Mecanique de FL

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TP : Mécanique des fluides

Poussée d’Archimède

Parcours : BCG
Groupe :1B
Présenté par :Mr.RIZK
Les membres : FATIMA ZAHRA AMALOU
SALMA ALKHEIR
Poussée d’Archimède
Le but :
_déterminer la force de Pression , le centre de poussée et la masse
volumique d’un corps solide.

Le principe :
Tout corps plongé dans un fluide reçoit de la part de ce fluide une force
(poussée) verticale, vers le haut dont l'intensité est égale au poids du volume
de fluide déplacé .

FPoussée=ρfluide.Vimm.g
Fa=Poussée d’archiméde

e=densité de fluide

g=accélération due à la gravité

V=volume de fluide immergé

Les matériels :
1. Un corps cylindrique plein
2. Un corps cylindrique ceux
3. Un dynamomètre à ressort
4. Une éprouvette graduée remplie d’eau au 3/4
La poussée d'Archimède correspond à la force à
laquelle est soumis un corps lorsqu'il est plongé dans
un liquide ou un gaz. La pression varie entre la partie
inférieure et la partie supérieure de l'objet ce qui
provoque une poussée verticale.
Expériences :
On pose un cylindre creux ou bien plein et on mesure
leurs poids dans l’air ensuite on les immergés
partiellement dans l’eau et on mesure leurs poids
après on les immergés totalement et on remesure leur
poids dans la deuxième fois .on constate l’échange du
poids dans les trois cas et la différence de volume
aussi.
le poids d’un corps cylindrique plein dans les trois cas :
V0=690 ml

T1 T2 T3 T4 T5 T6 L’incertitu Le poids
de moyenn
e
L’air 0,6N 0,61 0,62 0,63 0,64 0,65 0 ,015 0,615N
N N N N N
Immergé 0,26 0,26 0,27 0,28 0,28 0,29 0,01 0,267N
partielleme N N N N N N
nt
V1=720ml
Immergé 0,13 0,14 0,14 0,15 0,16 0,16 0,01 0,56N
totalement N N N N N N
V2=735ml

Partielle totale

Pa = e.g.v immerge Pa=e .g.v immerge


Pa =1000.10.(695_690).0,000001 Pa=1000.10.(700_690).0,000001

Pa=0,25 N Pa=0,1 N
Le poids d’un corps cylindrique creux dans les trois cas :
V0=690 ml

T1 T2 T3 T4 T5 T6 L’icertitud Le poids
e moyenn
e
L’air 0,6N 0,61 0,62 0,63 0,64 0,64 0,015 0,615N
N N N N N
Immergé 0,26 0,26 0,27 0,28 0,29 0,29 0,01 0,267N
partielleme N N N N N N
nt
V1=720ml
Immergé 0,13 0,14 0,14 0,15 0,16 0,16 0,01 0,56N
totalement N N N N N N
v2=735ml
partielle totale

Pa=e.g.v immergé Pa=e.g.v immergé


Pa=1000.10.(720_690).0,000001 Pa=1000.10.(735_690).0,000001

Pa=0,3 N Pa=0,45 N
conclusion :
Tout corps solide totalement ou partiellement immergé dans un
liquide subit de la part de ce liquide une poussée verticale dirigée de
bas en haut ayant même intensité que le poids du liquide déplacé .

L’expérience donc nous a permis de mieux assimiler les condition qui


commandent l’état d’équilibre et d’immersion d’un corps flottant ; à
savoir, la hauteur d’eau et l’inclinaison du corps par rapport au plan
d’eau. Et ce par la détermination directe de la force du au poussée
d’un liquide sur une plaque plane totalement ou partiellement
immergée, en position verticale ou inclinée.
TP :Mécanique des fluides
Equation d’Etat des Gaz parfaits

Parcours : BCG
Groupe :1B
Présenté par :Mr.RIZK
Les membres: FATIMA ZAHRA AMALOU
SALMA ALKHEIR
L’équation d’état des gaz parfaits

Définition :

Le gaz parfait est un modèle thermodynamique décrivant le


comportement des gaz réels à basse pression.

