Physique - Fiche 5 - Réactions nucléaires - Physique

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Fiche n°12 – RÉACTIONS NUCLÉAIRES

DU MACROSCOPIQUE AU MICROSCOPIQUE

▪ La mole

À l’échelle atomique, le nombre de particules (noyaux, électrons, positons…) qui entrent en jeu au cours des
réactions nucléaires est phénoménal.

À l’échelle humaine, on utilise une unité de quantité de matière plus pratique qu’un nombre de particules : la mole.

Une mole de matière (en mol) contient autant de particules (atomes, noyaux, électrons, positons…) qu’il y a d’atomes
(non liés, au repos et dans leur état fondamental) dans 12 g du nucléide 126C. Ce nombre, appelé constante
d’Avogadro NA (en mol-1), est le coefficient de proportionnalité entre le nombre de particules N et la quantité de
matière n d’un échantillon de matière :

𝑵 = 𝒏 × 𝑵𝑨

NA est la constante d’Avogadro NA = 6,023.1023 mol-1.

Exemple
Une mole de fer contient 6,023.1023 atomes de fer. Une mole d’eau contient 6,023.10 23 molécules d’eau. Une mole
d’uranium contient 6,023.1023 noyaux d’uranium. Deux moles de positons contiennent 12,046.10 23 positons.

▪ Quantité de matière

La quantité de matière n (en mol) d’un composé est égale au rapport de la masse m (en g) de ce composé sur sa
masse molaire M (en g.mol-1) :

𝒎
𝒏=
𝑴

Exercice
La masse molaire de l’uranium étant de 238 g.mol-1.
Combien y a-t-il d’atomes dans 1 kg d’uranium ?

Solution
Il nous faut combiner les deux relations précédentes : 4,2 mol d’uranium soit 2,53.1024 atome d’uranium :

𝒎𝑼 103
𝑁𝑈 = 𝒏𝑼 × 𝑁𝐴 = × 𝑁𝐴 = × 6,023. 1023 = 2,53. 1024 𝑛𝑜𝑦𝑎𝑢𝑥
𝑴𝑼 238

▪ Masse molaire atomique

L’expérimentateur ne manipule pas individuellement des particules, ainsi il lui est nécessaire de connaître la masse
d’une mole de matière appelée masse molaire atomique M (en g.mol-1).

Exemple
La masse molaire atomique du carbone est égale à 12 g.mol -1 et signifie qu’une mole de carbone (soit 6,023.10 23
atomes de carbone) pèse 12 g.

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▪ Unité de masse atomique

En physique nucléaire, la masse d’un noyau est exprimée en unité de masse atomique (symbole u), définie comme
le douzième de la masse d’un atome de carbone 12 :

𝟏𝒖 = 𝟏, 𝟔𝟕. 𝟏𝟎−𝟐𝟕 𝒌𝒈

▪ L’électronvolt

En physique nucléaire, l’énergie échangée au cours des réactions nucléaires est exprimée en électronvolt (symbole
eV) défini comme l'énergie acquise par un électron accéléré depuis le repos par une tension électrique de 1 V :

𝟏 𝒆𝑽 = 𝟏, 𝟔𝟎𝟐. 𝟏𝟎−𝟏𝟗 𝑱

STRUCTURE DE L’ATOME

▪ L’atome

Un atome est constitué d’un noyau contenant A nucléons (nombre de masse ou masse molaire atomique)
comprenant Z protons (nombre de charge) et N = (A – Z) neutrons, autour duquel gravitent Z électrons.

Figure 1. Structure de l'atome (modèle de Rutherford).

Les neutrons ne portent aucune charge électrique. Les protons sont des particules chargées positivement et les
électrons négativement : un atome est donc électriquement neutre.
Protons et électrons portent la même charge élémentaire (en valeur absolue) notée e égale à 1,6.10-19 C (coulomb).

Chaque atome 𝑿 est caractérisé par un couple (Z ; A) et représenté par le symbole 𝑨𝒁𝑿 (Voir Fiche Chimie n°2).

Exemple
L’atome de nickel s’écrit 60
28Ni. L’atome de nickel, de symbole Ni, contient 60 nucléons dont 28 protons et 32 neutrons,
autour desquels gravitent 28 électrons.

▪ Elément, nucléide et isotope

Un élément est l’ensemble des atomes et des ions (Voir Fiche Chimie n°2) ayant le même numéro atomique Z.

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Exemple
L’élément sodium, de symbole Na, peut exister sous la forme d’atome de sodium 11𝑁𝑎ou d’ion sodium 11𝑁𝑎
+
.

Un nucléide est un type d’atomes caractérisé par le nombre de protons et de neutrons qui constituent son noyau.

