Tpa Tle F2 Harmonisés
Tpa Tle F2 Harmonisés
Tpa Tle F2 Harmonisés
Une fois le besoin analysé et le cahier des charges validé la première grande
étape dans la réalisation d’une carte électronique est la conception et la simulation des
différentes fonctions de celle-ci.
Il existe de nombreux logiciels de CAO* qui nous permettent de réaliser ces
simulations facilement. On utilise d’abord des outils de simulations fonctionnelles et
électriques. A cette étape, on ne prend donc pas encore en compte les composants
proprement dits mais on établit les différentes fonctions du circuit selon le cahier des
charges établi.
Comme on peut le voir ci-dessus on dessine avec des logiciels tel que Proteus,
Circuit maker… le schéma électrique en utilisant les bibliothèques de composants
incluses dans ceux-ci. Ainsi nous pouvons tester le comportement du circuit grâce
aux modes de simulations proposé par ces différents outils de CAO.
2. Router les schéma électrique (confère CAO)
Une fois les tests effectués on étudie comment les composants vont
s’organiser physiquement sur la future carte électronique.
On choisit donc les composants et on établit, toujours à l’aide d’un logiciel, les
liaisons entre ceux-ci. Le choix des composants se fait en fonction des contraintes
auxquelles seront soumis le circuit. Comme par exemple un impératif de place, de
dégagement de chaleur, de résistance à certaines conditions (thermiques,
électrostatiques, …).
On peut ainsi obtenir ceci :
Schema routé :
Le routage est régit par des règles rendant sa réalisation parfois plus complexe qu’il
n’y paraît. (Confère CAO)
Toute la phase de préparation de la plaque a pour but d’enlever la résine puis une partie de la
couche de cuivre pour que le cuivre restant forme les pistes que nous avons définies dans
l’étape précédente.
2. Imprimer le typon
Le typon est un dessin du circuit imprimé (pistes et pastilles) effectué sur un film
transparent. Le typon sera utilisé pour réaliser le circuit imprimé par photogravure
(prochaine étape).
Le typon est donc produit d’après le routage effectué précédemment.
Le Typon par rapport à la simulation
Nous observons facilement comment seront les pistes et où se positionneront les composants. Il
nous faut donc à présent réaliser le typon sachant que plus le support est transparent et plus
l´encre est opaque, meilleur sera le résultat.
Ces techniques sont assez accessibles en termes de coût et de facilité de mise en œuvre, en
revanche la qualité du typon est limitée par la qualité d’impression des imprimantes.
Pour réaliser des typons avec une forte densité, des pistes très fines et proches les unes des
autres, d’autres techniques utilisées dans le monde professionnel et industriel sont disponibles.
Ces techniques sont basées sur la photogravure.
Cela consiste à réaliser un film positif du circuit sur un support mylar * (niveau professionnel) ou
aluminium (niveau industriel).
Pour fabriquer ce film, il faut présensibiliser le support grâce à un aérosol spécial. Ensuite il faut
l´insoler* à partir du typon papier (lumière blanche ou UV suivant le type), puis le développer
avec du révélateur spécial.
Le résultat est un noir très opaque sur un support bien transparent aux UV, et tout cela avec la
précision de la photogravure qui est bien au-delà des 300 ou 600 dpi de nos imprimantes. C´est
une technique complexe et onéreuse qui n´est pas vraiment justifiée pour l´amateur, car elle
nécessite un matériel et un savoir-faire particulier.
Maintenant que vous avons réalisé le typon nous allons pouvoir l’utilisé pour procéder à
l’insolation.
3. Insolation de la plaque époxy
Après avoir retiré le film protecteur de la plaque époxy, la résine se trouve à la
surface. Cette résine a pour propriété de se modifier lorsqu’elle est exposée aux
rayonnements Ultraviolet (UV), elle est dite photosensible. Cette propriété est
intéressante car il suffit d’isoler des UV certaines parties de cette résine pour qu’elle
ne soit pas modifiée. On comprendra l’intérêt d’avoir modifié une partie de cette
résine lors de la révélation (étape suivante).
Il va donc falloir exposer notre plaque aux UV (c’est ce qu’on appelle l’insolation de
la plaque).
Pour cela on utilise une insoleuse.
Maintenant nous allons utiliser le typon que nous avons obtenu dans la phase
précédente. On l’intercale entre les tubes UV et le côté résine de la plaque comme
illustré ci-dessous.
.
On comprend à présent mieux pourquoi il faut que les pistes imprimées sur le typon
soit très noires et donc très opaques aux UV et le reste du support très transparent afin
de laisser la voie libre aux UV. Ainsi la résine sera modifiée pendant la phase d
´insolation uniquement sur les zones de la plaque exposées aux UV donc toutes
celle où il n’y aura pas de piste dessinée, alors que les parties non exposées
resteront intactes.
4. La révélation
Le révélateur est un produit chimique que l’on peut le fabriquer soi-même,
puisqu´il s´agit d´une simple solution de soude caustique à 7g/l comme le Destop
(produit pour déboucher les canalisations). Cependant on la trouve à l’achat déjà
dosée. Sa manipulation nécessite des précautions comme le port de gants. L’efficacité
du révélateur est meilleure quand il est tiède.
On doit maintenant placer la plaque dans un bac contenant le révélateur.
le révélateur
Le révélateur va dissoudre les zones de la résine qui ont été détruites pendant
l’insolation.
La couche de cuivre va progressivement apparaître autour des pistes qui sont
encore protégées par la résine
Une fois la plaque révélée elle est sortie du bac et rincée à l’eau.
Maintenant que nous avons fait apparaître la couche de cuivre autour des pistes
protégées par la résine, il faut la détruire.
5. Graverlecircuitimprimé
Notre plaque est plongée dans un bac à graver qui contient un produit acide :
le perchlorure de fer. Cet acide va dissoudre le cuivre autour des pistes protégées
par la résine. Le Perchlorure de Fer suractivé est un liquide de couleur marron très
foncé. On l´utilise pour graver les circuits imprimés car il a la particularité de détruire
(par réaction chimique) tout le cuivre qui n´est pas recouvert de résine photosensible.
Cela a pour conséquence de ne laisser sur la platine que les pistes qui nous
intéressent.
Pourcetteétapeonutiliseunbacàgraver :
Il peut contenir une résistance de chauffage et
un bulleur pour accélérer la réaction chimique
Une fois votre circuit gravé, il reste à enlever les traces de résine qui subsistent sur
les pistes protégées. Nous utiliserons pour cela du dissolvant, ou encore de l
´acétone. Le but est d’obtenir un circuit avec des pistes bien nettes et sans aspérités.
