Cours Sig 01-04-22 - 240612 - 085335

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COURS DE SIG ET

CARTOGRAPHIE
ASSISTEE PAR
ORDINATEUR

COURS SIG & CAO 1


AVANT PROPOS

Parce que les systèmes d’information géographique (SIG) intègrent progressivement l’héritage de
la production cartographique classique, ils sont souvent assimilés ou réduits à des outils de
cartographie assistée par ordinateur. Parce qu’ils reposent nécessairement sur la technologie
informatique, ils sont aussi parfois assimilés à des ordinateurs spécialisés, à leurs périphériques et à
leurs données. En réalité, la dimension technique, économique et sociale des SIG va bien au-delà de
ces aspects concrets et visibles de leurs activités, et il est important de recadrer celles-ci en rappelant
les concepts généraux qui sont à la base des SIG. Voici donc un polycopié à l’évidence utile. Il est
consacré à l’étude des différents concepts autour de l’information géographique. Il prend en compte
le fait que les étudiants seront confrontés lors de leurs futures activités à des problématiques de
gestion d’information géographique.

Le polycopié présente les différentes clés qui leur permettront de remplir soit des fonctions
techniques autour du SIG soit de gérer des projets traitant de données géographiques sans avoir à
les manipuler (gestion de prestataires, maîtrise d’ouvrage, management d’équipe SIG, composante
SIG d’un projet plus général, etc.). Ainsi à l’issue de ce cours, les étudiants seront capables de :

- Comprendre la notion de l’information géographique numérique


- Comprendre les concepts de bases des SIG
- Découvrir les fonctionnalités des SIG
- Utiliser efficacement les outils SIG de traitements de données urbaines mis à leur disposition
dans le cadre de leur vie professionnelle
- Découvrir la variété de domaines d’application
- Pratiquer sur le logiciel SIG Arcgis

Pour illustrer les différents concepts abordés en cours, les TPs réalisés sous Arcgis permettent de se
confronter concrètement aux concepts et aux respects de certains principes communs à tous les
logiciels de gestion de l’information géographique.

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1ère Partie

SIG : Notions fondamentales

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I. CONCEPTS FONDAMENTAUX DES SYSTEMES D’INFORMATIONS
GEOGRAPHIQUES

Dans cette partie, il nous est apparu utile d’introduire quelques notions essentielles sur les
systèmes d’information géographique. Le concept de système d’information
géographique(SIG)estapparudanslesannées1960-1970. Depuis ce temps, des définitions plus ou
moins similaires et cohérentes ont fait leur apparition. Afin de bien situer le rôle et l’usage d’un
SIG, nous allons également en préciser sa définition. Signalons qu’il n’existe pas encore une
définition claire et communément admise par l’ensemble de la communauté scientifique. La plupart
des définitions citées sont plutôt d’ordre général et couvrent un large spectre de sujets et d’activités.

I.1 DEFINITIONS

Un système d’information géographique (SIG) est un système informatique permettant à


partir de diverses sources, de rassembler et organiser, de gérer, d’analyser et de combiner, d’élaborer
et de présenter des informations localisées géographiquement contribuant notamment à la gestion
de l’espace. Un système d’information géographique est aussi un système de gestion de base de
données pour la saisie, le stockage, l’extraction, l’interrogation, l’analyse et l’affichage de données
localisées. C’est un ensemble de données repérées dans l’espace, structuré de façon à pouvoir en
extraire commodément des synthèses utiles à la décision. Un système d’information géographique,
comme le monte la figure 1.1, est un ensemble d’équipements informatiques, de logiciels et de
méthodologies pour la saisie, la validation, le stockage et l’exploitation de données, dont la majorité
est spatialement référencée, destinée à la simulation de comportement d’un phénomène naturel, à la
gestion et l’aide à la décision.

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Un système d’information géographique peut être aussi défini par les questions auxquelles il apporte
des réponses : Où ? Quoi ? Comment ? Quand ? Et si

Un SIG répond à 5 fonctionnalités (les 5 A) :

- Abstraction : modélisation de l'information,


- Acquisition : récupérer l'information existante, alimenter le système en données,
- Archivage : stocker les données de façon à les retrouver et les interroger facilement,
- Analyse : réponses aux requêtes, cœur même du SIG,
- Affichage : restitution graphique.

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En d’autres termes, un SIG est un environnement informatisé d’analyse d’une information
spatiale numérisée.