Exemple
L’atome d’oxygène 168𝑂 et l’atome d’oxygène 178𝑂 sont deux nucléides différents de l’élément oxygène (Z = 8). L’atome
d’azote 147𝑁 et l’atome de carbone 146𝐶 sont des nucléides de deux éléments différents (l’azote et le carbone).

Les isotopes d’un élément sont des nucléides qui possèdent le même nombre de protons Z mais un nombre différent
de neutrons N.

Exemple
Les atomes de carbone 12𝐶 , 13𝐶 et 14𝐶 sont isotopes car leur nombre de protons est identique (Z = 6 ce qui en fait
l’élément carbone de symbole C) et leur nombre de neutrons différents (A = 12 ; 13 ou 14).

DÉSINTÉGRATIONS NUCLÉAIRES

Au sein du noyau d’un atome, deux interactions fondamentales (Voir Fiche Physique n°15) entrent en jeu :
• L’interaction électromagnétique qui tend à repousser les protons du noyau les uns des autres ;
• L’interaction forte qui compense cet effet en maintenant la cohésion du noyau.

Remarque : Il est à noter que l’interaction faible, autre interaction fondamentale, intervient également dans certains
processus nucléaires de désintégrations.

Au-delà d’une certaine quantité de protons, l’interaction électromagnétique répulsive est supérieure à l’interaction
forte attractive. Le noyau (appelé noyau-père) est instable et se désintègre en émettant des radiations (i.e. un
rayonnement électromagnétique) et en produisant de nouveaux noyaux plus petits (appelés noyaux-fils).

Les lois de Soddy précise que lors de toute désintégration nucléaire le nombre de masse, le nombre de protons et
l’énergie se conservent. On distingue trois types de désintégrations nucléaires (dans la suite, le noyau-père est noté
X et le noyau-fils Y)

▪ Radioactivité α (émission de noyaux d’hélium)

La radioactivité α (alpha) est due à un excès de nucléons. Des noyaux d’hélium (ou particules α) sont émises avec
le noyau-fils à des vitesses de l’ordre de 20000 km.s -1. Son pouvoir de pénétration dans un solide est de l’ordre de
quelques centièmes de millimètres.

𝑨 𝑨−𝟒 𝟒
𝒁𝑿 → 𝒁−𝟐𝒀 + 𝟐𝑯𝒆

Exemple
Un noyau de radium 226Ra (noyau-père) se désintègre en un noyau de radon 222Rn (noyau-fils) et un noyau d’hélium
(particule α) selon l’équation :
226 222
88𝑅𝑎 → 86𝑅𝑛 + 42𝐻𝑒

▪ Radioactivité β– (émission d’électrons)

La radioactivité β– (bêta moins) est due à un excès de neutrons par rapport aux protons. Un neutron du noyau-père
se transforme en proton en émettant un électron −10𝑒 à une vitesse de l’ordre de 280000 km.s -1. Son pouvoir de
pénétration dans un solide est de l’ordre de quelques millimètres.
𝑨 𝑨
𝒁𝑿 → 𝒁+𝟏𝒀 + −𝟏𝟎𝒆

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Remarque : La radioactivité β– peut se résumer à la transformation d’un neutron en proton :
1
0𝑛 → 11𝑝 + −10𝑒

Exemple
Un noyau de Cobalt 60Co se désintègre en un noyau de Nickel 60Ni en émettant un électron selon l’équation :
60 60
27𝐶𝑜 → 28𝑁𝑖 + −10𝑒

▪ Radioactivité β+ (émission de positons)

La radioactivité β+ (bêta plus) est due à un excès de protons par rapport aux neutrons. Un proton du noyau-père
se transforme en neutron en émettant un positon +10𝑒 à une vitesse de l’ordre de 280000 km.s-1.

𝑨 𝑨
𝒁𝑿 → 𝒁−𝟏𝒀 + +𝟏𝟎𝒆

Remarque : La radioactivité β+ peut se résumer à la transformation d’un proton en neutron :


1
1𝑝 → 10𝑛 + +10𝑒

Exemple
Un noyau d’Iode 122I se désintègre en un noyau de Tellure 122
Te en émettant un positon selon l’équation :
122 122
53𝐼 → 52𝑇𝑒 + +10𝑒

Remarque : Les désintégrations β+ et β– s’accompagnent de l’émission de particules de masse négligeable (les


neutrinos et antineutrinos) qui n’apparaissent pas dans les équations par souci de simplification.

▪ Désexcitation γ (émission d’un rayonnement gamma))

Les désintégrations α et β d’un noyau-père X aboutie généralement à un noyau-fils dans un état excité Y*. Le retour
de cet atome excité Y* (i.e. sa désexcitation) dans son état fondamental Y (de plus basse énergie) se fait avec
émission d’un rayonnement γ (gamma) hautement énergétique.