Alors on exclut les variables électriques et magnétiques, du


coup l’état du gaz ne dépend plus que de ces paramètres : la
pression (P), le volume (V), et la température (T).

L’équation d’état du gaz parfait est : PV = n RT

– n : le nombre de moles qui réagit

– R : la constante des gaz parfaits = 8,31 J.mol-1.K-1

– P :la pression en Pascal

– T : la température en Kelvin

– V :le volume en m3
Le but :

L’objectif de cette manipulation est de faire la mesure des


variables d’état d’un gaz parfait par étapes :

1) Mesurer le volume et la pression à température


constante (Boyle Mariotte)
2) Mesurer le volume et la température à pression
constante (Gay Lussac)
3) Mesurer la pression et la température à volume
constant (Charles Amontons)

La loi de Boyle Mariotte


A température constante, le produit de la pression d’une masse
gazeuse par son volume est constant (cette loi est d’origine
expérimentale ) Sous faibles pressions, tous les gaz se comportent
de la même manière quelque soit leur nature.

P.V = Cte

Si on considère deux états différents d’une même masse gazeuse à la


même température avec :

P1 et V1 pression et volume à l’état (1).

P2 et V2 pression et volume à l’état (2), la loi de MARIOTTE sera alors

P(1)V(1) = P(2)V(2)

 Manipulation à Température constante 30 C

H(cm) P’(ncmHg) P=P’+Patm ΔP(cm3) ΔV(cm3)


15 31,8 109,27 0,1

16 22,3 99,775 0,1

17 15,7 93,175 0,1

18 10 87,47 0,1

19 3,8 81,275 0,1

20 -2,9 74,575 0,1

25 -26,3 51,175 0,1


 La courbe P=f(H)

Loi de GAY-LUSSAC
A pression constante, l’augmentation de volume d’un gaz parfait
(dilatation ou détente) est proportionnelle à la température absolue.

V /T =Cte

 Manipulation à pression constante


 On fixe la pression constante P=1atm (h=h’) ,puis on
varie la température et on relève h
T(°C) H(cm) V(cm3) Δh(cm) ΔV(cm3)
20 19 1,93.10-3 2 
30 20 2,04.10-3 2 
50 21,2 2,162.10- 2 
3
55 21,4 2,182.10- 2 
3
60 21,5 2,193 .10- 2 
3


La courbe T=f(H)
Loi de Charles
A volume constant, l’augmentation de pression d’un gaz parfait est

proportionnelle à l’élévation de la température. On à :

P/T =Cte
 Manipulation à volume constante (h=20 cm
)
T P’(cmHg) P=P’+Patm ΔP(cmHg
30 -2,9 74,575 0,1
39 1 78,475 0 ,1
49 0 ,6 78,075 0,1
59 8,6 86,075 0,1

 Conclusion :
En guise de conclusion, on peut assumer la validité des lois de
gaz parfait au cour de ces manipulations on a pu traiter
expérimentalement l’équation de gaz parfait, et on a utilisé
un matériel technique (L’appareil de Boyle Mariotte ) pour
arriver à cette résultat ce que nous a permis d’approfondir
nos connaissances à propos de quelques études théoriques
dans la thermodynamique.
TP :Mécanique des fluides
La capacité Calorifique des Métaux

Parcours : BCG
Groupe :1B
Présenté par :Mr.RIZK
Les membres : FATIMA ZAHRA AMALOU
SALMA ALKHEIR
La capacité calorifique des Métaux

Le but :

Il s’agit de déterminer la capacité calorifique d’un calorimètre


à l’aide d’une expérienc e de mélange,
Aluminium {Al} – Fer {Fe} – laiton {Cu,Zn} .
l’objectif:

La capacité calorifique est déterminée lors d’équilibre d’un échange


de chaleur entre un corps froid est un corps chaud. Cette équation
nous permet de déterminer la capacité calorifique : [Chaleur cédée par
le corps chaud = Chaleur reçue par le corps froid]
La capacité calorifique (C) peut être calculée par le produit la masse
(m) et de la chaleur spécifique massique (c) : C = m × c

Les matériels :
-Lecalorimètre : est un appareil destiné à mesurer les échanges de
chaleur (énergie calorifique, du latin calor signifiant chaleur). Cet
échange peut se produire entre plusieurs corps, mettre en jeu des
changements d'état ou des réactions chimiques.