I.2 STRUCTURE D’UN SIG

La figure 1.2 met en évidence quatre groupes de fonctionnalités au-dessous d’une couche
d’applications: l’acquisition des données géographiques d’origines diverses, la gestion pour le
stockage et la recherche des données, l’analyse spatiale pour le traitement et l’exploitation et
enfin la présentation des résultats sous forme cartographique.

I.3 FONCTIONNALITES D’UN SIG

Un SIG complet, permettra non seulement de dessiner puis tracer automatiquement le plan,
mais en outre :

- De disposer les objets dans un système de référence géographique, de les convertir d’un
système à un autre.
- De rapprocher entre elles deux cartes (deux plans) de sources différentes, de faciliter leur
superposition comme c’est illustré dans la figure 1.3.

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- De corriger certains contours de la moins fiable en reprenant les coordonnées
correspondantes de la plus fiable.
- D’extraire tous les objets géographiques situés à une distance donnée, d’un carrefour, d’une
route ou des rives d’un lac.
- D’extraire tous les objets situés dans un périmètre donné comme c’est présenté dans la figure
1.4.

- De fusionner tous les objets ayant une caractéristique commune, par exemple les parcelles
adjacentes ayant la même densité de surface bâtie.
- De déterminer, sur un réseau, l’itinéraire le plus court pour aller d’un point à un autre.

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I.4 LES DONNEES DANS LES SIG

Le premier aspect auquel on pense quand on évoque la notion de logiciel de cartographie


informatique ou de système d’information géographique est celui de manipuler les données. Dès
lors, un certain nombre de questions se posent : Comment l’information contenue dans une carte
peut-elle être stockée dans un ordinateur? Quelles sont les données traitées par les SIG ? La section
suivante apporte les réponses aux différentes questions posées et met le point sur les modes
d’acquisition de données dans un SIG.

I.4.1 Modes d’acquisition de données

Dans la pratique, les données géographiques proviennent de sources différentes, ont des
modes d’acquisition différents, sont sus des médias différents, on dit qu’elles sont multisources.
Certaines données sont directement mesurées sur le terrain (levés topographiques) ou captées à
distance (système de positionnement Global GPS, photos aériennes, images satellitaires),ou saisies
à partir de cartes ou de plans existants, ou récoltées par des organismes de production de données et
ensuite importées. Il s’agira d’intégrer ces données hétérogènes, car de qualité, de fiabilité, de
précision et d’extensions spatiales bien différentes. Nous présentons dans ce qui suit les principales
méthodes d’acquisition de données.

a. Numérisation

La numérisation (digitalisation ou vectorisation) permet de récupérer la géométrie des objets


disposés sur un plan ou une carte préexistante comme illustré dans la figure 1.5.

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https://docs.qgis.org/2.8/fr/docs/gentle_gis_introduction/data_capture.html
http://www.forumsig.org/showthread.php/37012-Vente-Table-%C3%A0-digitaliser
Elle consiste à faire évoluer un curseur sur un plan posé sur une table à digitaliser et préalablement
calé en coordonnées. La table est réceptive aux signaux électriques émis par le curseur. Elle peut
localiser ces signaux sur le plan de la table avec une précision de l’ordre du dixième de millimètre.
La figure 1.6 présente un exemple d’extraction des couches et la figure 1.7 présente le résultat de la
digitalisation.

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b. Balayage électronique (scannérisation)

Le balayage électronique (réalisé avec un scanner) est un autre moyen de saisir un plan existant
(figure 1.8). Il est plus rapide que la digitalisation manuelle.

c. Photogrammétrie

La photogrammétrie aérienne est utilisée de façon systématique pour constituer les cartes à
moyenne échelle. Elle est retenue également dans les pays dont la couverture cartographique et
géodésique est déficiente et utilisée pour la constitution de plans à grande échelle pour un coût qui
peut être très avantageux. La figure 1.9 présente un exemple de photos aériennes.

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d. Images satellitaires (télédétection)

La télédétection est un moyen très commode de créer les données à introduire dans les SIG. Il
s’agit en effet d’utiliser, dans des conditions particulières et rigoureuses, soit les photographies
aériennes, soit les images enregistrées et transmises par satellite comme c’est illustré dans la figure
1.10.

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e. Import de fichiers

C’est une façon de réduire les coûts de saisie et de récupérer des données existantes et de les
convertir au format, au système d’unités et au système de projection souhaités comme c’est illustré
dans la figure 1.11. Pour cela, on utilise des interfaces qui permettent: -
soitdetransformerdirectementlesdonnéesdansleformatinterneduSIGrécepteurgrâce à des
bibliothèques de conversions à ce format interne. - soit de passer par l’intermédiaire d’un format
d’échange reconnu, par une fonction d’importation de données du SIG récepteur.

