UNIVERSITÉ D. devoir2.ENS - Pentose.phos

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UNIVERSITÉ D’ETAT D’HAITI

ECOLE NORMALE SUPERIEURE(ENS)

NOM : THOMAS
PRENOM : Robens
NIVEAU : L2, Chimie
SECTION : Sciences Naturelles/ Chimie
CHARGE DE COURS : Junior ANTOINE

SUJET :

- Beta oxydation
- Cycles des pentoses phosphates
- Glycogenese
- Glycogenolyse
- Neoglycogenese

Date butoir : le 29 /09/2023


LA BETA OXYDATION
La Béta-oxydation est un processus catabolique durant lequel les molécules d'acides gras sont rompues
dans le cytosol chez les procaryotes et dans la mitochondrie chez les eucaryotes pour produire de
l'acétyl-CoA, qui pourra entrer dans le cycle de Krebs ainsi que du NADH et FADH2, co-enzymes utilisés
dans la chaîne respiratoire.

L'un des buts du métabolisme des lipides (voir schéma) est de produire l'énergie par béta oxydation des
acides gras provenant de la lipolyse des lipides ou de la nourriture.

La béta oxydation des acides gras et sa régulation peuvent être résumées par le schéma suivant:
Le catabolisme des acides gras a été élucidé par des expériences de marquage d'éléménts. Ainsi Lynen a
découvert le mécanisme du catabolisme des acides gras dit 'béta oxydation' qui consiste à la scission
deux par deux atomes de carbone d'un acide gras en commençant par la partie carboxyle.

Le catabolisme des acides gras se déroule dans les mitochondries(contrairement à leur biosynthèse, se
déroulant dans le cytoplasme). Leur transport du cytoplasme s'effectue sous forme combinée (comme
ester de carnitine, par exemple).

1/ Activation des acides gras au niveau de la membrane mitochondriale externe

Après leur libération par lipolyse dans le cytoplasme, Le catabolisme des acides gras est réalisé dans les
mitochondries, sur leurs formes métaboliques actives, les acyl-coenzyme A. L'activation des acides gras
se déroule en deux phases; 1/ Formation des acyls CoA et 2/ Transfert des acyls CoA du cytoplasme vers
la matrice de la mitochondrie.

- Formation de l'Acyl-CoA: catalysée par une thiokinase, l'acyl-CoA synthétase au niveau de la membrane
mitochondriale externe.
R-COOH + ATP + HSCoA <----> R-CO-SCoA + AMP + PP (enzyme: thiokinase)

L'activation est effectuée dans la membrane mitochondriale externe. Leur dégradation (oxydation) se
déroule dans la matrice mitochondriale (voir schéma).

- Transfert de l'acyl CoA dans la mitochondrie

Les acyls CoA à chaîne courte pénétrent facilement dans la matrice mitochondriale. La membrane
mitochondriale interne est imperméable aux acyls Co à chaînes longues (12 C-18C). Les groupements
acyls traversent cette membrane sous forme d'acyl-carnitine.

2/ Béta oxydation des acides gras au niveau de la matrice mitochondriale

Dans la matrice, la scission d'un chaînon dicarboné à partir de l'extrémité carboxylique de l'acyl CoA est
réalisée en 4 étapes: 1/ Déshydrogénation des carbones alpha et béta (oxydation par FAD), 2/ Addition
d'une molécule d'eau (hydratation), 3/ Deuxième déshydrogénation (oxydation par NAD) et 4/ Thiolyse
(coupure par CoA). Cette dernière conduit à un acyl CoA à (n-2) carbones et libération d'un acétyl-CoA..

Remarque: les étapes 1, 2 et 3 sont très similaires à celles du cycle de Krebs allant du succinate à
l'oxaloacétate (Succinate -> Fumarate -> Malate -> Oxaloacétate).

Les acétyl-CoA produits par l'oxydation des acides gras entrent dans le cycle de Krebs. Les FADH2 et les
NADH produits sont oxydés par la chaîne mitochondriale de transport des électrons pour permettre la
production d'ATP.

3/ Hélice de Lynen

Chaque tour de spire de l'hélice conduit à la perte d'un acétyl-CoA et de 4 atomes d'hydrogène.

