LÉGISTIQUE

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Sujet 1 (forte probabilité)

1) Il existe deux types de lois

FAUX P12
 Il existe 3 types de lois, ce sont les lois constitutionnelles, les
lois organiques et les lois ordinaires

2) La loi est accompagnée d’un rapport de présentation

FAUX P14
 Accompagnée de l’exposé des motifs, il a pour objectif de
faire apparaitre les raison pour lesquelles la loi est élaborée
ainsi que ses innovations. le rapport de présentation
accompagne quant à lui le décret pour les mêmes raisons

3) En cas de désaccord entre les deux chambres, la loi est


définitivement adoptée par le Sénat

FAUX P19
 Faut en cas de désaccord entre les deux chambre la loi est
définitivement adopté par l’assemblée nationale

4) Lorsqu’une n’ordonnance n’est pas ratifiée par le parlement, elle


demeure applicable

FAUX P21
 Si le parlement rejette ou ne ratifie une ordonnance, elle
devient caduque

5) En Côte d’Ivoire, seul le Président de la république signe les


décrets
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FAUX P22

 Exceptionnellement le président de la république donne


pouvoir au premier ministre pour signer les décrets portant
intérim des ministres

6) Les lois comportent toujours des visas

FAUX P 27
 Le parlement tenant ces pouvoirs du peuple souverain, les lois
ne comportent jamais de visas

7) Dans les visas, à l’intérieur de chaque catégorie de texte, l’ordre


chronologique suivis commence par les plus nouveaux

FAUX P28
A l’intérieure de chaque catégorie de texte l’ordre chronologique
est généralement suivis en commençant par les textes les plus
anciens

8) Après l’adoption en conseil des ministres, le projet de loi est


d’abord déposé sur le bureau de l’Assembler National et ensuite
sur le bureau du Sénat

FAUX P17
 Le projet est déposé à la fois sur les deux bureaux

9) La publication est l’acte par lequel le chef de l’Etat atteste de


l’existence de loi et donne l’ordre aux autorités publiques
d’observer et de faire observer cette loi

FAUX P39

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 La publication est l’acte par lequel le texte normatif est porté
à la connaissance du public et de l’administration par le
Journal Officiel

Lorsque le chef de l’Etat atteste de l’existence de la loi et


donne l’ordre aux autorités publiques d’observer de faire
observer cette loi il s’agit d’une promulgation

10) Il revient au ministre de la justice de délivrer aux


intéressés, une copie certifiée conforme à l’original des actes
signés par le Président de la République

FAUX P40
 C’est au secrétaire général de délirer aux intéressés une copie
certifiée conforme à l’original des actes signés par le Président
de la République

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SUJET 2
1) Décrivez succinctement les différents modèles légistiques P4,5,6

 Il existe trois modèles légistique


- La greffe : elle consiste à rependre la lettre et le contenu d’une
norme ou seulement la philosophie qui sous-tend d’une norme
appartenant à un autre système juridique

- La création sui generis : c’est une création à partir de soi


même sans intervention d’autres systèmes. Elle se fait soit en
créant une règle devance les comportements sociaux soit en
créant une règle qui est le reflet des comportements sociaux,

- Le syncrétisme juridique : cela consiste en un piochage


juridique, une inspiration sélective des autres systèmes
juridique

2) Que se passe-t-il dans l’hypothèse du non adoption d’un texte


identique par les deux chambres du parlement ? P20

 Lorsque par suite d’un désaccord, un projet de loi le président de


la république peut provoquer une commission mixte paritaire,
chargé de proposer un texte sur la disposition rester en
discussion.

Si la commission ne parvient pas à l’adoption d’un texte commun ou


si le désaccord persiste entre les deux chambres pour l’adoption du
texte le président de la République demande à l’assemblée
nationale de statuer sur le texte

3) Expliquez succinctement les dispositions transitoires dans un texte


juridique P 36
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 Les dispositions transitoires traites des situations en cours non
encore dénouées au moment de la réforme législative ou
réglementaire

SUJET 3
1) Existe trois types de normes juridiques : loi, décret, arrêté

FAUX

 Il existe une variété de normes juridiques


Nous avons : la Constitution, les conventions internationales, les
lois, l’ordonnance, les décrets, les arrêtés etc.…

2) La légistique formelle met l’accent sur le contenu de la loi ou du


texte à savoir quel comportement doit être érigé en norme et quel
autre doit être interdit

FAUX P2

 La légistique formelle privilégie la procédure d’élaboration des


textes et leur formes d’expression, c’est la légistique matériel qui
elle met l’a met l’accent sur le contenu de la loi ou du texte à
savoir quel comportement doit être érigé en norme et quel autre
doit être interdit.

