilibre considérée : Ep() = Ep(0) + 2 d 2  (θ — 0θ )2 +
=0
En
…. utilisant le développement limité de Ep() en série de Taylor au voisinage de la position
En se limitant aux deux premiers termes du développement :
d2 θ
a- Montrer que l’équation du mouvement est de la forme : + ω20 θ = 0
dt2
b- Donner la signification physique de ω0 après l’avoir déterminer en fonction de
g, a et ω. Quelle est la nature du mouvement relatif de la masse m

Exercice 4
Un point matériel M de masse m de coordonnées (x,y,z) est placé dans un champ scalaire

mω2
d’énergie potentielle U(x, y, z) = mgz — 2 (x2 + y2) ; avec g et ω sont deux constantes.
1- a - Déterminer l’équation cartésienne de la surface équipotentielle U0.
1- b - Quelle est la nature de cette surface 
ω2
1- c - Le point M décrit la parabole z = 2g x2 dans le plan y=0, voit-il une variation de son

énergie potentielle le long de cette courbe  Quel est le travail effectué ?

55
1d - Le point M au repos est lâ ché à partir d’un point P de la parabole précédente pour
atteindre le point P0(x0, y0, z0). Déduire sa vitesse en ce point.
2 a - Calculer les composantes cartésiennes de la force qui dérive de ce potentiel U.
2- b - A partir du principe fondamental de la dynamique, déduire l’équation paramétrique de la
trajectoire pour un point partant du repos d’un point S (a, 0, 0) ; a≠0.

Exercice 5
Un point matériel A, de masse m, est entrain à se déplacer, sans frottement, sur la surface
intérieure d’une demi-sphère creuse S. cette surface tourne uniformément, à la vitesse angulaire
, autour de son axe de révolution vertical.
Sur la figure suivante on a représenté le référentiel terrestre noté R0 ( O x0 y0 z0 ), supposé
galiléen. Oz0 étant la verticale ascendante et le référentiel R( O x y z0 ) lié à S.
On se propose d’étudier le mouvement de A par rapport à (R). Pour cela on projette les relations

vectorielles dans la base de (R), et on introduit la quantité Ω20= g⁄r 0, g étant l’intensité du
champ de pesanteur terrestre et r0 le rayon de la demi-sphère S.
z0

O y0

x A

x0

1Exprimer, en fonction des coordonnées (x, y, z) de A dans (R), de leurs dérivées par rapport au
temps (x˙, y˙, z˙) et de  : la vitesse d’entrainement de A, son accélération d’entrainement et son
accélération de Coriolis qui interviennent dans la composition des mouvements de A par rapport
à (R) et (R0).
2Ecrire vectoriellement la loi fondamentale de la dynamique pour A dans son mouvement par
rapport à (R). En déduire les équations différentielles aux quelles satisfont x, y et z ; on

56
mettra la force de réaction ¯R→ qu’exerce S sur A sous la forme suivante que l’on
justifiera :
r→
R¯→ = —R où r→ = O¯A¯→
r0

3- a - Quelle est, en fonction de z, l’énergie potentielle de pesanteur de A  On prendra


l’origine de l’énergie potentielle à z=0.
3-
1 b - 2 2Montrer que la force d’inertie d’entrainement dérive aussi de l’énergie potentielle
m  z , lorsque l’on prend l’origine à z=0.
2

3- c - En déduire l’énergie potentielle totale Ep de A.


2 ω2 u
4- a - Tracer le graphe de la fonction : ƒ ( u ) = u2 + 2
0

1
Montrer que Ep = 2 m 2 r 02 ƒ(z ⁄ r 0 ).
4- b - Discuter qualitativement la nature des différents mouvements en z, suivant la valeur de
l’énergie mécanique totale Em de A dans (R).
4- c - Pour quelle valeur de l’énergie Em le point A évolue- t – il en contact avec S dans un
plan horizontal  Quelle est la cote zm correspondante en fonction de r0 

57
Correction des exercices
Exercice 1
1- r→ = a cos ωt ı→+ b sin ωt J→
a- x = a cos ωt c.à.d. ( x ) 2 = cos2 ωt
a

y = b sin ωt c.à.d. (by ) 2 = sin2 ωt

x2 y2
+ = 1 : Équation d’une ellipse de centre O et d’axes a et b.
a2 b2

b- F→ = mγ→ dt 2 or
d 2 r→
γ→ = = r→ —ω2
c- F→ = —m ω2 r→ il s’agit d’une
force centrale.
y

π
b t = 2w M(t)
¯V¯
¯V¯
B

¯F A

→ M(t=0)
-a 0 a x

-b

d- Pour démontrer que ¯F→ dérive d’un potentiel scalaire, il suffit de démontrer que r¯o¯→t F¯→

= O¯→. En effet :
&/
Fx = —mω2x &x Fx &Fx
I &F &Fy —
&/ ⎛ &Fz//&x — /
&z ==OO
¯→{ F y = —mω y
2 ; ¯→F = ❑
rot F
¯→  &y  { Fy z/
F
= = ( &y &x
→ → Fz
Fz = O &
⎝ /&z &F &F
I y/ x/
⎝ &z — &y = O

ю ¯r¯o¯t→ F→ ю  V tel que F→ = —


Calcul de ¯V→:
= O g ¯r¯a¯d¯→ V.
6V
—mω2x = — 6x (1)
—mω2y = —6y6V (2) V= V(x, y, z)
6V
⎝O= 6z
(3)

1
(1) ю 2 mω2 x 2 + C1 (y, z) (4)
6V 6C1 (y,z)
= mω2y → 1
= C1(y, z) = 2 mω2y2 + C2(z)
6y 6y

58
6V 6C2 (z)
= = O → C2(z) = cste = C
6z 6z

Conclusion :
1
V(x, y, z) = 2 mω2(x2 + y 2 ) + C
1
V(x, y, z) = 2 mω2r2 + C : C’est l’énergie potentielle dont dérive F→.
Autre
méthode : r 1 2 2
grad¯ →r = U¯→
r = r→
→ r→ = r grad
¯→ r = 2
grad
¯ → r = grad
r

( 2 ) ¯→ 1
F→ = —mω2 r→ = —g ¯r¯a¯d¯→ 2 V= 2
mω2r2 + Cste
Remarque
( mω r / ): le potentiel scalaire est déterminé
2 2
→ à une constante additive près.
1
2-a- Energie cinétique : Ec = 2
mV2

dr→
V¯→ =dt = —aω sin ωt ı→+ ωb cos
ωt J→
t= O, M en A, V¯ A→ = ωb J→ A, Ec2 = 1

t= b
2 π
2
1
2 ω M est en B, V¯B→ = —ωa ı→ B, Ec 2 =
mωfourni
b- Travail 2a 2
par le champ de force en déplaçant le point matériel de A à B.

B
ω = ƒ A F→ ¯d¯→l or d¯ →l =
B B 0 b
M¯M¯→ƒ'A = xdr→
ω = F dx + ƒ Fydy = ƒ —mω2x dx + ƒ —mω2y dy
A a 0

ω = —21 mω2(b2 — a 2 ) = EBc — A

Ec
Conclusion :

B
Ec B — Ec A = ƒA F→ d¯→l ; F→ : Résultante des forces s’exerçant sur le point M.
A
c- A F→ d¯→l =A Ec —
‫ׯ‬ A E
c

=O
Il est normal de trouver que le travail de F→ le long de toute l’ellipse est nul car F→ est un
vecteur de gradient.
1
d- Energie potentielle Ep tel que F→ = —g ¯r¯a¯d¯→ Ep ; 2Ep = mω2
r + C potentielle est définie à une constante additive
2
L’énergie
près.
Au point A : Ep A = 21 mω2 a 2 + C ;
1
Au point B : Ep B = 2
mω2 b2 + C
Remarque : la constante C peut être déterminé en prenant l’origine des énergies potentielles en
un point particulier.
Exemple :
Nous prenons l’origine des énergies potentielles au point A. Nous trouvons EpA = O →

C = —21 mω2 a 2 et EBp =2 1 mω2(b2 —


a2 )
59
e- Energie mécanique totale est la somme de l’énergie cinétique et de l’énergie potentielle.
1 1
E = Ec + Ep = mV2 + mω2 r 2 + C
2 2

EA = Ec A + EpA = 21 mω2 b2 + 1
2
mω2 a 2 + C

EB = Ec B + Ep B = 21 mω2 a 2 + 2
1
mω2 b2 + C

Conclusion : EA = EB conservation de l’énergie mécanique totale.


Remarque : L’énergie mécanique totale se conserve si les forces auxquels sont soumis les points
matériels sont conservatives.
Exemple de force non conservative : force de frottement (la conservation de E cesse d’être
valable).

Exercice 2
1- Force conservative → ¯r ¯o¯t→ F→

&/ ax + by2 = O¯→


a—a =
&x
&/ { az + 2bxy =
OO—O ¯r¯o¯t→ F→
&y → F→ est
ay + bz2 = O
conservative.
⎝ {&/ 2by — = O¯→
&z 2by = O
F→ = —
p
g ¯rF¯xa¯=d¯→
— Ep
6x
6E
Fx = — 6E p
6y
6E p
⎝ Fx = — 6z

dEp = — Fx dx → E p = — ƒ ( a x + by 2 ) dx = — 2
ax2
— bxy2 + C(x, y)
6E p
= —Fy = —az — 2bxy = —2bxy 6C(x,y)
dEp = —Fydy → 6y 6y
+
→ = —az → C = —azy +
6C(x,y)
6y
k(z)
2
Ep = — a2x — bxy2 — ayz +
k(z) p 2
Fz = —6E = ay dk(z) 3
6y dz = ay + bz → k(z) = — 3b z + 1

2
k 3
Ep = — a2x — bxy2 — ayz —3 b z + 1
k
2- a- Vitesse minimale de P au point B.
m V2
En B : R
m
= mg → Vm = √ g R
b- l’altitude minimale h du point de départ A de P.
1
2
m Vm2 + 2mgR = O + mgh
1
2
m gR + 2mgR = mgh
5
h= 2
R

6O
c. l’énergie potentielle de P en un point M en fonction de , m, R et g.
Ep = mgR (1 + cos θ)
d. Positions d’équilibre :
Ep
θ = —mgR sin θ

Ep
= O → θ=O
{θ = π
θ

Nature des positions d’équilibre :

2Ep
2θ = —mgR cos θ
2

 Pour = 0, 2 = - mgR <0 → Equilibre instable.
Ep θ θ=0
]

2

 Pour = , 2 = mgR >0 → Equilibre stable.
Ep θ θ=π
]
z

Exercice 3

U¯r→ = — cos  k¯→ +

I-  Calcul
sin ¯→l’énergie
ı¯1→ Ude = — sin: k¯
a- Forces appliquées à M dans R1. → O
1
 k¯→ + cos  ı¯1→ y1
Forces réelles a x1
 U¯
- H M →
Poids : P¯ = —m g k¯→
- La réaction du tube sur M : O U¯r

R¯→frottement
Pas de → R¯→ Є plan  au tube au point M, donc c’est le plan engendré par
les

vecteurs unitaires U¯r→ et J¯1→ → R¯→ = R1 ¯U¯r→

+ R2 J¯1→Forces fictives :

 F¯e→ : Force d’inertie d’entrainement

¯F¯e→ = —m γ¯e→

γ¯e→ = —ω2 ¯H¯M¯→ = —ω2 a sin θ ı¯1→ ou bien


¯¯¯¯¯¯¯¯
dO
γ¯¯→ ¯¯→ 1
F = =—m
ce→ — γ¯→
ω¯ =(ω¯→
c→ —2m  OV¯r1 ¯=M¯→
—2m
) ω k M¯¯→ ¯
= —2 m ω a θ˙ k→
dt R1 θ
ω̄¯→
→ 
U¯→
→→ FF¯¯ec→ →= =m —2ωm sinaθθ˙¯ı¯
2a ω cos
1→
b- θ J¯1→
 F¯ c→ : Force d’inertie de Coriolis
d W(R d¯¯→ . ¯U ¯θ→
¯(complémentaire).
l¯M)¯→= =Ra¯→dθ

d¯l¯M¯→ = O
61
d W( ¯Fc→) = F¯ c→. d¯l¯M¯→ = O

La réaction R¯→ et la force de Coriolis ne travaillent


pas

‫ׯ‬ P¯ . ¯d¯l¯M¯→ = ƒ 2 π—mga sin θ dθ = O
‫ׯ‬tube ¯ → ¯ ¯ ¯ ¯→
F e . d l M 0= ƒ
0 ma2ω2 sin θ cos θ dθ

= O → L e poids P¯ et la force d’entrainement ¯F¯e→ sont


conservatives.
c- P¯ + F¯e→ = — g ¯r¯a ¯d¯→E p

P¯ + F¯e→ = 6E— mg k6E ¯ → + maω2 sin θ ¯ı¯1→ = —mg k¯ →


p p ¯
¯a¯d¯2px=1 ı¯16x
g ¯rmω
+ →1 ı¯→
1 + 6z
k →
→E 6E p
= —mω 12
(1)
6x1 x
→ { 6E
(2)
6z = mg
p

(3)
(1) → Ep(x1, z) = — 21 m ω2x12 + C(z)
6C(z)
(2) → 6z = mg → C(z) = mgz + C
1
→ Ep(x1, z) = — m ω x1 + mgz + C
2 2
2

Or E p ( θ = O) = Ep(x1 = O, z = —a ) = O →
C=
Donc Ep(θ) = — 21
mga m ω2r2 + mga(1 — cos θ)
x1 = r = a sin θ ; z = O1H
d- Energie mécanique totale :
1 1
E= Ec + E p où Ec = m Vr2 = m a2θ
2 2
2

→ E = 12 m a2θ2˙ —2 1 m ω2r2 + mga (1 — cos


θ)
Comme c’est seulement les forces conservatives qui travaillent → ∆E =
O II- Etude des positions d’équilibre relatives :
Rappel : soit θ0 une position d’équilibre. Cet équilibre est dit stable, si l’énergie correspondant
est minimale. Faisons le développement de Taylor au voisinage de θ = θ0au second ordre.
6E p
(θ–θ 0 ) 2 2Ep
Ep (θ) ≅ E p(θ 0) + (θ — θ 0) 6θ
[ + ]
θ=θ 0
θ=θ 0
2!
6E p
[ = O car θ0 est une position d’équilibre.
θ2
6θ θ=θ 0
2 E p
Ep (θ 0) correspond à l’énergie minimale si θ2 ]θ=θ est > O.
0

Finalement :
> O équilibre stable
2E
p
θ2 ] est { < O
θ=θ 0

équilibre instable
= O
équilibre indiƒƒérent 62
Positions d’équilibres relatives :
6E p
6θ = O = ma (g — ω2a cos θ) sin θ
g g
→ sin θ = O → θ=O
{ θ = π ou cos θ = ω 2 a n’est acceptable que si ≤ 1
ω2 a
g g
Pour < 1 on a 4 positions d’équilibre : θ = O, θ = π et θ = ± Arc cos ( )
ω2 a ω2 a
g
Pour ≥ 1 on a 2 positions d’équilibres : θ = O et θ = π
ω2 a

2Ep
Etude de la stabilité : θ2 = ma2ω2(1 — 2 cos2 θ) + mga cos θ

2E p
]
2Ep Nature de
θ0 sign ( ] )
θ2 θ=θ θ2 l’équilibre
0 θ=θ 0

0 ma (g — ω2a) <0 Instable


 — ma ( g + ω2a) <0 Instable
g
<1 g m 2 4
+ Arc cos ( ) (a ω — g 2 )
m2 a ω 2a ω2 >0 Stable
g
— Arc cos ( ) m
ω2a (a2ω4 — g 2 ) >0 Stable
ω2
g
>1 0 ma (g — ω2a) >0 Stable
m2a
 — ma (g — ω2a) <0 Instable
g 0 0 Indifférent
=1
m2a
 -2mag <0 Instable

III- Etude du mouvement relatif :


g
ω2 < a
L’équilibre stable pour θ = O
1 1
E = Ep + Ec = m a 2 θ˙ 2 + ma (g — a ω2)θ2
2 2

d E
dt = O→ ma 2 θ¨ θ˙ + ma ( g — aω2 ) θ˙ θ =
O
2θ˙
- t2
+ ( ga — ω 2 ) θ = O

- θ¨ + ω02 θ =
O différentielle d’un mouvement sinusoïdale de pulsation ω0 = ( g — ω2)1⁄2
Equation a

Exercice 4
1- a- équation cartésienne de la surface équipotentielle U0 est :
m ω2 2 2
mga (x + y ) = U 0
2
— ω2 U0
- z= ( x2 + y 2 ) +
2g mg

b- Nature de cette surface : c’est une paraboloïde d’axe Oz.