Bilan de la béta oxydation:le bilan de la béta oxydation de l'acide palmitique est:

Acide palmitique + ATP + 8 HSCoA + 7 FAD + 7 NAD+ 8 CH3CO-SCoA + AMP + 2 Pi + 7 FADH2 + 7



+ 8 H2O NADH, H+
Bilan énergétique pour l'acide palmitique:

Activation de l'acide gras: - 2ATP

- Réoxydation de 7 FADH2 par la chaîne respiratoire: 7x 2 = 14 ATP

- Réoxydation de 7 NADH, H+ par la chaîne respiratoire: 7x 3 = 21 ATP

- Oxydation de 8 CH3-CO-SCoA par la Cycle de Krebs: 8x 12 = 96 ATP*

Bilan énergétique: (14 + 21 + 96) - 2 = 129 ATP libérées par oxydation d'une molécule d'acide palmitique.

* L'oxydation d'une molécule d'acétyl-CoA par le cycle de Krebs donne 1 ATP + 3 NADH + 1 FADH2.
LA VOIE DES PENTOSES PHOSPHATES
La voie des pentoses phosphates (VPP) (voie du phosphogluconate) ou Shunt des hexoses mono
phosphate ( voie de FRANK DICKENS et BERNARD HORECKER) est une autre voie métabolique du glucose
dont le substrat est le glucose 6 phosphate (G6P). Contrairement à la glycolyse, cette voie ne produit ni
ATP ni NADH mais permet de générer du :

1.NADPH, H+ : nicotinamide dinucléotide phosphate : un cœnzyme indispensable aux réactions


réductrices de biosynthèse en particulier, lors de la synthèse des acides gras et des stéroïdes.

2.Ribose-5-phosphate précurseur de la synthèse des nucléotides, des acides nucléiques et de


coenzymes.

Il y a une différence très importante entre le NADPH et le NADH. Sur le plan chimique c'est un
groupement phosphate supplémentaire sur l'OH porté par le carbone 2 de l'adénosine.

Par contre le NADH est oxydé par la chaine respiratoire et a pour but de former de l'ATP, le NADPH lui va
servir de donneur d'électron pour un certain nombre de réactions de biosynthèse réductrices .

La VPP est ubiquitaire de localisation cytoplasmique. Elle se déroule au niveau de toutes les cellules
aboutissant à la formation du NADPH2 et des pentoses phosphates.

Elle est particulièrement active dans les globules rouges où elle est surtout utile pour la fabrication du
NADPH. Ce dernier permet la réduction du glutathion oxydé : un tri peptide ayant un rôle antioxydant .

Elle est également très active au niveau des tissus où la biosynthèse des lipides est importante à l’instar
des glandes mammaires au cours de la lactation, la corticosurrénale et le foie. En effet, dans ces tissus le
NADPH est indispensable pour la synthèse des acides gras , le cholestérol , les hormones stéroïdes et les
sels biliaires.

En revanche, elle est très faible dans le muscle: le glucose est réservé à la production d’énergie.

LES REACTIONS DE LA VOIES DES PENTOSES PHOSPHATE

La voies des pentoses phosphates se déroule en phases :

▪ Une phase oxydative irréversible

▪ Une phase non oxydative réversible


La Voie des pentoses phosphates

II. LES REACTIONS DE LA VPP (fig 1)

La VPP se déroule en phases :

▪ Une phase oxydative irréversible

▪ Une phase non oxydative réversible

figure1: Les réactions de la voie des pentoses phosphates

II.1 LA PHASE OXYDATIVE (fig 2)

Cette phase comporte trois réactions durant lesquelles, le G6P est transformé en ribulose 5-phosphate
avec production de deux NADPH et d'un CO2.

o Réaction 1: est une réaction de déshydrogénation du G6P catalysée par la glucose 6


phosphate déshydrogénase aboutissant à la formation du 6 phospho-gluconolactone avec
production de NADPH.
o Réaction 2: est une réaction d'hydrolyse catalysée par une 6 phosphogluconolactonase
aboutissant à la formation du 6-phosphogluconate.
o Réaction 3: est une réaction de décarboxylation et de déshydrogénation catalysée par 6-
phosphogluconate déshydrogénase aboutissant au ribulose 5-phosphate.