𝑨′ 𝜶,𝜷 𝑨 ∗ 𝑨 ∗
𝒁′𝑿 → 𝒁𝒀 puis 𝒁𝒀 → 𝑨𝒁𝒀 + 𝜸

Remarque : Le rayonnement gamma est, au même titre que la lumière, une onde électromagnétique (émission de
photons). Ce rayonnement est présent dans toute désintégration mais on ne le fait pas systématiquement apparaître
dans son équation.

Exemple
Le noyau de Cobalt 60Co se désintègre par radioactivité β– en un noyau de nickel 60Ni dans un état excité Ni* (avec
émission d’un électron et d’un antineutrino). Le noyau ainsi formé perd les 2158,80 keV de son énergie d’excitation
en émettant successivement deux photons gamma lui permettant de retrouver son état fondamental stable.

60
27𝐶𝑜 → 60 ∗ 𝟎
28𝑁𝑖 + −𝟏𝒆 𝑝𝑢𝑖𝑠 60
28𝑁𝑖

→ 60
28𝑁𝑖 +𝜸

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LA LOI DE DÉCROISSANCE RADIOACTIVE

Une désintégration nucléaire est un phénomène aléatoire, spontané, inévitable et typique du noyau radioactif,
quelle que soit sa combinaison chimique et indépendamment des conditions macroscopiques (température,
pression…).

▪ Activité radioactive

L’activité radioactive A (en becquerel Bq) d’un échantillon radioactif représente le nombre de désintégrations par
seconde. Elle correspond à la variation du nombre de noyau radioactif dN par unité de temps dt soit :

𝑑𝑁(𝑡)
𝐴 (𝑡 ) = −
𝑑𝑡

Au cours du temps, l’activité radioactive de l’échantillon décroît puisqu’il y a de moins en moins de substance
radioactive susceptible de se désintégrer. L’activité radioactive A à l’instant t est proportionnelle au nombre de
noyaux radioactif N à cet instant :

𝑨(𝒕) = 𝝀𝑵(𝒕)

λ (en s-1) est la constante radioactive caractéristique du nucléide.

L’activité radioactive initiale de l’échantillon étant A0, son activité radioactive A(t) à l’instant t suit une loi de
décroissance dont l’expression est :

𝑨(𝒕) = 𝑨𝟎 𝒆−𝝀𝒕

Remarque : Le symbole « e » représente la fonction exponentielle (Voir Fiche Mathématique) dont la représentation
graphique est donnée à la Figure 2.

▪ Noyaux radioactifs

Le nombre de noyaux d’un échantillon radioactif diminue au cours des désintégrations successives. Le nombre initial
de noyaux radioactifs de l’échantillon étant N0, le nombre de noyaux radioactifs N(t) à l’instant t suit également une
loi de décroissance :

𝑵(𝒕) = 𝑵𝟎 𝒆−𝝀𝒕

Méthode
En combinant les relations donnant l’activité radioactive en fonction du nombre de noyaux, on retrouve l’expression
du nombre de noyaux radioactifs d’un échantillon en fonction du temps :

𝑑𝑁(𝑡) 𝑑𝑁(𝑡) 𝑑𝑁(𝑡)


𝐴 (𝑡 ) = − 𝑒𝑡 𝐴(𝑡) = 𝜆𝑁(𝑡) 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝜆𝑁(𝑡) = − 𝑜𝑢 = −𝜆𝑁(𝑡)
𝑑𝑡 𝑑𝑡 𝑑𝑡

La relation (a) est une équation différentielle du premier ordre sans second membre. Une équation différentielle du
premier ordre est une équation qui relie une fonction et sa dérivée.

𝑑𝑁(𝑡)
= −𝜆𝑁(𝑡)
𝑑𝑡

La seule fonction dont la dérivée est elle-même, est la fonction exponentielle ainsi (A étant une constante) :

𝑁(𝑡) = 𝐴𝑒 −𝜆𝑡

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Les conditions initiales de la désintégration nous permettent de déterminer la constante A. À l’instant initial, le nombre
de noyaux radioactifs est N0 ainsi :

à𝑡 =0 𝑁(0) = 𝑁0 soit 𝐴𝑒 −𝜆×0 = 𝑁0 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝐴 = 𝑁0

Et la solution s’écrit :

𝑁(𝑡) = 𝑁0 𝑒 −𝜆𝑡

Figure 2. Evolution temporelle du nombre de noyaux radioactifs – Loi de décroissance radioactive.

