commande des machines
commande des machines
commande des machines
• Commande scalaires
Chapitre 1:
Seule la dernière catégorie fait l'objet de notre cours, où l'on traitera les entraînements électriques
• à courant continu ;
• Synchrones ;
• Asynchrones.
Introduction
• Les moteurs électriques sont aujourd’hui présents dans toutes les branches de
• L’intérêt grandissant envers les moteurs électriques est justifié par le besoin des
première.
• Le succès des solutions électriques pour la variation de vitesse par rapport aux solutions
vitesse.
Chaine d’entraînement
• Toute machine est constituée de quatre éléments distincts, à savoir le circuit de commande, le
moteur, l’organe de transmission et la machine qui transforme ou déplace la matière.
• Ensemble, les trois premiers éléments forment ce que l’on appelle le «système
d’entraînement» dont la finalité est la conversion d’un type d’énergie donné, en général de
l’énergie électrique, en énergie mécanique utilisée par la machine entraînée. Le système
d’entraînement est alimenté par la source d’énergie.
Chaine d’entraînement
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Conversion de l’Énergie Électrique
Conversion Inductances
Electronique Condensateurs
Conversion
Statique
Conversion Relais
Electromagnétique Transformateurs
Conversion
Électriques
Rotatifs
Moteurs
Linéaires
Conversion
Générateurs
Dynamique
Transducteurs
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Intérêt des machines électriques
Rendement élevé.
Absence de pollution.
Souplesse et rapidité de réglage.
Réversibilité de fonctionnement.
Couple et puissance massique élevés.
Maintenance réduite.
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Classification des machines électriques
Machines à Parallèle
Machines à excitation
courant continu
Série
Machines spéciales Composée
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Classification des machines électriques
Machines à courant alternatif (ca)
Machines Synchrones : utilisées comme alternateurs (production de l'énergie
électrique) ou comme compensateurs de l'énergie réactive.
Machines Asynchrones : de construction simple, ces moteurs sont les plus utilisés en
industrie, mais leur réglage est complexe.
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Conversion électromécanique
Ce sont des convertisseurs électromécaniques qui transforment l’énergie électrique en
énergie mécanique et réciproquement.
Moteur
Energie Energie
Electrique Machine Mécanique
Electrique
Génératrice
Conversion Electrique Mécanique : Fonctionnement Moteur.
Conversion Mécanique Electrique : Fonctionnement Génératrice.
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Conversion électromécanique
Toute conversion électromécanique nécessite les éléments suivants :
Entrefer Stator
Rotor
Arbre
Caractéristique de coût
À puissance égale, on peut effecteur un classement par ordre de coût décroissant :
Comme le couple est proportionnel au volume, une machine de puissance donnée est
d'autant plus petite et moins coûteuse que sa vitesse de rotation est élevée.
Caractéristique de sortie
Elle représente les grandeurs de sortie qu’on désire exploiter. Cette
représentation tient compte du mode de fonctionnement de la machine:
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Caractéristique couple-vitesse
P Tm Cte P Tm k
Tm , P Tm , P
Tm
P
P
Tm
Le couple moteur est inversement La puissance est proportionnelle à la
proportionnel à la vitesse de rotation vitesse de rotation.
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Réversibilité
29
Types d’entraînements
Transfert de
l'Énergie
Transfert de
l'Énergie
© AUTOMATION INDUSTIELLE 30
Équation fondamentale de l’entraînement
Vitesse de
Couple
Rotation
Moteur Tm
d
Tm Tr J
dt
© AUTOMATION INDUSTIELLE 31
Équation fondamentale de l’entraînement
Régime transitoire
Régime permanent
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Moteurs d’entraînement
n n
(a) : Moteur Synchrone. (b) : Moteur Asynchrone.
Tm Tm
Tmax Tmax
Tmn
Tmn
n
n
(c) : Moteur CC (d) : Moteur CC
Excitation indépendante. Excitation série.
© AUTOMATION INDUSTIELLE 33
Charges entraînées
Tr Tr
(a) : Type frottement visqueux. (b) : Type frottement sec.