II.2LA PHASE NON OXYDATIVE

Comporte deux parties avec des réactions différentes (fig3) :

 Une partie non oxydative comportant des réactions réversibles d'interconversion des
pentoses phosphates : réactions d'isomérisation et d'épimérisation (réactions 4 et 5).
 Une partie non oxydative comportant des réactions de transcétolisation et de
transaldolisation (réactions 6, 7 et 8).
a) Réaction 4: Isomérisation (fig4)
Réaction réversible catalysée par une phosphopentose isomérase, la ribose-5-phosphate
isomérase transformant le ribulose 5-phosphate en ribose 5-phosphate.
b) Réaction 5 : Épimérisation (fig5)

Le segment non oxydatif se poursuit par une série de trois réactions de transcétolisation et
de transaldolisation conduisant au glycéraldéhyde 3-phosphate et au fructose-6-phosphate,
intermédiaires de la glycolyse (fig 3). La transcétolisation (réactions 6 et 8) correspond au
transfert d'un groupement à deuxcarbones grâce à l'interventions des transcétolases et la
transaldolisation (réaction 7), au transfert d'un groupement à trois carbones grâce à
l'interventions des transaldolases toujours d'un cétose sur un aldose.

c) Réaction 6 (fig 6)
Une transcétolase catalyse le transfert d’une unité dicarbonée du xylulose5-P sur le ribose5-P pour
former une molécule de glyceraldéhyde-3-P (GA3P) et une molécule de sédoheptulose-7-P (Su7P).

d) Réaction 7 (fig7)

Une transaldolase catalyse le transfert d’une unité à trois carbone du Su7P sur le GA3P pour former une
molécule de fructose-6-P (F6P) inter convertible en glucose-6-phosphate et une molécule d’ erythrose-4-
P.

e) Réaction 8 (fig8)

Une transcétolase catalyse le transfert d’une unité dicarbonée du xylulose5-P sur l'Erythrose 4-P pour
former une molécule de F6P inter convertible en G6P et une molécule de GA3P
III. LE BILAN DES INTERCONVERSIONS (fig9)

Interconversion de trois pentoses phosphates en deux fructose 6-phosphate et un glycéraldéhyde 3-


phosphate. Ceux-ci peuvent rejoindre la glycolyse et/ou la néoglucogenèse en fonction des besoins
cellulaires.
V.LA REGULATION

▪ Le G6P est à la fois le substrat de la voie des pentoses phosphates et de la glycolyse ; le choix relatif
entre ces deux voies dépend des exigences cellulaires ponctuelles en énergie métabolique (ATP) et en
précurseurs biosynthétiques (NADPH et ribose 5-phosphate).

▪ Alors que la glycolyse est ralentie lorsque la charge énergétique est élevée, la glucose 6-phosphate
déshydrogénase est inhibée par une concentration élevée de NADPH et par les intermédiaires de la
biosynthèse des acides gras.
LA GLYCOGENESE
La glycogenèse est le processus de synthèse du glycogène , dans lequel des molécules de glucose sont
ajoutées aux chaînes de glycogène pour le stockage. Ce processus est activé pendant les périodes de
repos suivant le cycle de Cori , dans le foie , et également activé par l' insuline en réponse à des niveaux
élevés de glucose .

L'une des principales formes de contrôle est la phosphorylation variée de la glycogène synthase et de la
glycogène phosphorylase. Ceci est régulé par des enzymes sous le contrôle de l'activité hormonale, elle-
même régulée par de nombreux facteurs. En tant que tel, il existe de nombreux effecteurs possibles par
rapport aux systèmes de régulation allostériques.

La glycogène phosphorylase est convertie de sa forme "b" moins active en une forme "a" active par
l'enzyme phosphorylase kinase. Cette dernière enzyme est elle-même activée par la protéine kinase A et
désactivée par la phosphoprotéine phosphatase-1.

