Les Formes Pharmaceutiques 2015

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Pharmacologie et thérapeutiques UE 2.

11
IFSI 1ère année

Voies d’administration et formes


pharmaceutiques

F. Bengeloun – sept. 2015


Introduction
La galénique est la science et l’art de conserver et
de présenter les médicaments, de la manière la plus
adaptée à leur mode d’administration, avec la
garantie d’un dosage précis, d’une stabilité
satisfaisante et d’une utilisation simple permettant
l’observance d’un traitement…

Galien
Introduction
Médicament = PA + excipient
La forme galénique dépend de :
◦ PA : forme liquide ou solide, caractère de
solubilité
◦ Voie d’administration imposée par le PA ( si non
résorbé par voie digestif => voie inj.)
◦ Maladie (ex : pommade pour pb dermato.)
Voies d’administration
Le choix dépend
A. du type d’action souhaité: action locale ou
systémique
B. des circonstances de l’administration:
o situation d’urgence
o volume important à administrer
o point d’administration particulier (ex : intrarachidien)
o nature ou composition particulière du médicament:
solution huileuse, microcristaux…
o commodité d’administration : patient, soignant
o risque de dégradation du médicament
o risque de sclérose veineuse.
La voie orale
Voie orale = voie entérale = per os
Voie la plus couramment utilisée
Administration du médicament par la bouche

 Parfois, uniquement action locale : pansements


gastro –intestinaux, préparation bucco-gingivale…
 Action locale ou systémique : résorption possible
tout au long du tube digestif (buccale, gastrique, et
le plus souvent intestin grêle)
La voie orale
Avantages Inconvénients
Bien acceptée Irritation possible du tube digestif

Economique Risques d’altération des principes actifs


par les sucs digestifs

Facile à utiliser et à répéter Impossibilité d’utilisation en cas de


vomissements ou de coma
Assez rapide (mais insuffisant en cas Goût parfois désagréable (peut être
d’urgence masqué)
En cas de surdosage, on peut espérer Biodisponibilité pouvant être diminuée par
retirer l’excès par lavage gastrique interaction avec alimentation ou boissons,
ou par 1er passage hépatique

Coopération du malade nécessaire


(parfois difficile en pédiatrie ou avec un
malade affaibli)
La voie orale
Formes orales

Solides Liquides

Comprimés Sirops
Gélules Solutions
Capsules… Suspensions…

Souvent unitaires Souvent multidoses


Meilleure conservation Adaptées aux enfants
Forme solide : comprimés
 Obtenus par compression de poudre
 Enrobés ou non

 Libération accélérée :
◦ effervescents (Efferalgan ®)
◦ lyocs (Spasfon lyoc®) ou dispersibles (Célestène®)
 Libération prolongée (= LP)
◦ Multicouches (ex : Noctran®)
◦ Noyau dur (ex: Polaramine Retabs®)
◦ Comprimés enrobés (gastro résistant ex :Aspirine pH 8®)
 Libération continue
◦ Comprimés matriciel (= éponges avec
trous rempli de PA)
◦ Comprimés osmotique
Forme solide : comprimés
 Avantages : dosages précis, faible coût, bonne
conservation, bonne acceptabilité, libération du PA
modulable…

 En pratique :
◦ Ne jamais écraser les formes retards et LP
◦ Ne jamais faire avaler des comprimés effervescents
◦ Possibilité de couper ou écraser certains comprimés
(personnes âgées, sondes…)
 comprimés sécables
 bonnes pratiques
 listes médicaments à consulter
Forme solide :
Qui suis-je ?

