Tpa Tle F2 Harmonisés

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La fabrication d’un circuit imprimé.

La fabrication d’un circuit imprimé. ............................................................................................................................ 2


I. Laconception surordinateur. ............................................................................................................................. 4
1. Réalisationdu schéma ...................................................................................... Erreur ! Signet non défini.
2. Router les schéma électrique (confère CAO) ............................................................................................. 5
II. Fabricationducircuitimprimé ...................................................................................................................... 6
1. Prérequis : ................................................................................................................................................... 6
a. Circuit imprimé-circuit électronique ...................................................................................................... 6
b. Constitution d’une plaquette présensibilisé ............................................................................................ 6
2. Imprimer le typon ....................................................................................................................................... 6
3. Insolation de la plaque époxy ..................................................................................................................... 8
4. La révélation ............................................................................................................................................... 9
5. Graverlecircuitimprimé............................................................................................................................... 9
III. Miseenplaceetsouduredescomposants....................................................................................................... 10
1. Lescomposantstraditionnels ...................................................................................................................... 10
a. Percer le circuit..................................................................................................................................... 10
b. Souder les composants ......................................................................................................................... 11
INTRODUCTION

De nos jours l’électronique est présente dans la moindre de nos activités


quotidiennes, les voitures, les cafetières, les téléphones portables, les appareils
photo et bien sûr particulièrement dans les ordinateurs. Toutes ces applications
nécessitent la réalisation de carte électronique ne serait-ce que pour gérer
l’alimentation des différents composants.
Une carte électronique est un ensemble de composants tel que des résistances,
condensateurs ou circuits intégrés réunis sur une plaque de manière à former un
circuit destiné à un usage précis. Cela nous amène donc à nous demander :
Quels sont les différentes étapes, de la conception à la fabrication, dans la réalisation
d’une carte électronique?
Nous étudierons tout d’abord la conception par ordinateur du circuit
électronique, puis la préparation du circuit imprimé et pour terminer la mise en place
et la soudure des composants.

I. La conception sur ordinateur.


1. Réalisation du schéma

Une fois le besoin analysé et le cahier des charges validé la première grande
étape dans la réalisation d’une carte électronique est la conception et la simulation des
différentes fonctions de celle-ci.
Il existe de nombreux logiciels de CAO* qui nous permettent de réaliser ces
simulations facilement. On utilise d’abord des outils de simulations fonctionnelles et
électriques. A cette étape, on ne prend donc pas encore en compte les composants
proprement dits mais on établit les différentes fonctions du circuit selon le cahier des
charges établi.

un exemple de circuit électrique.

Comme on peut le voir ci-dessus on dessine avec des logiciels tel que Proteus,
Circuit maker… le schéma électrique en utilisant les bibliothèques de composants
incluses dans ceux-ci. Ainsi nous pouvons tester le comportement du circuit grâce
aux modes de simulations proposé par ces différents outils de CAO.
2. Router les schéma électrique (confère CAO)
Une fois les tests effectués on étudie comment les composants vont
s’organiser physiquement sur la future carte électronique.
On choisit donc les composants et on établit, toujours à l’aide d’un logiciel, les
liaisons entre ceux-ci. Le choix des composants se fait en fonction des contraintes
auxquelles seront soumis le circuit. Comme par exemple un impératif de place, de
dégagement de chaleur, de résistance à certaines conditions (thermiques,
électrostatiques, …).
On peut ainsi obtenir ceci :

schema non-routé : Les liaisons entre les différents


composants sont les traits verts, les
pastilles* violettes représentent
l’emplacement où seront soudées les
différentes pattes des composants
On observe clairement l’emplacement
physique des composants

Cependant, il reste une étape importante à réaliser : le routage.


Nous connaissons la place des différents composants, il nous faut maintenant
connaître celui des pistes* qui les relieront entre eux. L’objectif est donc d’obtenir le
chemin de ces pistes grâce aux fonctions de routage des logiciels.

Schema routé :

• Les pistes reliant les différents


composant sont les traits bleus.
• On observe clairement le chemin
emprunté par les pistes sur la plaque.

Le routage est régit par des règles rendant sa réalisation parfois plus complexe qu’il
n’y paraît. (Confère CAO)

Maintenant que nous avons préparé et simulé correctement le circuit à l’aide


d’un logiciel nous avons toutes les cartes en main pour passer à la réalisation du circuit
proprement dite.
II. Fabricationdu circuit imprimé
1. Prérequis :
Le support des cartes électroniques est un circuit imprimé. Celui-ci est une plaque en
*
époxy à la surface de laquelle des pistes en cuivre sont gravées.
Il ne faut pas confondre « circuit imprimé » qui désigne la plaque et les pistes sur lesquelles
seront soudés les composants et « circuit électronique » qui désigne l’ensemble de la carte
électronique.

a. Circuit imprimé-circuit électronique


Pour bien comprendre cette partie il est important de visualiser comment est constitué
la plaque qui deviendra le circuit imprimé.

b. Constitution d’une plaquette présensibilisé

Toute la phase de préparation de la plaque a pour but d’enlever la résine puis une partie de la
couche de cuivre pour que le cuivre restant forme les pistes que nous avons définies dans
l’étape précédente.

2. Imprimer le typon
Le typon est un dessin du circuit imprimé (pistes et pastilles) effectué sur un film
transparent. Le typon sera utilisé pour réaliser le circuit imprimé par photogravure
(prochaine étape).
Le typon est donc produit d’après le routage effectué précédemment.
Le Typon par rapport à la simulation
Nous observons facilement comment seront les pistes et où se positionneront les composants. Il
nous faut donc à présent réaliser le typon sachant que plus le support est transparent et plus
l´encre est opaque, meilleur sera le résultat.

Plusieurs techniques peuvent être utilisées :


 Impression laser sur transparent
 Impression jet d´encre sur transparent spécial (micro-granulé)
 Photocopie d´un original papier bien contrasté sur transparent photocopieur
 Impression laser sur du calque
 Impression jet d´encre sur du calque spécial jet d´encre

Ces techniques sont assez accessibles en termes de coût et de facilité de mise en œuvre, en
revanche la qualité du typon est limitée par la qualité d’impression des imprimantes.
Pour réaliser des typons avec une forte densité, des pistes très fines et proches les unes des
autres, d’autres techniques utilisées dans le monde professionnel et industriel sont disponibles.
Ces techniques sont basées sur la photogravure.

Cela consiste à réaliser un film positif du circuit sur un support mylar * (niveau professionnel) ou
aluminium (niveau industriel).
Pour fabriquer ce film, il faut présensibiliser le support grâce à un aérosol spécial. Ensuite il faut
l´insoler* à partir du typon papier (lumière blanche ou UV suivant le type), puis le développer
avec du révélateur spécial.
Le résultat est un noir très opaque sur un support bien transparent aux UV, et tout cela avec la
précision de la photogravure qui est bien au-delà des 300 ou 600 dpi de nos imprimantes. C´est
une technique complexe et onéreuse qui n´est pas vraiment justifiée pour l´amateur, car elle
nécessite un matériel et un savoir-faire particulier.

Maintenant que vous avons réalisé le typon nous allons pouvoir l’utilisé pour procéder à
l’insolation.
3. Insolation de la plaque époxy
Après avoir retiré le film protecteur de la plaque époxy, la résine se trouve à la
surface. Cette résine a pour propriété de se modifier lorsqu’elle est exposée aux
rayonnements Ultraviolet (UV), elle est dite photosensible. Cette propriété est
intéressante car il suffit d’isoler des UV certaines parties de cette résine pour qu’elle
ne soit pas modifiée. On comprendra l’intérêt d’avoir modifié une partie de cette
résine lors de la révélation (étape suivante).

Il va donc falloir exposer notre plaque aux UV (c’est ce qu’on appelle l’insolation de
la plaque).
Pour cela on utilise une insoleuse.

• Une insoleuse est principalement


Document 9
constituée de puissants tubes néon
UV et
d’une vitre totalement transparente
sur
laquelle on déposera la plaque.
• Une fois fermée elle ne laisse pas
passer
la lumière car les UV présentent
un
danger particulièrement pour nos
Example d’insoleuse yeux.

Maintenant nous allons utiliser le typon que nous avons obtenu dans la phase
précédente. On l’intercale entre les tubes UV et le côté résine de la plaque comme
illustré ci-dessous.

Placement des différents éléments pour l’insolation

.
On comprend à présent mieux pourquoi il faut que les pistes imprimées sur le typon
soit très noires et donc très opaques aux UV et le reste du support très transparent afin
de laisser la voie libre aux UV. Ainsi la résine sera modifiée pendant la phase d
´insolation uniquement sur les zones de la plaque exposées aux UV donc toutes
celle où il n’y aura pas de piste dessinée, alors que les parties non exposées
resteront intactes.
4. La révélation
Le révélateur est un produit chimique que l’on peut le fabriquer soi-même,
puisqu´il s´agit d´une simple solution de soude caustique à 7g/l comme le Destop
(produit pour déboucher les canalisations). Cependant on la trouve à l’achat déjà
dosée. Sa manipulation nécessite des précautions comme le port de gants. L’efficacité
du révélateur est meilleure quand il est tiède.
On doit maintenant placer la plaque dans un bac contenant le révélateur.

On utilise une cuvette pour


placer le révélateur puis la plaque.

le révélateur

Le révélateur va dissoudre les zones de la résine qui ont été détruites pendant
l’insolation.
La couche de cuivre va progressivement apparaître autour des pistes qui sont
encore protégées par la résine

Une fois la plaque révélée elle est sortie du bac et rincée à l’eau.

Maintenant que nous avons fait apparaître la couche de cuivre autour des pistes
protégées par la résine, il faut la détruire.

5. Graverlecircuitimprimé

Notre plaque est plongée dans un bac à graver qui contient un produit acide :
le perchlorure de fer. Cet acide va dissoudre le cuivre autour des pistes protégées
par la résine. Le Perchlorure de Fer suractivé est un liquide de couleur marron très
foncé. On l´utilise pour graver les circuits imprimés car il a la particularité de détruire
(par réaction chimique) tout le cuivre qui n´est pas recouvert de résine photosensible.
Cela a pour conséquence de ne laisser sur la platine que les pistes qui nous
intéressent.

Pourcetteétapeonutiliseunbacàgraver :
Il peut contenir une résistance de chauffage et
un bulleur pour accélérer la réaction chimique

Une fois votre circuit gravé, il reste à enlever les traces de résine qui subsistent sur
les pistes protégées. Nous utiliserons pour cela du dissolvant, ou encore de l
´acétone. Le but est d’obtenir un circuit avec des pistes bien nettes et sans aspérités.
Circuit imprimé final :

Notre circuit imprimé est maintenant terminé il ne reste plus qu’à souder les
composants pour former le circuit électronique.

III. Mise en place et soudure des composants


Il existe plusieurs technologies de composants, le circuit imprimé que nous avons conçu
dans les étapes précédentes est destiné à accueillir des composants dit traditionnels. Mais il existe
aussi des composants SMD*.

1. Les composants traditionnels


Les composants traditionnels sont facilement manipulables à la main. Ils sont de taille
moyenne et l’épaisseur des cartes est donc assez importante.

Carte électronique réalisée en composants traditionnels :

Les composants sont généralement placés manuellement. La soudure des


composants s'effectue en manuel ou à la vague.

a. Percer le circuit
Avant de souder les composants, il nous faut percer les pastilles. Ces trous
correspondent à l’emplacement des pâtes des composants.
Pour cela on utilise une perceuse à colonne.
Uneperceuseàcolonne :
On place le circuit imprimé sur le support.
On choisit la taille du foret en fonction des composants
qui devront être soudés (entre 0.6mm et 1.5mm)

Une fois toutes les pastilles percées au bon diamètre on va pouvoir souder les
composants.

b. Souder les composants


A présent on doit placer les composants sur la plaque en s’aidant du schéma.
Pour souder on utilise un fer à souder et de l’étain car c’est un métal facilement
manipulable et que sa température de fusion est assez basse (il fond facilement).

Un fer à Souder : La partie métallique s’appelle la panne, c’est la


partie qui chauffe.
On utilise l’extrémité de la panne pour faire
fondre l’étain lors de la soudure

Cependant les soudures doivent


respecter quelques règles.
Les 4 étapes d’une soudure

Une mauvaise soudure peut par exemple conduire à des courts circuits si deux
pistes sont reliées par erreur.

Maintenant que nous avons détaillé la procédure de mise en place et de soudure


des composants traditionnels nous allons étudier celle, bien plus complexe, des
composants SMD.

2. Les composants SMD


Cette technologie de composant est destinée au monde industriel. Elle
implique la mise en œuvre de nombreuses machines et les étapes de fabrication
sont différentes de celles que nous avons détaillées pour les composants traditionnels.
En voilà les grandes étapes.

c. Dépôt de pâte
On dépose un masque sur le circuit imprimé, les trous du masque correspondent aux
endroits où les composants seront soudés.

Dépôt de pâte pour soudure SMD

Nous pouvons voir ici l’application de la pâte sur le circuit imprimé par une machine.
d. Placement des composants
Une machine appelée placeur dispose les composants SMD sur le circuit imprimé.
Cela permet de placer plus de 10000 composants à l'heure. On comprend mieux l’utilité
d’une telle machine lorsque l’on sait qu’une carte mère d’ordinateur peut contenir
plusieurs centaines de composants.

Machine de placement

e. Soudure
Le soudage des composants s'effectue soit dans un four à infrarouge soit en
« Phase vapeur ». L'avantage du four à infrarouge est sa rapidité alors que la
précision de soudure est meilleure dans le cas du four en « phase vapeur ».

Soudure à la vague: On pose sur la machine la carte et les éléments à souder


qui sont préchauffés avant d'être passés au raz d'une vague de soudure à
l'étain. La quantité de soudure dépend de la hauteur du circuit par rapport à la
vague.

Soudageà infrarouge: Ce four ce présente sous la forme "tunnel chauffant". On


place les cartes à souder sur un convoyeur. La température du four est
généralement programmable en fonction des besoins.
Fourdesoudage :

Soudage en phase vapeur : Ce four est constitué d'un liquide inerte fluoré. On
chauffe le produit à 215° à cette température il produit une vapeur dans
laquelle on trempe le circuit à souder. Ensuite on sort le circuit de la vapeur pour
le refroidir. Contrairement à la soudure au four à infrar ouge, la qualité des
soudures n'est pas influencée ni par la taille des composants ni par leur couleur.

