1 Conférence HGE 10-2023

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Conférence

d’Hépato-Gastro-Entérologie
11 octobre 2023
Guillaume Le Cosquer, Karine Louvion et Quentin Rodriguez
Tous les dossiers de cette conférence ont
été relus par des PU-PH et MCU-PH
membres des collèges de la spécialité.
Le contenu de cette conférence (oral et écrit) ne reflète en rien la position ni du jury national
des ECN, ni du conseil scientifique de médecine du centre national des concours d’internats, ni
des collèges d’enseignants ni de la conférence des doyens des facultés de médecine.
Ces instances n’approuvent ni ne désapprouvent le contenu de cette conférence.
Cette conférence ne préjuge pas des réponses à apporter lors d’une future session du concours,
selon le principe constant de souveraineté des jurys.
Dossier n°1
Rédaction Pierre Demathelin / Correction: Guillaume Le Cosquer
Enoncé

• Vous recevez en consultation Monsieur P. 60 ans qui est venu


en raison de difficultés à s’alimenter.

• Monsieur P. est chef de chantier, il a pour antécédents: une


résection transurétrale de prostate pour hypertrophie bénigne
de la prostate,
U une chirurgie pour fracture du poignet gauche,

un tabagisme pendant 35 ans stoppé il y a 5 ans, une
hypertension artérielle, une dermatite atopique.

• Son traitement habituel comporte LERCANIDIPINE 10mg


1/jour.
Enoncé
• Depuis 1 an, Monsieur P. décrit des épisodes de brûlures
rétrosternales apparues dans un contexte de surmenage
professionnel et pour lesquels il prend du Gaviscon en
automédication.
• Cette automédication avait amélioré momentanément la
situation puis se sont installées des régurgitations, des
douleurs U
thoraciques puis une gêne lors de l’alimentation « les
aliments comme la viande ne passent plus ».
• ☺
Monsieur P. pèse 80kg pour 172cm (-10kg par rapport à son
poids de forme, il y a 6 mois). Pour manger, il mixe désormais
ses aliments et privilégie les purées.
Enoncé

• Vous faites préciser la localisation de la dysphagie qui est


plutôt rétrosternale.

• A l’examen clinique, Il n’y a pas d’ictère. L’abdomen est souple


dépressible et indolore, il n’existe pas d’ascite clinique, pas
d’hépatosplénomégalie.
U Il n’ y a pas d’adénopathie sus-

claviculaire gauche. Les orifices herniaires sont libres.
Question 1

• Parmi les propositions suivantes, quel(s) élément(s) de


l’interrogatoire et de l’examen clinique de Monsieur P.
oriente(ent) vers une dysphagie de nature lésionnelle ?
A – Prédominance sur les aliments solides

B – Le U
mode d’installation de la dysphagie


C- Consommation de tabac

D- La localisation rétrosternale

E- Antécédent de dermatite atopique


Question 1

• Parmi les propositions suivantes, quel(s) élément(s) de


l’interrogatoire et de l’examen clinique de Monsieur P.
oriente(ent) vers une dysphagie de nature lésionnelle ?
A – Prédominance sur les aliments solides

B – Le U
mode d’installation de la dysphagie


C- Consommation de tabac

D- La localisation rétrosternale

E- Antécédent de dermatite atopique


Item 273 Dysphagie. Rang A: Connaître les éléments d’orientation à l’interrogatoire orientant vers
une dysphagie lésionnelle ou non lésionnelle
Question 2

• Vous suspectez une cause lésionnelle à cette dysphagie et en


première hypothèse une néoplasie de l’œsophage.

• Vous faites réaliser une gastroscopie qui met en évidence une


tumeur ulcérée non-sténosante étendue entre 34 et 40 cm
des arcades
U dentaires, franchissable par l’endoscope. Il n’y a

pas d’anomalie au niveau de l’estomac et du bulbe duodénal.
L’analyse anatomopathologique des biopsies objective un
carcinome épidermoïde de l’œsophage.
Question 2

U

Question 2

Parmi les propositions suivantes, laquelle où lesquelles est(sont) en général


un (des) facteur(s) de risque du carcinome épidermoïde de l’oesophage?

A – Infection chronique à Hélicobacter pylori

B – Reflux gastro-oesophagien
U

C – Tabac

D – Alcool

E – Hernie hiatale
Question 2
Parmi les propositions suivantes, laquelle où lesquelles est(sont) en général
un (des) facteur(s) de risque du carcinome épidermoïde de l’oesophage?

A – Infection chronique à Hélicobacter pylori

B – Reflux gastro-oesophagien

C – Tabac
U

D – Alcool

E – Hernie hiatale

Item 305 Tumeurs de l’œsophage Notion de rang A : Connaître les principales lésions augmentant le risque de

survenue ultérieure d’un cancer de l’œsophage


Question 3
• Quel(s) examen(s) complémentaire(s) biologique(s) et/ou d’imagerie(s) est
(sont) à prévoir ?

A - Echo-endoscopie oesophagienne

B - Scanner thoraco-abdomino-pelvien
U
C - IRM hépatique

D - Dosage de l’albumine sérique

E – Panendoscopie des voies aériennes supérieures


Question 3

• Quel(s) examen(s) complémentaire(s) biologique(s) et/ou


d’imagerie(s) est (sont) à prévoir ?
A- Echo-endoscopie oesophagienne

B - Scanner thoraco-abdomino-pelvien

C - IRM hépatique
U

D - Dosage de l’albumine sérique

E - Panendoscopie des voies aériennes supérieures

Item 305 Tumeurs de l’œsophage Notion de rang B: Connaître la stratégie d’exploration par

imagerie d’une tumeur de l’œsophage


Question 4

• L’écho-endoscopie réalisée chez Monsieur P. décrit une tumeur envahissant toutes

les couches de la paroi de l’œsophage (usT3) et met en évidence deux adénopathies

régionales infracentimétriques.

• Le scanner TAP visualise une tumeur localement avancée de la jonction oesocardiale

ainsi qu’une U
adénopathie infracentimétrique dans l’aire ganglionnaire de l’artère


gastrique gauche.

• Il n’est pas mis en évidence de lésions suspectes d’allure secondaire au niveau

pulmonaire, hépatique et péritonéale.


Question 4
Parmi les propositions suivantes, laquelle où lesquelles est(sont) juste(s)?

U
A

B C
Question 4
Parmi les propositions suivantes, laquelle où lesquelles est(sont) juste(s)?

A - A correspond à la vésicule biliaire

B - B correspond à la vertèbre L2

C - C correspond au poumon gauche


U

D - D correspond au pôle supérieur du rein gauche

E - E correspond à la tumeur
Question 4
Parmi les propositions suivantes, laquelle où lesquelles est(sont) juste(s)?

A - A correspond à la vésicule biliaire

B - B correspond à la vertèbre L2

C - C correspond au poumon gauche


U

D - D correspond au pôle supérieur du rein gauche

E - E correspond à la tumeur

Fiche Lisa Anatomie de l’oesophage (https://sides.uness.fr/lisa/Anatomie:Oesophage)


Question 5

• Le patient a également réalisé un bilan nutritionnel dont les


résultats sont les suivants: albumine sérique 20g/L (N 35-
52g/L), pré-albumine 0.15g/L (N 0.2-0.4).

U

Question 5
• Parmi les propositions suivantes concernant votre prise en
charge, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ?
A - Monsieur P. présente une dénutrition sévère

B - Monsieur P. présente une dénutrition modérée

C - De manière générale, une gastrostomie est une sonde d’alimentation


U
qui peut être posé par un radiologue

D - Une jéjunostomie est une sonde d’alimentation dont l’extrémité est
placée dans le jéjunum

E - L’iléostomie est une sonde d’alimentation dont l’extrémité est placée


dans l’iléon
Question 5
• Parmi les propositions suivantes concernant votre prise en charge, laquelle
(lesquelles) est (sont) exacte(s) ?
A - Monsieur P. présente une dénutrition sévère

B - Monsieur P. présente une dénutrition modérée

C - De manière générale, une gastrostomie est une sonde d’alimentation qui


peut être posé par un radiologue
U

D - Une jéjunostomie est une sonde d’alimentation dont l’extrémité est placée
dans le jéjunum

E - L’iléostomie est une sonde d’alimentation dont l’extrémité est placée dans
l’iléon
Item 250 Dénutrition chez l’adulte et l’enfant Notion de rang A: Connaître les critères diagnostiques de la dénutrition chez l’adulte (de moins de 70 ans)

Item 250 Dénutrition chez l’adulte et l’enfant Notion de rang B: Connaître les principes de la complémentation orale, de la nutrition entérale et parentérale
Dénutrtion

Dénutrition modérée (1 seul critère Dénutrition sévère (1 seul critère suffit)


suffit)
• Perte de poids > 10% en 1 mois
• Perte de poids ≥ 5% en 1 mois • Perte de poids > 15% en 6 mois
• Perte de poids ≥ 10% en 6 mois • Perte de poids ≥ 15% par rapport au
• Perte de poids U≥ 10% par rapport au poids habituel avant le début de la


poids habituel avant le début de la maladie
maladie • IMC ≤ 17
• 17 < IMC < 18,5 • Albuminémie < 30 g/L
Question 6
• Monsieur P. est pris en charge en chirurgie digestive pour pose d’une sonde
de jéjunostomie par voie coelioscopique afin de débuter une nutrition
entérale. Lors de la procédure, l’exploration de la cavité abdominale ne
trouve pas de carcinose. Une chambre implantable est également posée en
prépectoral droit.