63
ω2
c- Si y = O et z = 2g x2 → U(x, y, z) = O pas de variation de l’énergie potentielle U.
Le travail effectué sur cette courbe équipotentielle

ƒ dW = — ƒ dU = O car dW = F→. d→M = — g ¯r¯a¯d¯→U. ¯d¯U¯→ = —dU


d- L’énergie totale est conservée puisque la force appliquée dérive de U ( x, y, z)
→ On prend deux états :
(1) sur la parabole : E = (Ec + Ep) parabole Ec = O car au repos et Ep = O (Voir c- )
1
(2) Sur le point P0 (x0, y0, z0) : EC = 2m v20
mω2 2
Ep = U(P0) = U(x0, y0, z0 ) = mg z0 — (x0 + y02 )
2
1 m ω2 2
→ O= m v02 + mg z0 (x0 + y02 ) → v02 = ω2( x02 + y0 2 ) — 2gz0
2 2

2- a – Les composantes de la force F→ = — g ¯r¯a¯d¯→U(x,
y, z)
U(x,y,z) U
Fx = — = mω2 x ; Fy = — = mω2 y ; Fz = — mg
x y
d x 2 d2x
Fx Principe
b- = m → : F→==ωm
fondamental
2 x →
γ→ x ( t ) = A ch ωt + B sh ωt
dt
2 dt 2
2 d2y
Fy = m d y → = ω2 y → y ( t ) = A' ch ωt + B ' sh
dt 2 ωt
ddt
2z2
2 1
Fz = m d z → = —g → z(t) = — g t2 + V t +
0z 0
dt 2 z
dt 2 2
Conditions initiales :

x ( t ) = a ch ωt

t= O, x= a, y= O, z=O et v→ = ¯O→ . On obtient y(t) = O


z(t{) = — 12 g t 2
Exercice 5
1- Vitesse d’entrainement de A :

¯O¯A¯→ = x U¯x→ + y U¯y→ + z

U ¯z¯¯0→

O' Ξ O → v¯o¯→' ⁄R0 O¯' ¯A¯→ =


v¯e→ = v¯o¯→' ⁄R0 + ω¯ → 
v¯ U¯¯Az¯¯→
→¯→=, ¯→  O¯A¯→ =  ¯O
= e'O 0
→  (x U¯x→ + y
O¯ ¯A¯→
U¯y→ + z U¯z¯¯0→)

v¯e→ =  (x U¯z¯¯0→  U¯x→ + y

U¯z¯0→ U¯y→) v¯e→ =  (xU¯y→


d¯
˛ O¯_Fxγ¯→¸ )¯→⁄R˛→ ¯¯¯→
'
—e y =U
¯γ¯→ +_ ¯¯¯→
dt ' ¸ O A +
0
ω¯→  (ω¯→ d’entrainement
Accélération O A) 0
de
A.

64
γ¯e→ = Ω¯→  (Ω¯→  ¯O¯A¯→) = Ω→
¯ [Ω→
¯ (xU¯y→

— y U ¯ x →) ]

¯γ¯e→ = —Ω2 (x U¯x→ +

y U¯y→) Accélération de

Coriolis :

¯γ¯C→ = 2Ω¯→→ –

V¯A→A⁄R;
¯m
F
→réelles  
F Fictives

→ →
¯V¯A→⁄R = x˙ U¯x→R+ y˙
R

¯ F→–réelles  ¯P¯¯→→
U y →+ z˙ U z 0→
F Fictives  F→ e  Fc
→ →
¯γ¯C→m=→
Soit A 
2Ω P¯z¯0→R→
(x˙U   Fe  Fc
R
U¯x→ + y˙ U¯z¯¯0→U →¯y→ +
 A 
z˙ UR ¯z¯¯→ → ¯U¯ ¯ 0→ →)
→ ˙˙ 0xux  z ˙˙ yu  →
P→ - mgk, → R  - yR x u  y u
˙˙zu z0
r→
 x
→y
 z uz0 
→C→ = 2Ω (x˙U¯y→ —
¯γ¯ 0 y˙
→ → m 2 x u → →
 )-m  e 
UFe¯x→  x  y uy
→ →
Fc Loi
2- c - 2 m   ˙x u→
-mfondamentale y  y
˙ ux
de la Dynamique :
Projection de P. F. D sur (Ox) : →
Rx
m ˙x˙  0 r-0  m  2x  2 m 
˙y
Projection sur Oy  : m˙ y  0 - r0
Ry
 m  2 y -2 m 
˙x Rz
Projection sur Oz 0 : m˙z˙  -mg -
r0
Finalement:

2
 m ˙x˙    m   2m
  xr0
R 
 ˙y
 R 2 
 m˙ y     m   y  2 m 
 r0 

˙x Rz
 m˙z˙  -
 r0

mg -
3-a- Energie potentielle de pesanteur de A

65
Ep 1
P→ - grad
–––→ E
p1  -m g  -  Ep1  z  mgz  C
z
z  0 , Ep1 0  0  C  0 
E p1  z  mgz

b- Energie potentielle de la force d’inertie d’entraînement :

→ →
––  E
 m 2 x  - p 2

Fe  - grad Ep2   x
E
 m  2 y  - p
 y
2

Ep
 - m 2 x  E  - m 2 x2  C y
2
p 12 
x 2

Ep
 -m 2 y 
1
C 
2
 - m y  C 1  y  - m  2 y2  C2
2
1 12
y  
yE  - 1 m  2 x2 2

 y   C2
p 2
2
2
 - m 2 r0  z2  C puisque r  constante  x 2  y2 
z2 2
1
  2 0

1 2 2
1
Ep 2  2 m  2 z 2  C  2 m  r0
2

Lorsque l’on prend l’origine à z=O


1 2
z  0  Ep2  0  C2 - m  2 r0  1
Finalement E p  2 m  2 z2
0 2 2

c- Energie potentielle totale Ep de A :


1
Ep  E p  E p ; E  mgz  m 2 2

zp
1 2
2
2
2 0 u
4- a Etude de la fonction : f u  u 2 
2


 0  uou 0
df

du  2
20
u  -
2

66
u  02
-∞  +∞
2

f’ (u) - +
4
f (u) 0
-∞  +∞
4

f (u)

— 2ω02 — ω02
2
Ω 0
Ω2 u

1 1 2g  1 
E p  mgz  m  2z 2  m 2 r0  z  2 2
2 2   z 2 2

 r0 z   2 m  r0 g  r0   2r0 2 z 
2 2
2 2  r02

1   z 2 2  2  z  
 2 m  20r 2  r   0
 
  0   2  r0  

z
 m  2r0 f u
2 2 2
z
On pose : u  r  E p  12 m  r0 f   1
 r0 
0
2 
b- E m : énergie mécanique totale de A dans (R)

Soit E m ∩ E p  A, B
à gauche de A et à droite de B pour que Em  E p  Ec ; Ec doit être négatif ce qui est

impossible. Entre A et B Ec > O . En A et B, Ec = O


2
2 0
La particule oscille entre A et B autour d’une position stable z  - r0
2

67
Choc
Exercice 1
Un neutron (A) de masse m et un noyau lourd (B) de masse M ne sont soumis à aucune
forces extérieure. Ils entrent en collision, dans le référentiel de laboratoire R supposé Galiléen.

Avant le choc, (B) est au repos et (A) à la vitesse ¯VA→. On constate qu’après le choc, il se forme
particule
une (AB) de masse (m+M) de vitesse ¯VAB
¯' ¯→ dans RL (référentiel de
1- Montrer que cette collision ne conserve pas l’énergie cinétique du système.
Laboratoire).
Calculer la
variation W de l’énergie cinétique au cours du choc en fonction de m, M et de l’énergie cinétique
EO de la particule avant le choc.
2- On se place dans le référentiel RG du centre de masse G de (A) et
(B). a- Montrer que RG est Galiléen.
b. Calculer l’énergie cinétique de (AB) après le choc dans RG.
c.Calculer l’énergie cinétique E* du système [(A) + (B)] avant le choc dans RG. L’écrire en
fonction de EO et la comparer à W.

Exercice 2

Une particule de masse m1 et de vitesse ¯V¯1→ entre en collision avec une particule de masse m2

et de vitesse ¯V¯2→ [V¯1→, V¯2→ // x’x].

1 Calculer la vitesse ¯V¯G→ du centre de masse des deux particules.

2Quelles sont les vitesses U¯1→ et U¯2→ dans le système de centre de masse avant la collision ? On

exprimera ces vitesses en fonction de la masse réduite μ et la vitesse relative ¯Vr→ = ¯V¯1→ -V¯2→.
Que vaut alors la quantité totale de mouvement dans ce système ? Qu’en déduire lors d’une
collision ?
3Calculer, avant la collision, l’énergie cinétique totale du système : a-
dans le référentiel du centre de masse.
b- dans le référentiel du
laboratoire. Montre que E = Er + EG, où
Er : énergie cinétique d’une particule
de masse μ et de vitesse Vr.
EG : énergie cinétique du centre de
masse.
4- Lorsque la collision est
inélastique, que peut-on dire sur V¯
rAprès
→ ? le choc la masse M2 a pour vitesse : ¯V¯2L
' ¯→= -4,4ı→
+1,9J→ 68
Exercice 3
Soit deux masses M1= 85g et M2 = 2OOg qui se déplacent dans un plan horizontal et qui entrent
en collision. Avant le choc les vitesses des deux masses dans le référentiel (L) lié au laboratoire
ı→ et J→ sont les vecteurs unitaires d’un repère orthonormé (Oxy) (¯ı 2→ = J¯ 2→ = 1; ¯ı→. J→
= O ) et les vitesses sont exprimées en mètre par seconde.
1 Trouver la vitesse de centre de masse dans le référentiel (L).
2 Trouver les vitesses des deux masses avant le choc dans le référentiel du centre de masse.
3- Trouver la vitesse ¯V¯1L
' ¯→ de la masse M1 après le
choc.
4- Trouver les vitesses relatives W¯¯→ = V¯1¯L→ — V¯2¯¯L→ et W¯→' = V¯' ¯1¯¯L→ — V¯' ¯2¯¯L→ . Le
choc et –t-il élastique où inélastique ? Justifier votre réponse.

Exercice 4
1Une balle de masse m, arrive sur un sol horizontal sous l’angle d’incidence i, heurte le sol
sans frottement et rebondit.
a. Le choc est supposé élastique, déterminer l’angle de réflexion r de la balle.
b.Dans le cas d’un choc inélastique, on définie le coefficient de restitution e par le rapport des
composantes normales des vitesses relatives des deux particules avant et après le choc (Voir
figure).
Déterminer l’angle de réflexion r de la balle en fonction de i et e.
A.N : i=3O° ; calculer r pour un choc élastique et un choc inélastique défini par e= O,5.

Normale
m

i r

Sol

2- On suppose le choc élastique. Déterminer la force moyenne exercée sur le sol par la balle
arrivant normalement au sol, pendant l’intervalle de temps égal à la période de rebondissement
de la balle. On admettra que la force exercée par la balle sur le sol est constante pendant le choc.
3- On considère le choc élastique de molécules monocinétiques (de même vitesse v, de même
masse mO) sur le piston. On désigne par n, le nombre de molécule par unité de volume de
faisceau de molécules. Quelles forces faut-il exercer sur le piston, de section S pour qu’il reste
immobile ?
A. N : molécule d’Argon (A=4O), de vitesse v= 4OO m/s. Nombre d’Avogadro N= 6 1O23, section de
piston S= O,2 m2; n= 5 1O2O molécules/m3.

69
Exercice 5
Dans ce problème, on se propose d’étudier le cas du bombardement d’une molécule diatomique
d’hydrogène par des neutrons. Cette molécule peut être matérialisée par deux masses identiques
(H et H’) reliées par un ressort non tendu de rigidité k et de longueur à vide xO.
Le ressort matérialise la liaison chimique H-H. la molécule est initialement au repos. Le neutron
(N), de masse m, est animé d’une vitesse vO perpendiculaire à HH’. Il heurte un seul des deux
atomes de la molécule, soit H, lors d’un choc supposé parfaitement élastique.