LISINOPRIL PREVISCAN

Poster_DEMANGEclaude.pdf
Forme solide : gélules
formées de 2 demi-capsules à base de gélatine,
emboîtées et contenant un mélange de poudre sèche
Il existe des gélules :

◦ gastro-résistantes (enveloppe ou contenu enrobés)


◦ à libération modifiée (Skenan LP ®)…
Mêmes avantages / comprimés

+ masque saveur désagréable


+ protection du PA
En pratique
◦ conservation à l’abri de l’humidité
◦ ouverture possible (sauf si gastrorésistantes)
◦ mouiller la gélule pour mieux l’avaler…
Forme solide : capsules molles
 formées d’une paroi épaisse et souple contenant un PA
liquide ou huileux
(ex : Adalate ®)
 Avantages

◦ présentation unitaire
◦ bonne conservation du PA
 En pratique

◦ ouverture possible (mais mauvais goût ou odeur)


◦ ne pas administrer par sonde (car huileux)
◦ mouiller la capsule pour faciliter la prise…
Forme solide : autres formes
 Granulés : administrés à la cuillère ou dissous dans l’eau

 Poudres : en sachets dose ou en


flacons multidoses à remettre en
suspension dans un liquide
◦ agiter le flacon avant emploi
◦ conservation limitée (après reconstitution)

 Pâtes et gommes à mâcher


(ex : Nicorette ®)
Formes liquides : les sirops
forteconcentration en sucre
=> diabétiques
administration facile et saveur agréable / enfants
 mais dosage imprécis…
◦ c. à café = 5 mL
◦ c. à dessert = 10 mL
◦ c. à soupe = 15 mL
◦ Pipette-doseuse
En pratique
◦ bien refermer le flacon après utilisation
◦ conservation limitée après ouverture…
Exemple
 Clémentine, 16 mois, 10 kg, pleure et a de la fièvre.
 Sa mère décide de lui administrer de l’ADVIL®

en suspension buvable.
 En ouvrant la boite, elle découvre qu’il manque

le piston de la pipette d’ADVIL® et décide donc


de prendre celle du DOLIPRANE® pour donner
l’ADVIL®.
 1dose 10 kg avec la pipette ADVIL®

= 75 mg d’ibuprofène.
 1dose 10 kg avec la pipette DOLIPRANE®

=125 mg d’ibuprofène…
F. liquides : les solutions buvables
PA dans un solvant à base d’eau, ou eau + alcool
Présentation en ampoules (unitaire) ou en flacon
Utilisation de compte-gouttes,

seringue doseuse, c-mesure

Avantage : administration facile si problème de


déglutition
Inconvénients :
◦ dosage peu précis (sauf ampoules)
◦ présence d’alcool
◦ stabilité…
F. liquides : les solutions buvables
En pratique :
◦ Ne pas mélanger les gouttes buvables
(incompatibilités !)
◦ Utiliser toujours le compte-gouttes propre au
flacon !
◦ Ne pas confondre ampoules buvables et
injectables
Formes liquides : les suspensions et émulsions buvables

 Suspension : dispersion d’une poudre insoluble dans un


liquide (ex: Maalox®)
◦ Parfois à reconstituer au moment de l’utilisation (ATB)
◦ stabilité et conservation limitée

 Emulsion = mélange de 2 liquides non miscibles (H/E)

 En pratique :
◦ agiter soigneusement avant emploi
◦ utiliser la cuillère mesure adéquate…
◦ conserver au réfrigérateur après reconstitution
Voie parentérale
 Consiste en l’administration de médicament par effraction,
à travers la peau. Ce type d’administration nécessite donc
une injection par utilisation le plus souvent d’une aiguille et
d’une seringue graduée, munie d’un piston
 En fonction du site d’injection utilisé, on parle de :

