Communisme - Wikipédia
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Définitions, concepts
associés et synonymes
Le vocable de communisme est
polysémique et, de par son histoire,
associé à un vaste ensemble de notions.
Le mot désigne à l'origine une forme
théorique de société égalitaire, ainsi que
les courants d'idées qui se revendiquent
de ce concept. Ensuite, par extension, il
désigne un grand nombre de réalités
concrètes, qui englobent un ensemble de
pratiques politiques, de formations
partageant les mêmes références
idéologiques, d'organisations sociales et
économiques, de régimes politiques et
de phénomènes culturels. Ainsi, selon les
contextes, le mot « communisme » peut
désigner une idéologie, un engagement
au sein d'un parti politique, un
mouvement révolutionnaire, un régime
politique, ou une organisation sociale[2].
e e
Le communisme des et siècles a
souvent été rattaché par l'historiographie
à des idées plus anciennes, remontant
jusqu'à l'Antiquité. Ces dernières n'ont
cependant pas de filiation politique
directe avec le communisme récent, et
ne constituent pas une famille de pensée
cohérente avant l'époque
contemporaine[3]. Depuis le début du
e
siècle, le mot est, pour l'essentiel,
rattaché à une scission du socialisme et
plus particulièrement à sa version
léniniste. L'historien Romain
Ducoulombier souligne à ce titre
l'importance de la rupture survenue après
1917 quant à la définition du
communisme au sens contemporain du
terme : pour lui, la « filiation
pluriséculaire » du communisme, qui le
fait remonter aux écrits d'auteurs comme
Thomas More, est « complètement
imaginaire » ; le « communisme de
Lénine », qui correspond à la définition
actuelle du mot, ne s'inscrit pas dans la
lignée d'auteurs anciens, mais dans le
prolongement des controverses
politiques et théoriques du socialisme à
e
la fin du siècle. L'adoption du nom de
« communistes » par Lénine et ses
partisans avait pour but de souligner leur
volonté de se démarquer des
réformistes, dans le contexte d'une
scission de la famille socialiste et d'une
révolution alors en cours en Russie[8].
Définition première et
évolution du sens
Sens d'origine
À Utopia, la cité idéale imaginée au e siècle par
Évolutions
Garde d'honneur de jeunes pionniers devant un
monument à Lénine, en URSS.
e
Durant la première moitié du siècle,
on retrouve des idées communistes dans
divers courants de pensée se réclamant
de Gracchus Babeuf. L'aspiration au
communisme est présente aussi bien
chez des révolutionnaires radicaux
comme Auguste Blanqui que chez des
chrétiens comme Cabet et Wilhelm
Weitling. Le mot communisme devient
un élément des vocabulaires du
socialisme - dont il désigne au sens plus
large des formes radicales - et de
l'anarchisme. Karl Marx et Friedrich
Engels le reprennent à leur compte dans
leur Manifeste du Parti communiste
(1848) ; il est par la suite associé plus
nettement au marxisme, qui devient
progressivement l'idéologie dominante
du courant socialiste et social-démocrate
européen. Pour Marx et ses
continuateurs, le communisme est la
forme que prendra la société future, à
l'issue d'un processus historique sous-
tendu par la lutte des classes et qui
débouchera sur le renversement du
capitalisme. Le terme communisme ne
désigne pas, alors, un courant politique
distinct du socialisme et de la social-
démocratie. En 1890, dans la préface à
une réédition du Manifeste, Engels
explique que Marx et lui ont choisi en
1848 de se revendiquer comme
communistes car le mot désignait alors,
au sein du mouvement ouvrier, ceux qui
exigeaient « que la société fût
réorganisée de fond en comble »[11],[13]. À
e
la fin du siècle, la notion de
communisme est essentiellement
rattachée à celle de collectivisme
économique, qui désigne plus
précisément les doctrines prônant la
mise en commun des moyens de
production[15].
Le concept de société
communiste
Visions marxistes
Communisme et léninisme
Léninisme
Marxisme-léninisme et
stalinisme
Trotskisme
Maoïsme
Article connexe : Maoïsme.
On a appelé eurocommunisme un
courant porté dans les années 1970 par
plusieurs partis communistes, pour la
plupart européens, et qui consistait -
sans pour autant rompre avec l'URSS - à
remettre en cause l'orthodoxie
idéologique, en renonçant à diverses
notions comme la dictature du prolétariat
ou le marxisme-léninisme, et en prônant
une évolution démocratique vers le
socialisme[82].