1 Etude des chocs :


a. Quelles sont les grandeurs physiques conservées lors de ce choc ? Pourquoi ?
b.Ecrire les lois de conservation. En déduire les vitesses de H et N juste après le choc. 2-
Etude de mouvement de la molécule après le choc
Après le choc le système formé par la molécule seul est supposé isolé : le neutron
n’intervient
pas. Ce système sera étudié, dans la suite du problème, par rapport au référentiel liée au centre
de masse : RCM.
a. Quelles sont les grandeurs physiques conservées dans ce cas ?
b. Déterminer :
 La vitesse du centre de masse.
 Les vitesses de H et H’, juste après le choc, par rapport au RCM.
c- Lors de l’allongement maximal du ressort (x= xO+a) les vitesses par rapport au RCM de H
et H’ seront de nouveau perpendiculaires au ressort HH’ et respectivement égales à (+V’) et (-V’).
Ecrire les lois de conservation du moment cinétique et de l’énergie du système (H et H’) juste
après le choc (x ≈xO2) et à l’instant de l’allongement maximal (x= xO+a).
Montrer que : mv a 2
0
= ( a ) [1 + ( a )] ²/ [2 + ( )] puis déterminer les valeurs de (a) pour
2kx 0 x0 x0 x0
mv2 « 2kx2 et mv2 » 2kx2.
0 0 0
0

7O
Exercice 6
Un pendule simple P1 est constitué par une sphère homogène S1 de petit rayon r, de
masse m1, suspendue à un fil de longueur (l-r) inextensible et de masse négligeable, fixé

lui même en un point O1. La distance ¯O¯ 1¯C¯ 1¯ de O1au centre C1 de S1 est donc l.

O1 O2

2r

l-r

C1
S1 S2
C2
a – Etablir l’équation qui permet de déterminer la période T des oscillations de petite amplitude
de ce pendule.
b- Indiquer brièvement la correction à faire sur l’expression de la période T du pendule simple
précédent si l’on tient compte du rayon r de la sphère. Dans la suite on la négligera.
2 Un deuxième pendule simple P2 a la même longueur l que le précédent, mais la sphère S2 de
rayon r suspendue au fil et de masse m2 (m2≤m1). Le pendule P2 est suspendu en un point O2,
situé dans le plan horizontal de O1, à une distance O1O2 = 2r de O1.
A l’équilibre, les 2 sphères sont donc tangentes entre elles.
On écarte le pendule P1 de sa position d’équilibre en maintenant le fil tendu, dans le plan vertical
de O1O2 ; le centre C1 de la sphère S1 monte d’une hauteur h. On lâ che alors le pendule P1 sans lui
donner de vitesse initiale.
a.Quelles sont, immédiatement avant le choc, les vitesses v1 et v2 des centres C1 et C2 des
sphères S1 et S2 ?
b. quelles est la relation entre les vitesses v1 et v2 et les vitesses v’1 et v’2 de C1 et
C2
immédiatement après le choc ?
c.Si l’énergie cinétique était conservée dans le choc, quelles serait les vitesses v’1 et v’2 ? A
quelle hauteur maximales h’1 et h’2 s’élèverait alors C1 et C2 après le choc ?
Examiner en particulier le cas m1=m2.
d.On constate en réalité que le pendule P1 s’élève à la hauteur h’2=h. En déduire quelle était la
vitesse initiale v’2 de C2 juste après le choc. Examiner la perte d’énergie cinétique ∆EC dans le
choc en fonction de m1, m2, g et h. Examiner le cas m1=m2.

71
e- Où et quand se produira le deuxième choc ? Quelles seront immédiatement avant ce deuxième
choc les vitesses des deux pendules P1 et P2 ?

Exercice 7
Un enfant lance son ballon sur un mur, situé en face de lui à une distance xO=5m, avec une vitesse
vO = 2O m/s faisant un angle α = 45° avec l’horizontal. Son chien se dispose de telle façon
qu’après le choc (supposé parfaitement élastique et très bref) il attrape le ballon à son arrivé au
sol.
I- On se propose d’étudier le mouvement de ballon de masse m, assimilé à un point matériel

M, afin d’aider le chien à sa réception. On défini le repère dire et R (Oxyz) de base (ı→, J→, k¯→)
qui est fixe et tel que le mouvement se fait dans le plan (Oxy). (Voir figure) On néglige la
l’air.
résistance de –
V1
z
 


V0
α
x
-x0 O

1 Quelle est la position du point d’impact de ballon sur le mur ?

2Déterminer la vitesse ¯(¯v¯1¯)→ de ballon juste avant le choc, en déduire son angle θ avec
l’horizontal.
3- On suppose que le système (mur-ballon) est isolé
a- Quelles sont les grandeurs physiques conservées lors de ce
choc ?
Déterminer la vitesse (¯v1¯' ¯)→ après le
b-
Déterminer
choc. la position que devrait prendre le chien pour recevoir le ballon.
4-
Maintenant, le système (mur, ballon, enfant et chien) se trouve sur une plate forme qui peut
II-
tourner autour de l’axe (Oz) avec une vitesse angulaire ω.

Soit un repère direct R1(O, x1, y1, z) de base (ı¯1→, J¯1¯→, ¯k→) lié à la plate forme. Ce système
se met à tourner juste après le choc. Cet instant sera pris comme origine de temps.

1Déterminer la vitesse d’entrainement ( v¯e→) , l’accélération d’entrainement ( γ¯e→) et

l’accélération de Coriolis ( γ¯c→) .


2Indiquer au chien la direction de la déviation subie par le ballon.
3- Dans cette question, on néglige ¯γ¯e→.
a. Ecrire le principe fondamental de la dynamique appliqué au
ballon dans R1.
72
b. Déterminer les équations paramétriques de M. On donne g=1O
m/s2.
Solutions des Exercices
Exercice 1
1- Le système n’est soumis à aucune force extérieure
→ Système isolé donc on a conservation de la quantité de mouvement.
m
mv¯A→ = ( m + M)AB ¯v¯' ¯→ v¯AB
' ¯→
m+M
v¯A
→ →
Eci (avant le choc) = ½ mv2 A =
Ecf (après le choc) = ½ (m+M) v '2
AB
1 m2
Ecf = ½ (m+M) m2 vA2 = VA2≠ E ci → Pas de conservation de l’énergie cinétique.
(m+M) 2 2 m+M

W : variation de l’énergie cinétique au cours du choc.

W= Ecf-Eci = 1 m2
vA2 - 1 mv2A = 1 mv2A( m
— 1) = - E0
2 (m+M) 2 2 2 m+M m+M
( M )
M
→ W= —(m+M )E0

1- Pour que RG soit galiléen il faut que ¯V¯G→/ RG soit


constante. 0 ¯A¯→+
Soit O le centre de référentiel RL galiléen : O¯G¯→ = mm+M
¯ ¯ ¯→
M 0 B
d ¯¯→ m V A /R L+ M ¯¯¯¯¯
V B /R L
/RL = ¯VG /RL =
0G¯¯¯¯¯→ m+M →
¯→
dt
Avant le choc :
m m
V¯G / RL = ( ) ¯VA /RL = ( )V = '
m+M m+M ¯ A→ ¯ AB
→ → v
Après le choc : ¯¯→

¯V→/ RL = V / RL = ¯' ¯
A B AB

¯→
v
V¯G→/ RL (avant le choc) = ¯V¯G→/ RL (après le choc).
→ RG est Galiléen.
RG est en mouvement de translation uniforme par rapport à RL (Galiléen) → RG est Galiléen.
b- Ec(AB) /RG = ½ (m+M) v 2AB /RG

¯V¯A¯B→ /RL(Vitesse absolue) = V¯G→ /RL(Vitesse d’entrainement) + ¯V¯A¯B→ /RG(Vitesse


relative) → Ec(AB)/RG =0
V¯A¯B→ /RG
c- Avant le choc :
=¯O→
Ec/RG=½ m v2/RG+½ M v 2 /RG
A B

Avec ¯VA→/ RG : vitesse de A dans RG avant le


choc. V¯B→/ RG : vitesse de B dans RG avant

¯VA→/le
RLchoc.
=¯VA→/ RG + V¯G→/ RL → AB V ¯ A→
V¯→
—B /VR
¯' ¯→ =¯→=V
L(=O) V¯ ¯→
/ R G + ¯V¯→

A / RG G
'
/ RL(= VAB ) → V¯B→/RG = —
AB
B
¯¯→ 1 2 1 2
¯ — V¯¯' ) +
Ec/R G = m (V ¯¯' )
M (VAB V¯' ¯→
2 AB 2
→A → →
73
= 21 mVA2 + 12mV 'AB 2 + 1
2MVAB
' 2
— mV¯A¯→
AB.
1 ¯→ 2 1 m2 m2
=¯V¯' mVA + V2 — V2
2 A
2 m+M m+M A
1 1 m2 1
= mVA2 V2 = mVA2 (1 m
2 A m+M )
— 2 m + M — 2
1 M
Ec/RG = E * = mV2
2 A m+M
M
E * = E0 = —
m+MW
Exercice 2
1- G centre de masse de M1 et M2 : C’est le barycentre des points M1 et M2 affecté des coefficients
m1 et m2.

→ m1 ¯G¯M¯1→ + m2 G¯M¯2→ = O¯→

m1 ¯G¯O¯→ + m1 O¯M¯1→ + m2 G¯O¯→ + m2 O¯M¯2→ = O¯→

→ (m1 + m2¯ )¯→ ¯O¯G¯→ = md1¯¯¯¯¯¯¯¯¯→


0O¯1M¯1→ + m 2dO 0 ¯M ¯2→
d0 G
(m 1 + m 2) dt /R
/R L + m 2 M 2 /R
L = m1 M¯¯¯¯¯¯¯¯¯→ L
dt dt
(m1 + m2) ¯V¯G→/RL = m1 V¯M¯→/RL + m2
V¯M¯→/ R L
1
2

m 1 ¯V 1¯→ ¯
+ m 2V
m1 + ¯Vm
(Donc G 2=
) V¯G2→¯→= m1 ¯V¯1→ + m 2 ¯V¯2→
¯→ ( m 1 +m 2 )

2- RG : Référentiel de centre de masse.

V¯1→ = V¯G→ +
1 V¯2→ = V¯G→ +2

V¯M¯→
→ V¯/1R
→G = V→¯M¯→
V¯/2→
R G=

U¯¯G1→
V → += U¯m
1

2
(V¯1→ — V¯G→ + U¯2→
→ { ( m +m )
1 2

V¯22→) =( m 1 ) (V¯2→ —
U m 1 +m 2
V ¯ 1 →)
V¯ r→ = V¯1→ —
U¯ → =
→ V{¯2→1 (m1)
¯UV¯r2→
→ = μ –μ
(m2)

¯Vr→
Quantité de mouvement dans RG :

P¯G→ = m1 U¯1→ + m2 U¯2→ = μU¯r→ — μU¯r→ = O¯→


→ La quantité du mouvement total dans le référentiel du centre de masse est nulle.
3- Calcul de l’énergie cinétique total du système avant le choc.
a- Dans RG :
1 1 1 μ2 1 μ2 1 1 1 1 μ2
Ec/R G = m1 U12 + m2 U22 = Vr2 + Vr2 = μ2 ( + ) Vr2 = Vr2
2 2 2 m1 2 m2 2 m1 m2 2 μ
1
→ Ec/R G = μ Vr2
2

74
Cette énergie est égale à l’énergie cinétique d’une particule de masse μ et de vitesse Vr.
b- Dans RL :
1 1 1 1
Ec/R L = m1 V12 + m2 V22 = m1 (U¯→ ¯→2 ¯→
1 + VG) + 2 m2 (U2 + V )
2
2 2 2
G ¯→
1 1 1
= 2 m1U12 + 2 m2U22 + 2 (m1 + m2)V2G + m1 U¯1→. V¯G→ +

m ¯ → ¯G1→
= 212 Uμ2Vr2. V 2 G U¯→ + 1m1 U¯→).G
+ (m +2 m 1)V2 + L(m =0
2 2
V¯→]
=
Donc EErc/RL +
= Er +EGEG
4- 1er cas : Collision élastique :
 Conservation de la quantité de mouvement (1).
 Conservation de l’énergie cinétique (2)
(1) : m1 ¯V¯1→ + m2 ¯V¯2→ = m1 V¯ →' + m2 + V¯ →'
1
2
→ m 1 ¯V¯1→+ m 2 = m 1 V¯¯¯¯
1 F→+ m2

2
¯(Vm
¯¯¯1F+m
→ 2)
¯V¯2→
→ V¯G→
= G
( m 1 +m 2 )
1
(2) : m1V' 12 + 12
2 V¯→
m2V22 = 1
2
m1V1'2 + 1
2
m2V'22

→ Er + EG = E r' + E 'G
Or d’après (1) → EG = E ' → Er = E '
= G G

→G V¯ =
V ¯ → V¯ →' : Conservation de ¯V→r lors d’un choc
élastique. V¯→'
r r
→ : Collision inélastique :
2eme cas
r

 Conservation de la quantité de mouvement VG = VG' .


 Pas de conservation de l’énergie cinétique → Err → Vr¯ G Vr¯ →' : il n’ya pas
G E' → de
conservation de V¯
r
→.
m 1 ¯¯¯¯¯
V1l + m 2¯¯¯¯¯
Exercice
1- Vitesse du3centre de masse dans (L) : ¯VG = V ¯→ ¯→
2l

¯→ ( m 1 +m 2 )

¯V¯G→ = —2,79ı→—
1,4J→ →
2- V¯1¯→l = V¯G→ + V¯1 ¯G→ V¯1¯G→ =

V¯1¯¯→ V¯—
→ = (1 → m1 ) V¯1¯→ ¯ ¯ ¯→l =
m2
G l — G
m +m

( ml +m
V
( m 1 +m 22)
1 2 1 2)

(V¯1¯→l — V¯2¯→l )
m2

V¯1¯G→ = 9,19ı→+
¯V¯2¯→l = V¯G→ + →
V¯2 ¯G→ V¯2¯G→ 1,4J→

¯=V¯2V¯G¯→¯→ (1 —V¯G→m 1
2 =l — ) V¯2¯→ —
m1
¯V¯ ¯→l =
m 1 +m 2 ( m l +m )
1 2 ( m 1 +m 21)

(V¯2¯→l — V¯1¯→l )
m1

V¯2¯G→ = —3,9ı→ —
3- La vitesse ¯V1l¯'→ de la masse M1 aprèsO,59J→
le
choc.
75
m1 ¯V¯1¯→l + m2 ¯V¯2¯→l = m 1 ¯V ¯' →
+ m 2 ¯V ¯' →
m2 1l
V '
¯ 1l¯ →= V1l + ( V¯¯→
2l — 2l
m1
V
¯¯→ ¯ ' →)
V1l¯'→ = ı→—
9,1J→
4- Vitesses relatives :

W¯¯→ = V¯1¯→l W¯¯→ = 13,1→ı


+ 2→J
— V¯2' ¯→
¯W¯→ =1llV ¯;'→ 2l—

V ¯' →
Le ; West inélastique
choc 5,4→ı —n’y a pas conservation des vitesses relatives W¯¯→ G ¯
¯→' =puisqu’il

W 11→J
'

Exercice 4
1-a- La variation de la quantité de mouvement de la balle (m1) au cours de choc :
m¯→
1 = t 0ƒ+  F→ d = 1¯P¯m¯→ = m11V¯m¯→ =
t0
m(V¯ r→ — V¯→7)
On suppose que le choc a lieu sans frottement → ¯m¯→
1 est  au plan de contact pendant
la
durée  du choc.