I.4.2. Types de données dans un SIG

Généralement pour qu’un objet spatial soit bien décrit et prêt à être utilisé par un SIG, trois
informations doivent être fournies:

- sa position géographique dans l’espace


- sa relation spatiale avec les autres objets spatiaux : topologie
- son attribut, c’est à dire ce qu’est l’objet avec un caractère d’identification (code) Les
systèmes d’information géographique permettent de traiter les données spatiales et associées
(figure 1.12).

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I.4.2.1 Données spatiales

Elles déterminent les caractéristiques spatiales d’une entité géographique où sont représentés
et identifiés tous les éléments graphiques:

- La localisation : coordonnée par rapport à une échelle graphique de référence.


- La forme: point, ligne, surface.
- La taille: longueur, périmètre, surface.

Les informations font référence à des objets de trois types (figure 1.13):

- Point: est désigné par ses coordonnées et à la dimension spatiale la plus petite.
- Ligne: aunedimensionspatialeconstituéed’unesuccessiondepointsprocheslesunsdes autres.
- Polygone (zone ou surface): est un élément de surface défini par une ligne fermée ou la ligne
qui le délimite.

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I.4.2.2 Données associées

Les données associées des entités géographiques permettent de compléter la représentation


géométrique de l’entité spatiale. Chaque élément de l’espace reçoit un code d’identification qui peut
être numérique ou littéral (figure 1.14). Ce code constitue en quelque sorte une étiquette
caractérisant le point, laligne ou le polygone. Parmi ces données il faut distinguer :

a) Données de classification:

Ces données permettent de ranger le point isolé, la ligne ouverte ou la ligne fermée, dans une
catégorie: limite administrative, contour de parcelle, bordure de trottoir, arbre d’alignement,
conduite de réseau d’eau... Souvent ces distinctions seront prises en compte par l’organisation même
du travail de saisie. Tout se passe, comme si l’on distinguait plusieurs couches d’informations, que
l’on saisit successivement.

b) Données d’identification:

Ces données permettent d’individualiser chaque objet figurant sur le plan: nom propre de l’objet,
par exemple nom de la commune ou numéro permettant de l’identifier: numéro de parcelle, numéro
de vanne...

c) Données attributaires: Ces données viennent apporter une information supplémentaire, propre
à chaque objet identifié: le propriétaire de la parcelle, le diamètre de la conduite d’eau...

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Souvent ces informations sont déjà disponibles sur des fichiers informatiques, où elles sont liées à
l’identifiant de chaque objet. En général, la classe d’objet est déterminée, au moins en partie, par le
processus de digitalisation, les identifiants étant introduits souvent en bloc à la fin.

I.4.3. Modes de données dans les SIG

La reprise de documents cartographiques existants sur support papier en vue de les introduire
dans un SIG, pouvait recourir à des techniques différentes: la digitalisation et le balayage
électronique par exemple. Le premier conduit directement, comme c’est illustré à la figure 1.16, à
des données cartographiques numériques de types vecteurs, la seconde à des données tramées.

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I.4.3.1 Mode vecteur

Ce mode répond au souci de représenter un objet de manière aussi exacte que possible. Pour
transformer un objet réel en une donnée à référence spatiale, on décompose le territoire en couches
thématiques (figure1.17) (relief, routes, bâtiments…) structurées dans des bases de données
numériques.

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Une couche réunit généralement des éléments géographiques de même type. Les éléments
géographiques (objets spatiaux) peuvent être représentés sur une carte par des points, des lignes ou
des polygones (figure 1.18).

Les avantages du mode vecteur sont:

- Une meilleure adaptation à la description des entités ponctuelles et linéaires.


- Une facilité d’extraction de détails.
- Une simplicité dans la transformation de coordonnées.
- Les inconvénients du mode vecteur sont:
- Les croisements de couches d’information sont délicats et nécessitent une topologie parfaite.

I.4.3.2 Mode raster

Le mode trame ou raster est également appelé modèle matriciel. Contrairement au mode
vecteur qui ne décrit que les contours, le mode raster décrit la totalité de la surface cartographique
point par point (Figure I.19). Il est utilisé principalement dans les systèmes à balayage (scanners,
capteurs en télédétection ...)

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Les avantages du mode raster sont:

- Meilleure adaptation à la représentation des détails surfaciques.


- Acquisition des données à partir d’un scanner à balayage.
- Meilleure adaptation à certains types de traitements numériques: filtres, classifications

Les inconvénients du mode raster sont:

- Mauvaise adaptation à la représentation des détails linéaires.