Synonymes
Histoire
Article détaillé : Histoire du
communisme.
Origines
Ancêtres du socialisme et du
communisme
Médaillon à l'effigie de Thomas More.
Gracchus Babeuf.
Le communisme au sein du
mouvement socialiste
e
À la fin du siècle, dans la majorité
des pays européens, le socialisme évolue
sensiblement vers le réformisme. Le
conflit entre réformistes et
révolutionnaires se déclare notamment
en Allemagne. Eduard Bernstein, l'un des
principaux idéologues du Parti social-
démocrate d'Allemagne (SPD), ayant
constaté que les prédictions de Marx sur
l'effondrement du capitalisme ne se
réalisaient pas, préconise en effet un
dépassement du marxisme. Il juge que
les socialistes doivent cesser de se voir
comme le parti du prolétariat et devenir
un vaste parti démocratique, qui
représenterait également les classes
moyennes, et que la social-démocratie
doit renoncer à la révolution pour aspirer
simplement à une plus grande justice
sociale. La « querelle réformiste »
(Reformismusstreit) tourne au
désavantage des thèses de Bernstein,
qui sont condamnées en 1899 lors du
congrès du SPD. Mais malgré cette
défaite apparente des thèses
« révisionnistes », le socialisme européen
n'en continue pas moins de se recentrer,
avec comme conséquence un décalage
croissant entre un discours toujours
officiellement révolutionnaire et une
pratique de plus en plus réformiste[121]. Il
conserve néanmoins une aile d'extrême
gauche, qui compte en Allemagne Rosa
Luxemburg et Karl Liebknecht parmi ses
représentants. Rosa Luxemburg se
distingue notamment en prônant une
révolution prise en main par le prolétariat
lui-même, partis et syndicats devant se
contenter d'« éclairer » les ouvriers sans
prétendre les diriger[122].
Naissance du régime
bolchevik et de l'URSS
Révolution en Russie
Essor international et
premiers revers
De la naissance du Komintern au
reflux de la vague
révolutionnaire
mongole.
Échecs et divisions du
mouvement communiste
De la mort de Lénine à
l'ascension de Staline
Articles connexes : Stalinisme et Histoire
de l'URSS sous Staline.
En Chine
Articles connexes : Guerre civile
chinoise, Longue Marche et Guerre sino-
japonaise (1937-1945).
En Espagne
Article connexe : Guerre d'Espagne.
La dissidence trotskiste
Le communisme durant la
Seconde Guerre mondiale
Du pacte germano-soviétique à
la guerre contre l'Axe
Le communisme durant la
guerre froide
Extension du communisme en
Europe et en Asie
Le cas du trotskisme
En dehors du camp stalinien, le
trotskisme, privé de son chef assassiné
en 1940, est très affaibli au sortir de la
guerre mondiale[401]. Le courant continue
néanmoins d'exister, tout en ayant de
grandes difficultés à rester uni. Le
militant d'origine grecque Michel Pablo
entreprend de rassembler la majorité des
trotskistes français au sein du Parti
communiste internationaliste[402]. En
1946, une conférence se tient à Paris
pour reconstituer la Quatrième
Internationale dispersée durant la guerre.
L'Internationale trotskiste connaît avec le
temps de très nombreux départs et
dissensions, dus aux querelles
d'idéologie et de personnes comme aux
désillusions des militants. En 1952, le
trotskisme se scinde entre le courant
« pabliste » (du nom de Pablo) qui prône
la fin de l'opposition systématique envers
l'URSS, et le courant lambertiste (du nom
de Pierre Boussel alias « Lambert ») : les
groupes du monde entier se divisent ou
scissionnent. Malgré une aura parfois
mythique, due en partie à l'idéalisation de
la figure de Trotski mais aussi au culte
du secret pratiqué par beaucoup de ses
organisations, le trotskisme reste divisé
et marginal[403],[404],[405],[406]. Ce n'est
qu'en 1963, après plus de dix ans de
déchirements, qu'est fondé le Secrétariat
unifié de la Quatrième Internationale,
sans que le courant trotskiste ne soit
durablement réunifié[407].
Progrès du communisme en
Extrême-Orient
La naissance de la Chine
communiste
La Guerre d'Indochine
Nikita Khrouchtchev.
