Cours de SIG 2023 - 2024

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2 Année BTS

Géo-Topo

COURS DE SYSTEME D’INFORMATION


GEOGRAPHIQUE
(Année Académique 2023-2024)
Notions fondamentales et mise en place d’un SIG

Prof. Nahoua YEO


Ing. Géomatique (Tel et SIG)
ESBTP : Ecole Speciale du Bâtiment et des travaux publics de Yamoussoukro
CURAT : Centre Universitaire de recherche et d’application en Télédétection
Email : [email protected] / Tel : 07 09 42 25 51
OBJECTIFS DU COURS
2

Connaitre les SIG, leurs définitions, les types de données et


leurs modes d’acquisition.

COMPETENCES ACQUISES

A l’issu de ce cours, l’étudiant doit connaitre la définition et les


différents traitements et analyses de données dans les SIG.

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PROGRAMME DU COURS
3

Structurer en 3 chapitres

CHAPITRE 1 : NOTIONS FONDAMENTALES DES SIG

CHAPITRE 1 : MISE EN PLACE D’UN SIG POUR LA GESTION SPATIALE


DE LA VILLE DE YAMOUSSOUKRO

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PLAN DU COURS
4

Structurer en 5 sections

CHAPITRE 1 : NOTIONS FONDAMENTALES DES SIG

Introduction
I- Définition d’un système d’information géographique (SIG)
II- Structure et fonctionnalités d’un SIG
III- Les données dans un SIG
IV- Les domaines d’application des drones
V- Mise en place d’un SIG
Conclusion

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INTRODUCTION
5

Dans cette partie, il nous est apparu utile


d’introduire quelques notions essentielles sur
les systèmes d’information géographique. Le
concept de système d’information
géographique (SIG) est apparu dans les
années 1960-1970. Depuis ce temps, des
définitions plus ou moins similaires et
cohérentes ont fait leur apparition.

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INTRODUCTION
6

Afin de bien situer le rôle et l’usage d’un SIG, nous


allons également en préciser sa définition.
Signalons qu’il n’existe pas encore une définition
claire et communément admise par l’ensemble de la
communauté scientifique. La plupart des définitions
citées sont plutôt d’ordre général et couvrent un
large spectre de sujets et d’activités.

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DEFINITIONS D’UN SIG
7

Un système d’information géographique (SIG) est un


système informatique permettant à partir de diverses
sources, de rassembler et organiser, de gérer, d’analyser
et de combiner, d’élaborer et de présenter des
informations localisées géographiquement contribuant
notamment à la gestion de l’espace. Un système
d’information géographique est aussi un système de
gestion de base de données pour la saisie, le stockage,
l’extraction, l’interrogation, l’analyse et l’affichage de
données localisées.
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DEFINITIONS D’UN SIG
8

Un système d’information géographique,


comme le monte la figure 1, est un ensemble
d’équipements informatiques, de logiciels et
de méthodologies pour la saisie, la
validation, le stockage et l’exploitation de
données, dont la majorité est spatialement Les questions auxquelles il
référencée, destinée à la simulation de apporte des réponses :
Où ? Quoi ? Comment ?
comportement d’un phénomène naturel, à la Quand ? Et si ?

gestion et l’aide à la décision.


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STRUCTURE ET FONCTIONALITES D’UN SIG
9

La structure d’un SIG

Données Spatiale organisée


en couche Le SIG met en évidence quatre groupes
de fonctionnalités au-dessous d’une
couche d’applications : l’acquisition des
données géographiques d’origines
diverses, la gestion pour le stockage et la
recherche des données, l’analyse spatiale
pour le traitement et l’exploitation et enfin
la présentation des résultats sous forme
Données alphanumériques
structurées en base de données
graphique ou cartographique.
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STRUCTURE ET FONCTIONALITES D’UN SIG
10

La structure d’un SIG

Figure 3 : Structuration d’un SIG


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STRUCTURE ET FONCTIONALITES D’UN SIG
11

