Seance 1: Definition de L'Organisation
Seance 1: Definition de L'Organisation
Seance 1: Definition de L'Organisation
L’action collective : on se fixe un objectif, on va mettre en place les moyens mais chaque individu va
avoir une façon de voir les choses ce qui vas créer des conflits.
Contingences : on ne peut pas admettre qu’il y a une seule façon de faire les choses (the one best
way) Taylor => la division du travail
Verticalement : hiérarchique
Horizontalement : spécialisation (pour acquérir l’effet d’expérience)
On ne considère plus l’Homme comme un individu, c’est une machine. La seule motivation pour eux
et le salaire
L’organisation comme processus (Lorino,2013) l’entreprise est forcément une organisation mais
l’inverse est faux. Etat ont une structure mit en place
Les fondements de la gestion trouvent leurs fondements dans les théories néoclassique. L’Humain
est de nature opportuniste.
Les leaders ship considère leurs pouvoirs comme science politique ce qui créer des conflits au sein
d’une organisation.
Quelques soit la forme d’une organisation, le principal est qu’il faut la définir. Attention portée au cas
de l’Entreprise, système social à vocation économique
Entité légal personnes physiques aux morales, qui jouissant d’une autonomie de décision, produit
des biens et services marchands.
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Le fait que l’individu soit en interaction avec d’autres individu (partie prenante). Toute les formes
d’organisation sont dépendantes.
Depuis les travaux des économistes, on oppose toujours le marché à l’organisation (car différents) en
termes de mécanisme de coordination. Dans un marché de libre échange il y a des acteurs
(acheteurs, vendeurs etc..) il y a des transactions qui sont conclus, ce qui vas coordonner l’activité sur
le marché est le prix en assurant un certain équilibre => ce qui vas déterminer le prix d’équilibre, qui
se détermine par les deux courbes de l’offre et la demande.
L’activité sur un marché libre et concurrentiel et coordonner par le mécanisme prix (coordination par
les prix). Economie libéral, ce sont les acteurs qui vont régulés eux même leurs prix, sans intervention
de l’état. Le marché va s’auto réguler => Adam SMITH « la main invisible » 1776
C’est grâce aux courbes de l’offre et la demande qu’on vas déterminer le prix d’équilibre.
Ce qui vas coordonner l’activité économique (la structurer, l’organiser, lui donner une forme, la
formaliser) est la hiérarchie (elle est importante dans le management). La main invisible
(autorégulation du marché) est mise en opposition par Alfred CHANDLER 1972 « la main visible » ou
il faut qu’il y ait une intervention humaine selon lui pour réguler l’activité économique.
Elle oppose « la main invisible » d’A. SMITH car il a constaté les limites de la voie marchande
1- cout de transaction sont les couts additionnels au prix d’achat, tout ce que je fais en amont
est considérée comme des couts de transaction. Le fait d’injecter une firme (organisation)
dans une économie donnée vas permettre de réduire les couts de transaction
2- Dans une éco libérale, vas poser un problème dans la tragédie des biens communs, cela veut
dire que l’accès à un bien public vas poser un problème en termes de management (ex : la
forêt amazonienne). La main visible de l’Etat va permettre de mieux gérer les biens
communs.
En revanche il y a aussi des limites qui sont associés à la voie hiérarchique, organisation du travail dit
contrôle, pour pousser un salarié à augmenter sa productivité on va lui octroyer des primes
mécanismes d’incitation, en revanche il y a un mécanisme de contrôle afin de contrôler
quotidiennement les salariés dans leurs taches. Dans les deux cas pour l’entreprise il y a des couts =>
cout d’organisation de l’activité.
Voie Hybride !
MARCHE HIERARCHIE
Networks « réseaux »
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IL Y A TROIS MODES D’ORGANISATION
MARCHE ORGANISATION
Condition par les « prix » Réseaux
Coordination par la
alliances
Adam SMITH 1776 « la main « hiérarchie »
visible » W. POWELL
Alfred CHANDLER 1972 « la
1985 main visible des managers »
-couts de transaction
Organisation et management :
Distinction traditionnelle :
Les agents sont à la recherche du pouvoir, les différents constituants d’une organisation > il faut qu’il
y ait des acteurs de l’organisation, règles de coordination, objectifs, coopération
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Comment partager les tâches et l’autorité ?