Conclusion

En conclusion nous avons étudié toutes les étapes dans la réalisation d’une
carte électronique de sa conception jusqu’à sa fabrication. Pour cela nous avons étudié
toute l’étape de conception grâce à des logiciels spécialisés permettant de réaliser
facilement des schémas fonctionnels et électriques puis de gérer le routage du circuit.
Ensuite nous avons détaillé les différentes étapes dans la fabrication du circuit
imprimé, à savoir l’impression du typon, l’insolation, la révélation puis la gravure ainsi
que les différentes techniques pour mettre en œuvre cette procédure de fabrication.
Pour finir nous avons relevé les différentes technologies de composants tels
que les composants traditionnels et les c o m p o s a n t s SMD. Ces technologies
impliquant chacune des procédures de fabrication très différentes, l’une réservée à
un usage industriel, l’autre relativement accessible à tout un chacun.
Glossaire

Typon : Marque de fabrique devenue nom commun pour désigner tout film, positif ou
négatif, destiné à la copie sur plaque.

Insolation : Dans le cas d’électronique, une exposition prolongée aux Ultraviolet.

CAO : Conception Assisté par Ordinateur, c’est un ensemble de logiciels et de


techniques permettant de concevoir et de réaliser des outils et des produits
manufacturables grâce à l’outil informatique.

Piste : Partie d’un circuit imprimé qui relie les composants, agit comme un fil.

Pastille : Partie d’un circuit imprimé, dans la piste en bout de piste où sera soudé une
patte d’un composant.

Epoxy : Matériau abrasif qui constitue la base du circuit imprimé.

SMD : « Surface Mounted Device » Littéralement : « Dispositif monté en surface ».


Les composants SMD sont des composants très petits destinés à l’industrie
électronique.

Mylar : Feuille de matière réfléchissante (comme une feuille d'aluminium en plus fin).
Installation et réglage
Résumé de l’installation

ÉTAPE 1 : AVANT DE COMMENCER L’INSTALLATION

This représente
Ceci is a typicalune
monture typique
"Mount"shown
montée sur un mur.
attached to a wall.
Remarquez
Notice thatque thelatop
partie supérieure de
portion is "Plumb".
la monture est
verticale. } Haut
Top

LA CLÉ POUR MONTER VOTRE


SYSTÈME FACILEMENT - IMPORTANT

La clé d’une bonne installation réside dans une détermination très précise de l’angle de
votre antenne. L’angle, qui est nécessaire de connaître pour pointer vers le satellite, est le
degré de basculement de l’antenne vers le haut, par rapport à l’horizontale, vers le ciel.
Vous y parviendrez le mieux en faisant en sorte que la partie supérieure du mât qui reçoit
l’antenne parabolique, soit aussi verticale que possible. Autrement dit, la partie
supérieure du mât doit être aussi perpendiculaire que possible par rapport au plan du sol -
ceci est vrai si vous montez l’antenne sur un mur, sur le toit, ou à n’importe quel autre
endroit. Si cette condition fondamentale est remplie et si l’antenne est correctement
basculée selon l’angle du satellite, vous pourrez ensuite balayer le ciel (mouvements Est /
Ouest) pour trouver le satellite.

DÉBALLAGE ET VÉRIFICATION DU CONTENU

A mesure que vous déballez le système , assurez-vous que toutes les pièces soient
incluses. La liste des composantes figure dans la section <<Contenu de l'emballage >>
ci-dessous.

Nota : gardez les cartons d'emballage de votre équipement dans l'éventualité où il vous
faudrait le retourner.

Déballez soigneusement le contenu. L'équipement électronique est sensible aux chocs ou


aux manipulations brusques. Assurez-vous qu'aucune des pièces ne présente de dommage
susceptible d'avoir été occasionné pendant le transport. Si vous constatez un dommage
quelconque, appelez immédiatement l'établissement où vous avez acheté votre système
ExpressVuMC ou le Centre de service au 1-888-SKY-DISH avant de poursuivre
l'installation.

Le diamètre standard d'une antenne parabolique ExpressVuMC est 60 cm. Toutefois, des
antennes paraboliques d'un diamètre de 76 cm, 90 cm ou 1,20 m sont également
disponibles. S'il vous faut une antennes de 90 cm ou 1,20 m, nous vous recommandons
de faire appel à un professionnel pour l'installer en raison du travail de plus longue
haleine que ceci nécessite.
Manuel d’installation
et d’utilisation

CONTENU DE L’EMBALLAGE

• Le Manuel d'installation et d'utilisation

• L’assemblage de l'antenne parabolique ExpressVuMC

• Le récepteur ExpressVuMC

• Les accessoires suivants

❑ Câble téléphonique RJ11 de 7,6 m.


❑ Câble à 3 connecteurs phono (RCA) de 2,4 m.
❑ Câble-modulateur de 1,8 m.
❑ Câble S-VIDÉO de 2,4 m.
❑ Télécommande avec deux (2) batteries AAA emballées séparément

En outre, nous vous offrons une trousse d'installation en option qui comprend les câbles
et les accessoires nécessaires que vous utiliserez pendant l'installation. Communiquez
avec l'établissement où vous avez acheté votre système ExpressVuMC pour plus de
renseignements, ou appelez le Centre de service d’ExpressVuMC au 1-888-SKY-DISH
pour obtenir l'adresse d'un vendeur autorisé près de chez vous.

CE QU’IL VOUS FAUT SAVOIR

Comme vous effectuerez des modifications à l'emplacement où vous installerez l'antenne


parabolique, nous vous suggérons de mieux connaître les procédures suivantes et de les
exécuter en toute sécurité.

• Vous devriez pouvoir utiliser un fil à plomb ou un niveau à plomb pour vérifier
l'aplomb des surfaces horizontales et verticales. Cette exigence est particulièrement
importante pour les surfaces verticales.

• Vous devez pouvoir percer des trous dans la surface de fixation (qu'elle soit en bois, en
brique, en bloc de béton de mâchefer ou en tout autre matériau).

• Vous devez savoir comment percer des trous et passer des câbles dans votre édifice.
Ceci inclut l'étanchement des trous une fois que le câble a été installé.
Installation et réglage
Avant de commencer l’installation

CE QU’IL VOUS FAUT AVOIR


Vous aurez besoin de ce qui suit si vous n’avez pas acheté la
trousse d’installation :
• Des câbles coaxiaux RG6 et des connecteurs (nous recommandons le type RG6
pour des longueurs ne dépassant pas 100 pi. Consultez un installeur pour des
longueurs supérieures).
• Des éléments de fixation pour attacher la monture à votre édifice
• Un agent hydrofuge pour protéger les raccords à l’air libre
• Du matériel de mise à la terre
• Des attache-câble

Il vous faudra également les outils suivants :


Une clé de 7/16 po (variable en fonction des dimensions de l’antenne parabolique)
Un tournevis Phillips
Un niveau à bulle
Une mèche et des forets (à maçonnerie et pour le bois)
Un compas

INSTALLATION DES PILES DANS LA TÉLÉCOMMANDE


Votre télécommande est fournie avec deux piles de type AAA emballées séparément. La
section << Installation des batteries dans la télécommande>> à la page 2-4 qui vous en
expliquera la procédure d’installation.
Manuel d’installation
et d’utilisation

ÉTAPE 2 - TROUVER LE BON EMPLACEMENT


POUR L’ANTENNE PARABOLIQUE
L’antenne parabolique doit être située à un endroit qui donne, toute l’année, une vue non
obstruée sur le satellite. L’endroit doit aussi être à l’abri des obstructions passagères
causées par des véhicules et des passants.
Trouver le bon emplacement pour votre antenne ExpressVuMC est un processus en deux
étapes : d’abord, en utilisant votre compas et en vous aidant de la direction que vous
donne ce manuel, estimez la direction générale du satellite. Ces informations vous
serviront à trouver un bon site pour monter l’antenne. Ensuite, vérifiez que
l’emplacement pressenti ait bien une ligne de visée non obstruée sur le satellite et que
l’antenne puisse être montée en lieu sûr.
Le satellite actuel ExpressVuMC est situé à 107,3° de longitude ouest. À la fin de 1988,
ExpressVuMC utilisera un nouveau satellite, plus puissant, qui se trouvera à 91° de
longitude ouest. Il conviendra, quand le nouveau satellite entrera en service, d’orienter à
nouveau toutes les antennes paraboliques pour qu’elles acquièrent son signal. Cette ré-
orientation se traduira par un pivotement de l’antenne vers la gauche ou vers la droite,
voire par son basculement vers le haut ou vers le bas. Nota : Le <<Tableau de référence
des coordonnées du satellite >> à la page 4-38 vous aidera à déterminer l’emplacement
dans le ciel du satellite actuel et futur. Nous vous recommandons, en utilisant les données
du tableau, de choisir pour votre antenne un site dégagé vous donnant une vue non
obstruée sue le satellite. Si le site que vous avez choisi ne vous permet pas d’avoir une
ligne de visée sur les deux satellites simultanément, mais que vous pourriez les
apercevoir de deux sites différents, il vous faudra déplacer tout le dispositif (réflecteur et
mât) vers le nouveau site quand le nouveau satellite entrera en service.

CE QU’IL VOUS FAUT


• Une boussole
• Un niveau à bulle
• Le Tableau de référence des coordonnées du satellite (page 4-38)
• Un rapporteur pour les angles (page 4-41)

DÉTERMINATION DE LA DIRECTION DU SATELLITE


Vous devez déterminer la direction du satellite ExpressVuMC depuis votre emplacement,
ce qui vous aidera à préciser le site de montage de votre antenne. Vous devez avoir un
champ de visibilité non obstrué entre le site de l'antenne et le satellite. Utilisez la
procédure suivante pour trouver le meilleur emplacement de l'antenne, tout en ayant à
l'esprit les considérations présentées à la page 4-2 <<DISCUSSION SUR LES SITES
DE MONTAGE POSSIBLES >>.
Après que vous aurez fini de monter l'antenne, vous devez repointer le réflecteur
parabolique pour obtenir le signal le plus intense. Consultez à cet effet la section
<< ÉTAPE 5 : ALIGNEMENT DE L’ANTENNE PARABOLIQUE >> à la page 4-32.
Installation et réglage
Détermination de la direction du satellite

OÙ EST-IL ?

Notre satellite actuel (ANIK E2) évolue sur une orbite


équatoriale géostationnaire à environ 40,000 km de la Terre, Repérage du satellite ExpressVu
environ au plein sud de Saskatoon. Pour savoir si de Calgary

l’emplacement que vous avez pressenti a une vue non


obstruée, consultez sur le Tableau à la page 4-38 les
coordonnées de la ville se trouvant le plus près de chez
vous et appliquez ces coordonnées sur votre boussole.

Levez ensuite la tête vers le ciel, à l’angle que vous donne le


Tableau de la page 4-38. Ainsi, si vous êtes à Calgary,
regardez vers le sud à 153 degrés et à 31 degrés au-dessus de
l’horizon. Normalement, apprécier la visée sur le satellite est
aussi simple qu’observer le ciel austral est estimer les risques
d’obstruction. Si vous habitez dans les provinces de l’Ouest, 0
Satellite ExpressVu 153
notre satellite actuel sera au Sud-Est de vous ; si vous habitez
dans les Prairies, le satellite sera au Sud de vous et si vous
habitez dans les provinces maritimes, le satellite sera au Sud-
Ouest de vous.
Pour obtenir la direction à partir d’une boussole, posez-la sur une surface
horizontale, non métallique, et faites-la tourner jusqu’à ce que « Nord »
pointe sur le cadran en-dessous de l’aiguille rouge. Maintenant, appréciez la
direction à partir du centre de la boussole et projetez l’angle ainsi formé sur
un objet au loin, tel qu’un arbre ou un immeuble : ce dernier vous servira
de point de référence.

TROUVER UN CHAMP DE VISIBILITÉ NON OBSTRUÉ


<< Trouver un champ de visibilité non obstrué >>
signifie trouver un emplacement pour l'antenne Le Sextant Maison
parabolique pour que sa liaison avec le satellite par
Triangle en carton copié
orbite ne soit pas bloqué par des arbres, des de la couverture arrière

édifices ou un obstacle quelconque. Cela signifie,


Carton découpé
par exemple, que les jeunes gaules ne pousseront
pas au milieu du champ de visibilité et que le
feuillage d'un site dégagé en hiver ne nuise pas à Plan horizontal
ce même champ au printemps et en été.
S’il vous faut un moyen pour déterminer si votre Utilisation du
ligne de visée est non-obstruée, essayez ceci : sextant
découpez un triangle de carton dont la base mesure
de 8 à 10 pouces, et dont l’angle correspond à
l’angle de votre site tel que donné par le Tableau
(page 4-38), ou utilisez plus simplement, à titre de
gabarit, le triangle tel qu’illustré sur la page 4-41.
Amenez le tringle au niveau de vos yeux comme
Manuel d’installation
et d’utilisation

vous le montre l’illustration ci-contre : vous avez maintenant un sextant maison.


Maintenant, alignez vos yeux sur le grand côté du triangle tout en maintenant sa base à
l’horizontale et tout en visant dans la direction indiquée par votre boussole. Si vous
constatez une obstruction dans la ligne de visée, il vous faudra trouver un autre
emplacement pour votre antenne.

ÉTAPE 3 - ASSEMBLAGE DE L’ANTENNE


PARABOLIQUE
La présente section expose la procédure d’assemblage pour les quatre grandeurs
d’antennes paraboliques : 60 cm, 76 cm, 90 cm et 120 cm.

Bien que la procédure d’ensemble d’assemblage soit identique pour les quatre grandeurs,
vous trouverez quelques différences ici et là : elles seront couvertes dans quatre
paragraphes distincts. Reportez-vous au paragraphe qui correspond à la grandeur de
l’antenne parabolique que vous avez achetée :

• Étape 3.1 Assemblage de l’antenne parabolique de 60 cm


• Étape 3.2 Assemblage de l’antenne parabolique de 76 cm
• Étape 3.3 Assemblage de l’antenne parabolique de 90 cm
• Étape 3.4 Assemblage de l’antenne parabolique de 120 cm

ÉTAPE 3.1 : ASSEMBLAGE DE L’ANTENNE


PARABOLIQUE DE 60 CM.
PALIER 3.1A: LE PRÉ-ASSEMBLAGE DES PIÈCES (ANTENNE
PARABOLIQUE DE 60 CM)

Il vaut mieux assembler le réflecteur parabolique dans un intérieur, de façon à ce qu’il


soit prêt à être monté à l’extérieur dans les meilleures conditions - surtout s’il fait froid
dehors.