3) Le décret portant attribution des membres du gouvernement fixe le


domaine de la loi et le domaine règlementaire

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FAUX : P03, ART 101

 Le domaine de la loi et le domaine règlementaire, sont fixé par les


articles 101 et 103 de la Constitution

4) A travers la greffe intelligible, le légiste reprend aussi bien le


contenu et la lettre de la norme appartenant à un autre système
juridique

FAUX : P5

 La greffe intelligible consiste en la reprise de la norme d’un autre


système mais cette fois ci non pas, dans son intégralité ou de sa
lettre mais, à travers la philosophie qui la sous-tend. C’est plutôt
dans la greffe brutale que le légiste reprend aussi bien le contenu
et la lettre de la norme appartenant à un autre système juridique

5) L’évaluation prospective est un jugement à posteriori de la norme

FAUX P10
 L’évaluation prospective est une évaluation qui s’effectue avant
l’existence de la norme, on dit qu’elle est antérieure à la norme
alors que l’évaluation rétrospective interviens après l’existence de
la norme on dit qu’elle est un jugement postérieur à la norme

6) Les lois constitutionnelles précisent ou complètent les dispositions


relatives à l’organisation ou au fonctionnement des Institutions,
structures et systèmes prévus ou qualifiés comme tels par la
Constitution

FAUX P12, ART 102


 Les lois constitutionnelles servent à modifié la constitution, ce
sont les lois organiques qui sont utilisée pour préciser ou
compléter les dispositions relatives à l’organisation ou au
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fonctionnement des Institutions, structures et systèmes prévus ou
qualifiés comme tels par la Constitution.

7) Les membres du gouvernement n’ont pas accès aux réunions des


commissions du parlement

FAUX P17, ART 116


 Les membres du gouvernement ont accès aux commissions du
parlement. ils sont entendus à la demande des commissions. Ils
peuvent se faire assister par des commissaires du gouvernement

8) Les lois comportent des visas

FAUX P27
 Le parlement tenant ces pouvoirs du peuple souverain, les lois ne
comportent jamais de visas

9) Les visas ont porté juridique propre

FAUX P28
 Les visas n’ont pas de portée juridique propre par conséquent
l’omission d’un visas ou l’erreur dans les visas est sans influence
sur la légalité de l’acte

10) La publication est l’acte par lequel le chef de l’Etat atteste de


l’existence de la loi et donne l’ordre aux autorités publiques
d’observer de faire observer cette loi

FAUX P39
La publication est l’acte par lequel le texte normatif est porté à la
connaissance du public et de l’administration par le Journal Officiel
Lorsque le chef de l’Etat atteste de l’existence de la loi et donne
l’ordre aux autorités publiques d’observer de faire observer cette loi il
s’agit d’une promulgation
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SUJET 4

EXERCICE 1 : comment apprécier les effets réels de la loi


existante en vue de mieux envisager l’élaboration d’un projet de
loi P11

Pour apprécier les effets d’une loi au moins 4 critères sont utilisés :

- L’effectivité : Une norme est effective lorsque le modèle de


comportement quelle définis est observable dans la réalité et lui
est imputable

- L’efficacité : l’efficacité mesure le succès de la loi conçus comme


un instrument de résolution de problème

- L’efficiencité :le critère tiré de la notion d’éfficiencité fait


intervenir la notion de coût et de ressources nécessaires à la
réalisation des objectifs fixés

- L’impact : c’est le critère le globale qui comprend l’ensemble des


effets d’une loi

EXERCICE 2 : En quoi l’étude d’impact contribue-t-elle à


l’amélioration de la qualité de la loi P9-10

 Elle permet au légiste de d’accéder aux réalités sociales. C’est


donc un moyen de réconciliation du droit et de son espace
d’accueil.

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 Elle permet de savoir à quel niveau la situation de l’administré
sera impacté par la nouvelle réforme.

 Enfin l’étude d’impact met le légiste devant ses


responsabilités, le légiste doit-il conseillé ou non une étude
d’impact ?

EXERCICE 3 : L’évaluation des effets d’une loi P9 à 11

I- La détermination des effets

Bénéfiques ou pervers : ils renvoient aux objectifs poursuivis par la


régulation et de manière générale à l’intérêt public
Direct ou indirect : Le respect par les personnes auxquelles s’adresse
la régulation du comportement prescrit par ladite norme est un
effet direct, alors que effet de ce comportement, alors que l’effet de
ce comportement conforme par rapport aux objectifs est un effet
indirect

Immédiat ou différé : cette distinction fait intervenir une dimension


temporelle l’évaluation doit prendre en compte le caractère
dynamique par des rapports entre la loi et la réalité sociale

Symbolique ou concrets : symbolique lorsqu’une loi agit sur les


représentants des particuliers alors que les effets sont concrets
quand la loi modifie le comportement des destinataires.

