Emmanuel TP LINUX

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TP Linux

Création de la machine virtuelle

OS : Debian 12

Taille du disque dur : 40 Go

RAM : 2048 Mo

Carte réseau : NAT

B. Installation du système

Partionnement manuel :

/boot Partitionnement normal (sda) 500 Mo en XFS

/ LVM :20 Go en XFS

/var LVM : 10 Go en XFS

Swap LVM : taille conseillée

/home LVM : le reste en ext4

Faire en sorte qu’il n’y ait pas d’environnement graphique


https://debian-facile.org/doc:install:partitions-manuel
Même procédure pour les autres partitions.
Instantané :

Premier démarrage
Passage en root

su
Lister les partitions

lsblk

Pour éteindre la machine proprement :

systemctl poweroff
Configuration post - installation
Utilisateur root

A quoi correspond le compte root ?

•Root est le nom du compte le plus puissant sur une installation de Debian. Le compte root peut tout
faire sur une machine. Root, également appelé superutilisateur, est aussi connu comme superviseur
et administrateur de la machine

Attribuer un mot de passe à l’utilisateur root

•On attribue le mot de passe : root à l’utilisateur, ce n’est pas prudent en production, mais dans le ca
présent c’est une machine de test.

Noter la commande :

La commande pour attribuer un mot de passe à l’utilisateur root est sudo passwd root

On repasse à l’utilisateur user


Commande pour éteindre la machine en mode graphique

Nom d’hôte

A quoi correspond le compte le nom d’hôte ?

•Le nom d’hôte est le nom d’un périphérique dans un réseau. On peut aussi le qualifier de nom de
l’ordinateur et nom du site. Le nom d’hôte est utilisé pour distinguer les périphériques au sein d’un
réseau local. En outre, les ordinateurs peuvent être trouvés par d’autres personnes utilisant le nom
d’hôte, ce qui permet l’échange de données au sein d’un réseau, par exemple.

Quelle-est la démarche pour modifier le nom d’hôte ? Quels-sont les fichiers de configuration à

modifier pour configurer le nom d’hôte de manière durable ?

•Dans le Terminal, le nom d’hôte s’appelle : hostname


On invoque la commande « hostname » la réponse dans l’exemple est : debian12

Avec la commande : hostnamectl on obtient plus d’informations

Configurer le nom d’hôte en respectant la convention de nommage suivante :

- TSSR-DISTRIB-TRIGRAMME_STAGIAIRE (Exemple : TSSR-UBUNTU-YAF)

Noter la démarche :

La syntaxe pour modifier le nom de la machine :

hostnamectl set-hostname TSSR-DEBIAN12-EPH --static

Et la commande
hostnamectl set-hostname "TSSR-DEBIAN12-EPH" -–pretty

Apres redémarrage le hostname est effectif

Paramètres Réseau :

Installer les net-tools

Commande :

Sudo apt-get -y install net-tools


Afficher la configuration réseau

Commande : ip a AFFICHAGE DE L’ADRESSE IP inet 10.0.2.15/24

ip route show AFFICHAGE DE LA PASSERELLE 10.0.2.2


cat/etc/resolv.conf AFFICHAGE DU DNS 192.168.1.1

Configurer la carte réseau de la VM en pont (bridge)

Configurer l’interface réseau en adressage statique :


Voir le nouvel adressage IP de la machine : ip a

Adresse IP : 192.168.1.114/24

Pour afficher l’interface réseau

nano /etc/network/interfaces

On voit que la machine est en dhcp avec comme interface réseau enp0s3

Modifier la carte et passer en adressage statique

Passer en mode root

allow-hotplug enp0s3
iface enp0s3 inet static
address 192.168.1.114
netmask 255.255.255.0
gateway 192.168.1.1
dns-nameservers 8.8.8.8 1.1.1.1
Ctrl X et O pour sortir .

Après redémarrage, on vérifie l’adresse IP

On constate que l’adresse a bien changé.

SSH

Installer le service ssh avec la commande : apt-get install openssh-server


Démarrer le service ssh

Se connecter à la machine en ssh depuis un émulateur de terminal


Bannière MOTD

Commande : cd /home/user# nano /etc/nano

Ctrl O pour écrire :

Ctrl X pour quitter, O pour enregistrer.

Accès en SSH
TP3

Définition de dépôts :
Les dépôts APT sont des "sources de logiciels", concrètement des serveurs qui contiennent un
ensemble de paquets. À l'aide du gestionnaire de paquets, on peut accéder à ces dépôts, en
télécharger et installer les logiciels de son choix.

Définition de miroirs :
Un miroir est un serveur (HTTP, FTP ou RSYNC) qui stocke et redistribue des ISO ou paquets des
distributions Linux.

Définition de backports :

Les backports sont des paquets recompilés donc donc plus ou moins en phase de tests par
rapport aux paquets d’origine, ils sont plus récents que les paquets stables, mais plus risqués à
utiliser.

Pour vérifier l’origine des dépôts, on utilise la commande : cat /etc/apt/sources.list

Pour le champ "composant", il faut savoir :


 main : correspond à tous les paquets disponibles sur cette version de Debian, et il s'agit
exclusivement de paquets libres qui respectent les principes de Debian
 contrib : correspond à des paquets libres, mais liés à des paquets non libres
 non-free : correspond à des paquets non libres, c'est-à-dire des paquets propriétaires ou avec
une licence d'utilisation stricte, donc on sort du cadre du "logiciel libre"

Mise à jour des paquets et du système :


Se renseigner sur les dpkg, rpm apt et yum

• C’est des systèmes différents de gestion des paquets suivant la distribution utilisée :

Dpkg : dpkg est un logiciel à la base du système de gestion de paquets de Debian.