→ m¯→
1 tengentielle =
¯O→ → V
1 ¯m¯→tengentelle = ¯O→

→¯V →/tengentelle = V¯→ /tengentelle → Vr sin r = Vi


r 7
sin i
Au cours du choc il ya conservation de l’énergie cinétique
→ Ec(m1) =Ec(m2) → Vi=Vr d’où {Vr = Vi
i= r
b-
 Définition : soit une particule A animée d’une vitesse V¯A1¯→qui rencontre une particule
B d’une vitesse ¯V¯B¯→. Après le choc ces vitesses sont respectivement ¯V¯A¯→ et ¯V¯B¯→ . on
animée
appelle
1
2
2 (VB2 ) n — (VA2 )n
e = —
coefficient de restitution ou d’élasticité e, le (V
rapport :
B ) n — (VB ) n 1 2

Choc élastique : e=1


Choc inélastique : 0<e<1
Choc mou: e=0

 e = —–(V i r) nn = Vi r cos i → Vr cos r = e Vi cos i


–(V ) V cos
r
On a conservation des composantes tangentielles
Vi sin i = Vr sin r → cotg r = e cotg i
 Pour un choc élastique e= 1 → r=
30°
 Pour un choc inélastique e= 0,5 → r
= 41°

76
2- Pendant la durée du choc , la force exercée par la masse m sur le sol est F→ = — R¯→
d’après
principelede l’action et de la réaction ; F→= —
dP¯→ V¯ ¯→
= — r 7

dt¯→ 1V 
m
Or i=0 → r=0 et Vr = Vi → ¯Vr→ = —V¯→7

=→VrFk→¯→= 2m
¯ V¯ → 7
t+T t0 +

1 1
< F→ > =T ƒ F→ ( t ' ) dt ' T= ƒ F→ ( t ' ) dtT'
 t t0
= F→
1 t0+
→ < F→ > = T t 0ƒ F→ ( t ' ) d t ' T=

F→ → < F > = 2mVi 
→ < F> = 2mVi
< F→ > =  T  T T
2m < ¯V¯ →7> 
z

max
m1

Ep=0 sol

Conservation de l’énergie mécanique totale :

1
mgh = 2 mV2i → Vi = √2gh

2h
La période de mouvement correspond à une durée T = 2√ c’est
g un temps de durée de

rebondissement.
< F > = mg : Ce qui correspond à une réaction par le sol égal au poids de la masse m.
3- pendant la durée  du choc il y a N particules qui se dirige vers le piston.
N = n. S. Vi.  = nombre de choc subit par la surface S du piston pendant la durée .
¯¯
V
FN¯ = 2m →7 N → F = 2n mVi2S


40
m = A = AN : FN= 2.13 Newton.
𝒩 23 6.10

Exercice 5
1-a- Grandeurs physiques conserves lors du choc:

Système isolé :Conservation de moment cinétique ¯L→, quantité de mouvement P¯ et l’énergie

mécanique E.
 Choc élastique : Conservation de l’énergie cinétique Ec.

77
b-

mV¯'→ + mV¯'→ =
mV¯0¯→
0 H
1 1 1
2
mV¯0'→ 2+
2
mVH ¯'→=2 2 mV0
¯→2 ' V ' = V0 — V '
' H
{ V0 + VH = V0 2 2 = (0˛ V_0 _+ _V¸' ) (V0 —
V0' 2 + VH' 2 = V0 → { VH' V' )
V' H 0
0

Donc V ' = V0 + V ' = V0 — V ' ce qui revient V ' = O et V ' = V0.


H 0 0 0 H

2-a- Grandeurs physiques conservées dans ce cas :

Système isolé → Conservation de L¯→, P¯


et E b- Vitesse de centre de masse :
m ¯¯→
V1 + m2 ¯ ¯→ V0
¯VG = 1 ¯→ =
V 2
¯→ ( m 1 + m 2) 2
V0 ¯¯¯¯¯→
V¯→HG = ¯V¯0→ → HG = V¯0 —¯¯¯¯¯→
V2 =
0
2

V¯→
—H V¯ → ¯V¯¯¯0¯→
V¯ G G= ¯O→ — =
→ F ¯V¯¯¯0¯→
c- Soit—x= HH’ ; mH=mN → |H¯G→| = ¯'¯G¯→|2
|H 2 ¯V0x
 Juste après le choc : x ؄ x0 ; VH¯→= =¯→ 2
; VH = —V¯20 ; ¯→ 
2 ¯→F →
VH V¯0→ x ı→
et L¯→
G = m (— 2
¯
H¯ ¯G' + m ( V2¯0) HG
→ →
¯→
1 )
LG = 2 mV0x0
1
E = m(V0)2 + 1
m(— V0)2 + 1 1
˛2k(O)¸ = mV20
2
2 2 2 2 4
pas dallongementde ressort

 Lors de l’allongement max : x=x0+a

78
V¯H¯→ = V¯ →' et V¯H¯→F = —
L
VG¯ →=' ;mV
'
¯V→(x
'
→+ a)
'ı0

1 1 1
E' = mV ' 2 + m(—V' )2 + k(x — x0 )2 = mV'2 + 1 ka 2
2 2 2 2

1
' V02 m = mV ' 2 + ka2
41 2
{E =E
L = L'
→ {
1
2 V0x0 = mV ' ( x 0 + a )
1 1 x 20 1
→ 4
mV02 = mV2 + ka 2
4 0 (x 0 + a) 2 2
2
mV2[(x0 + a)2 — x 2 ] = 2ka2(x0 + a)2 d’où mV02 a [1+ xa0 ]
0 0 =
2kx 20 x0 2 + a
x0

mV2 « 2kx2 → a
tend vers zéro → a ؄
0 0 mV02
x0 kx 0
mV2 » 2kx2 → a m
0 0 tend vers l’infinie → a ؄ V0√
x0 2k

Exercice 6

O1
∆1


θ

J
ı → n
→ ¯ C1 m 1
g →

1-a- mouvement de rotation de la masse m1 autour de O1. Théorème de moment cinétique par
rapport à un axe ∆1 passant par O1 et normal au plan de la figure.

L¯01¯→ =

O∆¯11¯C=¯1→
L (O¯1m¯C1¯V1¯→
→m1V¯→). ı→

ı→ : Vecteur unitaire porté par


∆ 1.
b¯ = —ı→
( →, r→, b¯ ) trièdre
de Serret-Frenet.
¯¯¯¯ ¯¯¯ ¯¯¯ → { n¯→ = cos θ
avec
O1¯C1¯→ = —l n¯→ dt v→dt= d 0 1 C 1 d= —l
k¯→ — sin θ J→
d x→
˙ l2
L∆1 == —l
˙ = →—l
m1(n¯→  ˙=→
). ı→
d x→

→ = — sin θ k¯→ —
m1 l2 ˙ cos θ J→
79
dL∆1
dt = ℳ ¯F¯¯a¯¯¯p¯¯¯p = [O1¯C¯1→(P¯ + T¯→)]. ı→ = [O1¯C¯1→P¯ ]. ı→ = l m1 g(n¯→ k→
¯ ).
¯→/ ∆1 ı→ = l m 1 g sin θ
→ m1l2θ¨ = —lm 1 g sin
θ g
θ: faible → θ¨ = — l θ , On pose0ω2 =l
g
2π l
On obtient T = = 2π√
ω0 g

b- Si le rayon de la sphère n’est pas négligeable, puisque la sphère est en rotation autour de ∆1.

La loi fondamentale d’un solide en rotation autour d’un axe ∆1 est :



I∆ . d = ℳ ¯F¯¯a¯¯¯p¯¯¯p
1 dt 2
¯→/∆1
où I∆1 est une quantité scalaire qui dépend que de la géométrie du solide, appelé moment

d’inertie par rapport à ∆1.


 Théorème d’ HUYGENS :
Soit ∆ un axe passant par le centre de masse et soit ∆' un autre axe parallèle à ∆ dont il est
distant de d

On a : I∆F = I∆ + Md2; I∆ = ƒ R2 dm où R est la distance à l’axe ∆. I∆1 =

I∆c1 + m1l2

I∆1 est le moment d’inertie de la sphère par rapport à son diamètre porté par ı→ . (La sphère
= 25 m1r2
I∆c 1pleine
est et homogène)
2
→ I∆ . d 2θ = ℳ ¯→/ 1
app → (m 1 l 2 + 25 m 1r 2 ) θ¨ = —m
1 g l
1 dt
¯F

θ 2
→ l 2 (1 + 25 rl2 ) θ¨ = —g l
θ g
→ θ¨ + 2 θ=
l( 1 + 2 r 2 )
O 5 l

g 2π 2 r2
= 2π√g l ( 1 +
2
On pose ω' = donc T ' = 5 l2
)
2 r2 ωF
l( 1 + )
5 l2

2-a- Vitesses avant le


choc.
 Masses C2 lié au pendule 2 est en équilibre. VC2=0
Masse C1 lié au pendule 1 qui est écarté de sa position
d’équilibre à une hauteur h.
Conservation de l’énergie mécanique entre (1) et (2) :
(2) : origine d’énergie potentielle

1
m1gh = 2m1V2C1 → v1c = √2gh
b- Quelque soit la nature du choc il y a conservation de la
quantité de mouvement du système de deux pendules :

8O
m1
m1 V¯C1¯→ = C1
(V¯¯C1 — VC¯¯' ) = VC¯¯' (1)
m1 ¯V¯C'¯2

→ →1 →2 m2

c- →de l’énergie cinétique :


m1 ¯V¯La
'¯→conservation
+
1 1 1
2
m1VC1
2
= 2
m1VC1
'2
+ 2
m2VC2
'2
(2)
m1 2 '2 '2
(3)
→ m2 (VC1 — VC1 ) = C2
V
2  v→  v→
C vC C 1
'
2

→1 (3)' 1


(3) dans (1) vC
m1  m2
v 
→1  2 C
m  1
1


→' m expression dans (1)
En remplaçant v ' C par son 1

→' 2m1
v→C 
C
m 1  m2
1
2

Après le choc :
v
On détermine les valeurs de h'1 et h2' en appliquant à chaque pendule le théorème de la
conservation de l’énergie
mécanique.
O1 O2

l θ1
θ2
(1)’ l (2)’
C1
C2
h '1 h2'

VC¯ 1 (1) (2) VC¯'2¯


→' →
2
VCF 1
E1= E’1 → h1' =
2g
2
VCF 2
E2= E’2 → h2' =
2g

Cas m1 = m2 → VC¯1'¯→ =
et V¯'C¯→
→ h’1= O, h’2= h.
2 = 1

d- h’2= h ¯→ V ' C2 = √ 2gh ; VVC¯¯2C'¯→


O→ ¯→ = 1
Conservation
V¯C¯→ de la quantité de mouvement :
¯'¯→ + m V ¯' ¯→
m1 V¯C¯1→ = m1VC1 2

m2 C2
'
VC¯¯→ = (1 — ) m
1 m1
C1 → VC¯1'¯→ = (1 —m 1 2 ) √2gh
V¯¯→
2
VCF 1 m2 2
h2' = = (1 — ) h
2g m1

1
Perte d’énergie cinétique : ∆EC = 2
m1VC1
2
— (21 m1C1
V'2 + 21 m2VC2'2 )
= m1gh — ( m 1 gh ' + m 2 gh ' )
1
2

81
m2 2 m 1– m 2
)]
= (m 1 — m2 )gh — m1 ( 1 —m1 ) gh = (m 1 — m2 ) gh [( 1 m1
— m2
∆EC = (m1 — m2)gh
m1

m1 = m2 → ∆EC
= O Les périodes T des deux pendules sont égales car T est indépendante de la masse. Ils se
e-
rencontrent donc à nouveau à la verticale de O1 et O2 au bout de T/2, et les vitesses

VC¯'¯'1→ et VC¯'¯2→ seront identiques mais de sens


opposés. VC¯'¯'→ = —V ¯' ¯→
1 C1

VC¯'¯'2→ = — VC¯' ¯2→

Exercice 7 V1¯ z
→'
¯V¯
θ →
θ 1

Mur h

V¯0→

α
x
-x0 O

I-1- Position de point d’impact :


x = O
{y = O
z=h
mγ→ = m g→ → γ→ = g→ ; g→
= —g k¯→
dt 2 x ( t ) = V0 cos αt — x0
dd2 x2 y
=O
dt 2 = O → { yz (tt))== —
O 1 gt 2 + V0 sin αt
d2z 2
= —g
⎝ dt 2
Le temps mis pour que le ballon atteigne le mur c-à-d: x =0 = V0 cos αt — x0
x0 1
→ t0 = ; A.N : t = = O,35 s
V0 cos α 2√ 2
x
A.N : h= 4,375 m
Hauteur atteinte z(t0) = h = — 2g (V0 cos α ) + x0 tg α
0 2

2- La vitesse avant le choc : c.à .d. au point (0, 0, h)

82
V0 cos α
¯V¯1→ cos α
¯V¯1→ = V¯→( t 0 ) = x0
—g ( ) + V0 sin α = { O 1 sin α
V0 cos α ¯V¯
{ O
g 2 x 20 →
ԡ¯v1→ԡ2 =0 2 — 2gx 0 tgα A.N : V¯ = 17,67
V0 cos α 2 1
V 2 + m/s →
On trouve le même résultat si on applique la conservation de l’énergie totale entre z=O et z=h
1 1
2
mV02 = mgh + 2
mV12

 L’angle entre O¯x¯→ et


V1z
tg θ V=¯1→ = — 2 g x 20 + tg α A.N : θ =
V0 cos α
36°96' V1x
3-a- Grandeurs physiques conservées lors de ce choc.
Système isolé :
 Conservation de la quantité de mouvement.
 Conservation de l’énergie totale.
Conservation de moment cinétique.
Choc élastique :
Conservation de l’énergie cinétique. b-
Après le choc :
 Conservation de la composante
tangentielle.
 Inversion de la composante
normale. — cos θ
Donc ¯V1→' =
V¯1→ sin θ
¯V¯
{ O

4- Le chien reçois
1 le ballon : à z(t0 ) = O
'

Coordonnées après le choc : mγ→


= m g→
d2 x dx
dt 2 = O dt
= —V1 cos θ
x ( t ) = —V1 cos θ t
d2 y
= O
→ dy
dt = O
dt 2 → { y( t) = O 1 2
dx
d2z
= —g = —gt + V1 sin θ z(t) = — gt + V1 sin θt + h
⎝ dt2 ⎝dt 2

