T D Terminale D
T D Terminale D
T D Terminale D
EXERCICE 1 :
Un mobile M à pour vecteur vitesse v⃗ = 4 i⃗ + (t-2) ⃗j relativement à R (o, i, j ).
A t = 0s son vecteur espace est OM0 = 0
1°) Déterminer les expressions de son vecteur accélération et de son vecteur position.
2°) En déduire l’équation cartésienne de sa trajectoire.
3°) A quel instant son vecteur vitesse est colinéaire avec i ?
4°) Calculer la valeur de sa vitesse et déterminer sa position à la date t = 2s.
5°) Déterminer à cette date les valeurs des composantes normales et tangentielles du vecteur
accélération ainsi que le rayon de la courbure de la trajectoire
EXERCICE 2 :
Dans un repère (O, i , j ), le vecteur vitesse d'un point mobile M est: v = 2 i + (2t- 4) j
A l'instant t0 = 1 s, il passe par le point Mo de coordonnées xo=2m et Yo=1m.
1- a - Donner relativement au repère (O, i , j ), les composantes du vecteur
accélération .
b - Donner les équations horaires x = f(t) et y = h(t) du point mobile.
c - Ecrire l'équation cartésienne de la trajectoire. Quelle est sa nature ?
2- a- Déterminer la date pour laquelle le vecteur vitesse devient parallèle à
l’axe (Ox). b- Déterminer à cette date la position du mobile.
c- En déduire à cette date la valeur de l’accélération normale aN ainsi que le rayon de courbure r de la
trajectoire.
EXERCICE 3 :
Un mobile M supposé ponctuel, est assujetti à se déplacer sur une droite (X’X) ; son accélération est constante.
A l’instant t1=1s ;il se trouve au point d’abscisse X1= 2m ; et est animé d’une vitesse V1 =1m/s
A l’instant t2=3s ,il se trouve au point d’abscisseX2=16m ; et est animé d’une vitesse V 2 =13m/s
1) Déterminer : a) L’accélération du mouvement
b) La vitesse et l’abscisse à l’origine des dates (t=0s)
c) L’équation horaire du mouvement.
2) Déterminer l’instant ou le mobile change de sens .Quelle est alors sa position ?
3) Un deuxième mobile M’ se déplace sur la même droite d’un mouvement uniforme.
Aux instants de dates t1=1s et t2=3s, il se trouve en des points d’abscisses respectives
X '1=26m et X’2=16m. Déterminer l’équation horaire du mouvement de M’.
4) A quel instant les deux mobiles se croisent-il ?
EXERCICE 4 :
Dans un repère R (O, i, j), les lois horaires du mouvement d’un point mobile M sont :
II - Un véhicule se déplace sur un trajet rectiligne. Sa vitesse est caractérisée par le diagramme ci
dessus. Indiquer sur les 5 intervalles de temps :
1. la valeur algébrique de l'accélération a.
2. l'expression V= f(t) on utilisera au début de chaque phase un nouveau repère de temps.
3. la nature du mouvement.
EXERCICE 8 :
Soit un mobile en mouvement dans un repère (O, i⃗ , ⃗j ) , dont le vecteur espace (ou position) est tel que
⃗OM =3 t ⃗i + 4 t ⃗j . On suppose que le mobile part de O à l’origine des dates (à t = 0).
1) Quelles sont les équations horaires relatives aux coordonnées du mobile ?
2) Trouver l’équation et la nature de la trajectoire du mobile dans (O, i⃗ , ⃗j ) .
3) Déterminer les expressions des composantes du vecteur vitesse et celles du vecteur accélération.
4) En déduire la nature de son mouvement.
EXERCICE 9:
Les équations horaires du mouvement d’un mobile se déplaçant dans un repère (O, i⃗ , ⃗j ) sont : x(t) =
5t et y(t) = 3t² - 4t.
1) Déterminer les composantes du vecteur vitesse à l’origine des dates.
2) Rechercher l’équation cartésienne de la trajectoire.
3) a- Calculer l’abscisse du mobile lors de son deuxième passage par la position d’ordonnée y = 0.
b- Chercher les composantes ainsi que la valeur de sa vitesse en ce point.
4) Déterminer les coordonnées du mobile à t = 4s. Quelle est la valeur de sa vitesse à cet instant.
5) Déterminer l’accélération du mobile aux points d’abscisses x = 0 et x = 2. Conclure.
EXERCICE 10:
Dans un repère orthonormé ( O, i⃗ , ⃗j ) on donne les équations horaires d'un mobile ponctuel M : X (t)
= 3t et Y (t) = 5t2 + 5t + 30
1) Donner les coordonnée cartésiennes du vecteur vitesse ⃗ V (t)
2) En déduire les coordonnées cartésiennes du vecteur accélération a⃗
3) a) Ecrire l'équation cartésienne de la trajectoire Y = f (X)
b) Préciser la forme de cette trajectoire
4) a) Déterminer les caractéristiques du vecteur vitesse à l'instant t = 1s.
b) Calculer la valeur du composant normal aN de l'accélération du mouvement à t = 1s sachant
qu'à cette instant le rayon de courbure r = 6 m.
EXERCICE 11
Un véhicule se déplace sur une route rectiligne. On relève les valeurs de sa vitesse en fonction du
temps et on trace le graphe ci-dessous :
1- Identifier les différentes phases du mouvement.
2- Déterminer pour chaque phase la valeur algébrique de l’accélération.
3- Etablir l’équation horaire sur chaque phase.
4- Calculer la distance totale parcourue
EXERCICE 12 :
Un mobile ponctuel M est animé d’un mouvement curviligne. Dans le repère orthonormé ( O, i⃗ , ⃗j ) ,
son vecteur vitesse est : ⃗V = 2 i⃗ + (3t - 2) ⃗j
A l’origine des dates le mobile passe par le point O.
1- Déterminer son accélération a et préciser les caractéristiques de ce vecteur.
2- Etablir les équations horaires du mouvement
3- Ecrire l’équation cartésienne de la trajectoire du mobile M. Préciser sa nature .
EXERCICE 13:
Un voyageur en retard court le long du quai à la vitesse constante V= 6 m.s-1. Quand il est à 20m du
dernier wagon du train qui démarre avec une accélération constante a= +1 m.s-2 ( le train et le
voyageur ont des trajectoires rectilignes parallèles.)
a)Définir le repère dans lequel le mouvement est étudié. Préciser su le schéma les positions, les dates et
les vitesses connues.
b) Ecrire dans un même repère les équations horaires du voyageur et du dernier wagon considérés
comme des points matériels.
c)Montrer que le voyager ne peut pas rattraper le train.
d) Quelle sera la distance minimale entre le voyageur et le dernier wagon?
EXERCICE 14:
Un motard démarre quand un automobiliste roulant à la vitesse de 150 km/h est situé à 100 m
derrière
lui ; le motard garde une accélération constante a = 5,0 m.s-2 jusqu’à ce qu’il atteigne la vitesse de 180
km/h. il poursuit ensuite à vitesse constante.
On prendra comme instant origine celui du départ du motard, et comme origine sur la trajectoire la
position initiale du motard. On considérera l’autoroute comme rectiligne.
1.a/ Donner l’expression, en fonction du temps, de l’abscisse du motard pendant la phase
d’accélération.
b/ Calculer la date de la fin de la phase d’accélération.
2.a/ Quelle est l’expression, en fonction du temps, de l’abscisse de l’automobile ?
b/ En déduire la date à laquelle la voiture double le motard.
3.a/ Quelle est, en fonction du temps l’abscisse du motard pendant la phase du mouvement à vitesse
constante ?
b/ Déterminer la date à laquelle il rattrape la voiture et la position correspondante.
EXERCICE 15
Une automobile a une masse totale m = 1t. La résistance opposée à l’avancement due aux forces de
frottement solides et à la résistance de l’air équivaut à une force constante égale à 500 N.
1. La voiture roule en ligne droite sur une route horizontale à vitesse constante. Quelle est l’intensité
de
la force motrice ?
