CLARENCE
CLARENCE
CLARENCE
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ENCADREUR : SUPERVISEUR :
ABREVIATION……………………………………………………………………………… page
BUT DE L’ETUDE………………………………………………………………………….page
METHODE ET MATERIEL……………………………………………………………..Page
PROBLEMATIQUE……………………………………………………………………. Page
PROBLEME……………………………………………………………………………… Page
BBUDGET………………………………………………………………………………….Page
EE : enfant exposées
RESUME
La transmission du VIH de la mère à l’enfant (PTME) reste un défi majeur de la santé publique
dans de nombreux pays en développement. L’implication des conjoints dans ce programme de PTME
s’avère crucial pour l’attente des objectifs de réduction de la transmission. Cependant les facteurs
influençant cette implication ne sont pas bien compris. Cette étude visait à identifier les
déterminants de la faible implication des conjoints dans la PTME à partir d’une revue de littérature
systématique et d’une enquête sur le sujet. Plus spécifiquement il s’agissait de déterminer les
caractéristiques sociodémographiques des conjoints des femmes VIH, identifier les obstacles liés à
leurs non implication et proposer des solution pour une implication optimal.
Notre travail consistait à mener des entretiens semi-directifs à l’aide d’une grille d’entretien ; les
données recueillis étaient retranscrites.
De cette enquête il en découle que l’implication des hommes connait beaucoup d’obstacles dont la
peur de connaitre son statut et la stigmatisation reste le principale obstacle.
Cette transmission peut avoir lieu pendant la grossesse, le travail, l'accouchement où l'allaitement
maternel. Le taux de transmission varie de 15% à 45% en l'absence d'intervention en œuvre (1). Au
Cameroun, malgré l'introduction de l'option B+ de la PTME du VIH, l'adhésion à ce programme reste
faible (4). Selon le rapport annuel de l’ONUSIDA 2018, le Cameroun est le 2eme Pays le plus touche
de l’Afrique de l’ouest et du centre par l’infection à VIH. L’épidémie du VIH au Cameroun est de type
mixte (général et concentrée). Dans l’ensemble, la prévalence du VIH chez les personnes de 15-49
ans a baissé progressivement 5,4% en 2004, 4,3% en 2011 et 2,7% en 2018. Les estimations du VIH
réalisées chaque années visent a généré des tendances historiques et des projections a court termes
sur la base d’indicateur clés. Ces indicateurs parmi lesquels le nombre des PV VIH, les nombres de
nouveau cas infectés au VIH, le nombre de femmes enceintes VIH+, les mortalités dues au sida et la
couverture thérapeutique, sont très utiles dans le cadre de l’évaluation des tendances épidémique et
de l’impact global des mesures de luttes (5).
Au Cameroun, des efforts multiples ont été mis en œuvre visant à encourager les hommes a <<
suivre >> leurs femmes aux soins obstétricaux/PTME et à subir un test de dépistage du VIH.
Cependant seulement 18% des hommes ont participé. D’où l’objet de cette 2 étude qui vise à
déterminer les raisons de la faible implication des hommes dans la prévention de la transmission
mère et enfant du VIH.
2 - INTRODUCTION GENERAL
Pour maximiser mes résultats sanitaires de la PTME chez l'enfant , la femme et l'homme il faut cesser
de voir les hommes comme étant simplement des << Facteurs Facilitants >> permettant aux femmes
d'accéder à des services de santé mais les considérer comme faisant Partie intégrante des politiques
et des pratiques en matière de santé génésique (7). C'est par soucis de mettre en application ce
produit qui m'invite à mener une étude sur l'implication des hommes.
3-objectif général
L’objectif général de cette étude mené était de déterminer entre Juillet et Aout les déterminants
de la faible implication des hommes dans le PTME du VIH au sein des couples ou au moins un des
partenaires vie avec le VIH dans l’hôpital de district de Ndikiniméki.
4-objectifs spécifiques
Déterminer les caractères sociodémographiques (Age, sexe, religion, lieu e naissance) des conjoints
des femmes PVVIH ;
5-QUESTION DE RECHERCHE
6-HYPOTHES DE RECHERCHE
CHAPITRE 2: METHODOLOGIE
1- TYPE DE L’ETUDE
Dans le but de l’amélioration de la qualité de la sante obstétricale / PTME et de la
diminution épidémiologique de le TME, une enquête qualitative a été mené pour identifier
les déterminants de la faible implication des hommes dans la PTME. L’enquête consistait en
une grille d’entretien semi directive qui mettra un accent sur l’identification des caractères
sociodémographiques des conjoints des femmes VIH positive ; d’évaluer leurs connaissances
sur la PTME et les raisons de refus à leur adhésion.
