EXPOSé de Mr AIVODJI
EXPOSé de Mr AIVODJI
EXPOSé de Mr AIVODJI
Cette notion d'abstraction, d'effacement de soi devant la réalité afin de mieux la voir est un lieu
commun intenable comme un paire d'yeux qui se verraient elle-même sans le truchement d'un miroir
et sans loucher. Mais bien plus encore que cette contradiction, quand bien même cela serait possible,
quel en serait l'intérêt? La réalité en soi ne pose jamais problème, elle est et c'est tout. Ce qui pose
problème c'est de la voir (au sens générique du terme), de la comprendre, de l'interpréter.
Un même fait peut est lu de manières différentes et contradictoire en fonction des points de vues, des
connaissances, des désires, des croyances ou des aspirations. La réalité en elle-même ne donne pas
son interprétation car elle s'en moque et ne lui appartient même pas. Ce qu'il y a de difficile c'est
d'avoir un point de vue sur les choses. Celui qui n'en a pas ne voit rien, celui qui voudrait avoir le plus
large possible est aveugle. Il faut un juste milieu entre la cécité et l'aveuglement. Le sage timoré
prendra systématiquement la tangente afin de rester en dehors ou au milieu, l'irresponsable penchera
d'un côté ou de l'autre, le réfléchi réfléchira avant de choisir la position, le sceptique n'en prendra pas,
le cynique rira des autres. Mais ce qu'il faut c'est se décider, et c'est ça le plus difficile, car c'est
s'engager et par conséquent devenir responsable: de son point de vue et de la réalité à travers le
relief qu'on lui donne.
Le documentaire en tant qu'abstraction et retrait est pleutre et inutile. Ce qu'il faut c'est un
engagement. Mais un engagement rationnel et effectif. S'engager ne signifie pas s'aveugler, mais voir,
observer et réfléchir, et c'est difficile.
Le documentaire qui montre la réalité est en fait un document. En tant que document il est un
engagement, un engagement dans la réalité et dans l'histoire, mettons-y même un grand h, l'Histoire,
car ce sont les documents qui nous permettre de retracer la vision du monde de nos aïeux et d'en
révéler, comme en photographie, la réalité, leur réalité, mais qui ne fut qu'une compréhension de ce
qu'ils avaient sous les yeux.
Pour réaliser un travail de recherche, il faut procéder selon une certaine méthode.
1. Je cerne le sujet
Je fais une première recherche exploratoire au CDI (pour définir les notions), j'utilise
pour cela les usuels :
- Dictionnaire
- Manuels scolaires
- Moteur de recherche (j'effectue une équation de recherche avec mes mots-clés sur 2 moteurs
de recherche)
- URL = Protocole de communication (World Wide Web. Nom du site. Nom de Domaine)
4 - Je prélève l’information
.5 - Je traite l’information
.6 - Je communique l’information
Réperages documentaires
Voici un petit tour d’horizon des documentaires et des films expérimentaux qui ont le
plus marqué le gestionnaire de ces collections durant l’année écoulée.
Organisation
La gouvernance, c’est la stratégie et l’organisation définies afin de gérer, sécuriser, partager,
conserver, valoriser et maîtriser l’information et la connaissance afin d’améliorer l’efficacité d’une
organisation », explique SerdaLAB dans son dernier livre blanc. Selon ce laboratoire de veille,
d’études et de prospective du groupe Serda, tout ce que la gouvernance recouvre de notions et de
déclinaisons participe d’un changement de modèle face à une situation généralisée : masse
d’information, volume de données, multiplicité de sources, de données, documents structurés, non
structurés, multiplicité de canaux d’information.
« Aujourd’hui, on continue encore trop souvent dans les entreprises à vouloir trouver les
réponses avec une organisation éclatée : la documentation d’un côté, la cellule de veille
de l’autre, la gestion des courriers entrants, la gestion des archives, des documents
courants ou l’animation de communautés ; autant d’activités et de professionnels ayant
peu l’occasion de collaborer entre eux. Construire une gouvernance documentaire sur
mesure pour son organisation peut être un travail passionnant, en collaboration étroite
avec les « parties prenantes » que sont les dirigeants, les managers, les
professionnels de l’information, les utilisateurs, les travailleurs nomades et les clients
ou citoyens de plus en plus demandeurs d’informations. Une « bonne » gouvernance
documentaire peut fonctionner selon le principe d’une stratégie et d’une coordination
centralisée et/ou d’un fonctionnement décentralisé ou mixte .
Le traitement
Cela fait un moment que je me dis que cet article manquait ! Je ne sais pas pourquoi je ne
l’ai pas écrit avant…Ces derniers temps vous avez été nombreux à me le demander alors
aujourd’hui je vous propose enfin l’article sur : le traitement !
Avant d’attaquer le vif du sujet, je tiens à vous redonner l’ordre des documents que vous
devez écrire. Lorsque vous commencez une histoire il faut absolument commencer par
le pitch. Le pitch définit en quelques lignes l’idée, le concept de votre film. Une fois que
vous avez posé ça sur le papier, vous pouvez écrire le synopsis puis le traitement,
le séquencier et enfin la continuité dialoguée.
Mais, le traitement pour un scénario de long, en fait
c’est quoi ?
On peut effectivement se demander quelle différence il y a entre un synopsis et un
traitement. Pourtant c’est assez simple. Un synopsis, comme vous le savez déjà, c’est un
résumé de votre film, mais pas n’importe lequel. En effet le synopsis fait en gros maximum
5 pages et résume l’intrigue principale de A à Z et dévoile les personnages qui ont le plus
d’importance. Résumer tout un long métrage enmaximum 5 pages, vous vous imaginez
bien qu’il faut réduire au minimum et retirer tous les détails, bref tout le superflu des
personnages et des situations..