Bam Regio 2019
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L’hiver chapitres : 1 . 2 . 3
1. Sidi Mohammed le narrateur est un homme qui se sent seul.
البرج
L’hiver
Le soir, quand tous dorment, les riches dans leurs chaudes couvertures, les pauvres sur les marches des
boutiques ou sous les porches des palais, moi je ne dors pas. Je songe { ma solitude…
I. 2. Il est éveillé, il se plonge dans les souvenirs de son enfance afin d’oublier sa solitude.
3. Il décrit la maison où il habitait étant enfant de six ans « Dar Chouafa » .
4. Il parle aussi de la voyante tante Kanza .
5. Les rites de la voyantes
6. Les locataires de Dar Chouafa
7. Il parle de lui-même à l’âge de six ans :
Ma mémoire était une cire fraîche
Je n’étais ni heureux, ni malheureux. J’étais un enfant seul.
Moi, je ne voulais rien imiter, je voulais connaître.
البرج
8. Il parle d’Abdallah l’épicier qui raconte des histoires fantastiques
Abdallah, l’épicier, me raconta les exploits d’un roi magnifique qui vivait dans un pays de lumière
9. Récit de son père sur le Paradis
10. Le Msid : il avait peur de son fqih
L’école était à la porte de Derb Noualla.
11. Le bain maure qu’il n’aime pas
Je ne veux pas aller en Enfer.
12. la dispute : Rahma a fait sa lessive le lundi jour réservé à la Lalla Zoubida
Ainsi en fut-il quand Rahma eut l’idée néfaste de faire sa lessive un lundi. Il était établi que ce jour-là
appartenait exclusivement à ma mère.
13. L’enfant s’est évanoui à cause des cris des deux femmes
البرج
Les sanglots m’étouffèrent et j’écroulai aux pieds de ma mère, sans connaissance.
1. Mardi jour néfaste au Msid (mauvais jour)
L’hiver
Tous les mardis sont pour moi couleur de cendre.
2. Cauchemars de Sidi Mohammed ( femmes échevelées)
II. Il faisait froid, ma nuit avait été peuplée de cauchemars.
3. La peur de Sidi Mohammed
A six ans, j’avais déj{ conscience de l’hostilité du monde et de ma fragilité.
4. La visite de Lalla Aïcha
Lalla Aïcha, une ancienne voisine, vint nous rendre visite.
5. La visiteuse a remarqué la pâleur du visage de Sidi Mohammed , elle conseilla Lalla Zoubida
d’aller visiter le sanctuaire de Sidi Ali Boughaleb .
البرج
Je peux te donner un conseil; dit Lalla Aïcha : montons tous les trois cet après-midi à Sidi Ali Boughaleb.
6. Le narrateur a une maladie
Mon thé devint amer, mais je savais que cette boisson soulageait mes fréquentes coliques. ( diarrhées)
7. La visite de Sidi Ali Boughalb
En arrivant devant le catafalque, Lalla Aïcha et mère se mirent { appeler { grands cris le saint…
8. La blessure de Sidi Mohammed causée par un chat, lors de sa visite au sanctuaire 29
Lentement, je me glissai hors de cet essaim de femmes pour aller caresser un gros matou étalé de tout
son long contre le mur. Il me regarda de ses yeux jaunes, ronronna et m’envoya un magistral coup de
griffe. Le sang gicla. Ma main se mit à me cuire atrocement. Je poussai un cri. .
9. Absence de l’école coranique 30
Ne l’envoie pas au Msid, il semble bien fatigué. Ma mère acquiesça et se replongea dans ses couvertures.
البرج
Nous étions mercredi, le jour suivant était ordinairement jour de congé et le vendredi l’école n’ouvrait
qu’après la prière de midi. J’avais devant moi deux jours et demi, deux jours et demi { vivre …
10. Situation sociale et origine
Papa, d’origine montagnarde comme ma mère, après avoir quitté son village situé { une cinquantaine de
kilomètres de la grande ville, avait au début éprouvé des difficultés à gagner sa vie et celle de sa jeune
épouse. Dans son pays, on était pillard et paysan. A Fès, il fallait pour vivre exercer quelque industrie
citadine ou monter un petit commerce. Dans notre famille, vendre et acheter a toujours été considéré
comme le métier le plus vil ( ignoble ).