2- BUT DE L’ETUDE
Mon but principal pour cette étude était de participer à l’amélioration de la prévention
de la transmission mère-enfant et de réduire le taux de contamination / infection grâce à
l’apport des hommes et leurs participations effectives et volontaire dans ces programmes.
3- LIEU DE L’ETUDE
Mon étude a été mené à l’hôpital de district de Ndikiniméki situé dans la région du
centre, Département du MBAM- ET – INOUBOU, arrondissement de Ndikiniméki. Cette
structure est située au cœur du centre-ville de Ndikiniméki.
Le district de sante de Ndikiniméki couvre 03 unités administratives (NDIKINIMEKI,
MAKENENE, NITOUKOU) ; il s’étant sur une superficie de 4000km² avec une population total
de 49852 habitants et compte 06 AIRES de santés avec 20 formations sanitaires dont 10
publics et 10 prives. Dans l’ensemble des 20 formations sanitaires, le district à 1hopital de
district et 2 centres médicaux d’arrondissement.
Il est délimite à l’ouest par le quartier bonaberi, à L’EST par le lac, au NORD par l’église
catholique et au SUD par l’ancien marche de la ville. Cet arrondissement est traverse par le
national N° 4.
Dans l’ensemble des vingt FOSA le district à un HD et deux CMA parmi lesquels on distingue
L’HDN. L’HDN est délimité par différents FOSA limité comme suit :
Notons que l’HDN est doté d’un personnel qualifié reparti comme suit :
De même que cette structure sanitaire à des ressources matérielles énormes à savoir :
Une pharmacie ;
Un bloc opératoire ;
Une salle de petite chirurgie ;
Un service de médecine ;
Un service de chirurgie ;
Un service d’UPEC ;
Un service de laboratoire ;
Un service de kinésithérapie ;
Un service de maternité ;
Un service de PF ;
Une salle d’accouchement ;
Une administration ;
Une caisse ;
Un service de réanimation ;
Un service d’odontostomatologie
L’Hôpital de district de Ndikiniméki a été créé en janvier 1990 et aide la population locale
des soins de santé de première nécessité grâce à son personnel dévoué et autonome.
4- PERIODE DE L’ETUDE
Mon étude s’est déroulé entre Juillet et Aout pour une durée d’enquête de 2
semaines puis nous avons pris 2 semaines pour analyse et interprétation des données
recueillies.
5- POPULATION D’ETUDE
Mon étude a été axés sur les hommes et sur des couples donc l’un des conjoints est
tester VIH positive
6- METHODE ET MATERIEL
Pour une bonne collecte des données, l’entretient consistait à poser des questions aux
participants et les réponses étaient transcrites sur la grille d’entre car les patient par soucis
d’être reconnu par leur voix on refuser l’enregistrement ; les données ont été transcrit,
analyser et interpréter.
7-TECHNIQUE D’ECHANTILLONNAGE
La technique d’échantillonnage sera non aléatoire représentative, il sera question ici de
lire les registres de l’UPEC afin de connaitre le nombre de couples et de personnes vivant
avec le VIH puis leur interroger en leur soumettant une fiche de consentement éclairée.
8-PROBLÉMATIQUE
La prévention de la TME du VIH est une priorité de santé publique à l’échelle mondiale.
Cette intervention biomédicale soulève des enjeux socioculturels lies à l’infection par le VIH
et aux relations de couples. Mais la prise en compte des hommes dans cette prévention de la
transmission du VIH à l’enfant est encore largement insuffisante. La contamination des
enfants à naître est une grande injustice et un nom respect des droits de l'enfant. Toutes
femmes qui souhaitent faire un bébé dans un pays à fort taux de prévalence du VIH doit
accepter de faire avant même la conception un certain nombre d'examen tels que la
sérologie du VIH, le groupe sanguin et l'électrophorèse de l'hémoglobine chez les couples de
race noire. Ces tests aident à connaître son statut et à prendre des mesures préventives.
Dans le cas où une grossesse a déjà débuté un test du VIH est conseillé au premier trimestre
de la grossesse. Mais malheureusement, plusieurs études ont démontré que la femme
africaine n'est pas accoutumée à ce genre de tests ce qui entraîne l'augmentation du taux de
transmission mère- enfants dans notre pays. La contamination du fœtus se fait pendant la
grossesse et particulièrement en fin de grossesse, pendant l'accouchement et l'allaitement.