Où situé l’autorité ?
-principe de multiplicité des commandement (selon Taylor) > afin de respecter les règles du travail,
on va placer un responsable > chef hiérarchique
Le principe de MC a été remplacer par unicité de commandement (Fayol) > il entend par unité de
commandement que le salarié va dépendre d’un seul chef hiérarchique afin d’éviter les conflits.
Autorité de la spécialité :
Autorité des salariés, car on est des spécialistes dans la fonction > donc les salariés sont menés à
prendre des décisions (le PDG à de l’autorité sur les salariés mais le salarié peut aussi avoir de
l’autorité sur le PDG pour sa prise de décision)
Autorité partagée :
On va prendre une décision mais oublier la place hiérarchique de chacun, c’est avoir un chef
hiérarchique et en même temps la prise de décision est partagée > sur un pied d’égalité seul les
bonnes idées sont prises en compte.
Pq décentraliser ?
Pq centraliser ?
Verticale : un supérieur hiérarchique lègue son pouvoir à un salarié moins hiérarchique que lui ( ex :
N => N-1 => N-2 etc…)
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Les 6 mécanismes de coordinations (dans une structure organisationnelle) :
La supervision directe : est un mécanisme de coordination dans une structure simple (ex :restaurant)
ou le pouvoir est centralisé sur le patron, il prend toutes les décisions lui-même il n’y a pas de
hiérarchie du rôle et des tâches c’est pourquoi on appelle une structure. > structure de mécanisme
simple
L’ajustement mutuel : les décisions sont partagées => structure adhocratique elle suppose que la
décision est prise par l’ensemble de l’organisation toute ces personnes vont débattre sur la décision à
prendre (décision doit être innovée).
La standardisation du travail : la priorité est donnée à la spécialité on doit diviser les salariés selon
leur spécialité (division du L), les résultats : chaque division va prendre des décisions qui leurs
concerne.
différencier et intégrer ? :
pourquoi différencier ? pour partager les tâches, mieux organiser le travail, pour mieux répondre à la
complexité de l’environnement
l’environnement est très complexe donc l’entreprise va étudier l’environnement pour mieux cerner
le besoin des clients donc pour mieux comprendre les attentes de l’environnement
-la différenciation : moins de contrôle de l’activité et on va créer une sorte de cloison, l’absence de
coordination. La coordination va permettre d’enterrer cette cloison
Lorsque les choix ne sont pas coordonnés il y a une redondance des tâches.
Jusqu’où formaliser ?
-Pour décrire avec plus ou moins de précision la structure, les fonctions, les liaisons entre unités et
parfois les tâches de chacun et les responsabilités
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LES PROBLEMATIQUES ORGANISATIONNELLES :
JEUX
COORDINATION
DIVISION
REGLES
DELEGATION Comment gérer les résistances
A quel moment face aux changements
déléguer certaines
décisions ?
Ex : actionnaire (propriétaire de l’entreprise) son but est d’augmenter ses dividendes et de baisser le
salaire des salariés tandis que les managers leurs but sont d’augmenter les salaires ils ont donc un
intérêt divergent.
les objets doivent être clairement défini et le rôle de chacun doit lui aussi être clairement défini.
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L’organisation vu comme un système politique :
Le pv est-il centralisé/décentralisé ?
La structure d’une organisation peut-être défini simplement comme « la somme totale des moyens
employés pour diviser le travail en tâche distinctes et pour ensuite assurer la coordination.
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SEANCE 2 : L’APPROCHE CLASSIQUE DES ORGANISATIONS UNE VISION
MECANISTE ET SCIENTIFIQUE
Approche rationnelle
Produire efficacement
Approche sociale
A.Smith en 1776 publie son livre « la richesse des nations » ou il parle de l’accumulation du capital et
de la main invisible.
Pour lui l’accumulation du K est un ^processus dans lequel l’entreprise doit mettre en place une
meilleure division du L pour une meilleure productivité, pour ensuite accroître la richesse.
