Depens
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Depens
AUTRES
J’arrose
Des rosiers en floraison sur des hectares.
Des roses
Dont le genre humain butinera le nectar.
Dessein
De prescrire à tous le baume d'AMOUR :
D’essaim
De vie, d’osmose, et d'oasis d’HUMOUR.
Du mouron,
À tout jamais n’aura à se faire l’humanité.
Des marrons,
Nous nous enfuirons pour vivre en liberté.
La solidarité
Régnera sine die jusqu’à la lune rouge sang.
La majorité
Sera au septième ciel de joie qu’on ressent.
La mort
Respectera l’humanité avec de la révérence.
Le Mors,
Lui le Thanatos ne sera plus une référence.
Alors Éros
Comme Agapè seront les seuls vrais dieux.
Puis Éos
Éclairera nos vies de lueurs sans dire adieu.
La guerre
N’aura plus de conflits dont elle se nourrit.
Et guère
La terre ne sera plus un partage à en mourir.
Le démocide
Sera sans scrupule hué par sa propre arme.
Le génocide
Ne se régalera jamais du sang de nos âmes.
J’arrose
Des rosiers en floraison sur des hectares.
Des roses
Dont le genre humain butinera le nectar.
Dessein
De prescrire à tous le baume d’AMOUR :
D’essaim
De vie, d’osmose, et d’oasis d’HUMOUR
Apprendre à aimer
À Toi ma laideronne
Pour Toi ma daronne
Ton soleil tant m'affole
Que pour Toi je raffole
Je saurais m’évanouir
Que sous Ton glamour
Qui ne cesse de m’épanouir.
Me hanter se hâter
Brisant ma solitude
Me hanter se halter
Telle une solassitude
Elle est d’un grand glamour Elle est d’un grand glamour
La robe de mariée a su la seoir Qu’elle marche sans se lasser
La lune de miel c’est dès ce soir Aux amants qui ne s’est laissée
En duo protagonistes d’amour Ni une vie de bohème en amour
Elle est d’un grand glamour Elle est d’un grand glamour
Dans sa robe de noce en soie Des soleils trime avec flamme
Suivra son homme sans détour Sans se laisser flatter par flemme
Dans l’art de confiance en soi Des ans durant sans désamour
Elle est d’un grand glamour Elle est d’un grand glamour
Comblée un tel jour d’amour Que les larmes de joie pareilles
Est cette Aphrodite sans doute Tant ses beaux yeux, dépareillent
Son bel homme qui envoûte Devant le hourra du fameux jour
Elle est d’un grand glamour Elle est d’un grand glamour
En ce moment aussi bigbang Qu’elle part pour une éternité
Qu’un homme son bel amour En voyage oh quelle complicité
Lui met au doigt cette bague Chez son conjoint de toujours
Elle est d’un grand glamour Et elle est d’un grand glamour
Que durant cette accointance Que pour elle je rédige cette épitre
Des printemps, mois et jours Que je déclame devant le pupitre
Respecte avec accoutumance Pour immortaliser ce jour d’amour.
Reddition !
Tous Habitants
Sous la foute azurée
Des frères
Nous sommes.
Nonobstant à Gaza
Des génocides.
Nonobstant à Rafat
Des hécatombes.
Redditon !
Veillez capituler !
Arrêtez le feu !
Parce que ma Plume
Prend feu !
Les seuls
Et vrais richissimes
Selon mes instincts
Sont ceux qui assistent
Leurs semblables
Malgré le baragouin
Dont bégaient nos babines
Pour trinquer holokyn holokyn1
Autour de la mer,
On régale dans la seule
Assiette de l’empathie,
Tous sur le sépulcre
De la xénophobie.
Je crapahutais affamé
Et comme un fol armé
Sous un ciel enflammé.
Aux égoïstes
Soi-disant richissimes,
Je suis peut-être pauvrissime,
Mais pas nullissime
Car je suis altruiste.
Une pensée,
Comme un coucou,
Est bien capable
De faire naître le jour
Dans l’abîme,
Tréfonds d’une âme.
Une Escorte
Chers compairs
Imagine-toi
Chantonner un poème
Suaves mots qui riment
Imagine-toi
Déclamer selon lyrisme
Comme ton cœur s’enflamme
Imagine-toi
Zieuter cette calligraphie
Pas une sténographie
Imagine-toi
Plus haut dans les airs
Emporté par les vers !
Devenir grand-maître
Tu seras richissime
Toi enfant posthume
Tu seras milord
Toi né ni l’or.
Sur la toile
Ma plume se peint,
Emaillée de coloris
Dont désirent vos œillades.
Le mutisme célèbre
Mon stylo-plume
Pour que vous puisiez
Le tréfonds de mes instincts.
Et malgré le temps,
Le ciel a séché ses larmes.
C’est le juin pourtant,
Pas le firmament ne s’alarme.
Sur ma route,
Plus de doute.
Sinon de coutume,
Vêtu de costume,
J’arrive tout mouillé…
Quel jour ensoleillé !
Libraire, je déambule
Pour œillader mes Amours.
Je sors noctambule,
D’habitude au retour.
Mais ce jour n’étant
Pas comme les autres,
Ce soir en profitant,
J’espère en rencontre
Retrouver Shalom
Un Gentleman parmi
Sa bande d’amis,
Pas je ne blasphème,
Étant son anniversaire,
Lui alors souhaiter
Un bel annif mérité
D’un tréfonds sincère !
Sous la lame
Comme la page
La haine qu’on tourne
Car après rivage,
Séjournent à tour de rôle
Sous la houle
Et sans détour
Les âmes.
Je garde un chrysanthème
Me lamenter aux cimetières
Sur les sépulcres des âmes
De nos Devenus Poussières.
Le retour de pêche
Pèse dix requins
Dont les unis se gavent.
Paradoxe au fretin
Sous l’hameçon du famélique.