SES CHAP 2 ECO-1
SES CHAP 2 ECO-1
SES CHAP 2 ECO-1
Introduction:
Voir première feuille le commerce international. exo d’introduction.
Les échanges se sont multipliés par 20 au cours de ces 20 dernières années, on remarque une
progression depuis 1990 mais qui s’intensifie en 2000. Donc les échanges commerciaux mondiaux
ont fortement augmenté. Les échanges ont augmenté bien plus vite que le volume de production. La
part qui fait l’objet des exportations est de plus en plus importante.
On remarque une baisse de la part des produits primaires dans le volume total des échanges. La
quantité a moins augmenté que les produits manufacturés et que les services commerciaux. Il y a une
forte augmentation des produits manufacturés dans le volume des échanges, 55% des échanges sont
des produits manufacturés. Le commerce international concerne surtout l’Asie, l’Europe, le
Moyen-Orient et l’Amérique du Nord. Tous ne participent pas aux échanges. Les échanges
concernent essentiellement les pays intra zones. En tout, 7 milles milliards de dollars d’échanges
pour l’Europe, 6 milles milliards pour l’Asie et 2 milles 500 millions de dollars pour l’Amérique du Nord.
La mondialisation illustre ses échanges. On se procure des ressources fabriqués par d’autres pays,
les cultures sont beaucoup demandées ainsi que les matières premières comme le pétrole. Certaines
cultures qu’on ne peut pas faire localement, réaliser incite à s’en procurer chez d’autres pays. On
consomme davantage, on répond à nos besoins. On a plus de pouvoir d’achat puisqu’on achète un
produit à tarif réduit, ce qui nous permet de subvenir à d’autres besoins. Pour pouvoir importer il faut
exporter. Les pays émergents ont été des avantages pour les échanges ( on leur vend des
réfrigérateur, frigo…). Il faut vendre nos productions pour financer de nouveaux biens, besoins.
L’ouverture des économies est une volonté de l’Etat. Si les pays ouvrent leur frontières c’est qu’il
pense permettre la croissance et le développement de leur pays. Pour cela, les états doivent signer
des accords de libres échanges dans le cadre du GATT, grâce à cela ils ont levé les barrières qui
pouvaient freiner les échanges commerciaux dans le monde. Mais cela doit se faire dans un cadre
agréable, c’est pour cela que l’OMC veille à ce que les échanges se passent dans les meilleures
conditions. Pour améliorer les échanges et leur déplacement, on va utiliser de nouveaux moyens de
transports comme les conteneurs, les avions… et des moyens de communication comme les câbles.
Les coûts de transports maritimes ou aériens sont relativement faibles ce qui est un point positif.
Augmentation des échanges car le coût des transports est faible, ce qui est donc une corrélation
positive. Pour faciliter les échanges il faut également une volonté politique. Grâce aux accords de
libres échanges signés, les pays ont décidé d’un allègement des droits de douanes, c'est-à-dire qu’il
n’y a plus besoin de payer un droit d’entrer dans la pays. Mais certains pays eux renforcent le droit de
douane, comme Trump qui souhaite le renforcer à 40% concernant les importations. Mais de
nombreux pays ont signé ces accords, ce qui renforce la concurrence. Il faut ainsi améliorer la
compétitivité prix et hors prix.
1. La théorie des avantages comparatifs d’Adam Smith et de David Ricardo.
Smith et Ricardo prônent la spécialisation et les échanges internationaux. La théorie des avantages
comparatifs est appuyé sur la théorie des avantages absolu de Smith et poursuivie par Ricardo pour
ainsi émettre la théorie des avantages comparatifs.
Adam Smith et David Ricardo sont deux économistes britanniques du XVIIIe et XIXe siècle, soit en
pleine révolution industrielle.
document 1 page 42
La théorie de Smith des avantages absolus, explique qu’un pays a intérêt à se spécialiser dans la
fabrication de produits pour lesquels il dispose d’un avantage absolu, c'est-à-dire dont la production a,
chez lui, un coût inférieur à tous les autres produits et à abandonner la production des autres. La pays
doit produire dans le domaine où il est le meilleur, le plus performant. Il faut produire ce dont ont
besoin les pays. La théorie repose sur la productivité des travailleurs et donc les coûts des travailleurs
sont moins élevés ainsi que le prix unitaire. Cette théorie justifie le libre-échange et la spécialisation
internationale, mais semble exclure les pays qui ne disposent d’aucun avantage.
