La Respiration
La Respiration
La Respiration
Bilal boufnane
I. Introduction :
II. Organisation du Système Respiratoire :
1. L’anatomie :
2. Circulation sanguine :
3. Histologie :
III. Propriétés élastiques pulmonaires :
IV. Ventilation et Mécanique Pulmonaire :
V. Volumes Pulmonaires :
VI. Échanges Gazeux :
VII. Contrôle de la Respiration :
1. Rythme Respiratoire :
2. Régulation Chimique :
3. Régulation Nerveuse :
4. Exemple d’adaptation :
I. Introduction :
2. La circulation sanguine :
كاذب الطبقات
Au niveau de la trachée, on trouve du cartilage et un épithélium pseudo-stratifié cilié (composé
d'une seule couche de cellules avec des noyaux à différents niveaux), qui comprend des cellules
ciliées et des cellules glandulaires (caliciformes) sécrétrices de mucus.
Le mucus piège les particules étrangères, tandis que les cellules ciliées les éliminent des voies
respiratoires, assurant ainsi leur filtrage et leur protection.
✓ Les poumons sont des organes spongieux présentant une certaine élasticité. Cette élasticité est liée à la
présence de fibres élastiques entourant les alvéoles.
Le surfactant : C’est un complexe de phospholipides et de protéines (lipoprotéine), produit dans
les cellules de type II.
▪ Grâce au surfactant, les poumons conservent leur élasticité et restent ouverts, ce qui facilite la
respiration.
▪ Le surfactant fixe la surface liquidienne avec son groupe hydrophile et diminue la rétraction avec son
groupe hydrophobe (qui repousse l'eau)
➢ Une déficience de surfactant diminue la compliance, provoque une atélectasie (les alvéoles se
collabent), un œdème pulmonaire (accumulation de liquide dans les poumons) et le développement
d'anomalies pulmonaires, notamment après une occlusion bronchique انسداد الشعب الهوائية
➢ Le surfactant a une action insuffisante (maladie des membranes hyalines, syndrome de détresse
respiratoire), beaucoup d'alvéoles sont collabées et la pression d'ouverture ne peut être atteinte.
• Rôles :
o Pour équilibrer les pressions des alvéoles (en réduisant la tension superficielle de
manière plus marquée dans les petites alvéoles.)
o Stabilisation des alvéoles.
o Le maintien des alvéoles sèches est assuré par la réduction de la tension
superficielle, ce qui diminue la pression qui aspire le liquide des espaces
alvéolaires.
o Augmentation de la compliance pulmonaire, permet d’éviter l’affaissement des
alvéoles, ce qui diminue le travail des muscles inspiratoires.
Compliance Pulmonaire : Capacité à se distendre :
présence de surfactant
• La Fibrose : Le tissu conjonctif qui entoure les alvéoles
est épais. Donc, une pression élevée est nécessaire
pour atteindre le volume pulmonaire, ce qui entraîne
une mauvaise respiration et une diminution de la
compliance pulmonaire.
• L’Emphysème : L’emphysème se caractérise par la
destruction des parois des alvéoles, ce qui réduit la surface
La solution salée inhibe la tension superficielle,
d’échange gazeux et rend les poumons très compliants sous
modifiant ainsi la relation Pression-Volume des
faible pression, mais moins efficaces pour l’expiration (l’air
poumons. Cela montre que la tension superficielle
reste piégé dans les poumons)
régule cette relation, car en son absence, les
2 La courbe est plus inclinée vers le haut. p se gonflent facilement même poumons deviennent plus distensibles (se gonflent
.
à de faibles pressions. à des pressions plus faibles)
1 poumon sain : le poumon se distend de manière optimale
L'inspiration : est le processus d'ouverture thoracique permettant l'entrée de l'air dans les poumons,
principalement actif sur le plan musculaire. Elle se déroule en deux étapes :
Étape A : La contraction des fibres musculaires du diaphragme abaisse le centre phrénique, aplatisse la
coupole et crée une dépression thoracique, ce qui attire l'air dans les poumons.