Circuit imprimé final :
Notre circuit imprimé est maintenant terminé il ne reste plus qu’à souder les
composants pour former le circuit électronique.
a. Percer le circuit
Avant de souder les composants, il nous faut percer les pastilles. Ces trous
correspondent à l’emplacement des pâtes des composants.
Pour cela on utilise une perceuse à colonne.
Uneperceuseàcolonne :
On place le circuit imprimé sur le support.
On choisit la taille du foret en fonction des composants
qui devront être soudés (entre 0.6mm et 1.5mm)
Une fois toutes les pastilles percées au bon diamètre on va pouvoir souder les
composants.
Une mauvaise soudure peut par exemple conduire à des courts circuits si deux
pistes sont reliées par erreur.
c. Dépôt de pâte
On dépose un masque sur le circuit imprimé, les trous du masque correspondent aux
endroits où les composants seront soudés.
Nous pouvons voir ici l’application de la pâte sur le circuit imprimé par une machine.
d. Placement des composants
Une machine appelée placeur dispose les composants SMD sur le circuit imprimé.
Cela permet de placer plus de 10000 composants à l'heure. On comprend mieux l’utilité
d’une telle machine lorsque l’on sait qu’une carte mère d’ordinateur peut contenir
plusieurs centaines de composants.
Machine de placement
e. Soudure
Le soudage des composants s'effectue soit dans un four à infrarouge soit en
« Phase vapeur ». L'avantage du four à infrarouge est sa rapidité alors que la
précision de soudure est meilleure dans le cas du four en « phase vapeur ».
Soudage en phase vapeur : Ce four est constitué d'un liquide inerte fluoré. On
chauffe le produit à 215° à cette température il produit une vapeur dans
laquelle on trempe le circuit à souder. Ensuite on sort le circuit de la vapeur pour
le refroidir. Contrairement à la soudure au four à infrar ouge, la qualité des
soudures n'est pas influencée ni par la taille des composants ni par leur couleur.
Conclusion
En conclusion nous avons étudié toutes les étapes dans la réalisation d’une
carte électronique de sa conception jusqu’à sa fabrication. Pour cela nous avons étudié
toute l’étape de conception grâce à des logiciels spécialisés permettant de réaliser
facilement des schémas fonctionnels et électriques puis de gérer le routage du circuit.
Ensuite nous avons détaillé les différentes étapes dans la fabrication du circuit
imprimé, à savoir l’impression du typon, l’insolation, la révélation puis la gravure ainsi
que les différentes techniques pour mettre en œuvre cette procédure de fabrication.
Pour finir nous avons relevé les différentes technologies de composants tels
que les composants traditionnels et les c o m p o s a n t s SMD. Ces technologies
impliquant chacune des procédures de fabrication très différentes, l’une réservée à
un usage industriel, l’autre relativement accessible à tout un chacun.
Glossaire
Typon : Marque de fabrique devenue nom commun pour désigner tout film, positif ou
négatif, destiné à la copie sur plaque.
Piste : Partie d’un circuit imprimé qui relie les composants, agit comme un fil.
Pastille : Partie d’un circuit imprimé, dans la piste en bout de piste où sera soudé une
patte d’un composant.
Mylar : Feuille de matière réfléchissante (comme une feuille d'aluminium en plus fin).
Installation et réglage
Résumé de l’installation
This représente
Ceci is a typicalune
monture typique
"Mount"shown
montée sur un mur.
attached to a wall.
Remarquez
Notice thatque thelatop
partie supérieure de
portion is "Plumb".
la monture est
verticale. } Haut
Top
La clé d’une bonne installation réside dans une détermination très précise de l’angle de
votre antenne. L’angle, qui est nécessaire de connaître pour pointer vers le satellite, est le
degré de basculement de l’antenne vers le haut, par rapport à l’horizontale, vers le ciel.
Vous y parviendrez le mieux en faisant en sorte que la partie supérieure du mât qui reçoit
l’antenne parabolique, soit aussi verticale que possible. Autrement dit, la partie
supérieure du mât doit être aussi perpendiculaire que possible par rapport au plan du sol -
ceci est vrai si vous montez l’antenne sur un mur, sur le toit, ou à n’importe quel autre
endroit. Si cette condition fondamentale est remplie et si l’antenne est correctement
basculée selon l’angle du satellite, vous pourrez ensuite balayer le ciel (mouvements Est /
Ouest) pour trouver le satellite.
A mesure que vous déballez le système , assurez-vous que toutes les pièces soient
incluses. La liste des composantes figure dans la section <<Contenu de l'emballage >>
ci-dessous.
Nota : gardez les cartons d'emballage de votre équipement dans l'éventualité où il vous
faudrait le retourner.
Le diamètre standard d'une antenne parabolique ExpressVuMC est 60 cm. Toutefois, des
antennes paraboliques d'un diamètre de 76 cm, 90 cm ou 1,20 m sont également
disponibles. S'il vous faut une antennes de 90 cm ou 1,20 m, nous vous recommandons
de faire appel à un professionnel pour l'installer en raison du travail de plus longue
haleine que ceci nécessite.
Manuel d’installation
et d’utilisation
CONTENU DE L’EMBALLAGE
• Le récepteur ExpressVuMC
En outre, nous vous offrons une trousse d'installation en option qui comprend les câbles
et les accessoires nécessaires que vous utiliserez pendant l'installation. Communiquez
avec l'établissement où vous avez acheté votre système ExpressVuMC pour plus de
renseignements, ou appelez le Centre de service d’ExpressVuMC au 1-888-SKY-DISH
pour obtenir l'adresse d'un vendeur autorisé près de chez vous.
• Vous devriez pouvoir utiliser un fil à plomb ou un niveau à plomb pour vérifier
l'aplomb des surfaces horizontales et verticales. Cette exigence est particulièrement
importante pour les surfaces verticales.
• Vous devez pouvoir percer des trous dans la surface de fixation (qu'elle soit en bois, en
brique, en bloc de béton de mâchefer ou en tout autre matériau).
• Vous devez savoir comment percer des trous et passer des câbles dans votre édifice.
Ceci inclut l'étanchement des trous une fois que le câble a été installé.
Installation et réglage
Avant de commencer l’installation
OÙ EST-IL ?
Bien que la procédure d’ensemble d’assemblage soit identique pour les quatre grandeurs,
vous trouverez quelques différences ici et là : elles seront couvertes dans quatre
paragraphes distincts. Reportez-vous au paragraphe qui correspond à la grandeur de
l’antenne parabolique que vous avez achetée :
appelle un mât. Ces deux pièces sont livrées pré- Boulon d’angle
Boulon d'articulation
(un(un
sur sur
chaque côté) côté)
chaque
Pré-assemblez le réflecteur
parabolique comme suit :
7. Serrez légèrement l’écrou du côté face du pivot d’angle et laissez la partie arrière de
l’écrou avec un peu de jeu.