◦ Voie intradermique (ID) : administration immédiatement


sous la surface de la peau (à la limite due l’épiderme et
du derme
◦ Voie sous cutanée (SC) : administration sous la peau
◦ Voie intramusculaire (IM) : administration dans le tissu
◦ Musculaire profond (muscle fessier)
Voie parentérale
◦ Voie intraveineuse : Administration dans les veines
superficielles selon diverses modalités
 Intraveineuse directe (IVD) : injection directe dans la
veine plus ou moins rapidement (IVD lente ou IVD
flash dite en bolus)
 Perfusion intraveineuse : utilisés pour l’administration
de volumes importants (en pratique à partie de 50 à 100
mL), nécessite un dispositif adapté (tubulure pour
perfusion ou perfuseur), il est possible d’injecter un
médicament dans la tubulure à perfusion (par un robinet
ou un site d’injection), on parle alors d’injection intra
tubulaire.
Voie parentérale
◦ Voie intraveineuse :
 voie d’urgence
 il n’y a pas de retraite possible: mieux vaut s’assurer de la
nature du contenu de la seringue avant l’injection
 Précautions
 on n’injecte jamais par voie IV: de l’air, une solution
huileuse, une solution trop chaude ,une suspension de
cristaux, un produit insoluble, une solution présentant un
trouble ou un précipité, une substance toxique pour le
cœur (KCl),une solution hémolysante ou coagulante pour
les protéines, une substance pouvant déclencher un choc,
une substance irritante pour l’endoveine
 un médicament administré IV doit être strictement
préparé pour cela, convenablement dosé, stérile, limpide,
apyrogène, neutre ou à pH et molarité identiques ou très
proches du plasma humain.
Voie parentérale : Précautions
on n’injecte jamais par voie IV: de l’air, une
solution huileuse, une solution trop chaude, une
suspension de cristaux, un produit insoluble, une
solution présentant un trouble ou un précipité, une
substance toxique pour le cœur (KCl),une solution
hémolysante ou coagulante pour les protéines, une
substance pouvant déclencher un choc, une
substance irritante pour la veine
un médicament administré IV doit être strictement
préparé pour cela, convenablement dosé, stérile,
limpide, apyrogène, neutre ou à pH et molarité
identiques ou très proches du plasma humain.
Voie parentérale
Voie parentérale
Les voies d’administration suivantes correspondent à des actes
médicaux :
 Voie intra-artérielle (IA) : administration dans une artère
 Voie intrarachidienne (IR) ou intrathécale : administration dans
l’espace sous-arachnoïdien où circule le liquide céphalorachidien
(LCR) (ex : anesthésie )
 Voie intracardiaque (IC) : administration dans le muscle

cardiaque ou dans les cavités cardiaques (ex : insuline )


 Voie intra-articulaire : administration dans une articulation
 Voie épidurale : administration dans l’espace épidural

(ou péridural) situé entre la dure mère et la paroi du


canal rachidien
Voie parentérale
Avantages Inconvénients
Voie Action locale uniquement
Intradermique
Voie Possibilité d’injecter des suspensions Voie parfois douloureuse
intramusculaire Résorption rapide (car muscle vascularisé Volumes injectés réduits
+++) Dangereux en cas d’atteintes
de nerfs, veines ou artères
Voie sous- faisable par le malade lui-même Idem voie intramusculaire
cutanée Possibilité d’injecter des suspensions
Résorption un peu moins rapide que la
voie intramusculaire
Voie Effet immédiate (urgence +++) Irritation veineuse possible
intraveineuse Injection possible de solutions aqueuses Dangereux en cas d’injection
uniquement trop rapide de certains
médicaments
Difficulté à répéter les
injections à certains endroits
Durée d’action courte
Formes injectables
 Médicaments déposé à l’intérieur des tissus ou dans le
torrent circulatoire

 Différentes présentations
◦ Solutions IM, IV, SC, ID
◦ Suspensions IM, SC, ID
◦ Émulsions IV
◦ Formes à libération prolongée IM ou SC
Formes injectables
 Qualités requises :
◦ Stérilité (absence de germe)
◦ Apyrogénicité (absence de pyrogènes)
◦ Neutralité (pH le plus proche du pH sanguin soit 7,35 -
7,40)
◦ Isotonicité (même pression osmotique / plasma)
= solutions isotoniques (G5, NaCl 0.9%) ou
hypertoniques possibles (G30) en IV Stricte
◦ Limpidité (solutions seulement pas de particules )
◦ solvant aqueux (eau ppi…) ou huileux (pour effet
retardé)
Formes injectables : solutions
 Prêtes à l’emploi (seringues pré-remplies)
 A reconstituerextemporanément (poudre à dissoudre dans
solvant approprié…)
◦ ampoules ,bouteilles ou flacons ponctionnables
◦ flacons de verre ou poches (PVC ou non) à trocarder
Formes injectables : solutions
 En pratique :
◦ attention aux concentrations en PA (en mg ou UI)
◦ reconstitution aseptique avec du matériel stérile à usage
unique
◦ vérifier la limpidité (et le vide pour flacons de verre)
Formes injectables: suspensions
 Préparation obtenue par dispersion d’une poudre dans un
liquide  libération progressive du PA
Ex : insulines ou corticoïdes retard