Poursuite de la déstalinisation et
rupture avec la Chine
La Révolution culturelle
En Afrique et au Moyen-Orient
Apogée et crises du
communisme
L'extrême-gauche en Occident
Emblème des Brigades rouges.
La période de l'eurocommunisme
La Yougoslavie et l'Albanie
Le régime de Ceaușescu en
Roumanie
Intervention soviétique en
Afghanistan
Article connexe : Guerre d'Afghanistan
(1979-1989).
Mouvement de réformes en
URSS
Variations de l'idéologie
communiste avant et après
1989
Après 1917 : domination du
courant léniniste
Couverture d'une édition en langue anglaise du livre
de Lénine, La Maladie infantile du communisme (le
« gauchisme »).
Critiques du communisme
Articles détaillés : Critiques du
communisme et Anticommunisme.
e
Au siècle, la notion de communisme
ne se rapporte plus à une forme
théorique de société, mais à une réalité
politique concrète : les critiques visent
désormais des courants de pensée
distincts, et des régimes politiques
existants. Les régimes communistes ont
été critiqués en tant que systèmes
dictatoriaux, voire totalitaires, violant à
grande échelle les droits de l'homme,
réprimant toute forme d'opposition, et
surveillant la population suivant des
pratiques d'États policiers[680]. Dès la
Révolution d'Octobre, des critiques se
sont élevées, y compris à gauche, contre
les méthodes des bolcheviks : en 1920,
lors du congrès de Tours, Léon Blum
reproche au gouvernement de Lénine de
détourner la notion de dictature du
prolétariat pour en faire « une dictature
exercée par un parti centralisé, où toute
l'autorité remonte d'étage en étage et finit
par se concentrer entre les mains d'un
comité patent ou occulte » alors que la
dictature du prolétariat, chez Marx, est
conçue comme la « dictature d'une
classe » et non la « dictature de quelques
individus, connus ou inconnus »[681]. Pour
Milovan Djilas, le système de
gouvernement communiste ne peut
qu'être intrinsèquement totalitaire, car
reposant sur la domination sans partage
d'une nouvelle oligarchie qui mène une
« guerre civile » quotidienne contre sa
propre structure sociale et doit, pour
subsister, entretenir une militarisation de
la société[682]. Boris Souvarine qualifie en
1977 les régimes communistes de
« pires oppresseurs des peuples
désarmés » et dénonce l'imposture que
constitue leur référence à Marx ; il
souligne également la responsabilité
d'« une prétendue intelligentsia
européenne » qui « ne craint pas de
justifier les pires brutalités des
descendants de Staline et de Mao en se
référant à Marx, à Hegel ou à Freud, qui
n'en peuvent mais »[683].
Historiographie
Statue de Lénine au musée du communisme à
Kozłówka (Pologne).
L'historiographie du communisme a
connu de nombreuses évolutions au fil
des décennies. L'histoire de la révolution
russe a donné lieu à des interprétations
conflictuelles, dont beaucoup ont, avant
la Seconde Guerre mondiale, servi des
démarches politiques, de justification ou
de glorification. Après-guerre, l'analyse
du phénomène communiste en tant que
réalité politique s'est faite couramment
en Occident sous l'angle du paradigme
totalitaire : cette approche a été en
concurrence, à partir des années 1970,
avec une école « révisionniste »
relativisant le caractère déterminé d'une
partie des phénomènes de terreur et
tendant à contester le lien de filiation
direct entre léninisme et stalinisme[735].
La réflexion sur le phénomène
communiste, et tout particulièrement sur
les dimensions totalitaires du
phénomène stalinien ainsi que sur ses
points communs avec le régime nazi, a
longtemps été freinée, en France, par
l'influence du PCF dans le monde
intellectuel[736].
L'historiographie du communisme a, de
manière générale, longtemps pâti du
manque de documentation, et de
l'existence de régimes communistes qui
bloquaient l'accès à leurs archives,
limitant la connaissance des politiques
internes, des prises de décision, des
responsabilités personnelles des
dirigeants et des phénomènes sociaux
au sein du monde communiste. Du fait
du contexte de la guerre froide, l'étude
des phénomènes communistes a été
handicapée par les attitudes
antagonistes - pro-communisme ou
anticommunisme - qui existaient jusque
dans le monde intellectuel. À l'étude du
communisme dans son ensemble s'est
par ailleurs superposée la discipline de la
soviétologie, soit le champ d'études
portant spécifiquement sur l'URSS. Du
fait des difficultés d'accès aux archives
et plus largement du contexte politique
international, des phénomènes
historiques de première importance,
comme la dramatique famine provoquée
par le Grand Bond en avant, n'ont été
connues qu'avec beaucoup de retard[737].