• Les suites sont favorables. Monsieur P. rentre à domicile dès le lendemain


de l’intervention et débute désormais une nutrition parentérale sur la
U
chambre implantable et une nutrition entérale sur sonde de jéjunostomie.

Question 6
• Monsieur P se présente aux urgences 72H après son hospitalisation pour
dyspnée et « gonflement » des membres inférieurs

• Les constantes sont les suivantes: T° 36°, PA 95/80mmHG, Fréquence


cardiaque 110bpm. Fréquence respiratoire 22/min

• Le patient décrit également des paresthésies et des crampes.


U


Le bilan biologique réalisé en urgence met en évidence : Potassium
2.5mmol/L (3.5-4.5mmol/L) ; Natrémie 137mmol/L (N 135-145mmol/L);
Créatinine 80µmol/L (N 80-110 µmol/L ); CRP 15mg/L (N<6mg/L);
Leucocytes 10G/L (N <11G/L); Plaquettes 200G/L (N 150-400G/L)
Question 6

• Dans ce contexte et devant cette décompensation cardiaque débutante,


quel cause faut-il évoquer ?

U

Question 6
• Dans ce contexte et devant cette décompensation cardiaque débutante,
quel cause faut-il évoquer ?
• Syndrome de renutrition inapproprié

U

Item 250 Dénutrition chez l’adulte et l’enfant Notion de rang B : Connaître les modalités du diagnostic et de la

prévention du syndrome de renutrition


Question 6
• Un syndrome de renutrition inapproprié est confirmé par le dosage
sanguin complémentaire du magnésium et du phosphore
(Hypophosphorémie, Hypomagnésémie). Les suites sont favorables après
hospitalisation et correction du syndrome de renutrition.

• Monsieur P effectue une panendoscopie ORL et bronchique qui ne met pas


en évidence de lésions néoplasiques et effectue également un Pet-scanner
au 18-FDG qui visualise une hyperfixation au niveau de la tumeur sans
U
autres hyperfixations ailleurs.



Monsieur P est présenté en réunion de concertation pluridisciplinaire où il
est décidé une prise en charge par radio-chimiothérapie puis chirurgie
selon la réponse au traitement néoadjuvant.
Question 7
• Monsieur P. débute un protocole de radiochimiothérapie préopératoire
associant 41,4 Gy en 23 fractions de 1,8 Gy avec du carboplatine-paclitaxel
hebdomadaire pendant 5 semaines

• Quelle(s) est (sont) la(les) effet(s) secondaire(s) du paclitaxel


A - Réaction d ’hypersensibilité

B - Toxicité
U rénale

C - Toxicité neurologique

D - Toxicité cardiaque

E - Alopécie
Question 7

• Quelle(s) est (sont) la(les) effet(s) secondaire(s) du paclitaxel


A - Réaction d ’hypersensibilité

B - Toxicité rénale

C - Toxicité neurologique

U cardiaque
D - Toxicité


E - Alopécie

Item 294 Traitement des cancers : principales modalités, classes thérapeutiques et leurs complications majeures. La

décision thérapeutique pluridisciplinaire et l’information du malade Notion de rang B: Décrire les effets secondaires

des chimiothérapies
Question 8
• Le traitement néoadjuvant est bien toléré par le patient. L’évolution est
satisfaisante avec un bilan endoscopique et d’imagerie qui est en faveur
d’une bonne réponse à la chimiothérapie.

• Monsieur P. est opéré d’une oesogastrectomie polaire supérieur


U de Lewis Santy) avec curage ganglionnaire abdominale et
(Intervention

thoracique
Question 8
• Dans les suites opératoires (à 3 jours) le patient présente dans ses drains un
liquide jaune « graisseux »

Quel structure anatomique (rapport de l’œsophage) en est à l’origine ?

U

Question 8
• Dans les suites opératoires (à 3 jours) le patient présente dans ses drains un
liquide jaune « graisseux »

Quel structure anatomique (rapport de l’œsophage) en est à l’origine

Conduit thoracique

U

Fiche Lisa Anatomie de l’oesophage (https://sides.uness.fr/lisa/Anatomie:Oesophage)


Anatomie

U

Dossier n°2
Rédaction : Guillaume Le Cosquer et Clément Pastier
Enoncé

• Mme X âgée de 56 ans consulte aux urgences pour des


douleurs abdominales d’intensité croissante, évoluant depuis
5 jours associées à des vomissements depuis 24h. La patiente
n’a pas eu de selles depuis 4 jours.
• Ses antécédents sont marqués par une obésité (poids 80 kg,
taille 1m63)
U et une hypertension artérielle essentielle traitée

par AMLODIPINE 5mg par jour et HYDROCHLOROTHIAZIDE
12,5mg par jour. Absence d’antécédent chirurgical. Elle n’a
pas d’antécédent familial notamment oncologique.
Enoncé

• Votre examen clinique révèle un état hémodynamique stable :


Tension artérielle 120/80 mmHg, fréquence cardiaque 78
battements par minute, saturation en oxygène 99% en air
ambiant, apyrexie.
• L’examen cardio pulmonaire est sans particularité. L’abdomen
est douloureux
U à la palpation en fosse iliaque et flanc gauche,


sans défense ni contracture. Les bruits hydro-aériques sont
diminués. Le toucher rectal est normal.
Question 1

• Dans ce contexte, quel élément majeur de l’examen


abdominal est manquant dans l’énoncé ?

U

Question 1

• Dans ce contexte, quel élément majeur de l’examen


abdominal est manquant dans l’énoncé ?
Palpation des orifices herniaires

U

Item 354 : Syndrome occlusif de l’enfant et de l’adulte.

Rang A : Connaître les éléments de l’interrogatoire et de l’examen clinique d’une occlusion


Question 2

• Parmi les propositions suivantes, quel(s) examen(s)


complémentaire(s) prescrivez-vous en première intention ?
A. Gaz du sang, lactates

B. NFS, ionogramme sanguine, créatininémie, CRP

C. Groupe
U sanguin ABO, Rhésus (2 déterminations) et recherche

d’agglutinines irrégulières

D. ASAT, ALAT, GGT, PAL, bilirubine totale et directe, lipasémie

E. Coloscopie
Question 2

• Parmi les propositions suivantes, quel(s) examen(s)


complémentaire(s) prescrivez-vous en première intention ?
A. Gaz du sang, lactates

B. NFS, ionogramme sanguine, créatininémie, CRP

C. Groupe
U sanguin ABO, Rhésus (2 déterminations) et recherche

d’agglutinines irrégulières

D. ASAT, ALAT, GGT, PAL, bilirubine totale et directe, lipasémie

E. Coloscopie
Item 354 : Syndrome occlusif de l’enfant et de l’adulte.

Rang A : Connaître le bilan biologique à réaliser devant une occlusion


Question 3

• Vous complétez votre examen clinique qui retrouve des


orifices herniaires libres. Le bilan biologique ne met pas en
évidence de trouble ioniques, la fonction rénale est normale.
D’après votre examen clinique et l’anamnèse, quels sont les 2
étiologiesUde syndrome occlusif (mécanisme et localisation) les


plus probables ?
Question 3

• Quels sont les 2 étiologies de syndrome occlusif (mécanisme


et localisation) les plus probables ?
A. Syndrome d’Ogilvie

B. Occlusion grêlique sur bride

C. Occlusion
U colique sur obstruction luminale

D. Occlusion colique par volvulus du sigmoïde

E. Occlusion colique par strangulation

F. Occlusion grêlique fonctionnelle

G. Occlusion colique sur obstacle intraluminal


Question 3
• Quels sont les 2 étiologies de syndrome occlusif (mécanisme
et localisation) les plus probables ?
A. Syndrome d’Ogilvie

B. Occlusion grêlique sur bride

C. Occlusion colique sur obstruction luminale

D. Occlusion
U colique par volvulus du sigmoïde


E. Occlusion colique par strangulation

F. Occlusion grêlique fonctionnelle

G. Occlusion colique sur obstacle intraluminal


Item 354 : Syndrome occlusif de l’enfant et de l’adulte. Rang B : Connaître les grands mécanismes
d’occlusion et leurs complications
Syndrome occlusif

U

Syndrome occlusif

U

Question 4
• Un scanner abdominopelvien avec injection de produit de
contraste est réalisé plusieurs heures après votre examen
clinique. Vous n’avez pas ré-évalué cliniquement la patiente
avant son scanner. Quelle étiologie de syndrome occlusif
suspectez-vous (nature de la lésion et localisation) ?
U

Question 4

U

Question 4
• Un scanner abdominopelvien avec injection de produit de
contraste est réalisé plusieurs heures après votre examen
clinique. Vous n’avez pas ré-évalué cliniquement la patiente
avant son scanner. Quelle étiologie de syndrome occlusif
suspectez-vous (nature de la lésion et localisation) ?
U charnière Recto sigmoïdienne / Haut Rectum / Sigmoïde
Cancer de la