D’anticipation ou de rétroaction : anticipation quand la simple


annonce de la loi incite les destinataires au changement de
comportement, rétroaction lorsque la loi fait disparaître une
situation préexistante

II- L’appréciation des effets


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Pour apprécier les effets d’une loi au moins 4 critères sont utilisés :

- L’effectivité : Une norme est effective lorsque le modèle de


comportement quelle définis est observable dans la réalité et lui
est imputable

- L’efficacité : l’efficacité mesure le succès de la loi conçus comme


un instrument de résolution de problème

- L’efficience : le critère tiré de la notion d’efficience fait intervenir


la notion de coût et de ressources nécessaires à la réalisation des
objectifs fixés

- L’impact : C’est le critère le globale qui comprend l’ensemble des


effets d’une loi

SUJET 5

1) QUAND DIT-ON QU’UNE NORME EST EFFECTIVE EFFICIENTE ET


EFFICACE ?

Une norme est effective lorsque le modèle de comportement quelle définis


est observable dans la réalité et lui est imputable

Une norme est efficace lorsqu’elle a résolu le problème pour lequel elle a été
conçue
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Une norme est efficiente lorsqu’elle atteint le résultat visé pour lequel elle a
été conçu à moindre coût et en mobilisant le moins de ressources

2) QU’EST-CE QUI DISTINGUE L’EVALUATION PROSPECTIVE DE L’EVALUATION


RETROPROSPECTIVE

Deux différences peuvent être soulevées. D’une part le moment où se situe


l’évaluation par rapport à la norme (I) et d’autre part le contenu de
l’évaluation (II)

I. Au niveau du moment d’évaluation

L’évaluation prospective est une analyse qui précède de la norme


c'est-à-dire, qu’elle est effectuée avant que soit établit la norme

Quant à l’évaluation rétrospective c’est un jugement qui est


postérieur à la norme, autrement dit qui intervient une norme
existante.

II. Au niveau du contenu de l’évaluation

L’évaluation prospective consiste en une étude d’impact qui peut


être faite soit par cahier de charge soit sous la forme de rapports de
mission

L’évaluation rétrospective elle, consiste en deux types de


questionnement. L’un pour déterminer les effets de la norme
l’autre afin d’apprécier les effets de la norme

NB : Les questions 3 et 4 à savoir


3) qu’est-ce que l’esquisse de projet et son importance dans
l’évaluation d’une norme et 4) donnez le contenu dans l’étude de
faisabilité dans l’évaluation d’une loi

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Sont deux questions tirés du cour de M. N’dri Marius mais il s’avère
que celui-ci n’est plus notre prof. Le nôtre prof cette année c’est
plutôt monsieur Omar KONE or dans lui son cour les réponses n’y
figurent pas
Donc en conséquence je ne pourrais pas y répondre. (Je pense
même qu’elles ne tomberont pas)

5) L’analyse des effets d’une loi et l’appréciation qui en découle

I- L’analyse des effets

Bénéfiques ou pervers : ils renvoient aux objectifs poursuivis par la


régulation et de manière générale à l’intérêt public
Direct ou indirect : Le respect par les personnes auxquelles s’adresse
la régulation du comportement prescrit par ladite norme est un
effet direct, alors que effet de ce comportement, alors que l’effet de
ce comportement conforme par rapport aux objectifs est un effet
indirect

Immédiat ou différé : cette distinction fait intervenir une dimension


temporelle l’évaluation doit prendre en compte le caractère
dynamique par des rapports entre la loi et la réalité sociale

Symbolique ou concrets : symbolique lorsqu’une loi agit sur les


représentants des particuliers alors que les effets sont concrets
quand la loi modifie le comportement des destinataires.

D’anticipation ou de rétroaction : anticipation quand la simple


annonce de la loi incite les destinataires au changement de
comportement, rétroaction lorsque la loi fait disparaître une
situation préexistante

II- L’appréciation des effets

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Pour apprécier les effets d’une loi au moins 4 critères sont utilisés :

- L’effectivité : Une norme est effective lorsque le modèle de


comportement quelle définis est observable dans la réalité et lui
est imputable

- L’efficacité : l’efficacité mesure le succès de la loi conçus comme


un instrument de résolution de problème

- L’efficience : le critère tiré de la notion d’efficience fait intervenir


la notion de coût et de ressources nécessaires à la réalisation des
objectifs fixés

- L’impact : c’est le critère le globale qui comprend l’ensemble des


effets d’une loi

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