2. L’automobile roulant à 72 km.h-1 sur une route rectiligne horizontale, le conducteur freine pour
l’arrêter. La voiture s’arrête sur 100 m. Déterminer l’intensité de la force de freinage supposée
constante
par deux méthodes différentes. En déduire la durée de freinage
3. Après être repartie, l’automobile prend un virage de rayon r = 100 m, à la vitesse constante v=
72km.h-1. Ce virage est relevé d’un angle par rapport à l’horizontal, si bien que la réaction du sol est
normale au sol. Déterminer . On donne g = 9,8 m.s-1.
EXERCICE16
Un mobile est animé d’un mouvement rectiligne sinusoïdal d’amplitude Xm = 3 cm et de période
T = 0.5 s. On suppose qu’à l’origine des temps, l’élongation x est maximale.
1) Déterminer l’équation horaire du mouvement.
2) Calculer l’élongation x, la vitesse v et l’accélération a du mobile à l’instant t = 0,25 s.
EXERCICE 17
Un mobile est animé d’un mouvement rectiligne sinusoïdal d’équation horaire x = Xmsin (4ω t+φ ).
1) Déterminer la pulsation , la période T et la fréquence N de ce mouvement.
2) Déterminer l’amplitude Xm et la phase initiale sachant qu’à t = 0 le mobile se trouve en un point
d’abscisse x0 = 0 avec une vitesse v0 = 0,5 m/s.
EXERCICE 18
π
Un mobile est animé d’un mouvement rectiligne sinusoïdal de période T = s de part et d’autre d’un
10
point O.
1) En choisissant comme origine le point O, déterminer l’équation horaire du mouvement du point M,
sachant qu’à l’origine des temps, son abscisse est égale à 2 cm et sa vitesse est nulle.
2) Quelle est la vitesse maximale du mobile ? En quel point le mobile acquiert cette vitesse ?
3) Quelle la vitesse du mobile quand son abscisse vaut 0,5 cm ?
EXERCICE 19
Un point M décrit un segment de droite AB d’un mouvement rectiligne sinusoidal. La longueur de AB
est 4 cm. À l’instant t = 0, le mobile part de A sans vitesse initiale, il repasse pour la première fis par
A, au bout de 0,5 s.
1) Avec quelle vitesse repasse-t-il en A ?
2) Quelle est la pulsation du mouvement sinusoïdal ?
3) Déterminer l’amplitude du mouvement.
4) Écrire l’équation horaire du mouvement.
EXERCICE 20
L’enregistrement graphique d’un mouvement rectiligne sinusoïdal donne la courbe ci-dessous :
1) Déterminer la période T et la fréquence N du mouvement.
2) Écrire l’équation horaire du mouvement.
3) Exprimer la vitesse v du mobile. la représenter graphiquement.
4) Exprimer l’accélération a du mobile. La représenter graphiquement
EXERCICE 21:
Un mobile ponctuel M se deplace sur un axe x’Ox d’origine 0.La loi horaire de son mouvement est
π
x = 2x10-2 cos (40 π t - ) (x en cm)
6
a)De quel mouvement s’agit-il ?
b)Preciser l’amplitude,la pulsation ,la periode et la phase initiale du mouvement.
c)Quelle est la longueur du segmant decrit par M ?
d)Quelle est la vitesse de M à la date t ?En deduire :
La vitesse maximale de M ;
La vitesse de M à la date t = 1 s.
e)Determiner la date du premier passage du mobile M à la position x = 10-2 m
EXERCICE 22:
Un solide supposé ponctuel est attaché à un ressort. A t = 0 s, le solide est ramené au point d’abscisse x0, on
lui communique une vitesse et on l’abandonne à lui-même. Il effectue dons un mouvement rectiligne
sinusoïdal dont l’enregistrement est donné par la figure ci-contre.
1) a. Déterminer à partir de l’enregistrement :
La pulsation ω du mouvement.
L’élongation x0 initiale.
L’amplitude Xmax.
La phase initiale φ .
b. En déduire la loi horaire x = f(t).
2) a. Déterminer l’expression de la vitesse en fonction du temps.
b. En déduire la valeur algébrique de la vitesse initiale V0
3) A l’instant t1 > 0, le mobile repasse pour la première fois par la position d’abscisse x0 dans le sens
négatif.
a. Déterminer graphiquement t1.
b. Retrouver la valeur de t1 par le calcul.
4) Déterminer la valeur algébrique de la vitesse du solide lors de son premier passage par la position
d’abscisse x = 2 cm.
APPLICATIONS DE LA R.F.D
EXERCICE 1
Un chariot de masse m = 0,5 kg glisse sur un plan incliné d’un angle α = 30° par rapport à
l’horizontale.
⃗
Les forces de frottement sont équivalentes a une force f parallèle au plan incliné, d’intensité f = 1,5
N.
Le chariot est abandonné sans vitesse initiale au sommet du plan incliné, dont la longueur est 2 m. Il
descend suivant la ligne de plus grande pente du plan. Donnée : g = 10 m/s².
1°) Par application du théorème du centre d’inertie, calculer :
a) l’accélération du mouvement en fonction de m, g, α et f;
b) la durée de la descente;
c) la vitesse atteinte par le chariot au bas du plan incliné.
2°) En appliquant le théorème de l’énergie cinétique :
a) Exprimer la vitesse du chariot en fonction de la distance x qu’il parcourt sur le plan incliné, m,
g, α et f.
b) En déduire la valeur de la vitesse au bas du plan incliné, et comparer au résultat du 1° c).
c) Montrer, en dérivant l’expression obtenue en 2° a), que l’on peut retrouver l’expression de
l’accélération.
EXERCICE 2
I°/ Au sommet A d’un plan incliné d’un angle de = 30°, par rapport à l’horizontale, on abandonne
sans vitesse initiale, un solide S de masse m = 200g.
On donne g =10m.s-2.
1) En néglige les forces de frottement.
1.1) Représenter les forces qui s’exercent sur le solide S.
1.2) En appliquant la relation fondamentale de la dynamique sur le
solide S, déterminer l’accélération du solide S.
1.3) Quelle est la nature du mouvement du centre d’inertie du solide ?
2.1) Calculer la durée du parcours AB sachant que AB=2m
2.2) Déterminer la valeur de la vitesse au point B.
3) En réalité, le solide parcours la distance AB en 1,3s . En admettant l’existence d’une force de
frottement f constante et opposée au sens du mouvement :
3.1) Déterminer la valeur de la nouvelle accélération du mouvement du solide S.
3.2) En déduire la valeur de la force de frottement f.
II) Le solide S est maintenant lancé en O
sur le plan horizontal OB parfaitement lisse
avec une vitesse initiale v0=2,8m.s-1.
1) Quelle est la nature du mouvement ? Justifier.
2) Quelle est la valeur de la vitesse au point B ?
3) Le solide monte ensuite le plan incliné BA sur le quel la force de frottement vaut : f = 0,52N.
3.1) En appliquant la R.F.D, Calculer la valeur de l’accélération du mouvement.
3.2) Déterminer la position du point C où la vitesse du mobile s’annule.
EXERCICE 3:
On prendra g=10m.s-2.
Un solide supposé ponctuel de masse m=100g glisse le long de la ligne de plus grande pente AB d'un
plan incliné de 30° par rapport à l'horizontale.
1)Le solide est abandonné à lui même du point le plus haut A du plan incliné et se déplace jusqu'à
arriver à son extrémité inférieure B. On donne AB=2,5m:
a-En considérant les frottements négligeables, déterminer la durée du parcours AB.
b-Dans la réalité cette durée est égale à 2s. En admettant l'existence de forces de frottements
équivalentes à une force unique constante, parallèle au plan incliné et de sens opposé au vecteur
vitesse. Déterminer la valeur de cette force de frottement.
2)Le solide est maintenant lancé de B vers A avec une vitesse initiale en B égale à 1,5m.s-1. Déterminer
la position du point C où la vitesse du solide s'annule en supposant que la force de frottement est
constamment égale à 0,375N.