Item 354 : Syndrome occlusif de l’enfant et de l’adulte. Rang B : Connaître les signes
tomodensitométriques d’une occlusion et leur présence en fonction du siège de l’occlusion
Question 5
• Quels signes de gravité cliniques et radiologiques devez-vous
rechercher ?
A. Pneumopéritoine

B. Fièvre

C. Pneumatose au niveau de la paroi du colon

D. Aéroportie
U

E. Signe du fèces (fèces sign en anglais)
Question 5
• Quels signes de gravité cliniques et radiologiques devez-vous
rechercher ?
A. Pneumopéritoine

B. Fièvre

C. Pneumatose au niveau de la paroi du colon

D. Aéroportie
U

E. Signe du fèces (fèces sign en anglais)

Item 354 : Syndrome occlusif de l’enfant et de l’adulte. Rang B : Connaître les signes
tomodensitométriques d’une occlusion et leur présence en fonction du siège de l’occlusion
Question 6
• Compte tenu du scanner, d’un franc syndrome inflammatoire
biologique (CRP 200 mg/L, leucocytes 12 G/L) et de votre
examen clinique qui met en évidence une défense avec une
fièvre à 39°C, quelle sera votre prise en charge ?
A. Indication chirurgicale

U
B. Introduction d’une antibiothérapie par Amoxicilline


C. Explications données à la patiente du risque de stomie

D. Pose de sonde nasogastrique

E. Le colon gauche est la première zone à se perforer


Question 6
• Compte tenu du scanner, d’un franc syndrome inflammatoire
biologique (CRP 200 mg/L, leucocytes 12 G/L) et de votre
examen clinique qui met en évidence une défense avec une
fièvre à 39°C, quelle sera votre prise en charge ?
A. Indication chirurgicale

U
B. Introduction d’une antibiothérapie par Amoxicilline


C. Explications données à la patiente du risque de stomie

D. Pose de sonde nasogastrique

E. Le colon gauche est la première zone à se perforer


Item 354 : Syndrome occlusif de l’enfant et de l’adulte. Rang A: Connaitre les principes de la prise en
charge de l’occlusion chez l’adulte
Question 7
• Quelle sera votre prise en charge chirurgicale, si la tumeur
n’est pas perforée, que le cadre colique ne présente
finalement pas de souffrance ?
A. Coloscopie

B. Laparotomie médiane

C. Colostomie
U proche d’amont


D. Résection recto sigmoïdienne carcinologique

E. Pose d’une endoprothèse colique pour lever l’occlusion


Question 7
• Quelle sera votre prise en charge, si la tumeur n’est pas
perforée, que le cadre colique ne présente finalement pas de
souffrance ?
A. Coloscopie

B. Laparotomie médiane

C. Colostomie
U proche d’amont


D. Résection recto sigmoïdienne carcinologique

E. Pose d’une endoprothèse colique pour lever l’occlusion


Item 354 : Syndrome occlusif de l’enfant et de l’adulte. Rang A: Connaitre les principes de la prise en
charge de l’occlusion chez l’adulte
Item 354 Syndrome occlusif
Item 354 Syndrome occlusif

Intervention de Hartmann
Question 8
• L’occlusion étant levée après la chirurgie, quelle prise en
charge proposez-vous ?
A. Coloscopie par voie basse et par la stomie

B. Absence d’indication à réaliser un nouveau scanner

C. Débuter une chimiothérapie d’emblée

D. Cette
U patiente était dans les indications du dépistage national par

test FIT avant son épisode aigu

E. Une fois la chirurgie carcinologique réalisée, une tumeur pT2N0 ne


recevra pas de chimiothérapie adjuvante.
Item 354 : Syndrome occlusif de l’enfant et de l’adulte. Rang A: Connaitre les principes de la prise en
charge de l’occlusion chez l’adulte
Question 8
• L’occlusion étant levée après la chirurgie, quelle prise en
charge proposez-vous ?
A. Coloscopie par voie basse et par la stomie

B. Absence d’indication à réaliser un nouveau scanner

C. Débuter une chimiothérapie d’emblée

D. Cette
U patiente était dans les indications du dépistage national par

test FIT avant son épisode aigu

E. Une fois la chirurgie carcinologique réalisée, une tumeur pT2N0 ne


recevra pas de chimiothérapie adjuvante.
Item 354 : Syndrome occlusif de l’enfant et de l’adulte. Rang A: Connaitre les principes de la prise en
charge de l’occlusion chez l’adulte
Item 301 CCR
Dossier n°3
Rédaction : Guillaume Le Cosquer et Quentin Rodriguez
Enoncé
• Vous recevez aux urgences une patiente 24 ans, originaire du
Rwanda, arrivée en France depuis 3 mois pour des douleurs
abdominales. Elle ne vous rapporte pas d’antécédent médico-
chirurgical, ne prend pas de traitement. Absence d’allergie.
Taille 1m68 poids 56 kg.
• Elle vous décrit une douleur intense, continue à type de
crampe enU épigastre et hypochondre droit, inhibée par la
respiration et irradiant dans l’épaule droite.

Malheureusement vous arrivez trop tard et la douleur a cédé
après la prise d’un paracétamol (automédication) et a duré
environ 4 heures.
Enoncé
• Votre examen clinique est rassurant, l’examen cardio-
pulmonaire est sans particularité. L’abdomen est souple
dépressible indolore, il n’y a pas d’hépatomégalie mais vous
notez la présence d’une splénomégalie. Apyrexie, tension
artérielle 120/70 mmHg, fréquence cardiaque 75 battements
par minute.
U

Question 1
• Parmi les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) fait(font)
partie(s) de vos hypothèse(s) diagnostique(s) ?
A. Syndrome coronarien aigu

B. Colite aiguë

C. Ulcère gastro-duodénal

D. Pancréatite
U aiguë


E. Colique hépatique

Item 269 Douleurs abdominales aigues chez l’enfant et l’adulte. Notion de rang A : Connaître les
caractéristiques de la douleur biliaire, gastrique (duodénale), colique, pancréatique, ischémie
intestinale
Question 1
• Parmi les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) fait(font)
partie(s) de vos hypothèse(s) diagnostique(s) ?
A. Syndrome coronarien aigu

B. Colite aiguë

C. Ulcère gastro-duodénal

D. Pancréatite
U aiguë


E. Colique hépatique

Item 269 Douleurs abdominales aigues chez l’enfant et l’adulte. Notion de rang A : Connaître les
caractéristiques de la douleur biliaire, gastrique (duodénale), colique, pancréatique, ischémie
intestinale
Question 2
• Parmi les propositions suivantes, quel(s) examen(s)
complémentaire(s) prescrivez-vous en première intention ?
A. NFS plaquettes

B. Echographie des voies urinaires

C. ASAT, ALAT, GGT, PAL, bilirubine totale et directe

D. Endoscopie
U oeso-gastro-duodénale


E. Echographie hépato-biliaire
Item 269 Douleurs abdominales aiguës chez l’enfant et l’adulte. Notions de rang A : Connaître les
caractéristiques de l’interrogatoire et de l’examen clinique face à une douleur abdominale aigüe.
Connaitre le bilan biologique à prescrire en cas de douleur abdominale aigüe. Connaitre l’indication
des examens d’imagerie devant une douleur abdominale aigue de l’adulte.
Question 2
• Parmi les propositions suivantes, quel(s) examen(s)
complémentaire(s) prescrivez-vous en première intention ?
A. NFS plaquettes

B. Echographie des voies urinaires

C. ASAT, ALAT, GGT, PAL, bilirubine totale et directe

D. Endoscopie
U oeso-gastro-duodénale


E. Echographie hépato-biliaire
Item 269 Douleurs abdominales aiguës chez l’enfant et l’adulte. Notions de rang A : Connaître les
caractéristiques de l’interrogatoire et de l’examen clinique face à une douleur abdominale aigüe.
Connaitre le bilan biologique à prescrire en cas de douleur abdominale aigüe. Connaitre l’indication
des examens d’imagerie devant une douleur abdominale aigue de l’adulte.
Question 3
• Le bilan biologique met en évidence une cytolyse prédominant
sur les ALAT à plus de 6 fois la normale. TP 100%, numération
formule sanguine, fonction rénale normales. Une échographie
hépato-biliaire est finalement réalisé. D’après l’anamnèse,
l’examen clinique et les résultats de l’échographie
U quel est votre diagnostic ?
abdominale,

Item 277 Lithiase biliaire et complications Notion de rang A : Connaître les éléments du diagnostic
de la lithiase vésiculaire symptomatique simple
Question 3

U

Question 3
• Le bilan biologique met en évidence une cytolyse prédominant
sur les ALAT à plus de 6 fois la normale. TP 100%, numération
formule sanguine, fonction rénale normales. Une échographie
hépato-biliaire est finalement réalisé. D’après l’anamnèse,
l’examen clinique et les résultats de l’échographie
U quel est votre diagnostic ?
abdominale,

Réponse : Colique hépatique / douleur biliaire

Item 277 Lithiase biliaire et complications Notion de rang A : Connaître les éléments du diagnostic
de la lithiase vésiculaire symptomatique simple
Question 4
• Parmi les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont)
un(des) facteur(s) de risque de calculs biliaires pigmentaires ?
A. Sexe féminin F. Jeune prolongé