Le système dans son entier consiste en trois étapes


principales : le réflecteur parabolique, l’assemblage
de l’antenne et le récepteur. La monture consiste du
Vis Réflecteur
pied (base) et d’un tuyau métallique courbe que l’on d'articulation parabolique

appelle un mât. Ces deux pièces sont livrées pré- Boulon d’angle
Boulon d'articulation
(un(un
sur sur
chaque côté) côté)
chaque

assemblées. L’assemblage de l’antenne est composée


du réflecteur , de sa ferrure de support, du bras de Monture du mât
Bras du LNBF
soutien du LNBF (amplificateur de signal à faible
bruit). Le récepteur est aussi entièrement assemblé.
Installation et réglage
Assemblage de l’antenne parabolique de 60cm

Pré-assemblez le réflecteur
parabolique comme suit :

1. Fixez le réflecteur à la ferrure de support et au bras


de soutien ; l’emballage du réflecteur contient des Collier co u

images et des instructions explicites.


étrier courbe

2. Montez l’assemblage en plastique de la ferrure du


LNBF sur le bras de soutien comme vous l’indique
le diagramme. Cet assemblage doit pouvoir glisser M
AR
jusqu’à l’extrémité du bras de soutien du LNBF et LN
BF
cr a n s d ' a r r ê t
venir heurter un cran d’arrêt en plastique. Vissez-le
ensuite avec la vis qui vous est livrée.

3. Placez le cou du LNBF dans l’étrier courbe du


bras de soutien, puis placez le collier au-dessus du
cou et vissez-le doucement avec les vis fournies.
Ne serrez pas trop car des ajustements ultérieures d sh
seront requis. La partie en plastique blanc du
LNBF doit faire face au réflecteur parabolique.
LNBF
4. Ajustez la position du cou du LNBF de manière à LNBF ARM
7 heures 5 heures
ce qu’il soit au fond du collier : pour ce faire, 6 heures
éloignez délicatement le LNBF du réflecteur aussi
loin que vous le permettent le LNBF et
l’assemblage du colier. Faites tourner le LNBF
de sorte que les prises du câble coaxial pointant
Repères d'angle
vers le bas. C’est un ajustement « à 6 heures ».

5. Ajustez légèrement l’angle du LNBF selon les Coin


coordonnées du Tableau (page 4-38). Dans l’ouest
canadien, le LNBF doit se trouver dans la position
« 7 heures » ; dans les régions centrales, il doit se
trouver à « 6 heures », et à « 5 heures » dans les
régions de l’Est.

6. Déterminez votre angle à partir du même Tableau


(page 4-38) et ajustez l’angle de l’antenne de façon à ce que le rebord de la petite
marque rouge pointe sur votre position angulaire. Dans le diagramme ci-contre, le
marqueur est réglé à 36.5 degrés.

7. Serrez légèrement l’écrou du côté face du pivot d’angle et laissez la partie arrière de
l’écrou avec un peu de jeu.

8. Votre réflecteur est maintenant prêt pour être monté sur le mât à l’extérieur.
Manuel d’installation
et d’utilisation

La monture servant à fixer l’antenne sur votre édifice est métallique et a


donc des propriétés magnétiques. Ceci pourrait donc fausser les indications
de votre boussole si vous êtes trop près.

PALIER 3.1B: FIXATION DE LA MONTURE À VOTRE IMMEUBLE


(ANTENNE PARABOLIQUE DE 60 CM)

La monture devrait déjà être fixée à votre immeuble avant même que vous y posiez le
réflecteur parabolique. Quand vous fixez la monture sur un pan de mur ou sur un toit,
veillez bien à ce que sa partie supérieure soit rigoureusement verticale. Vous pouvez
vous-en assurer en utilisant un niveau à bulle sur le devant et sur le côté de la partie
supérieure. Il est important de fixer la monture solidement sur la structure à l’aide de 4
attaches pour que le vent ne puisse la déranger.

Nota : il importe que la monture soit verticale quelque soit le côté d’où vous le regardez,
comme le mât d’un drapeau.

90˚ 90˚ 90˚

MONTAGE SUR UN MUR MONTAGE HORIZONTAL MONTAGE SUR UN TOIT

Voici comment y arriver :

1. Placez le pied du mât sur la surface de


l’endroit où vous comptez l’installer.
VUE DE L'AVANT VUE LATÉRALE
2. Faites en sorte que les trous du pied soient
VUE DE L'AVANT VUE LATÉRALE
posés sur une surface solide et ajustez la
partie supérieure du mât de façon à ce
qu’elle soit à peu près verticale .
3. Placez le niveau à bulle à côté du mât (voir
illustration) et déplacez légèrement le pied
NIVEAU À BULLE
de manière à ce que la partie supérieure du NIVEAU À BULLE
CONTRE LA MONTURE

CONTRE LA MONTURE
mât soit verticale. Peu importe que vous
deviez mouvoir le mât de haut en bas - vous
pouvez le faire avec les boulons pivotants après
l’installation du pied.
4. Marquez au crayon l’emplacement de l’un des trous et enlevez le mât.
5. Percez le trou et fixez la base du mât avec une seule attache.
Installation et réglage
Assemblage de l’antenne parabolique 60cm

6. Maintenant, positionnez à nouveau la partie supérieure du mât afin qu’elle soit


approximativement verticale ; placez ensuite une intercale sur le côté de la base et
faites légèrement pivoter la base du mât autour de sa seule attache, de façon à ce que
sa partie supérieure soit verticale. Une fois ceci effectué, percez les trois autres trous
pendant que le mât est bien en place (ou vous pouvez marquer les trous à percer au
crayon, enlever le mât, puis percer les trous).
7. Fixez le mât à l’aide des quatre attaches. Scellez les trous avec de la silicone pour
empêcher les écoulements d’eau qui pourraient abîmer votre édifice.
8. Placez le niveau à bulle sur la face avant de la partie supérieure du mât et ajustez-la en
la faisant pivoter la base autour de sa ferrure. Serrez les boulons quand la partie
supérieure est verticale. Vous n’aurez plus d’ajustements à réaliser sur la monture.
9. Vérifiez votre travail....La partie supérieure du mât devrait maintenant être
« verticale » !

Si vous éprouvez des difficultés à fixer la monture sur une surface, essayez
de fixer une solide planche de bois sur la surface que vous utiliserez, puis
fixez la monture sur la planche.

PALIER 3.1C : INSTALLATION DU RÉFLECTEUR SUR LA


MONTURE (ANTENNE PARABOLIQUE DE 60 CM)

Vous avez fixé la monture sur votre immeuble et vous avez pré-assemblé le réflecteur
parabolique. Il est donc prêt à poser sur la monture.

Le procédé est très simple :


1. Faites passer l’assemblage du réflecteur au-dessus du mât.
2. Serrez légèrement les deux écrous au dos du collier de fixation afin que le réflecteur,
sans présenter trop de jeu, puisse néanmoins se mouvoir dans le sens Est/Ouest.
3. Vous pourrez procéder à l’alignement du réflecteur une fois que vous aurez réalisé le
câblage tel qu’expliqué dans le palier 3.1D ci-dessous.

PALIER 3.1D : LE CÂBLAGE


(ANTENNE PARABOLIQUE DE 60 CM)

Le câblage s’effectue comme suit :

1. Faites passer le câble coaxial vers le réflecteur comme indiqué dans l’illustration ci-
contre.
2. Raccordez une extrémité du câble coaxial au LNBF et l’autre à la prise «Entrée
satellite » du récepteur. Veillez à ce que le parcours du câble le mette à l’abri des
rongeurs ou de accidents, et qu’il ne gêne rien.
Manuel d’installation
et d’utilisation

3. Sur tous les raccords à l’air libre, veillez à utiliser


des chaussons de protection pour Soutien du Boucle de câble
réflecteur
Vis d'articulation
d’angle
protéger le câble de la moisissure. Arm
Bras
Vis

Fourreau

4. Consultez la page 4-42 pour les instructions sur la Sens du défilement


du cable coaxial
mise à la terre. Mât

Câble Coaxial Trou


RG-6
Pied du mât

Vue d'ensemble
(Sans la coupole)

L’assemblage et le montage de l’antenne parabolique de 60 cm sont


maintenant terminés. Passez maintenant à la page 4-31 << Installation du
récepteur >>.

ÉTAPE 3.2 : ASSEMBLAGE DE L’ANTENNE


PARABOLIQUE DE 76 CM
PALIER 3.2A : LE PRÉ-ASSEMBLAGE DES PIÈCES (ANTENNE
PARABOLIQUE DE 76 CM)

Il vaut mieux assembler le réflecteur parabolique dans un intérieur, de façon à ce qu’il


soit prêt à être monté à l’extérieur dans les meilleures conditions - surtout s’il fait froid
dehors.
Le système dans son entier consiste en trois étapes principales : le réflecteur parabolique,
l’assemblage de l’antenne et le récepteur. La monture consiste du pied (base) et d’un
tuyau métallique courbe que l’on appelle un mât. Ces deux pièces sont livrées pré-
assemblées. L’assemblage de l’antenne est composée du réflecteur , de sa ferrure de
support, du bras de soutien du LNBF (amplificateur de signal à faible bruit). Le récepteur
est aussi entièrement assemblé.
Pré-assemblez les pièces de l’antenne parabolique comme suit :
Identifiez les cinq pièces principales de l’antenne parabolique:

(A) Le réflecteur
(B) Le bras de soutien et d’alimentation du LNBF
(C) Le support de montage de l’antenne
(D) La support de montage du LNBF
(E) Le LNBF
Installation et réglage
Assemblage de l’antenne parabolique de 76 cm

1. Faites glisser le bras de soutien et d’alimentation du LNBF


dans le support de montage de l’antenne. Fixez-le à l’aide des
deux boulons / écrous fournis.
2. Fixez le réflecteur parabolique au support de montage de (A)
l’antenne à l’aide des 4 vis à tête plate fournies.
(B)
3. Faites glisser le support de montage du LNBF en plastique
(C)
dans l’extrémité du bras d’alimentation et de soutien du LNBF.
Fixez à l’aide des vis fournies.
(D)

(E)
4. Placez le goulot étroit du LNBF à l’intérieur du sabot recourbé
du support de montage du LNBF. Placez ensuite le collet
d’accrochage sur le goulot. Fixez-le sans forcer à
l’aide des deux vis fournies. Ne serrez pas trop, car des
ajustements ultérieurs seront requis. Montez le collet
d’accrochage afin que les chiffres y figurant se lisent
correctement lorsqu’on les voit depuis l’arrière, en regardant à
travers l’antenne. Alignez la ligne de marquage, indiquée « UP
» située à l’arrière du LNBF, sur le chiffre 9 de l’échelle du
collet du LNBF.

5. Faites tourner légèrement l’angle du LNBF afin que la ligne de Boulons de la


ferrure de direction

marquage s’aligne avec l’angle de polarisation indiqué au


Tableau (page 4-38). Serrez légèrement les deux vis du collet. Boulons de la
ferrure d'angle

6. Déterminez votre angle à partir du même Tableau (page 4-38)


VERTICAL ELEVATION GAUGE
et ajustez l’angle de l’antenne de façon à ce que le point sur le Collier

cadran vienne correspondre à votre position angulaire. Dans le


diagramme ci-contre, le marqueur est réglé à 50 degrés. Sabot recourbé

7. Serrez légèrement l’écrou du côté face du pivot angulaire et LNBF ARM

laissez la partie arrière de l’écrou avec un peu de jeu.

8. Votre réflecteur est maintenant prêt pour être monté sur le mât
à l’extérieur.

La monture fixant votre réflecteur à votre immeuble est en acier : elle a


donc des propriétés magnétiques. Si vous êtes trop près de la monture, les
indications de votre boussole pourraient être faussées.
Manuel d’installation
et d’utilisation

PALIER 3.2B : FIXATION DE LA MONTURE À VOTRE IMMEUBLE


(ANTENNE PARABOLIQUE DE 76 CM)

La monture devrait déjà être fixée à votre immeuble avant même que vous n’y posiez le
réflecteur parabolique. Quand vous fixez la monture sur un pan de mur ou sur un toit,
veillez bien à ce que sa partie supérieure soit rigoureusement verticale. Vous pouvez vous
en assurer en utilisant un niveau à bulle sur le devant et le côté de la partie supérieure. Il
est important de fixer la monture solidement sur la structure à l’aide de 4 attaches que le
vent ne puisse la déranger.
Nota : il importe que la monture soit verticale quelque soit le côté d’où vous le regardez,
comme le mât d’un drapeau.

90˚
90˚ 90˚

MONTAGE SUR UN MUR MONTAGE HORIZONTAL MONTAGE SUR UN TOIT

Voici comment y arriver :


1. Placez le pied du mât sur la surface de
l’endroit où vous comptez VUE
l’installer.
DE L'AVANT VUE LATÉRALE

2. Faites en sorte que les trous du pied soient VUE DE L'AVANT VUE LATÉRALE

posés sur une surface solide et ajustez la


partie supérieure du mât de façon à ce
qu’elle soit à peu près verticale .
3. Placez le niveau à bulle à côté du mât (voir
illustration) et déplacez légèrement le pied NIVEAU À BULLE
CONTRE LA MONTURE
NIVEAU À BULLE
de manière à ce que la partie supérieure du CONTRE LA MONTURE

mât soit verticale. Peu importe que vous


deviez mouvoir le mât de haut en bas - vous
pouvez le faire avec les boulons pivotants après l’installation du pied.
4. Marquez au crayon l’emplacement de l’un des trous et enlevez le mât.
5. Percez le trou et fixez la base du mât avec une seule attache.
6. Maintenant, positionnez à nouveau la partie supérieure du mât afin qu’elle soit
approximativement verticale ; placez ensuite une intercale sur le côté de la base et
faites légèrement pivoter la base du mât autour de sa seule attache, de façon à ce que
sa partie supérieure soit verticale. Une fois ceci effectué, percez les trois autres trous
pendant que le mât est bien en place (ou vous pouvez marquer les trous à percer au
crayon, enlever le mât, puis percer les trous).
Installation et réglage
Assemblage de l’antenne parabolique de 76 cm

7. Fixez le mât à l’aide des quatre attaches. Scellez les trous avec de la silicone pour
empêcher les écoulements d’eau qui pourraient abîmer votre édifice.

8. Placez le niveau à bulle sur la face avant de la partie supérieure du mât et ajustez-la en
la faisant pivoter la base autour de sa ferrure. Serrez les boulons quand la partie
supérieure est verticale. Vous n’aurez plus d’ajustements à réaliser sur la monture.

9. Vérifiez votre travail....La partie supérieure du mât devrait maintenant être


« verticale » !

Si vous éprouvez des difficultés à fixer la monture sur une surface, essayez
de fixer une solide planche de bois sur la surface que vous utiliserez, puis
fixez la monture sur la planche.