Les fonctionnalités d’un SIG

Un SIG complet, permettra non seulement de dessiner puis


tracer automatiquement le plan, mais en outre :

- De disposer les objets dans un système de


référence géographique, de les convertir d’un
système à un autre.
- De rapprocher entre elles deux cartes de sources
différentes, de faciliter leur superposition comme
c’est illustré dans la figure 4.
Figure 4 : Superposition sous un SIG
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STRUCTURE ET FONCTIONALITES D’UN SIG
12

Les fonctionnalités d’un SIG

- De corriger certains contours de la moins


fiable en reprenant les coordonnées
correspondantes de la plus fiable.
- D’extraire tous les objets géographiques
situés à une distance donnée, d’un
carrefour, d’une route ou des rives d’un lac.
Figure 5 : Exemple de sélection
(Mihoubi et Abdelbaki, 2003)
- D’extraire tous les objets situés dans un
périmètre donné comme c’est présenté dans
la figure 5.
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STRUCTURE ET FONCTIONALITES D’UN SIG
13

Les fonctionnalités d’un SIG

Un SIG comprend 05 fonctionnalités communément appelées les 5A. Ce


sont :
 Abstraction : Modélisation de l'information
 Acquisition : Récupérer l'information existante, alimenter le
système en données
 Archivage : Stocker les données de façon à les retrouver, les
gérer et les interroger facilement
 Analyse : Réponses aux requêtes, cœur même du SIG
 Affichage : Restitution graphique
En somme un SIG est un environnement informatisé d’analyse d’une
information géospatiale numérisée. © ESBTP 2024
LES DONNEES DANS UN SIG
14

Le premier aspect auquel on pense quand on évoque la


notion de logiciel de cartographie informatique ou de
système d’information géographique est celui de manipuler
les données. Dès lors, un certain nombre de questions se
posent : Comment l’information contenue dans une carte
peut-elle être stockée dans un ordinateur ? Quelles sont les
données traitées par les SIG ? La section suivante apporte
les réponses aux différentes questions posées et met le
point sur les modes d’acquisition des données dans un SIG.
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LES DONNEES DANS UN SIG
15

Modes d’acquisition de données


Dans la pratique, les données géographiques proviennent de sources
différentes, ont des modes d’acquisition différents, sont sus des médias
différents, on dit qu’elles sont multi sources. Certaines données sont
directement mesurées sur le terrain (levés topographiques) ou captées
à distance (système de positionnement Global GPS, photos aériennes,
images satellitaires), ou saisies à partir de cartes ou de plans existants,
ou récoltées par des organismes de production de données et ensuite
importées. Il s’agira d’intégrer ces données hétérogènes, car de
qualité, de fiabilité, de précision et d’extensions spatiales bien
différentes. Nous présentons dans ce qui suit les principales méthodes
d’acquisition de données.
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LES DONNEES DANS UN SIG
16

Modes d’acquisition de données


Numérisation
La numérisation (digitalisation ou vectorisation) permet de récupérer la
géométrie des objets disposés sur un plan ou une carte préexistante
comme illustré dans la figure suivante.

Elle consiste à faire évoluer un curseur sur un plan


posé sur une table à digitaliser et préalablement calé
en coordonnées. La table est réceptive aux signaux
électriques émis par le curseur. Elle peut localiser
ces signaux sur le plan de la table avec une
précision de l’ordre du dixième de millimètre.
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LES DONNEES DANS UN SIG
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Modes d’acquisition de données


Balayage électronique

Le balayage électronique
(réalisé avec un scanner)
est un autre moyen de saisir
un plan existant (figure 9). Il
est plus rapide que la
digitalisation manuelle.
Figure 9 : Extrait d’une carte scannée

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LES DONNEES DANS UN SIG
18

Modes d’acquisition de données


Photogrammétrie
La photogrammétrie aérienne est utilisée
de façon systématique pour constituer les
cartes à moyenne échelle. Elle est retenue
également dans les pays dont la
couverture cartographique et géodésique
est déficiente et utilisée pour la constitution
de plans à grande échelle pour un coût qui
peut être très avantageux. La figure 10
présente un exemple de photos aériennes.
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LES DONNEES DANS UN SIG
19