B. Drépanocytose G. Nutrition entérale

C. Surpoids H. Antécédent de bypass

D. Nulliparité
U I. Fibrates


E. Obstacles biliaires J. Hypertriglyciridémie

K. Thalassémie
Item 277 Lithiase biliaire et complications

Notion de rang B : Connaître les 4 principaux facteurs de risques de calculs pigmentaires


Question 4
• Parmi les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont)
un(des) facteur(s) de risque de calculs biliaires pigmentaires ?
A. Sexe féminin F. Jeune prolongé

B. Drépanocytose G. Nutrition entérale

C. Surpoids H. Antécédent de bypass

D. Nulliparité
U I. Fibrates


E. Obstacles biliaires J. Hypertriglyciridémie

K. Thalassémie
Item 277 Lithiase biliaire et complications

Notion de rang B : Connaître les 4 principaux facteurs de risques de calculs pigmentaires


Question 5
• Le diagnostic de colique hépatique sur calcul pigmentaire en
lien avec une drépanocytose méconnue est finalement posé.
Quelle est votre prise en charge concernant la maladie
lithiasique et son étiologie ?
A. Cholécystectomie en urgence
B. CPRE
U
C. Cholécystectomie programmée à distance

D. Frottis sanguin recherche d’hématies en faucille
E. Recherche d’une anémie microcytaire arégénérative
Item 277 Lithiase biliaire et complications Notion de rang A : Connaître les principes du traitement
de la pathologie lithiasique symptomatique
Question 5
• Le diagnostic de colique hépatique sur calcul pigmentaire en
lien avec une drépanocytose méconnue est finalement posé.
Quelle est votre prise en charge concernant la maladie
lithiasique et son étiologie ?
A. Cholécystectomie en urgence
B. CPRE
U
C. Cholécystectomie programmée à distance

D. Frottis sanguin recherche d’hématies en faucille
E. Recherche d’une anémie microcytaire arégénérative
Item 277 Lithiase biliaire et complications Notion de rang A : Connaître les principes du traitement
de la pathologie lithiasique symptomatique
Question 6
• La patiente a été perdue de vue pendant 3 ans.

• Elle se présente de nouveau aux urgences, le jour où vous êtes


de garde, pour de nouvelles douleurs abdominales
initialement en hypochondre droit il y a 1 semaine qui sont
maintenant diffuses, avec quelques épisodes de
U
vomissements depuis 24h.

• ☺
Le diagnostic de drépanocytose a été confirmée et elle n’a pas
eu de cholécystectomie.
Question 6
• Elle aurait eu de la fièvre à son domicile, non objectivée. Il
existe un arrêt des gaz depuis environ 48h. Constantes :
Température 37,8°C, FC 95, TA 110/66. A l’examen clinique, il
existe une sensibilité diffuse mais plus douloureuse en flanc
droit, avec un abdomen météorisé, sans défense.

• RésultatsUdu bilan biologique : bilirubine totale 12umol/L,



ASAT 16 UI/L, ALAT 10 UI/L, GGT 14 UI/L, PAL 90 UI/L, CRP 36
mg/L, Leucocytes 9 G/L, Hémoglobine 8,2 g/dL, créatinine 122
umol/L, Natrémie 150 umol/L, Kaliémie 3,1 umol/L
Question 6
• Quel examen demandez-vous en première intention ?
A. Échographie abdominale

B. TDM abdomino-pelvien avec injection de produit de contraste

C. Echo-endoscopie

D. Abdomen sans préparation

E. TDMUabdomino-pelvien sans injection de produit de contraste

Item 269 : Douleur abdominale Notion de rang A : Connaitre l'indication des examens d'imagerie
devant une douleur abdominale aigue de l'adulte
Question 6
• Quel examen demandez-vous en première intention ?
A. Échographie abdominale

B. TDM abdomino-pelvien avec injection de produit de contraste

C. Echo-endoscopie

D. Abdomen sans préparation

E. TDMUabdomino-pelvien sans injection de produit de contraste

Item 269 : Douleur abdominale Notion de rang A : Connaitre l'indication des examens d'imagerie
devant une douleur abdominale aigue de l'adulte
Question 7
• Voici les images retrouvées au scanner :

U

Question 7
• Voici les images retrouvées au scanner :

U

Question 7
• Devant ce tableau d’occlusion mécanique, quelle cause
diagnostiquez-vous?

U

Item 277 Lithiase biliaire et complications Notion de rang B : Connaitre les 3 complications de la
pathologie lithiasique vésiculaire et leur mécanisme
Question 7
• Devant ce tableau d’occlusion mécanique, quelle cause
diagnostiquez-vous?

Réponse : iléus biliaire / Occlusion mécanique sur iléus biliaire

U

Item 277 Lithiase biliaire et complications Notion de rang B : Connaitre les 3 complications de la
pathologie lithiasique vésiculaire et leur mécanisme
Question 8
• Quelle est votre prise en charge ?
A. Sonde nasogastrique en aspiration

B. Chirurgie en urgence pour extraction

C. Endoscopie digestive

D. Traitement médical seul avec antibiotiques, mise à jeun

E. Laxatifs
U de lest

Item 354 : Syndrome occlusif de l’enfant et de l’adulte Notion de rang A : Connaître les principes de
la prise en charge thérapeutique d’une occlusion chez l’adulte
Question 8
• Quelle est votre prise en charge ?
A. Sonde nasogastrique en aspiration

B. Chirurgie en urgence pour extraction

C. Endoscopie digestive

D. Traitement médical seul avec antibiotiques, mise à jeun

E. Laxatifs
U de lest

Item 354 : Syndrome occlusif de l’enfant et de l’adulte Notion de rang A : Connaître les principes de
la prise en charge thérapeutique d’une occlusion chez l’adulte
Dossier n°4
Karine Louvion
Enoncé
• Vous voyez en consultation M.M, un patient de 60 ans pour un
prurit évoluant depuis 1 mois. Il a pour antécédents : une
hypertrophie bénigne de prostate non traitée, une
hypertension artérielle traitée par Amlodipine, un tabagisme
actif estimé à 50 paquets-années
• Son médecin traitant lui a fait réaliser un bilan biologique:
Hémoglobine
U 13,5 g/dL, plaquettes 250 G/L, ASAT 20 UI/L,
ALAT 23 UI/L, GGT 230 UI/L, PAL 460 UI/L, bilirubine totale 150

umol/L, bilirubine conjuguée 145 umol/L, créatinine 60 umol/L
• A la consultation il vous informe avoir une « jaunisse » depuis
quelques jours, avec des vomissements et une perte de poids
de 15 kg depuis 1 mois (poids de forme 80 kg).
Question 1
• Quel est l’examen complémentaire que vous demandez à ce
stade ?

U

Item 278 : Ictère de l’adulte et de l’enfant. Rang A: Connaître les examens complémentaires à
réaliser en première intention devant un ictère de l’adulte
Question 1
• Quel est l’examen complémentaire que vous demandez à ce
stade ?

Réponse : échographie hépato-biliaire/ échographie abdominale

U

Item 278 : Ictère de l’adulte et de l’enfant. Rang A: Connaître les examens complémentaires à
réaliser en première intention devant un ictère de l’adulte
Question 2
• L’échographie abdominale que vous avez demandé met en
évidence une dilatation des voies biliaires intra- et extra-
hépatiques. Vous avez complété cet examen par un scanner
abdomino-pelvien qui est le suivant.

U

Question 2

U

Question 2
• A propos du scanner suivant ?
A. Il s’agit d’un scanner injecté au temps tardif.

B. Il existe une dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques


et une dilatation du canal pancréatique principal.

C. La tumeur se situe au niveau du corps du pancréas.

D. Le patient pourra probablement se faire opérer de son cancer.


U

E. Il existe une distension gastrique compatible avec une obstruction
duodénale dans ce contexte.

Item 304 : Tumeurs du foie, primitives et secondaires. Rang B: Tomodensitométrie typique de


métastases hépatiques
Question 2
• A propos du scanner suivant ?
A. Il s’agit d’un scanner injecté au temps tardif.

B. Il existe une dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques


et une dilatation du canal pancréatique principal.

C. La tumeur se situe au niveau du corps du pancréas.

D. Le patient pourra probablement se faire opérer de son cancer.


U

E. Il existe une distension gastrique compatible avec une obstruction
duodénale dans ce contexte.

Item 304 : Tumeurs du foie, primitives et secondaires. Rang B: Tomodensitométrie typique de


métastases hépatiques
Question 2

U

Question 3
• A propos du bilan d’extension d’un cancer du pancréas ?
A. Il comporte un scanner thoraco-abdomino-pelvien.

B. L’IRM hépatique est systématique.

C. L’écho-endoscopie peut être utile pour le diagnostic histologique.

D. Le drainage biliaire par CPRE est systématique.

E. La preuve
U histologique n’est pas systématique.

Item 308 : Tumeurs du pancréas. Rang B: Connaître les indications des examens d’imagerie d’une
tumeur du pancréas
Question 3
• A propos du bilan d’extension d’un cancer du pancréas ?
A. Il comporte un scanner thoraco-abdomino-pelvien.