La protéine kinase A elle-même est activée par l' hormone adrénaline. L'épinéphrine se lie à une
protéine réceptrice qui active l'adénylate cyclase. Cette dernière enzyme provoque la formation d' AMP
cyclique à partir d' ATP ; deux molécules d' AMP cyclique se lient à la sous-unité régulatrice de la
protéine kinase A, ce qui l'active permettant à la sous-unité catalytique de la protéine kinase A de se
dissocier de l'assemblage et de phosphoryler d'autres protéines.

Pour en revenir à la glycogène phosphorylase, la forme "b" moins active peut elle-même être activée
sans le changement de conformation. Le 5'AMP agit comme un activateur allostérique, tandis que l'ATP
est un inhibiteur, comme on l'a déjà vu avec le contrôle de la phosphofructokinase , aidant à modifier le
taux de flux en réponse à la demande d'énergie.

L'épinéphrine active non seulement la glycogène phosphorylase, mais inhibe également la glycogène
synthase. Cela amplifie l'effet d'activation de la glycogène phosphorylase. Cette inhibition est obtenue
par un mécanisme similaire, car la protéine kinase A agit pour phosphoryler l'enzyme, ce qui réduit son
activité. C'est ce qu'on appelle le contrôle réciproque coordonné. Se référer à la glycolyse pour plus
d'informations sur la régulation de la glycogénèse.

La glycogenèse
LA GLYCOGENOLYSE
La glycogénolyse est une phase catabolique qui consiste à produire du glucose à partir du glycogène
lorsque l’organisme est en besoin énergétique ou en besoin de glucose.

• L’enzyme clé de cette voie est, le produit final est le glucose6P dans le muscle ou le glucose dans le
foie

Coupure des liaison α1,4


La glycogène phosphorylase catalyse la dégradation du glycogène à partirde l’extrémité non réductrice
(scission de la liaison α-1,4)

La glycogène phosphorylase s’arrête de cliver les liaisons a-1,4 lorsqu’elle atteint un résidu terminal
situé à 4 résidus de la ramification.

• La structure résiduelle est appelée dextrine limite, résistant à l’action plus poussée de la
phosphorylase

Coupure des liaisons a 1-6 débranchement


• L’action fait intervenir l’enzyme débranchant qui a deux fonctions:

1. Transférase : dès qu’une chaine branchée est suffisamment raccourcie elle transfert les 3
résidus glycosyls restants sur la chaine principale
2. Amylo α1-6 glucosidase: détache le résidu restant du point de branchement.
Isomérisation du glucose1P

Hydrolyse du glucose6P
La liaison ester phosphate du G6P est hydrolysée par la G6-phosphatase.
(n’existe pratiquement que dans les cellules hépatiques).
Le glucose libre formé peut alors sortir de l’hépatocyte et passer dans le sang.
BILAN DE LA GLYCOGENOLYSE
LA NEOGLUCOGENESE

DEFINITION
C’est la formation de sucres nouveaux (surtout glucides) à partir de molécules non glucidiques
(90% dans le foie). Toujours active. Lactate musculaire est le principal précurseur de la
néoglucogénèse.
INTERET

Glucose est une source d’énergie indispensables aux tissus glucodépendants (neurones,GR, …)
et comme précurseurs de certaines molécules biologiques.
BESOINS EN GLUCOSE
Couverts par 3 voies : alimentation, glycogénolyse hépatique, et la néoglucogénèse.
LES REACTIONS ENZYMATIQUES DE LA NEOGLUCOGENESE
Elle utilise le sens inverse des réactions de la glycolyse (du pyruvate au glucose), sauf pour les 3
Réactions irréversibles
Réaction 1 : glucokinase (réaction 1 de la glycolyse)
Réaction 2 :Phosphofructokinase (réaction 3 de la glycolyse)
Réaction 3 : pyruvate kinase (réaction 10 de la glycolyse) donc il faut contourner ces voies
3 portes d’entrée pour la néoglucogénèse :
- pyruvate (alanine, lactate , AA glucoformateurs)
- phosphoénolpyruvate (AA glucoformateurs)
- DHAP : (glycérol)
LES DEVIATIONS DE LA NEOGLUCOGENESE
1. DE PYRUVATE A PHOSPHOENOL PYRUVATE
 Carboxylation du pyruvate (C3) en Oxalo�acétate = AOA (C4).Consommation d’1 ATP.