Modes d’acquisition de données


Images satellitaires
La télédétection est un moyen très
commode de créer les données à
introduire dans les SIG. Il s’agit en
effet d’utiliser, dans des conditions
particulières et rigoureuses, soit les
photographies aériennes, soit les
images enregistrées et transmises par
satellite comme c’est illustré dans la
Figure 11 : Exemple d’image satellitaire figure 11.
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LES DONNEES DANS UN SIG
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Modes d’acquisition de données


Import de fichiers
C’est une façon de réduire les coûts de saisie et de récupérer des
données existantes et de les convertir au format, au système d’unités
et au système de projection souhaités comme c’est illustré dans la
figure 12 Pour cela, on utilise des interfaces qui permettent :

 soit de transformer directement les données dans le format interne du


SIG récepteur grâce à des bibliothèques de conversions à ce format
interne.
 soit de passer par l’intermédiaire d’un format d’échange reconnu, par
une fonction d’importation de données du SIG récepteur.
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LES DONNEES DANS UN SIG
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Type de données dans un SIG


Généralement pour qu’un objet spatial soit bien décrit et prêt à
être utilisé par un SIG, trois informations doivent être fournies :
 sa position géographique dans l’espace
 sa relation spatiale avec les autres
objets spatiaux : topologie
 son attribut, c’est à dire ce qu’est l’objet
avec un caractère d’identification (code)
Figure 13 : Type de données dans un
SIG
Les systèmes d’information géographique permettent de traiter
les données spatiales et associées (figure 13). © ESBTP 2024
LES DONNEES DANS UN SIG
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Type de données dans un SIG


Données spatiales
Elles déterminent les caractéristiques spatiales d’une entité
géographique où sont représentés et identifiés tous les
éléments graphiques :
 La localisation : coordonnées par rapport à une
échelle graphique de référence.
 La forme : point, ligne, surface.
 La taille : longueur, périmètre, surface.
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LES DONNEES DANS UN SIG
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Type de données dans un SIG


Données spatiales
Les informations font référence à des objets de trois types
(figure 14) :
 Point : est désigné par ses coordonnées et à la
dimension spatiale la plus petite.
 Ligne : a une dimension spatiale constituée d’une
succession de points proches les uns des autres.
 Polygone (zone ou surface) : est un élément de
surface défini par une ligne fermée ou la ligne qui
Figure 14 : Données spatiales
le délimite. © ESBTP 2024
LES DONNEES DANS UN SIG
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Type de données dans un SIG


Données associées
Les données associées des entités géographiques permettent de
compléter la représentation géométrique de l’entité spatiale.
Chaque élément de l’espace reçoit un code d’identification qui peut
être numérique ou littéral (figure 15). Ce code constitue en quelque
sorte une étiquette caractérisant le point, la ligne ou le polygone.
Parmi ces données il faut distinguer :
 Données de classification
 Données d’identification
 Données attributaires © ESBTP 2024
LES DONNEES DANS UN SIG
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Type de données dans un SIG


Données associées
Souvent ces informations sont déjà
disponibles sur des fichiers
informatiques, où elles sont liées à
l’identifiant de chaque objet.
En général, la classe d’objet est
déterminée, au moins en partie, par le
processus de digitalisation, les
Figure 15 : Type de données dans un SIG identifiants étant introduits souvent en
bloc à la fin.
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LES DONNEES DANS UN SIG
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Modes de données dans un SIG

La reprise de documents cartographiques


existants sur support papier en vue de les
introduire dans un SIG, pouvait recourir à
des techniques différentes : la digitalisation
et le balayage électronique par exemple.
Le premier conduit directement, comme
c’est illustré à la figure 16, à des données
Figure 16 : Mode de données dans un SIG
cartographiques numériques de type
vecteurs, la seconde à des données
tramées.
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LES DONNEES DANS UN SIG
27