C’est ce que fait le Portugal dans ce document il exporte la production, mais en retour l’Angleterre
doit dégager un avantage absolu elle aussi puisque sinon l’échange est impossible. L’Angleterre va
donc se spécialiser dans le domaine où il est le moins nul et le Portugal se spécialise là où il est le
plus performant, ce qui permettra ainsi les échanges. Mais les conditions et les coûts sont plus élevés
en Angleterre.
David Ricardo démontre que la spécialisation et l’ouverture aux échanges sont sources de croissance
pour tous les pays selon la loi des avantages comparatifs, un pays a intérêt à se spécialiser dans les
biens pour lesquels il dispose du plus grand avantage comparatif en terme de coût de production, et à
importer les autres.Ricardo raisonne dans le cadre d’un échange entre deux nations de tailles
identiques et d’un commerce intra-branche. La spécialisation selon les avantages comparatifs permet
une allocation des ressources plus efficace au sein de chaque pays, ce qui favorise leur croissance:
ils en retirent du gain à l’échange.Il faut alors que le Portugal se spécialise dans la production de vin
et exclut alors les Anglais de cette production. L’Angleterre va alors se concentrer dans le domaine du
drap, ce qui veut dire que les 120 travailleurs de vin en Angleterre sont spécialisés désormais dans le
drap. Le Portugal lui récupère la main d'œuvre de drap. Cela est alors la théorie de Ricardo des
avantages comparatifs.
La production de vins et de draps sera plus élevée ce qui entraînera la croissance économique grâce
à l’augmentation des volumes de production, on réalise plus de besoins et le coût est moins cher.
Après spécialisation, le Portugal ne produit que du vin et l’Angleterre ne produit que du drap. Le
commerce international permet à chaque pays de dégager des gains et des bénéfices. Les échanges
ont accompagné la croissance économique.
Pour produire, deux grands facteurs de production sont importants: le facteur travail et capital.
La spécialisation conduit aux échanges, aux exportations et aux importations. Si la production est
rare, celle-ci coûtera plus cher. Par exemple, la vidéo du 12/11: L'Ethiopie et le Quenya participent
aux exportations de roses qui sont importées par la France qui en demande pour la saint valentin.
Chaque pays a intérêt à se spécialiser dans la production et l’exportation du bien qui utilise
intensivement le facteur de production qui est relativement abondant et importe les produits utilisant le
facteur relativement rare.
Voir document 2 page 42, question 8.
La France ayant un coût moins important produit les voitures et confie ainsi la production de tee-shirt
au Bangladesh, on se spécialise là où on est le meilleur. Certes le Bangladesh dispose d’une
main-d'œuvre abondante mais cette dernière est peu qualifiée, c’est un pays moins développé et
moins avancé, la fabrication de voitures se fait rare et si elle est présente cela est très cher. On confie
la tâche du textile à ce pays puisque la main-d'œuvre n’a pas besoin d’être hautement qualifiée. De
plus, le coût des voitures est meilleur en France, puisque la France mobilise plus de capital qui est
moins cher. La France se concentre plus sur la quantité de capital. Un facteur de production en
quantité abondante est relativement moins cher qu’un facteur en faible quantité qui est onéreux et
cher. La France exporte les voitures et importe les tee-shirts et l’inverse pour le Bangladesh.
On peut parvenir à avoir un avantage comparatif , les spécialités peuvent évoluer mais suppose d’un
bon environnement. Les échanges commerciaux reposent sur leurs différences, dégageant pas les
mêmes avantages comparatifs. Le principal échangeur pour la France c’est l’Allemagne malgré une
activité comparable, des échanges de produits similaires (voiture). Ce qui veut dire que la logique de
spécialisation ne tient plus ici.
B. Le commerce intra-branche.
Le commerce intra -branche favorise les consommateurs: prix plus bas, variété et qualité plus grande.
On échange des véhicules n’ayant pas le même usage.
La chaîne de valeurs mènent aux échanges commerciaux et à la fabrication d’un produit fini.