PALIER 3.2C : INSTALLATION DU RÉFLECTEUR SUR LA


MONTURE (ANTENNE PARABOLIQUE DE 76 CM)

Vous avez fixé la monture sur votre immeuble et vous avez pré-assemblé le réflecteur
parabolique. Il est donc prêt à poser sur la monture.

Le procédé est très simple :

1. Faites passer l’assemblage du réflecteur au-dessus du mât.

2. Serrez légèrement les deux écrous au dos du collier de fixation afin que le réflecteur,
sans présenter trop de jeu, puisse néanmoins se mouvoir dans le sens Est/Ouest.

3. Vous pourrez procéder à l’alignement du réflecteur une fois que vous aurez réalisé le
câblage tel qu’expliqué dans le palier 3.2D ci-dessous

PALIER 3.2D : LE CÂBLAGE (ANTENNE


PARABOLIQUE DE 76 CM)

Le câblage s’effectue comme suit :

1. Faites passer le câble coaxial vers le réflecteur comme


indiqué dans l’illustration ci-contre.
2. Raccordez une extrémité du câble coaxial au LNBF et
l’autre à la prise «Entrée satellite » du récepteur. Veillez
à ce que le parcours du câble le mette à l’abri des
rongeurs ou des accidents, et qu’il ne gêne rien.
To Ground
3. Sur tous les raccords à l’air libre, veillez à utiliser des
chaussons de protection pour protéger le câble de la To Grounding Block

moisissure.
Manuel d’installation
et d’utilisation

4. Consultez la page 4-42 pour les instructions sur la mise à la terre.

L’assemblage et le montage de l’antenne parabolique de 76 cm sont


maintenant terminés. Passez maintenant à la page 4-31 << Installation du
récepteur >>.

ÉTAPE 3.3 ASSEMBLAGE DE L’ANTENNE


PARABOLIQUE DE 90 CM
PALIER 3.3A : LE PRÉ-ASSEMBLAGE DES PIÈCES (ANTENNE
PARABOLIQUE DE 90 CM)

Il vaut mieux assembler le réflecteur parabolique dans


un intérieur, de façon à ce qu’il soit prêt à être monté à
l’extérieur dans les meilleures conditions - surtout s’il
Réflecteur
fait froid dehors. DISH

LNBF
Le système dans son entier consiste en trois étapes
principales : le réflecteur parabolique, l’assemblage de
l’antenne et le récepteur. La monture consiste du pied
(base) et d’un tuyau métallique courbe que l’on LNBF
BrasARM
du

appelle un mât. Ces deux pièces sont livrées pré- LNBF

assemblées. L’assemblage de l’antenne est composée


Monture
MOUNT du
MAST
du réflecteur , de sa ferrure de support, du bras de Mât

soutien du LNBF (amplificateur de signal à faible


bruit). Le récepteur est aussi entièrement assemblé.

Pré-assemblez les pièces de l’antenne parabolique comme suit :

1. Assemblez l’antenne parabolique conformément


aux instructions qui figurent dans la
Collier cou
boîte d’emballage du réflecteur.
étrier courbe
2. Montez l’assemblage en plastique de la ferrure du
LNBF sur le bras de soutien comme
vous l’indique le diagramme. Cet assemblage doit
pouvoir glisser jusqu’à l’extrémité du bras de BF
AR
M

LN crans d'arrêt
soutien du LNBF et venir heurter un cran d’arrêt
en plastique. Vissez-le ensuite avec la vis qui vous
est livrée.

3. Placez le cou du LNBF dans l’étrier courbe du bras de soutien, puis placez le collier
au-dessus du cou et vissez-le doucement avec les vis fournies. Ne serrez pas trop fort,
car des ajustements ultérieurs seront requis. La partie en plastique blanc du LNBF doit
faire face au réflecteur parabolique.
Installation et réglage
Assemblage de l’antenne parabolique de 90 cm

4. Ajustez la position du cou du LNBF de manière à


ce qu’il soit au fond du collier : pour ce faire,
éloignez délicatement le LNBF du réflecteur aussi d sh
loin que vous le permettent le LNBF et
l’assemblage du colier. Faites tourner le LNBF de
sorte que les prises du câble coaxial pointant vers LNBF
le bas. C’est un ajustement « à 6 heures » du LNBF ARM
LNBF (voir illustration). 7 heures 5 heures
6 heures

5. Ajustez légèrement l’angle du LNBF selon les


coordonnées du Tableau (page 4-38). Dans l’ouest Cadran d’angle
VERTICAL
ELEVATION
canadien, le LNBF doit se trouver dans la position GAUGE
« 7 heures » ; dans les régions centrales, il doit se
trouver à « 6 heures », et à « 5 heures » dans les VERTICAL 10 20 30 40
50
60
70

régions de l’Est.
ELEVATION

80
90
6. Déterminez votre angle à partir du même Tableau
(page 4-38) et ajustez l’angle de l’antenne de GAUGE
façon à ce que le centre de l’écrou supérieur du
mât corresponde à votre angle tel que vous
l’indique le cadran de la tête du mât. Dans le
diagramme ci-contre, cet angle est réglé à 50 10 20 30 40
50
60
degrés. 70
80
7. Serrez légèrement l’écrou du côté face du pivot 90

d’angle et laissez la partie arrière de l’écrou avec


un peu de jeu.

8. Votre réflecteur est maintenant prêt pour être


monté sur le mât à l’extérieur.

La monture fixant votre réflecteur à votre immeuble est en acier : elle a


donc des propriétés magnétiques. Si vous êtes trop près de la monture, les
indications de votre boussole pourraient être faussées.

PALIER 3.3B : FIXATION DE LA MONTURE À VOTRE IMMEUBLE


(ANTENNE PARABOLIQUE DE 90 CM)

La monture devrait déjà être fixée à votre immeuble avant même que vous n’y posiez le
réflecteur parabolique. Quand vous fixez la monture sur un pan de mur ou sur un toit,
veillez bien à ce que sa partie supérieure soit rigoureusement verticale. Vous pouvez vous
en assurer en utilisant un niveau à bulle sur le devant et le côté de la partie supérieure. Il
est important de fixer la monture solidement sur la structure à l’aide des attaches
appropriées, afin que le vent ne puisse la déranger. Le dispositif de montage du réflecteur
occupe une zone d’environ 9 pieds carrés, ce qui comprend le pied du mât et les deux
montants d’appui.
Manuel d’installation
et d’utilisation

Nota : il importe que la monture soit verticale quelque soit le côté d’où vous le regardez,
comme le mât d’un drapeau.

90˚
90˚ 90˚

MONTAGE SUR UN MUR MONTAGE HORIZONTAL MONTAGE SUR UN TOIT

Voici comment y arriver :


FRONT
Vue VIEW
de devant
Appliquez
PRESS LEVELle niveau à
bulle contre
AGAINST la monture
MOUNT
1. Placez le pied du mât sur la surface de l’endroit
où vous comptez l’installer.
2. Marquez au crayon l’emplacement de l’un des
deux trous et enlevez le pied.
3. Percez le trou et fixez le pied du mât avec une
seule attache.
PiedMountfoot
de la
4. Placez un niveau à bulle sur le dessus et côté
Mountfoot
monture
du pied et faites-le pivoter jusqu’à ce qu’il soit
au niveau et vertical. Percez un autre trou en
gardant le pied bien en place (ou encore, vous pouvez marquer l’emplacement des
trous, retirer le pied et percer).
5. Fixez le pied en utilisant deux attaches. Scellez les trous avec de la silicone pour
empêcher les écoulements d’eau qui pourraient abîmer votre édifice
6. Installez le mât au pied à l’aide des attaches fournies. Orientez le mât de telle sorte
que la petite partie coudée soit vers l’avant et à la verticale.
7. Placez un niveau à bulle sur la surface avant de la partie coudée du mât et réglez le
mât à une position verticale. Serrez le boulon de montage du mât.
8. Fixez les montants d’appui du mât en utilisant les pièces de quincaillerie fournies.
Serrez bien le boulon tout en permettant un léger mouvement des montants.
9. Placez la base de chaque montant à angle droit sur la surface de montage et marquez
l’emplacement des trous. Avant de percer les trous pour les montants, assurez-vous à
l’aide du niveau à bulle que le mât est toujours à angle droit : cette vérification est
très importante pour assurer un bon alignement.
10. Percez les trous en maintenant la base des montants bien en place (ou encore, vous
pouvez marquer l’emplacement des trous, déplacer légèrement les montants, puis
percer).
Installation et réglage
Assemblage de l’antenne parabolique de 90 cm

11. Fixez la monture avec les quatre attaches. Scellez les trous avec de la silicone pour
empêcher les écoulements d’eau qui pourraient abîmer votre édifice.

12. Serrez le boulon de fixation du montant qui a été installe plus haut (voir Nº 8). Placez
le niveau sur la surface avant de la partie coudée du mât pour s’assurer que le mât est
toujours vertical. Il n’y a aucun autre réglage à effectuer au montage.

Si vous éprouvez des difficultés à fixer la monture sur une surface, essayez
de fixer une planche de bois solide sur la surface que vous utiliserez, puis
fixez la monture sur le bois.

PALIER 3.3C : INSTALLATION DU RÉFLECTEUR SUR LA


MONTURE (ANTENNE PARABOLIQUE DE 90 CM)

Vous avez fixé la monture sur votre immeuble et vous avez pré-assemblé le réflecteur
parabolique. Il est donc prêt à poser sur la monture.

Le procédé est très simple :

1. Faites passer l’assemblage du réflecteur au-dessus du mât.

2. Serrez légèrement les quatre écrous au dos du collier de fixation afin que le réflecteur,
sans présenter trop de jeu, puisse néanmoins se mouvoir dans le sens Est/Ouest.

3. Vous pourrez procéder à l’alignement du réflecteur une fois que vous aurez réalisé le
câblage tel qu’expliqué dans le palier 3.3D ci-dessous.

PALIER 3.3D : LE CÂBLAGE (ANTENNE PARABOLIQUE DE 90CM)

Le câblage s’effectue comme suit :

1. Faites passer le câble coaxial vers le


réflecteur comme indiqué dans l’illustration
ci-contre.

2. Acheminez le câble coaxial à l’arrière du


tube de soutien comme le montre le
diagramme ci-contre.
Câble coaxial
COAXIAL CABLE

3. Raccordez une extrémité du câble coaxial au


LNBF et l’autre à la prise «Entrée satellite »
du récepteur. Veillez à ce que le parcours du
câble le mette à l’abri des rongeurs ou des accidents, et qu’il ne gêne rien.
Manuel d’installation
et d’utilisation

4. Sur tous les raccords à l’air libre, veillez à utiliser des chaussons de protection pour
protéger le câble de la moisissure.

5. Consultez la page 4-42 pour les instructions sur la mise à la terre.

L’assemblage et le montage de l’antenne parabolique de 90 cm sont


maintenant terminés. Passez maintenant à la page 4-31 << Installation du
récepteur >>.

ÉTAPE 3.4 ASSEMBLAGE DE L’ANTENNE


PARABOLIQUE DE 120 CM
PALIER 3.4A : LE PRÉ-ASSEMBLAGE DES PIÈCES
(ANTENNE PARABOLIQUE DE 120 CM)

Il vaut mieux assembler le réflecteur parabolique dans un intérieur, de façon à ce qu’il


soit prêt à être monté à l’extérieur dans les meilleures conditions - surtout s’il fait froid
dehors.

Le système dans son entier consiste en trois étapes principales : le réflecteur parabolique,
l’assemblage de l’antenne et le récepteur. La monture consiste du pied (base) et d’un
tuyau métallique courbe que l’on appelle un mât. Ces deux pièces sont livrées pré-
assemblées. L’assemblage de l’antenne est composée du réflecteur , de sa ferrure de
support, du bras de soutien du LNBF (amplificateur de signal à faible bruit). Le récepteur
est aussi entièrement assemblé.

Pré-assemblez les pièces de l’antenne parabolique comme suit :

1. Assemblez l’antenne parabolique conformément aux


instructions qui figurent dans la ` boîte d’emballage du
réflecteur. DISH
Réflecteur

2. Montez l’assemblage en plastique de la ferrure du LNBF


sur le bras de soutien comme vous l’indique le
LNBF
diagramme. Cet assemblage doit pouvoir glisser jusqu’à
l’extrémité du bras de soutien du LNBF et venir heurter
Monture
SUPPORT
un cran d’arrêt en plastique. Vissez-le du mât
STRUTS

ensuite avec la vis qui vous est livrée. Bras du


LNBF
LNBF
ARM

3. Placez le cou du LNBF dans l’étrier courbe du bras de


soutien, puis placez le collier au-dessus du cou et vissez- Monture du
MOUNT MAST
mât

le doucement avec les vis fournies. Ne serrez pas trop,


car des ajustements ultérieurs seront requis. La partie en plastique blanc du LNBF doit
faire face au réflecteur parabolique.
Installation et réglage
Assemblage de l’antenne parabolique de 120 cm

4. Ajustez la position du cou du LNBF de manière à ce


Collier cou
qu’il soit au fond du collier : pour ce faire, éloignez
délicatement le LNBF du réflecteur aussi loin que vous le étrier courbe

permettent le LNBF et l’assemblage du colier. Faites


tourner le LNBF de sorte que les prises du câble coaxial
pointant vers le bas. C’est un ajustement « à 6 heures » B FA
RM
LN cr a n s d ' a r r ê t
du LNBF (voir illustration).

5. Ajustez légèrement l’angle du LNBF selon les


coordonnées du Tableau (page 4-38). Dans l’ouest
canadien, le LNBF doit se trouver dans la position
« 7 heures » ; dans les régions centrales, il doit se d sh
trouver à « 6 heures », et à « 5 heures » dans les
régions de l’Est.
LNBF
6. Déterminez votre angle à partir du même Tableau LNBF ARM
(page 4-38) et ajustez l’angle de l’antenne de 7 heures 5 heures
6 heures
façon à ce que le centre de l’écrou supérieur du
mât corresponde à votre angle tel que vous Cadran d’angle
VERTICAL
l’indique le cadran de la tête du mât. Dans le ELEVATION
diagramme ci-contre, cet angle est réglé à 50 GAUGE
degrés. VERTICAL 10 20 30 40
50
60
70

7. Serrez légèrement l’écrou du côté face du pivot


angulaire et laissez la partie arrière de l’écrou avec
ELEVATION 80
90

un peu de jeu.
GAUGE
8. Votre réflecteur est maintenant prêt pour être
monté sur le mât à l’extérieur.
10 20 30 40
50
60
70
80
90

La monture fixant votre réflecteur à votre immeuble est en acier : elle a


donc des propriétés magnétiques. Si vous êtes trop près de la monture, les
indications de votre boussole pourraient être faussées.
Manuel d’installation
et d’utilisation

PALIER 3.4B : FIXATION DE LA MONTURE À VOTRE IMMEUBLE


(ANTENNE PARABOLIQUE DE 120 CM)

La monture devrait déjà être fixée à votre immeuble avant même que vous n’y posiez le
réflecteur parabolique. Quand vous fixez la monture sur un pan de mur ou sur un toit,
veillez bien à ce que sa partie supérieure soit rigoureusement verticale. Vous pouvez vous
en assurer en utilisant un niveau à bulle sur le devant et le côté de la partie supérieure. Il
est important de fixer la monture solidement sur la structure à l’aide de 4 attaches que le
vent ne puisse la déranger.
Nota : il importe que la monture soit verticale quelque soit le côté d’où vous le regardez,
comme le mât d’un drapeau.