Étape B : La descente du centre phrénique se stabilise, et la contraction continue des fibres musculaires du
diaphragme entraîne l'élévation des côtes basses, élargissant la partie inférieure du thorax. Les muscles
intercostaux externes et élévateurs des côtes contribuent ensuite à l'élévation des côtes supérieures, complétant
ainsi l'ouverture thoracique.
L'expiration est le processus par lequel l'air est expulsé des poumons, entraînant la fermeture de l'espace
thoracique. Elle se déroule en deux modes :
Mode passif : Les muscles se relâchent, ce qui permet au thorax de se refermer passivement grâce à
l'élasticité pulmonaire et à la gravité, entraînant un abaissement des côtes et une remontée du centre
phrénique.
•Mode actif : Implique un effort musculaire, d'abord par la contraction des muscles expirateurs costaux (MII),
suivie de la contraction de la sangle abdominale pour expulser l'air plus efficacement.
• La contraction des muscles intercostaux externes soulève les côtes vers le haut et l'avant,
augmentant ainsi les diamètres latéral et antéropostérieur du thorax (favorise l'inspiration)
• La contraction des muscles intercostaux internes abaisse les côtes, réduisant le diamètre latéral du
thorax. Ils interviennent uniquement lors de l’expiration forcée
La pression alvéolaire (PA) est égale à la pression atmosphérique en l'absence de mouvement d'air,
tandis que la pression intra-pleurale (PPl) est d'environ -5 cm H2O (adhérence des P à la paroi thoracique).
Lors de l'inspiration, l'augmentation du volume thoracique entraîne une diminution de la pression
alvéolaire (Loi de Boyle), ce qui crée un gradient de pression entre les alvéoles et l'atmosphère,
permettant à l'air d'entrer dans les poumons. L'inspiration s'arrête lorsque la pression alvéolaire
s'équilibre avec la pression atmosphérique.
À l'expiration, le volume de la cage thoracique diminue, ce qui augmente la pression alvéolaire, forçant
l'air à sortir des alvéoles.
Résistances Pulmonaires :
Lorsque le gaz s’écoule dans un tube, il existe une différence de pression aux deux extrémités du tube. Cette
différence de pression ΔP (P entrée - P sortie) dépend du débit et du comportement du flux.
NB : Plus la résistance (R) du tube est élevée, plus la différence de pression (ΔP) doit être grande pour maintenir un
débit constant.
L: Longueur de la conduite (m).
μ: Viscosité dynamique du fluide en Poiseuille (Pi), (1Pi=1 Pas), 1-Le débit est proportionnel à la différence de
exemple l'air: μ = 18.2×10⁻⁶ Pa. s. pression (ΔP) divisée par la résistance (R)
ΔP = P₁ - P₂: Différence de pression entre l’entrée et la sortie de 2-Le carré du débit (Q2) est proportionnel à la
la conduite en Pascal (Pa). différence de pression (ΔP) divisée par une
Qᵥ = Vₘ · S : Débit volumique du fluide à travers la section S en résistance accrue (R′) due à la turbulence.
(m³/s).
❖ 80% de la résistance est concentrée dans les bronches (1ère à 7e génération) à cause du flux turbulent et du
diamètre relativement grand.
❖ Dans les bronchioles, malgré leur petit diamètre, la résistance diminue grâce au flux laminaire et à
l'augmentation de la section globale
❖ Les voies aériennes supérieures (nez, pharynx, larynx) sont responsables d'une grande
partie de la résistance à l'écoulement de l'air surtout pendant l'inspiration en raison du
rétrécissement naturel de leurs structures qui peut provoquer des ronflements ou des
apnées.
❖ Les conditions comme la rhinite allergique ou les apnées du sommeil augmentent cette
résistance, provoquant des difficultés respiratoires et des perturbations du sommeil.