8. Votre réflecteur est maintenant prêt pour être monté sur le mât à l’extérieur.
Manuel d’installation
et d’utilisation
La monture devrait déjà être fixée à votre immeuble avant même que vous y posiez le
réflecteur parabolique. Quand vous fixez la monture sur un pan de mur ou sur un toit,
veillez bien à ce que sa partie supérieure soit rigoureusement verticale. Vous pouvez
vous-en assurer en utilisant un niveau à bulle sur le devant et sur le côté de la partie
supérieure. Il est important de fixer la monture solidement sur la structure à l’aide de 4
attaches pour que le vent ne puisse la déranger.
Nota : il importe que la monture soit verticale quelque soit le côté d’où vous le regardez,
comme le mât d’un drapeau.
CONTRE LA MONTURE
mât soit verticale. Peu importe que vous
deviez mouvoir le mât de haut en bas - vous
pouvez le faire avec les boulons pivotants après
l’installation du pied.
4. Marquez au crayon l’emplacement de l’un des trous et enlevez le mât.
5. Percez le trou et fixez la base du mât avec une seule attache.
Installation et réglage
Assemblage de l’antenne parabolique 60cm
Si vous éprouvez des difficultés à fixer la monture sur une surface, essayez
de fixer une solide planche de bois sur la surface que vous utiliserez, puis
fixez la monture sur la planche.
Vous avez fixé la monture sur votre immeuble et vous avez pré-assemblé le réflecteur
parabolique. Il est donc prêt à poser sur la monture.
1. Faites passer le câble coaxial vers le réflecteur comme indiqué dans l’illustration ci-
contre.
2. Raccordez une extrémité du câble coaxial au LNBF et l’autre à la prise «Entrée
satellite » du récepteur. Veillez à ce que le parcours du câble le mette à l’abri des
rongeurs ou de accidents, et qu’il ne gêne rien.
Manuel d’installation
et d’utilisation
Fourreau
Vue d'ensemble
(Sans la coupole)
(A) Le réflecteur
(B) Le bras de soutien et d’alimentation du LNBF
(C) Le support de montage de l’antenne
(D) La support de montage du LNBF
(E) Le LNBF
Installation et réglage
Assemblage de l’antenne parabolique de 76 cm
(E)
4. Placez le goulot étroit du LNBF à l’intérieur du sabot recourbé
du support de montage du LNBF. Placez ensuite le collet
d’accrochage sur le goulot. Fixez-le sans forcer à
l’aide des deux vis fournies. Ne serrez pas trop, car des
ajustements ultérieurs seront requis. Montez le collet
d’accrochage afin que les chiffres y figurant se lisent
correctement lorsqu’on les voit depuis l’arrière, en regardant à
travers l’antenne. Alignez la ligne de marquage, indiquée « UP
» située à l’arrière du LNBF, sur le chiffre 9 de l’échelle du
collet du LNBF.
8. Votre réflecteur est maintenant prêt pour être monté sur le mât
à l’extérieur.
La monture devrait déjà être fixée à votre immeuble avant même que vous n’y posiez le
réflecteur parabolique. Quand vous fixez la monture sur un pan de mur ou sur un toit,
veillez bien à ce que sa partie supérieure soit rigoureusement verticale. Vous pouvez vous
en assurer en utilisant un niveau à bulle sur le devant et le côté de la partie supérieure. Il
est important de fixer la monture solidement sur la structure à l’aide de 4 attaches que le
vent ne puisse la déranger.
Nota : il importe que la monture soit verticale quelque soit le côté d’où vous le regardez,
comme le mât d’un drapeau.
90˚
90˚ 90˚
2. Faites en sorte que les trous du pied soient VUE DE L'AVANT VUE LATÉRALE
7. Fixez le mât à l’aide des quatre attaches. Scellez les trous avec de la silicone pour
empêcher les écoulements d’eau qui pourraient abîmer votre édifice.
8. Placez le niveau à bulle sur la face avant de la partie supérieure du mât et ajustez-la en
la faisant pivoter la base autour de sa ferrure. Serrez les boulons quand la partie
supérieure est verticale. Vous n’aurez plus d’ajustements à réaliser sur la monture.
Si vous éprouvez des difficultés à fixer la monture sur une surface, essayez
de fixer une solide planche de bois sur la surface que vous utiliserez, puis
fixez la monture sur la planche.
Vous avez fixé la monture sur votre immeuble et vous avez pré-assemblé le réflecteur
parabolique. Il est donc prêt à poser sur la monture.
2. Serrez légèrement les deux écrous au dos du collier de fixation afin que le réflecteur,
sans présenter trop de jeu, puisse néanmoins se mouvoir dans le sens Est/Ouest.
3. Vous pourrez procéder à l’alignement du réflecteur une fois que vous aurez réalisé le
câblage tel qu’expliqué dans le palier 3.2D ci-dessous
moisissure.
Manuel d’installation
et d’utilisation
LNBF
Le système dans son entier consiste en trois étapes
principales : le réflecteur parabolique, l’assemblage de
l’antenne et le récepteur. La monture consiste du pied
(base) et d’un tuyau métallique courbe que l’on LNBF
BrasARM
du
LN crans d'arrêt
soutien du LNBF et venir heurter un cran d’arrêt
en plastique. Vissez-le ensuite avec la vis qui vous
est livrée.
3. Placez le cou du LNBF dans l’étrier courbe du bras de soutien, puis placez le collier
au-dessus du cou et vissez-le doucement avec les vis fournies. Ne serrez pas trop fort,
car des ajustements ultérieurs seront requis. La partie en plastique blanc du LNBF doit
faire face au réflecteur parabolique.
Installation et réglage
Assemblage de l’antenne parabolique de 90 cm
régions de l’Est.
ELEVATION
80
90
6. Déterminez votre angle à partir du même Tableau
(page 4-38) et ajustez l’angle de l’antenne de GAUGE
façon à ce que le centre de l’écrou supérieur du
mât corresponde à votre angle tel que vous
l’indique le cadran de la tête du mât. Dans le
diagramme ci-contre, cet angle est réglé à 50 10 20 30 40
50
60
degrés. 70
80
7. Serrez légèrement l’écrou du côté face du pivot 90
La monture devrait déjà être fixée à votre immeuble avant même que vous n’y posiez le
réflecteur parabolique. Quand vous fixez la monture sur un pan de mur ou sur un toit,
veillez bien à ce que sa partie supérieure soit rigoureusement verticale. Vous pouvez vous
en assurer en utilisant un niveau à bulle sur le devant et le côté de la partie supérieure. Il
est important de fixer la monture solidement sur la structure à l’aide des attaches
appropriées, afin que le vent ne puisse la déranger. Le dispositif de montage du réflecteur
occupe une zone d’environ 9 pieds carrés, ce qui comprend le pied du mât et les deux
montants d’appui.