11. Cadeau de Rahma : gros cabochon de verre à facettes taillés en diamant 38
En arrivant { ma hauteur, Rahma s’arrêta, me caressa la joue et me glissa un objet dans la main…
C’était un gros cabochon de verre à facettes taillé en diamant,
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L’hiver chapitres : 1 . 2 . 3
L’hiver
III.
1. Après les deux jours et demi de repos retour au Msid .
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Ces deux jours et demi de repos passèrent très vite. Le vendredi après déjeuner, je me retrouvai { l’école,
2. L'achat de la lampe
Le lendemain, à mon retour du Msid, pour le déjeuner, je sautai de joie et de surprise lorsque je découvris,
accrochée au mur de notre chambre, bien au centre, une lampe à pétrole identique à celle de notre voisine.
3. La disparition de Zineb
Rahma, la femme du fabricant de charrues, qui était sortie ce matin accompagnée de sa fille Zineb, dans
l’intention de se rendre au quartier Kalklyine pour assister à un baptême, revint tout en pleurs.
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4. Les retrouvailles de zineb : Lalla Zoubida et Fatma Bziouya
Fatma Bziouya et moi nous partîmes à Moulay Idriss. Dans de pareilles circonstances, il faut frapper à la
porte de Dieu et de ses Saints. Cette porte cède toujours devant les affligés. Une vieille femme surprit notre
douleur, elle nous en demanda le motif. Nous la mîmes au courant du triste événement. Elle nous prit par la
main et nous emmena { Dar Kitoun, la maison des Idrissides, lieu d’asile de toutes les abandonnées. Là, nous
trouvâmes Zineb.
5. La fête des mendiants organisée par Rahma
Le jeudi suivant, Rahma pour remercier Dieu de lui avoir rendu sa fille, organisa un repas pour les pauvres.
Toutes les femmes de la maison lui prêtèrent leur concours.
6. La fête entre les voisines
Les mendiants s’en allèrent, multipliant les remerciements, les formules de bénédiction.
Rahma, radieuse, invita les voisines et quelques femmes venues des maisons mitoyennes, les rassembla dans
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sa chambre, leur servi un excellent ragoût de viande au cardons, un couscous au pois chiches, des salades
d’orange au sucre et { la cannelle. Maman prépara le thé { la menthe. Toutes jacassaient, riaient très fort, se
taquinaient mutuellement, poussaient des you-you.
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Le printemps chapitres : 4 . 5 . 6 . 7
1. L’invitation de Lalla Aïcha
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Le printemps
Dans les premiers jours du printemps, ma mère et moi, nous allâmes rendre visite à Lalla Aïcha. Nous étions
invités à passer la journée.
IV. 2. La description de la maison de Lalla Aïcha
Lalla Aïcha habitait dans l’impasse de Zankat Hajjama une maison avec une porte basse. … toutes les deux
en gardaient une attitude guindée ( strict), une distinction désuète.( Qui est passé de mode)
3. La description du père et de la mère de Sidi Mohammed
Moi j’aimais mon père. Je le trouvais très beau. La peau blanche légèrement dorée, la barbe noire, les lèvres
rouge corail, les yeux profonds et sereins, tout en lui me plaisait. Mon père, il est vrai, parlait peu et priait
beaucoup, mais ma mère parlait trop et ne priait pas assez. Elle était certes plus amusante, plus gaie. Ses
yeux mobiles reflétaient une âme d’enfant. Malgré son teint d’ivoire, sa bouche généreuse, son nez court et
bien fait, elle ne se piquait d’aucune coquetterie. Elle s’ingéniait { paraître plus vieille que son âge. A vingt-
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deux ans, elle se comportait comme une matrone mûrie par l’expérience.