Tr Tr
(c) : Type "couple constant". (d) : Type "puissance constante"
© AUTOMATION INDUSTIELLE 34
Stabilité d’un entraînement
Tm Tm
Tr Tm
A' B'
A B
A" B"
Tm Tr
éq éq+ éq éq+
(a) : Équilibre stable. (b) : Équilibre instable.
© AUTOMATION INDUSTIELLE 35
Coefficient de stabilité
dTr Tm
ks
d éq
© AUTOMATION INDUSTIELLE 36
Champ tournant bipolaire
nr N
Bm
θ n0
θ0
b M , t B m cos t 0
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Champ tournant multipolaire
M B2 B3
N3 S1
N2
S
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Champ créé dans l’entrefer
B
Effectuons un déplacement le long
de l’entrefer :
0
Variation sinusoïdale de
B avec la position .
© AUTOMATION INDUSTIELLE 39
Vitesse du champ tournant
p=2
La vitesse de rotation ns du
champ tournant est :
1 fS
nS
2T 2
© AUTOMATION INDUSTIELLE 40
Vitesse du champ tournant
p quelconque
La vitesse de rotation ns du
champ tournant est :
fS
nS
p
© AUTOMATION INDUSTIELLE 41
Chapitre 3:
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La Machine à Courant Continu (MCC) est un convertisseur électromécanique réversible :
Moteur
Energie Energie
Electrique Mécanique
Génératrice
▪ Moteur CC : utilisé à grande échelle dans les entraînement à vitesse variable en raison de sa
souplesse de commande. Utilisé également dans la traction électriques.
Présentation de la machine à courant continu
Vue d’ensemble ( d’après LEROY SOMMER )
LA MACHINE A COURANT CONTINU (MCC)
Constitution de la machine :
Induit Inducteur
Balais
Ventilateur
Arbre de
sortie
Bornier
d’alimentation Collecteur
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Constitution de la machine :
Une machine à courant continu comporte trois parties principales : l’inducteur, l’induit et le collecteur avec
les balais.
1.L’inducteur (stator) :
C’est la partie fixe de la machine, il est formé d’un aimant permanent ou d’un électro-aimant bobiné et
traversé par le courant d’excitation, il produit un flux magnétique permanent.
Les pertes joules dans les inducteurs à aimants permanents sont supprimées, mais l’excitation magnétique est
fixe. Dans les grosses machines, le coût des aimants pénalise cette solution. L’utilisation des électro-aimants
parcourus par un courant d’excitation Ie, réglable permettent la modification du flux inducteur Φe.
Inducteur bipolaire
Pole d’inducteur Inducteur hexapolaire
2.L’induit (rotor) :
C’est la partie tournante de la machine, il constitue l’ensemble des conducteurs qui coupent le
flux magnétique.
Ces conducteurs sont logés dans des encoches et reliés entre eux à travers le collecteur.
Force électromotrice:
couple électromagnétique :
Modélisation de la machine à courant continu
E : est appelée force contre électromotrice (f.c.e.m). E : est appelée force électromotrice (f.e.m)
Bilan de puissance du moteur à courant continue
Fonctionnement Moteur
Bilan de puissance du moteur à courant continue
Fonctionnement Moteur
Rendement
Bilan de puissance de la génératrice à courant continu
Fonctionnement Génératrice.
Bilan de puissance du moteur à courant continue
Fonctionnement Génératrice
Rendement
Modes d’excitation
moteur à excitation shunt ou parallèle
moteur à excitation séparée
ou dérivation
ou indépendante
Le circuit inducteur shunt peut être branché aux bornes de l’induit, c’est le montage en courte
dérivation, ou aux bornes de la machine, c’est le montage en longue dérivation.
Le flux additif
Le flux soustractif
Modes d’excitation aimant permanent
Moteur à aimants permanents : l’inducteur est réalisé avec des aimants permanents.