-Lecture digital de température (Thermomètre) : Appareil qui sert à


mesurer et à afficher la valeur de la température

Balance
bécher
thermométre

Eau /plaque chauffante

Calorimètre plaque chauffante

-Les éprouvettes métalliques :

Aluminium Fer
Laiton

Expériences :
-Capacité calorifique du calorimètre Ck :
Mesure de la température du calorimètre à vide :ϴ
=17.5°C
Pesage du calorimètre sans couvercle : m= 243.2 g

Δ m= +/- 0.1g

Introduction de 200ml d’eau chaude dans le calorimètre 
Pesage de calorimètre remplie d’eau chaude (environ
50°c) 
L’arrêt du chrono et relevons les températures de l’eau à
l’intérieur du calorimètre 
Capacité calorifique du calorimètre :
T(mn) 0 0,5 1 1.5 2 3 4 5 6 7

ϴ (°C) 50,7 50 49,4 49 48,7 48,1 47,7 47,3 46,9 46,6

Tableau : Variation de la température en fonction du temps


La température se baisse en fonction du temps
ϴm = 44.3°C
-La capacité calorifique du calorimètre Ck:
On a :
1)la quantité de chaleur Q1 cédée par l’eau chaude :
Q1 = m1 × ceau ×(Te - T1 )
2)La quantité de chaleur Q2 reçue par le calorimètre et l’eau
à température ambiante : Q2 = m2 × c2 ×(Te - T1 )
3)La quantité de chaleur reçue par le calorimètre et ses
accessoires : Qcal = Ccal (Te – T1 )
D’où : Q1 + Q2 + Qcal = 0
M1 × ceau ×(Te – T1 ) + m2 × c2 ×(Te – T1 ) + Ccal (Te – T1 ) = 0
Donc : L’expression de la capacité calorifique du calorimètre :
Ck = m1 × ceau ×(Te – T1 ) – m2 × c2 ×(Te – T1 ) ÷ (Te – T1)

Pesons Les éprouvettes métalliques : 


-mal= 180g
- mfe=237.2g
-mlaiton= 239,6 g
Chauffons les éprouvettes métalliques, par de l'eau en
ébullition, pendant 10 min
Introduisons l’éprouvette égouttée et séchée dans le
calorimètre
Fermons le couvercle, agissons et relevons la
températurede l’eau dans le calorimètre en fonction du
temps

 Tableau 1 : Variation de la température de l’Aluminium en
fonction du temps
A – Pour L’acier

T 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
(min)
ϴ (°C) 21,7 24,9 24,9 24,8 24,7 24,7 24,7 24,6 24,6 24,5 24,5 24,5 24,4

Tableau : Variation de la température en fonction du temps

B- Pour laiton

T 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
(min)
ϴ (°C) 23,3 25,1 24,9 24,8 24,8 24,7 24,7 24,6 24,6 24,5 24,5 24,5 24,4

Tableau : Variation de la température en fonction du temps

C – Pour Aluminum
T 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
(min)
ϴ (°C) 30 29,4 29,2 29,1 29 28,9 28,7 28,7 28,6 28,4 28,3 28,2 28,2

Tableau : Variation de la température en fonction du temps

La température d’ébullition est obtenu en fonction de la


pression atmosphérique P par : 
ϴ2 = 100+0.00276(P-1013hPa)-0.000017(P-1013hPa)
On a P =1024.4 hpa

ϴ2 =100+0.00276(1024.4hPa-1013hPa)-0.000017(1024.4 hPa-
1013hPa) = 100 hPa

CONCLUSION :
La chaleur massique est relative au solide , plus le
matériel est lourd plus il possède une grande chaleur.

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