Rapport (RADIOPROTECTION ET RADIOLOGIE)
Rapport (RADIOPROTECTION ET RADIOLOGIE)
Rapport (RADIOPROTECTION ET RADIOLOGIE)
ET
Radiologie
Présenté par : BAQQAS Hicham
MES (S5 Temps aménagé )
G1
1-- la RadioProtection
• 1-1- Les rayonnements électromagnétiques
• 1-2-La radioactivité
• 1-3-Comment mesurer cette irradiation ?
• 1-4- Dangers et risques encourus.
• 1-5- Les moyens de protection et de
surveillance
2-- la Radiologie
• 2-1 Qu’est-ce que la radiologie ?
• 2-2 Quand consulter un service de radiologie et
d’imagerie médicale ?
• 2-3 Quels résultats peut-on attendre d’un
service de radiologie ?
• 2-4 Les techniques et examens radiologiques .
Conclusion
.
RadioProtection
Définition de la RadioProtection
des rayons alpha : ce sont des noyaux d’hélium. Ils sont peu pénétrants
mais relativement lourd, capable de faire d’importants dégâts tissulaires sur
une faible longueur. Ils sont arrêtés par une simple feuille de papier ;
des rayons bêta : ces sont des électrons, légers, mais circulant à la
vitesse de la lumière. Ils sont beaucoup plus pénétrants et il faut au
minimum une feuille d’aluminium pour les arrêter ;
le gray (Gy) : correspond à l’énergie absorbée par l’organisme. 1 gray=1 joule par kg ;
le sievert (Sv) est une unité particulière qui vise à refléter la toxicité, de l’irradiation pour
l’organisme. Les différents types de rayonnement n’ont pas la même toxicité et les différents
tissus n’ont pas la même sensibilité aux rayons. Il faut donc introduire un facteur de correction
de l’énergie absorbée (en grays) selon :
1-4- Dangers et risques encourus.
A. Effet moléculaire.
B. Les effets déterministes de la
radioactivité.
C. Effets stochastiques de la radioactivité.
A. Effet moléculaire.
• b) Tryptique : temps/écran/distance
• c ) Moyens de protection
PUBLIC pas de
1 mSv/an surveillance
Les 2/3 du personnel hospitalier
b) Tryptique : temps/écran/distance
• La radioprotection obéit à trois règles de base :
Temps: La dose de rayonnements reçus est d’autant plus
importante qu’on est exposé longtemps => analogie avec
l’exposition aux rayons du soleil.
Par conséquent il convient de limiter le temps de présence
près des sources de rayonnements.
ECRAN : La quantité de rayonnements reçus est d’autant
plus faible qu’on se protège par des écrans qui freinent et
arrêtent les rayons. Le plomb est le constituent principale
permettant de stopper le rayonnement ionisant. Dès que
possible, on positionne entre soi et la source des écrans
atténuateurs : Ces « boucliers » sont choisis en fonction
des rayonnements et des lieux de travail :
.
La protection collective :
• Elle passe par une signalisation spécifique;
Des zones de travail (conformément aux
Tabliers plombé [11] Paravent plombé[11] Lunette plombée [12] Gants plombés [13]
d) Moyens de surveillance et de contrôle
• Chaque travailleur susceptible de recevoir une dose de
rayonnement du fait de son activité professionnelle bénéficie
d’une surveillance individuelle.
• Cette surveillance est médicale et dosimétrique.
• -cette surveillance est dosimétrique par le port d’un dosimètre
individuel ; Le dosimètre enregistre la dose reçue par le porteur
pendant ses heures de travail.
• Le dosimètre est porté, en fonction des postes et des fonctions,
durant 1 mois ou 3 mois avant d’être envoyé à un laboratoire de
mesures. Il est remplacé tous les mois ou 3 mois.
• Le laboratoire réalise une lecture du dosimètre et restitue à la
médecine du travail du CRH les résultats pour chaque porteur.
• Le dosimètre est :
.
• d) Le CT scanner
• k) La radiographie
interventionnelle
• e) Cardio CT
• l) La neurologie interventionelle
• f) CT scanner abdomen et thorax
• m) Arthrographie - Arthro CT -
• g) L'échographie Arthro IRM
A - Les Rayons X (la radiologie classique)
Le CT est particulièrement utile pour montrer les différents types de tissus comme les
poumons, l'os et les articulations, les viscères abdominaux et les vaisseaux
sanguins.