Manuel d’installation
et d’utilisation
Nota : il importe que la monture soit verticale quelque soit le côté d’où vous le regardez,
comme le mât d’un drapeau.
90˚
90˚ 90˚
11. Fixez la monture avec les quatre attaches. Scellez les trous avec de la silicone pour
empêcher les écoulements d’eau qui pourraient abîmer votre édifice.
12. Serrez le boulon de fixation du montant qui a été installe plus haut (voir Nº 8). Placez
le niveau sur la surface avant de la partie coudée du mât pour s’assurer que le mât est
toujours vertical. Il n’y a aucun autre réglage à effectuer au montage.
Si vous éprouvez des difficultés à fixer la monture sur une surface, essayez
de fixer une planche de bois solide sur la surface que vous utiliserez, puis
fixez la monture sur le bois.
Vous avez fixé la monture sur votre immeuble et vous avez pré-assemblé le réflecteur
parabolique. Il est donc prêt à poser sur la monture.
2. Serrez légèrement les quatre écrous au dos du collier de fixation afin que le réflecteur,
sans présenter trop de jeu, puisse néanmoins se mouvoir dans le sens Est/Ouest.
3. Vous pourrez procéder à l’alignement du réflecteur une fois que vous aurez réalisé le
câblage tel qu’expliqué dans le palier 3.3D ci-dessous.
4. Sur tous les raccords à l’air libre, veillez à utiliser des chaussons de protection pour
protéger le câble de la moisissure.
Le système dans son entier consiste en trois étapes principales : le réflecteur parabolique,
l’assemblage de l’antenne et le récepteur. La monture consiste du pied (base) et d’un
tuyau métallique courbe que l’on appelle un mât. Ces deux pièces sont livrées pré-
assemblées. L’assemblage de l’antenne est composée du réflecteur , de sa ferrure de
support, du bras de soutien du LNBF (amplificateur de signal à faible bruit). Le récepteur
est aussi entièrement assemblé.
un peu de jeu.
GAUGE
8. Votre réflecteur est maintenant prêt pour être
monté sur le mât à l’extérieur.
10 20 30 40
50
60
70
80
90
La monture devrait déjà être fixée à votre immeuble avant même que vous n’y posiez le
réflecteur parabolique. Quand vous fixez la monture sur un pan de mur ou sur un toit,
veillez bien à ce que sa partie supérieure soit rigoureusement verticale. Vous pouvez vous
en assurer en utilisant un niveau à bulle sur le devant et le côté de la partie supérieure. Il
est important de fixer la monture solidement sur la structure à l’aide de 4 attaches que le
vent ne puisse la déranger.
Nota : il importe que la monture soit verticale quelque soit le côté d’où vous le regardez,
comme le mât d’un drapeau.
90˚
90˚
90˚
5. Fixez le pied en utilisant les deux attaches. Scellez les trous avec de la silicone pour
empêcher les écoulements d’eau qui pourraient abîmer votre édifice
6. Installez le mât au pied à l’aide des attaches fournies. Orientez le mât de telle sorte
que la petite partie coudée soit vers l’avant et à la verticale.
Installation et réglage
Assemblage de l’antenne parabolique de 120 cm
7. Placez un niveau à bulle sur la surface avant de la partie coudée du mât et réglez le
mât à une position verticale. Serrez le boulon de montage du mât.
8. Fixez les deux montants d’appui du mât en utilisant les pièces de quincaillerie
fournies. Serrez bien le boulon tout en permettant un léger mouvement des montants.
9. Placez la base de chaque montant à angle droit sur la surface de montage et marquez
l’emplacement des trous. Avant de percer les trous pour les montants, assurez-vous à
l’aide du niveau à bulle que le mât est toujours à angle droit : cette vérification est très
importante pour assurer un bon alignement.
10. Percez les trous en maintenant la base des montants bien en place (ou encore, vous
pouvez marquer l’emplacement des trous, déplacer légèrement les montants, puis
percer).
11. Fixez la monture avec les quatre attaches. Scellez les trous avec de la silicone pour
empêcher les écoulements d’eau qui pourraient abîmer votre édifice.
12. Serrez le boulon de fixation du montant qui a été installe plus haut (voir Nº 8). Placez
le niveau sur la surface avant de la partie coudée du mât pour s’assurer que le mât est
toujours vertical. Il n’y a aucun autre réglage à effectuer au montage.
Si vous éprouvez des difficultés à fixer la monture sur une surface, essayez
de fixer une planche de bois solide sur la surface que vous utiliserez, puis
fixez la monture sur le bois.
Vous avez fixé la monture sur votre immeuble et vous avez pré-assemblé le réflecteur
parabolique. Il est donc prêt à poser sur la monture.
2. Serrez légèrement les deux écrous au dos du collier de fixation afin que le réflecteur,
sans présenter trop de jeu, puisse néanmoins se mouvoir dans le sens Est/Ouest.
3. Vous pourrez procéder à l’alignement du réflecteur une fois que vous aurez réalisé le
câblage tel qu’expliqué dans le palier 3.4D ci-dessous.
Manuel d’installation
et d’utilisation
PALIER 3.4D : LE CÂBLAGE (ANTENNE PARABOLIQUE DE 120 CM)
4. Sur tous les raccords à l’air libre, veillez à utiliser des chaussons de protection pour
protéger le câble de la moisissure.
ÉTAPE 4 : INSTALLATION DE
UN OU PLUSIEURS RÉCEPTEURS
Note: La marche à suivre décrite dans ce guide est valable pour l’installation d’un
récepteur unique. Si toutefois vous désirez utiliser ce récepteur en combinaison avec un
ou plusieurs récepteurs, vous devrez procéder selon les étapes décrites ci-dessous. Si
vous avez déjà installé un ou plusieurs récepteurs, et que vous désirez installer un
récepteur supplémentaire, vous devrez peut-être modifier l’installation.
À la section Raccordement du câble au bloc de mise à la terre (page 4-2), vous devez
connecter chaque câble coaxial du LNBF au bloc de mise à la terre. Vous devez tirer deux
câbles coaxiaux du bloc de mise à la terre à l’intérieur de la maison.
Installation et réglage
Installation du récepteur
À la section Câblage de votre système (page A-13, vous devez suivre les étapes
suivantes:
Si vous voulez installer deux récepteurs, vous devez acheminer chaque c‚ble coaxial du
LNBF au récepteur qui lui est assigné. Vous ne pouvez pas connecter deux récepteurs au
même câble (en utilisant un répartiteur) car les récepteurs seraient en interférence lors de
la sélection des canaux.