EXERCICE 4
Une piste ABC est formée de deux parties AB et BC situées dans un même plan vertical. AB est une
portion circulaire de rayon r et de centre O, telle que (OA,OB) =α . BC est une partie rectiligne
verticale horizontale. Une bille de masse m = 150g assimilée à un point matériel part sans vitesse
initiale du point A et glisse le long de la piste ABC. Il n’existe pas de frottement sur la portion AB.
1.
1.1 Faire l'inventaire des forces extérieures agissant sur la bille entre A et B. Représenter ces forces
sur schéma au point S. On fera apparaître sur ce schéma la tangente sur la piste en ce point.
2.
2.1. En utilisant le théorème de l'énergie cinétique, déterminer l'expression de la vitesse VB de la bille
en B en fonction de r, a et g.
2.2. Calculer la valeur de la vitesse VB pour r = 0,75m ; α = 30° ; g =, 10ms-2
3. La bille évolue maintenant sur la partie BC. L'existence des forces de frottement fait que la réaction
exercé par la piste sur la bille est inclinée d'un angle θ 15° par rapport à la verticale. On suppose que
la valeur de VB =1,4ms-1.
3.1. Représenter qualitativement et sur un schéma.
3.2. En appliquant le théorème du centre d'inertie à la bille :
mg
3.2.1. Montrer que R= .Calculer sa valeur
cos θ
3.2.2. Etablir l'expression de l'accélération en fonction de α et g. Faire l'application numérique.
3.3. Déduire de la question 3.2.2, la nature du mouvement de la bille entre B et C.
3.4. Etablir l'équation horaire du mouvement, en considérant pour origine des espaces le point B et
pour origine des dates, l'instant ou la bille passe en B.
EXERCICE 5
Une piste de lancement située dans un plan vertical comporte une portion rectiligne horizontale de
longueur AB = 0,9 m et un arc de cercle BC de rayon R = 1m et d'angle au centre α = 30°.
1. Calculer les valeurs de la vitesse aux dates t1 = 0,05s ; t3 = 0,15s ; t5 = 0,25s ; t8 = 0,4s; t10 = 0,5s. On
consignera ces résultats dans un tableau.
2.
2.1. Tracer la courbe donnant les variations de la vitesse en fonction du temps v=f(t).
Echelles: 1cm↔0,5m/s ; 1cm↔0,05s.
2.2. En déduire la valeur de l’accélération et celle de la vitesse initiale Vο.
3.
3.1. Etablir l'équation horaire du mouvement en prenant l'origine des abscisses et des temps en A.
3.2. Déterminer la vitesse en B et la durée du parcours AB.
4. Avec la vitesse acquise en B, le mobile aborde la portion circulaire BC d’un mouvement uniforme.
4.1. Déterminer l'accélération a' sur BC.
4.2. Ecrire l'équation horaire angulaire du mouvement sur BC. (L'origine des dates et des abscisses
sera prise en B).
4.3. Déterminer la date de passage en C.
EXERCICE 6
Dans cet exercice, les trois parties sont indépendantes. Un solide assimilable à un point matériel de
masse m, se déplace sans frottement sur une piste ABOH située dans le plan vertical. La piste
comporte :
Un tronçon rectiligne AB qui fait avec l’horizontale passant par A, un angle α ;
Un tronçon circulaire BO de centre C ;
Une partie rectiligne horizontale OH.
EXERCICE 8
Un point matériel M de masse m part sans vitesse initiale d’un point I situé à l’altitude h au- dessus
du plan horizontal (H). le long d’une piste ABOC se raccordant tangentiellement en O à (H). Sur la
piste ABO le glissement s’effectue sans frottement (fig).
Sur le plan horizontal (H), l’existence des frottements fait que l’action R exercée par (H) sur M est
inclinée de Ѳ = 10° sur la verticale.
On donne : m = 0,10 kg ; h = 1,2 m ; g = 9,8 m.s —2
1) Calculer la vitesse de M lors de son passage au point O.
2) Après le passage de M au point O, par application de la relation fondamentale de
la dynamique et projection de cette relation sur un axe vertical puis sur un axe horizontal:
2.1) Calculer l’intensité de R ;
2.2) Calculer l’accélération du mouvement de M;
2.3) En précisant l’origine des dates et l’origine des espaces, donner l’équation du mouvement de M;
2.4) Calculer à quel instant, et à quelle distance de O, M s’arrêtera.
EXERCICE 9
Sur la piste représentée ci-dessous, on lâche d’un point A, une bille M supposée ponctuelle de masse
m, sans vitesse initiale. On néglige les frottements. On prendra g = 1O N/ kg
A A’ BѲ ⃗
VC
1)Le solide S, immobile, subit entre A et A’ une force horizontale, dirigée de A vers A’ et d’intensité
constant F = 3 N. En A’ le mobile est lâché.
1-1 )Quelle est la valeur de la vitesse du mobile en A’.
1-2)Quelle serait la valeur de la vitesse du mobile en B s’il n’y avait pas de frottements.
1-3)On constate que le mobile ralentit et arrive en B avec une vitesse pratiquement nulle .
Quelle est la valeur de la force de frottement, supposée constante qui s’exerce entre et A’ et B ?
2)Le solide arrive en B avec une vitesse pratiquement nulle et il parcourt ensuite un arc de cercle
BMC parfaitement lisse.
2-1 Donner l’expression de la vitesse au point M en fonction de g, r et Ѳ.
2-2 Calculer la valeur de la vitesse au point le plus bas de la trajectoire.
3) Le solide S arrive en C avec une vitesse de valeur VC = 3,26 m/s
3-1 Montrer que le vecteur vitesse en C fait un angle α = 45⁰ avec l’horizontale.
3-2 Etablir l’équation de la trajectoire suivie par le solide après son décollage en C
3-3 Calculer la distance entre C et le point de chute D du sol sur le plan horizontal.
EXERCICE 11
Dans tout l’exercice, on négligera les frottements et on assimilera le solide (S) à un point matériel. On
prendra g = 10m.s-2.
1. Un solide (S) de masse m = 2kg est abandonné sans vitesse initiale en un point A d’un plan incliné
d’un angle α = 30° par rapport à l’horizontale, d’altitude hA= 31,25cm.
1.1. Faire le bilan des forces qui s’exercent sur le solide (S) et les représenter sur un schéma.
1.2. Déterminer la vitesse VB du solide en B.
2. Le solide(S) continue son mouvement sur le plan horizontal contenant B et heurte un ressort de
constante de raideur k =200N.m-1, fixé par son autre extrémité.
2.1. Quelle est la vitesse Vo du solide (S) juste avant le choc ?
2.2. Quelle est l’énergie mécanique de (S), juste avant le choc, sachant que son énergie potentielle de
pesanteur est nulle au sol.
3. Dès que le choc se produit, le solide (S) reste solidaire du ressort. Il effectue des oscillations autour
du point O de l’axe (x’x), parallèle au sol et horizontal.
3.1. Déterminer l’amplitude Xm du mouvement de l’oscillateur.
3.2. Etablir l’équation différentielle du mouvement de l’oscillateur. En déduire sa pulsation propre et
la loi horaire du mouvement.
3.3. Déterminer l’instant auquel le solide repasse en O, après l’instant initial.
EXERCICE 12
Un mobile de masse m, assimilable à un point matériel est lâché sans vitesse initiale sur une table
inclinée d'un angle α par rapport à l'horizontale (voir figure).
On suppose que le mobile est soumis au cours du mouvement à une force de frottement ⃗ F opposée à sa
vitesse.
1°)
1.1) Faire le bilan des forces agissant sur le mobile et les représenter sur un schéma.
f
1.2) Montrer que l'accélération du centre d'inertie G du mobile vaut a=g sin α −
m
2. Un relevé des distances parcourues par le centre d'inertie du mobile au cours du temps à partir de
l'instant initial t = 0 s, a donné le tableau suivant :
EXERCICE 13
Une bille ponctuelle de masse m = est abandonnée sans vitesse initiale en A. Elle glisse alors sur la
piste ABCDOE représentée par la figure ci-dessous.