❖ Les voies aériennes inférieures (trachée, bronches, bronchioles) augmentent la résistance à l'expiration,
notamment dans les troubles ventilatoires obstructifs comme :
o Bronchite chronique : Les bronches sont rétrécies par l'inflammation et la sécrétion.
o Asthme : Rétrécissement causé par la contraction des muscles lisses.
Le volume courant correspond à l'air inspiré et expiré lors d'une respiration normale.
Volume de réserve inspiratoire : air supplémentaire inspiré après une inspiration normale.
Volume de réserve expiratoire : air supplémentaire expulsé après une expiration normale.
Volume résiduel : air restant dans les poumons après une expiration maximale, prévenant leur collapsus.
Capacités pulmonaires :
Espace mort
A- Espace mort anatomique : Environ 150 ml, il comprend les voies respiratoires extra-thoraciques
(cavité buccale, cavité nasale, trachée) et les voies intra-thoraciques. Cet air ne participe pas aux
échanges gazeux. pas de circulation sanguineغير مروية
B- Espace mort alvéolaire : Ce sont des espaces ventilés mais non perfusés, dus à l'absence de capillaires
ou à un débit sanguin nul dans les capillaires présents, empêchant les échanges gazeux.
C- Espace mort physiologique : Espace mort Anatomique+ Espace mort alvéolaire. Généralement
équivalente à l'espace mort anatomique. (Surtout dans les conditions normales de santé.)
La diffusion : c’est le déplacement des molécules de gaz d'une zone de pression partielle élevée vers une
zone de pression partielle faible, à travers une barrière alvéolo-capillaire perméable, jusqu'à atteindre
l'équilibre. Ce processus est exprimé en termes de pression. (Mesurée en kilopascals, kPa).
Etape 1
La ventilation pulmonaire est un processus actif qui permet le renouvellement de l'air alvéolaire (AA)
à partir de l'air atmosphérique (A. Atm).
Selon la loi de Fick Les gaz diffusent passivement selon leur gradient de pression (de la haute à la
basse pression) =>O2 diffuse de l'extérieur vers les alvéoles, tandis que CO2 diffuse des alvéoles vers
l'extérieur
Les échanges O₂/CO₂ sont limités par la faible section transversale de la trachée et des grosses
bronches, associée à des gradients de pression également faibles, ce qui entraîne un flux de diffusion
passive insuffisant pour un échange gazeux optimal.
Etape 2
Echanges gazeux alvéolo-capillaires : Les échanges alvéolaires se produisent par diffusion à travers la
paroi alvéolaire, permettant le passage des gaz d’une zone de pression partielle élevée à une zone de
pression partielle basse, aussi bien lors de l’inspiration que de l’expiration. La proximité entre
l'épithélium alvéolaire et l'endothélium capillaire facilite un échange rapide et efficace d O2 et de CO2
entre l'air alvéolaire et le sang.
NB : Bien que le gradient de pression partielle pour l'oxygène (O2) soit plus important, le dioxyde de
carbone (CO2) traverse la membrane alvéolo-capillaire plus rapidement en raison de sa solubilité
plus élevée, ce qui facilite son élimination.
Les altérations dans la membrane alvéolo-capillaire peuvent entraîner des troubles d'échanges
gazeux, affectant l'oxygénation et l'élimination du CO2.
Hémoglobine :
L'hémoglobine chez l'homme est une protéine composée de 4 chaînes
peptidiques, dont l'hémoglobine A (HbA) représente environ 95 % des
cas chez l'adulte, formée de deux chaînes α et deux chaînes β. Il existe
également une forme fœtale, l'hémoglobine F (HbF). Chaque chaîne
est associée à un groupe hème, qui contient un cation de fer lié à une
porphyrine, classifiant ainsi l'hémoglobine comme une hémoprotéine.
NB:
Hb + O2 ⇌ HbO2 (oxyhémoglobine)
NB: Lorsque l'Hb libère l'O2 (devient désoxyHb), elle peut capter les protons (H⁺),
contribuant ainsi au tamponnage du pH dans le sang.