90˚

90˚
90˚

MONTAGE SUR UN MUR MONTAGE HORIZONTAL MONTAGE SUR UN TOIT

Voici comment y arriver :

1. Placez le pied du mât sur la surface de l’endroit où vous comptez l’installer.

2. Marquez au crayon l’emplacement de l’un des


deux trous et enlevez le pied. Appliquez le niveau à
FRONT
Vue VIEW
de devant
PRESS LEVEL
bulle contre
AGAINST la monture
MOUNT

3. Percez le trou et fixez le pied du mât avec une


seule attache.

4. Placez un niveau à bulle sur le dessus et côté du


pied et faites-le pivoter jusqu’à ce qu’il soit au
niveau et vertical. Percez un autre trou en
gardant le pied bien en place (ou encore, vous
pouvez marquer l’emplacement des trous, Mountfoot PiedMountfoot
de la
monture
retirer le pied et percer).

5. Fixez le pied en utilisant les deux attaches. Scellez les trous avec de la silicone pour
empêcher les écoulements d’eau qui pourraient abîmer votre édifice

6. Installez le mât au pied à l’aide des attaches fournies. Orientez le mât de telle sorte
que la petite partie coudée soit vers l’avant et à la verticale.
Installation et réglage
Assemblage de l’antenne parabolique de 120 cm

7. Placez un niveau à bulle sur la surface avant de la partie coudée du mât et réglez le
mât à une position verticale. Serrez le boulon de montage du mât.

8. Fixez les deux montants d’appui du mât en utilisant les pièces de quincaillerie
fournies. Serrez bien le boulon tout en permettant un léger mouvement des montants.

9. Placez la base de chaque montant à angle droit sur la surface de montage et marquez
l’emplacement des trous. Avant de percer les trous pour les montants, assurez-vous à
l’aide du niveau à bulle que le mât est toujours à angle droit : cette vérification est très
importante pour assurer un bon alignement.

10. Percez les trous en maintenant la base des montants bien en place (ou encore, vous
pouvez marquer l’emplacement des trous, déplacer légèrement les montants, puis
percer).

11. Fixez la monture avec les quatre attaches. Scellez les trous avec de la silicone pour
empêcher les écoulements d’eau qui pourraient abîmer votre édifice.

12. Serrez le boulon de fixation du montant qui a été installe plus haut (voir Nº 8). Placez
le niveau sur la surface avant de la partie coudée du mât pour s’assurer que le mât est
toujours vertical. Il n’y a aucun autre réglage à effectuer au montage.

Si vous éprouvez des difficultés à fixer la monture sur une surface, essayez
de fixer une planche de bois solide sur la surface que vous utiliserez, puis
fixez la monture sur le bois.

PALIER 3.4C : INSTALLATION DU RÉFLECTEUR SUR LA MONTURE


(ANTENNE PARABOLIQUE DE 120 CM)

Vous avez fixé la monture sur votre immeuble et vous avez pré-assemblé le réflecteur
parabolique. Il est donc prêt à poser sur la monture.

Le procédé est très simple :

1. Faites passer l’assemblage du réflecteur au-dessus du mât.

2. Serrez légèrement les deux écrous au dos du collier de fixation afin que le réflecteur,
sans présenter trop de jeu, puisse néanmoins se mouvoir dans le sens Est/Ouest.

3. Vous pourrez procéder à l’alignement du réflecteur une fois que vous aurez réalisé le
câblage tel qu’expliqué dans le palier 3.4D ci-dessous.
Manuel d’installation
et d’utilisation
PALIER 3.4D : LE CÂBLAGE (ANTENNE PARABOLIQUE DE 120 CM)

Le câblage s’effectue comme suit :

1. Faites passer le câble coaxial dans le


réflecteur comme indiqué dans l’illustration
ci-contre.

2. Acheminez le câble coaxial à l’arrière du tube Câble coaxial


COAXIAL CABLE
de soutien comme le montre le diagramme ci-
contre.

3. Raccordez une extrémité du câble coaxial au


LNBF et l’autre à la prise «Entrée satellite » du récepteur. Veillez à ce que le parcours
du câble le mette à l’abri des rongeurs ou des accidents, et qu’il ne gêne rien.

4. Sur tous les raccords à l’air libre, veillez à utiliser des chaussons de protection pour
protéger le câble de la moisissure.

5. Consultez la page 4-42 pour les instructions sur la mise à la terre.

L’assemblage et le montage de l’antenne parabolique de 120 cm sont


maintenant terminés. Passez maintenant à la page 4-31 << Installation du
récepteur >>.

ÉTAPE 4 : INSTALLATION DE
UN OU PLUSIEURS RÉCEPTEURS
Note: La marche à suivre décrite dans ce guide est valable pour l’installation d’un
récepteur unique. Si toutefois vous désirez utiliser ce récepteur en combinaison avec un
ou plusieurs récepteurs, vous devrez procéder selon les étapes décrites ci-dessous. Si
vous avez déjà installé un ou plusieurs récepteurs, et que vous désirez installer un
récepteur supplémentaire, vous devrez peut-être modifier l’installation.

Aux étapes 11 à 20 de la section Assemblage de l’antenne parabolique (page 4-2), vous


devez utiliser un LNBF à double sortie et connecter deux câbles coaxiaux au LNBF.

À la section Raccordement du câble au bloc de mise à la terre (page 4-2), vous devez
connecter chaque câble coaxial du LNBF au bloc de mise à la terre. Vous devez tirer deux
câbles coaxiaux du bloc de mise à la terre à l’intérieur de la maison.
Installation et réglage
Installation du récepteur

À la section Raccordement du récepteur à une prise téléphonique (page 4-43), vous


devez connecter chacun des récepteurs de cette installation à une ligne téléphonique
active si vous voulez acheter des programmes TAC (Pay-per View) à partir de chacun des
récepteurs. Vous devez régler chaque récepteur selon votre systéme téléphonique.

À la section Commande de votre programmation (page 4-44), assurez-vous que chaque


récepteur est muni d’une Smart Card et autorisez la mise en service de tous les récepteurs
en communicant avec le Service à la Clientèle.

À la section Câblage de votre système (page A-13, vous devez suivre les étapes
suivantes:

Si vous voulez installer deux récepteurs, vous devez acheminer chaque c‚ble coaxial du
LNBF au récepteur qui lui est assigné. Vous ne pouvez pas connecter deux récepteurs au
même câble (en utilisant un répartiteur) car les récepteurs seraient en interférence lors de
la sélection des canaux.

Si vous voulez installer plus de deux récepteurs, vous devrez vous procurer
le matériel additionnel nécessaire. Contactez votre détaillant ou téléphonez au Service à
la Clientèle pour de l’assistance.

INSTALLATION DU RÉCEPTEUR
Raccordez le câble provenant de l’antenne parabolique à votre téléviseur comme vous
l’explique de Manuel d’Installation et d’Utilisation d’ExpressVuMC et allumez le
récepteur. Utilisez votre nouvelle télécommande (dont le Manuel d’Installation et
d’Utilisation décrit exhaustivement le fonctionnement) pour faire ce qui suit . Notez que
les récepteurs ExpressVuMC sont réglés en usine pour un affichage en anglais. Vous
pourrez obtenir un affichage en français avec votre télécommande UHF après avoir
aligné de votre antenne parabolique et téléchargé le logiciel initial de fonctionnement.

Consultez la section << Configurations de câblage >> à la page A-13 pour des
suggestions de configurations de câblage.

1. Assurez-vous que votre SmartCard est installée dans le récepteur. Si votre SmartCard a
été livrée dans un emballage distinct, vous devez la glisser dans la fente du récepteur.

Le récepteur ne fonctionnera que si la SmartCard y est installée.


Vous devez utiliser la SmartCard qui a été autorisée pour votre récepteur.
Manuel d’installation
et d’utilisation

• Ouvrez la trappe d'accès sur le panneau


avant du récepteur, en tirant doucement sur
le bord gauche.

• Déballez la carte, puis insérez-la, face vers


le haut.

• Assurez-vous que la carte soit bien fixée


dans la fente.

• Fermez la trappe d'accès.

2. Allumez le récepteur.

ÉTAPE 5 : ALIGNEMENT DE L’ANTENNE


PARABOLIQUE
Nous arrivons maintenant à la dernière étape avant la commande de vos programmes.
Tout ira très vite si votre mât d’antenne est vertical, mais soyez toutefois patient avec les
ajustements, car ils nécessitent un peu de minutie.

L’alignement de l’antenne parabolique se fait en deux étapes. D’abord, vous devez


repérer le satellite pour obtenir une mesure sur la barre d’intensité du signal. Une fois
ceci fait, il vous faut parfaire le pointage de l’antenne pour obtenir un signal d’intensité
maximale. Trouver le satellite est l’étape la plus difficile.

Une personne pourra aisément procéder à l’ajustement de l’orientation de l’antenne si


elle peut, depuis son emplacement, voir et entendre le téléviseur.

L’ajustement de l’orientation de l’antenne parabolique se fait généralement à deux. Une


personne manipulera l’antenne, alors que l’autre surveillera les effets des ajustements en
observant la barre d’intensité du signal sur l’écran du téléviseur. Pour obtenir le meilleur
signal possible, les deux personnes doivent pouvoir communiquer au moyen d’un
téléphone cellulaire, par des walkie-talkies ou un système de surveillance de bébés, voire
même en parlant fort. Nous vous proposons d’utiliser la procédure
suivante :

1. Assurez-vous que l’angle a bien été réglé conformément au Tableau (page 4-38)

2. Assurez-vous que l’orientation du LNBF est conforme à celle indiquée par le Tableau
(page 4-38)
Installation et réglage
Alignement de l’antenne parabolique

3. Pointez l’antenne dans la direction du satellite à l’aide d’une boussole, comme nous
vous l’avons expliqué plus haut (voir Étape 2). À titre de référence, marquez ce point
de départ avec un crayon sur le collier de fixation de l’antenne et sur le mât.
4. Allumez le récepteur

Télécommande Options du menu

5. Appuyez sur la touche Menu pour ouvrir le Menu principal.


6. Choisissez l'option Réglage du système.
7. Choisissez l'option Installation .

8. Choisissez l'option Orientation de l'antenne


et intensité du signal.

Vous verrez maintenant s'afficher le menu Orientation de l'antenne et intensité du signal.


9. Déplacez la barre de mise en relief sur le champ du transpondeur. Si vous habitez à
l’Est de la limite entre le Manitoba et l’Ontario, introduisez 18 dans le champ du
transpondeur . Si vous habitez à l’Ouest de la limite entre le Mnitoba et l’Ontario,
introduisez 21 dans le champ du transpondeur.
10. Vous êtes maintenant prêt à procéder à l’alignement de votre antenne parabolique

18

Ne tenez pas compte du champ Zip Code et des mesures << Azimuth >> et
<< Elevation >> : elles ne sont pas utilisées au Canada.
Manuel d’installation
et d’utilisation
Ne vous placez pas directement devant l’antenne parabolique en l’orientant,
votre corps risquant de bloquer tout ou partie du signal satellite.

Nota : la barre d’intensité du signal passera du rouge au vert et l’intensité sonore


augmentera au fur et à mesure que vous vous approchez du pointage optimal ; il importe
de poursuivre les opérations d’ajustement jusqu’à ce que vous receviez le signal
d’intensité maximale afin que celui-ci soit fiable quelque soient les conditions
météorologiques.

Boulons
Mast Headdu
sommet
Clamp du
Bolts
mât

Boulons
Mast Headdu
sommet
Clamp du
Bolts
mât
Boulons du
sommet du
Mast Head
mât
Clamp Bolts

90˚

90˚
Antenne de 60cm Antenne de 76cm Antenne de 90 et 120cm
11.Maintenant que vous avez réglé le récepteur afin qu’il affiche l’écran voulu, vous
pouvez procéder aux ajustements du réflecteur pour le pointer sur le satellite. Si la
barre d’intensité du signal n’enregistre aucun signal, desserrez légèrement les boulons
du collier de fixation au sommet du mât est basculez doucement le réflecteur dans une
direction. N’y laissez pas vos mains. Faites-le par à-coups, jusqu’à ce que le réflecteur
ait balayé environ 10 degrés. Comme il faut au système une seconde pour enregistrer
l’intensité du signal, veillez à marquer des pauses dans le balayage. Votre ami qui
observe l’écran du téléviseur doit vous avertir si la barre d’intensité du signal
enregistre quelque chose. La conversation ressemble à peu près à ceci :

« Bon, je l’ai bougé »


« Rien à l’écran »
« Bon, je le bouge un peu plus »
« Une seconde...je vois quelque chose sur la barre...bouge-le un peu plus »
« Bon, je le bouge un peu plus...tu vois quelque chose ? »
« Oui,...c’est mieux ...»
......et ainsi de suite

12.Si votre balayage dans la direction initiale ne donne aucun résultat, replacez le
réflecteur à sa position d’origine telle que vous l’avez marquée au crayon et
recommencez, mais cette fois-ci en balayant dans la direction opposée, toujours par à
coups.
Installation et réglage
Alignement de l’antenne parabolique
13.Vous aurez trouvé le satellite si la barre d’intensité du signal enregistre un signal :
vous pourrez alors parfaire le pointage du réflecteur. Le but consiste ici à obtenir le
meilleur coefficient de réception du signal en ajustant les trois paramètres suivants :

• Le balayage (vers l’Est et vers l’Ouest)


• L’angle, et
• L’orientation du LNBF

Continuez à balayer très lentement l’espace


de =façon à obtenir le meilleur coefficient
possible sur la barre d’intensité du signal. Une
fois ceci fait, serrez les boulons horizontaux
du collier de fixation, desserrez les boulons
verticaux et procédez de même, de bas en
haut, petit à petit, pour améliorer l’intensité
de la réception.