 Caractéristiques : identiques / solutions sauf limpidité

 En pratique :
◦ agiter soigneusement avant injection
◦ ne jamais injecter en IV
Formes injectables : émulsions
 Mélange de 2 liquides non miscibles (H/E)
Ex : Lipides dans poches de nutrition parentérale

 Caractéristiques: identiques / solutions sauf limpidité

 En pratique :
◦ vérifier l’homogénéité avant injection (IV)
◦ ne jamais rien rajouter dans une émulsion
Formes inj à libération prolongée
 Procédés :
◦ augmentation de la viscosité de l’excipient
◦ sels d’acides gras (Neuroleptiques retards)
◦ suspensions (Corticoïdes)
◦ implants en SC (Zoladex®)
 Caractéristiques :

◦ durée action : 24 h à 3 mois


◦ intérêts : patients difficiles (psychiatrie) ou traitement long
(cancers)
 Limites : si intolérance au PA…
 En pratique :

◦ injections SC, IM ou locales (intra-articulaire)


◦ jamais IV
◦ excipient huileux seringues en verre…
Voie transmuqueuse
 Administration du médicament au travers d’une muqueuse.
 Permet une action locale ou une action générale ( si
pénétration du PA au travers de la muqueuse et diffusion vers
un tissu ou organe)
 Possible d’administrer des gaz anesthésiques ou des
anesthésiques volatils

 En fonction de la muqueuse utilisée :


◦ Voie sublinguale : administration sur la muqueuse située
sous la langue. Permet une action générale, rapide et évite
le « 1er passage hépatique ».
◦ Voie perlinguale : résorption par la muqueuse de la
langue et de la face interne des joues
Voie transmuqueuse
◦ Voie rectale : administration dans le rectum sur la
muqueuse rectale, richement vascularisée. Action
générale (après résorption) ou locale. Irritation possible
de la muqueuse, résorption irrégulière
◦ Voie vaginale : administration dans le vagin,
généralement pour action locale en raison d’une
perméabilité plus faible que celle des autres muqueuses
◦ Voie aériennes supérieures et ORL : administration sur
les muqueuses des cavités nasales (voie nasale), de la
bouche et du pharynx, du conduit auditif (voie
auriculaire) et destinée à une action locale
◦ Voie oculaire : administration au niveau de l’oeil (sur la
conjonctive) en vue d’une action locale
Voie transmuqueuse
◦ Voie pulmonaire : administration par voie
respiratoire (nébulisation) d’aérosols formés de
fines particules, dont le diamètre permet, s’il
est suffisamment faible, d’atteindre les
bronchioles terminales et alvéoles pulmonaires

Diamètre des particules Niveau d’action


aérosolisées
> 30 µ Fosses nasales
20 à 30 μ trachée
10 à 20 μ Bronches et bronchioles
3à5μ Bronchioles terminales
<3µ Alvéoles pulmonaires
Formes sublinguales
 Le médicament est croqué ou se délite dans la bouche (sans
être avalé) …sucé, mastiqué, laissé fondre, dissout au
contact de la salive…

 Délai action très court

 Protection PA / sucs digestifs, transformations dans foie

 Pas effet de 1er passage hépatique


Ex : Trinitrine® dans crise d’angor
Formes ORL
 Différentes formes :
◦ Bains de bouche
◦ Collutoires
◦ Gouttes nasales
◦ Gouttes auriculaires (attention à l’intégrité du tympan)