Exemple
Dans la figure 2, l’échantillon radioactif dont on étudie l’évolution dans le temps est matérialisé par un rectangle
contenant les noyaux radioactifs (les ronds). La courbe rouge représente l’évolution dans le temps du nombre de
ces noyaux radioactifs (i.e. une décroissance).

▪ Période radioactive ou temps de demi-vie

La période radioactive T ou temps de demi-vie t1/2 (en unité de temps) d’un élément est la durée au bout de laquelle
son activité initiale (ou le nombre de noyau radioactif initial) est divisée par deux. Elle s’exprime en fonction de la
constante radioactive de l’élément selon la relation :

𝒍𝒏𝟐
𝑻=
𝝀

Exemple
À l’instant initial l’échantillon contient, par exemple, 40 noyaux radioactifs d’un nucléide quelconque. En s’appuyant
sur la figure 2, au bout d’une demi-vie T, il reste 20 noyaux radioactifs (20 désintégrations se sont donc produites).
Au bout d’une nouvelle demi-vie (soit au total 2T), il reste 10 noyaux radioactifs (10 désintégrations se sont à nouveau
produites) etc. Chaque demi-vie, le nombre de noyaux est divisé par 2 jusqu’à tendre, après une durée plus ou moins
longue, vers zéro.

La scintigraphie est une méthode d’imagerie médicale qui utilise des traceurs radioactifs dont l’iode 123 dont la demi-
vie est de 13,2 heures.

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Exercice
À partir de la loi de décroissance radioactive, retrouver l’expression du temps de demi-vie T d’un noyau radioactif.

Solution
Le temps de demi-vie est la durée à l’issue de laquelle le nombre de noyaux radioactifs a été divisé par 2. Ainsi, à
partir de la loi de décroissance radioactive, on peut écrire :

𝑁0 𝑁0 1
𝑁 (𝑇 ) = 𝑒𝑡 = 𝑁0 𝑒 −𝜆𝑇 𝑠𝑜𝑖𝑡 = 𝑒 −𝜆𝑇
2 2 2

1 1 𝑙𝑛 2
𝑙𝑛 = 𝑙𝑛 𝑒 −𝜆𝑇 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑙𝑛 = −𝜆𝑇 𝑒𝑡 − 𝑙𝑛 2 = −𝜆𝑇 𝑑 ′𝑜ù 𝑇=
2 2 𝜆

▪ Constante radioactive

La constante radioactive λ (en s-1) d’un échantillon radioactif mesure la probabilité pour qu’un noyau se désintègre
dans la seconde qui suit l’instant t. Elle peut s’exprimer par la relation :

𝒍𝒏𝟐
𝝀=
𝑻

Exemple
La demi-vie du carbone 14 est égale à 5730 ans (soit une constante radioactive égale à 1,2.10-4 s-1). La datation
d’une momie au carbone 14 montre que son activité radioactive n’est plus que les 70% de celle d’un être vivant.
Quel est l’âge (en années) de cette momie ?

Solution
La datation au carbone 14 est une méthode de datation (entre quelques centaines d’années et 50000 ans) fondée
sur la mesure de l’activité radiologique du carbone 14 contenu dans la matière organique.

Un être vivant est constitué d’atomes de carbone dont une certaine proportion est du carbone 14 radioactif. Tant que
l’organisme est vivant, il interagit avec son environnement (almentation, respiration) si bien que cette proportion reste
constante et l’activité radioactive naturelle de l’organisme aussi. À sa mort, cette interaction est interrompue, les
atomes de carbone 14 qui se désintègrent naturellement ne sont plus renouvelés dans l’organisme : l’activité
radioactive de l’organisme décroît.

Déterminer l’âge de la momie revient donc à chercher le temps écoulé pour que l’activité radioactive du carbone (de
100% chez un être vivant) tombe à 70%.
Soit t l’âge de la momie (i.e. la durée qui s’est écoulée depuis le décès !), d’après la loi de décroissance radioactive :

𝑁(𝑡) = 0,7𝑁0 = 𝑁0 𝑒 −𝜆𝑡 𝑠𝑜𝑖𝑡 0,7 = 𝑒 −𝜆𝑡

𝑙𝑛 0,7
𝑙𝑛 0,7 = 𝑙𝑛 𝑒 −𝜆𝑡 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑙𝑛 0,7 = −𝜆𝑡 𝑒𝑡 − 𝑙𝑛 0,7 = 𝜆𝑡 𝑑 ′ 𝑜ù 𝑡=−
𝜆

𝑙𝑛 0,7 𝑙𝑛 0,7 𝑙𝑛 0,7


𝑡=− = −𝑻 × = −5730 × = 2950 𝑎𝑛𝑠
𝝀 𝒍𝒏 𝟐 𝑙𝑛 2

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