B. L’IRM hépatique est systématique.

C. L’écho-endoscopie peut être utile pour le diagnostic histologique.

D. Le drainage biliaire par CPRE est systématique.

E. La preuve
U histologique n’est pas systématique.


Item 308 : Tumeurs du pancréas. Rang B: Connaître les indications des examens d’imagerie d’une
tumeur du pancréas
Question 4
• Vous annoncez au patient qu’il a très probablement un
adénocarcinome de la tête du pancréas avec des lésions
secondaires hépatiques et une obstruction des voies biliaires,
et qu’il ne pourra pas être opéré de son cancer du fait de son
stade métastatique.
U

Question 4
• A propos de la suite de votre prise en charge ?
A. Avant de commencer la chimiothérapie, il vous faut une preuve
histologique, soit par biopsie hépatique, soit par écho-endoscopie avec
ponction de la tumeur.
B. Avant de commencer la chimiothérapie, vous organisez une CPRE.
C. Avant de commencer la chimiothérapie, vous faites rencontrer le
patient à la diététicienne afin de prendre en charge sa dénutrition sévère.
D. Avant de commencer la chimiothérapie, vous faites doser
l’uracilémie. U


E. Avant de commencer la chimiothérapie, vous organisez la pose
d’une chambre implantable.

Item 294 Traitement des cancers : principales modalités, classes thérapeutiques et leurs
complications majeures. La décision thérapeutique pluridisciplinaire et l’information du malade
Question 4
• A propos de la suite de votre prise en charge ?
A. Avant de commencer la chimiothérapie, il vous faut une preuve
histologique, soit par biopsie hépatique, soit par écho-endoscopie avec
ponction de la tumeur.
B. Avant de commencer la chimiothérapie, vous organisez une CPRE.
C. Avant de commencer la chimiothérapie, vous faites rencontrer le
patient à la diététicienne afin de prendre en charge sa dénutrition sévère.
D. Avant de commencer la chimiothérapie, vous faites doser
l’uracilémie. U


E. Avant de commencer la chimiothérapie, vous organisez la pose
d’une chambre implantable.

Item 294 Traitement des cancers : principales modalités, classes thérapeutiques et leurs
complications majeures. La décision thérapeutique pluridisciplinaire et l’information du malade
Question 5
• L’anatomopathologie confirme la présence d’un
adénocarcinome de la tête pancréatique. Le patient
s’interroge sur l’origine de son cancer et sur l’épidémiologie
de ce cancer ?
A. Actuellement l’incidence des adénocarcinomes du pancréas est
stable.
B. Le tabac, le diabète, l’obésité, la pancréatite chronique sont des
facteurs de risque d’adénocarcinome du pancréas.
U
C. Il n’existe pas de lésions pré-cancéreuses comme dans le cancer du
côlon.

D. Il existe des prédispositions génétiques comme la mutation BRCA
1/2
E. La survie à 5 ans est inférieure à 10% quel que soit le stade.
Item 308 : Tumeurs du pancréas. Rang B: Connaître l’épidémiologie et les facteurs de risque de
l’adénocarcinome du pancréas et des tumeurs neuroendocrines
Question 5
• L’anatomopathologie confirme la présence d’un
adénocarcinome de la tête pancréatique. Le patient
s’interroge sur l’origine de son cancer et sur l’épidémiologie
de ce cancer ?
A. Actuellement l’incidence des adénocarcinomes du pancréas est
stable.
B. Le tabac, le diabète, l’obésité, la pancréatite chronique sont des
facteurs de risque d’adénocarcinome du pancréas.
U
C. Il n’existe pas de lésions pré-cancéreuses comme dans le cancer du
côlon.

D. Il existe des prédispositions génétiques comme la mutation BRCA
1/2
E. La survie à 5 ans est inférieure à 10% quel que soit le stade.
Item 308 : Tumeurs du pancréas. Rang B: Connaître l’épidémiologie et les facteurs de risque de
l’adénocarcinome du pancréas et des tumeurs neuroendocrines
Question 6
• Vous débutez la chimiothérapie, validée par la RCP, par
FOLFIRINOX (LV5FU2, Irinotécan, Oxaliplatine), après début
d’une nutrition entérale par sonde nasogastrique, pose d’une
chambre implantable, et drainage des voies biliaires par pose
d’une prothèse métallique par CPRE.
A. La sonde nasogastrique est posée pour une durée de nutrition < 1
mois.
B. Il faudra réaliser une radiographie thoracique pour vérifier le
positionnementUde la sonde naso-gastrique avant de l’utiliser.


C. La chambre implantable permet un abord veineux central, situé
dans la veine cave supérieure au niveau de l’oreillette gauche.
D. La chambre implantable peut être gardée à vie.
E. Toutes les chimiothérapies nécessitent la pose d’une chambre
implantable.
Item 294 Traitement des cancers : principales modalités, classes thérapeutiques et leurs
Question 6
• Vous débutez la chimiothérapie, validée par la RCP, par
FOLFIRINOX (LV5FU2, Irinotécan, Oxaliplatine), après début
d’une nutrition entérale par sonde nasogastrique, pose d’une
chambre implantable, et drainage des voies biliaires par pose
d’une prothèse métallique par CPRE.
A. La sonde nasogastrique est posée pour une durée de nutrition < 1
mois.
B. Il faudra réaliser une radiographie thoracique pour vérifier le
positionnement Ude la sonde naso-gastrique avant de l’utiliser.

C. La chambre implantable permet un abord veineux central, situé
dans la veine cave supérieure au niveau de l’oreillette gauche.
D. La chambre implantable peut être gardée à vie.
E. Toutes les chimiothérapies nécessitent la pose d’une chambre
implantable.
Item 294 Traitement des cancers : principales modalités, classes thérapeutiques et leurs
Question 7
• Le patient s’interroge sur sa chimiothérapie :
A. Il risque d’avoir une toxicité neurologique qui peut aller de
paresthésies dans les doigts, jusqu’à des troubles sensitifs/moteurs pouvant
être permanents malgré l’arrêt du traitement.

B. Elle comporte un inhibiteur de la topoisomérase de type 1.

C. Les diarrhées causées par la chimiothérapie peuvent être dues à un


U

syndrome cholinergique.

D. Elle ne contient pas d’antimétabolite.

E. La toxicité hématologique nécessite parfois son arrêt.


Item 294 Traitement des cancers : principales modalités, classes thérapeutiques et leurs
complications majeures. La décision thérapeutique pluridisciplinaire et l’information du malade
Question 7
• Le patient s’interroge sur sa chimiothérapie :
A. Il risque d’avoir une toxicité neurologique qui peut aller de
paresthésies dans les doigts, jusqu’à des troubles sensitifs/moteurs pouvant
être permanents malgré l’arrêt du traitement.

B. Elle comporte un inhibiteur de la topoisomérase de type 1.

C. Les diarrhées causées par la chimiothérapie peuvent être dues à


U

un syndrome cholinergique.

D. Elle ne contient pas d’antimétabolite.

E. La toxicité hématologique nécessite parfois son arrêt.


Item 294 Traitement des cancers : principales modalités, classes thérapeutiques et leurs
complications majeures. La décision thérapeutique pluridisciplinaire et l’information du malade
Question 8
• Malheureusement le patient ne répond pas à la
chimiothérapie et reconsulte pour des vomissements
incoercibles avec un arrêt du transit. Sur le scanner réalisé aux
urgences, il existe une obstruction duodénale par la tumeur
responsable d’une distension gastrique.
U

Question 8
• Quelle sera votre prise en charge ?
A. Pose d’une SNG en aspiration.

B. Hydratation IV et supplémentation potassique.

C. IPP IV au pousse seringue électrique.

D. Prescription de Métoclopramide IV.

E. Changement
U de ligne de chimiothérapie après validation en RCP.


Item 354 Syndrome occlusif de l’enfant et de l’adulte Rang A Connaître les principes de la prise en
charge thérapeutique d’une occlusion chez l’adulte
Question 8
• Quelle sera votre prise en charge ?
A. Pose d’une SNG en aspiration.

B. Hydratation IV et supplémentation potassique.

C. IPP IV au pousse seringue électrique.

D. Prescription de Métoclopramide IV.

E. Changement
U de ligne de chimiothérapie après validation en RCP.


Item 354 Syndrome occlusif de l’enfant et de l’adulte Rang A Connaître les principes de la prise en
charge thérapeutique d’une occlusion chez l’adulte
Item 308 Tumeurs du pancréas
AEG, diabète, TVP, ictère nu, douleur solaire

• Adénocarcinome (90%) : tabac, DT2 ancien, obésité, PCC (PRSS1 40% à 50

ans et OH 5% à 20 ans d’évolution), formes héréditaires

Lésions précancéreuses: TIPMP et cystadénome mucineux

• Tumeurs neuro-endocrines non sécrétantes (75%) ou non sécrétantes

(gastrine, insuline, glucagon, VIP, somatostatine) : NEM1

→ TDM TAP, EUS avec cytoponction +/- IRM hépatique si projet chirurgical

→ CPRE si ictère
Dossier n°5
Rédaction Alexia Gonzalez / Correction: Guillaume Le Cosquer
Enoncé

• Vous êtes médecin généraliste en cabinet libéral, vous recevez


Madame F, 55 ans, en consultation. Elle se plaint d’une
difficulté pour aller à la selle depuis 1 mois et demi et décide
de venir vous consulter ce jour.