Dans une introduction, rédigée en 1966,
au troisième tome des Origines du
totalitarisme, Hannah Arendt souligne le
manque criant d'archives qui
permettraient de connaître de l'intérieur
avec précision le fonctionnement de
l'appareil d'État soviétique sous Staline.
Elle montre également une
méconnaissance — qui était alors la
norme en Occident — de la réalité du
régime chinois, en indiquant, alors que le
Grand Bond en avant ne datait que de
quelques années, l'absence de famines
et de crimes de très grande ampleur
dans l'histoire chinoise récente[738].
Voir aussi
Bibliographie
Origines
Courants de pensée
Monument à Lénine, à La Havane (Cuba).
Théories et essais
Histoire générale
Histoires nationales
Armoiries de la République démocratique allemande
de 1953 à 1989.
Articles
Articles connexes
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Liens externes
Communisme sur l'encyclopédie en
ligne Larousse
Archives Internet des anarchistes sur
le communisme
L'archive Internet des marxistes
Karl Marx et Friedrich Engels, LA
SOCIÉTÉ COMMUNISTE. Introduction,
traduction et notes de Roger
Dangeville, 1979. En accès libre dans
Les Classiques des sciences sociales.
Références
1. Le 1er novembre 1918, Martyn Latsis,
définit, dans le journal La Terreur rouge du
1er novembre 1918, les tâches de cette
police politique : « La Commission
extraordinaire n'est ni une commission
d'enquête, ni un tribunal. C'est un organe
de combat dont l'action se situe sur le
front intérieur de la guerre civile. Il ne juge
pas l’ennemi : il le frappe. Nous ne faisons
pas la guerre contre des personnes en
particulier. Nous exterminons la
bourgeoisie comme classe. Ne cherchez
pas, dans l'enquête, des documents et des
preuves sur ce que l'accusé a fait, en acte
et en paroles, contre le pouvoir soviétique.
La première question que vous devez lui
poser, c'est à quelle classe il appartient,
quelle est son origine, son éducation, son
instruction et sa profession. Ce sont ces
questions qui doivent décider de son sort.
Voilà la signification et l'essence de la
Terreur rouge ». Cité par Viktor Tchernov
dans Tche-Ka, ed. E. Pierremont, p. 20 et
par Sergueï Melgounov, La Terreur rouge
en Russie, 1918-1924, éditions des Syrtes,
2004, (ISBN 2-84545-100-8).
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19
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Communismes, in Michèle Riot-Sarcey,
Thomas Bouchet et Antoine Picon (dir.),
Dictionnaire des utopies, Larousse, 2002,
pages 53-58.
4. Ducoulombier 2011, p. 11
5. Furet 1995, p. 572
6. Communisme , définition sur
Larousse.fr
7. Définition communisme, Grand
Dictionnaire Encyclopédique de la langue
française, éditions de la Connaissance,
1996
8. Ducoulombier 2011, p. 20-22
9. André Lalande, Vocabulaire technique
et critique de la philosophie, Presses
universitaires de France, édition de 2010,
pages 152-153
10. Platon, La République, 457b-458b,
p. 212
11. Gérard Duménil, Michael Löwy,
Emmanuel Renault, Les 100 mots du
marxisme, Presses universitaires de
France, 2009, pages 32-34
12. Piettre 1966, p. 30
13. Gérald Berthoud et Giovanni Busino,
Paroles reçues : du bon usage des
sciences sociales, Genève Suisse, Droz,
coll. « Travaux de sciences sociales »
(no 189), 2000, 432 p.
(ISBN 978-2-600-00453-4)
14. L'Homme selon la science, son passé,
son avenir (1869), Ludwig Büchner (trad.
Letourneau), éd. Reinwald, 1885, p. 224
15. Jules Guesde juge ainsi que les
marxistes se posent en « double qualité
de communistes — comme but — et de
collectivistes — comme moyen — »; cf «
Une formule prétendue communiste »,
L'Égalité, 1882. Il écrit également que « le
collectivisme ne se distingue pas du
communisme scientifique, tel qu'il est
sorti de la critique maîtresse de Karl Marx.