 Action généralement locale (antiseptique, anti-


inflammatoire…)
exceptions : solution ou spray nasal à action générale
Formes oculaires
 Collyres

◦ en flacons multidoses
◦ en doses unitaires (ophtadoses)

 Caractéristiques : stérilité, isotonicité aux larmes et


neutralité

 En pratique :
◦ durée de vie limitée après ouverture (date d’ouverture à
noter sur flacon)
◦ se laver les mains avant application
◦ utiliser un flacon par patient
◦ homogénéiser si besoin avant emploi
Formes oculaires
 Pommades ophtalmiques
◦ action prolongée (affections paupières)
◦ à appliquer le soir au coucher si sur cornée

 Bains oculaires
◦ antiseptiques et calmants
◦ administrés avec oeillère ou compresse

 Inserts oculaires (Lacrisert®)

 Implants intraoculaires (antiviral)


Formes pulmonaires
 A action générale (anesthésie)
◦ Gaz (protoxyde d’azote)
◦ Liquides volatils (anesthésiques halogénés)

 A action locale (asthme)


◦ Aérosols, sprays, inhalateurs…
◦ solutions ou poudres pour inhalation (en suspension dans
un gaz vecteur)
 prêts à l’emploi (flacons pressurisés ou non)
 à préparer (solutions pour nébuliseur aérosolthérapie)

◦ Gélules pour inhalation (Foradil®, bronchodual®)


Formes rectales
Suppositoires
◦ sensibles à la chaleur
avantages :
◦ évitent sucs digestifs et 1er passage hépatique
◦ action locale (hémorroïdes,laxatifs) ou action
générale (antipyrétique, antitussive, antispasmodique)
Capsules rectales
Lavements
Mousses rectales
Pommades rectales
Formes vaginales
Ovules

préparations solides de forme ovoïde


contenant 1 unité de prise de médicament
Capsules (capsule molle a paroi lisse)
Comprimés gynécologiques
Action locale (antibiotique, antifongique…)
Action immédiate ou libération prolongée
En pratique :
◦ introduire au fond du vagin , au coucher
◦ mouiller si besoin le comprimé
Voie cutanée
Application de médicaments sur la peau
◦ Action locale
◦ Action générale après pénétration à travers les
différentes couches cellulaires et diffusion par la
circulation sanguine = voie percutanée
=> l’application doit être faite dans une zone où
l’absorption est facile (derrière l’oreille,
torse…)
Voie cutanée
La peau lésée ou malade peut augmenter
fortement la résorption de certains
principes actif est favoriser l’apparition
d’effets indésirables.

Attention chez les enfants !


 Augmentation de l’hydratation de la couche cornée
Attention aux surdosages !
Application de trop grandes quantités ou trop
grand nombre d’applications
Pas de pansements occlusifs
Formes cutanées pour usage local
pommades, crèmes, gels, pâtes dermiques, solutions,
poudres..

A appliquer sur peau propre ou plaie nettoyée


sur lésions sèches : pommade grasse ( film occlusif)
sur lésions suintantes : crème (jamais de pommade)
Attention : si peau altérée risque de passage
systémique du PA
Formes cutanées pour usage systémique
 Pommades transdermiques
Ex : Lénitral percutané® à appliquer sur thorax ou abdomen
avec tampon doseur (prévention crises d’angor)
 Systèmes transdermiques = patchs
◦ hormonothérapie substitutive (ménopause)
◦ trinitrine (Cordipatch, Nitriderm…)
◦ mal des transports (scopoderm)
◦ sevrage tabagique (nicopatch)
◦ antalgique (fentanyl)
 Appliquer sur peau saine et propre, presser…
 Changer d’emplacement à chaque fois et surveiller l’état de
la peau…
Principales voies d’administration
Liens utiles
http://
pharmacie.hug-ge.ch/infomedic/utilismedic.
html

bonnes pratiques de préparation et d'adminis


tration CH Soissons.doc.pdf

MODALITES DE CONSERVATION DES


MULTIDOSE.pdf
Merci pour votre attention …

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