4. Les deux femmes parlent de leurs voisines
5. Lalla Aïcha rejoint son mari qui vient d’arriver
Moulay Larbi, le mari de Lalla Aicha, arriva inopinément.
6. De retour Lalla Aïcha pleure entre les bras de Lalla Zoubida 65
Lalla Aïcha se mit à pleurer silencieusement.
7. Le lendemain vendredi Lalla Zoubida raconte à son mari le problème du mari de Lalla Aïcha:
- il avait un ouvrier appelé Abdelkader qu’il a aidé en faisant de lui son associer et en lui prêtant de
l’argent afin qu’il puisse se marier, mais ce denier a nié avoir pris cet argent de son patron et a
prétendu avoir versé la moitié du capital de l’atelier où il travaille, vers la fin Moulay Larbi a perdu
devant lui .
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8. Le père parle de l'épicier et de la dispute entre Lahbib et si Abdennebi
C’était l’hiver, le vent faisait claquer la porte de la terrasse et sifflait dans l’escalier. J’avais la tête posée sur
les genoux de mon père. J’écoutais. Il parlait lentement, de sa voix grave.
« Abdennebi bondit pour le frapper; Lahbib, forgeron de son métier, l’attrapa par les poignets et sans
s’émouvoir continua son sermon:
Le printemps 1. Au Msid on parle d'Achoura
Je n’avais jamais vu le maître du Msid aussi souriant que ce mercredi.
Dans le silence général, il nous parla de l’Achoura, la fête du Nouvel An.
V. 2. Lalla Aïcha a aidé son mari afin qu’il puisse avoir un nouvel atelier .
La pauvre femme a tout vendu. Même les rats n’ont plus rien { se mettre sous la dent.
L’argent servira { acheter du matériel { Moulay Larbi et { assurer les premiers frais d’installation de son
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nouvel atelier.
Moulay Larbi, homme généreux, mérite qu’une femme aux sentiments nobles se dépouille de ses bijoux et
de son mobilier afin qu’il ne perde pas la face aux yeux de ses pairs.
3. La mort de ben Taher le coiffeur
Je sais qui est mort, répéta à plusieurs reprises la vieille esclave : Sidi Mohammed ben Tahar, le coiffeur.
4. L'histoire du pieux et les cortèges d'enterrement racontée par le père.
Dans un souk très fréquenté, tenait boutique Sidi... (J’en ai oublié le nom). C’était un homme pieux, hon-
nête et courtois envers tout le monde. Chaque fois qu’un cortège funèbre traversait le souk, ce saint per-
sonnage prenait ses babouches les enfilait en hâte, et accompagnait le mort jusqu’au cimetière.
5. La mère de Sidi Mohammed lui a offert un cadeau, une chaînette de cuivre.
Ma mère vint encore me voir. Elle me conseilla moins d’ardeur dans mon chant. Je pouvais avoir un accès
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de fièvre. Elle tira de sa robe une chaînette de cuivre rongée de vert-de-gris et me la tendit:
Ajoute ceci à tes merveilles, me dit-elle.
6. La perte du cadeau de la mère : Sidi Mohammed a mis la chainette auteur du cou du chat de
Zineb qui s’est échappé.
Je lui en fis un collier. Il se montra d’abord tout fier. Il essaya ensuite de l’arracher… Il se mit en colère,
s’affola et partit en flèche, la queue hérissée, les yeux dilatés d’inquiétude.
7. La dispute avec Zineb.
Zineb! Zineb ! C’était elle qui l’avait chargé de venir se frotter contre moi, abuser de ma gentillesse et
me voler mon plus beau bijou. Je suffoquais de colère et d’indignation. Ma rage se déchaîna; je me
précipitai sur Zineb. Je lui enfonçai les ongles dans les joues, lui arrachai les cheveux par touffes…
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Le printemps chapitres : 4 . 5 . 6 . 7
Le printemps 1. Les préparatifs de la fête de l'Achoura au Msid
Je réussis { m’emparer d’une balayette, je la plongeai dans le lait de chaux et, tout heureux, je fonçai
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sur le mur pour montrer à toutes ces larves comment on badigeonnait sérieusement.