U

Question 1
• Concernant la définition de la constipation, il s’agit :
A. D’une réduction du nombre de selles hebdomadaires : < 3
selles/semaine

B. D’une réduction du nombre de selles hebdomadaires : < 2


selles/semaine

C. D’efforts de poussée exagérés pour exonérer


U

D. D’une dyschésie

E. De l’association d’une dyschésie et d’une réduction de nombre de


selles hebdomadaires (< 3 selles/semaine)
Item 283 : Constipation chez l’enfant et l’adulte Rang B : Rubrique définition, définition de la
constipation chronique. Bien définir la chronicité des symptômes.
Question 1
• Concernant la définition de la constipation, il s’agit :
A. D’une réduction du nombre de selles hebdomadaires : < 3
selles/semaine

B. D’une réduction du nombre de selles hebdomadaires : < 2


selles/semaine

C. D’efforts de poussée exagérés pour exonérer


U

D. D’une dyschésie

E. De l’association d’une dyschésie et d’une réduction de nombre de


selles hebdomadaires (< 3 selles/semaine)
Item 283 : Constipation chez l’enfant et l’adulte Rang B : Rubrique définition, définition de la
constipation chronique. Bien définir la chronicité des symptômes.
Question 2
• Madame F décrit 2 selles par semaine, d’apparition
progressive depuis 1 mois et demi. Vous posez le diagnostic
d’une constipation. C’est la première fois que cela lui arrive.
Elle se sent « ballonnée » et le vit mal.

U

Question 2
• Quels sont les éléments qui vous pousserait à proposer à votre
patiente une consultation avec un gastro-entérologue en vue
d’une coloscopie ?
A. Antécédent au 3ème degré d’une cancer colique

B. Rectorragies lors de la défécation

C. AgeU
> 60 ans


D. Notion de perte de poids récente

E. Notion de régime récent

Item 283 : Constipation chez l’enfant et l’adulte Rang B : Examens complémentaires. Connaitre
l’indication des examens d’imagerie devant une constipation.
Question 2
• Quels sont les éléments qui vous pousserait à proposer à votre
patiente une consultation avec un gastro-entérologue en vue
d’une coloscopie ?
A. Antécédent au 3ème degré d’une cancer colique

B. Rectorragies lors de la défécation

C. AgeU
> 60 ans


D. Notion de perte de poids récente

E. Notion de régime récent

Item 283 : Constipation chez l’enfant et l’adulte Rang B : Examens complémentaires. Connaitre
l’indication des examens d’imagerie devant une constipation.
Question 3
• Votre patiente rapporte en effet la présence de sang sur le
papier lorsqu’elle s’essuie après être allé aux toilettes, avec
parfois l’impression d’avoir quelque chose qui sort. Elle n’a
pas de crise douloureuse au passage des selles. Elle ne pense
pas avoir perdu du poids, mais ne se pèse pas et se dit
fatiguée Udepuis 2-3 mois. Elle ne décrit pas de douleur

abdominale.
Question 3
• A l’examen vous retrouvez une abdomen qui est souple
dépressible, sensible en fosse iliaque gauche. Vous examinez
la marge anale. Vous effectuez un toucher rectal qui ne
retrouve pas de masse, présence de sang rouge vif sur le
doigtier. Vous demandez à la patiente de pousser comme si
elle allaitUà la selle.

Question 3
• Décrivez ce que vous voyez au niveau de la marge anale lors
de l’effort de poussée :

U

Item 288 Pathologie Hémorroïdaire. Rang A Rubrique : Contenu multimédia Intitulé : Images
hémorroïdes externes et hémorroïdes internes prolabées
Question 3
• Décrivez ce que vous voyez au niveau de la marge anale lors
de l’effort de poussée :

U

Réponse : Hémorroïdes internes / extériorisation plexus hémorroïdaire
interne / Prolapsus hémorroidaire
Item 288 Pathologie Hémorroïdaire. Rang A Rubrique : Contenu multimédia Intitulé : Images
hémorroïdes externes et hémorroïdes internes prolabées
Question 4
• Vous retrouvez lors de l’effort de poussée, l’extériorisation par
l’anus d’une partie du plexus hémorroïdaire interne avec
nécessité d’une réintégration manuelle. Quel est le grade de
l’atteinte hémorroïdaire selon la classification en vigueur ?
A. Grade I

B. Grade
U II

C. Grade III

D. Grade IV

E. Grade V
Item 288 Pathologie Hémorroïdaire Rang A Rubrique : diagnostic positif Intitulé : Connaitre les
manifestations cliniques les plus fréquentes des hémorroïdes internes
Question 4
• Vous retrouvez lors de l’effort de poussée, l’extériorisation par
l’anus d’une partie du plexus hémorroïdaire interne avec
nécessité d’une réintégration manuelle. Quel est le grade de
l’atteinte hémorroïdaire selon la classification en vigueur ?
A. Grade I

B. Grade
U II

C. Grade III

D. Grade IV

E. Grade V
Item 288 Pathologie Hémorroïdaire Rang A Rubrique : diagnostic positif Intitulé : Connaitre les
manifestations cliniques les plus fréquentes des hémorroïdes internes
Item 288 Pathologie hémorroidaire

Prolapsus hémorroïdaires Thrombose hémorroïdaire


RHD, laxatifs RHD, laxatifs, AINS
Incision/Excision
Question 5
• On utilise la classification de Goligher pour grader la maladie
hémorroïdaire. Les hémorroïdes internes s’extériorisent lors
d’un effort de poussée et nécessitent une aide manuelle pour
les réduire. Il s’agit d’un grade III. Vous avez terminé votre
examen clinique, vous orientez votre patiente à un gastro-
U pour un examen proctologique plus poussé avec
entérologue

un bilan biologique à réaliser au préalable.

• Vous allez tout de même lui donner quelques


recommandations.
Question 5
• Que dites-vous à votre patiente pour la prise en charge de sa
constipation?
A. Elle doit avoir une alimentation riche en graisse

B. Elle doit avoir une alimentation riche en fibre solubles environ


25g/jour

C. Elle U
doit manger moins salé


D. Elle doit augmenter ses apports hydriques

E. Elle doit boire de l’eau riche en magnésium

F. Elle doit améliorer sa position de défécation avec les jambes bien


tendues et relevées
Item 283 Constipation de l’enfant et de l’adulte Rang A règles hygiéno-diététiques Item : 288
Question 5
• Que dites-vous à votre patiente ?
A. Elle doit avoir une alimentation riche en graisse

B. Elle doit avoir une alimentation riche en fibre solubles environ


25g/jour

C. Elle doit manger moins salé

D. Elle doit augmenter ses apports hydriques


U

E. Elle doit boire de l’eau riche en magnésium

F. Elle doit améliorer sa position de défécation avec les jambes bien


tendues et relevées
Item 283 Constipation de l’enfant et de l’adulte Rang A règles hygiéno-diététiques

Item : 288 Pathologie Hémorroïdaire Rang A Connaitre les 4 règles de préambule thérapeutique
Question 6
• Vous êtes gastro-entérologue installé dans votre cabinet de
ville, vous recevez Madame F, vous reprenez l’interrogatoire
depuis le début. En effet quelques éléments vous inquiètent à
son sujet, une fatigue qui s’installe depuis 2-3mois, le fait
qu’elle ait plus de 50 ans, une sensibilité en fosse iliaque
gauche àUla palpation.

• ☺
Le bilan biologique met en évidence : Hémoglobine 9g/dl,
VGM 79fl, CRP 10mg/l, ferritine 5ng/ml et un coefficient de la
saturation de la transferrine à 5%.
Question 6
• Que diagnostiquez-vous comme cause d’anémie chez votre
patiente?

U

Item 209 : Anémie


Question 6
• Que diagnostiquez-vous comme cause d’anémie chez votre
patiente?