E - Cardio CT
• Le CT cardiaque utilise une technologie avancée de CT scanner pour
visualiser l'anatomie cardiaque, les artères coronaires et pour étudier la
fonction du cœur.
• Le cardio ou coronaro CT est une technique récente en évolution rapide,
pour rechercher, de manière non invasive, une maladie des artères
coronaires (sténose) irrigant le muscle cardiaque. Ces sténoses sont
cause de lésions cardiaques et peuvent induire des douleurs thoraciques
et/ou des infarctus.
• Comme pour toute investigation radiologique, l’utilité de l'examen doit
être décidée par votre médecin.
• Les critères utilisés par notre service et qui ressortent d'un large
consensus médical comportent les principales indications suivantes :
Risque intermédiaire à élevé pour maladie coronarienne mais sans
symptômes typiques
Symptômes inhabituels pour affection coronarienne (tels que douleurs
thoraciques non liées à l'effort) avec risque faible à intermédiaire
Tests d'effort cardiaque imprécis, non concluant
F - CT scanner abdomen et thorax
• Comment se préparer à l'examen ?
• Etre à jeun
• Ne pas fumer durant les 4 heures avant le rendez-vous.
• Se munir de sa demande, ses papiers administratifs (mutuelle, assurance) et ses
anciens examens se rapportant au scanner à réaliser.
• Il est important de signalez à l'infirmier qui réalisera l’examen les allergies, un diabète,
une éventuelle insuffisance rénale ou cardiaque.
• Pour la plupart des examens il est demandé de boire, dans la salle d'attente, un liquide
contenant du produit de contraste iodé dilué.
• Comment se déroule l'examen ?
• Le patient est allongé sur un lit qui se déplace dans le scanner, le plus souvent sur le
dos. Selon la zone étudiée, les bras sont le long du corps ou derrière la tête. L’examen
est généralement rapide. La coopération du patient est importante : il faut essayer de
rester immobile. Dans certains cas, il faut arrêter de respirer pour quelques secondes.
• Le passage dans le scanner dure en moyenne 10 minutes.
• Certains examens nécessitent, selon l'avis du médecin radiologue, une injection
intraveineuse de produit de contraste iodé, le plus souvent au pli du coude. L'injection
s'accompagne en général d'une sensation diffuse de chaleur, c’est normal.
G- L’échographie
En raison de son caractère peu invasif et de sa précision, son champ d'application ne cesse
de s'étendre :
Biopsies de tumeurs
Drainage d'abcès
Traitement de tumeurs par thermo-ablation
Infiltrations vertébrales
Traitement endovasculaire de sténoses artérielles ou veineuses...
L - Neurologie interventionnelle
• La neuroradiologie interventionnelle prend en charge le
traitement d'affections vasculaires qui affectent le système
nerveux central (cerveau et moelle épinière) en utilisant des
techniques invasives minimales. Les traitements se font par des
cathéters introduits au niveau d'une artère à hauteur de l'aine.
Actuellement les principales indications de la neuroradiologie
interventionnelle regroupent :
L'embolisation d'anévrysmes intracrâniens
Le traitement des malformations artério-veineuses et des
fistules durales intracrânienne
L'angioplastie - stenting des carotides et des vaisseaux
intracrâniens
M- Arthrographie - Arthro CT - Arthro IRM
• L'arthrographie permet de radiographier une articulation, après une
injection de produit de contraste iodé directement dans la cavité articulaire.
• Cet examen se pratique pour explorer le genou, l'épaule, la hanche et plus
rarement la cheville, le coude ou le poignet. Le plus souvent, l'arthrographie
est complétée par un CT scanner (arthroscanner) ou par une IRM (arthro-
IRM).
• L’examen dure entre 10 et 25 minutes : 5 minutes pour l’injection, 5 minutes
pour le scanner ou environ 20 minutes pour l’IRM.
• L'arthrographie permet :
De visualiser les surfaces cartilagineuses.
De mettre en évidence des déchirures de tendons ou ligaments
D'étudier les ménisques.
• L'IRM est souvent complémentaire à l'arthroscanner. L'IRM est en général
plus performante pour l'analyse des tendons et ligaments, le CT scanner
offre une plus grande précision pour l'analyse des cartilages et des
ménisques.
CONCLUSION