En l'absence de toute intervention, le risque combiné de la TME du VIH in utero et pendant
l'accouchement est de 15 - 30% et le risque est accru chez les enfants allaités à 20 -45% (11).
6 L'accès limité aux services de la PTME est l'un des obstacles pouvant empêcher la
réalisation de l'élimination de la TME du VIH. Il n'en demeure pas moins que l'absence de
continuité dans la fourniture de services de PTME peut aussi être une difficulté majeure ;
lorsque les femmes parviennent à accéder aux établissements de santé, elles ne sont pas
toujours assurés de pouvoir bénéficier de l'ensemble des dispositifs de prévention pourtant
théoriquement disponible (8).
8-1- PROBLEME
La PTME est un élément essentiel pour réduire la transmission du VIH de la mère a
l’enfant cependant, dans de nombreux pays, l’implication des hommes reste encore trop
faible. Par ailleurs, les hommes jouent un rôle décisif dans les décisions concernant la santé
reproductive du couple. Leur implication active dans la PTME est donc crucial cependant les
hommes font souvent face à des barrières socioculturelles qui les éloignent de la PTME,
telles que des perceptions de genre traditionnelles ou la peur du dépistage du VIH. Impliquer
activement les hommes est essentiel pour renforcer la PTME et réduire efficacement la TME
du V.IH
La faible implication des hommes dans la PTME est un problème majeur de la sante
publique et la santé génésique mais plus particulièrement dans le couple car par peur ou par
soucis de perdre son mariage, la femme VIH+ ne dit pas son diagnostic a son mari et parfois
refuse de prendre le traitement avec pour peur de se faire attraper et met par conséquence
sa famille en danger or si le conjoint était au courant elle aurait sans soucis prit son
traitement. Les programmes et les services de SSG ( soin de santé génésique) ont été
principalement axés sur la femme , si bien que les hommes ont souvent manques
d’information pour prendre des décision éclairées au sujet des comportements sains et des
rôles qu’ils pourraient joués pour promouvoir la santé globale de la famille, y compris pour
l’accès aux services de prévention, de soin et de traitement de l’infection à VIH.
CHAPITRE 3 : GENERALITE
3-REVUE DE LITTERATURE
Pourcentages des hommes et des femmes de 15-49 ans qui savent que le VIH peut être transmis
de la mère a l’enfant : (10)
Pendant la grossesse Pendant l’accouchement Pendant l’allaitement Savent que la TME peut être
réduit par les médicaments spécifiques HOMMES 68% 74% 70% 75% FEMMES 71% 78% 82% 67%
En 2020, malgré les différents défis constate en GUINEE, il faut noter que les avancées
significatives avaient été réalisées en matière de la PTME ou 94% des femmes séropositives
enceintes avaient eu accès au traitement contre 20% en 2010 au niveau national. La même année, le
taux de transmission du VIH mère –enfant (incluant la transmission au 9 cours de l’allaitement) était
passe à 16,6% contre 35,9% en 2010. Le diagnostic précoce des nourrissons étaient amélioré avec un
taux de dépistage de 43,2% alors qu’il était à 5,3% «en 2010 (12).
En 2020, 848 femmes enceintes VIH positif nouvellement initiées au ARV sur 7603 ont bénéficies de
la chimio prophylaxie a l’isoniazide, soit une couverture de 41,1%. Malheureusement ces données
n’avaient pas été prises en compte en 2019. Malgré la disponibilité de la NIVERAPINE sirop (NVP)
pour la prophylaxie des enfants exposes (EE), on note une baisse de la couverture en ARV
prophylaxie qui est passées de 87,2% (13251) en 2019 a 85,% (12041) en 2020. Par ailleurs au 31
décembre 2020, 14137 EE ont été identifiées et les données collectes auprès des laboratoires
accrédites et des point of care (poc) ont permis de révéler que 113777 EE ont été dépistes au cours
de l’année 2020 soit une couverture de 97,45% comparativement à 2019 qui était de 98,5%. 589 EEE
ont été diagnostiqué positives au VIH, soit une séropositivité pour la PCR (polymérase Chain réaction)
de 4,3%, parmi lesquels 368(62,5%) ont été initiés aux traitements ARV (13).