EXERCICE 15:
Une piste ABC est formée de deux parties AB et BC situées dans un plan vertical
-AB est une portion de cercle de rayon r et de centre O ; telle que ( ⃗
OA , ⃗
OB ) = α
-BC une partie rectiligne horizontale.
Une bille de masse m = 15O g assimilée à un point matériel part sans vitesse initiales du point A et
glisse le long de la piste ABC.
1)Il n’excite pas de frottement sur la portion AB
1.1) Faire l’inventaire des forces extérieures agissant
sur la bille entre A et B
1.2) Représenter ces forces sur un schéma au point S.
On fera apparaitre sur ce schéma la vectrice vitesse de la bille en ce point.
1.3)En utilisant le théorème de l’énergie cinétique, déterminer
l’expression de la vitesse VB de la bille en fonction de r, α et g.
Calculer la valeur de la vitesse VB pour r = O,75 m ; α = 3OO et g = 1O m/s2
2)La bille évolue maintenant sur la partie BC. L’existence des forces de
frottements fait que la réaction ⃗ R exercée par la piste sur la bille
est inclinée d’un angle Ѳ = 15O par rapport à la verticale.
On suppose que VB = 1,4 m/s.
2.1) Représenter qualitativement ⃗ R et ⃗P sur un schéma.
2.2) En appliquant le théorème du centre d’inertie à la bille
mg
2.2.1) montrer que R = Calculer sa valeur.
cos Ѳ
2.2.2) Etablir l’expression de l’accélération en fonction de Ѳ et g. Faire l’application numérique
2.2.3) Déduire de la question 2.2.2) la nature du mouvement de la bille entre B et C.
2.2.4) Etablir l’équation horaire du mouvement, en considérant pour origine des espaces le point B
et origine des temps, l’instant ou la bille passe en B.
EXERCICE 16 :
Un skieur glisse sur une piste horizontale DA, à vitesse constante. En A il aborde une portion de piste
circulaire de rayon r=BA (B est sur la verticale de A) voir figure. Les frottements sont négligeables et
le skieur est assimilable à un point matériel M dont la trajectoire suit la forme de la piste.
1. Evaluer l’expression littérale de la vitesse du skieur en fonction de l’angle θ=(ABM) et de la vitesse
VA .
2. Le skieur quitte la piste en un point O tel que θ= ABO. Calculer l’angle θ ; VA =10m/s ; BA = R = 20
m et g=10 m/s2
3. Au même point O commence une troisième piste rectiligne faisant un angle α= 45° avec la verticale.
3.1 Donner l’équation de la trajectoire de M dans le repère Oxz.
3.2 Le skieur arrive sur la piste de réception au point C. Calculer la distance OC.
EXERCICE 17:
Dans un stand de fête foraine, un jeu consiste à lancer une boule (S) de masse m assimilable à un point
matériel sur une piste ABC pour essayer de la loger dans un tube (T) horizontal parallèle a l’axe
(Ox). Le diamètre du tube est légèrement supérieur a celui de la boule. Pour « tester sa force » une
personne pousse la boule (S) de A à B avec une force F constante, horizontale pendant une durée t1
= 2,95 s et la boule acquiert une vitesse VB qui lui permet de s’élever sur un plan incliné BC d’angle
α.
1. On admettra qu’a l’instant initial ( t = 0 ), le centre d’inertie G de la boule (S) quitte le point C avec
une vitesse VC
a/ Etablir, dans un repère (C , i⃗ , ⃗j) du schéma, les équations des coordonnées de l’accélération aG (a x ,
a y ) ; de la vitesse vG (v x , v y ) et du vecteur OG(x, y) du centre d’inertie G de (S)
b/ En déduire l’équation cartésienne de la trajectoire du centre d’inertie G entre C et E.
2.Le centre G de (S) doit parvenir au point E avec une vitesse horizontale pour que le jeu soit
réussi.
2
a/ Montrer que xE = K sin (2α) et yE = Ksin α. Donner l’expression de K.
b/ Exprimer le rapport yE/xE en fonction de l’angle α, puis en déduire la valeur de α.
c/ Calculer vC pour gagner le jeu.
3. a/ Déterminer la nature du mouvement de (S) pendant la phase de lancement.
b/ Calculer la vitesse vB de (S) à la fin de la période de lancement.
c/ Calculer l’intensité de la force F appliquée a la distance AB de lancement.
Données : m = 5kg ; DC = 1 m ; EF = 1,40m ; DF = 3 m
EXERCICE 18
Une bille de masse m = 300 g se déplace sans frottement sur un trajet ABCD (situé dans un plan
verticale) représenté ci-dessous.
La partie AB de longueur 5 m, est inclinée d’un angle = 30° sur l’horizontale ; BC est un arc de
cercle
de centre O et de rayon r = 2 m. on a = 20°. A t = 0 s, la bille est lâché sans vitesse au point A.
Etude du mouvement sur le plan incliné
1. Déterminer l’accélération de la bille et en déduire la nature du mouvement.
2. Déterminer l’équation horaire en choisissant comme origine des espaces le point A.
3. A quelle date et avec quelle vitesse la bille passe par le point B ?
Etude du mouvement sur la partie circulaire
4. Exprimer la vitesse de la bille en M en fonction de g, r, , et VB.
5. Déterminer en M l’expression de l’intensité de la réaction de la piste sur la bille en fonction de m, g,
r,, et VB.
6. En quel point la réaction est-elle maximale ? Calculer cette valeur maximale.
7. Quelle est la vitesse de la bille en D ?
.
EXERCICE 20
On considère une piste ABCD parfaitement lisse et contenue dans un plan vertical. La portion AC de
la piste est horizontale et la portion CD est un demi-cercle de centre O et de rayon r, comme l’indique
la figure ci-après.
On lance un solide S initialement au repos en A, en faisant agir sur lui, le long de la partie AB, une
force constante et horizontale⃗ F.
Un dispositif, non représenté sur la figure, placé en B permet de réduire de moitié l’intensité de la
force ⃗
F
qui cesse d’agir en C.
1- Déterminer, en fonction de F, ℓ, ℓ’ et m, la valeur Vc de la vitesse de S en C.
2- Au point M défini par l’angle θ=(O ^ ⃗ )établir en fonction de F ℓ, ℓ’m, r, g et θ l’expression de :
⃗ C , OM
a) La vitesse V du solide.
b) L’intensité R de la réaction de la piste sur le solide.
3- En déduire, en fonction ℓ, ℓ’m, r et g, la valeur minimale F0 de F pour que le solide S
atteigne le point D. Calculer F0,sachant que ℓ = 1,8m; ℓ’ = 1m; m= 400g; r = 1,2m et g = 10m/s2.
4- On suppose maintenant que la force ,%n’agit qu’entre A et B. Quelle est la nouvelle valeur littérale
de Vc ?
EXERCICE 21
Un solide de centre d’inertie G, masse m = 600 g, abandonné sans vitesse de initiale, glisse sur un plan
incliné d’un angle a = 30° par rapport au plan horizontal. On suppose que le solide est soumis au
cours se son mouvement, à une force de frottement constante ⃗f parallèle à la trajectoire de G.
Dans tout l’exercice, on prendra g = 9,8 m.s-2.
1.a/ Etablir l’expression littérale de l’accélération a 1 de son centre d’inertie.
En déduire la nature du mouvement.
b/ Dans son repère (Go,i), établir en fonction de a1, l’équation horaire de G en prenant comme origine
des dates l’instant où le solide est lâché et comme origine des abscisses la position Go de G à ce instant.
c/ Calculer la valeur numérique a1 de l’accélération dans le cas où les frottements sont négligeables.
2. Un dispositif expérimental approprié permet d’enregistrer les positions successives Gi de son centre
d’inertie à des dates ti régulièrement espacées de t = 60 ms
Les résultats expérimentaux ont permis d’établir le tableau suivant.
EXERCICE 23
Une bile B1 supposée ponctuelle, de masse m1, est abandonnée sans vitesse initiale en A. Elle glisse
alors sur la piste AOC représentée par la figure ci-dessous.
On donne m1 = 100 g ; g = 9,8 m/s2, = 30° ; OA = 1m ; f = 0,3 N.