Rpm : RPM Package Manager (Red Hat Package Manager), ou plus simplement RPM, est un
système de gestion de paquets de logiciels utilisé sur certaines distributions GNU/Linux.
Apt : L'outil de ligne de commande apt fournit une interface utilisateur de niveau supérieur
aux utilisateurs finaux avec des commandes intuitives, des comportements résultants et des
fonctionnalités de sécurité.
Yum : Yum assure la résolution de dépendances automatiquement lorsque l'on met à jour,
installe ou supprime des paquets, et donc, est capable de déterminer, chercher et installer
tous les paquets dépendants disponibles automatiquement.

Mettre à jour la liste des paquets

• apt-get update > apt update

Mettre à jour les paquets installés

• apt-get upgrade > apt upgrade


Mettre à jour la distribution

• apt get dist-upgrade > apt full-upgrade

Installation de logiciel

Afficher les informations du paquet tree

•Tree est un outil qui sert à afficher une arborescence d’un sysytème

Installer le paquet tree

apt-get install tree

Version de tree
On voit que le répertoire de l’utilisateur manu est vide.

Lister les paquets installés :

dpkg --list

Pour nettoyer les paquets non nécessaires, utiliser la commande :

apt autoremove
Installer Git depuis les sources

Commande utilisée : apt-get install dh-autoreconf libcurl4-gnutls-dev


libexpat1-dev \ gettext libz-dev libssl-dev

Si vous utilisez une distribution basée sur Debian (Debian/Ubuntu/dérivés d’Ubuntu), vous avez
aussi besoin du paquet install-info :

$ sudo apt-get install install-info


TP4
LVM : La gestion par volumes logiques (en anglais, logical volume
management ou LVM) est à la fois une méthode et un logiciel de gestion de
l'utilisation des espaces de stockage d'un ordinateur. Il permet de gérer, sécuriser et
optimiser de manière souple les espaces de stockage en ligne dans les systèmes
d'exploitation de type UNIX.
On parle également de gestionnaire de volumes ou volume manager en anglais.

Formatage et formats de fichiers :

Mkfs.ext4 est le système de fichiers par défaut de Linux qui supporte beaucoup de
type de fichiers comme JFS, ReiserFS etc.
Ce file system est actuellement en version 4 et porte donc le nom de ext4.

Le système de fichiers ext4 possède un boot block pour amorcer le système


d’exploitation puis découpe le disque en série de groupe de blocs.
Chaque groupe de blocs est composé de la même manière :

Contrairement à NTFS, les informations des fichiers ne sont pas stockés dans un
emplacement spécifique du disque mais éparpillé dans les groupes de blocs du
disque.

Mkfs.ext2 Format de système de fichiers par défaut sur Linux

Mkdosfs est utilisé pour créer un système de fichiers MS-DOS sous Linux sur
un périphérique (habituellement une partition d'un disque). périphérique est le
fichier spécial correspondant au périphérique (par exemple /dev/hdXX).
nombre_de_blocs est le nombre de blocs sur le périphérique. S'il n'est pas
présent, mkdosfs détermine automatiquement la taille du système de fichiers.

Mkswap crée une zone d'échange Linux sur un périphérique ou dans un fichier. Le
paramètre périphérique est normalement une partition du disque dur (/dev/sdb7
par exemple) mais peut aussi être un fichier.

Le fichier fstab (situé dans /etc/fstab) est le fichier de configuration qui contient les informations
sur le montage des systèmes de fichiers.fstab veut d'ailleurs dire File System Table !
Il liste, tous les disques et partitions disponibles, et indique où les monter dans l'arborescence du
système Linux, avec quelles options.
Point de montage et montage de disque

Le point de montage est le répertoire où le systèmes de fichiers doit être intégré.

fdisk, est un outil de base pour réaliser des opérations sur les tables de partitions des disques
durs. Il nécessite l’utilisation de la ligne de commande et les droits administrateur. fdisk est
présent par défaut dans les distributions GNU/Linux. Il permet de manipuler les tables de
partitions. Il permet de créer, de supprimer, de lister les partitions sur un disque dur.

Parted : Parted est un gestionnaire de partitions disque, constitué de la bibliothèque libparted et


de la commande parted. C’était l’un des premiers outils à gérer correctement les
partitionnements de type GP.Il permet de créer, supprimer, modifier, vérifier ou simplement
copier des partitions. Il est distribué sous la forme d'une bibliothèque, libparted, et d'une
interface en ligne de commande, parted.

blkid, blkid est un utilitaire en ligne de commande pour trouver ou afficher les attributs de
périphériques bloc.

cet outil est à privilégier pour tout ce qui concerne la gestion du fichier fstab à la mano.
lsblk En ce qui concerne les disques, on peut bien évidemment utiliser la
commande lsblk permettant de visualiser sous forme d’arbre les différents niveaux
d’attachement des périphériques physiques au volumes logiques (dans le cas de l’utilisation
du LVM). En fait, cette commande permet d’afficher les périphériques de type bloc, en les liant
les uns aux autres :

# lsblk donne ceci sur la Vm du TP

Ajouter un disque de 40 Go
Fdisk/dev/sdb

Utiliser la commande : apt-get install lvm2

Apt-get lvm2lvm2
Pour créer le second disque dur sdb on utilise la commande sudo pvcreate /dev/ sdb

Pour constituer un groupe de partitions : sudo vgcreate vg0 /dev/ sdb

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