Moteur de faible puissance ( jusqu'à 1 kW ) très utilisé en robotique.
inducteur
M induit
Bilan de puissance du moteur à excitation shunt
Fonctionnement Moteur Fonctionnement génératrice
Bilan de puissance du moteur à excitation série
Fonctionnement Moteur
Bilan de puissance du moteur à excitation séparée
Fonctionnement Moteur Fonctionnement génératrice
Caractéristiques du moteur à excitation séparée
courant continu
Démarreur et variateur de vitesse
Lorsque l'on fabrique un équipement industriel, une simple commande en Tout ou Rien
(TOR), peut ne pas être suffisante par rapport à certaines contraintes :
• Appel de courant élevé au démarrage.
• À-coups mécaniques lors des démarrages qui peuvent être dangereux pour le
mécanisme d'une machine.
• Fonctionnement de la machine à vitesse constante.
Pour solutionner ces problèmes il existe la solution d'utiliser un démarreur moteur ou
un variateur de vitesse électronique permettant de démarrer un moteur de façon
progressive, changer le sens de rotation du moteur ou ralentir progressivement un
moteur.
Démarrage des moteurs à courant continu
Pour assurer le démarrage d’un moteur, on doit se poser les deux questions suivantes :
Le couple moteur est-il suffisant pour vaincre le couple résistant ?
L’intensité appelée au moment du démarrage n’est-elle pas trop élevée ?
Moteur CC à excitation indépendante :
𝑈 = 𝐸 + 𝑅𝐼 = 𝐾𝚽Ω + RI
𝑈−𝐸
𝐼=
𝑅
Problème
Au démarrage :Ω = 0 Donc E = 0
𝑈
𝐼𝑑 =
𝑅
R étant en faible, il faut limiter le courant de démarrage 𝐼𝑑 .
Solutions :
▪ Augmenter progressivement la tension d’alimentation U.
▪ Ajouter un rhéostat externe de démarrage 𝑅ℎ
Démarrage rhéostatique
Moteur CC à excitation shunt :
𝑈 = 𝐸 + 𝑅𝐼 + 𝑅ℎ 𝐼
𝑈−𝐸
𝐼=
𝑅 + 𝑅ℎ
Au démarrage :Ω = 0 Donc E = 0
𝑈
𝐼𝑑 =
𝑅 + 𝑅ℎ
𝑈
𝑅ℎ = − 𝑅
𝐼𝑑
Procédure de démarrage
▪ Dimensionner la résistance de démarrage
Pour le rhéostat de démarrage 𝑅ℎ , on doit le placer au maximum au démarrage, pour assurer un
courant de démarrage Courant de seuil Courant maximal
de démarrage 𝐼 < 𝐼 < 𝐼 admissible par le moteur.
𝑎 𝑑 𝑚𝑎𝑥
▪ Démarrer le moteur à flux maximal (couple de démarrage : 𝑇𝑑 = 𝑘. 𝚽. 𝐼𝑑 )
Pour le rhéostat de champ 𝑅ℎ ′ , on doit le placer au minimum au démarrage, pour assurer un
courant d’excitation suffisant pour vaincre le couple résistant au démarrage.
Variation de la vitesse
Moteur d’étude
Moteur à courant continu à excitation séparée.
Équations simplifiés :
Expression de la vitesse :
𝑈 − 𝑅𝐼
Ω=
𝐾𝚽
𝑈 𝑅𝐼 𝑈 𝑅
Ω= − = − 2
𝑇𝑒𝑚
𝐾𝚽 𝐾𝚽 𝐾𝚽 𝐾𝚽
Caractéristique mécanique :
Ω = Ω0 − 𝑚𝑇𝑒𝑚
Variation de la vitesse par modification de la caractéristique du couple 𝑇𝑒𝑚 (Ω).
Paramètres de variation de la vitesse :
▪ Résistance d’induit : R
▪ Flux inducteur :𝚽
▪ Tension d’alimentation : U
Action sur le flux inducteur 𝑇𝑒𝑚 = 𝑓 Ω
Procédure :
Varier le courant inducteur Ie d’excitation.