Document 4 page 45
Certains sites fabriquent des pièces détachées qui sont ensuite assemblées en un produit fini. On
échange des pièces entre les sites de production. On étale toutes les productions dans le monde, car
les compétences, tâches mobilisent des travailleurs peu qualifiés parfois ou bien très qualifiés pour
des équipements technologiques. On dégage un avantage comparatif. La différence de coût doit être
assurée. Par exemple, quatres pays participent à la conception du Airbus A380. Les pays ont levé les
frontières pour ainsi faciliter la circulation des marchandises et des travailleurs, capitaux.
Document 4 page 49
L’Iphone lui fait le tour du monde avant d’arriver dans la boutique Apple. L’Iphone est conçu aux
Etats-Unis mais n’y est pas fabriqué, même chose pour Samsung.
Document 1 page 48
La courbe de sourire n’est pas infini pour les pays développés. Les pays en voie de développement
vont lancer des programmes de recherches et de développement, utiliser à bon escient la technologie
et en plus ils vont recevoir des délocalisations de sites de production
II/ Comment et pourquoi l’internationalisation de la production?
A. . Les modes d’internationalisation de la production.
Document 2 page 48
Il faut réaliser des IDE pour la mondialisation, cela suppose de réaliser des IDE pour
l’internationalisation de la chaîne de valeurs. Cela conduit à une augmentation du montant des IDE.
Les IDE sont financés par des entreprises des pays développés. les E.U reçoivent beaucoup d’IDE
plus de 250 Ga, la Chine 140 Ga.
Calculer la proportion d’IDE reçu par les E.U par rapport aux IDE reçus par l’Inde:
40 Ga Inde
250 Ga E.U
voir feuille 4, dernière page pour les calculs et les différents types de calculs de variations.
Les E.U captent le plus d’IDE car ils sont très innovants, concentrent beaucoup de pôles de R et D,
d’universités, de laboratoires, de mains d'œuvres compétentes, qualifiées, qui attirent les
consommateurs.
Les pays développés jusqu’au années 2015/2016 reçoivent l’essentiel des IDE. La fin de cette
période est marquée par le fait que le montant des IDE des pays en voie de développement est plus
important que les pays développés.
Les Etats-Unis conservent leur avance en termes d’entrées d’IDE, désormais les pays en
développement reçoivent également beaucoup d’IDE. Ses investissements se font par les firmes
internationales, on souhaite améliorer la compétitivité prix ou hors prix.
2. Les partenariats avec les acteurs étrangers.
Il n’est pas nécessaire de détenir des usines à l’étranger pour s’approvisionner et intégrer des
composants étrangers. Ona:
- la sous-traitance: deux entités distinctes, le sous traitant est sous la tutelle de son unique
client. La sous-traitance permet de s’approvisionner avec d’autres entreprises .
- la licence: deux entités distinctes. La firme multinationale va confier à une autre entreprise un
brevet afin de produire le composant qu’elle a demandé. Elle confie cette tâche à une
entreprise indépendante en lui délivrant un droit d’exploiter cette idée qui est réservée à la
firme multinationale.
- la franchise: On exploite une marque, on paye un droit d’utilisation au propriétaire de la
marque. Par exemple, Mcdo est une franchise où on implante des magasins partout dans le
monde ( franchise) et on y fait de la nourriture ( licence) tel que des burgers etc.
1. La stratégie de marché.
Le but est d’augmenter la part de marché. On choisit des pays dynamiques où il y a du pouvoir
d’achat, et où les débouchés augmentent fortement. En france par exemple, le marché d’automobile
sature.
- L’implantation d’IDE est un moyen de faire face au déclin de la maison mère. Il faudrait
s’implanter sur le marché chinois ou indien qui capte mieux la demande des consommateurs
pour les voitures par exemple.
- Les autorités chinoises mettent en place des dispositifs pour dissuader les chinois d’acheter à
l’étranger , on se délocalise en tant qu’entreprise étrangère. On crée des sites de production.
La conséquence: pour les pays d’origine on a de nouvelles parts de marché, la chine crée
des emploies localement, le niveau de vie augmente. Fermeture des sites de production dans
les pays d’origine, on délocalise. Cela est un avantage et inconvénient puisque ça entraîne
une hausse du chômage dans le pays d’origine). On implante les sites de production là où la
demande est importante afin de réaliser une production qui correspond à leur besoin.