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La main invisible = auto-régulation du marché
Chaque individu abouti à son intérêt personnel qui ensuite créée une richesse collective.
Division du Travail :
Il y a deux sortes de divisions :
1- division horizontal: specialisation des taches, « the right men at the right place”
2- division verticale : (approche rationnelle complètement sociale) « the best way » définir des
responsabilités
c’est un management autoritaire
Taylor premier théoricien des organisations dit que le principe de base de l’école classique est
d’organiser le travail pour produire efficacement. Dans une approche purement rationnelle ce qui vas
conduire à de meilleures performances.
La dimension Humaine : pour eux il n’y a pas que le salaire comme motivation au travail. Quand on
nous traite de la meilleure façon au travail on ce sentiment d’appartenance à l’entreprise. C’est une
façon de fidéliser les salariés aux travails.
La manière dont le travail est organisé dans ces deux écoles est limiter à l’environnement externe.
L’Ecole de la contingence certes introduit l’ouverture à l’environnement mais fonde cette pensée
Tayloriste, en voulant organiser aux mieux le travail afin de produire efficacement sans forcément
prendre en compte les sentiments des salariés.
Quelque soit le contexte il faut diviser le travail pour une meilleure organisation.
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Différent du modèle de la contingence
-Taylorien : les dirigeant et les managers + salariés, n’ont aucuns intérêts convergents ce qui mène à
des conflits.
-il existe un modèle idéal d’organisation dont l’efficacité repose sur une division (parcellisation) des
tâches. Il s’est inspiré d’A. SMITH pour la division du travail
Contexte :
Approche empirique où par observation des industriels, ingénieurs vont analyser de manière
normative l’organisation
Manière normative = prédire, ils peuvent prévoir les performances des salariés > une approche par
prédictions
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Les principes fondamentaux de l’OST :
- Optimisation de la manière de travailler
- Analyse scientifique seule peut permettre de trouver cette meilleure façon de faire
- Principe d’analyse des taches
- Analyse scientifique des mouvements et temps
- Définition du travail en activités physiques et économie de mouvements
1- Division verticale
3- Rémunération
= la conception éco de la motivation au L -> Taylor l’appelle « salaire au rendement » (être
payé à hauteur de notre production)
4- Contrôle du L
Taylor préconise les contres maitres pour contrôler tout
Le fordisme : méthode industrielle alliant un mode de production en série fondé sur le principe
de ligne d’assemblage et un modèle économique ayant recours à des salaires élevés.
Développement de la dimension mécaniste des méthodes de travail, pour lesquelles le salarié est
le simple prolongement de la machine
Il énonce les principes administratifs sur lesquels doit reposer toute gestion efficace des
organisations.
1- Production, technique
2- Commerciale
3- Financière
4- Sécurité
5- Comptable (inventaire, bilan)
5 fonctions classiques dans l’entreprise
En plus de ces fonctions, Fayol on a rajouter une 6ème fonction
6- Fonction administrative
1- Prévoir
2- Organiser
3- Commander
4- Coordonner
5- Contrôler
Ce qu’il entend par prévoir, ce qui veut dire anticiper l’avenir de l’entreprise et proposer un plan
d’action (un programme) , organiser.
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Organiser = organiser le double organisme social et matériel, on va expliquer nos ressources
Humaines et matériel pour une meilleure allocation des ressources.
Coordination = relier et unir voir harmoniser toutes les tâches entre elles
14 principes énoncés :
- Unité de commandement : (Un seul chef hiérarchique pour chaque employée) en réponse à
la limite taylorien
- Centralisation de l’autorité : diminuer l’importance du rôle des salariés dans la prise
décision. On ne lui laisse pas prendre de décision -> réduire l’impact des salariés dans la prise
de décision.
- Division du L : rejoint l’idée de Taylor, favoriser la spécialisation du L.