1. Lors du parcours AO, la bille B1 est soumise à la force de frottement f.
a/ Faire l’inventaire des forces qui agissent sur la bille et les représenter sur un schéma.
b/ Déterminer l’accélération a1 de la bille B1 et en déduire la nature du mouvement.
EXERCICE 25
Un mobile est animé d’un mouvement rectiligne sinusoïdal de période T = 0,20 s.
A la date t = 0, il passe par l’origine des élongations avec une vitesse de mesure algébrique ̅ = 0,4π m/s.
4.1. Trouver l’amplitude du mouvement. (01 point)
4.2. Ecrire l’équation horaire du mouvement du mobile. (01 point)
4.3.
4.3.1. A quel instant le mobile passe-t-il pour la première fois (après la date 0) par l’élongation -2 cm
en allant dans le sens positif ? (01 point)
4.3.2. Trouver la vitesse et l’accélération du mobile à cet instant.
EXERCICE 26
On comprime à l’aide d’un solide (S) de masse M, un ressort de raideur k et de longueur à vide ℓ0=25
cm, d’une longueur x0 = 5 cm et on le libère sans vitesse initiale. Le solide (S) percute une bille (B) de
masse m placée en B. Le choc est parfaitement élastique. Les frottements sont supposés négligeables
sur toutes les parties sauf sur (BC).
On donne: M=30 g; m=10 g; g=10 m/s2; k=300 N/m
1.1 Calculer les valeurs des vecteur-vitesses du centre d'inertie G aux points G et G.
1.2 Déterminer la valeur a de l’accélération du motard.
1.3 Calculer la distance AB parcouru par Robbie et son engin s’ils arrivent en B avec la vitesse de 160
km/h..
2. La montée du tremplin.
Le motard aborde le tremplin au point B, avec une vitesse de 160 km/h et maintient cette vitesse
jusqu'au point C. Le tremplin est incliné d'un angle de α =27° par rapport à l'horizontale.
2.1 Quelle est la nature du mouvement du motard sur ce parcours ? Justifier.
2.2 Établir l’équation horaire du mouvement du motard.
2.3 Au bout de combien de temps parcourt-il la distance L ?
3. Le saut.
Le motard quitte le tremplin en C avec une vitesse initiale v = 160 km/h.
Toutes les actions autres que le poids sont supposées négligeables. On souhaite étudier la
trajectoire du centre d'inertie G du système dans ces conditions. L'origine des dates est
choisie à l'instant où le système quitte le point C
3.1 En appliquant la seconde loi de Newton, établir les équations horaires du mouvement du point G
dans le repère
(O, i , k ).
3.2 E n d é d u i r e l ’ é q u a t i o n d e l a t r a j e c t o i r e .
3.3 À quelle distance maximale de C doit se trouver le point D pour que "l'atterrissage" se fasse sur le
tremplin ?
3.4 Comparer cette valeur à celle donnée dans l'énoncé. Comment peut-on interpréter cet écart ?
EXERCICE 28
Les deux parties sont indépendantes.
Valeur du champ de pesanteur : g = 9,80 m.s-2
Un palet en acier de masse m = 50g peut se déplacer sans frottement sur un plan incliné d’un angle α
= 28° avec l’horizontale. Parti du point O, le centre d’inertie G du palet passe au point A avec une
vitesse vA acquise grâce à un propulseur à ressort situé en bas du plan incliné (entre O et A,l e
propulseur exerce une force ⃗F sur le palet).
En ce point, le palet est libéré avec une vitesse de valeur VA = 2 m.s-2 et glisse jusqu’au point B où il
arrive avec une vitesse nulle. Le palet poursuit alors son mouvement en réalisant une chute verticale
libre dans l’air.
Partie A: propulsion du palet entre O et A
On filme le mouvement du palet entre O et A, puis on exploite la vidéo avec un logiciel adapté.
La figure ci-dessous, à l’échelle 1/2, représente la position qu’occupe le centre d’inertie G du palet à
intervalles de temps réguliers τ = 20 ms (points G0 à G5 ).
1. En exploitant la figure ci-dessus, détermine les valeurs V2 et V4 des vecteur-vitesses aux points G2
et G4.
2. Exprime le vecteur accélération a3 du palet au point G3 en fonction de V2 , V4 et de l’intervalle de
temps, puis calcule sa valeur a3.
3. Fais le bilan des forces extérieures qui s’appliquent sur le système {palet} et représente-les sur un
schéma clair.
4. Applique la deuxième loi de Newton (théorème du centre d’inertie) et détermine l’expression de
l’accélération centre d’inertie du palet en fonction de F, g, m et α.
5. En utilisant la valeur a3 de l’accélération trouvée à la question 2°), calcule F au point G3.
Partie B : chute du palet
On prend maintenant comme origine des temps la date à laquelle G est en B et on travaille dans le
repère (B,⃗ K)
1. Détermine l’expression du vecteur accélération du centre d ‘inertie du palet et de sa coordonnée az
dans le repère (B,⃗ K ).En déduis la nature du mouvement de G.
2. Établis l’expression instantanée Vz( t ) du vecteur vitesse VG puis celle de z(t) du vecteur position
BG du centre d’inertie du palet.
3. Détermine la date à laquelle la valeur VG de la vitesse du palet sera égale à 1,96 m.s-2.
4. Le professeur de physique d’une classe de TleD dit à ses élèves : « Vous venez d’étudier la chute du
palet. Pourriez-vous décrire la chute de deux objets, l’un étant beaucoup plus lourd que l’autre, dans
un tube dans lequel on a préalablement fait le vide ? ». L’un des élèves répond :« L’objet lourd
tombera plus vite que l’objet léger ».Que penses-tu de cette réponse ?
EXERCICE 2 9
Mouvement d’un palet
Un jeu d’enfant consiste à lancer un palet à l’aide d’un lanceur. Le palet doit atterrir dans un
réceptacle placé sur le plan horizontal en un point I tel que O’I = 1,1m.
Le lanceur, constitué d’un ressort à spires non jointives et de constante de raideur k = 125 N/m
permet de communiquer au palet de masse m = 50g, une vitesse v A au point A (voir figure).
On néglige les forces de frottements. L’origine de l’énergie potentielle de pesanteur est prise suivant
l’axe ⃗AI .
Données : g = 10 m.s-2 ; h = 1m ; α = 30°.
1. Étude énergétique
Le chef du groupe comprime le ressort d’une distance x 0 = 10cm de sa position initiale A (ressort au
repos) et place le palet juste à l’extrémité libre A’ du ressort puis le relâche.
1.1 Nomme la forme d’énergie que possède le système {ressort + palet} au point A’ juste avant le
relâchement puis donne son expression.
1.2 Nomme la forme d’énergie que possède le palet au point A lorsque le ressort reprend sa position
initiale puis donne son expression.
1.3 Calcule alors la vitesse du palet en A.
2. Étude du mouvement du centre d’inertie du palet sur BO.
2.1 Fais le bilan des forces appliquées au palet et représente-les sur un schéma.
2.2 On note a⃗ a = a.u⃗ le vecteur-accélération du centre d’inertie du palet.
Établis l’expression de l’accélération a.
2.3 En déduis la nature du mouvement du palet sur ce trajet.
3. Étude du mouvement du centre d’inertie G du palet dans le champ de pesanteur uniforme ⃗g.
Le palet arrive en O, avec une vitesse v o = 2,2 m.s-2 (voir figure).
3.1 Détermine les équations horaires x(t) et y(t) du mouvement du centre d’inertie G du palet dans le
repère ( o , i⃗ , ⃗j ) .
3.2 En déduis l’équation cartésienne de la trajectoire.
3.3 Montre que le palet atterrit dans le réceptacle
EXERCICE 30
Un solide (S), de masse m descend le long d’une pente inclinée d’un angle α par rapport au plan
horizontal.
À t = 0, le solide (S) part de A avec une vitesse initiale nulle pour atteindre le point B, puis aborde le
tronçon BC avec la vitesse v B. On donne : AB = l = 2m ; α = 25° ; m = 200g et g = 10m/s2.