Vertical
Boulons
Vertical
Elevation
d’angle
Elevation
Boulons
Bolts d’angle
Bolts

Boulons
Vertical
Elevation
d’angle
Bolts

90˚
90˚

Antenne de 60cm Antenne de 76cm Antenne de 90 et 120cm

14.Maintenant que vous avez obtenu un coefficient maximal


de réception du signal, a la fois pour l’axe Est / Ouest et pour
l’angle, essayer d’améliorer encore davantage la qualité de la
réception en faisant lentement tourner le LNBF dans son étrier.

15.Au récepteur, faites passer le transpondeur à 11 et répétez les


étapes 14 et 15 jusqu’a ce que l’intensité du signal soit la
meilleure possible.

Rappelez-vous que seuls des ajustements mineurs - d’amplitude inférieure à


un degré - sont nécessaires ici. Vous devez ajuster l’orientation du réflecteur
jusqu’à ce que l’intensité du signal pour le transpondeur 11 indique au
moins 50 %. Si vous ne pouvez constamment obtenir sur le transpondeur 11
une intensité de signal d’au moins 50 % malgré des ciels dégagés, il se
pourrait alors que vous puissiez avoir besoin d’un plus grand réflecteur.
Communiquez avec votre concessionnaire.

16.Maintenant que vous avez le meilleur signal possible, serrez toutes les vis et boulons.
Choisissez l’option Sauvegarder sur l’écran. À l’aide d’un marqueur, indiquez les
Manuel d’installation
et d’utilisation

repères de réglage sur le mât et sur les colliers de fixation : ces marquages vous seront
utiles à l’avenir si vous deviez repointer l’antenne parabolique à la suite d’intempéries
ou d’un coup de vent.

Nota : n’égratignez pas la surface peinte pour y inscrire des marques, sous peine de
provoquer de la rouille.

17.Quand vous choisissez l’option Sauvegarder, vous verrez apparaître un autre écran
vous invitant à ne pas toucher au récepteur, car il télécharge un logiciel. Ce
téléchargement en provenance du satellite est nécessaire au fonctionnement du
récepteur. Vous pouvoir cliquer sur l’option Valider, ou simplement attendre la fin du
téléchargement. Mis à part le fait de cliquer sur Valider, ne touchez pas au récepteur,
jusqu’à ce qu’il ait fini de télécharger. Le téléchargement peut durer quelques minutes.

18.Une fois le téléchargement terminé, vous pouvez commander vos programmes en


appelant le Centre de service d’ExpressVuMC . Composez le 1-888-SKY-DISH.

19.Si vous souhaitez que votre système ExpressVuMC affiche le français, suivez les
instructions de la section « Changement de langue », à la page 3-6

Si, malgré vos efforts, vous ne recevez aucun signal, c’est que les
ajustements verticaux sont probablement mauvais. Essayez de changer
l’angle en procédant à des sauts de 1" sur le cadran, puis recommencez la
procédure ci-dessus.
Tableau de référence des
Aide

AIDE

Si vous ne pouvez trouver le satellite, ou soupçonnez que votre mât n’est pas
rigoureusement vertical, essayez ce qui suit:

À l’aide de votre boussole, orientez au mieux le réflecteur vers le satellite. Placez


maintenant votre niveau à bulle à la verticale au milieu du réflecteur, comme vous le
montre l’illustration et, à l’aide du pivot d’angle, ajustez l’antenne de façon qu’elle soit
verticale. Lisez alors l‘indication du cadran d’angle, qui correspond à l’angle vertical de
base (AVB) de votre installation. Si le sommet du mât était rigoureusement vertical, votre
cadran indiquerait 22,5°. Déterminez l’écart entre votre AVB et l’angle de 22,5° : cet
écart représente le coefficient de correction verticale qu’il faut appliquer à votre
installation. Si votre AVB est supérieur à 22,5°, ajoutez le facteur de correction à votre
angle (page 10) pour obtenir un angle corrigé. Si votre AVB est inférieur à 22,5°,
retranchez le facteur de correction à l’angle que vous donne le Tableau. Maintenant,
réglez la position verticale du réflecteur à l’angle corrigé et commencez à le faire
basculer comme on vous l’explique dans l’Étape 12 de la présente procédure.

Voici un exemple: si votre angle BV est 20,5 degrés


et que vous habitez à Calgary où l’angle du satellite
est 31,2 degrés, la différence entre votre angle AVB et
22,5 degrés (votre facteur de correction) est 2 degrés.
Comme votre angle AVB vaut moins que 22,5 degrés,
retranchez 2 de 31,2 degrés et vous obtenez ainsi un
angle corrigé de 29,2 degrés.
Manuel d’installation
et d’utilisation

TABLEAU DE RÉFÉRENCE DES COORDONNÉES DU SATELLITE

Ville Satellite actuel


Anik E2 (at 107.30)de LO SRN futur (à 91°) de LO

Direction Rotation du LNBF (heures d’un cadran) Direction


de la Angle Antenne parabolique de de la Angle
boussole 60, 90, 120 cm Dish 76 cm Dish boussole

ALBERTA

Calgary 153 31.2 6 8 133 27.6


Drumheller 155 30.9 6 9 135 27.7
Edmonton 153 28.6 6 9 134 25.4
Grande Prairie 144 26.2 6 8 125 22.3
Grimshaw 145 25.3 6 8 126 21.8
Lethbridge 156 32.8 6 9 135 29.3
Lloydminster 160 29.1 6 9 140 26.7
Medicine Hat 159 32.5 6 9 139 29.6
Slave Lake 150 26.6 6 8 131 23.4

COLOMBIE - BRITANNIQUE

Campbell River 136 30.1 6 8 118 24.1


Cranbrook 151 32.7 6 8 131 28.5
Fort Nelson 136 21.9 6 8 119 17.9
Fort St. John 140 24.8 6 8 122 20.7
Kamloops 143 30.7 6 8 124 25.7
Kelowna 145 31.6 6 8 125 26.7
Kitimat 131 25.4 6 8 113 19.6
Nanaimo 138 31.4 6 8 114 21.5
Prince George 139 26.8 6 8 117 20.8
Prince Rupert 129 24.5 7 7 120 22.0
Vancouver 139 31.5 6 8 113 19.2
Victoria 139 32.3 6 8 120 25.8

MANITOBA

Churchill 196 22.3 6 10 177 23.2


Dauphin 181 31.0 6 10 160 30.8
The Pas 178 28.3 6 9 158 27.8
Thompson 186 25.9 6 10 166 26.2
Winnipeg 188 32.0 6 10 167 32.5

NOUVEAU - BRUNSWICK

Bathurst 251 22.2 5 12 234 30.0


Tableau de référence des
coordonneés du satellite

Ville Satellite actuel


Anik E2 (at 107.30)de LO SNR futur (à 91°) de LO

Direction Rotation du LNBF (heures d’un cadran) Direction


de la Angle Antenne parabolique de de la Angle
boussole 60, 90, 120 cm Dish 76 cm Dish boussole

Edmunston 248 23.8 5 12 230 31.2


Fredericton 250 23.9 5 12 232 31.9
Moncton 252 22.7 5 12 235 31.0
Saint Jean 251 24.0 5 12 233 32.3

TERRE-NEUVE

Corner Brook 261 17.0 5 12 244 25.5


Gander 263 15.1 5 12 248 24.0
Grand Bank 262 16.7 5 13 246 26.0
Happy Valley 259 15.7 5 12 243 22.9
Labrador City 251 19.1 5 12 234 25.5
Springdale 262 15.6 5 12 246 24.2
Saint Jean 265 14.7 5 13 249 24.0

TERRITOIRES
DU NORD-OUEST

Fort McPherson 118 11.4 6 8 101 7.5


Fort Simpson 136 19.0 6 8 118 15.7
Fort Smith 153 21.8 6 9 134 19.7
Hay River 145 20.7 6 9 127 18.0
Inuvik 118 10.8 6 8 101 7.2
Yellowknife 146 19.1 6 9 128 16.8

NOUVELLE - ÉCOSSE

Halifax 254 22.9 5 13 237 31.8


Springhill 253 22.6 5 12 236 31.1
Sydney 258 20.0 5 13 241 28.9
Yarmouth 251 25.0 5 12 233 33.6

ONTARIO

Cobalt 227 29.3 5 11 207 34.4


Hearst 219 28.7 5 11 199 32.6
Kenora 194 31.6 6 10 173 32.8
Kingston 234 30.5 5 12 213 37.0
London 224 33.9 5 12 203 39.4
Nipigon 209 30.9 5 11 188 33.7
North Bay 228 30.1 5 11 207 35.5
Ottawa 235 29.1 5 12 215 35.5
Pembroke 232 29.5 5 12 212 35.5
Manuel d’installation
et d’utilisation

Ville Satellite actuel


Anik E2 (at 107.30)de LO SNR futur (à 91°) de LO

Direction Rotation du LNBF (heures d’un cadran) Direction


de la Angle Antenne parabolique de de la Angle
boussole 60, 90, 120 cm Dish 76 cm Dish boussole

Peterborough 230 31.3 5 12 210 37.4


Sault Ste. Marie 217 31.9 5 11 196 36.1
Sioux Lookout 200 30.7 6 10 179 32.6
Sudbury 225 30.6 5 11 204 35.6
Thunder Bay 206 31.8 5 11 185 34.4
Timmins 224 29.0 5 11 204 33.6
Toronto 228 32.4 5 12 207 38.3
Windsor 221 35.3 5 11 199 40.5

ÎLE-DU-
PRINCE-ÉDOUARD

Charlottetown 255 21.7 5 12 237 30.2


Summerside 254 21.9 5 12 236 30.3

QUÉBEC

Chibougamau 238 24.8 5 11 219 30.6


Gaspé 253 20.7 5 12 236 28.4
Mont-Laurier 236 28.1 5 12 216 34.3
Montréal 239 28.0 5 12 220 34.8
Québec 243 25.8 5 12 224 32.8
Rimouski 247 23.2 5 12 229 30.3
Sept-Îles 251 20.8 5 12 233 27.9
Sherbrooke 242 27.2 5 12 223 34.4
Témiscaming 229 29.6 5 11 208 35.0
Trois-Rivières 241 26.8 5 12 222 33.7

SASKATCHEWAN

Hudson Bay 175 29.4 6 9 155 28.7


Moosomin 178 32.3 6 9 156 31.6
North Battleford 163 29.7 6 9 143 27.6
Regina 171 32.1 6 9 150 30.8
Saskatoon 167 30.4 6 9 146 28.6
Swift Current 165 32.4 6 9 144 30.2

YUKON

Dawson Landing 117 13.3 6 8 100 8.4


Watson Lake 128 19.5 6 8 111 14.9
Whitehorse 122 17.3 6 8 105 12.1
Installation et réglage
Rapporteur d’angle - ANIKE2

RAPPORTEUR D’ANGLE - ANIK E2


Utilisez le Tableau de référence des coordonnées du satellite et ce rapporteur d’angle pour
déterminer les mesures de l’angle de votre réflecteur.


90 5.

r 3 °
80 d so 32. 31.5
70 i n t o r
W ron uve °
60 o c o 2 8.0
T n al
Va ntré
.0°
50
o
M x 23
40 lifa
Ha 7.4° 4.6°
o r se 1 e u ve 1
- N
30 iteh erre
Wh n de T
e a
St. J
20 10.9°
Inuvik

10

0
Manuel d’installation
et d’utilisation

MISE À LA TERRE ET CÂBLAGE DE L’ANTENNE


PARABOLIQUE
Comme avec tout appareil de ce type, vous devez mettre l'antenne parabolique et le / les
câbles coaxiaux à la terre, conformément aux codes locaux de l'électricité, afin de les
protéger contre tout dommage occasionné par la foudre et autres décharges électriques.
Nous vous présentons ici les étapes générales que vous devez effectuer pour mettre
convenablement à la terre le câble et l'antenne parabolique.

AVANT DE COMMENCER

Les directives suivantes s'appliquent à tous les systèmes de mise à la terre

1. Une tige en fer cuivré enfoncée dans le sol le plus près possible de votre édifice,
constitue une bonne terre. Vos codes locaux vous donneront les détails voulus.

2. Placez votre bloc de mise à la terre aussi près que possible de la tige de mise a la terre.

3. En empruntant le trace le plus direct possible, acheminez le câble coaxial du LNBF à


la borne coaxiale sur un côté du bloc de mise à la terre.

Si vous utilisez un LNBF à sortie double, acheminez


les deux câbles coaxiaux au bloc de mise à la terre.

Vers la tige de mise à la terre

4. Pour chaque câble coaxial raccordé au bloc de mise à la terre, connectez un second
câble coaxial à la borne coaxiale, de l’autre côté du bloc de mise à la
terre : c’est ce câble que vous acheminerez vers l’édifice et le récepteur.

5. Raccordez le bloc de mise à la terre à la tige de mise à la terre conformément aux


codes locaux.
Installation et réglage
Mise à la terre et câblage de l’antenne parabolique

RACCORDEMENT DU RÉCEPTEUR À UNE PRISE TÉLÉPHONIQUE

Pour raccorder votre récepteur ExpressVuMC à une ligne téléphonique, branchez un fil
téléphonique au Phone Jack (fiche téléphonique) situé sur le panneau arrière du récepteur.

Lorsque vous achetez des émissions TAC d’ExpressVuMC , votre récepteur enregistre
l’information dans sa mémoire. Pour profiter de certains services qu’offre ExpressVuMC ,
tels que TAC et l’alimentation de plusieurs récepteurs a l’intérieur d’un même foyer,
votre récepteur doit être raccordé à une ligne téléphonique active. Notez que tous les
récepteurs doivent être raccordés à la même ligne téléphonique. Le récepteur appelle le
Centre de service à quelques jours d’intervalle pour envoyer les données relatives aux
achats effectués. Ces appels - gratuits - sont effectués au milieu de la nuit, à des heures
irrégulières. Ceci n’entravera en rien l’usage normal de votre téléphone.
User and
Installation Guide

COMMANDE DE VOTRE PROGRAMMATION


EXPRESSVUMC
La présente procédure permet de signaler au Centre de service que votre système est en
ligne et bien installé. Les services doivent être activés avant que vous ne puissiez recevoir
les programmes de votre choix. Vous devez autoriser les services lorsque vous installez
votre système ExpressVuMC pour la première fois et toutes les fois que vous demandez
l’ajout ou le retrait de services.
Il vous suffit d'appeler le Centre de service au 1-888-SKY-DISH, de l'informer que votre
système a été installé et que vous aimeriez commencer à recevoir des émissions. L'agent
du service vous expliquera les services à la carte et les forfaits à votre disposition. Vous
pouvez alors choisir les services que vous voulez autoriser.
Il vous faudra donner à l'agent du service l'information sur votre système. Procédez
comme suit pour obtenir cette information : éteignez le récepteur à l'aide de la touche
Power de la télécommande (pas la touche Power du récepteur). Appuyez ensuite sur la
touche Info du récepteur ou de la télécommande. Le menu Informations importantes
sur le système s'affichera comme illustré ci-dessous. Pour sortir de ce menu, appuyez sur
la touche Select du récepteur ou de la télécommande.