Donc z ( t0' ) = O = —21 gt ' 02 + V1 sin θt0' +


h.N : —5t'2 + 1O,6 t ' + 4,375 = O ; ∆ = 287,36
A → √ ∆= 16,95
0 0

—1O,6 + 16,95 —1O,6 — 16,95


t1 = — < O à rejeter, 2=
— = 2,755 s
t
Donc x(t2) =1O
- V1 cos  t2 A.N : x(t2) = 38,949 m 1O

II- 1- O¯M¯→ = x1 ¯ı¯1→ + y1 J¯1→ + zk¯→


¯0¯→
 V ¯e = V
F /R
+ R =
→ V¯0¯→F/→¯¯ ¯O¯'¯¯M¯
¯→W
O
→,
83
ω¯→¯O¯'¯¯M¯→ = ωk¯ → (x1 ı¯1→ +
y1 J¯1→ + zk¯→ )
= ω( x1 J¯1→ —
γ¯¯
e ) V¯ e→/=
y1 ı¯1¯γ¯→
→ 0 ω(dxW¯¯¯→
J¯ → —¯O
→F R + ˛ 1_dt1
R 1 ⁄R
¸ ¯'¯¯M¯→ +
= ˛ _ ¸
y1 ¯ı¯1→ ) ω¯→(ω¯→ ¯0 ¯O¯'¯¯M¯→)
¯0→ →

ω¯→[ω( x1 J¯1→ — y1 ı¯1→ )] = ω2 ( —

x1 ı¯1→ — y1 J¯1→¯V) γ¯e→ = — ω2 ( —


 γ¯→ = M/
c ¯¯ R1
x ¯ı¯ 2→
 y J¯ →→) .
ω¯→—
1 1 1 1

V¯M¯
R1 = x˙1 1ı¯→ +1 y˙
1 J¯→

→/ + z˙k¯→

γ¯c→ = 2ωk¯→ ( x˙1 ¯ı¯1→ + y˙1 J¯1→ + z˙k¯→) =

2ω( x˙1 J¯1→ — y˙1ı¯1→) γ¯c→ = 2ω( x˙1 J¯1→ —

y˙1 ı¯1→)

2 – Direction de déviation subie par le ballon : Dans le repère relatif va subir l’effet des forces
d’inerties et le poids.

¯F¯e→ = — mγ¯e→ = ω2 m(x1 ı¯1→ + y1 J¯1→)

¯F¯C→ = — mγ¯c→ = 2ω m(y1˙ ¯ı¯1→ — x˙1 J¯1→)

Le mouvement n’est plus dans le plan (Ox1z) mais dans l’espace. Puisque (F¯e→ + F¯ c→)

admet une composante suivant J¯1→ et une composante suivant ı¯1→. Donc le mouvement
de M va subir deux modifications suivant Ox1 et Oy1.

2- a- P. F. D dans R1 : γ¯c→ négligeable → F¯C→ négligeable.


 ¯Ff 7ct7ves¯ { ¯
¯F¯
F¯C¯→:
e→
→: négligeables
m γ→⁄R 1 = Σ F¯r¯é¯e¯l¯¯l¯e¯s→ + Σ ¯F¯f ¯7¯c¯t¯¯7¯v¯e¯s→
m γ→⁄R1 = —mg k¯→ + F¯e→
b-
 Equations
¯F¯r¯é¯e¯l¯¯l¯paramétriques
¯→ ¯ de M : ¯→
e s : Poids : P = —m g k

m γ→⁄R1 = —mg k¯→ + F¯e→


2 d2x1
m ddtx21 = m ω2x 1 — ω21x = (1)
dt 2
O d2y1 2
m dt 2 = m ω2y 1 → d y 1 — ω2 y1 = (2)
dt 2
O
d2z
⎝ m dt 2 = —mg
d2z
= —g (3)
⎝ dt2

(3) → z(t) = — 21 g t 2 + V1 sin θ t +


h

84
d2x1
(1) → dt 2 — ω2x1 = O → x1 (t) = C1 e W t + C2 e – W t
- C1 + C2 = O - C 1= -
t= O → x1(O) = O
C2
t= O → x1˙ (O) = —V1 cos θ - (C1ω — C2ω) = —V1 cos
C 1 ω = θV1 cos θ → C1 = ωV1 cos θ

2V1
x1(t) = ω sh ωt
d2y1
(2) → dt 2 — ω2y1 = O → y1 (t) = C '1e ω t + C 2' e – ω t
- C1' + C2' = O
y1(O) = O
- ( C ' ω — C ' ω) = O
1 2
y1˙ (O) = O
x1(t) = 2Vω1 sh ωt
{ y1(t) = O
z(t) = — 21 g t 2 + V1 sin θ t + h

85
Force Centrale
Exercice 1
Le potentiel de gravitation crée par une masse m à la distance r de son centre O a pour
m
expression U = —G r
.

1Calculer les composantes de ¯g¯r¯a¯d¯→ U correspondant à ce potentiel dans un repère (O, ı→, J→,

k¯→) , en utilisant la relation reliant r à x, y , et z.

2Calculer les composantes de champs de gravitation correspondant G = — g ¯r¯a¯d¯→U, ainsi que


3- Faire l’analogie avec la théorème de Gauss en électrostatique.
son module.
4- Déterminer les équations des équipotentielles ?
5- Déterminer l’expression du champ de pesanteur terrestre
g. Calculer sa valeur au sol en
assimilant la terre à une sphère.
Rayon de la terre : R=64OO km.
Masse : M = 6. 1O24 kg ,
G = 6,7. 1O–11M. K. S

Exercice 2
Un satellite de masse m, supposé ponctuel est placé sur une orbite circulaire de centre O et de
rayon R autour de la terre.
1- Détmontrer que sa vitesse v est constante et calculer v en fonction de G, M, R.
Donner la valeur numérique de
RT v. que devient cette valeur si le satellite était en orbite autour de
la lune. ML = 81,5 et RL = 3,6
MT
2 En déduire la période de révolution T du satellite sur cette orbite (3ème loi de Kepler).
3On creuse un tunnel traversant la terre suivant le diamètre qui joint la ligne des pô les. A
partir d’un des pô les on laisse tomber dans le tunnel, sans vitesse initiale, une capsule de masse
m supposé ponctuelle.
Expliquer quel va être son mouvement et calculer la période de ce mouvement. Comparer avec la
période T calculée précédemment.
Exercice 3
La terre est supposée formée de couches sphériques homogènes. La masse volumique variant
r2
suivant la loi : ρ(r) = ρ0(1 — a R2) .

1Déterminer les constantes 0 et a sachant que la masse volumique à la surface terrestre est ρ(r)

= 2,5 g. cm – 3 et la masse volumique moyenne de la terre est ρm = 5,5 g. cm – 3 .


2Déterminer la force d’attraction sur la masse unité à la distance r du centre O (r < R). 3-
a- Calculer le rapport y de l’attraction maximale à l’attraction à la surface de la
terre. 86
b.Calculer le rapport z de l’attraction à la profondeur h, au-dessous de la surface de la terre, à
l’attraction à la surface.
c.Application : Quelle est dans un puits de mine de profondeur 352m ; l’augmentation relative
de l’attraction de la pesanteur par rapport au sol.

Exercice 4
Rappel sur les coniques
M
P

r α

O d K

ed
P Є conique - r= avec e = 0P
coefficient d’excentricité de la conique.
1+ e cos α PM

e > 1 : hyperbole
e=1 : parabole
e <1 : ellipse.
La force qui s’exerce sur un point matériel P de masse m placé dans un champ gravitationnel
crée par une masse M est de la forme :

cmM r
F→ = — U ¯→ (1)
r2
1- Etude de la trajectoire :

a- En utilisant F→ = m γ→ , montrer
qued:2 r (3)
m [dt 2 – r( ddt
θ 2
) ] = — 𝜖 m2 M (2) 2
dr dθ
dt dt +
d2 θ
r dt 2 = O
r
et

En déduire que : r 2 dt = cte = A
b- Après avoir effectuer un changement de variable approprié ; montrer qu’on peut mettre
l’expression précédente sous la forme :

d2 U
+ U=
sM (Formule de Binet) (4)
dθ 2 A2

s M
c- Vérifier que l’expression U = A2
(1 + e cos (θ — Ø)) (5) est une solution de l’équation
2
A /
différentielle (4). En déduire que : r = 𝜖M
1 + e cos (θ –Ø )
(6)

2- Détermination de l’excentricité e
87
Pour cela, on suppose que le système planète - particule est isolé.
¯v¯0→ = v0 J→ et r¯ 0→ = r0 ı→ sont les données initiales.

a. Montrer d’abord que F→ dérive du potentiel U, qu’on calculera.


b. Montrer qu’on a conservation de l’énergie totale E du système. En déduire l’expression de E.
c. Calculer l’énergie totale au point initial PO et vérifier que E ne dépend ni de r, ni de .
𝜖2M2m
En déduire que : E = 2A2 ( e + 1)(e — 1) (7)
d- Discuter la nature de la conique en fonction du signe de l’énergie totale E. Quel
est le signe de E pour le système soleil – terre.
3- Après avoir déterminé la phase Ø en appliquant les conditions initiales énoncées en 2°/,
évaluer la période T de la particule (P). Calculer la longueur du grand axe de l’ellipse (faire  =O
et  = π dans l’équation (6)). Vérifier la troisième loi de Kepler
dx π
On donne : ƒ π =
0 (1+α cos x) 2 (1– α 2 )3/2

Exercice 5
Un point matériel de masse m est soumis de la part de l’origine O d’un repère Galiléen à une

force centrale de la forme : F→ = kmr 3r→ ,où r→ est son rayon vecteur. La constante k est positive
ou
négative suivant que la force soit répulsive ou attractive.
A très grande distance de O, la particule se déplace vers O parallèlement à Ox et dans le sens
positif de cet axe à une ordonnée positive b et à la vitesse v0. On prendra l’axe Ox comme origine
des angles polaires dans le plan xOy.

x
O

1- Déterminer les expressions de l’énergie mécanique de la particule et son moment cinétique


par rapport à O et montrer s’ils sont des constantes de mouvement.
En déduire que le mouvement est plan et montrer que la constante des aires C a pour valeur :
v0 b

88
1
2- Exprimer l’accélération de la particule en fonction de U = r
et de la constante des aires C.
3- Montrer que l’équation polaire de la trajectoire se met sous
la forme : P
r =
e cos (θ — θ0) ± 1
où P, e et θ0 sont des constantes (P>O et e>O).
On distinguera les deux cas : k>O et k<O. Etudier, pour k>O et k<O, le cas limite θ = π.
4- Exprimer la dérivée temporelle de r et montrer qu’elle s’écrit :

dr —e V0 b sin(θ —
=
θ0) dt P
5- Déterminer les expressions de P, e et θ0 en fonction de
k, b et V0.
Une particule
Exercice 6 A de masse m est soumise à une force F→ = r 3k u¯→, k étant une
constante,
r→ = O¯A¯→ et r
= r→ l’expression de l’énergie potentielle Ep(r), sachant que pour r infini Ep est nul.
u¯→ Donner
1
2En calculant le moment cinétique en O, montrer que le mouvement est plan. On note Oxy ce
plan. Exprimer en coordonnées polaires (r,) le moment cinétique L¯¯0→ et l’énergie cinétique Ec.

3- Montrer que r satisfait à l’équation différentielle : 21 m r˙2 + E p e f = Em


Em étant l’énergie mécanique de A et Epef un terme énergétique que l’on écrira sous la forme
kF
Ep e f = , k’ étant une constante que l’on déterminera en fonction de m, k et du carré du
r2

moment cinétique.
4Les conditions initiales sont r G O et r˙ G O. Dans le cas où k’=O, quelle est la variation de r en
fonction du temps.
5On considère le cas général où k ' G O. Exprimer en fonction de u=r2 l’équation différentielle
précédente.
En déduire l’équation différentielle du second ordre à laquelle satisfait u. quelle est alors la
relation entre r et t en fonction de Em, rO et r0˙ ?
6 Représenter graphiquement r en fonction de t pour r˙ = O dans les deux cas suivants :
a. L’état lié défini par Em<O.
b. L’état libre défini par Em >O.

Exercice 7
Soit O un point fixe d’un référentiel galiléen (R).

On note r la distance à O d’un point M quelconque de l’espace et on pose O¯M¯→ = r u¯→.


Une particule de dimensions négligeables assimilée à un point matériel de masse m est animé
dans R d’une vitesse v→. Elle subit en M la seule force.

89
ƒ→ = —r 2 k u¯→ (k constante
positive)
I- 1- montrer que le moment cinétique en O du point matériel reste constant au cours du
mouvement
En déduire que ce mouvement s’effectue dans un plan contenant le centre de forces O et qu’il
s’effectue suivant la loi des aires.
2- Dans le plan de la trajectoire, On repèrera la position du point M à l’aide des coordonnées

polaires (r, ) d’origine O. On posera r 2 ddt


θ
= r 2 θ˙ = C
En appliquant à M le principe fondamental de la dynamique et en tenant compte
de la loi des
aires, montrer que r considéré comme fonction de t est solution d’une équation différentielle du
second ordre. Donner l’équation polaire de la trajectoire dans le cas général.
II- Etude énergétique :

3Montrer que f dérive d’une énergie potentielle E p . Etablir l’expression de cette énergie

potentielle en la prenant nulle à l’infini.


4 Définir l’énergie mécanique du point matériel. Montrer que c’est une constante du
mouvement.
5 Les conditions initiales→du mouvement sont définies par :
r  r;  ;
0 0  v ; u,→v →
0  0  0
v
 r0. , v0 et  0 .
Exprimer E et C en fonction de k , m,

6- Montrer que l’énergie mécanique de la particule peut se mettre sous la forme :


1 k mc2
r 2 E 'r  avec E r 
'
E m˙ - 2r2
2 m
 
7 Montrer que la fonction E’(r) admet un minimum E’m pour r=rm. Exprimer Em en fonction de
k , m, r0 , v0 et 0 . Tracer l’allure du graphe E’(r).
8Définir la condition que doit satisfaire E pour que le point matériel reste prisonnier du centre
des forces.
9Quelle est, en fonction de k, m, r0 la valeur minimale v0m de v0 pour que le point matériel
échappe au centre des forces ?
1O- Quelle est la nature du mouvement lorsque E = E’m ?

Exercices 8
Soit un satellite terrestre assimilé à un point matériel M de masse m, lancé du sol avec la vitesse
initiale vO suivant une trajectoire elliptique (voir schéma).


Soit α l’angle entre la vitesse v0 et la verticale Ox 0 avec O le centre de la terre, R son rayon et mt

sa masse.