5. CHRONOGRAMME DE L’ETUDE
6-BUDGET
Pour mon travail, j’ai eu recourt à des besoins financier qui vous seront détaillé dans le tableau ci-
dessous :
DESIGNA CONNE ACHAT ACHAT TRANSP IMPRESSI ACHA FRAIS CLE FRAIS
TION XION ORDINA DE ORT ON / T DES POUR USB UTILIS
UTILISE TEUR TELEPH RELURE RAM OBTEN CARTE ER
E ONE ET ES DE IR LA MEM POUR
PHOTOC FOR CLAIRE OIRE ANAL
OPIES MAT NCE YSE
ETHIQ DES
UE DONN
EES
PRIX 35000 150000 90000 30000 27000 5000 10000 10000 30000
TOTAL 38700
CHAPITRE 4: RESULTATS ET DISCUSSION
10-Comment la société perçoit elle généralement l’implication des hommes dans la PTME ?
11-Existe-t-il des normes sociales ou des attentes culturelle qui peuvent influencer
l’implication des hommes dans la PTME ?
C-ENCOURAGEMENT ET SOUTIEN
a-Quels types de soutien ou d’encouragement peuvent aider les hommes a s’impliquer dans
la PTME ?
b-Quelles sont les initiatives existantes qui visent a encourager l’implication des hommes
dans la PTME ?
c-Quelles sont les recommandations que vous pourriez donner pour promouvoir une plus
grande implication des hommes
D-CONCLUSON
d-Demander au participant s’il souhaite ajouter quelque chose d’autre sur le sujet
PATIENT 1 :
A-1 Hommes de 38 ans, de profession maçon, marié
A-2 « j’ai déjà entendu parler du VIH »
A-3 je connais ce que signifie la TME « c’est lorsqu’une maladie se transmet de la mère a
l’enfant »
A-4 pour éviter cette transmission il faut « faire des visites régulières chez son médecin et
prendre normalement ses traitement »
A-5 « Oui » il y a un avantage a accompagné sa femme car « cela permet de connaitre son
statut »
A-6 « je ne sais pas quels sont les obstacles auxquels les hommes sont confrontés »
A-7 nous avons comme soutien « psychologique : montré à la femme quelle n’est pas seul
dans cette épreuve »;
« Supprimer le moindre risque pour la TME »
A-8 « je n’ai aucune idée de ses croyances »
A-9 comme motivation « l’amour de son conjoint »
B-10 « pour moi c’est un acte louable à encourager »
B-11 « non il n’existe pas de norme social ou culturelle »
C-a « il y’a le soutien morale et financier »
C-b « je n’ai rien à dire » sur les initiatives existantes
C-c comme recommandations « je suggère sensibilisation sur les bienfaits de la PTME »
D-a « je n’ai rien à ajouter » sur le sujet
« Merci »
PATIENT 2
A-1 Hommes de 35 ans, camionneur de profession, en relation
A-2 « OUI je connais » ce que c’est le VIH
A-3 OUI la TME « c’est lorsqu’une mère transmet une infection a son enfant »
A-4 pour éviter la contamination, « faire les cpn pour évaluer le taux de CD4 ; faire un
allaitement artificiel après l’accouchement »
A-5 OUI il y’a un avantage à accompagner les femmes ; « il faut souligne que le financement
est également un accompagnement »
A-6 « si l’homme cherche à s’impliquer dans la PTME, rien ne va l’empêcher »
A-7 les avantages potentiels l’implication peuvent être « le rappel de la prise du traitement
et de la consigne données par le médecin, veillé à ce que l’allaitement artificiel soit effectif
(financement pour le lait) »
A-8 comme attitudes ou croyance, « les hommes ne savent pas qu’ils peuvent s’impliquer »
A-9 come motivation nous avons « le fait de ne pas vouloir que l’enfant contracte cette
maladie »
B-10 la société pense « qu’ils ne s’intéressent pas assez »
B-11 NON il n’existe pas de norme sociale ou culture qui influence l’implication des hommes
C-a « la PTME est un domaine où les hommes sont distant mais par ailleurs nous avons un
encouragement personnel par souci de ne pas avoir un enfant infecter »
C-b parlant des initiatives existants, « il faut d’abord que la femme demande »
C-c comme recommandation que je peux apporter pour que l’homme s’implique dans la
PTME, « il faut être d’abord engagé et éviter à ce que l’enfant soit condamné a la même
maladie que sa mère, veillez à ce que les séropositifs ne se multiplie pas dans un ménage »
PATIENT 3
A-1 Femme de 32ans, profession APS rétention et célibataire
A-2 « je connais ce que sait le VIH »
A-3 j’entends souvent parle de la TME dans son service « transmission de la mère a l’enfant
du VIH »
A-4 les conditions à remplir pour éviter la TME sont nombreuses nous avons entre autre : «
se mettre sous traitement tout en honorant les rendez-vous, se faire suivre de près par son
médecin »