• Réponse : ferriprive / carence martiale /carence en fer

U

Item 209 : Anémie
Question 7
• Vous programmez une coloscopie dans les 10 jours. Lors de la
montée de la coloscopie, vous visualisez dans le colon gauche
cette image. Décrivez la lésion présente sur l’image ci-dessous

U

Item 301 : les tumeurs du côlon et du rectum Rang A diagnostic positif Intitulé : circonstance de
découverte
Question 7
• Vous programmez une coloscopie dans les 10 jours. Lors de la
montée de la coloscopie, vous visualisez dans le colon gauche
cette image. Décrivez la lésion présente sur l’image ci-dessous
Lésion ulcérée bourgeonnante en lobe
d’oreille / lésion ulcérée / lésion
ulcérée en son centre suspecte /
U
☺ lésion ulcérée bourgeonnante /
Polype ulcéré suspect / Polype ulcéré

Item 301 : les tumeurs du côlon et du rectum Rang A diagnostic positif Intitulé : circonstance de
découverte
Question 8
• Cette lésion colique gauche est très suspecte d’une tumeur au
stade d’adénocarcinome. Que faites-vous ?
A. Vous prescrivez à madame F un scanner thoraco-abdomino-pelvien
non injecté
B. Vous prenez un avis auprès des chirurgiens digestifs afin d’envisager
une chirurgie de la lésion
C. Vous biopsiez la lésion et demandez les résultats en urgence
Uprescrivez une TEP-TDM
D. Vous


E. Vous prescrivez une IRM pelvienne

Item 301 : les tumeurs du côlon et du rectum Rang A Rubrique : Examens complémentaires. Intitulé
: Examens complémentaires de première intention
Question 8
• Cette lésion colique gauche est très suspecte d’une tumeur au
stade d’adénocarcinome. Que faites-vous ?
A. Vous prescrivez à madame F un scanner thoraco-abdomino-pelvien
non injecté
B. Vous prenez un avis auprès des chirurgiens digestifs afin d’envisager
une chirurgie de la lésion
C. Vous biopsiez la lésion et demandez les résultats en urgence
Uprescrivez une TEP-TDM
D. Vous


E. Vous prescrivez une IRM pelvienne

Item 301 : les tumeurs du côlon et du rectum Rang A Rubrique : Examens complémentaires. Intitulé
: Examens complémentaires de première intention
Questions isolées
Correction: Guillaume Le Cosquer
Question 1
• Parmi les éléments suivants, lesquels doivent amener à la
réalisation d’une coloscopie en cas de constipation ?
A. Rectorragies

B. Antécédent d’adénome colique supra-centimétrique en dysplasie


de bas grade chez son père (à 60 ans)

C. Symptômes
U nocturnes


D. Prise de poids récente

E. Survenue avant 40 ans


Question 1
• Parmi les éléments suivants, lesquels doivent amener à la
réalisation d’une coloscopie en cas de constipation ?
A. Rectorragies

B. Antécédent d’adénome colique supra-centimétrique en dysplasie


de bas grade chez son père (à 60 ans)

C. Symptômes
U nocturnes


D. Prise de poids récente

E. Survenue avant 40 ans


Item 284 Colopathie fonctionnelle

Rang A Connaître les éléments cliniques devant amener à la réalisation d’une coloscopie pour
éliminer une organicité
Question 2
• Vous recevez en consultation de médecine générale Mme B,
53 ans, qui se plaint de brûlures rétrosternales quotidiennes
et d’une toux sèche depuis quelques semaines. Elle dit ne pas
avoir modifié son comportement alimentaire. Son poids est
stable à 48 kg pour 161cm. Dans ses antécédents on retrouve
U allergique depuis l’enfance sous Salbutamol à la
un asthme

demande, et une hypertension artérielle essentielle sous
candésartan. Son pharmacien lui a proposé des alginates qui
l’ont bien améliorée, mais elle souhaite un traitement plus
efficace.
Question 2
• Parmi les propositions suivantes, chez cette patiente, laquelle
(lesquelles) indique(nt) la réalisation d’une EOGD (endoscopie
oesogastroduodénale) ?
A. Brûlures rétrosternales

B. Régurgitations

C. ÂgeU


D. Amaigrissement

E. Dysphagie
Question 2
• Parmi les propositions suivantes, chez cette patiente, laquelle
(lesquelles) indique(nt) la réalisation d’une EOGD (endoscopie
oesogastroduodénale) ?
A. Brûlures rétrosternales

B. Régurgitations

C. ÂgeU


D. Amaigrissement

E. Dysphagie
Item 271 Reflux gastro-oesophagien chez le nourrisson, chez l’enfant et chez l’adulte. Hernie hiatale

Rang B Connaître l’indication de l’endoscopie œsogastroduodénale si symptôme atypique ou début


après 50 ans
Question 3
• Monsieur P, 41 ans présente une douleur intense localisée à
l’anus, depuis 2 jours, déclenchée uniquement par la station
assise. A l’examen vous observez cette lésion bien limitée (cf.
image ci-dessous). Quelles sont les propositions exactes
concernant cette situation ?
U

Question 3
• Quelles sont les propositions exactes concernant cette
situation ?
A. Toute lésion hémorroïdaire doit bénéficier d’un traitement.

B. Le diagnostic de cette lésion impose la réalisation d’une anuscopie.

C. Il s’agit d’un abcès hémorroïdaire.

D. Le traitement consiste en une incision ou excision.

E. Le Utraitement d’une constipation associée permet de limiter



l’installation d’une maladie hémorroïdaire.
Question 3
• Quelles sont les propositions exactes concernant cette
situation ?
A. Toute lésion hémorroïdaire doit bénéficier d’un traitement.
B. Le diagnostic de cette lésion impose la réalisation d’une anuscopie.
C. Il s’agit d’un abcès hémorroïdaire.
D. Le traitement consiste en une incision ou excision.
E. Le traitement d’une constipation associée permet de limiter
l’installation d’une maladie hémorroïdaire.
U

Item 288 : Pathologie hémorroïdaire Rang A : Connaître les modalités du diagnostic d’une
thrombose hémorroïdaire Rang A Photographies de thrombose hémorroïdaire Rang A Connaître les
grands principes de la prise en charge médicamenteuse et non médicamenteuse Rang A Connaître
le traitement de la thrombose hémorroïdaire externe Rang B Connaître le diagnostic différentiel de
la thrombose hémorroïdaire externe
Question 4
• Vous recevez aux urgences un patient de 38 sans antécédent
et sans traitement pour un ictère fébrile. Il n’y a pas
d’encéphalopathie hépatique. Le patient ne se plaint d’aucune
douleur abdominale. Il reconnait avoir des pratiques sexuelles
à risque. Le bilan hépatique retrouve des ASAT à 10N, des
U
ALAT à 30N, absence de cholestase, une bilirubine à 160

umol/L avec une bilirubine conjuguée à 145 umol/L. Le TP est
à 28%. Le facteur V est à 37%.
Question 4
• Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes?
A. Vous êtes face à une hépatite aigue cytolytique grave.

B. L’angiocholite est le diagnostic à évoquer en priorité.

C. L’échographie abdominale est à réaliser pour rechercher


notamment une thrombose vasculaire.

D. Un bilan sérologique à la recherche des hépatites A, B, C et E.


U

E. Une prise en charge en ambulatoire en insistant sur la contre-
indication d’utilisation de paracétamol pour faire diminuer la fièvre.
Question 4
• Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes?
A. Vous êtes face à une hépatite aigue cytolytique grave.

B. L’angiocholite est le diagnostic à évoquer en priorité.

C. L’échographie abdominale est à réaliser pour rechercher


notamment une thrombose vasculaire.

D. Un bilan sérologique à la recherche des hépatites A, B, C et E.


U

E. Une prise en charge en ambulatoire en insistant sur la contre-
indication d’utilisation de paracétamol pour faire diminuer la fièvre.
tem 167 Hépatites virales Rang A : Connaître la définition d’une hépatite Rang A Connaître les
principales causes d’élévation des transaminases en dehors de l’infection virale Rang A Connaître
les examens biologiques de première intention devant une hépatite aiguë Rang A Connaître les
signes de gravité d’une hépatite aiguë
CAT Hépatite aigue
L’hépatite aiguë devient sévère quand elle est associée à un TP < 50%

L’hépatite est grave quand apparaît en plus une encéphalopathie hépatique

1 Diagnostic → 2 Gravité (TP, neuro) → 3 Causes


Question 5
• Dans le cadre d’un bilan de cytolyse chez un patient
homosexuel vous recevez le bilan sérologique hépatite B
suivant: AgHbs +; IgM antiHbc -; IgG anti Hbc + ; Ac anti Hbs -.
• Quelles sont les propositions vraies ?
A. Le bilan sérologique est en faveur d’un diagnostic d’une hépatite B
aiguë.
B. Il faut compléter le bilan sérologique par une PCR VHB.
C. La transmission du virus de l’hépatite B peut être par voie materno-
foetale. U

D. La sérologie de l’hépatite D doit être réalisée.
E. Le patient devra être vacciné contre l’hépatite A et l’hépatite C.
Question 5
• Dans le cadre d’un bilan de cytolyse chez un patient
homosexuel vous recevez le bilan sérologique hépatite B
suivant: AgHbs +; IgM antiHbc -; IgG anti Hbc + ; Ac anti Hbs -.
• Quelles sont les propositions vraies ?
A. Le bilan sérologique est en faveur d’un diagnostic d’une hépatite B
aiguë.
B. Il faut compléter le bilan sérologique par une PCR VHB.
C. La transmission du virus de l’hépatite B peut être par voie
U
materno-foetale.


D. La sérologie de l’hépatite D doit être réalisée.
E. Le patient devra être vacciné contre l’hépatite A et l’hépatite C.