2. stratégie de rationalisation.
rationalisation: baisse du coût de production, on gagne:
- en compétitivité prix: les firmes implantent les unités de production là où les facteurs de
production sont peu onéreux et efficaces. Cette production sera ensuite écoulée dans
d’autres régions du monde, puisque si le pays est compétent en facteur travail il n’aura pas
assez en pouvoir d’achat.
- autre avantage: se rapprocher des sites de ressources naturelles, et ainsi mieux contrôler les
délais d’approvisionnement pour les matières premières agricoles… On gagne en
compétitivité , soit stratégie de rationalisation, on gagne sur les délais et la qualité . On
s’assure de l’approvisionnement de la qualité, on s’accapare des richesses locales.
3. stratégie de différenciation
Différenciation: l’entreprise est à l’initiative du développement d'unités de production dans un autre
pays pour élargir sa production. On propose de nouveaux designs pour différencier le produit sans
que ça coûte trop cher selon les envies locales. On s’adapte aux spécificités locales mais à moindre
frais selon la tendance par exemple ( différentes saveurs, couleurs…). On élargit pleins de produits
sur un petit marché, si cela marche bien localement alors on proposera à d’autres pays.
Annexe 2.*
On conditionne les choix des implantations si on veut améliorer la production ou la compétitivité hors
prix. Les émetteurs se trouvent dans les pays développés. Les pays développés accueillent l’essentiel
des IDE, malgré l’augmentation des investissements dans les pays en voie de développement. Les
investisseurs prennent en compte les infrastructures portuaires et aéroportuaires. Les routes de
transports se font essentiellement par voie conteneurs, voies maritimes. On utilise des grues pour
décharger. Il faut des pays ayant le budget pour construire des infrastructures… Il faut également
tenir compte des régimes politiques, des institutions… Il faut tenir compte de la stabilité politique.
On tient compte de la qualité économique, de la santé, de l’éducation dans les pays où l’on va
s’installer. Gaza par exemple, la production serait sûrement détruite , la main d'œuvre n’oserait pas
venir. Il faut également des banques, des centres de recherches et de développement. Ce n’est pas
un choix facile de développer sa production à l’international et s’installer dans un pays étranger. la
suisse est le premier pays: bonne éducation, santé assurée, bonne rémunération, beau, agréable…
La belle vie est assurée malgré que ce soit cher
AVANTAGES: AVANTAGES:
- On baisse le coût de production, on - On crée de nouveaux emploies dans le
augmente la demande. pays d’accueil.
- On gagne en compétitivité prix et hors - On reçoit de nouveaux équipements ,
prix. on gagne en temps, en savoir-faire, en
- On gagne des parts de marchés à nouveaux produits et en technologie.
l’international, cela renforce les gains de - Les capitaux font rentrer de l’argent qui
productivité pour ainsi réinvestir dans permet de réinvestir dans des
les programmes de R et D, infrastructures. L’activité et le niveau de
implantation… vie se développe, progresse.
- L’implantation ne doit pas entraîner une
fermeture d’unité de production dans le
pays d’origine.
- Certains emploies restent malgré la
délocalisation: administratif,
management…
INCONVÉNIENTS: INCONVÉNIENTS:
- Si fermeture de l’entreprise du pays - La concurrence augmente avec les
d’origine alors déclin de certains firmes internationales qui ont les
emploies dans les pays émetteurs. Le moyens de faire concurrence avec les
personnel se retrouve sans emploi, il y pays locaux.
a alors une perte du pouvoir d’achat. - L’infrastructure est moins grande.
- Les employés peu qualifiés qui n’ont - Des métiers disparaissent, la société
plus de travail font des formations mais est modifiée, elle n’est plus familiale.
cela a un coût pour le pays. - On développe le salariat, on distingue
habitat et lieux de travail.
- Dégâts environnementaux, sanitaires…
.
Les avantages des uns peuvent être les inconvénients des autres. Les bienfaits ne l'emportent pas.
On accorde plus de poids aux avantages qu’aux inconvénients ce qui fait qu’il y a un grand nombre
d’inconvénients à l’internationalisation.
III/ Le libre-échange ou le protectionnisme?
A. Les avantages et les limites du libre échange.
Libre circulation des facteurs de production, des capitaux. On augmente les débouchés de manière
considérable. La marché augmente, la production augmente, on gagne en compétitivité, le coût est
réduit, économie d’échelle.