Si vous voulez installer plus de deux récepteurs, vous devrez vous procurer
le matériel additionnel nécessaire. Contactez votre détaillant ou téléphonez au Service à
la Clientèle pour de l’assistance.
INSTALLATION DU RÉCEPTEUR
Raccordez le câble provenant de l’antenne parabolique à votre téléviseur comme vous
l’explique de Manuel d’Installation et d’Utilisation d’ExpressVuMC et allumez le
récepteur. Utilisez votre nouvelle télécommande (dont le Manuel d’Installation et
d’Utilisation décrit exhaustivement le fonctionnement) pour faire ce qui suit . Notez que
les récepteurs ExpressVuMC sont réglés en usine pour un affichage en anglais. Vous
pourrez obtenir un affichage en français avec votre télécommande UHF après avoir
aligné de votre antenne parabolique et téléchargé le logiciel initial de fonctionnement.
Consultez la section << Configurations de câblage >> à la page A-13 pour des
suggestions de configurations de câblage.
1. Assurez-vous que votre SmartCard est installée dans le récepteur. Si votre SmartCard a
été livrée dans un emballage distinct, vous devez la glisser dans la fente du récepteur.
2. Allumez le récepteur.
1. Assurez-vous que l’angle a bien été réglé conformément au Tableau (page 4-38)
2. Assurez-vous que l’orientation du LNBF est conforme à celle indiquée par le Tableau
(page 4-38)
Installation et réglage
Alignement de l’antenne parabolique
3. Pointez l’antenne dans la direction du satellite à l’aide d’une boussole, comme nous
vous l’avons expliqué plus haut (voir Étape 2). À titre de référence, marquez ce point
de départ avec un crayon sur le collier de fixation de l’antenne et sur le mât.
4. Allumez le récepteur
18
Ne tenez pas compte du champ Zip Code et des mesures << Azimuth >> et
<< Elevation >> : elles ne sont pas utilisées au Canada.
Manuel d’installation
et d’utilisation
Ne vous placez pas directement devant l’antenne parabolique en l’orientant,
votre corps risquant de bloquer tout ou partie du signal satellite.
Boulons
Mast Headdu
sommet
Clamp du
Bolts
mât
Boulons
Mast Headdu
sommet
Clamp du
Bolts
mât
Boulons du
sommet du
Mast Head
mât
Clamp Bolts
90˚
90˚
Antenne de 60cm Antenne de 76cm Antenne de 90 et 120cm
11.Maintenant que vous avez réglé le récepteur afin qu’il affiche l’écran voulu, vous
pouvez procéder aux ajustements du réflecteur pour le pointer sur le satellite. Si la
barre d’intensité du signal n’enregistre aucun signal, desserrez légèrement les boulons
du collier de fixation au sommet du mât est basculez doucement le réflecteur dans une
direction. N’y laissez pas vos mains. Faites-le par à-coups, jusqu’à ce que le réflecteur
ait balayé environ 10 degrés. Comme il faut au système une seconde pour enregistrer
l’intensité du signal, veillez à marquer des pauses dans le balayage. Votre ami qui
observe l’écran du téléviseur doit vous avertir si la barre d’intensité du signal
enregistre quelque chose. La conversation ressemble à peu près à ceci :
12.Si votre balayage dans la direction initiale ne donne aucun résultat, replacez le
réflecteur à sa position d’origine telle que vous l’avez marquée au crayon et
recommencez, mais cette fois-ci en balayant dans la direction opposée, toujours par à
coups.
Installation et réglage
Alignement de l’antenne parabolique
13.Vous aurez trouvé le satellite si la barre d’intensité du signal enregistre un signal :
vous pourrez alors parfaire le pointage du réflecteur. Le but consiste ici à obtenir le
meilleur coefficient de réception du signal en ajustant les trois paramètres suivants :
Vertical
Boulons
Vertical
Elevation
d’angle
Elevation
Boulons
Bolts d’angle
Bolts
Boulons
Vertical
Elevation
d’angle
Bolts
90˚
90˚
16.Maintenant que vous avez le meilleur signal possible, serrez toutes les vis et boulons.
Choisissez l’option Sauvegarder sur l’écran. À l’aide d’un marqueur, indiquez les
Manuel d’installation
et d’utilisation
repères de réglage sur le mât et sur les colliers de fixation : ces marquages vous seront
utiles à l’avenir si vous deviez repointer l’antenne parabolique à la suite d’intempéries
ou d’un coup de vent.
Nota : n’égratignez pas la surface peinte pour y inscrire des marques, sous peine de
provoquer de la rouille.
17.Quand vous choisissez l’option Sauvegarder, vous verrez apparaître un autre écran
vous invitant à ne pas toucher au récepteur, car il télécharge un logiciel. Ce
téléchargement en provenance du satellite est nécessaire au fonctionnement du
récepteur. Vous pouvoir cliquer sur l’option Valider, ou simplement attendre la fin du
téléchargement. Mis à part le fait de cliquer sur Valider, ne touchez pas au récepteur,
jusqu’à ce qu’il ait fini de télécharger. Le téléchargement peut durer quelques minutes.
19.Si vous souhaitez que votre système ExpressVuMC affiche le français, suivez les
instructions de la section « Changement de langue », à la page 3-6
Si, malgré vos efforts, vous ne recevez aucun signal, c’est que les
ajustements verticaux sont probablement mauvais. Essayez de changer
l’angle en procédant à des sauts de 1" sur le cadran, puis recommencez la
procédure ci-dessus.
Tableau de référence des
Aide
AIDE
Si vous ne pouvez trouver le satellite, ou soupçonnez que votre mât n’est pas
rigoureusement vertical, essayez ce qui suit:
ALBERTA
COLOMBIE - BRITANNIQUE
MANITOBA
NOUVEAU - BRUNSWICK
TERRE-NEUVE
TERRITOIRES
DU NORD-OUEST
NOUVELLE - ÉCOSSE
ONTARIO
ÎLE-DU-
PRINCE-ÉDOUARD
QUÉBEC
SASKATCHEWAN
YUKON
3°
90 5.
4°
r 3 °
80 d so 32. 31.5
70 i n t o r
W ron uve °
60 o c o 2 8.0
T n al
Va ntré
.0°
50
o
M x 23
40 lifa
Ha 7.4° 4.6°
o r se 1 e u ve 1
- N
30 iteh erre
Wh n de T
e a
St. J
20 10.9°
Inuvik
10
0
Manuel d’installation
et d’utilisation
AVANT DE COMMENCER
1. Une tige en fer cuivré enfoncée dans le sol le plus près possible de votre édifice,
constitue une bonne terre. Vos codes locaux vous donneront les détails voulus.