𝑈
Ω0 =
𝐾𝚽
𝑅 Entraînement à couple résistant constant
𝑚=
𝐾𝚽 2 Tem
Mode de variation :
1 2 3
▪ Modification de la vitesse à vide Ω0 . Tr
▪ Modification de la pente m de la
caractéristique mécanique
Ω
Ω01 Ω02 Ω03
Action sur la tension d’alimentation 𝑇𝑒𝑚 = 𝑓 Ω
Procédure :
Varier la tension U d’alimentation de l’induit
𝑈
Ω0 =
𝐾𝚽
𝑅
𝑚=
𝐾𝚽 2
Mode de variation :
▪ Vitesse à vide Ω0 déplacée.
▪ Pente m de la caractéristique mécanique reste inchangée.
Ω
Ω03 Ω02 Ω01
Convertisseur Direct
Réseau Charge
Hacheur Dévolteur MCC
Continu mécanique
Convertisseur Indirect
Réseau Redresseur Charge
Hacheur MCC mécanique
Alternatif À Diodes
Convertisseur Direct
Réseau Redresseur Commandé À Charge
MCC mécanique
Alternatif Thyristors
Ce sont les plus répandus dans les applications industrielles puisqu’ils partent directement de la
tension du réseau (avec ou sans transformateur). Ils sont monophasés ou triphasés selon la
puissance du moteur.
Montages non réversibles
Lorsque le moteur à courant continu ne doit tourner que dans un sens et que l’entraînement ne
nécessite pas un freinage rapide, on utilise un variateur non réversible permettant la marche de la
machine en moteur dans le quadrant I du plan (C, n).
A) Montages alimentés en monophasé
Seuls les variateurs de faible puissance, jusqu'à 10 kW environ, sont d’ordinaire alimentées en
monophasé. On utilise le plus souvent les montages en pont (PD2) qui ont surtout l’avantage de
ne pas nécessiter de transformateur. Il y’a deux possibilités :
• Pont complet à quatre thyristors
• Pont mixte à deux thyristors et deux diodes.
Sauf dans le cas où il faut prévoir la marche Montages alimentés en triphasé
à faible vitesse et à faible charge, on adopte On utilise les montages en pont pour éviter
le montage mixte qui donne : l’emploi d’un transformateur. Il y’a deux
• Une ondulation de tension redressée possibilités :
moins forte • Pont complet à six thyristors
• Une moindre détérioration du facteur de • Pont mixte (3 thyristors et 3 diodes)
puissance en ligne donc une absorption Le montage mixte est le plus économique,
de puissance réactive plus réduite mais ses performances sont si mauvaises
qu’on utilise le plus souvent le pont tout
thyristors.
Montages réversibles
Par variateur réversible, on entend un entrainement permettant une inversion rapide du sens de
rotation.
Le variateur doit pouvoir assurer le fonctionnement dans les quatre quadrants.
Trois montages sont possibles :
• Inversion du courant inducteur,
• Inversion du courant d’induit,
• Montage réversible tête-bêche.
Ils utilisent tous au moins un montage tout thyristors permettant l’inversion de la tension Uc ; c’est
la réalisation des passages entre les quadrants 1 et 2 ou 3 et 4 qu’ils diffèrent. C’est la rapidité de
ces passages qui permet de les classer.
Montage à inversion du courant inducteur
L’induit est alimenté par un seul montage redresseur tout thyristors (pont à quatre thyristors en
monophasé, pont à six thyristors en triphasé, le plus souvent).
• L’inversion du couple est réalisée par inversion du courant inducteur à courant Ic. Elle est
d’ordinaire obtenue par deux petits montages redresseurs montés en tête-bêche et alimentant
l’enroulement inducteur dans un sens ou dans l’autre.
Cette solution simple et économique n’est utilisable que lorsqu’on accepte un temps mort
d’inversion du couple assez élevé (0.5 seconde à quelques secondes) car à cause de la constante
de temps de l’inducteur, l’inversion du courant i ne peut être très rapide
Montage à inversion du courant induit
L’induit est toujours alimenté par le même
montage tout thyristors ; l’inversion du
couple s’obtient par inversion du courant Ic
à l’aide d’un contacteur bipolaire. Cela
permet au redresseur de jouer tantôt le rôle
du pont « tête », tantôt celui du pont bêche.