Modes de données dans un SIG


Le mode vecteur

Ce mode répond au souci de


représenter un objet de manière aussi
exacte que possible. Pour transformer
un objet réel en une donnée à
référence spatiale, on décompose le
territoire en couches thématiques
(figure17) (relief, routes, bâtiments…)
Figure 17 : Décomposition du monde structurées dans des bases de
réel en couche d’information
données numériques.
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LES DONNEES DANS UN SIG
28

Modes de données dans un SIG


Le mode vecteur
Une couche réunit généralement
des éléments géographiques de
même type.
Les éléments géographiques
(objets spatiaux) peuvent être
représentés sur une carte par
des points, des lignes ou des
Figure 18 : Mode vecteur polygones (figure 18).
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LES DONNEES DANS UN SIG
29

Modes de données dans un SIG


Le mode raster

Le mode trame ou raster est également


appelé modèle matriciel. Contrairement au
mode vecteur qui ne décrit que les contours,
le mode raster décrit la totalité de la surface
cartographique point par point (Figure I.19).
Il est utilisé principalement dans les
Figure 19 : Mode raster systèmes à balayage (scanners, capteurs en
télédétection ...)
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LES DONNEES DANS UN SIG
30

Modes de données dans un SIG


Le mode raster
Ces deux modes sont complémentaires. Le raster est mieux
adapté à certains types d’applications (télédétection) et apporte
une réponse économique à certains besoins.
L’exploitant d’un réseau pourrait par exemple se contenter de
scanner des fonds de plans en les conservant au format raster et
en numérisant par-dessus son réseau en mode vecteur (qui
nécessite une définition par formes géométriques). Le vecteur
correspond à l’ensemble des besoins courants en gestion de
données localisées. © ESBTP 2024
LES DOMAINES D’APPLICATION DES SIG
31

Les approches ont mis en évidence le fait qu’un système


d’information géographique est un outil de gestion et d’aide à la
décision. C’est un outil de gestion pour le technicien qui doit au
quotidien assurer le fonctionnement d’une activité.
Le SIG doit aussi être un outil d’aide à la décision pour le décideur
(directeur, administrateur) qui doit bénéficier de sa puissance et
disposer de cartes de synthèses pour prendre les meilleures
décisions. C’est cette finalité qui permet d’employer le terme de
système d’information et de donner aux SIG les domaines
d’applications suivants (figure 20) :
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LES DOMAINES D’APPLICATION DES SIG
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Pour les grandes échelles

 La gestion foncière et cadastrale (recensement des propriétés, calcul


de surfaces)
 La planification urbaine (plan d’occupation des sols et
d’aménagement)
 La gestion des transports (voies de circulations, signalisation routière)
 La gestion des réseaux (assainissement, AEP, gaz, électricité,
téléphone ...)
 La gestion du patrimoine (espaces verts, parcs, jardins ...)
 Les applications topographiques (travaux publics et génie civil)

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LES DOMAINES D’APPLICATION DES SIG
33

Pour les échelles moyennes et petites

 Les études d’impact (implantation d’un centre commercial ou d’une


école)
 Les études d’ingénierie routière (constructions de routes ou
d’autoroutes)
 Les applications liées à la sécurité civile (prévention des risques
naturels et technologiques).
 La gestion des ressources naturelles (protection de
l’environnement, études géologiques, climatologiques ou
hydrographiques).
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LES DOMAINES D’APPLICATION DES SIG
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Figure 19 : Domaine d’application des SIG


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MISE EN PLACE D’UN SIG
35

D’une manière générale, la mise en œuvre d’un SIG peut


être faite avec différents logiciels parmi lesquels les quatre
suivants constituent les plus utilisés : Geoconcept, ArcView,
ArcGIS et MapInfo.
Tous ces logiciels ont une même vocation : apporter des
réponses à la problématique spatiale grâce à des analyses
cartographiques ou des thématiques. Les fonctionnalités
techniques sont très proches les unes des autres.