VI. 2. L'achat des habits de la Kissaria
Le matin, je me préparai pour partir { l’école, ma mère m’en empêcha. Elle m’expliqua qu’elle avait
besoin de moi pour l’accompagner { la Kissaria, le marché des tissus. Il était temps de songer { mes
habits de fête. J’applaudis avec enthousiasme.
3. le gilet rouge à soutaches.
Elle m’enleva la djellaba, m’essaya le gilet, me le boutonna jusqu’au cou, s’éloigna pour se rendre
compte de l’effet, me fit signe de tourner { droite, puis de tourner { gauche, mit un temps infini { le
déboutonner, en fit une boule qu’elle fourra brutalement entre les mains du marchand.
4. Le récit de Rahma à propos de l’oncle Othman et de sa jeune épouse.
Quelqu’un sur la terrasse se mit { chanter. Des lambeaux d’une cantilène, mollement balancés par le
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souffle du printemps naissant, parvenaient jusqu’{ nous.
Rahma, dont on ne voyait que le buste, reprit le fil de son histoire.
- Si Othman sortit vendredi dernier de bonne heure pour faire son marché. II balançait gaiement son
cabas, saluait les uns la main sur le cœur, faisait de larges sourires aux autres.
Le printemps 1. Au Msid on pose les lustres.
2. Encore deux jours avant la Achoura.
3. Maâlem Abdeslem a offert une trompette à son enfant
VII. La veille, mon père m’avait offert une trompette très fruste en fer-blanc bariolée de toutes les couleurs.
4. L’équipement des lustres au Msid
L’équipement des lustres pour la nuit de l’Achoura réclamait le concours de toutes les mains. Il fallait
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venir travailler comme les autres au lieu de jouer de la trompette.
5. Le père annonce à son enfant le programme du lendemain.
Avant de nous coucher, mon père me fit part de son intention de m’emmener le lendemain, dans
la matinée, me promener dans les souks et choisir mes jouets. Nous irions aussi à Bab Moulay Idriss faire
l’acquisition d’un cierge. La nuit de l’Achoura, je l’offrirais au maître d’école.
6. Le père a amené son fils au souk pour l’achat d’autres jouet / visite chez le coiffeur
Je m’accrochais { la main de mon père, occupé { écarter les passants pour nous frayer un chemin.
J’eus mon tambour en forme de sablier, un petit chariot bizarre en bois et une nouvelle trompette.
- J’espère, Maalem Abdeslem, que tu n’as rien de bien important { faire, j’en ai pour un moment { pratiquer
cette saignée. J’en ai fait une hier { l’un de tes amis, Moulay Larbi Alaoui, le babouchier. Cet homme me plaît.
Toujours digne, sobre de paroles et de gestes. Ce qui m’étonne, c’est qu’il n’ait point d’enfants. Peut-être a-t-il une
femme trop âgée ? Les gens de ta maison doivent connaître la femme de Moulay Larbi. On raconte que c’est une
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Chérifa au cœur généreux. Grâce { son aide, Moulay Larbi a pu payer ses dettes et remonter son atelier. Je sais que
ses affaires sont maintenant très prospères.
- Ne crois-tu pas qu’il devrait songer { prendre une nouvelle épouse? Le moment n’est peut-être pas encore venu,
mais je suis sûr que les affaires de Moulay Larbi iront en s’améliorant. Il fabrique d’excellentes babouches de
femmes,
7. Le jour de l'Achoura
Réveille-toi, il est trois heures du matin. Je t’ai préparé ton beau gilet, ta chemise neuve et ta sacoche. Tu
n’as pas encore vu ta belle sacoche brodée. Ouvre les yeux! Réveille-toi donc !