- Autorité : salarié doit exécuter se qu’on lui demande
- Discipline : différents signes de respect qui sont réaliser conformément aux conventions de
l’entreprise
- Unité de direction : désigner un directeur même objectif découlant d’un plan unique
- Subordination d’intérêt individuel à l’intérêt général : l’intérêt général à l’entreprise est la
priorité avant les intérêts des salariés
- Rémunération : efforts / récompense
- Hiérarchie : série de chefs, qui vont de l’autorité supérieur au salarié inférieur (chaine de
salaire de l’autorité)
- L’ordre matériel et moral : réserver une place à chaque objet et ordonner le matériel pour
ne pas perdre de temps et gagner en productivité/ efficacité
- Liquidité : gentillesse et justice traiter les ouvriers avec bienveillance et justice
- Stabilité personnelle : sécurité emploi et progression de carrière
- Initiative dans la conception et l’exécution du plan
- Union du personnel et esprit de corps : harmonie, confiance, cohésion dans le groupe pour
coordonner les efforts les uns des autres.
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D- Weber et la bureaucratie
Le modèle bureaucratie de Max Weber
1) Traditionnelle
2) Charismatique
3) Rationnelle ou légal
4 éléments :
Texte de loi qu’il faut respecter, l’ordre est valide car la règle est éditée par une personne qui en a
l’autorité
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SEANCE 3 : L’ECOLE DES RELATIONS HUMAINES
I. Elton Mayo et l’expérience de Hawthorne
Elle va s’inscrire dans la continuité de l’OST mais elle va être divergente sur la rationalité
- Le principe va porter sur la motivation en prenant en compte son aspect moral et physique
du salarié
Il est parti d’une hypothèse que les conditions du travail s’améliorent, plus la production augmente
(hypothèse Taylorienne) il est parti de la pour voir si avec deux groupes ? a soumis une meilleure
conditio du travail pour le G1.
Il a alors fait une 2ème expérience en jouant sur les facteurs psychologiques.
G1 = pause régulière
G2 = sans pause
Dans une organisation il n’y a pas que le salaire comme motivation au travail.
Maslow, 1908-1978
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pyramide des besoins :
Dans sa théorie il a fait une distinction entre facteurs, d’hygiène et facteurs moteurs
Dans son modèle il va opposer le salarié au L, irresponsable etc… c’est une théorie qui va refléter le
salarié comme un exécutant pas d’initiative pour lui, il faut le contraindre par des moyens coercitifs.
Il va donc opposer « X » et « Y »
« X » -> le pessimisme au travail d’où la nécessité de le sanctionner afin qu’il fournisse assez d’effort
nécessaire.
« Y » -> un salarié impliqué dans l’organisation, responsable qui a le sens de l’initiative, + concerné
par l’avenir de l’entreprise -> optimisme au L, efforts au L sont naturel, il est naturellement satisfait. Il
apprend non seulement à exécuter mais il cherchait à être responsable de quelque chose.
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Pour résumer : MG va opposer X et Y sur un certain nombre de principes et va proposer des
hypothèses sur chaque approche.
Théorie X Théorie Y
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SEANCE 4 : L’ECOLE DE LA CONTINGENCE
Il y a 4 travaux principaux
Elle suppose une réorganisation des paramètres interne pour que celle-ci s’adapte à son
environnement
Il y a plusieurs façons d’organiser le travail selon les contextes et l’environnement. Elle s’oppose à la
vision de l’école classique
Comment l’introduction d’une nouvelle techno ou d’un nouveau produit va impacter/ influencer le
type de pratique de management en interne.
1- Le marché
2- Le progrès technique
La structure d’une organisation dépend des facteurs externes, ce qui n’avait pas été mis en avant
dans l’intro des 2 autres écoles. Elle dépend de facteurs exogènes, en termes de concurrence,
technologique, introduction d’un nouveau produit.