Nota : le récepteur sera encore hors tension, bien que vous verrez des informations sur
votre téléviseur. Il vous faudra appuyer sur la touche Power de la télécommande ou du
récepteur pour allumer à nouveau le récepteur.
En option, l'agent du service vous demandera si vous voulez utiliser un numéro personnel
d'identification ExpressVuMC (NPI) pour le Centre de service. Consultez la section
<<Fonctions de sécurité>> à la page 2-21 pour des renseignements complémentaires.
TECHNOLOGIE DES PANNEAUX PHOTOVOLTAIQUES
A) Différents types de panneaux photovoltaïques
On distingue actuellement trois principaux types de panneaux
photovoltaïques, qui sont différenciés par le type de cellules qui les
composent. Toutes les cellules sont produites à base de silicium, mais les
méthodes de fabrication différentes leurs donnent des caractéristiques très
différentes, notamment en termes de productivité.
• Les panneaux solaires photovoltaïques, appelés modules photovoltaïques,
convertissent la lumière en électricité par l'intermédiaire d’un matériau
semi-conducteur (en général du silicium).
• Un module photovoltaïque est composé de cellules photovoltaïques (en
silicium) reliées entre elles et intégrées dans un cadre de métal et de verre
spécial.
1) Les cellules amorphes
Les cellules amorphes sont produites à partir d'un "gaz de silicium", qui est projeté
sur du verre, du plastique souple ou du métal, par un procédé de vaporisation
sous vide. La cellule est gris très foncé. C'est la cellule des calculatrices et des
montres dites « solaires », car ce type de cellule est bon marché et la technologie
est utilisable sur de nombreux supports, notamment des supports souples. Le
problème c’est que son rendement est 2 à 3 fois plus faible que les cellules
monocristallines.
2) Les cellules monocristallines
Les cellules monocristallines sont issues d'un seul bloc de silicium fondu, elles sont
donc très "pures". Elles offrent le meilleur rendement (entre 13 et 17%), mais sont
aussi plus chères à la production, donc à la vente. Ces cellules sont en général
octogonales et d'une couleur uniforme foncée (bleu marine ou gris).
Ces cellules sont les plus performantes, elles permettent donc de constituer des
panneaux qui sont très performants : ceux qui produisent le plus d’énergie avec le
moins de surface.

3) Les cellules poly cristallines


Les cellules poly cristallines sont élaborées à partir d'un bloc de silicium cristallisé
en forme de cristaux multiples. Vues de près, on peut voir les orientations
différentes des cristaux. Elles ont un rendement de 11 à 15%, mais leur coût de
production est moins élevé que les cellules monocristallines. Elles sont en général
de forme rectangulaire et sont en couleur bleu nuit avec des reflets.

B) Différents types de panneaux solaires


On distingue: les panneaux solaires photovoltaïques et les panneaux solaires
thermiques.
Il existe donc deux techniques pour "utiliser" l'énergie solaire : le photovoltaïque
et le thermique. Les panneaux solaires photovoltaïques produisent l’électricité
tandis que les panneaux solaires thermiques produisent la chaleur

C) Principaux paramètres des modules photovoltaïques


Les principaux paramètres sont:
 la tension à vide U0
 la tension maximale Um
 le courant maximal Im
 le courant de court-circuit( short circuit current) Icc
 la puissance maximale(peak power) Pm = Um.Im
 la tension à vide U0: c’est la tension mesurée lorsque le module n’est
connecté à aucune charge.
 la tension maximale Um : elle représente 75 à 90% de U0.
 le courant de court-circuit Icc : il est obtenu en reliant les deux bornes du
module par un ampèremètre.
 le courant maximal Im : elle représente 90 à 95% de Icc.
D) Couplage des modules photovoltaïques
1) Couplage série
On n’associe en série que des modules de même courant maximal.
L’association en série permet d’obtenir une grande tension de sortie.
+ + +

- - -

2) Couplage parallèle
On n’associe en parallèle que des modules de même tension maximale.
L’association en parallèle permet d’obtenir une grande intensité de sortie.

+ + +

- - -

3) Couplage mixte
Elle permet d’obtenir l’augmentation de la tension et du courant

+ + +

- - -

+ + +

- - -
CABLAGE D’UNE INSTALLATION SOLAIRE
A) SCHEMA DE BRANCHEMENT D’UNE INSTALLATION SOLAIRE
Les accessoires de base par poste pour une installation sont:
1. PANNEAU SOLAIRE (la quantité dépend de la puissance à fournir)
2. REGULATEUR SOLAIRE(01)
3. BATTERIE SOLAIRE (la quantité dépend de la tension et du courant à fournir)
4. ONDULEUR SOLAIRE (01)
5. DISJONCTEUR BIPOLAIRE(04)
6. CHARGE DC (la quantité dépend de l’utilisation)
7. CABLES (la section dépend de la charge)
B) Ordre de mise en marche du système:
1. Batterie
2. Panneau
3. Charge DC
4. Onduleur
5. Charge AC
C) Les diamètres de base des câbles pour une installation domestique sont:
1. PANNEAU SOLAIRE (10mm2)
2. REGULATEUR SOLAIRE (10mm2) à l’entrée et (6mm2)à la sortie.
3. BATTERIE SOLAIRE (10mm2)
4. ONDULEUR SOLAIRE (10mm2) à l’entrée et (2,5mm2) vers la prise de
courant.
5. DISJONCTEUR BIPOLAIRE (10mm2)
6. CHARGE DC (2,5mm2) au minimum
D) Distance maximale recommandée entre accessoires

PANNEAU REGULATEUR BATTERIE


10m 1m

E) ROLE DES BLOCS


• ROLE DU REGULATEUR
Contrôler la charge de la batterie et signaler sa limite de décharge
• ROLE DE LA BATTERIE
Conserver l’énergie et fournir de l’énergie aux charges DC et à l’onduleur
• ROLE DE L’ONDULEUR
Fournir de l’énergie aux charges AC
• ROLE DES DISJONCTEURS
Connecter et déconnecter les accessoires entre eux
• ROLE DU PANNEAU
Fournir de l’énergie à la batterie
F) Schéma de l’installation couplée

SYSTEME DE COMMANDE

AUTOMATIQUE DE L'INSTALLATION

COMPTEUR CEET ONDULEUR

ENTR2E SORTIE SORTIE ENTR2E

N
Ph N

CONTACTEUR

Ph N

BOITE DE DEPART DE L'INSTALLATION AC


G) INDICATION DES PANNES PAR LE REGULATEUR

INDICATION PANNE MESURE DE OPERATION DE


PROTECTION REPARATION
LED Vert de la Courant de la Déconnecter la Réduire les
charge clignote charge insuffisant charge DC charges DC
LED vert de la Sortie DC du Arrêter le Changer le
charge éteinte régulateur ne fonctionnement régulateur
marche pas ou le de l’installation
bouton est OFF
LED de la batterie Charge de la Déconnectés les Laisser le temps à
est Rouge batterie faible appareils la batterie de se
charger
LED de la batterie Pas de problème
est Jaune
LED de la batterie Pas de problème
est Verte
LED du panneau Problème du Arrêter le Contrôler les
est éteinte panneau fonctionnement liaison des des
de l’installation panneaux et leur
état
LED du panneau Problème de Arrêter le Dépend de la
clignote rayonnement fonctionnement mesure de
solaire de l’installation si protection
la charge de la
batterie est faible
LED du panneau
est allumée
H) Les caractéristiques d’un onduleur
1. La puissance nominale: c’est la puissance que l’onduleur peut délivrée en
régime constant et à une température donnée. Elle est exprimée en VA ou
en watt
2. La capacité de surcharge: c’est la capacité de l’onduleur à supporter un
courant d’appel plus élevé que son courant nominal sur une courte durée.
Elle est encore appelée puissance crête ou puissance de pointe.
3. La tension de sortie: la qualité de la tension de sortie influe sur le
fonctionnement de la charge et est définie par le taux d’harmonique. Il doit
être inférieur à 5%.
4. Le rendement: c’est le rapport entre l’énergie restituée et l’énergie
absorbée. Ce rendement est fonction de: la technologie utilisée; la
puissance nominale ; la tension DC en entré.
5. Sa consommation: à vide, elle varie entre 0,5 et 1%.
6. Ses protections : ce sont les types de protections assurées par l’onduleur
telles que: contre la surcharge; en température; contre le court-circuit;
contre la baisse et l’élévation de la tension de sortie
. Les différentes formes de Maintenanc
*

LES CONCEPTS

LES MÉTHODES LES 5 NIVEAUX DE MAINTENANCE


La Maintenance corrective
La Maintenance préventive LES ACTIVITÉS CONNEXES
But de la Maintenance préventive La Maintenance d'amélioration
La Maintenance préventive systématique La rénovation
La Maintenance préventive conditionnelle La reconstruction
La modernisation
LES OPÉRATIONS DE MAINTENANCE Les travaux neufs
Les opérations de Maintenance corrective La Sécurité
Les opérations de Maintenance préventive
Autres opérations

LES CONCEPTS :
L’analyse des différentes formes de maintenance repose sur 4 concepts :

1. Les événements qui sont à l’origine de l’action : référence à un échéancier, relation à un


type d’événement (auto diagnostic, information d’un capteur, mesure d’une usure, etc.),
l’apparition d’une défaillance.
2. Les méthodes de maintenance qui leur seront respectivement associées : maintenance
préventive systématique, maintenance préventive conditionnelle, maintenance corrective.
3. Les opérations de maintenance proprement dites : inspection, contrôle, dépannage,
réparation, etc.
4. Les activités connexes : maintenance d’amélioration, rénovation, reconstruction,
modernisation, travaux neufs, sécurité, etc.

Cette réflexion terminologique et conceptuelle représente une base de référence pour :

 L’utilisation d’un langage commun pour toutes les parties (conception, production,
prestataires de services, etc.)
 La mise en place de systèmes informatisés de gestion de la maintenance

LES MÉTHODES :
Le choix entre les méthodes de maintenance s’effectue dans le cadre de la politique de la maintenance et
doit s’opérer en accord avec la direction de l’entreprise.
Pour choisir, il faut donc être informé des objectifs de la direction, des directions politiques de
maintenance, mais il faut connaître le fonctionnement et les caractéristiques des matériels, le comportement
du matériel en exploitation, les conditions d’application de chaque méthode, les coûts de maintenance et les
coûts de perte de production.
Le diagramme suivant synthétise selon la norme NF X 60-000 les méthodes de maintenance.
La maintenance corrective :
Définitions (extraits normes NF X 60-010) :
Défaillance : altération ou cessation de l’aptitude d’un bien à accomplir la fonction requise.
Il existe 2 formes de défaillance :
Défaillance partielle : altération ou dégradation de l’aptitude d’un bien à accomplir la fonction requise.
Défaillance complète : cessation de l’aptitude d’un bien à accomplir la fonction requise.
La maintenance corrective appelée parfois curative (terme non normalisé) a pour objet de redonner au
matériel des qualités perdues nécessaires à son utilisation.
Les défauts, pannes ou avaries diverses exigeant une maintenance corrective entraînent une
indisponibilité immédiate ou à très brève échéance des matériels affectés et/ou une dépréciation en quantité
et/ou qualité des services rendus.

La maintenance préventive :

Maintenance effectuée selon des critères prédéterminés, dont l’objectif est de réduire la probabilité de
défaillance d’un bien ou la dégradation d’un service rendu.
Elle doit permettre d’éviter les défaillances des matériels en cours d’utilisation.
L’analyse des coûts doit mettre en évidence un gain par rapport aux défaillances qu’elle permet d’éviter.

But de la maintenance préventive :

o Augmenter la durée de vie des matériels


o Diminuer la probabilité des défaillances en service
o Diminuer les temps d’arrêt en cas de révision ou de panne
o Prévenir et aussi prévoir les interventions coûteuses de maintenance corrective
o Permettre de décider la maintenance corrective dans de bonnes conditions
o Éviter les consommations anormales d’énergie, de lubrifiant, de pièces détachées, etc.
o Améliorer les conditions de travail du personnel de production
o Diminuer le budget de maintenance
o Supprimer les causes d’accidents graves
La maintenance préventive systématique :

Maintenance préventive effectuée selon un échéancier établi selon le temps ou le nombre d’unités
d’usage (produites). Même si le temps est l’unité la plus répandue, d’autres unités peuvent être retenues
telles que : la quantité de produits fabriqués, la longueur de produits fabriqués, la distance parcourue, la
masse de produits fabriqués, le nombre de cycles effectués, etc.
Cette périodicité d’intervention est déterminée à partir de la mise en service ou après une révision
complète ou partielle.
Cette méthode nécessite de connaître :

o Le comportement du matériel
o Les modes de dégradation
o Le temps moyen de bon fonctionnement entre 2 avaries
Remarque : de plus en plus, les interventions de la maintenance systématique se font par échanges
standards.
Cas d’application :
o Équipements soumis à une législation en vigueur (sécurité réglementée) : appareils de levage, extincteurs,
réservoirs sous pression, convoyeurs, ascenseurs, monte-charge, etc.
o Équipements dont la pane risque de provoquer des accidents graves : tous les matériels assurant le
transport en commun des personnes, avions, trains, etc.
o Équipement ayant un coût de défaillance élevé : éléments d’une chaîne de production automatisée,
processus fonctionnant en continu (industries chimiques ou métallurgiques).
o Équipements dont les dépenses de fonctionnement deviennent anormalement élevées au cours de leur
temps de service : consommation excessive d’énergie, éclairage par lampes usagées, allumage et
carburation déréglés (moteurs thermiques), etc.

La maintenance préventive conditionnelle :


Maintenance préventive subordonnée à un type d’événement prédéterminé (auto diagnostic, information
d’un capteur, mesure d’une usure, etc.).
Remarque : la maintenance conditionnelle est donc une maintenance dépendante de l’expérience et faisant
intervenir des informations recueillies en temps réel.
On l’appelle aussi maintenance prédictive (terme non normalisé).
La maintenance préventive conditionnelle se caractérise par la mise en évidence des points faibles.
Suivant le cas, il est souhaitable de les mettre sous surveillance et, à partir de là, de décider d’une
intervention lorsqu’un certain seuil est atteint. Mais les contrôles demeurent systématiques et font partie des
moyens de contrôle non destructifs.
Tous les matériels sont concernés. Cette maintenance préventive conditionnelle se fait par des mesures
pertinentes sur le matériel en fonctionnement.
Les paramètres mesurés peuvent porter sur :

o Le niveau et la qualité de l’huile


o Les températures et les pressions
o La tension et l’intensité des matériels électriques
o Les vibrations et les jeux mécanique
o Etc.