EXERCICE 32
On négligera tous les frottements et on prendra g = 10m/s2.
La piste de lancement d’un projectile M est située dans un plan vertical; elle
comprend une partie rectiligne horizontale ABC et une portion circulaire CD,
centrée en O, de rayon r = 1 m, d’angle au centre α = 60°. Voir figure.
Le projectile M. assimilable à un point matériel de masse 0,5kg, est lancé sans
vitesse initiale, suivant AB, avec une force constante ⃗ F horizontale, s’exerçant
entre A et B sur la distance AB=1m.
1. Quelle intensité minimum faut-il donner à pour que le projectile quitte la piste en D?
2.a. Avec quelle vitesse ⃗V0 le projectile quitte-t-il la piste en D quand F = 250 N?
b. Donner l’équation de sa trajectoire dans un repère orthonormé d’origine D (D, i⃗ , ⃗j ). ⃗
Dx Parallèle à
ABC.
c. En déduire la hauteur maximale atteinte au-dessus de l’horizontale ABC ?
d. Déterminer la distance du point d’impact E au point C sur le plan horizontal contenant AC. (Pour
résoudre l’équation donnant la position de E, opérer avec les valeurs numériques).
EXERCICE 33 :
Une piste A B C D est formée d’une partie AB rectiligne qui fait un angle α avec la verticale, une
partie BC ayant la forme d’un arc de cercle de centre O et de rayon r et en fin une partie CD verticale
(Voir figure 1).
Données : α =60°, g = 10m/s2, BO = CO = r =1m, OD = 2m.
Un solide S de masse m = 200g est lancé de A vers B avec une vitesse VA.
1. Déterminer la nature du mouvement de A à B. les frottements sont assimilables à une force f =
mg
4 (les frottements n’existent qu’entre A et B seulement)
2. Calculer la vitesse minimale avec la quelle il faut lancer le solide S du point A pour qu’il arrive en
B avec une vitesse nulle.
3. Le solide S descend de B vers C sans vitesse initiale.
3.1 Donner l’expression de sa vitesse en M en fonction de g, r et . AN : = (⃗
OB , ⃗
OM )=30°
3.2 Trouver l’expression de la réaction en M de la piste sur S en fonction de g, m et .
La calculer.
4. Donner les caractéristiques de la vitesse du solide S en C.
5. Le solide S quitte la piste à t=0 au point C et arrive au sol au point F.
5.1 Donner l’équation de la trajectoire du solide dans le repère (o ;x ;y).
5.2 Déterminer l’abscisse du point de chute E.
Exercice 34 :
Les parties I et II sont indépendantes
Partie I
Dans toute cette partie, on prendra g = 10 m.s-2 .
Une bille de masse m = 50g, assimilable à un point matériel, est abandonnée sans vitesse initiale en un point A
d’une gouttière ABCD. Cette gouttière est constituée :
D’un tronçon rectiligne AB incliné d’un angle α = 30° par rapport au plan horizontal et de longueur
AB = 1,6 m ;
D’un tronçon horizontal BC ;
D’une partie circulaire CD de centre O et de rayon r et telle que (OC) est perpendiculaire à BC (voir
figure ci-
dessous).
A, B, C et D appartiennent à un même plan vertical (P).
La force de frottement ⃗f qui s’applique sur la bille ne s’exerce
qu’entre B et C ; ⃗f est colinéaire et de sens contraire à la
vitesse ⃗v de la bille. Son intensité est f = 0,4N.
1. Mouvement sur AB.
1.1 Énoncer le théorème du centre d’inertie.
1.2 En appliquant convenablement ce théorème à la bille,
exprimer l’accélération a1 prise par la bille en fonction de g
et α puis calculer sa valeur.
1.3 Quelle est la nature du mouvement de la bille ? Écrire les expressions x 1(t) et v1(t) respectivement de sa
position et de sa vitesse à l’instant t en prenant pour origine des espaces, le point A et comme origine des dates,
l’instant où la bille a été lâchée.
1.4 Déterminer la durée ∆ t1 du parcours AB. En déduire alors sa vitesse VB.
2. Mouvement sur la partie BC.
2.1 Déterminer l’accélération a2 de la bille.
2.2 Calculer la longueur BC pour qu’elle arrive en C avec une vitesse nulle.
2.3 Écrire les expressions x2 (t) et v2 (t) respectivement de sa position et de sa vitesse à l’instant t.
On prendra le point B comme origine des espaces et pour origine des temps, l’instant de son passage en B.
2.4 Déterminer la durée ∆ t2 du parcours.
3. La bille part de C avec une vitesse pratiquement nulle et aborde le tronçon circulaire CD. La position de la
bille, en point M de CD, est repérée par l’angle θ = (OD, OM)
3.1 Exprimer la vitesse v M de la bille au point M en fonction de r, g et θ .
3.2 L’intensité de la réaction ⃗ R de la gouttière sur la bille en M a pour valeur R = mg(2 - 3sinθ ).
Sachant que la bille quitte la gouttière au point E tel que θ1= (OD, OE), calculer la valeur de θ1.
Partie II
Un joueur de pétanque lance une boule de masse m d’un point A situé à une hauteur OA = h = 0,9 m au-dessus
du sol.
Le vecteur vitesse initial ⃗
V 0 de la boule fait un angle α = 60° avec l’horizontale. Le joueur lâche la boule à
l’instant t = 0 lorsque celle-ci se trouve au point A.
On néglige la résistance de l’air et on prendra g = 9,8 m.s-2 .
1. Écrire la deuxième loi de Newton (théorème du centre d’inertie)
appliquée à la boule.
2. En projetant cette loi sur les axes indiqués sur le schéma, déterminer
les équations paramétriques du mouvement.
3. Le mouvement est-il plan ? Justifier votre réponse.
En déduire alors l’équation cartésienne du mouvement.
4. À quelle date le vecteur vitesse est-il horizontal c’est-à-dire parallèle à
l’axe (O,j )? En déduire la hauteur maximale atteinte par la boule.
5. La boule tombe en un point C situé à une distance y c du point de départ O.
5.1 Déterminer la valeur de y c .
5.2 En déduire tc de chute.
5.3 Calculer la vitesse Vc avec laquelle la boule parvient en C.
MOUVEMENT DE PROJECTILE DANS LE CHAMP DE PESANTEUR
EXERCICE 1
Sur une table de surface lisse et horizontale, un solide S de masse m, initialement au repos au point A,
est tiré par une force constante⃗F , inclinée d’un angle α par rapport au plan de la table. Les forces de
frottements étant supposées négligeables, la vitesse atteinte par S au point B après un parcours
rectiligne AB est égale à VB = 1,2 m.s-1.On donne cosα = 0,9 m = 1kg ; AB = 0,5m
1°)
1.1) En appliquant le théorème de l’énergie cinétique à S, calculer la valeur de⃗ F.
1.2) Calculer l’accélération de S sur le trajet AB.
1.3) Au point B, l’action de la force⃗ F cesse, le solide poursuit son mouvement rectiligne jusqu’au bord
de la table au point O. Montrer que la vitesse de S reste constante sur le trajet BO.
2°)
Le solide quitte la table au point O, origine du repère(o,i,j).
L’instant de passage de S en O est considéré comme origine des dates.
2.1) Déterminer les expressions des équations horaires selon les axes Ox et Oy. On prendra g = 10 m.s-
2
.
2.2) Montrer que l’équation cartésienne de la trajectoire de S dans le repère (o,i,j) est de la forme de
2
−gx
la 2
2V0
2.3) Parti du point O, S atteint le sol au point d'impact C, après une durée de chute égale à 0,4 s.
2.3.1) Calculer les coordonnées du point C.
2.3.2) Avec cette vitesse en O, S peut résister au choc si la hauteur de chute est inférieure à 1m.
Dans quel état se trouve S après le choc.