Travailleur plus efficace, le coût du travail à chaque unité produite est réduit. Pour les soutenir, on
augmente le salaire. Le libre-échange permet d’accéder à des biens et des services qui ne sont pas
produits localement. Il y a une accélération de la modernisation et de la combinaison productive (
diffusion du progrès technique). Le libre-échange engendre 3 choses combinés:
- effet de diversité: augmente la production, on obtient des facteurs moins onéreux et de
qualité.
- effet de concurrence et effet du progrès technique: cela contraint les entreprises à accroître
leur compétitivité, la croissance.
Les consommateurs profitent de la concurrence importante pour avoir du choix à des prix bas. Ils ont
accès à des offres bien plus grandes, très variées, pour tous les goûts et les portefeuilles.
voir document les avantages du libre échange.
lire document 1 et 2 page 50, 2 page 52.
Document 2 page 52.
L’ouverture au commerce international a permis une amélioration du niveau de vie , de la réduction de
la pauvreté à l’échelle internationale. La croissance n’a pas profité à tous au sein d’un même pays
musique les inégalités persistent. Le commerce international incite les pays en développement à se
spécialiser. l’ouverture entraîne des perspectives de mobilité, de développement. Les femmes vont
travailler dans le textile ce qui leur permettra de recevoir un revenu, elles vont pouvoir devenir
autonomes et ne plus dépendre d’un homme. Les femmes s’émancipent et sont porteuses de la
croissance. Les femmes accèdent à l’emploie, ce qui permettra de financer l’éducation, les formations
pour poursuivre le prolongement de la croissance. On améliore le niveau de vie.
Le libre-échange est synonyme de croissance mais d’inconvénients également.
- renforcement de la concurrence, suppression de sites de production.
- dépendance vis-à -vis du reste du monde suite aux spécialisations qui leur fait renoncer à
certaines productions.
- suppression d'emplois moins qualifiés.
- domaine pharmaceutique, alimentaire, matières premières dépendants des productions de
premières nécessités.
B. Le protectionnisme.
La protectionnisme tarifaire concerne le prix: les droits de douane ( on taxe les importations), le taux
de change et les subventions( on aide les entreprises locales pour leur production, pour les gains de
productivité, pour les aider à innover… et qu’on s'intéresse à leur production locale).
Le protectionnisme non tarifaire concerne lui les quantités: quota ( les autorités fixent un plafond au
volume des importations), normes sanitaires et techniques ( protéger le consommateur), restriction
volontaire aux exportations ( le pays exportateurs pose un plafond volontaire).
Les mesures non tarifaires se sont multipliées ces dernières années et se sont substituées aux droits
de douanes depuis les années 70,80.
Concernant les mesures non tarifaires: on préserve le consommateur mais la production locale doit
répondre aux demandes. Ce qui est étranger reste à la frontière, on limite l’offre.
Voir sur feuille 7 la question 2 page 58, document 1.
Rappel du cours: le protectionnisme a un caractère tarifaire ( prix, réduit la demande): droit de
douane, subventions publiques et baisse du taux de charge. En rapport avec le prix. La signature des
accords qui concernent l’abaissement des droits de douanes a permis à certains pays d’utiliser des
subventions. Mais les barrières non tarifaires ont été multipliées en 70: quotas, mesures sanitaires et
techniques sur les produits. Cela agît sur le volume des importations, on fixe un plafond de quantité
de produits en provenance d’un autre pays.
2. Le protectionnisme éducateur.
Document 2 page 58.
Protéger les entreprises naissantes = protectionnisme éducateur.
Les jeunes industries bénéficient d’un protectionnisme éducatif pour qu’elle puisse ainsi se
développer sans concurrence. Les volumes ne sont pas très importants pour les entreprises
naissantes, ils leur manque de l’expérience, de l'apprentissage, de l’entraînement. Ils vont dégager
des économies d’échelle (Une entreprise réalise des économies d'échelle quand elle diminue le coût
unitaire de production en augmentant la quantité produite. économie : réduction du coût unitaire,
d'échelle : augmentation de la quantité produite.) On va protéger les entreprises afin qu’elles se
développent. Mais à terme en ayant gagné en termes de quantité produite, les mesures seront
retirées et l’entreprise se débrouillera seule. Ils deviendront concurrents