Me voil{ devenu un autre homme! J’étais complètement réveillé. J’avais hâte de partir { l’école
Ce matin, les objets les plus ordinaires, les êtres les plus déshérités mêlaient leurs voix aux nôtres, éprou-
vaient la même ferveur, s’abandonnaient à la même extase,
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8. La visite surprise inattendue de Lalla Aïcha
Lalla Aïcha vint nous surprendre à la fin du repas.
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L’été 1. L’été est arrivé ; La mère fait le ménage
Après les jours de liesse de l’Achoura, la vie reprit son cours normal, c’est-à-dire retomba dans sa grisaille,
retrouva sa monotonie. La chaleur commença à sévir.
VIII. Cependant les mouches prospéraient de jour en jour. Tous les matins, ma mère les chassait à grands coups
de torchon.
2. L'installation du Msid dans un petit sanctuaire
Les journées devinrent longues. La salle du Msid, jugée trop chaude et trop étroite, fut abandonnée. Nous
déménageâmes un matin nos planchettes et nos encriers et l’école fut installée dans un petit sanctuaire
deux pas plus loin.
3. Sidi Mohammed commence à aimer l'école.
4. Le père annonce sa décision de produire les haïks de coton au lieu des djellabas de laine .155
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Nous étions un lundi, lorsque mon père, renonçant à ses habitudes, vint déjeuner à la maison.
Il nous expliqua que les djellabas de laine se vendaient moins bien qu’en hiver et qu’il avait l’intention de
se lancer dans la fabrication des haïks de coton.
5. Le père annonce aussi à sa femme qu’ils partiront au souk des bijoux pour lui acheter un bracelet.
Il y a longtemps que tu me demandes ces bracelets soleil et lune (or et argent). Il est temps que je te les offre.
6. L'incompréhension que vit Sidi Mohammed
Comparer des bijoux à des fleurs, était-ce signe de stupidité? Le rire de mes parents traduisait cette
indulgence que les grandes personnes manifestent devant les enfants qui leur tiennent des propos niais
ou puérils.
7. Départ vers le souk des bijoux pour l’achat des bracelets soleil et lune
8. La dispute avec le dellal
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Enfin, passèrent mon père et le courtier se tenant mutuellement par le collet. Le souk leur faisait cor-
tège. Les deux hommes avaient les yeux rouges et de l’écume au coin des lèvres. Mon père avait perdu
son turban et le dellal avait une tache de sang sur la Joue.
9. Le retour à la maison sans le père
10. L'arrivée du père avec les bijoux
11. Le refus des bijoux de malheur par superstition de la mère
Je ne veux pas les voir, ces bijoux de mauvais augure, dit ma mère. Je crois que je ne les porterai jamais.
Je sens qu’avec eux, le malheur est entré dans cette maison, tu feras bien d’aller les revendre dès demain.
Ma mère se leva, prit les bijoux sans les regarder, ouvrit son coffre et les jeta dedans avec humeur.
12. La maladie de Sidi Mohammed
Homme, je te dis que je ne veux en aucune façon garder ces bracelets. Avec ces bijoux, le malheur
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entre dans cette maison
13. L'absence du Msid
14. Visite de Lalla Aïcha et annonce du second mariage de son mari
Zoubida, je n’ai plus personne au monde, tu es mon amie, tu es ma seule famille. Le fils du péché pour qui je
me suis dépouillée, m’a abandonnée pour prendre une seconde femme, la fille d’Abderrahman le coiffeur
15. L’état de santé de Sidi Mohammed est devenu plus grave
L’été 1. Sidi Mohammed est encore malade
2. la perte du capital de Maâlem Abdeslem 180
Mon père s’annonça { la porte d’entrée de la maison. Il arrivait plus tôt que d’habitude.
J’ai perdu dans la cohue des enchères aux haïks tout notre maigre capital.
IX. J’avais mis l’argent dans un mouchoir. J’ai dû laisser le mouchoir tomber par terre, croyant le glisser
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dans ma sacoche.
3. Affolement de la mère
4. Le départ vers la compagne des environs de Fès
La saison de la moisson commence { peine, on embauche des moissonneurs. J’irai travailler aux environs
de Fès.