A-5 oui nous avons un avantage a accompagné les femmes car il « rassurance sur le suivi
objectif de la mère afin d’éviter véritablement la transmission »
A-6 comme obstacle nous avons « pour un couple discordant la connaissance du statut
sérologique de la mère »
A-7 parmi les avantages de leurs accompagnements nous avons « la maitrise et la
connaissance élargie dans le domaine »
A-8 « la honte, les préjuges » sont les attitudes parmi les hommes qui peuvent décourager
leurs implications
A-9 « la curiosité, la connaissance » sont des motivations pour leurs implications
B-10 la société perçoit leurs implications « comme un facteur de motivation pour éviter la
TME »
B-11 « de plus en plus non »nous n’avons pas de normes qui empêche leurs implications
C-a nous avons un « soutient d’ordre psychologique ce qui permet à la mère de bien suivre
son traitement, soutien d’ordre social permet de limiter le nombre de personne pouvant
être contamine » par le VIH
C-b « je ne sais pas » qu’elles sont les initiatives existantes visent à encourager leurs
implications
C-c « la sensibilisation et l’encouragement » peuvent être utilisé pour promouvoir une plus
grande implication
PATIENT 4
A-1 Homme de28 ans, cultivateur de profession ; en relation
A-2 « j’ai une connaissance sur le VIH »
A-3 oui j’ai entendu parler de le TME « mais je ne connais pas en profondeur »
A-4 « d’après vos explication je pense que le mieux c’est de commencer par les
consultations à l’hôpital pour apprendre plus sur ce qu’il faut faire pour ne pas transmettre
le VIH »
A-5 OUI il faut accompagner la femme dans ses servies « pour la motivation a son
traitement »
A-6 « accepter d’abord la maladie et le regard des autres s’ils sont au courant » est l’un des
plus grands défis à surmonter
A-7 « sécuriser la sante de l’enfant au sujet de cette maladie » est le plus grand avantage de
cette implication
A-8 « nous ont s’est toujours dit que ce sont les choses des femmes c’est pour cela que tu
vas voir qu’on ne s’intéresse pas »
A-9 « voir les enfants naitre sans VIH » est la une motivation de l’implication des hommes
B-10 « le point de vu de la société dépend du lieu ou u te trouve ici dans notre localité on va
te juger »
B-11 « je ne pense pas qu’il existe une loi qui nous force à les accompagnées »
C-a « les résultats positifs sont une sorte d’encouragement à aller à l’hôpital »
C-b « amené les hommes au cpn et aux entretiens entre personnels et patientes » sont des
initiatives existantes pour impliquer les hommes
C-c « faire une note d’information aux femmes pour qu’elles amènent leurs conjoints peut
selon moi être prise comme recommandation »
« MERCI »
PATIENT 5
A-1 Homme de 30 ans, cultivateur de profession, marie
A-2 oui connait le VIH
A-3 j’ai déjà entendu parler de la TME « mais vaguement »
A-4 « il faut d’abord qu’elle aille à l’hôpital étant l’Aba on va lui donner la conduite à tenir »
est l’une des conditions à remplir pour éviter la transmission
A-5 « NON je ne trouve pas la nécessiter si je donne déjà l’argent d’accompagne la femme à
l’hôpital pour cela »
A-6 les obstacles dont les hommes peuvent être confrontés « c’est une maladie qui n’est
même pas d’abord facile a accepté et nous les hommes ont part faire quoi l’Aba »
A-7 « aider la femme à suivre son traitement » est l‘avantage de l’accompagnement de
femmes
A-8 « on n’a pour habitude de ne pas gérer tout ce qui concerne la femme au sujet de la
maternité » cela est une attitude courantes des hommes
A-9 « pouvoir savoir qu’elle ne peut pas transmettre la maladie » est une motivation de
l’implication des hommes
B-10 « es gens ont pour habitude de nous contrôle à la loupe quand ils savent que tu as le
VIH »
B-11 « non à ma connaissance » il n’existe pas de norme social ou culture qui empêche les
hommes
C-a le soutien « psychologique sa remonte le moral » est l’un des soutiens apporter
C-b « initier les hommes dans les rencontres avec les femmes » est une initiative existante
pour encourager les hommes dans la PTME
C-c « faire un communiquer » est l’une des recommandations
MERCI
PATIENT 6
A-1 homme de 32ans, de profession moto mans, en coulpe
A-2 oui je connais le VIH
A-3 NON « n’a jamais entendu parler de la TME »
A-4 « moi je ne connais pas » comment on fait pour prévenir la transmission mère- enfant
A-5 « je n’ai pas le temps pour ça » pour accompagner sa femme pendent le processus de