9O
→ →
Soit le repère R0 O, x 0 0 0  , J,K . Soit un repère
, y , z  supposée galiléen de base orthonormée I→
–– , de base orthonormée i→
mobile R O, x , y , z0 →– parallèle à OM
tel que Ox →
 , j, k .

 
Soit ρ et  les coordonnées polaires de M dans le plan O, x0 , y0  .

Le système terre – satellite est considéré comme isolé.


1-a Montrer que l’accélération absolue est centrale.
b.Ecrire la loi des aires pour M. En déduire l’expression de la constante des aires C en fonction de
R, r0 et sin .
c.En appliquant le principe fondamentale de la dynamique, retrouver le résultat précèdent et
l’équation différentielle du mouvement.
2-a Montrer que la force à laquelle est soumis le satellite dérive d’un potentiel scalaire U.
v2
b- Montrer que m U  h , avec v la vitesse de M et h est une constante qu’on déterminera à
2

partir des conditions initiales. Quelle est la signification physique de


h ? c- Retrouver l’équation différentielle du mouvement.
3-a Déterminer la vitesse minimale de libération vl permettant au satellite d’échapper à
l’attraction terrestre.
b. En déduire une expression simple de h en fonction de m, v0 et vl.
c. Quelle sont les trajectoires de M pour v0 >vl, v0<vl et v0 =vl ?
4- Dans la suite du problème, on considère uniquement le cas v0<vl

 du  
2

a- Moyennant un changement de variable, montrer que : v = C u2   2



2

 d  

b- En admettant que C  
a 1-e2 G mt , déduire une nouvelle expression de h en fonction de

G, m, mt et a.

5-a Déterminer le carré de la vitesse du satellite en un point quelconque de la trajectoire en
fonction de G,  , mt et a

b- En déduire la vitesse vs de M à l’apogée S de la trajectoire.


6-a Si à partir de S, le satellite décrivait un cercle de centre O et de rayon s  a 1  e  , quelle

serait la vitesse W du satellite.


b. Calculer le supplément de vitesse v , à communiquer à M lorsqu’il est en S, pour le mettre
sur l’orbite circulaire.
c. Dans la pratique, ce type de changement d’orbite est-il possible ? Comment ?

91
Remarques importantes :

a 1  e 
2

Equation d’une conique :   OM 


1- e cos  - 0

A l’apogée S, on a   0 et s  OS  a 1  e 

e: excentricité; a: demi- grand axe.

92
Solution des exercices
Exercices 1
1
m

2 2 2
1- U  G r ; r  x  y  z )
2


1 2x i  2 y  2z → → →
–––––  k →
gradU  mG  
→ j 3  mG xi  yj  zk 3  mG
r
2 r3
x 2
 y2  z 2 2 x 2
 y2  z2 2
2- Champ de gravitation :
→ r mG
G→ mG 3  G  2
r r
3- Analogie avec la théorie de Gauss en électrostatique :

Mécanique Electrostatique

m
1 q
U  G V
r 40 r

 1
, q
G,m
40

→ → q r
G  mG r3 E
r 4 r 3
0


º
gdS  4Gmint → →
º Q int EdS 
0 

4- Equations des équipotentielles :


U= cte  r  cte  sphère de centre
O → Gm → → Gm
5-Champ de pesanteur :   
g
u
g r2 r r2

Gm
Au niveau de sol : g  A.N : g =9,81 N /kg
R2
Exercice 2

Mm → R 2 ux
1- Le satellite de masse m est soumis à la seule force de gravitation : F  G

93
P.F.D :

→ → u
F  m  m u  u →
N r t  ur


 t dv
m

  dt  0  v  cte R
 h
2 M GM GM R0
v 
   GR 2  v
N R R0 

h
R : R  RT
A.N

GMT
Terre : v RT  7 ,9km /
s
GML
Lune : v'  RL  1,67km/ s

2-Période de révolution :

T  2  ;    T  2  T  2 R
v R
 R v R 4  2R3
T2 
GM GM
Loi de Kepler : T 2  R3
3- La corpuscule tombe en chute libre avec une accélération g variable.
▪Calcul de g→à l’intérieur de la terre (Théorème de Gauss).

Surface de Gauss = Sphère de centre O et de rayon r < R. → ds


g
→ →
 4G
º gds
d
r


On suppose que la masse volumique est constante.

4 3M
 g →   G ru Mr
4r2g  4G3  r3
R3

→ R GM r  Asint   
→ 4GMm
3

● P.F.D : → 
F  mg  m r  m˙˙r  ˙
˙ r R3 r  0
R3 t 
 ˙r  A cos

R  Asin R  A
Condition initiales : t 0 r  R et ˙r  0;    
0  Acos  2


 r(t )  GM : Mouvement oscillatoire autour du centre de la terre sans que le capsule
t
Rcos R3
sorte de l’intérieur de la terre.

94
T   T  R3 égale à la période de révolution du satellite sur une orbite circulaire de
2
GM
rayon R (rayon de la terre).

Exercice 3

1-a

  0  1 a 2
r2   R   0 1  a  2 ,5 g/ 3
(1)
  ;
 R  cm

moy Masse da la terre


 Volume de la terre = 4
3
 R3
M
M   d  2   0  1  a 2  r sin dr d d  
R  r 2 2
4 R 3  3a 
3  1 
0
0 0 0  R 
 5 
 moy  0  1 3 a  5,5g / 3
(2)
cm  5 
3
3
(1) et (2)  a  4 et 0  10 g /
cm → →
2- F  m g , masse unité F g  F g

º gdS  4 G  r dv


0 r 
 r4   16 2G  r 3  r 5 
R  a 
2  0  3 5R2 
4 r g( r )  4G 4  0  r 2 a
2 2
dr 

 16 2 G0 r 3 1  a r 2 
 5R 
3
 1 a r2   1 3 r2 
r  R; g( r )  4 G  r  2 
et F  4  G 0 r   
0 
3 5R   20 R 2 
3-a- Attraction maximale correspond à gmax 3

dg  0  r 2 rm 
9a 
12
5 R R 9a 0 ,86
0
5 dr
 3a r 2 
r  1 5 R2 
m
g
  1,04
y  max  m 
gau sol R  1 3a 
 5

2
3a  R  h 
gR  h R 1
b- z  5  R   h  3a   h22  2h  
g( R) hR 3a  1
 R  1 
1  5  3a 
5 R 
R

95
g gR  h  g(R)
c- On cherche   z(R  h)  z(R)
g gR
2

h h 2h
h faible devant R :  1  1   ≃ 1
R R R
6ah 7
h 
   1  h  9a  5 
z  1 
 

1   1 h
R 5  3aR 
 k  5  3 a 
11 R
 g  7  3 ,5.10 5

g 11 R
h
Exercice 4
→ →  mM
1- F  m   ur

r2
–– →
a- OM
→  rur
v→ ru →
˙r ˙
→ → → →
r→→uru ˙2 → ˙
 u u 
 ˙rr˙ ˙r˙ r˙ ˙ur  r u r
˙
2
→ u
 ( r  r ) ur  2˙r˙  
→ →→ ˙˙ mM
F˙˙

→   
 ur  r˙ 2r˙ ru→
 m  m r - r˙   ur 
2 - ˙ r 2
˙˙ 
m  d r  r  d     mM
2 2

 dt 2  dt  r2

 
r˙˙ 
2
1d
2˙r˙r 2˙0  1  r2˙
 dr d   r d   dr d 
r dt  2r  r ˙  dt 2
2 dt dt  0
dt dt 

d 
Donc r dt  cte  A
2

M
b- r  ˙r˙  r ˙ 2 
2
r

d 2r  d  dr  d  dr  d  d  dr du d   d  1 du  d
˙r˙  Au
 u2
2
dt 2
dt  dt  d  dt  dt d  du d dt  d  dt
 d
dt d 2u d
 d  du  
2 2
2  d 2
d   d

1
r ˙2u  A2u4  
A2u23 2 d 2u
 Au3     Mu2  d u  u  
2
Au
M d 2
dM 2

r2 A2
96
M
c- u 
A2 1  e cos    ddu  e AM2 sin  
d 2u 
 e 2 cos  
d  MA
2


d 2u u   e  cos     
1 e cos     2
d 2  2 MA 
2  MA
AM 
1 A2 
r  M
→ –→

u
→ 1 ecos
2- r  ro i et → V  vo
j
a-
–––→–→ → –→––→ 
dr   
rot F  o; dU  F dr m dr  U   2  c avec c 
 M mM r m ∘
M
 mM
U  r r2 r
b- Système isolé, l’énergie totale est conservée.


 du    mM ;   o
2
1  mM 1
E  2 mv  r  2 mA u  
22 2
 
  d   r

 

1 2 
1 2e cos  e2 cos2  e2 som    2mM 1 e cos 
 2 mA  A4 A4  A2
   M
2 2
2

 2M2

 2 M 2m 
2A2 
E e  1e  1

d-
e>1 : hyperbole E>O
e<1 : Ellipse E<O
e=1 : Parabole
E=O
Système soleil-terre 4

E<O (Loi de Kepler) A d


d d  2M 2
3-   0 ; r 2 dt  A  dt  r 2
A  dt 
A1 ecos 
2

3 
2A d 2A 3

T 
 2M 2 1 ecos 
2
2M 2 3


2 2

0
1 e

97
A2
  0  rM  1eM
A2

    rM  1eM
2
2A2 2A2
A2  1    A  1 e  1 e     2a

 
1M 1 e 1 e  M  1   M 1 e 2
 M 1 e 2   
e2 
T2  4A
6
4 2
2 .  3 M 3 61 e2   cste
a
3 4
 M
4 3
A M

Exercice 5
1 e  2 3



1  KF  r  p  km
E r
km r3 → –→ ––
1
E  mv 2 avec v→ ru  r u

c
˙
r
2
1  2
 E  2 m  r˙ 
c ˙ 2˙

r



Energie mécanique : E  E  E  2 m r˙2  r2˙2  
c p 1
r
km
Moment cinétique :
–→ → –→ → →
→L  r  p  r  m 
ru→ r 
˙  rk ˙
u mr 
2 ˙

––→
→ –→ –→
dL → ––––→ 2 ˙ 2 ˙
dt  r  F  o  L  cste  mr   cste où r 
c –→ → →
pour  v  vo et 
y  b  →Lo    mvo i  b j  mv
o
 , bk
 Lo  mvob L
c  m  c  Vo

or
→ → b → →
 ˙2
2-   ˙r˙ u r   ˙
˙ u→ 
   r u r   u avec 
 o ( force centrale)
r 
r 
d 2r 2r˙
  2  r˙2 ;  1 d  1   d  1  d
 dt  dt u  d u dt
dr
u dt  
r 

1 du d
r˙    C.
du 2
u d dt d
d
d  du  d  C du  d  C˙ d 2u  C 2 u 2 2
  C d  
2

˙r˙ dt d  dt d u

d d 2

98
1
r˙2  3 r 4˙2 
r
u3c2

  r   c 2 u 2  d u2  u
2

 d 
3- P.F.D :

2 
k mu 2  mc 2u  u d u2 
2

  d 
d u2

k
ou u
d 2 k
Solution : u  A cos   o
c2 c2

1 c2
k 0  r   Ac 2 k
k
A cos   
o
C k cos   o  1
2
c2
P
k0  k
r   Ac2 
e cos    1
k cos  o   1
o

2 AC2
Avec P = — kC et e = — k

* θ = π correspond à r = ∞ → (Dénominateur = O).


 k0 : 1 e cos 
 k0 : 0 1 e coso 
   0
o

P
 k0 :  rmin
e 1
r
P
 k0 : r min
r e
1
Dans les deux cas, r est minimum pour   o  o correspond au point de la trajectoire pour

lequel le point matériel est le plus proche de l'origine.


4-

dr  pe sin  o .2˙ r2˙ p2e sin  o 2


dt e cos  o 1 pr2 e cos  o 1
     

dr
 0
sin  o 
P
ev b dt
 ––→ ––
5- pour    le mouvement est rectiligne le long de Ox, avec v 
dr
dt 
o 
; soit dans u→
r ,u

:
v
99 


v  vo ur
e o
P v b sin  v  e sin  b
o o o

P
P C2 bv2 bv2o
Soit tg o 
vo2 b2 tgo  
b  kb  kb   k ;
o
k
1

d'autre part, e2 cos2   e2 sin2   1  P  e2  e   1 b Vo  2


2 2 4

b2  k2 

Exercice 6

–→ k u→, k  cste, →


F –––→ , u r
r  –OM
→ r
3

–→
1- Il rs'agit d'une force centrale  F dérive d'une énergie potentielle.
–→ →
dE  Fd r  k k
P dr 3  EP  C
r 2r 2

E P   0 C 0  EP  k 2
2r
–– →
––→ → –→ → d →o
→ 
2- L  r  p  r  m
o
Ldt →  : Théorème de moment cinétique.
––→
d →o → kr ––→ –––  r  m
r 
Ldt  L→ o  cste 
Mouvement plan.
o r4 –→ ––→
––→ → →
L
→o  r    mru r   ru
˙
r  r u →
˙  mr 2 ˙
m k
1 2 1
Ec  mv  m
2 2
 
2
 r 
2 ˙2

r˙ 
3-
k
1 1
E m  Ec  EP  2 mr˙2  2 mr 2˙2 2r 2  cste

1 k 1 k k
L2o L2 o
E  2 mr˙ 2r 2  2mr 2  2mr˙  1  2 mr˙2 
m 2 2 Pef avec k   2m 2
 r2 E 
4- Dans le cas où k   0
1 2 1 2 1 2 k
E  2 mr  2 mr  2 mr
m ˙ ˙
o ˙
o
2ro2

k
Lo  mr 2˙ mro2 ˙o2  k  mro4˙o2  mro2˙o2  r2

1 2 1 2
2 mr˙  2 mr˙  r˙  r˙  r  r˙ t  C  r 
o o o o o

r˙ t  r

1O
O
˙ 2
5- Em = k′
+ 2 U
1 m U2 → m U˙ + k′ = UEm
U 8

4E
→ 2m
8 U ˙ U ̈ = U ˙ Em Ü = mm

U˙ = 4 E m t + U˙0 et U ( t ) = 2 E m t 2 + U˙0 t + U0 = r 2 (t)
m m

2E m 2
 r 2 t  t  2ro ro˙ t o
2

m
 r
2E m 2
6- r˙o  0  r  t  m
2
t  ro2

a- Em <O
2 Em
 r2  t 2  ro2
m

m
Ellipse de grand axe
2 Em r et de petit axe rO.
0

r0

t
O
b- Em >O m
r0
1
2 Em
 2E
r2 2 2
 2E 2  2
mm
r o  r r2o  m m t 
t
dr t Em dr 
  0
m

dt 0; r 2  2Em t 2
o m dt t 0

Branche d’une parabole :

r0

t
O

1O1
Exercice 7
1- Par définition, le moment cinétique par rapport à O du point matériel.
→ –→ →–
L0  OM  mV dans 