Ils ont défini 2 types d’organisation, qui sont adaptés à 2 types d’environnement
1- Structure mécaniste
2- Structure organique (plutôt adapté à un environnement dynamique)
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Environnement stable Environnement dynamique
1- Structure mécaniste 2- Structure organique
- La division du L complexe en tâche - Les tâches sont conçues pour établir un
élémentaire spécialisé lien entre elles et l’ensemble de
- La coordination des tâches ce fait par l’activité de l’organisation
un mécanisme de supervision directe - Les titulaires des fonctions ont une
- Les droits et les obligations de chacun certaine forme d’auto-régulation
sont clairement définis à l’avance - Les responsabilités assumées peuvent
- La communication se fait par voie aller au-delà d’une fonction
hiérarchique (verticale) décisions prises - Communication horizontale elle se fait
par la direction générale sous forme de réseaux
- L’info nécessaire à l’accomplissement - L’information nécessaire ç la prise de
du L et des tâches est centralisé décisions est acheminé jusqu’à la base
- Abondance des règles et de procédure de la pyramide
qui laisse ou pas - Il y a min de règle qui laissent une
marge de main d’œuvre aux
responsables de la fonction
Selon ces 2 auteurs la structure va être différente en fonction de l’environnement à laquelle elle
grandi.
- La stabilité de l’environnement
- La division du L en tâche élémentaire
2 mécanismes :
1- Différenciation
2- Intégration
L’école de la contingence suppose que l’environnement est instable. C’est à l’entreprise de jouer sur
2 mécanismes pour mieux répondre à l’instabilité.
Une meilleure façon de l’entreprise pour s’adapter à l’environnement, c’est de d’abord faire analyse
de l’environnement pour faire en sorte que chaque sous unité de l’entreprise va s’adapter à chaque
partie de l’environnement.
Différenciation :
Faire en sorte que l’entreprise réponde à chaque besoin de l’environnement pour ensuite pouvoir
intégrer l’ensemble des activités.
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l’entreprise doit complexifier son offre afin de mieux contrôler son environnement.
La différenciation ne suffit pas à l’entreprise, je vais devoir intégrer l’activité et essayer d’intégrer au
mieux l’entreprise à l’environnement. -> intégration
Intégration : processus instaurés des efforts d’intégration entre différente unités, les différentes
unités de L.
Chaque division a une division qui lui est propre, l’idée dernière et que l’entreprise doit ramasser ces
différents efforts.
BAIN 1958 :
S C P
1 -> 2 -> 3 L’entreprise doit faire un choix stratégique qui s’adapte à la structure organisationnelle.
D’un point de vue stratégique, elle doit d’abord s’adapter puis choisir sa stratégie.
Pour Chandler les performances de l’entreprise vont être le résultat de sa structure organisationnelle
qui est mit en place en fonction de sa stratégie.
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C S P Il a totalement remis en cause.
1 -> 2 -> 3
Les performances de l’entreprise vont être le résultat du choix d’une structure et non une stratégie.
La structure est l’assemblage de plusieurs éléments, les 2 éléments stratégie et structure sont liés. Il
a mis en évidence 2 types de structure :
1) Structure en forme de U
2) Structure en forme de M
Selon Mintzberg, plus une entreprise est âgée plus l’environnement devient pour elle prévisible et
caractérisable, plus son comportement stratégique va être plus formalisée. Grâce à son expérience
on pourra facilement identifié les rôles de chacun.
Plus une entreprise est de grande taille et plus on doit départementaliser. Plus le pouvoir externe qui
s’exerce sur l’organisation est puissant plus celle-ci a tendance à se formaliser. Autrement dit pour
qu’une entreprise puissent maitrisé l’environnement elle va essayé de centraliser.
Si les acteurs sont datés de plus de pouvoir -> décisions prise par la direction générale comme ca il
n’y a pas d’abus de pouvoir.
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Un processus de production = transformation des inputs pour créer des outputs sur la base des
moyens mis en œuvre.
1er cas : plus le système technique est régulé (contrôle des salariés), plus la structure est formalisée.
Structure de type de type bureaucratique
2ème cas : plus le système de production est complexe, difficile à approprié plus les Rxd -> fonctions
de support sont élaborés.
Le salarié dans l’ECM qui était assimilé à une machine exécutante qui est désormais devenu un
acteur.
L’environnement de l’entreprise est fait d’acteurs qui sont complexe mais qui évolue rapidement
Plusieurs postulats :
Herbert Simon (1978) – prix Nobel, il a été le 1er à informer les économistes.