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MISE EN PLACE D’UN SIG
36

Ces logiciels s’adaptent à des usages dans les divers


domaines, mais leur choix devra être éclairé par :
 Son cout dépendant évidemment du budget alloué au
projet du SIG.
 L’ergonomie de son interface.
 La nécessité de former les chargés d’études pour sa
prise en main.
 Ses atouts en termes d’apport de solutions d’analyses.
 Les possibilités d’échanges de données.
 La compatibilité de ses supports de données avec
d’autres.
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PLAN DU COURS
37

Structurer en 2 sections

CHAPITRE 2 : MISE EN PLACE D’UN SIG POUR LA GESTION SPATIALE DE


LA VILLE DE YAMOUSSOUKRO

Introduction
I- Prise en main de QGIS
II- Mise en place d’un SIG pour la gestion spatiale de la ville de
Yamoussoukro (Pratique)
Conclusion

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INTRODUCTION
38

Dans un monde de plus en plus complexe et


interconnecté, la nécessité de comprendre et
d'analyser les données spatiales devient cruciale. C'est
là qu'intervient le Système d'Information
Géographique, ou SIG. Un SIG est une technologie
puissante qui permet de capturer, de stocker,
d'analyser et de visualiser des données liées à des
emplacements géographiques spécifiques. Que ce soit
pour des projets d'urbanisme, de gestion
environnementale, d'infrastructures ou d'analyse de
marché, la mise en place d'un SIG offre des avantages
considérables.
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PRISE EN MAIN DE QGIS
39

Présentation de l’interface de QGIS

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PRISE EN MAIN DE QGIS
40

Complément de la barre d’outils

Il est possible de paramétrer le nombre et


la position des barres d'outils présentes à
l'écran, on peut ainsi personnaliser
l'interface en fonction de ses préférences.
Un clic droit avec la souris sur une barre
d’outils permet de faire apparaître la liste
des fenêtres et des barres d'outils
disponibles et de choisir celles que l'on
veut afficher.
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PRISE EN MAIN DE QGIS
41

La table attributaire

La table d’attributs affiche des


informations sur les entités d’un calque
sélectionné. Chaque ligne du tableau
représente une entité (avec ou sans
géométrie) et chaque colonne contient
une information particulière sur cette
entité. Les entités du tableau peuvent
être recherchées, sélectionnées,
déplacées ou même modifiées.
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PRISE EN MAIN DE QGIS
42

Fenêtre cartographique

La fenêtre cartographique 2D est la vue


principale dans laquelle les cartes sont
affichée. QGIS s’ouvre par défaut avec une
fenêtre affichant une seule vue cartographique
(appelée « carte principale ») constituée de
couches 2D qui sont associée au
panneau Layers. Cette fenêtre affiche les
différentes couches chargées avec les options
d’affichage/ de rendu que vous leurs avez
appliquées (symboles, étiquettes, opacités, …)
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PRISE EN MAIN DE QGIS
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 Ajouter une image raster

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PRISE EN MAIN DE QGIS
44

 Image aérienne chargée

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PRISE EN MAIN DE QGIS
45

 Numérisation des détails

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PRISE EN MAIN DE QGIS
46

 Editer une table attributaire

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PRISE EN MAIN DE QGIS
47

 Mise en page d’une carte

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PRISE EN MAIN DE QGIS
48

 Mise en page d’une carte

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PRATIQUE : MISE EN PLACE D’UN SIG POUR LA GESTION
SPATIALE DE LA VILLE DE YAMOUSSOUKRO
49

PROJET : 04 groupes de TP réaliseront des travaux pour


la mise en place d’un SIG (08 – 15 pages)
Méthode de rédaction
1. Introduction
2. Collecte de données
3. Matériel et méthodes
4. Résultats
5. Conclusion

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PRATIQUE : MISE EN PLACE D’UN SIG POUR LA GESTION
SPATIALE DE LA VILLE DE YAMOUSSOUKRO
50

PROJET : 04 groupes de TP réaliseront des travaux pour


la mise en place d’un SIG (08 – 15 pages)
Méthode de rédaction
1. Introduction
2. Collecte de données
3. Matériel et méthodes
4. Résultats
5. Conclusion

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