Certaines méthodes comme l’analyse vibratoire, l’analyse d’huile, ... sont très riches quant aux
informations recueillies. Leur compréhension autorise la prise à bon escient, de décisions qui sont à la base
d’une maintenance préventive conditionnelle.
La surveillance est soit périodique, soit continue
Avantage : la connaissance du comportement se fait en temps réel à condition de savoir interpréter les
résultats. A ce niveau, l’informatique prend une place primordiale.

Le matériel nécessaire pour assurer la maintenance préventive conditionnelle devra être fiable pour ne
pas perdre sa raison d’être. Il est souvent onéreux, mais pour des cas bien choisis il est rentabilisé
rapidement.
Cette méthode de maintenance, pour être efficace, doit dans tous cas être comprise et admise par les
responsables de production et avoir l’adhésion de tout le personnel.
Ces méthodes doivent être dans la mesure du possible standardisées entre les différents secteurs
(production et périphériques) ; ce qui n’exclut pas l’adaptation essentielle de la méthode au matériel.
Avec l’évolution actuelle des matériels et leurs tendances à être de plus en plus fiables, la proportion des
pannes accidentelles sera mieux maîtrisée. La maintenance préventive diminuera quantitativement d’une
façon systématique mais s’améliorera qualitativement par la maintenance conditionnelle.

LES OPÉRATIONS DE MAINTENANCE :


Ne sont vues ici que les opérations essentielles. Pour le reste, se référer à la norme NF X 60-010

Les opérations de maintenance corrective :

Le dépannage :
Action sur un bien en panne, en vue de le remettre en état de fonctionnement. Compte tenu de l’objectif,
une action de dépannage peut s’accommoder de résultats provisoires (maintenance palliative) avec des
conditions de réalisation hors règles de procédures, de coûts et de qualité, et dans ce cas sera suivie de la
réparation.
Le dépannage n’a pas de conditions d’applications particulières. La connaissance du comportement du
matériel et des modes de dégradation sont à la base d’un bon diagnostic et permettent souvent de gagner du
temps.
Souvent, les opérations de dépannage sont de courtes durées mais peuvent être nombreuses. De ce fait,
les services de maintenance soucieux d’abaisser leurs dépenses tentent d’organiser les actions de
dépannage. Certains indicateurs de maintenance (pour en mesurer son efficacité) prennent en compte le
problème du dépannage. Ainsi, le dépannage peut être appliqué par exemple sur des équipements
fonctionnant en continu dont les impératifs de production interdisent toute visite ou intervention à l’arrêt.
La réparation :
Intervention définitive et limitée de maintenance corrective après panne ou défaillance.
L’application de la réparation peut être décidée soit immédiatement à la suite d’un incident ou d’une
défaillance, soit après un dépannage, soit après une visite de maintenance préventive conditionnelle ou
systématique.
Remarque : la réparation correspond à une action définitive. L’équipement réparé doit assurer les
performances pour lesquelles il a été conçu.
Tous les équipements sont concernés.

Les opérations de maintenance préventive :

Les inspections : activités de surveillance consistant à relever périodiquement des anomalies et exécuter
des réglages simples ne nécessitant pas d’outillage spécifique, ni d’arrêt de l’outil de production ou des
équipements.
Les visites : opérations de surveillance qui, dans le cadre de la maintenance préventive systématique,
s’opèrent selon une périodicité déterminée. Ces interventions correspondent à une liste d’opérations
définies préalablement qui peuvent entraîner des démontages d’organes et une immobilisation du matériel.
Une visite peut entraîner une action de maintenance corrective.
Les contrôles : vérifications de conformité par rapport à des données préétablies suivies d’un jugement. Le
contrôle peut :
o Comporter une activité d’information
o Inclure une décision : acceptation, rejet, ajournement
o Déboucher comme les visites sur des opérations de maintenance corrective
Les opérations de surveillance (contrôles, visites, inspections) sont nécessaires pour maîtriser l’évolution
de l’état réel du bien. Elles sont effectuées de manière continue ou à des intervalles prédéterminés ou non,
calculés sur le temps ou le nombre d’unités d’usage.
Autres opérations :
Révision :
Ensemble des actions d’examens, de contrôles et des interventions effectuées en vue d’assurer le bien
contre toute défaillance majeure ou critique, pendant un temps ou pour un nombre d’unités d’usage donné.
Il faut distinguer suivant l’étendue des opérations à effectuer les révisions partielles et les révisions
générales. Dans les 2 cas, cette opération nécessite la dépose de différents sous-ensembles.
Le terme révision ne doit en aucun cas être confondu avec les termes visites, contrôles, inspections.
Les 2 types d’opérations définis (révision générale ou partielle) relèvent du 4ème niveau de
maintenance.
Les échanges standards :
Reprise d’une pièce ou d’un organe ou d’un sous-ensemble usagé, et vente au même client d’une pièce
ou d’un organe ou d’un sous-ensemble identique, neuf ou remis en état conformément aux spécification du
constructeur, moyennant le paiement d’une soulte dont le montant est déterminé d’après le coût de remise
en état.
Soulte : somme d’argent qui, dans un échange ou dans un partage, compense l’inégalité de valeur des biens
échangés.

LES 5 NIVEAUX DE MAINTENANCE :


1er Niveau :
Réglages simples prévus par le constructeur au moyen d'éléments accessibles sans aucun démontage ou
ouverture de l'équipement, ou échanges d'éléments consommables accessibles en toute sécurité, tels que
voyants ou certains fusibles, etc.
Commentaire : Ce type d'intervention peut être effectué par l'exploitant du bien, sur place, sans outillage
et à l'aide des instructions d'utilisation. Le stock de pièces consommables nécessaires est très faible.
2ème Niveau :
Dépannages par échange standard des éléments prévus à cet effet et opérations mineures de maintenance
préventive, telles que graissage ou contrôle de bon fonctionnement
Commentaire : Ce type d'intervention peut être effectué par un technicien habilité de qualification
moyenne, sur place, avec l'outillage portable défini par les instructions de maintenance, et à l'aide de ces
mêmes instructions.
On peut se procurer les pièces de rechange transportables nécessaires sans délai et à proximité immédiate
du lieu d'exploitation.
Note : Un technicien est habilité lorsqu'il a reçu une formation lui permettant de travailler en sécurité sur
une machine présentant certains risques potentiels, et est désigné pour l'exécution des travaux qui lui sont
confiés, compte tenu de ses connaissances et de ses aptitudes.
3ème Niveau :
Identification et diagnostic des pannes, réparations par échange de composants ou d'éléments
fonctionnels, réparations mécaniques mineures, et toutes opérations courantes de maintenance préventive
telles que réglage général ou réalignement des appareils de mesure.
Commentaire : Ce type d'intervention peut être effectué par un technicien spécialisé, sur place ou dans le
local de maintenance, à l'aide de l'outillage prévu dans les instructions de maintenance ainsi que des
appareils de mesure et de réglage, et éventuellement des bancs d'essais et de contrôle des équipements et en
utilisant l'ensemble de la documentation nécessaire à la maintenance du bien ainsi que les pièces
approvisionnées par le magasin.
4ème Niveau :
Tous les travaux importants de maintenance corrective ou préventive à l'exception de la rénovation et de
la reconstruction. Ce niveau comprend aussi le réglage des appareils de mesure utilisés pour la
maintenance, et éventuellement la vérification des étalons de travail par les organismes spécialisés.
Commentaire : Ce type d'intervention peut être effectué par une équipe comprenant un encadrement
technique très spécialisé, dans un atelier spécialisé doté d'un outillage général (moyens mécaniques, de
câblage, de nettoyage, etc.) et éventuellement des bancs de mesure et des étalons de travail nécessaires, à
l'aide de toutes documentations générales ou particulières.
5ème Niveau :
Rénovation, reconstruction ou exécution des réparations importantes confiées à un atelier central ou à
une unité extérieure.
Commentaire : par définition, ce type de travail est donc effectué par le constructeur, ou par le
reconstructeur, avec des moyens définis par le constructeur et donc proches de la fabrication.

LES ACTIVITÉS CONNEXES :


Ces activités complètent les actions de maintenance citées précédemment et participent pour une part
non négligeable à l’optimisation des coûts d’exploitation.

La maintenance d’amélioration :
L’amélioration des biens d’équipements consiste à procéder à des modifications, des changements, des
transformations sur un matériel. Dans ce domaine, beaucoup de choses restent à faire. Il suffit de se référer
à l’adage suivant : « on peut toujours améliorer ». C'est un état d'esprit qui nécessite une attitude créative.
Cependant, pour toute maintenance d'amélioration une étude économique sérieuse s'impose pour s'assurer
de la rentabilité du projet.
Les améliorations à apporter peuvent avoir comme objectif l'augmentation des performances de
production du matériel ; l'augmentation de la fiabilité (diminuer les fréquences d'interventions) ;
l'amélioration de la maintenabilité (amélioration de l'accessibilité des sous-systèmes et des éléments à haut
risque de défaillance) ; la standardisation de certains éléments pour avoir une politique plus cohérente et
améliorer les actions de maintenance, l'augmentation de la sécurité du personnel et des conditions de
travail, l’augmentation de la qualité des prestations ou produits finis.
Tous les matériels sont concernés à condition que la rentabilité soit vérifiée ; cependant une petite
restriction pour les matériels à renouveler dont l'état est proche de la réforme, pour usure généralisée ou par
obsolescence technique.
La rénovation (extrait de la norme NF X 50-501, février 1982) :
Inspection complète de tous les organes, reprise dimensionnelle complète ou remplacement des pièces
déformées, vérification des caractéristiques et éventuellement réparation des pièces et sous-ensembles
défaillants, conservation des pièces bonnes.
La rénovation apparaît donc comme l'une des suites possibles d'une révision générale au sens strict de sa
définition.
La reconstruction :
Remise en l'état défini par le cahier des charges initial, qui impose le remplacement de pièces vitales par
des pièces d'origine ou des pièces neuves équivalentes.
La reconstruction peut être assortie d'une modernisation ou de modifications.
Les modifications apportées peuvent concerner, en plus de la maintenance et de la durabilité, la capacité
de production, l'efficacité, la sécurité, etc.
Remarque : Actuellement entre la rénovation et la reconstruction, se développe une forme intermédiaire : «
la cannibalisation ». Elle consiste à récupérer, sur du matériel rebuté, des éléments en bon état, de durée de
vie connue si possible, et à les utiliser en rechanges ou en éléments de rénovation.
La modernisation :
Remplacement d'équipements, accessoires et appareils ou éventuellement de logiciel apportant, grâce à
des perfectionnements techniques n'existant pas sur le bien d'origine, une amélioration de l'aptitude à
l'emploi du bien.
Cette opération peut aussi bien être exécutée dans le cas d'une rénovation, que dans celui d'une
reconstruction.
La rénovation ou la reconstruction d'un bien durable peut donner lieu pour certains de ses sous-
ensembles ou organes à la pratique d'un échange standard.
Les travaux neufs
L'adjonction à la fonction maintenance de la responsabilité des travaux neufs est très répandue, en
particulier dans les entreprises de taille moyenne. Elle part du principe que, lors de tout investissement
additionnel de remplacement ou d'extension, il est logique de consulter les spécialistes de la maintenance
qui, d'une part, connaissent bien le matériel anciennement en place, et d'autre part auront à maintenir en état
de marche le matériel nouveau. A partir de là, on prend souvent la décision de leur confier l'ensemble des
responsabilités de mise en place des nouvelles installations. On crée alors un service appelé « maintenance-
travaux neufs ».
L'étendue des responsabilités en matière de travaux neufs est très variable d'une entreprise à l'autre. Il
peut s'agir de la construction d'un quai ou d'un bâtiment, de la mise en place d'une machine achetée à
l'extérieur (raccordement à la source d'énergie, etc.), ou même de la réalisation intégrale de la machine elle-
même. Dans certains cas les « travaux neufs » auront recours à la fabrication de l'entreprise qui réalisera les
commandes passées par eux-mêmes.
Notons que même si la fonction maintenance ne se voit pas adjoindre la fonction « travaux neufs », le
service s'occupera des installations succinctes du type modifications (réfection d'un bureau, etc.).
La sécurité
La sécurité est l'ensemble des méthodes ayant pour objet, sinon de supprimer, du moins de minimiser les
conséquences des défaillances ou des incidents dont un dispositif ou une installation peuvent être l'objet,
conséquences qui ont un effet destructif sur le personnel, le matériel ou l'environnement de l'un et de l'autre.
Sachant qu'un incident mécanique, une panne, peuvent provoquer un accident, sachant aussi que la
maintenance doit maintenir en état le matériel de protection ou même que certaines opérations de
maintenance sont elles-mêmes dangereuses, il apparût que la relation entre la maintenance et la sécurité est
particulièrement étroite. Pour toutes ces raisons ainsi que pour sa connaissance du matériel, le responsable
de la maintenance peut participer aux réunions du Comité d'Hygiène, de Sécurité et des Conditions de
Travail (CHSCT) en qualité de membre ou à titre d'invité, et développer sa collaboration avec le
Responsable sécurité lorsque l'entreprise en possède un.
Dans une entreprise moyenne où la sécurité n'a pas de service propre, on trouve normal de faire appel au
service maintenance pour les interventions concernant la sécurité. Celles-ci sont de deux ordres :

 D'une part celles que l'on peut classer dans la sécurité « officielle ». C'est la tenue des
registres concernant les chaudières, les visites d'appareils à pression, le contrôle des
installations électriques, etc., la tenue des dossiers des rapports de visite de l'inspecteur du
Travail, du contrôleur de la Sécurité sociale, etc.
 D'autre part celles qui, tout en s'inspirant des premières, les appliquent dans un contexte
précis.

Conclusion :
Même si les activités connexes sortent du cadre direct de la maintenance (= maintenir en état) elles
s'intègrent bien dans le champ de compétence des techniciens et des professionnels de maintenance. En
période de crise économique, certains industriels peuvent se montrer prudents à l'égard des investissements
et trouvent des possibilités d'amélioration par l'intermédiaire de ces formes de maintenance.
En résumé nous pouvons présenter les opérations de maintenance suivant le tableau synoptique suivant :
.

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