Enzyme : Pyruvate carboxylase

 Réduction AOA en malate

Enzyme : Malate deshydrogénase mitochondriale

 Réoxydation du malate en Oxalo-acétate (après sortie de la mitochondrie)

Enzyme : Malate deshydrogénase cytosolique

 Décarboxylation phosphorylante de l’AOA en Phosphoénol pyruvate (PEP). Grace à GTP

Enzyme : PEP Carboxykinase

2. DE FRUCTOSE 1,6 BP à FRUCTOSE 6 P : Seule l’enzyme change

DE GLUCOSE-6-P à GLUCOSE : même chose, seule le nom de l’enzyme change


BILAN ENERGETIQUE

pyruvate au PEP : 2 ATP Consommées soit 3 ATP Consommées


De 3 phosphoglycérate à 1,3 Biphosphoglycérate : 1 ATP consommé
soit 3 ATP Consommées pour 1 pyruvate

Comme il faut 2 pyruvate pour former 1 Glucose donc : (2 x 3 ATP) = 6 ATP consommés.
Comme la glycolyse produit 2 ATP donc le bilan global de la néoglucogénèse est de 4 ATP Consommées.

NEOGLUCOGENESE A PARTIR DU LACTATE MUSCULAIRE


Le lactate musculaire rejoint le foie et le glucose formé rejoindra le muscle plus tard = cycle de CORI.

NEOGLUCOGENESE A PARTIR DU PYRUVATE ET LACTATE GLOBULAIRE

Possible un peu grâce à pyruvate→ lactate mais surtout méthhémoglobine (Fe3+)→ hemoglobine (Fe2+)

1 : Lactate deshydrogénase 2 : Méthémoglobine reductase

NEOGLUCOGENESE A PARTIR D’ALANINE MUSCULAIRE

Surtout lors de régime hypoprotéique ou de diabète sucré, transamination de l’Alanine en pyruvate (enz
: ALanine amino Transférase = ALAT) ; l’alanine rejoint le foie ou elle est converti en pyruvate (cycle de
FELIG)

NEOGLUCOGENESE A PARTIR DE GLYCEROL

Le glycérol provient de l’hydrolyse des triglycérides (TG). Dans le foie et le rein, la glycérol kinase le
transforme en glycérol-3-Phosphate puis ensuite en DHAP et rejoindre enfin la néoglucogénèse.

A PARTIR DES AA GLUCOFORMATEURS


La dégradation des protéines libère des acides aminés (AA). Ces derniers donnent de nombreux
intermédiaires du cycle de KREBS (Succinyl CoA, α cétoglutarate, fumarate, ….). SAUF LA LEUCINE

REGULATION DE LA NEOGLUCOGENESE But : maintenir le taux de glucose pour cerveau et GR

1er SITE : 1- Pyruvate Acétyl CoA (pyruvate deshydroogénase) vers le cycle de KREBS

2- Pyruvate Oxalo Acétate (pyruvate carboxylase) vers la NEOGLYCOGENESE

2ème SITE : F 1,6 BP F-6-P (Fructose 1,6 Biphosphatase)

L’activité de la pyruvate déshydrogénase est inhibée par : Acétyl CoA, NADH + H+, ATP

La pyruvate carboxylase est activée par l’Acétyl CoA (activateur allostérique)

La Fructose 1,6 biphosphatase est activée par le citrate et l’ATP (donc il faut stocker du glucose) et est
inhibée par le taux de Fructose 2,6 phosphate

La PFK1 réagit exactement de manière inverse

BIBLIOGRAPHIE :

https://www.takween.com/metabolisme/acides-gras-beta-oxydation.html#google_vignette

https://www.youtube.com/watch?v=WX8sLclDyvw

https://www.clinisciences.com/lire/beta-oxydation-1145.html

https://facmed-univ-oran.dz/ressources/fichiers_produits/fichier_produit_2052.pdf

https://hmn.wiki/fr/Glycogenesis#google_vignette

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