→0 ––––→
Le référentiel 
étant galiléen d
dt –→
– –––
–→ L
 OM  f
→0 ––––→  OM –
ici d L  OM   k  → Le moment cinétique est donc constant.
dt   r3   O

Les vecteurs O¯M¯→ et V¯→ sont par définition, perpendiculaires à L¯→, vecteur constant,
donc le

point M appartient au plan perpendiculaire à L¯→ constant et passant par


O. Loi des aires :

–→ →
L o  ru r  m  dr →
ur  r d u→  m r 2 d k  m C
→k  dt  dt 
→– dt
C  cte Car →
L0  cte

1 dS 1 2 d C
dS  2 r 2 d dt  2 r dt  2

dS : Aire élémentaire balayé par le rayon vecteur
S ¯M¯→
O
Tel que { d dt : Vitesse aréolaire
C : Constante des aires

ds 1 d C
dt  2r dt  2 cte
2

2- Principe fondamental de la dynamique :


–→ → –→ →

→ m  or V  r˙ur  r˙u
F
→ ˙  
r˙2 ur  2r   r˙ u
–˙_ – ,→

  r
 ˙
r dt r
1d

2

˙

1O2

 m ˙r˙ r r2 
˙2
  c
1 d 2
km
˙ 2 ˙
˙
 r r2
dt r    0  r c 
1
On pose u  r
→ →

˙2
   ˙r˙  u
r r

r˙2  3  C2
2
c 3

U r
d 1 
 d  dr du d  d  u  du
d  d 
˙˙ r 
dt  dt  dt  du d dt  ddt  du d dt
r
d 2 u d d 2u
d  du ˙   C d  du    ˙ d 2  ˙r˙ 
2 2
  d u 2
˙r˙ dt
 C dt  d  d  dt C 2 d d 2
2
 u C u

   c2 u2  d u2  u  u r : Formule de Binet
2

 d →
→ d u k 1
2
– →
F  m  mc u 2  d u2  u  u r   ku u r
2 2
 2 u 

 d →
 
d  2
mC 2
d 2u d 2 u  1  P
  1  1
d 2   u  P   0    u    0
P

 d 2
P
1 1
 u   A cos     u  1 AP cos  


P P P
r : Equation générale d'une conique de paramètre P et d'excentricité e
1 ecos    

mC 2 mC 2
Telque P  et e  A
k
k
Hyperbole si e  1
Remarque : La trajectoire est une :
Ellipse si e  1:
Parabole si e  1
3-
 k x


– k → – –→–→ → – ––––→ – –→–→ –→ –→ x r3

f   →r ; k OM
rot f  o; f   3 rot f    f  
y
 ky
r3
u r2 r  k z
z  3
r

1O3
 y kz r3 kyr

z
3
3kzyr 5
 3kyzr5  – →

 
z kx r  kyr  03kxzr
3 
x
3 5 5
 3kzxr 
0 →
 x kyr  kxr
3 
y
3kyxr
3 5
 3kxyr5  0  rot f  0

 E telque –→
p
→ –––––
f   grad
–––––
p
 p → 1  p →  p

grad p  ur  u  k
r
→ r  z

 p k
 2
 r r
 1  p
 p p
rk r 
 r   0     en prenant lim 
 p 0
0

z
k
1
4- L’énergie mécanique E  E CE  p mV
2
2
r
Le point matériel n’est pas soumis à d’autres forces que celle prise en compte dans la définition
de l’énergie mécanique → L’énergie mécanique est une constante du mouvement.
5- Les conditions initiales du mouvement sont définies par :

‸ → 

r  r0 ;   0 ; V  V0 ; u,V0 0 
E  cte du mouvement  E0
1 k

E0  mV02 
2 r0
→ → →
V0  V0 cos0 ur  V0 sin 0
uL→ → → →
0

0 r 
  m r u  V cos u 
0 0 r 0 sin 0 u   mr0 v0 sin 0 →
k
V mCk
 C  r0 v0 sin 
0

6-
E  1 mV 2  k  m  ˙ r   kr  1 mr˙2  1 mr 2 C 2  k
2 2

r˙ 1 r 2 2 2 r4
1 2 2 mC
k 2
2 '
2
1 mr˙  r

k m C
 E ' (r)  2  mr˙2  E (r) 2
r 22rr 2
r
k 2 2
mC dE ' (r)  k  mC 2 dE ' (r) mC 2
'
7- E (r)   r  2r 2  r 2   0 pour rm 
dr dr k
r3

1O4
d 2E '(r) 1
3mC 2
 
)
dr 2 2
(2k  r
r
3mC 2 d 2 E' (r)  k 
d 2 E' (r) 0 pour r  et
dr2  2k dr r r 0 rm3
2 m

mC2
Il existe un minimum pour : r  rm  k

Em'  k2  k
2
2mC
2 2m(r0 v0 sin 0 )2

r 0 mc2 mc2 mc2 


rm  3
2k k 2k
d 2 E' O
dr2
dE' - - O + O
dr
E'  -k 2 O
O
2mc2

1
8- Rappelons que E  mr˙2  E ' (r) donc E  E
2
'
r 
Pour que le mobile puisse s’échapper de l’attraction du centre de force, il faut que r puisse
devenir infini et donc que E r  puisse devenir nulle.
'

Il faut donc que E ≥O.


Au contraire, pour qu’il reste prisonnier il faut que E < O.
9- Nous traduisons la condition E ≥ O

1O5
1
k  2k 2
mV02   0  la valeur minimale de la vitesse en norme est  
1V r0 om  mr0 
2
1O- Quand E  Em' ; ˙r  0  r  cte le muvement est circulaire.
Exercice 8
––→ →
1-a- R0 M  est centrale  OM   R ( M )  0 0

→mouvement se fait suivant Ox, et la seule force est la force de gravitation.


Le



 (M )R // F –––→ →

→ –– –→  →   ( M )R 
 OM
0

  0
0

F // OM



b-Loi des aires :  0  R


 2˙  C ; pour t  0, 0 0 0  C , avec
 ˙
 0˙
0 0V
  2˙  RV0 sin sin
c- En appliquant le P .F.D :

––––→  i→ ;
OM VR (M )  i→  ˙j
˙

0

→ ˙
 R (M )  ˙   →
2
i  2˙ ˙  j
˙
 
˙
0



 mt m →
P.F.D : m R (M )  0 2 i
G
2˙˙  ˙ (1)

0
 ˙2 mt
 ˙    (2)
  2
G

(1)  2˙˙   2˙  0 dt


d
 ˙  0
2

2 ˙ R 2V02 sin 2  Gm
  C
(2)  ˙  t (3)
  3

2 ––– →

mmt
rotF 0 F gradU  U  G 

b-Détermination de h : →

–– 1 mv2  G mmt


L’énergie : E t  E c U→
2-a- F : est centrale 
2  

1 Gmm
à t=O E t  0  2 mv0 
2 t  h

 
Système isolé  conservation de E

1O6
1 2 Gmmt 1 2 Gmmt
c- 2 mv   mv0 
 2 R

2Gmt Gm R 2v02 sin 2


v 2  v02  ˙2 
 2 t et d’autre part : v 2  
R
2

2 R 2v02 sin 2 1 1
Soit ˙  v02  2Gmt  

2  R 

2 2 2
2˙R v0 sin  2 t
En dérivant on trouve : 2˙˙
Gm  3
˙  2

R 2v02 sin 2 Gm
En simplifiant par 2 ˙ on trouve l’équation (3) : ˙
t

 3
 2


3-a- Vitesse de libération minimale : c.à .d.   et v  0
2Gmt 2Gmt 2Gmt
D’après c- v  v l   donc 0  vl2   vl 
2 2
2Gm
R t  R

b- Expression simple de h :  h  E   2
12 m v0
 v l2

c- Trajectoire : 
v0  vl  E  0 
Hyberbole v0  vl  E  0
 Parabole v0  vl  E  0
 Ellipse
1
4-a- Changement de variable : u  

˙u 1 du
˙  u 2  u 2
 d˙du
 du   du   u 2 ]
2 2
loi de
˙  cd  v2    c2  c2u2  v2  c2
 d   d  Binet
[
b- c   a 1-e 2 Gm  2  u 1  e cos    du  e sin  0
1 0

 t d
 a 1  e2  
a 1  e2

 1
E  2 mv  2 Gmmt
  
  
donne

2  du 
2
u 
2

 v  c 
2

 
 d 

e2 sin2     2e cos   0  2  1
  e cos   0 
2
1 0 Gmm t
E Gmmt soit E  - 
2 h 2a
a 1  e2

 1O7
5a Carré de la vitesse en un point de la trajectoire

1 Gmmt Gmmt Gmmt 2 1


mv2  E   et par suite v2  Gmt   
a 
2   2a
Gmmt
b  pour   0  s  a 1  e  vs 

1  e 2a

6-a – Si M décrivant un cercle à partir de S


1e
→ →
w2 Gm → Gmt 1
 R (M )  s i  w˙ j S2 t i  W
0
a 1
 → e
Gmt
b  V  w Vs

1a 1 e 1 1 e
c  oui , ce type de changement d'orbite est possible .

1O8
Oscillateur Harmonique

Exercice 1
Une masse m est reliée à deux ressorts identiques, placés verticalement. Les extrémités des
ressorts sont distances de 2a. Chaque ressort non tendu a une longueur l0 a ; sa raideur est k.

1 Calculer à l'équilibre les longueurs ℓ 1 et ℓ 2

des ressorts.

Montrer que si mg2ka on peut prendre ℓ 1 ℓ2.


2La masse m peut se déplacer horizontalement de
x à partir de sa position d'équilibre.
Etablir l'équation complète de mouvement.
3- Résoudre cette équation en

supposant xa

Exercice 2

Soit un repère fixe R (O, x, y, z) de base → 
– dont le plan XOY est matérialisé par un
I , J ,K
plateau. M est un point matériel de masse m→ 
reliée au point O par un ressort de constante de

rigidité k et de longueur à vide ℓ 0 . Le ressort est porté par l'axe Ox , de vecteur unitaire
i,

tournant sur le plateau XOY autour de l'axe OZ avec la vitesse angulaire   constante . Le

mouvement
– du point M, astreint à se déplacer sur l'axe Ox , est gêné par une force de frottement
→  dx →  k 2.
F f    dt i avec  coefficient de frottement. On donne  m 

1- Dans un premier temps, le système oscillant n'est pas forcé.

1O9
a.  
En appliquant le principe fondamental de la dynamique en M dans le repère oxy , déduire

l'équation différentielle régissant le mouvement de M sur l'axe Ox .


b. Après avoir fait les changements de variables appropriés, montrer que cette équation peut
d 2u
se mettre sous la forme :  2  o2 u 
du
0
dt 2 o

En déduire la pulsation propre de ce système oscillant en fonction de , k et m (la résolution de


dt
l'équation différentielle n'est pas demandée)
2- En un deuxième temps, le point M est so mis à une force excitatrice extérieure
–→ →
F  kxo cos t i , qui lui impose sa pulsation. On se propose d'étudier le système lorsque le

dx
régime permanent s'établit. Alors, la vitesse relative de M est : dt  V o cos t   
a. En utilisant la notation complexe, déterminer l'amplitude de la vitesse et sa phase.
b. Calculer l'impédance mécanique Z de ce système. Discuter Z en fonction de  et .

 
Représenter Z  dans le cas ou le coefficient de frottement est nul.

Exercice 3
Un pendule de masse m et de longueur ℓ est suspendu en un point A du plafond d'un wagon qui
est en mouvement sur une voie rectiligne horizontale (voir figure)

On suppose que le mouvement du pendule s'effectue dans le plan vertical (A, y, z) qui passe
par le point A et qui contient l'axe OY de la voie. La position instantanée du pendule est

repérée par l'angle  k→, AM


 
––––

. Initialement, le pendule est écarté d'un angle  , puis0 il est


abandonné à lui même sans vitesse initiale.

11O
I. Le mouvement du wagon par rapport au repère fixe R0 est uniforme.

1 On ne considère pas les forces de frottement.


a.Etablir l'équation différentielle du mouvement du pendule en appliquant le théorème du
moment cinétique.
b.Ecrire la solution de cette équation différentielle pour les petits mouvements. En déduire
l’expression de la pulsation propre 0 du mouvement du pendule et faire une représentation

graphique de  t  .

2- On tient compte du frottement et on va considérer uniquement la force exercée par le


→ →
frottement du l'air sur le pendule et que l'on prend sous la forme F  k.

où k est une

constante positive et v est la vitesse relative du pendule par rapport au wagon.


a- Etablir l'équation différentielle du mouvement du pendule et montrer qu'elle
se mettre sous
2

b- Déterminer le degré d'amortissement qui est défini par   0


Expliciter  et 0 et donner leurs significations physiques.
c- On considère le cas d’un amortissement faible  1
 Etablir la loi du mouvement du pendule

 Faire une représentation graphique de  t 

 Déterminer la constante de temps  


1
et 
préciser sa signification physique.

 Calculer le décrément logarithmique


.
 Déterminer la pseudo-période T 
2
 et l'exprimer en fonction de la période propre

2
To  o et  . Que devient son expression lorsque  est faible?

d- On considère le cas de l'amortissement critique   1 et le cas d'un amortissement fort


1 .
 Ecrire la loi du mouvement du pendule dans chaque régime.

 Donner l'allure de  t  dans les deux cas.


→ →
II- Le wagon effectue un mouvement uniformément accéléré avec l’accélération    e y .

On prend les nouvelles conditions initiales 0  0 et ˙  0 pour le mouvement du


pendule.
0

111
On ne néglige pas le frottement de l'air.
1Ecrire l'équation différentielle qui décrit le mouvement relatif du pendule. A quelle forme se
réduira telle lorsque  est faible?
2Donner une solution de cette équation différentielle pour chaque régime et faire une

représentation graphique de  t  .

III- Le wagon effectue un mouvement sinusoïdal de pulsation  et dont l'amplitude est a.


On ne néglige pas le frottement de l'air.
3Ecrire l'équation différentielle qui décrit le mouvement du pendule, on supposera que  est
faible.
4La solution générale de cette équation différentielle fait intervenir deux régimes
d'oscillations, libre et forcé. Au bout d'un certain temps, le régime libre disparait compte tenu de
l'amortissement et seul subsiste le régime forcé. Dans ce régime, le mouvement du pendule est

décrit par : t    C sin t   


Expliciter en fonction des données du problème l'amplitude C et le déphasage du mouvement
du pendule.
3- Déterminer la pulsation et l’amplitude de résonance.