2. Placez votre bloc de mise à la terre aussi près que possible de la tige de mise a la terre.
4. Pour chaque câble coaxial raccordé au bloc de mise à la terre, connectez un second
câble coaxial à la borne coaxiale, de l’autre côté du bloc de mise à la
terre : c’est ce câble que vous acheminerez vers l’édifice et le récepteur.
Pour raccorder votre récepteur ExpressVuMC à une ligne téléphonique, branchez un fil
téléphonique au Phone Jack (fiche téléphonique) situé sur le panneau arrière du récepteur.
Lorsque vous achetez des émissions TAC d’ExpressVuMC , votre récepteur enregistre
l’information dans sa mémoire. Pour profiter de certains services qu’offre ExpressVuMC ,
tels que TAC et l’alimentation de plusieurs récepteurs a l’intérieur d’un même foyer,
votre récepteur doit être raccordé à une ligne téléphonique active. Notez que tous les
récepteurs doivent être raccordés à la même ligne téléphonique. Le récepteur appelle le
Centre de service à quelques jours d’intervalle pour envoyer les données relatives aux
achats effectués. Ces appels - gratuits - sont effectués au milieu de la nuit, à des heures
irrégulières. Ceci n’entravera en rien l’usage normal de votre téléphone.
User and
Installation Guide
Nota : le récepteur sera encore hors tension, bien que vous verrez des informations sur
votre téléviseur. Il vous faudra appuyer sur la touche Power de la télécommande ou du
récepteur pour allumer à nouveau le récepteur.
En option, l'agent du service vous demandera si vous voulez utiliser un numéro personnel
d'identification ExpressVuMC (NPI) pour le Centre de service. Consultez la section
<<Fonctions de sécurité>> à la page 2-21 pour des renseignements complémentaires.
TECHNOLOGIE DES PANNEAUX PHOTOVOLTAIQUES
A) Différents types de panneaux photovoltaïques
On distingue actuellement trois principaux types de panneaux
photovoltaïques, qui sont différenciés par le type de cellules qui les
composent. Toutes les cellules sont produites à base de silicium, mais les
méthodes de fabrication différentes leurs donnent des caractéristiques très
différentes, notamment en termes de productivité.
• Les panneaux solaires photovoltaïques, appelés modules photovoltaïques,
convertissent la lumière en électricité par l'intermédiaire d’un matériau
semi-conducteur (en général du silicium).
• Un module photovoltaïque est composé de cellules photovoltaïques (en
silicium) reliées entre elles et intégrées dans un cadre de métal et de verre
spécial.
1) Les cellules amorphes
Les cellules amorphes sont produites à partir d'un "gaz de silicium", qui est projeté
sur du verre, du plastique souple ou du métal, par un procédé de vaporisation
sous vide. La cellule est gris très foncé. C'est la cellule des calculatrices et des
montres dites « solaires », car ce type de cellule est bon marché et la technologie
est utilisable sur de nombreux supports, notamment des supports souples. Le
problème c’est que son rendement est 2 à 3 fois plus faible que les cellules
monocristallines.
2) Les cellules monocristallines
Les cellules monocristallines sont issues d'un seul bloc de silicium fondu, elles sont
donc très "pures". Elles offrent le meilleur rendement (entre 13 et 17%), mais sont
aussi plus chères à la production, donc à la vente. Ces cellules sont en général
octogonales et d'une couleur uniforme foncée (bleu marine ou gris).
Ces cellules sont les plus performantes, elles permettent donc de constituer des
panneaux qui sont très performants : ceux qui produisent le plus d’énergie avec le
moins de surface.
- - -
2) Couplage parallèle
On n’associe en parallèle que des modules de même tension maximale.
L’association en parallèle permet d’obtenir une grande intensité de sortie.
+ + +
- - -
3) Couplage mixte
Elle permet d’obtenir l’augmentation de la tension et du courant
+ + +
- - -
+ + +
- - -
CABLAGE D’UNE INSTALLATION SOLAIRE
A) SCHEMA DE BRANCHEMENT D’UNE INSTALLATION SOLAIRE
Les accessoires de base par poste pour une installation sont:
1. PANNEAU SOLAIRE (la quantité dépend de la puissance à fournir)
2. REGULATEUR SOLAIRE(01)
3. BATTERIE SOLAIRE (la quantité dépend de la tension et du courant à fournir)
4. ONDULEUR SOLAIRE (01)
5. DISJONCTEUR BIPOLAIRE(04)
6. CHARGE DC (la quantité dépend de l’utilisation)
7. CABLES (la section dépend de la charge)
B) Ordre de mise en marche du système:
1. Batterie
2. Panneau
3. Charge DC
4. Onduleur
5. Charge AC
C) Les diamètres de base des câbles pour une installation domestique sont:
1. PANNEAU SOLAIRE (10mm2)
2. REGULATEUR SOLAIRE (10mm2) à l’entrée et (6mm2)à la sortie.
3. BATTERIE SOLAIRE (10mm2)
4. ONDULEUR SOLAIRE (10mm2) à l’entrée et (2,5mm2) vers la prise de
courant.
5. DISJONCTEUR BIPOLAIRE (10mm2)
6. CHARGE DC (2,5mm2) au minimum
D) Distance maximale recommandée entre accessoires
SYSTEME DE COMMANDE
AUTOMATIQUE DE L'INSTALLATION
N
Ph N
CONTACTEUR
Ph N
LES CONCEPTS
LES CONCEPTS :
L’analyse des différentes formes de maintenance repose sur 4 concepts :
L’utilisation d’un langage commun pour toutes les parties (conception, production,
prestataires de services, etc.)
La mise en place de systèmes informatisés de gestion de la maintenance
LES MÉTHODES :
Le choix entre les méthodes de maintenance s’effectue dans le cadre de la politique de la maintenance et
doit s’opérer en accord avec la direction de l’entreprise.
Pour choisir, il faut donc être informé des objectifs de la direction, des directions politiques de
maintenance, mais il faut connaître le fonctionnement et les caractéristiques des matériels, le comportement
du matériel en exploitation, les conditions d’application de chaque méthode, les coûts de maintenance et les
coûts de perte de production.
Le diagramme suivant synthétise selon la norme NF X 60-000 les méthodes de maintenance.
La maintenance corrective :
Définitions (extraits normes NF X 60-010) :
Défaillance : altération ou cessation de l’aptitude d’un bien à accomplir la fonction requise.
Il existe 2 formes de défaillance :
Défaillance partielle : altération ou dégradation de l’aptitude d’un bien à accomplir la fonction requise.