L'effet du pH et du CO₂
Effet du 2,3-DPG
Le 2,3-DPG (2,3-diphosphoglycérate) est un métabolite produit lors de la
glycolyse anaérobie dans les globules rouges. En se liant à l'Hb, le 2,3-DPG
diminue son affinité pour l'O2, facilitant ainsi la libération de l O2 dans les
tissus.
Chez les individus vivant en altitude ou ceux souffrant de pathologies cardio-
pulmonaires, un taux élevé de 2,3-DPG qui constitue une adaptation qui
facilite la libération d’O2 au niveau tissulaire.
Effet de température :
↑ Température : Une augmentation de la température diminue l'affinité de l'Hb pour l'O2.
La courbe de dissociation vers la droite. Diminution de l'affinité de l'Hb pour l'O₂
Etape 3
Le CO₂ se fixe sur les groupements aminés des chaînes latérales de l'Hb, formant des composés
carbaminés. Cette fixation se fait en dehors du groupe hème et est couplée à la fixation d'un proton
(H⁺), ce qui modifie l'affinité de l'Hb pour le CO₂ en fonction de la (PO₂). Ce phénomène est connu
sous le nom d'effet Haldane. Pomper ¾ des CO2 issus du métabolisme tissulaire
Effet Haldane : L’hémoglobine oxygénée a une faible affinité pour le CO₂ et les ions H⁺. En perdant
son O₂ dans les capillaires, l'hémoglobine change de structure et devient favorable à la fixation des
protons et du CO₂.
Cas de l’Intoxication au CO
(Respiration rapide)
(Difficulté respiratoire)
TI / TE = 1/2 : L'inspiration est la moitié du temps
d'expiration.
(Arrêt de la respiration).
TI / TTOT = 1/3 : L'inspiration représente un tiers du
temps total du cycle respiratoire.
Augmentation de la fréquence et de la
profondeur de la respiration, ce qui entraîne une
élimination excessive de CO₂ des poumons, et
une augmentation de l'apport en (O₂)
(GRD) ET (GRV)
le C pneumotaxique et apneustique
Transmet les signaux des CR aux muscles respiratoires.
Le bulbe rachidien renferme deux centres dans lesquels sont concentrés les neurones respiratoires :
• Le groupe respiratoire dorsal (GRD).
• Le groupe respiratoire ventral (GRV).
Les neurones principalement présents dans ces deux groupes sont actifs lors de l'inspiration (on parle de
neurone inspiratoire) et se projettent sur les corps cellulaires des motoneurones phréniques et
intercostaux ex.
Ainsi, lorsqu'ils sont activés, ils stimulent les motoneurones, provoquant la contraction du diaphragme
et des muscles intercostaux externes, d'où l’inspiration, Ils ont une activité cyclique à la base de
l’automatisme respiratoire.
Les neurones expiratoires : inhibent les neurones inspiratoires. En cas d’expiration forcée, ils stimulent
les muscles expiratoires. (Activent les motoneurones des muscles abdominaux et intercostaux internes→ Ces
signaux sont transmis par les nerfs rachidiens thoraciques).
Les centres pontiques : Le Pont (Protubérance)
Le centre pneumotaxique (partie sup du pont) : limite périodiquement l’inspiration (inhibiteur des
neurones inspiratoires du GRD) et facilite l’expiration.
Le centre apneustique (partie inf) : stimulent les centres inspiratoires et prolonge l’inspiration.
➢ Le centre pneumotaxique inhibe le centre apneustique→ transition entre l’inspiration et l’expiration.