soin pendant la grossesse
A-6 « je ne connais pas » quels sont les obstacles ou les défis auxquels les hommes sont
confrontés lorsqu’ils cherchent s’implication dans la PTME
A-7 « encourager sa femme » est un avantage potentiel de l’implication des hommes
A-8 « moi je ne connaissais même pas ce que c’était donc je ne m’en souciais pas » des
attitudes ou croyances des hommes
A-9 « savoir que nous sommes protégées à mon avis est la plus grande des motivations »
pour l’homme de son implication
B-10 « il faudrait d’abord savoir ce que sait avant de parler de ça dans la société»
B-11 « non non ce n’est écrit nulle part que l’homme est obligé d’accompagner la femme »
C-a « voir mes enfant et moi sain peut peut-être m’encouragé »
C-b « être encourager et informer par ma femme est la seul chose qui peut me faire
l‘accompagner »
C-c « il faut souvent organiser les séminaires pour parler de ça aux hommes pour qu’on se
sente important »
D-d « quand on vient à l’hôpital il faut souvent prendre 5 minutes pour nous parler des
sujets sensible comme celui-ci vraiment »
PATIENT 7
A-1 femme de 27ans, cultivatrice de profession, marié
A-2 OUI « le VIH c’est une maladie sexuellement transmissible »
A-3 oui « la TME c’est lorsqu’une maman transmet une maladie a son enfant »
A-4 « si elle a déjà accouche elle ne donne pas le sein à l’enfant ou alors au cours de la
grossesse faire des visites prénatales » pour éviter de transmettre le virus au bébé
A-5 oui c’est bien d’accompagner la femme « car c’est une maladie qui n’ai pas facile a géré
pour l’un comme pour l’autre »
A-6 « le regard des gens ils vont demander ce que u part faire chaque fois à l’hôpital et sa
peut te déstabiliser » c’est un très gros obstacle de l’implication des hommes
A-7 « prévenir les grossesses non désirées et communiquer avec sa femme » est un avantage
potentiel de l’implication de l’homme
A-8 « l’homme ne gère que les factures et n’a pas d’attache particulière dans ce genre de
service sauf en cas de problème grave c’est déjà une habitude pour eux »
A-9 « savoir que les enfants et moi ne courront aucun risque » est une bonne motivation
B-10 « La société voudrait qu’on soutienne nos épouses »
B-11 « en fait je ne sais pas je n’ai pas encore entendu les gens parler de ça ici même dans
les débats des carrefours »
C-a « avoir une prise en charge gratuite, efficace et bénéfique » est un bon soutien
C-b « éduquer les femmes lors des cpn pour qu’elles viennent avec leurs mari » est une
bonne initiative
C-c « nous envoyés des invitations de temps en temps et dire à nos femmes de souvent bien
nous convaincre » peut être une bonne recommandation
MERCI
PATIENT8
A-1 homme de 40ans, électricien de profession, marié
A-2 bien sûr je sais ce que c’est le VIH
A-3 OUI « J’ai déjà entendu parler de la TME dans une émission télévisée »
A-4 « bien faire ses visites selon les rendez-vous et respecter les recommandations
données » est l’une des conditions à remplir pour éviter la TME
A-5 oui c’est important d’accompagner son épouse « car sa prône un dialogue dans le
couple et une certaine confiance, sa permet de connaitre de quoi il est question »
A-6 les obstacles auxquels les hommes sont confrontés peuvent être « le regard des autres
face à la situation, la croyance ethnique et religieux le tournant de la famille un état
mentale faible face à la maladie en question »
A-7 « avoir un bon suivi de la femme et du bébé car nous avons souvent des femmes
négligentes, avoir des informations sur tout ce qui se passe et se dit, être sûr de ne plus avoir
des enfants contamines » peuvent êtres es avantages de l’implication de l’homme
A-8 comme attitude nous avons « des hommes qui ont tendance à négliger ce genre de
pratique, nous avons aussi l’ignorance de uns et des autres
A-9 « avoir une famille saine et être mieux informer » sont de bonne motivation pour
l’homme ;
B-10 perception de la société face à l’implication des hommes « pour ceux qui sont cultivées
ils savent que c’est une bonne initiative pour les autre ils nous prennent pour des hommes
faibles »
B-11 « non il y pas de norme sociale ou culturelle du moins pas à ma connaissance »
C-a « soutien morale, psychologique, financier et physique c’est très important la présence
physique » font parties des types de soutien que l’homme apporte