Défaillance complète : cessation de l’aptitude d’un bien à accomplir la fonction requise.
La maintenance corrective appelée parfois curative (terme non normalisé) a pour objet de redonner au
matériel des qualités perdues nécessaires à son utilisation.
Les défauts, pannes ou avaries diverses exigeant une maintenance corrective entraînent une
indisponibilité immédiate ou à très brève échéance des matériels affectés et/ou une dépréciation en quantité
et/ou qualité des services rendus.
La maintenance préventive :
Maintenance effectuée selon des critères prédéterminés, dont l’objectif est de réduire la probabilité de
défaillance d’un bien ou la dégradation d’un service rendu.
Elle doit permettre d’éviter les défaillances des matériels en cours d’utilisation.
L’analyse des coûts doit mettre en évidence un gain par rapport aux défaillances qu’elle permet d’éviter.
Maintenance préventive effectuée selon un échéancier établi selon le temps ou le nombre d’unités
d’usage (produites). Même si le temps est l’unité la plus répandue, d’autres unités peuvent être retenues
telles que : la quantité de produits fabriqués, la longueur de produits fabriqués, la distance parcourue, la
masse de produits fabriqués, le nombre de cycles effectués, etc.
Cette périodicité d’intervention est déterminée à partir de la mise en service ou après une révision
complète ou partielle.
Cette méthode nécessite de connaître :
o Le comportement du matériel
o Les modes de dégradation
o Le temps moyen de bon fonctionnement entre 2 avaries
Remarque : de plus en plus, les interventions de la maintenance systématique se font par échanges
standards.
Cas d’application :
o Équipements soumis à une législation en vigueur (sécurité réglementée) : appareils de levage, extincteurs,
réservoirs sous pression, convoyeurs, ascenseurs, monte-charge, etc.
o Équipements dont la pane risque de provoquer des accidents graves : tous les matériels assurant le
transport en commun des personnes, avions, trains, etc.
o Équipement ayant un coût de défaillance élevé : éléments d’une chaîne de production automatisée,
processus fonctionnant en continu (industries chimiques ou métallurgiques).
o Équipements dont les dépenses de fonctionnement deviennent anormalement élevées au cours de leur
temps de service : consommation excessive d’énergie, éclairage par lampes usagées, allumage et
carburation déréglés (moteurs thermiques), etc.
Certaines méthodes comme l’analyse vibratoire, l’analyse d’huile, ... sont très riches quant aux
informations recueillies. Leur compréhension autorise la prise à bon escient, de décisions qui sont à la base
d’une maintenance préventive conditionnelle.
La surveillance est soit périodique, soit continue
Avantage : la connaissance du comportement se fait en temps réel à condition de savoir interpréter les
résultats. A ce niveau, l’informatique prend une place primordiale.
Le matériel nécessaire pour assurer la maintenance préventive conditionnelle devra être fiable pour ne
pas perdre sa raison d’être. Il est souvent onéreux, mais pour des cas bien choisis il est rentabilisé
rapidement.
Cette méthode de maintenance, pour être efficace, doit dans tous cas être comprise et admise par les
responsables de production et avoir l’adhésion de tout le personnel.
Ces méthodes doivent être dans la mesure du possible standardisées entre les différents secteurs
(production et périphériques) ; ce qui n’exclut pas l’adaptation essentielle de la méthode au matériel.
Avec l’évolution actuelle des matériels et leurs tendances à être de plus en plus fiables, la proportion des
pannes accidentelles sera mieux maîtrisée. La maintenance préventive diminuera quantitativement d’une
façon systématique mais s’améliorera qualitativement par la maintenance conditionnelle.
Le dépannage :
Action sur un bien en panne, en vue de le remettre en état de fonctionnement. Compte tenu de l’objectif,
une action de dépannage peut s’accommoder de résultats provisoires (maintenance palliative) avec des
conditions de réalisation hors règles de procédures, de coûts et de qualité, et dans ce cas sera suivie de la
réparation.
Le dépannage n’a pas de conditions d’applications particulières. La connaissance du comportement du
matériel et des modes de dégradation sont à la base d’un bon diagnostic et permettent souvent de gagner du
temps.
Souvent, les opérations de dépannage sont de courtes durées mais peuvent être nombreuses. De ce fait,
les services de maintenance soucieux d’abaisser leurs dépenses tentent d’organiser les actions de
dépannage. Certains indicateurs de maintenance (pour en mesurer son efficacité) prennent en compte le
problème du dépannage. Ainsi, le dépannage peut être appliqué par exemple sur des équipements
fonctionnant en continu dont les impératifs de production interdisent toute visite ou intervention à l’arrêt.
La réparation :
Intervention définitive et limitée de maintenance corrective après panne ou défaillance.
L’application de la réparation peut être décidée soit immédiatement à la suite d’un incident ou d’une
défaillance, soit après un dépannage, soit après une visite de maintenance préventive conditionnelle ou
systématique.
Remarque : la réparation correspond à une action définitive. L’équipement réparé doit assurer les
performances pour lesquelles il a été conçu.
Tous les équipements sont concernés.
Les inspections : activités de surveillance consistant à relever périodiquement des anomalies et exécuter
des réglages simples ne nécessitant pas d’outillage spécifique, ni d’arrêt de l’outil de production ou des
équipements.
Les visites : opérations de surveillance qui, dans le cadre de la maintenance préventive systématique,
s’opèrent selon une périodicité déterminée. Ces interventions correspondent à une liste d’opérations
définies préalablement qui peuvent entraîner des démontages d’organes et une immobilisation du matériel.
Une visite peut entraîner une action de maintenance corrective.
Les contrôles : vérifications de conformité par rapport à des données préétablies suivies d’un jugement. Le
contrôle peut :
o Comporter une activité d’information
o Inclure une décision : acceptation, rejet, ajournement
o Déboucher comme les visites sur des opérations de maintenance corrective
Les opérations de surveillance (contrôles, visites, inspections) sont nécessaires pour maîtriser l’évolution
de l’état réel du bien. Elles sont effectuées de manière continue ou à des intervalles prédéterminés ou non,
calculés sur le temps ou le nombre d’unités d’usage.
Autres opérations :
Révision :
Ensemble des actions d’examens, de contrôles et des interventions effectuées en vue d’assurer le bien
contre toute défaillance majeure ou critique, pendant un temps ou pour un nombre d’unités d’usage donné.
Il faut distinguer suivant l’étendue des opérations à effectuer les révisions partielles et les révisions
générales. Dans les 2 cas, cette opération nécessite la dépose de différents sous-ensembles.
Le terme révision ne doit en aucun cas être confondu avec les termes visites, contrôles, inspections.