Item 167 Hépatites virales Rang A Connaître les examens biologiques de première intention devant
une hépatite aiguë
Item 167 Hépatites virales

U

Question 6
• Quelle est la prévalence mondiale estimée de la colopathie
fonctionnelle? Donnez le chiffre correspondant au
pourcentage de prévalence

U

Question 6
• Quelle est la prévalence mondiale estimée de la colopathie
fonctionnelle? Donnez le chiffre correspondant au
pourcentage de prévalence

4% (5% accepté)

U

Item 284 Colopathie fonctionnelle Rang B: Connaître la prévalence et le


Question 7
• Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) font
partie des critères de Rome ?
A. Début des symptômes il y a plus de 3 mois

B. Douleur au moins un jour par semaine

C. Douleurs en relation avec la défécation

D. Douleur
U associée à une modification de l’aspect des selles

E. Absence d’altération de l’état général
Question 7
• Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) font
partie des critères de Rome ?
A. Début des symptômes il y a plus de 3 mois

B. Douleur au moins un jour par semaine

C. Douleurs en relation avec la défécation

D. Douleur
U associée à une modification de l’aspect des selles

E. Absence d’altération de l’état général

Item 284 Colopathie fonctionnelle Rang A Connaître les critères diagnostiques des troubles
fonctionnels intestinaux
Question 8
• Parmi les propositions suivantes, quelles sont les 3
manifestations les plus fréquemment révélatrices de maladie
de Crohn ?
A. Diarrhée G. Rectorragies

B. Fièvre H. Douleurs articulaires

C. Masse palpable
U I. Uvéite


D. Douleurs abdominales J. Aphtes buccaux

E. Lésion anopérinéale K. Pyoderma gangrenosum

F. Amaigrissement L. Psoriasis
Question 8
• Parmi les propositions suivantes, quelles sont les 3
manifestations les plus fréquemment révélatrices de maladie
de Crohn ?
A. Diarrhée G. Rectorragies

B. Fièvre H. Douleurs articulaires

C. Masse palpable
U I. Uvéite


D. Douleurs abdominales J. Aphtes buccaux

E. Lésion anopérinéale K. Pyoderma gangrenosum

F. Amaigrissement L. Psoriasis
Item 282 Maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) chez l’adulte Rang A: Connaître les
situations cliniques révélatrices d’une maladie inflammatoire chroniques de l’intestin (MICI)
Question 9
• Parmi les éléments suivants, lesquels orientent vers un
diagnostic de rectocolite hémorragique en cas de colite ?
A. Aggravation des symptômes en cas de tabagisme actif

B. Lésions transmurales à l’analyse anatomopathologique

C. Lésions continues le long du cadre colique

D. Absence
U de granulome épithélïoide

E. Fistule anale associée
Question 9
• Parmi les éléments suivants, lesquels orientent vers un
diagnostic de rectocolite hémorragique en cas de colite ?
A. Aggravation des symptômes en cas de tabagisme actif

B. Lésions transmurales à l’analyse anatomopathologique

C. Lésions continues le long du cadre colique

D. Absence
U de granulome épithélïoide

E. Fistule anale associée

Item 282 Maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) chez l’adulte Rang A : Connaître la
définition de la maladie de Crohn et de la rectocolite hémorragique
Item 282 MICI
Question 10
• Quelles sont les 2 causes les plus fréquentes d’ascite en
France ?
A. Thrombose porte / syndrome de Budd Chiari

B. Insuffisance cardiaque droite / péricardite constrictive

C. Cirrhose

D. Syndrome
U néphrotique


E. Carcinose péritonéale

Item 280 Ascite Rang A Connaître les 2 causes les plus fréquentes en France
Question 10
• Quelles sont les 2 causes les plus fréquentes d’ascite en
France ?
A. Thrombose porte / syndrome de Budd Chiari

B. Insuffisance cardiaque droite / péricardite constrictive

C. Cirrhose

D. Syndrome
U néphrotique


E. Carcinose péritonéale

Item 280 Ascite Rang A Connaître les 2 causes les plus fréquentes en France
Question 11
• Quelles sont les étiologies d’ascite avec taux de protides
<25g/L ?
A. Syndrome de Budd Chiari

B. Insuffisance cardiaque droite

C. Cirrhose

D. Syndrome
U néphrotique


E. Carcinose péritonéale
Question 11
• Quelles sont les étiologies d’ascite avec taux de protides
<25g/L ?
A. Syndrome de Budd Chiari

B. Insuffisance cardiaque droite

C. Cirrhose

D. Syndrome
U néphrotique


E. Carcinose péritonéale

Item 280 Ascite Rang B Caractéristiques de liquide d’ascite


Item 280 Ascite
Question 12
• A propos des ulcères digestifs hauts :
A. Il s’agit d’une perte de substance de la paroi atteignant la sous-
muqueuse.

B. Leur incidence est en diminution.

C. La mortalité varie entre 2 et 10% pour les formes compliquées.

D. En cas d’ulcères multiples, résistants aux traitements, associés à


U

une diarrhée, il faut suspecter un syndrome de Zollinger-Ellison.

E.2/3 des ulcères gastro-duodénaux compliqués sont attribuables à la


prise d’AINS ou d’aspirine
Question 12
• A propos des ulcères digestifs hauts :
A. Il s’agit d’une perte de substance de la paroi atteignant la sous-
muqueuse.

B. Leur incidence est en diminution.

C. La mortalité varie entre 2 et 10% pour les formes compliquées.

D. En cas d’ulcères multiples, résistants aux traitements, associés à


U

une diarrhée, il faut suspecter un syndrome de Zollinger-Ellison.

E. 2/3 des ulcères gastro-duodénaux compliqués sont attribuables à la


prise d’AINS ou d’aspirine
Item 272 : Ulcère gastrique et duodénal. Gastrite Rang A Connaître les définitions d’un ulcère
gastrique ou duodénal Rang B Connaître la prévalence d’un ulcère gastrique ou duodénal
Question 13
• Parmi les propositions suivantes, la(les)quelle(s) est(sont)
correcte(s) ?
A. Une contracture peut être localisée ou généralisée

B. Une défense est définie par la présence d’une contraction


involontaire de la paroi abdominale, vincible

C. Une
U contracture correspond à une contraction permanente,

vincible, de l’ensemble de la paroi abdominale

D. Une défense est pathognomonique d’une péritonite

E. Une contracture est pathognomonique d’une péritonite


Question 13
• Parmi les propositions suivantes, la(les)quelle(s) est(sont)
correcte(s) ?
A. Une contracture peut être localisée ou généralisée

B. Une défense est définie par la présence d’une contraction


involontaire de la paroi abdominale, vincible

C. Une
U contracture correspond à une contraction permanente,

vincible, de l’ensemble de la paroi abdominale

D. Une défense est pathognomonique d’une péritonite

E. Une contracture est pathognomonique d’une péritonite


Item 357 Péritonite aiguë chez l’enfant et chez l’adulte Rang A Connaître les signes fonctionnels et
éléments du diagnostic clinique de péritonite
Question 14
• A propos de la maladie lithiasique biliaire
A. La cholécystite a pour origine l’occlusion de la voie biliaire
principale par un calcul

B. L’angiocholite est causée par l’obstruction du canal cholédoque

C. Une augmentation de la bilirubine est classique au cours de la


cholécystite
U

D. Une angiocholite est cliniquement souvent associée à une défense
en hypochondre droit

E. Le syndrome de Mirizzi correspond à la compression de la voie


biliaire principale par une vésicule volumineuse ou multi-lithiasique
Question 14
• A propos de la maladie lithiasique biliaire
A. La cholécystite a pour origine l’occlusion de la voie biliaire
principale par un calcul
B. L’angiocholite est causée par l’obstruction du canal cholédoque
C. Une augmentation de la bilirubine est classique au cours de la
cholécystite
D. Une angiocholite est cliniquement souvent associée à une défense
en hypochondre droit
E. LeUsyndrome de Mirizzi correspond à la compression de la voie

biliaire principale par une vésicule volumineuse ou multi-lithiasique

Item 277 Lithiase biliaire et complications Rang A Connaître la définition d’une lithiase biliaire et des
différentes complications
Item 277 Lithiase biliaire
Question 15
• A propos des cancers de l’estomac
A. Leur incidence est d’environ 6500 cas/an, en diminution.

B. Leur principal facteur de risque est l’infection à Helicobacter Pylori.

C. La gastrite auto-immune peut donner des adénocarcinomes


gastriques ainsi que des tumeurs neuroendocrines.

D. Les biopsies dans la linite gastrique sont peu sensibles, et


U

nécessitent souvent de réaliser des biopsies en puit.

E. Les IPP sont responsables de la formation de tumeurs bénignes


gastriques.
Question 15
• A propos des cancers de l’estomac
A. Leur incidence est d’environ 6500 cas/an, en diminution.
B. Leur principal facteur de risque est l’infection à Helicobacter
Pylori.
C. La gastrite auto-immune peut donner des adénocarcinomes
gastriques ainsi que des tumeurs neuroendocrines.
D. Les biopsies dans la linite gastrique sont peu sensibles, et
nécessitent souvent de réaliser des biopsies en puit.
E. Les UIPP sont responsables de la formation de tumeurs bénignes
gastriques.

Item 303 Tumeurs de l’estomac Rang A Epidémiologie analytique : connaître les facteurs de risque

Rang B Epidémiologie descriptive : connaître l’incidence et la prévalence Rang B Connaître les


indications des examens endoscopiques et paracliniques
L’ensemble des dossiers ont été relus
mais un panel d’universitaires mais
l’ensemble des éléments de correction
oraux n’engagent que les conférenciers.
MERCI POUR VOTRE
ATTENTION

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