Justifier s'il est intact ou brisé
EXERCICE 2
Au cours d'une compétition de basket-ball au Palais des Sports de Treichville, un basketteur A,
tire en direction du panier constitué par un simple cercle métallique, dont le plan horizontal est situé à
3,05 m du sol. Lorsque le ballon est lancé par le joueur A :
le centre G du ballon est à 2,00 m du sol
la distance séparant les verticales passant par le centre C du panier et G est 7,10 m ;
sa vitesse ⃗V 0 fait un angle α = 45° avec l'horizontale (voir figure).
Le panier est marqué ou réussi lorsque le centre du ballon passe par le centre du panier.On néglige
l'action de l'air sur le ballon.Données numériques : g = 9.80 m.s-2
Masse du ballon : m = 0,60 kg ;
1°)
1.1 Etablir que l'équation de la trajectoire de G dans le repère (Ox ,Oy) est :
Bilé communique au ballon placé au point O, à une distance D = 35 m de la ligne de but, une vitesse
dont la direction fait un angle θ avec le plan horizontal. On prendra comme origine des dates
l'instant où Bilé frappe le ballon et comme origine des espaces le point O.
1) Établir les équations horaires x(t) et z(t) en fonction de v0 , g et θ du mouvement du centre d'inertie
G du ballon dans le repère .
2°) Faire l'application numérique.
3°) En déduire l'équation cartésienne de la trajectoire et donner sa nature.
4°) Déterminer :
4.1) la date t à laquelle le ballon arrive sur la ligne de but.
4.2) la hauteur h par rapport au sol à cette date t1.
5°) A la date t = 0 où Bilé frappe le ballon, un défenseur de l'équipe du gardien qui se trouvait sur la
même ligne que lui à la distance d de la ligne de but, s'élance sans vitesse initiale vers les buts avec une
accélération a = 3 m.s-2. Il voudrait empêcher le but. Pour cela, il faut qu'il arrive avant le ballon sur
la ligne de but.
Son mouvement est rectiligne suivant l'axe (O x).
5.1 Montrer que l'équation horaire du mouvement du centre d'inertie du défenseur selon l'axe (Ox)
est :
x(t) = l,5t2 + 30.
5.2 Déterminer la date t2 à laquelle le défenseur arrive sur la ligne de but.
5.3 Le but est-il marqué ? Justifiez votre réponse.
Données : g = 10 m.s-2 ; = 30° ; v0 = 21 m.s-1 ; D = 35 m ; d = 5 m
EXERCICE 4
AKPA lance à son ami MEL, une orange de masse m = 200 g.
MEL se trouve au bord d'une rivière derrière une termitière (voir figure ci-dessous).L'orange est
lancée d'un point A,dans un plan vertical avec une vitesse ⃗ V 0 faisant un angle α = 45° avec
l'horizontale.
On néglige l'action de l'air sur l'orange. On donne OA = h0 = 2m
1°) Déterminer :
1.1) les relations donnant les coordonnées x(t) et y(t), du centre d'inertie G de l'orange en fonction g,
V0, α et t (l'origine des temps est l'instant du lancer).
1.2) l'équation cartésienne de la trajectoire du point G dans le repère ( o ,i , j )et faire l'application
numérique.
g = 10 m.s-2 ; V0 = 10 m.s-1.
2°) La termitière se trouve à la distance d = 5 m du point O et sa hauteur est h1 = 4 m.
L'équation cartésienne de la trajectoire de G dans le repère ( o ,i , j ) s'écrit : y=−0 ,10 x 2 + x+ 2
Montrer que l'orange passe au-dessus de la termitière.
3°) MEL se trouve à 14 m de son ami AKPA.
Pour attraper l'orange, il tend ses mains à une hauteur h2 = 1,5 m du sol et ne bouge pas.
3.1) MEL pourra-t-il intercepter l'orange ?
3.2) Sinon tombera-t-elle dans la rivière ou derrière lui ?
EXERCICE 5
Un enfant s’amuse à plonger dans une l’eau d’une rivière à partir d’un rocher. Il veut attraper un
ballon flottant sur l’eau au point A. A la date t = 0, l’enfant s’élance du rocher avec une vitesse ⃗ V 0 , de
valeur Vo , incliné d’un angleα 0 par rapport à l’horizontale.
π
L’angle α 0toujours le même. Sa valeur est α 0= rd .
4
La vitesse Vo peut varier. On étudie le mouvement du centre d’inertie C du plongeur dans le
référentiel terrestre supposé galiléen. On associe à ce référentiel , le repère ( o ; i , j ); voir schéma. A la
date t = 0, le centre d’inertie de l’enfant est en Co tel que OCo = 2 m . On prend g = 9,8 m.s-2
1°) Donner, à l’instant du départ, les coordonnées :
1.1 du vecteur position ⃗ OC 0 ;
1.2 du vecteur vitesse ⃗ V 0;
1.3 du vecteur accélération de la pesanteur ⃗g.
2°) Le théorème du centre d'inertie permet d'obtenir les équations horaires donnant la position du
centre d'inertie C à chaque instant compris entre le départ et l'arrivée dans l'eau. Les frottements
contre l'air sont négligés. On admettra les résultats suivants :
⃗ −1 2
OC=x ⃗i + y ⃗j avec x=v 0 cos α 0 t et y= g t + v 0 cos α 0 t + y 02.1) Etablir l'équation littérale de la
2
trajectoire y = f(x).
2.2) Utiliser les valeurs numériques de l'énoncé pour vérifier que l'équation peut s'écrire :
2
x
y=−9 , 8 2 + x +22.3 Déterminer littéralement à l'instant t, pour la position C1 du schéma :
v0
2.3.1) Les coordonnées du vecteur accélération C1.
2.3.2) Les coordonnées du vecteur vitesse.
2.3.3) Représenter qualitativement sur un schéma ces vecteurs au point C1 de la trajectoire.
3°) L'enfant souhaite tomber exactement sur le ballon flottant au point A tel que OA = 2m.
Rechercher la valeur d⃗ V 0 permettant cela.
4°) A quelle distance maximale doit se trouver le ballon pour que l'enfant puisse l'attraper en
plongeant, sachant que sa vitesse maximum vaut Vmax = 7 m/s?
EXERCICE 6
Pour se baigner, des enfants sautent du point O d'un pont et plongent dans la rivière dont le niveau
est 3m plus bas.
On se propose d'étudier le mouvement du centre d'inertie d'un plongeur.
On néglige dans tout l'exercice le mouvement de rotation du plongeur autour de son centre d'inertie G
ainsi que les frottements avec l'air.
Le repère d'étude est( o ,i , j )(voir schéma). On prendra g = 9,8m.s-2.
Après s'être lancé, le plongeur quitte le pont qui sert de tremplin à la date t = 0 avec un vecteur vitesse
V0 incliné de θ=30° par rapport à la verticale.Son centre d'inertie est alors au point G0 de
coordonnées x0 = 0 m, y0 = 1m.
1°) Etablir les équations horaires x (t) et y (t) du mouvement du centre d'inertie dans le repère ( o ,i , j )
En déduire l'équation cartésienne de la trajectoire.
2°) Le plongeur est au sommet de sa trajectoire au point S d'abscisse xS = 1,1m. Déterminer :
2.1) l'expression de v0 en fonction de xs,g et θ puis calculer sa valeur.
2.2) l'ordonnée du sommet
3°) Le plongeur pénètre dans l'eau en C.(On prendra V0 = 5m.s-1)
3.1) Déterminer la distance d entre les verticales passant par O et C.
3.2) Calculer la durée du saut.
3.3) Déterminer la valeur de sa vitesse en C.
EXERCICE 7:
Dans cet exercice, le mouvement de la bille (B) est supposé rectiligne uniformément varié d’accélération a⃗ = ⃗
g.
⃗
On prendra comme repère d’espace, le repère (O,i ) vertical dirigé vers le bas et comme origine des
temps la date du départ de la bille (B) du point O.
D’un point O situé à une hauteur h au-dessus du sol, on lance la bille (B) vers
le haut telle queV0= 10m/s .La bille (B) arrive au sol à la date t = 5s ou A un
point du sol.
1) a- Donner la loi horaire du mouvement de la bille (B)
b- En déduire la hauteur h
2) a- Déterminer l’abscisse du point le plus haut C atteint par la bille (B).
b- Calculer la date t correspondante.