Les 2 types d’opérations définis (révision générale ou partielle) relèvent du 4ème niveau de
maintenance.
Les échanges standards :
Reprise d’une pièce ou d’un organe ou d’un sous-ensemble usagé, et vente au même client d’une pièce
ou d’un organe ou d’un sous-ensemble identique, neuf ou remis en état conformément aux spécification du
constructeur, moyennant le paiement d’une soulte dont le montant est déterminé d’après le coût de remise
en état.
Soulte : somme d’argent qui, dans un échange ou dans un partage, compense l’inégalité de valeur des biens
échangés.
La maintenance d’amélioration :
L’amélioration des biens d’équipements consiste à procéder à des modifications, des changements, des
transformations sur un matériel. Dans ce domaine, beaucoup de choses restent à faire. Il suffit de se référer
à l’adage suivant : « on peut toujours améliorer ». C'est un état d'esprit qui nécessite une attitude créative.
Cependant, pour toute maintenance d'amélioration une étude économique sérieuse s'impose pour s'assurer
de la rentabilité du projet.
Les améliorations à apporter peuvent avoir comme objectif l'augmentation des performances de
production du matériel ; l'augmentation de la fiabilité (diminuer les fréquences d'interventions) ;
l'amélioration de la maintenabilité (amélioration de l'accessibilité des sous-systèmes et des éléments à haut
risque de défaillance) ; la standardisation de certains éléments pour avoir une politique plus cohérente et
améliorer les actions de maintenance, l'augmentation de la sécurité du personnel et des conditions de
travail, l’augmentation de la qualité des prestations ou produits finis.
Tous les matériels sont concernés à condition que la rentabilité soit vérifiée ; cependant une petite
restriction pour les matériels à renouveler dont l'état est proche de la réforme, pour usure généralisée ou par
obsolescence technique.
La rénovation (extrait de la norme NF X 50-501, février 1982) :
Inspection complète de tous les organes, reprise dimensionnelle complète ou remplacement des pièces
déformées, vérification des caractéristiques et éventuellement réparation des pièces et sous-ensembles
défaillants, conservation des pièces bonnes.
La rénovation apparaît donc comme l'une des suites possibles d'une révision générale au sens strict de sa
définition.
La reconstruction :
Remise en l'état défini par le cahier des charges initial, qui impose le remplacement de pièces vitales par
des pièces d'origine ou des pièces neuves équivalentes.
La reconstruction peut être assortie d'une modernisation ou de modifications.
Les modifications apportées peuvent concerner, en plus de la maintenance et de la durabilité, la capacité
de production, l'efficacité, la sécurité, etc.
Remarque : Actuellement entre la rénovation et la reconstruction, se développe une forme intermédiaire : «
la cannibalisation ». Elle consiste à récupérer, sur du matériel rebuté, des éléments en bon état, de durée de
vie connue si possible, et à les utiliser en rechanges ou en éléments de rénovation.
La modernisation :
Remplacement d'équipements, accessoires et appareils ou éventuellement de logiciel apportant, grâce à
des perfectionnements techniques n'existant pas sur le bien d'origine, une amélioration de l'aptitude à
l'emploi du bien.
Cette opération peut aussi bien être exécutée dans le cas d'une rénovation, que dans celui d'une
reconstruction.
La rénovation ou la reconstruction d'un bien durable peut donner lieu pour certains de ses sous-
ensembles ou organes à la pratique d'un échange standard.
Les travaux neufs
L'adjonction à la fonction maintenance de la responsabilité des travaux neufs est très répandue, en
particulier dans les entreprises de taille moyenne. Elle part du principe que, lors de tout investissement
additionnel de remplacement ou d'extension, il est logique de consulter les spécialistes de la maintenance
qui, d'une part, connaissent bien le matériel anciennement en place, et d'autre part auront à maintenir en état
de marche le matériel nouveau. A partir de là, on prend souvent la décision de leur confier l'ensemble des
responsabilités de mise en place des nouvelles installations. On crée alors un service appelé « maintenance-
travaux neufs ».
L'étendue des responsabilités en matière de travaux neufs est très variable d'une entreprise à l'autre. Il
peut s'agir de la construction d'un quai ou d'un bâtiment, de la mise en place d'une machine achetée à
l'extérieur (raccordement à la source d'énergie, etc.), ou même de la réalisation intégrale de la machine elle-
même. Dans certains cas les « travaux neufs » auront recours à la fabrication de l'entreprise qui réalisera les
commandes passées par eux-mêmes.
Notons que même si la fonction maintenance ne se voit pas adjoindre la fonction « travaux neufs », le
service s'occupera des installations succinctes du type modifications (réfection d'un bureau, etc.).
La sécurité
La sécurité est l'ensemble des méthodes ayant pour objet, sinon de supprimer, du moins de minimiser les
conséquences des défaillances ou des incidents dont un dispositif ou une installation peuvent être l'objet,
conséquences qui ont un effet destructif sur le personnel, le matériel ou l'environnement de l'un et de l'autre.
Sachant qu'un incident mécanique, une panne, peuvent provoquer un accident, sachant aussi que la
maintenance doit maintenir en état le matériel de protection ou même que certaines opérations de
maintenance sont elles-mêmes dangereuses, il apparût que la relation entre la maintenance et la sécurité est
particulièrement étroite. Pour toutes ces raisons ainsi que pour sa connaissance du matériel, le responsable
de la maintenance peut participer aux réunions du Comité d'Hygiène, de Sécurité et des Conditions de
Travail (CHSCT) en qualité de membre ou à titre d'invité, et développer sa collaboration avec le
Responsable sécurité lorsque l'entreprise en possède un.
Dans une entreprise moyenne où la sécurité n'a pas de service propre, on trouve normal de faire appel au
service maintenance pour les interventions concernant la sécurité. Celles-ci sont de deux ordres :
D'une part celles que l'on peut classer dans la sécurité « officielle ». C'est la tenue des
registres concernant les chaudières, les visites d'appareils à pression, le contrôle des
installations électriques, etc., la tenue des dossiers des rapports de visite de l'inspecteur du
Travail, du contrôleur de la Sécurité sociale, etc.
D'autre part celles qui, tout en s'inspirant des premières, les appliquent dans un contexte
précis.
Conclusion :
Même si les activités connexes sortent du cadre direct de la maintenance (= maintenir en état) elles
s'intègrent bien dans le champ de compétence des techniciens et des professionnels de maintenance. En
période de crise économique, certains industriels peuvent se montrer prudents à l'égard des investissements
et trouvent des possibilités d'amélioration par l'intermédiaire de ces formes de maintenance.
En résumé nous pouvons présenter les opérations de maintenance suivant le tableau synoptique suivant :
.