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Rationalité limitée : asymétrie d’information (manque d’info), on ne peut pas avoir toutes les infos,
de ce monde pour prendre les décisions la plus rationnelle. Par miracle si on arrive à avoir toute
information, les capacités mentales de ces décisions la sont limités.
Les individus : ils ont des ressources et des compétences mise en place pour l’entreprise, ils sont
comme des partenaires de l’entreprise.
1- Système d’acteur/ d’action : sous entends une influence mutuelle des acteurs en termes de
pouvoir de division. Un périmètre de pouvoir pour imposer sa décision, les individus sont
interdépendants, leurs prises de décision sont influencées par leur interactions ce dernier
vont également avoir une influence les uns des autres. Afin d’exercer son pouvoir
décisionnel.
2- Zone d’incertitude : on ne connait pas les frontières du périmètre de chacun dans sa prise de
décision -> on ne peut pas contrôler son comportement, il est libre et il a son propre pouvoir.
(pouvoir) les acteurs s’influencent et interagissent sur la base de leurs intérêts et donc ils
détiennent un pouvoir propre. Quelque soit le statut de chaque individu il détient un pouvoir que
ce soit hiérarchique ou non. Chacun peut avoir un pouvoir, car on peut dépendre de quelqu’un
en fonction de sa compétence.
C’est une théorie qui s’inscrit dans le champ de la gouvernance. Pour expliquer le phénomène
d’asymétrie d’information entre acteur A et acteur B.
Principal (R )
Agent (e )
Car en fonction de la récompense du principale l’agent mesure son acteur. C’est une asymétrie
d’information, car le principal ne sait pas combien d’effort fournit l’agent.
Une relation d’agence est un contrat par lequel 1 ou plusieurs personnes qu’on a appelé le principal/
mandant engage une autre personne qui est l’agent, afin d’exécuter en son nom une tâche
quelconque qui implique une délégation du pouvoir de décision.
Mandant (principal)
Relation d’agence
Mandataire (agent)
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Les managers quant à eux (agent) veulent seulement augmenter leurs propres salaires. Mais si les
salaires augmentent, les dividendes des actionnaires baissent donc cela résulte à des intérêts
divergents.
Comment peut-on augmenter l’effort du manager sans touché les dividendes des détenteurs de
l’entreprise. On parle de la relation d’agence en mettant en place 2 mécanisme :
1- Mécanisme de contrôle : contrôle des salariés pour qu’il ne soit pas opportuniste. Fait
preuve de limite car on contraint la personne à fournir moins d’efforts du fait du contrôle.
2- Mécanisme d’incitation : jouer sur le paramètre du salaire en promettant une prime
mensuelle, en récompense de ses efforts fournit. pour l’entreprise ce qui va encourager le
salarié à fournir plus d’effort.
Champ d’application de la contingence.
Le comportement de la firme qui s’analyse par la relation de sa structure des 2 acteurs aux intérêts
divergent (actionnaire, manager)
3 postulats de base :
1. asymétrie d’information : ce qui amène les acteurs à ne pas être coordonner c’est l’asymétrie
d’info. Lorsque l’agent dispose de plus d’info que le principal sur le L qui doit réaliser il peut
les utiliser à son profit.
2. Divergence d’intérêt/objectifs par définition dans la relation d’agence, les acteurs ont des
objectifs divergents. Dans le cas ou les intérêts des 2 parties sont divergents, les contrats
sont déséquilibrés.
3. Problème d’agence : qui implique la nécessité de contrôler l’effort de l’agent
Quel est la structure organisationnelle qui permettent de réduire les coûts d’agence ?
Asy d’infos :
La sélection adverse : une personne va essayer de jouer grâce à une info qu’elle dispose en sa favur
avant la signature du contrat.
Aléa moral : lors de la phase d’exécution du contrat, l’agent de part son comportement opportuniste
il ne va pas respecter les parts du contrat et va essayer de changer quelque terme du contrat due aux
changements de l’environnement. L’employeur va avoir du mal à assimiler toutes les infos pour voir
si c’est vrai ou non.
2 postulats de base :
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1- les contrôles sont incomplets
2- le comportement opportuniste l’info est imparfait l’environnement est complexe.
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