L’inversion du contacteur ne doit s’opérer
qu’à courant nul. Le temps mort
d’inversion du couple
correspond au temps de détection du
courant nul augmenté du temps de réponse
du système
mécanique ; il varie entre 0.1 et 0.3s.
Montage réversible tête-bêche
Pour assurer des inversions très rapides (5 à 20 ms) avec un équipement totalement statique, on
doit utiliser deux montages redresseurs principaux tout thyristors montés en tête-bêche aux
bornes de l’induit ; l’un fournit au moteur le courant Id positif, l’autre le courant Id négatif.
Le pont 1 assure le fonctionnement dans les quadrants 1 et 4, le pont 2 dans les quadrants 2 et 3
suivant le mode de commande des redresseurs des deux ponts, on distingue les variateurs avec
courant de circulation et sans courant de circulation.
Montage avec courant de circulation
Dans ce cas, on commande en permanence les redresseurs des deux ponts de façon qu’ils
donnent toujours aux bornes du moteur des tensions redressées moyennes égales :
Ce montage a l’avantage de ne pas présenter de temps mort car dés que le courant Ic devient
négatif, le courant passe instantanément du pont 1 au pont 2.
Cependant, les valeurs instantanées des tensions uc1 et uc2 ne sont pas égales en raison des
harmoniques, aussi y’a-t-il un courant de circulation entre les deux redresseurs. On s’efforce
d’étouffer ce courant de circulation en plaçant des inductances de filtrage dans la boucle à
courant continu
Montage sans courant de circulation
Dans la pratique, on préfère habituellement éviter la présence des inductances de
filtrage en acceptant un faible temps mort. A cet effet, on règle la logique de
commande des gâchettes pour que tous les thyristors d’un groupe soient bloqués
quand l’autre groupe fonctionne
Variateurs à hacheurs
Lorsque l’équipement est alimenté en courant continu, comme c’est le cas avec une
batterie
d’accumulateurs ou la caténaire à courant continu en traction électrique, l’obtention
de la tension continue variable appliquée à l’induit Ud est réalisée au moyen d’un
hacheur.
Hacheur série Hacheur réversible en courant Hacheur en pont
On emploie le hacheur série Le hacheur à deux interrupteurs Lorsque le fonctionnement a
lorsque le moteur ne doit réversible en courant est utilisé lieu dans les quatre quadrants,
travailler que dans le lorsque le moteur doit travailler on a recours au hacheur en pont
quadrant 1 ; dans réversible en courant et en
les quadrants 1 et 2 ; tension.
La marche dans les quadrants 2
et 3 nécessite que la source
alimentant le hacheur soit
réversible en courant.
Démarrage semi-automatique à deux sens de rotation
• Pour inverser le sens on utilise des contacteurs (deux contacts pour chaque contacteurs)
• le verrouillage de deux contacteurs
• Deux résistants pour limiter le courant de démarrage
• relais thermique F1 (protection)
• Contacteur de ligne
• Sectionneur porte fusible
• Alimentation continu
Démarrage semi-automatique à deux sens de rotation
• Pour inverser le sens on utilise des contacteurs (deux contacts pour chaque contacteurs)
• le verrouillage de deux contacteurs
• Deux résistants pour limiter le courant de démarrage
• relais thermique F1 (protection)
• Contacteur de ligne
• Sectionneur porte fusible
• Alimentation continu
Freinage des moteurs à courant continu :
1.Freinage rhéostatique :
Dans la phase de freinage, la machine se comporte comme une
génératrice qu’on dissipe son énergie cinétique converti en énergie
électrique, dans un rhéostat de freinage.
2.Freinage par récupération d’énergie :
Dans ce cas au lieu de dissiper l’énergie dans une résistance de freinage, on
la récupère dans une batterie (voitures hybrides) ou la réinjecter dans le
réseau (traction électrique).
3.Fonctionnement en 4 quadrants :