Voies Nerveuses :
Régulation nerveuse :
Le réflexe de Hering-Breuer : Les mécanorécepteurs pulmonaires situés dans les parois des bronches et
bronchioles détectent l'étirement pendant l'inspiration et envoient des influx inhibiteurs par les nerfs
vagues aux centres inspiratoire et apneustique. Cette inhibition permet l’expiration (pour éviter la
surdistension des poumons)
Lorsque l’expiration est terminée, les mécanorécepteurs ne sont plus stimulés et n’enverront donc plus
d’influx inhibiteurs. Ainsi, l’inspiration recommence et le cycle se répète.
➢ Réflexes d’origine pulmonaire : ➢ Réflexes d’origine thoracique
Les informations pulmonaires(l’étirement) passent
Il prend naissance au niveau des muscles inspirateurs.
par le nerf crânien X(vague), qui régule les centres
+ Fuseaux Neuromusculaires (récepteurs proprioceptif
respiratoires situés dans le bulbe rachidien.
musculaire) : Ces récepteurs sensoriels détectent
Vagotomie : La section du nerf vague entraîne des
l'allongement des fibres musculaires et transmettent
mouvements respiratoires lents et amples.
des signaux au SNC via les nerfs rachidiens,
C’est mécanorécepteurs qui envoient les influx
permettant d'ajuster la respiration en augmentant la
nerveux via le nerf vague (nerf crânien X) au bulbe
contraction musculaire si nécessaire
Régulation chimique :
Les chémorécepteurs sont des récepteurs sensibles aux niveaux d’O2, de CO2 et au pH sanguin. Ils servent
de point de départ aux boucles de régulation de la respiration.
Les récepteurs Périphériques : sont des amas de cellules épithéliales très vascularisées qui aboutissent
aux terminaisons nerveuses en contact avec le sang artériel, Ils détectent les changements chimiques.
Formant :
Glomus(corpuscule) Carotidien : Situé au niveau des bifurcations des artères carotides, les informations sont
transmises par le nerf glossopharyngien (nerf crânien IX).
Glomus Aortique : Situé au niveau de l'arc aortique, les informations sont transmises par le nerf vague (nerf
crânien X).
Les Récepteurs Centraux : Situés sur le plancher du 4ème ventricule, juste à côté des centres respiratoires.
Ces cellules sont sensibles aux variations de la pression partielle (CO2) et du pH du LCR.
NB : Lors d'une augmentation de la pression partielle en CO2 dans le sang, celui-ci passe rapidement la
barrière hémato-encéphalique, CO2 réagit avec l'eau pour former l'ion bicarbonate HCO3- et le proton H+,
ce qui entraine une diminution du pH du liquide céphalo-rachidien. (Acidose =Hyperventilation immédiate).
L’hypertension : Les barorécepteurs du sinus carotidien et de la crosse aortique ont des récepteurs pour la
pression sanguine. Ils sont surtout reliés à la régulation de la tension artérielle, mais ils ont un impact sur la
ventilation puisqu’une hausse soudaine et marquée de la tension artérielle entraînera une diminution de la
ventilation
Élévation de la Température Corporelle : L’élévation de la température corporelle entraîne une ventilation
accrue pour compenser l’augmentation du métabolisme (10% par °C)
Douleur Prolongée : entraîne une adaptation qui augmente la fréquence respiratoire.
✓ Une hypoxie musculaire : Une diminution de l'oxygène dans les muscles pendant l'effort stimule
également les centres respiratoires pour compenser ce manque.
Comment évolue le volume courant et la fréquence respiratoire ?
L’essoufflement résulte de l’hypercapnie, qui se produit lors d’un effort intense. La fréquence respiratoire augmente
pour apporter plus d’air aux poumons, mais l’expiration a un débit faible, ce qui entraîne une accumulation de CO₂
dans les poumons (hypercapnie). Le bulbe rachidien réagit en augmentant encore la fréquence respiratoire, mais cette
réponse devient une respiration superficielle et inefficace. Ce cercle vicieux d’essoufflement peut finalement conduire
à une hypoxie, (une insuffisance d’oxygène dans les tissus) الحلقة المفرغة
Hypocapnie CO2
Hypercapnie CO2