Je me souviens de cette solitude vaste comme les immenses étendues des planètes mortes, de cette solitude
où le son meurt sans écho, où les ombres se prolongent dans des profondeurs d’angoisse et de mort.
5. Les voisines s'inquiètent pour la santé de Sidi Mohammed
6. La double vie de Sidi Mohammed
7. La visite chez Lalla Aïcha pour partir ensemble vers El Arafi
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2. La rencontre du fqih en chemin de retour
3. De retour à Dar Chouafa la mère n’a rien dit à ses voisines sur Sidi El A rafi.
Ma mère ne souffla mot à nos voisines de la visite que nous avions faite à Sidi El Arafi. Nous habitions avec
une chouafa. Normalement, ma mère aurait dû la consulter en premier lieu. Mais elle n’avait aucune con-
fiance en ses talents.
4. Décision de la mère de garder son enfant.
Le lendemain de notre sortie avec Lalla Aicha, ma mère me fit part de son intention de me garder à la mai-
son durant toute l’absence de mon père.
5. La visite des saints .
ma mère décida de m’emmener chaque semaine prier sous la coupole d’un Saint.
6. La couleur des jours
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7. Le changement des habitudes de la mère
Ma mère faisait une cuisine maigre, mêlai de la farine d’orge au pain de froment. Elle riait moins, ne racon-
tait plus d’histoires.
8. L’arrivée du messager
Il va bien, il travaille beaucoup et met tout son argent de côté. Il vous dit de ne pas vous inquiéter à son
sujet. Il m’a donné ceci pour vous.
9. L'arrêt des visites des saints
10. L'invitation de Lalla Aïcha
Lalla Aïcha arriva { l’improviste. Je ne m’en étonnai pas. Sa présence était pour moi liée à toutes les mani-
festations familiales.
Il en prend le chemin et paie cher les souffrances qu’il m’a infligées. Mais viens demain matin, tu en sauras
bien plus long. Maintenant, il faut que je te quitte. Je suis passée, juste pour te demander de venir demain.
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L’été 1. La surprise de Lalla Aïcha
Sois la bienvenue, Salama, dit Lalla Aïcha.
C’est la surprise que je t’avais réservée, lui dit-elle
XI. 2. Récit de Salama histoire du second mariage de Moulay Larbi
- Tout commença le jour où Kebira, la fille de mon vénéré maître Moulay Abdeslem, me chargea de lui acheter
du henné. J’étais { peine arrivée au souk des épices que quelqu’un me toucha discrètement l’épaule. Je me re-
tournai, Moulay Larbi se tenait devant moi, souriant et affable comme { l’ordinaire. Nous échangeâmes les sa-
lutations d’usage.
3. Dispute de Sidi Mohammed avec la voisine de Lalla Aïcha
4. Récit de Zhor sur les problèmes de Moulay Larbi avec la fille du coiffeur
Fière de devenir le point de mire de tous les regards, elle se lança dans un brillant monologue.
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L’été 1. Tout le monde chante à Dar CHouafa
2. La nouvelle apportée par Zineb
J’ai vu Ba Abdeslem non loin du marchand de farine, près de la mosquée du bigaradier. Il tient deux pou-
XII. lets { la main. Je l’ai laissé en train de bavarder avec un campagnard qui a une figure longue comme une
gargoulette.
3. L'arrivée du Maâlem Abdeslem
4. Joie de Sidi Mohammed et de sa mère
Elle avait quitté la terre, elle nageait dans la joie au point de perdre l’usage de sa langue.
Mon père m’intimidait. Je le trouvais changé.
j’éclatai de rire.
5. Visite du charretier Driss El Aouad
6. Annonce du divorce de Moulay Larbi et la fille du coiffeur par Driss.
7. Réouverture de la Boîte à Merveilles
Je tirai de dessous le lit ma Boîte { Merveilles. Je l’ouvris religieusement. Toutes les figures de mes rêves
m’y attendaient.