Si cette appellation a prévalu en France,
c’est que, pour les besoins de notre
propagande, il y avait lieu de nous
distinguer des divers systèmes
communistes qui, forgés de toutes pièces
par des hommes de plus ou moins bonne
volonté ou de génie, versaient tous dans
l’utopie » ; cf Le collectivisme , 7 mars
1894. Ainsi, peu après la Commune de
Paris en 1871, certains marxistes se sont
désignés comme « collectivistes » et la
majorité des anarchistes comme
« communistes », du fait que le premier
courant visait la création d'un État dirigé
par les travailleurs et la collectivisation
comme outil de transition, au contraire du
second qui voulait utiliser directement des
moyens libres et autonomes pour
atteindre le but recherché. Le Français
Paul Lafargue estime quant à lui que le
terme de « Collectivisme est un mauvais
synonyme belge pour communisme. Le
communisme a un passé historique et a
eu pour représentants au début du siècle
Owen et Fourier. En 1847, Marx et Engels
ont publié le Manifeste communiste,
document incomparable au XIXe siècle…
Enfin, le mot ne fait en rien l'affaire si nous
propageons les idées du communisme. » ;
cf In Jacques Macé, Paul et Laura
Lafargue — Du droit à la paresse au droit
de choisir sa mort, éd. l'Harmattan, 220 p.,
2001, p. 74.
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56. Labica et Bensussan 1985, p. 650
57. ACADEMIE DES SCIENCES DE
L'U.R.S.S. INSTITUT D'ECONOMIE,
MANUEL D'ECONOMIE POLITIQUE, Paris,
Edition électronique réalisée par Vincent
Gouysse à partir de l’ouvrage publié en
mars 1956 aux Editions Sociales, Paris.
Texte conforme à la 2e édition de 1955.,
1956, 442 p. (lire en ligne ), Une condition
essentielle de la reproduction socialiste
est l'établissement d'un juste rapport entre
les sections I et II de la production sociale,
le rôle déterminant dans toute l'économie
appartenant à la section I, qui fournit les
moyens de production. Sans
développement prioritaire de la production
des moyens de production, la reproduction
élargie est impossible. Pour élargir la
production (« accumuler » au sens absolu
du mot), il est nécessaire de produire
d'abord des moyens de production; il faut
donc, pour cela, élargir la section de la
production sociale qui fournit les moyens
de production. (V. LENINE : Pour
caractériser le romantisme économique,
p. 31, Editions en langues étrangères,
Moscou, 1954.) Lénine indiquait que le
développement prioritaire de la production
des moyens de production par rapport à
celle des biens de consommation, lors de
la reproduction élargie, est une loi
économique. La loi du développement
prioritaire de la production des moyens de
production acquiert en régime socialiste
une importance plus grande encore qu'en
régime capitaliste. Le développement plus
rapide de la section I que de la section II
est la condition nécessaire de l'essor
ininterrompu de la production socialiste
sur la base d'une technique
supérieure(p.380-381)
58. Karl Marx, Le Capital. Critique de
l’économie politique. Livre deuxième,
Paris, Une édition électronique réalisée à
partir du livre de Karl Marx (1867).V. Giard
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doit être plus rapide dans la [section] 2
que dans [section] 1; sans cela la partie
[section] 1(v + pl) qui est échanger contre
[section ]2(c) augmenterait plus vite que
[section] 2(c)."(le Capital livre 2, p.571-
572) NDLR: Section 2 : production
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production de moyens de production v:
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« Mais les autorités chinoises ont tout fait
pour cacher la vérité et c'est lentement
que les bouches se sont déliées. A
l'étranger, deux livres ont joué un rôle
important : d'abord celui de Jasper Becker
qui a fait voir l'immensité du drame et,
surtout, celui de Frank Dikotter qui l'a pour
la première fois analysé, avec une
remarquable lucidité. »
738. Ce point amène Hannah Arendt à
classer la Chine de Mao dans la catégorie
des dictatures et non dans celle des
régimes totalitaires. Cf Hannah Arendt, Le
Système totalitaire, Seuil, 1972, pages 10-
12
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l'U.R.S.S. dans la période post-
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