C-b « je ne sais pas à vrai dire » quels sont les initiatives existantes
C-c « inviter les hommes à accompagner leurs femmes à l’hôpital peut importer la maladie et
assister si possible à la consultation » c’est ma recommandation
MERCI à vous
PATIENT 9
A-1 homme de 25 ans, en couple, planteur de profession
A-2 « oui à l’hôpital J’ai déjà entendu parler du VIH »
A-3 « non pas vraiment je ne sais ce qui veut dire TME »
A-4 « pour moi tout cela commence d’abord par la fréquentation des structures sanitaire
pour le dépistage et le diagnostic en fonction de cela on vous donnera la marche à suivre et
honore les rendez-vous de cpn » c’est la meilleur condition pour éviter cette transmission ;
A-5 oui il y’a un avantage a accompagner la femme « car pour nous qui ne savons pas ce que
sait vraiment ça nous donne une occasion d’apprendre plus sur la transmission et de
connaitre le processus de traitement dans le cas d’une éventuelle infection »
A-6 « la non connaissance du statu d’abord ; la peur de connaitre son propre statut
sérologique ; ne pas avoir confiance à son partenaire » peuvent être des obstacles à notre
implication
A-7 « soutenir sa partenaire, l’aider dans sa prise de traitement et la rappeler de ses rendez-
vous » sont des avantage de notre implication
A-8 « la négligence est une attitude courante chez l’homme »
A- 9 » savoirs que la femme ne peut plus transmettre le virus, la gratuité des
médicaments »est une bonne motivation
B-10 « les gens pensent que l’implication des hommes n’ai pas nécessaire »
B-11 « selon moi la société voudrais qu’on s’implique davantage pour limiter la propagation
de ce virus »
C-a comme soutien nous avons « un soutien psychologique car tout ce passe dans la tête et
être là pour sa femme »
C-b « il faut d’abord avoir un homme compréhensif et bien l’informer pour qu’il puisse
prendre part aux activités de PTME »
C-c « bien nous informer sur le sujet afin de prendre des bonnes décisions pour notre sante »
cela est ma recommandation
MERCI
PATIENT 10
A-1 homme de 38 ans, médecin de profession, célibataire
A-2 oui j’ai déjà entendu parler du VIH
A-3 OUI la TME c’est « une infection transmise de la mère à l’enfant »
A-4 « lors des visites faire un test de dépistage dès les trois premiers mois , puis le 2eme test
au deuxième trimestre et un autre test les 3 derniers mois ;
Se rassurer que la charge virale est non détectable pendant les 9mois de grossesse ;
Se rassurer que la femme est observante a son traitement et respecte les visites prénatales ;
Mettre à sa disposition la niverapine 2 semaines avant l’accouchement qui empêche
l’infection de l’enfant » voilà quelque condition à remplir pour éviter la TME
A-5 « la confiance, l’assurance, diminue le stress pendant la grossesse, permet de faire le
test aux deux partenaires » ce sont les avantage à accompagner les femmes
A-6 « l’âge réel de la grossesse n’est pas révéler par la mère, la femme ne dit pas son statut a
son conjoint » c’est un obstacle de l’implication
A-7 « la connaissance des différents processus de la PTME et des examens demandés ;
La connaissance du statu renforce la confiance dans le couple » sont des avantages
potentiels de l’implication des hommes
A-8 « l’ignorance, manque de temps, la peur du financement, le traditionalisme du
partenaire et la non croyance du bien fait de la médecine moderne » sont des attitudes et
des croyances courantes parmi les homes
A-9 « avoir une famille saine, l’appréciation des autres femmes et du corps pendant les
séminaires » sont de bonnes motivation
B-10 « préjugé, l’étonnement du regard des autres » sont les perceptions de notre société
B-11 « non à ma connaissance » il y’a pas de normes sociale ou culturelle
C-a « les invitations, la gratuite de la plus part des examens des femmes enceintes » sont des
encouragements qui peuvent aider à l’implication des hommes
C-b « les invitations mises en place par l’hôpital » sont des initiatives existantes
C-c « partage les connaissances dans les groupes de soutiens entre conjoint » sont des
recommandations que je peux donner.
STATUT
MATRIMONI FREQUENC Pourcentag
AL E e
Marié 4 40%
célibataire 2 20%
En couple 4 40%
Total 10 100%
De ce tableau il en découle que 40% des hommes de notre étude son marie ;
20% sont célibataires ; et 40% sont en couple.