4- Donner les allures de l’amplitude C et du déphasage en fonction de la pulsation  .

Exercice 4
On considère un ressort, de masse négligeable et de raideur k. l’extrémité supérieur de ce
ressort est fixée à un bâ ti. A son extrémité inférieur est attaché une boule P de masse m. Au
cours de son mouvement verticale, la boule est soumise à une force de frottement


f   v   0 . On appelle x le déplacement vertical de la boule par rapport à sa position
–→
d’équilibre statique. On impose à la boule un mouvement sinusoïdal forcé grâ ce à une fore
–→
extérieur
1.  F0 cosdifférentielle
EtablirFl’équation tex du mouvement de la boule P. On posera :

m0  k;   2m 0 ; F0  ma
2

2. Le régime d’oscillation forcée correspondant à la solution :

x  x0 cos t     Asin t  B cost

A et B sont respectivement l’amplitude d’absorption et l’amplitude élastique.

a- Calculer A et B on fonction de  est tracer leur graphes. Pour ceci on suppose que dans
l’expression de A et2B au voisinage de la résonance, les variation son presque entièrement dues
au facteur  0 . On pourra donc remplacer  par 0 sauf dans le terme   0 .

112
1
b- Montrer que la puissance moyenne absorbée par l’oscillateur est P  m Aa 2.

On rappelle que la valeur moyenne d’une fonction f(t) sur une période
Test :
f t   1 T
 f t  dt
T0

c- Pour quelle valeur de  , la puissance moyenne P est maximale ?

1
Pour quelles valeurs 1 et 2 de  , a t  on P  2 P max
?

1
Calculer   1  2 et vérifier que    1 avec   20 . Interpréter ce résultat.

On rappel que (1  )n ≃ 1 n pour   1


3-a- Transformer l’équation différentielle de la question (1) en une équation différentielle du
second ordre avec la variable v.

b- En prenant une solution de type v  v 0e it   et en remplaçant a sin t par aeit , donner
 
les expressions de v0 et tg . Etudier leurs variations en fonction de  .

4On désigne par Z l’impédance mécanique complexe du système par analogie à l’impédance
électrique telle que : vZ = ka

a. Trouver l’expression de Z et Z en fonction des données du problème. On pose Z  Z ei .

b.Etudier la fonction de  , les variation de Z .

Montrer que la position de la courbe représentative de Z par rapport à ses asymptotes permet

de distinguer deux cas. Donner une interprétation par analogie à un circuit électrique.

113
Corrections des exercices

Exercice 1
1- Le ressort supérieur ayant la longeur l1, l’équation d’équilbre est :
mg  k(l2  l0 )  k(l1  l0 )  0  mg  k(l2  l1)  0

l1 et l2 sont donnés par le système d équations


 mg

1l  l  2a l a k
 2
1
  l2 mg d ' où l  a  mg
 k
l 2 k
1
 prendre l  l  a, ce qui revient à négliger le poids
Si mg  2ka, on peut 1 2

de la masse devant les tensions des ressorts .

2- A l’équilibre , la tension de chaque ressort est T0  k a  l0  


Lorsque la masse est déplacée horizontalement de x, les tensions

deviennent en supposant
encore l 1 l 2 ; T 1 T 2  k
2 2

a  x  l0 et la force de rappel F à pour module .

 a  x l sin avec sin 


→ x
F  2k 2 2

0 a  x2
2

L’équation de mouvement est donc :

d 2x
m 2  2k 
a2  x2  l x
 dt 
qui peut s'écrire : 0 a2  x2
d 2x  
m ldt  2k 1
2 0
x
 a2  x2 

3-Si x  a , On peut prendre a2  x2 ≃ a

ce 2qui donne comme équation du mouvement


d x

al
 2 2k  0 x 0
dt ma 
k
Qui est celle d’un oscillateur harmonique de pulsation  définie par :  2
2
 l0
m a
 
Exercice 2
1-a PFD dans le repère (oxy)
F →


r
P R Ff
c e

114
→ → dx

Forces réelles : poids P  mgk→; réaction R ; frottement F f   et la Tension
dt
→ → i
T  k  x  l0  i

Forces fictives : entrainement Fe et Coriolis Fc

dx
● F→ →
c  2m k  VR1  2m
→j dt

→ →


● Fe  m2 k→ k→ xi   xi 2

m

Projection du P.F.D sur l’axe (Ox) : m
d 2
x dx
 m2 x
 k  x  l0  
dt 2 dt

soit d 2 x  dx  k  x  l 0   2
mdt
dt     x 
2

m
0
k d 2x dx 2  k l 
d 2 x  dx  k
2    2  x  l0  0      x 0   0
dt m dt  m 2 m dt 2
 0 dt 0 
 m 0 
2


k 
tel que 0   2 et  0 
2

m m
2
k l0 l’équation devient d 2u  du
b- En posant u  x  2
0  0 u 
2

2 dt
m 0 0
dt 2

Pulsation propre 0  mk 
2
d 2u du kx
 20  0 u   0 cos
2
2- l’équation s’écrit :
dt 2
dt m
t
a- Amplitude et phase de la
vitesse :
dx ˜x  V j t  
 V0 cos(t   )  ˙ kx
dt e
0 ; F˜   m 0 e
jt

V0 j (t V ˜
e   j 0 e j(t  ˙x˙  0  )
j (t
x˜ j  ) 
)

 jV e
0 
2
 kx
d’où V0e j(t 
)
 j    2 0
   m e
0 jt

  
 
 2

0 2
  kx  2
 
2  k 2x 2

  20  e j   0  V0  
0
soit V0  j     4 2  2
 0
   m
  
0
   m2

kx 0 1
V0  2
m
 0
 
2

  4 0
2 2

  
115
La phase :

  
 j    0  2
2
kx0
0  cos  j sin     0 j    0  cos  20 sin  
2

     m    0

2
0

Donc tg   2
0

b-Impédance mécanique Z :

Amplitude de F kx0
Z= 
Amplitude de v
2

m   2
 V0
Z=  
0
 2

  

Exercice 3
I- Le mouvement de wagon est uniforme :
1- On ne considère pas les forces de frottement

dL → → → → →

a  dt  M P  Fe  Fc  T avec  l'axe Ax
→ →
––––→ mV  →
L  i L A  →
i AM  →
i r  ml u  
  ml 2˙

lu →→ → →
˙ →  L
P  mgk  mg  cosu r  sin 
u→ →  
T→ Tur avec T  T
→ →
F→e  m e 

0→  m→ 
F→c c

0

M  P→ F→ → → → –→ →
 
e  c  T  i AM  P  T  mgl sin
F
 dL
donc :


 ml 2  sin  ˙  g sin  0 (1) dt
˙  mgl
l
(1) : Equation différentielle décrivant le mouvement relatif du pendule.
b- Pour les petits mouvements, sin  ≃ 

(1)  ˙˙l   (2)   (t)  C cos  t0  


g

0
g
avec 0  pulsation propre du mouvement du pendule.
l

116
 t  0  C cos  0
   0 et C    t   0 cos0t (3)
 0
˙ t  0  C sin   0 
2- On tient compte du frottement et on va considérer uniquement la force exercée pa l’air. Le
pendule sera soumis, en plus des forces précédentes à l’action de cette force.
→ →
kv u
˙→ → → → →
a  MF   F  F
P  Tkl
→ e  F
c  mgl sin  kl
2
˙
dL 2 ˙
˙ 2 ˙ ˙ k ˙ g
dt  ml   mgl sin  kl   m  l  sin  0
(4)
Pour les petits mouvements (  : faible et en posant k
 2 , l’équation (4) s’écrit :
m
0 2 (5)

 k est le coefficient d’amortissement


2m

 k
b-   0  degré d’amortissement
2m

c-   1  amortissement faible
r 2  2r   2  0 Equation caractéristique
0

2 2
r    i avec    0   : pseudo-pulsation

 t   Bet cos t    et C cost D sin t


 ˙ t   
 t  0  0 et (t  0)  0   t    0e  cos t  sin 
 t  
0 
On peut écrire  t  sous la forme :  t   0
 e t cos(t   ) (6), avec tg  

Mouvement sinusoïdal amorti

117
●   1  2m : constante du temps
 k

 est le temps au bout duquel l’amplitude des oscillations est divisée par e.
●δ = λT est le décrément logarithmique du mouvement. Il caractérise la décroissance des
élongations maximales à chaque période. En pratique, la détermination de δ se fait à partir de la
mesure des élongations maximales du mouvement.

  t  1    t 
   nT   e  e   n ln  t  nT  
n T n


1

T2  T  T0 1  2 2 si   1  T ≃ 0T 1  2 
2 2

  4   8 
d-   1 Régime critique

 t   et C t  D 
 t  0  0
 C   0 et D= 0

 t  0  0
˙
  t   0e t 1
t

●   1 Régime apériodique.

 t   et c ch t  D sh t  avec  2   2   2

 t  0  0
 C  0 et D    0
 ˙ t  0  0 
  
  
   t  0 et  ch t  sh 
t   

● Dans les deux régimes, le retour à


la position d’équilibre se fait sans oscillations.
● Le retour à la position d’équilibre se fait
plus rapidement dans le régime critique que dans
le régime apériodique.
II- Le wagon effectue un
mouvement uniformément accéléré
→   →
ey

Nouvelles condition initiale : 0  0 et ˙0  0


→ → ––––→ F  ml →
 m ey  M F→e  →
i AM i  r→ j
1- Fe  m→
e
 → e
u→

 118
→ → → →
Or j  sin u r
 cos  u  M eF 
ml cos

dL 2 ˙

˙ 2 ˙
dt  ml   mgl sin  kl   ml
cos
k g 
 ˙˙ ˙  sin  cos  0 (6) m
l l
˙ 2 
Pour θ faible, l’équation différentielle(6) se simplifie et s’écrit :  2  0  l  0
˙

2-
  1
  
 t   p e t  ch t  sh t 
    P


2 2 
2
0
  1
 t    pe t  1 +  p
t

 1

 t   P e  cost   sin t 
t

   
P

  
2 2

2
0

 P   l 2 solution particulière de l’équation différentielle.


0


θ(t) tend vers la valeur  P   l 2 de façon périodique ou apériodique suivant la valeur de α.
0

III- L e wagon effectue un mouvement sinusoïdal de pulsation  et d’amplitude a.


1- Les oscillations du pendule sont entretenues par la force d’inertie d’entrainement.

119
→ → →
Fe  m e  m 2 a cos  t y
e
 
M  F→ → –→ 
e  e AM  Fe  m a l  cos t cos
2

 → →
 
pour  faible M Fe  mal2 cos t et l'équation différentielle du mouvement s'écrit :

˙ 2  0 2 
˙ a 2
cos t  (8)
˙
 l

Régime forcé   t    C sin t  

Cherchons une solution complète de la forme  ˜ t   Ceit  

En remplaçant cos(fit) par exp(ifit ) , on obtient

Ce
i


2
2

 2i   
0 
2
a
l
a 2 l a 2 / 2
d'où C   0
1
l 2 1
  2   2 2  42 2 2 2  2


 0 
1 2 
 
0 2 

   0  4

 2


2
0 
2 
 2 2
2
2 2
tg   0 0   1  02
  0
2- A la résonnance, l’amplitude est maximale.

dC 0
 0  2   0 2   
2

d 1 2 1 2 2
Cmax  a 1

l 2 1  2

12O
Exercice 4
→ →
0
→ →
 x  kxex  F cos tex
1- mx˙˙ex  xe
˙  k F
˙x˙m  x˙m xm 0
cost  F
 2 ;   et 0 
2
on pose :
k 0 0 m
a m
m 2
l'équation devient : ˙x˙ 2 0 x˙ 0  x  a
cosLe
2-a- t régime d’oscillations forcées correspond à la solution :
x  Asin t  B cost
x˙  A cost  B sin t

˙x˙   A2 sin t  2 B cost


 A sin t   B cost  2 ( A cost  B sin t)   ( Asin t  B cost)  a
2 2
0 0
2

t
cos
 A  2B    A sin t    2 A    B cost  a cos
2
0 0
2 2
0 0
2

B
donc    0
t
  A  2B 
 A  B0   A 
2
2
0 2
2 2 0
0


2


0
B  2 A0   0 B 
2
2 A0   0 2   2 B 
a a

A
2  a 0 
; B 
a 0 2  2 
 2
   
2
0 2   2   2 0 2 2 0 2  2  4  2
0
2
2
4 
 A() et de B().
Graphes
On remplace dans les expressions de A et B, ω par ωO sauf dans le terme (ω - ωO)

 a ; B a 0   
A≃ 2
2 0    2 20 2 0  0    22
3

2 4
0

 

121
b-La puissance absorbée par l’oscillateur est donnée par :
→ →
P  F  v  F0 cos
t  A cost  B sin
1 T F A T F B T F
P  T 0 Pdt  0t 
0
cos t dt  T 0 cost sin t dt A
2 0
T0
T
1
F0  ma  P  2 m Aa
ma2
c P  Pmax pour   0  Pmax 
40
1 ma2 ma2 0 2
 4  0  2
2
P  Pmax   2 2
2 80 2
 2
2
0    4 0  2
2 2 2  2  1    0 
0
les solutions sont 
 2  1 2 2  2  2 2  2
1
≃ 1 22 0 2  20  1   ≃ 0 1
0
 est faible  
0
2 2 2 2

 2  2
  
  0 1  
1
  20   avec  le tepms d'amortissement des oscillations libres .

   2  1 : Largeur de la bande passante

3-a- On dérive par rapport au temps l’équation différentielle précédente en x. On trouve

d 2v 20  0 v  a sin
2
2 
dt
dv  t
dt
b- On prend une solution de type V  V0e i()t et on remplace a sin  par a  aeit , à
t 
partir de l’équation en v on obtient :

122
 a
v0 e i 
   0
2 2  0
2i
tg 

2 0 2
2
 0
 a
V0 

2
  2  42 0
2 2
2
0


V0 aura la même allure que A

  0  V0  0 masse reste immobile


  
4- Z impédance mécanique complexe de l’oscillateur ZV  ka

a- En remplaçant V et a par leurs expressions V0 ei( wt  ) et aeiwt , on obtient


ka m 2
Z 2 2 2 2

    
i
2
e  
0 0
i 2
 4  
0

V m2
2 e 2
2
Z  0 2 2
  0
 2
  4 
0


b- Etude de la variation de Z

d Z
m0
2
0
2

  2 0 
2 2

en fonction de  . d   2 

0
2
 2   20  2
2

4
  0  Z  

L’oscillateur est équivalent à un circuit électrique ouvert.
  

123

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