- Obligation de parcourir toute la surface pour extraire un détail
- Impossibilité de réaliser certaines opérations topologiques, la recherche du plus court
chemin dans un réseau par exemple.

Ces deux modes sont complémentaires. Le raster est mieux adapté à certains types d’applications
(télédétection) et apporte une réponse économique à certains besoins. L’exploitant d’un réseau
pourrait par exemple se contenter de scanner des fonds de plans en les conservant au format raster
et on numérisant par-dessus son réseau en mode vecteur (qui nécessite une définition par formes
géométriques). Le vecteur correspond à l’ensemble des besoins courants en gestion de données
localisées.

I.5. DOMAINES D’APPLICATION DES SIG

Les approches ont mis en évidence le fait qu’un système d’information géographique est un
outil de gestion et d’aide à la décision. C’est un outil de gestion pour le technicien qui doit au
quotidien assurer le fonctionnement d’une activité. Le SIG doit aussi être un outil d’aide à la
décision pour le décideur (directeur, administrateur) qui doit bénéficier de sa puissance et disposer
de cartes de synthèses pour prendre les meilleures décisions. C’est cette finalité qui permet

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d’employer le terme de système d’information et de donner aux SIG les domaines d’applications
suivants (figure 1.20):

Pour les grandes échelles

- La gestion foncière et cadastrale (recensement des propriétés, calcul de surfaces)


- La planification urbaine (plan d’occupation des sols et d’aménagement)
- La gestion des transports (voies de circulations, signalisation routière)
- La gestion des réseaux (assainissement, AEP, gaz, électricité, téléphone ...)
- La gestion du patrimoine (espaces verts, parcs, jardins ...)
- Les applications topographiques (travaux publics et génie civil)

Pour les échelles moyennes et petites

- Les études d’impact (implantation d’un centre commercial ou d’une école)


- Les études d’ingénierie routière (constructions de routes ou d’autoroutes)
- Les applications liées à la sécurité civile (prévention des risques naturels et technologiques).
- La gestion des ressources naturelles (protection de l’environnement, études géologiques,
climatologiques ou hydrographiques).

1.6. MISE EN PLACE D’UN SIG

D’une manière générale, la mise en œuvre d’un SIG peut être faite avec différents logiciels
parmi lesquels les quatre suivants constituent les plus utilisés : Geoconcept, ArcView, ArcGis et
MapInfo. Tous ces logiciels ont une même vocation : apporter des réponses à la problématique
spatiale grâce à des analyses cartographiques ou des thématiques. Les fonctionnalités techniques
sont très proches les unes des autres. Ces logiciels s’adaptent à des usages dans les divers domaines,
mais leur choix devra être éclairé par :

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 son cout dépendant évidemment du budget alloué au projet du SIG.
 l’ergonomie de son interface.
 la nécessité de former les chargés d’études pour sa prise en main.
 ses atouts en termes d’apport de solutions d’analyses.
 les possibilités d’échanges de données.
 la compatibilité de ses supports de données avec d’autres.

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WEBOGRAPHIE

https://dimenc.gouv.nc/sites/default/files/download/16468006.pdf
http://www.sigma972.org/def_1.html
http://www.corse.fr/infogeo/Qu-est-ce-que-le-SIG_a24.html
http://www.afigeo.asso.fr/les-sig.html
http://www.prevention2000.org/cat_nat/risques/mvtter/mvt_prev.htm
https://docs.qgis.org/2.8/fr/docs/gentle_gis_introduction/data_capture.html
http://www.forumsig.org/showthread.php/37012-Vente-Table-%C3%A0-digitaliser
http://www.paca.developpementdurable.gouv.fr/spip.php?page=affiche_article&id_article=2381
page de garde
http://www.cairn.info/les-systemes-d-informations-geographique--9782130539230page-88.htm
http://www.notre-planete.info/terre/outils/sig.php
http://www.notre-planete.info/terre/outils/sig.php
http://seig.ensg.ign.fr/ ,
http://www.sigma972.org/def_1.html
http://air.imag.fr/mediawiki/index.php/EA2012-SIG
http://www.corse.fr/infogeo/Qu-est-ce-que-le-SIG_a24.html
http://www.seos-project.eu/modules/agriculture/agriculture-c03-s01.fr.html
http://www.axesig.fr/produits/sig.html
http://resources.arcgis.com
http://www.arcorama.fr/2015/01/sig-3d-35-conception-de-donnees-3d.html
https://themamap.greyc.fr/fr/node/17

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2ème Partie Travaux pratiques :

Prise en main d’ARCGIS

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