- L’évaluation des connaissances des participants sur le VIH a eu des
résultats suivant qui vous seront détaillé sur le tableau
1.2 : CONNASSANCE DES PARTICIPANTS SUR LE VIH
CONNAISSAN
CE FREQUENC POURCENTA
E GE
OUI 10 100%
NON 0 0%
TOTAL 10 100%
Ce tableau nous montre ici que sur 100% de notre population d’étude, 100% des personnes
ont une connaissance sur le VIH.
- Nous avons également interrogé les participants sur le faite de savoir
s’ils savent ce que sait que la TME et nous avons pu avoir des réponses
dont les uns répondaient oui et donnaient les définitions selon leurs
connaissances et réponses recueillis nous dirons ici que la majorité de
notre population d’étude avaient une idée de ce que sait que la TME.
Le tableau ci-dessous nous donnera les résultats en termes de
pourcentage.
Il en ressort de ce tableau que 80% des hommes savent ce que ce que sait la TME et 20% ne
savent pas.
- Concernant les conditions à remplir pour éviter la TME, les uns pensent
qu’il faut d’abord :
- faire les visites pour évaluer le taux de CD4,
- faire un allaitement artificiel ;
- Respecter les jours de rendez-vous ;
- Se mettre sous traitement et être observant ;
- Respecter les recommandations ;
- Commencer d’abord par fréquenter les structures sanitaires
Et les autres disent :
- qu’étend donner qu’ils ne savent même pas ce que sait que la TME
ils ne peuvent pas données un avis contributif pour cette question
De ce tableau il en découle que l’ignorance est l’attitude qui domine sur la non implication
des conjoints dans la PTME.
- Pour accompagner les femmes a l’hôpital, les hommes pont souvent
besoin de motivation qui vont leurs permettent de rester fous sur leurs
objectifs (soutenir la femme dans ce processus de soins) et pensent
alors que la bonne motivation est :
- La curiosité et la connaissance ;
- Le faite de ne pas vouloir un enfant contaminé par le VIH ;
- L’amour de son conjoint ;
- La connaissance des différents processus de la PTME ;
- Savoir que la femme ne peut plus transmette la maladie ;
- Savoir que la famille est protégée.
La majorité de la population pensent que la meilleure motivation est d’avoir des enfants
sains.
Le tableau ci- REPONSE FREQUENCE POURCENTAGE dessous nous dit qu’il n’existe pas
de norme NON 10 100% sociale ou attentes culturelles
qui OUI 0 0% influencent l’implication des
hommes TOTQL 10 100% dans la PTME
IL en ressort de ce tableau que la plus part des hommes sollicites une information complètes
et bien précise sur le sujet pour pouvoir s’impliquer dans le sujet proprement dit.
3- DISCUSSION DES RESULTATS
Au vu des résultats de l’analyse et de l’interprétation des données, nous dirons ici que
l’implication des hommes dans la PTME n’est pas influencer par leurs connaissances sur la
TME car sur 10 participant nous avons 08 qui savent ce que sais la TME soit un pourcentage
de de 80% et 02 qui ne savent pas soit 20%. Malgré leurs connaissances, leur adhésion dans
les services de la PTME n’est pas observée.
Par ailleurs nous avons pu détecter les obstacles liés à la faible implication des conjoints.
Dans la documentation de l’OMS et de l’ONUSIDA 2018 on retrouve comme obstacle de la
non implication des hommes « la peur de connaitre son statut par rapport au VIH, la
stigmatisation, et la discrimination ». Il en ressort de même dans notre interprétation que
parmi les obstacles de l’implication des hommes dans la PTME nous avons le regard des gens
(la stigmatisation), la peur de connaitre son statut. Nous avons également décelé d’autre
problèmes tel que :
- La non connaissance du statut sérologique de la femme
- Le manque de confiance dans le couple
- Le manque de temps
Nous avons également un participant qui déclare que « quand on veut s’impliquer rien ne
nous empêché » ceux pour dire que tous dépend de la volonté de tout un chacun.
Les caractéristique sociodémographique n’influence pas l’implication des hommes dans la
PTME.
Pour maximisé l’implication des conjoints dans la PTME nous avons devons :
- Inviter les hommes à participé aux CPNR
- Participer aux causeries éducatives
- Dire aux femmes de bien informé leurs maris sur le sujet et
leurs demander de prendre part à ces services
- Données des enveloppes d’invitation
DIFFICULTE RENCONTREES
Parvenu au terme de notre devoir nous dirons ici que la TME reste un problème majeur
de la sante publique et la sante maternelle néonatale et infantile. L’analyse des différentes
études sur les déterminants de la faible implication des conjoints dans la PTME nous
permettra de mettre en évidence plusieurs facteurs clés de cette faible implication.
6. BIBLIOGRAPHIE