3) Calculer la distance d, parcourue par la bille (B) entre les dates t 1=0s et t2=2s.
4) Avec quelle vitesse ⃗
V D, la bille (B) passe par le point D d’altitude h’=(4/5)h ?
EXERCICE 8:
Un dispositif permet de lancer une balle de
tennis à la vitesse V0 = 16m.s-1 .Le centre d’inertie G de la
balle part d’un point O vers le haut suivant une direction
faisant un angle α avec l’horizontale. On neglige les frottements
dus à l’air.g = 9,8 m.s-2.
a)Déterminer les équations horaires de G dans le repère terrestre.
b) Etablir en fonction de V0,α et g l’équation de la trajectoire.
c)Calculer la portée horizontale du lancer et sa durée. α = 40°
d) Calculer la flèche c’est-à-dire l’altitude maximale atteinte. Quelle est alors la vitesse de la balle en ce point ?
EXERCICE 9:
On étudie le saut d'un plongeur. On néglige les forces de frottements et la poussée d'Archimède. Le repère
d'étude est le repère xOy avec y axe vertical vers le haut et x axe horizontal vers la droite. Après s'être lancé, le
plongeur quitte le tremplin à l'instant t=0 avec un vecteur vitesse ⃗V 0 incliné d'un angle de 40° par rapport à
l'horizontale. Son centre d'inertie G est alors au point G0 de coordonnées X0 = 0 et Y0 = 6,0m.
1) Faire un schéma.
2) Établir les équations horaires du mouvement en partant de la 2ème loi de Newton.
3) Donner alors l'équation de la trajectoire.
4) Que peut-on déduire de cette équation concernant le mouvement ?
5) Le sommet de la trajectoire étant atteint au point F d'abscisse x = 1,0m, en déduire la vitesse initiale
V0.Données : g = 9,8 m.s-2.
EXERCICE 10
Des élèves se fixent comme objectif d’appliquer leurs connaissances en mécanique au « jeu de
plongeon ». Ce jeu, réalisé à la piscine, consiste à passer au dessus d’une corde puis atteindre la
surface de l’eau en un point le plus éloigné possible du point de départ avant de commencer la nage.
Le bassin d’eau a pour longueur L = 20 m et est suffisamment profond. Le plongeur doit quitter un
tremplin ; à ce moment son centre d’inertie G est à une hauteur h1 = 1,5 m au dessus de la surface de
l’eau. La corde, tendue horizontalement, est attachée à une distance ℓ = 1,6 m du tremplin. Elle est à
une hauteur h2 = 2 m du niveau de l’eau (voir figure sur la page suivante). Au cours d’une simulation,
les élèves font plusieurs essais en lançant, avec un dispositif approprié, un solide ponctuel à partir du
point G. Les essais diffèrent par la valeur du vecteur-vitesse initial du solide ou par l’angle du dit
vecteur avec l’horizontale. Le mouvement du solide est étudié dans le repère (( O , ⃗i , ⃗j , ⃗k ) ). Le point O
est le point d’intersection entre la verticale passant par la position initiale de G et la surface de l’eau.
La direction de l’axe i est perpendiculaire au plan vertical contenant la corde, comme indiqué sur la
figure. On néglige les frottements et on prendra g = 10 m/s.
4.1. Lors d’un premier essai, le solide est lancé du point G, à la date t = 0, avec une vitesse v0 faisant
un angle α= 45° avec l’horizontale, de valeur V0 = 8 m/s et appartenant au plan vertical défini par (i⃗ ,k⃗
).
4.1.1. Etablir les équations paramétriques du mouvement du solide. En déduire l’équation cartésienne
de sa trajectoire.
4.1.2. Le solide passe-t-il au dessus de la corde ? Justifier la réponse.
4.1.3. Au cas où le solide passe au-dessus de la corde, quelle distance le sépare-t-il de la ligne d’arrivée
lorsqu’il touche l’eau ?
4.1.4. Calculer la norme du vecteur vitesse et l’angle que ce vecteur forme avec la verticale
descendante lorsque le solide touche l’eau.
4.2. Dans un second essai, les élèves voudraient que le solide touche l’eau en un point distant de 8 m de
la ligne d’arrivée. Quelle doit être alors la valeur de la vitesse initiale pour α= 45° ?
EXERCICE 11
Partie 1
Au point P situé à une hauteur h0 = 2,7m au-dessus du sol, une balle de tennis, assimilée à un point ponctuel
de centre d’inertie G, est frappée avec une raquette. Elle part de ce point à un instant pris comme origine des
dates (t = 0) avec une vitesse ⃗
V 0 faisant un angle α = 45° avec l’horizontale, de valeur V0= 10m.s-2 (voir figure 1).
Le mouvement de la balle sera étudié dans le repère R(0,i⃗ , ⃗k ), O point du sol.
On négligera la résistance de l’air sur la balle et on prendra g = 10m.s-2.
1. Donne les coordonnées du vecteur-vitesse ⃗ V 0 et position ⃗
OG 2de la balle à t = 0 dans le repère
⃗
R( o , i⃗ , ⃗j , k )
2.1 Établis les équations horaires du mouvement de la balle dans le repère R( o , i⃗ , ⃗j , ⃗k ).
2.2 Montre que le mouvement de la balle est plan et précise ce plan.
3. Détermine l’équation cartésienne de la trajectoire de la balle.
4. Calcule les coordonnées du point S le plus élevé atteint par la balle.
5. En utilisant le théorème de l’énergie cinétique, détermine la valeur du vecteur-vitesse ⃗ V c de la balle
lorsqu’elle touche le sol.
Partie 2
Dans cette partie, la balle est frappée par la raquette en P et à un instant pris comme origine des dates
(t= 0) et elle est lancée avec une vitesse initiale horizontale ⃗
V 1 de valeur V 1 = 25m.s-1(figure 2).
Le filet a une hauteur h1 = 1m est placé à une distance L = 12m du point O.
1. Détermine l’équation de la trajectoire de la balle dans le repère R à partir de celle établie à
laquestion 3°).
2. Vérifie que la balle franchit le filet.
3. Montre que le service de la balle a réussie.
EXERCICE 12:
Dans tout l’exercice, on assimilera la balle à un point matériel. Au volley-ball, le joueur qui effectue le
service frappe la balle à la hauteur h du sol et à la distance L du filet. La hauteur du filet est H =
2,43m. La ligne du fond du camp adverse est à D= 9m du filet. Pour que le service soit bon, il faut que
le ballon passe au-dessus du filet et touche le sol dans le camp adverse entre le filet et la ligne de fond
du camp adverse.
Pour simplifier, on supposera que le trajectoire de la balle est située dans le plan de la figure
(Orthogonale au filet) et on négligera la résistance de l’air. Le joueur saute verticalement et frappe la
balle en A pour lequel h=3,5m et L=12m. La vitesse initiale de la balle est V0=18m/s et elle fait un
angle α=7° avec l’horizontale.
1) Etablir :
a- Les expressions des équations horaires : x = f(t) et y = g(t) de la balle.
b- L’équation cartésienne de la trajectoire de la balle dans le repère orthonormé (o, i, j).
On prendra l’origine des temps l’instant de la frappe de la balle en A.
2) A quel instant la balle passe-t-elle au-dessus du filet ? A quelle hauteur se trouve-t-elle ?
3) A quelle date touche-t-elle le sol, si elle n’est pas interceptée par le joueur adverse ? A quelle
distance de O se trouve-t-elle alors ? Le service est-t-il bon ?
EXERCICE 13
Roger Federer, situé au fond du court de tennis dans la partie I, tente de lober Rafael Nadal (en
faisant passer la balle au-dessus de ce dernier) se trouvant en face à une distance d = 2,00 m derrière
le filet dans la partie II du court. Pour cela, il frappe la balle lorsqu´elle se trouve au point A à une
distance D = 9,00 m du filet et à une hauteur h = 0,50 m au-dessus du sol.
La balle part alors avec une vitesse inclinée d´un angle α = 57° avec l´horizontale dans un plan vertical
perpendiculaire au filet de valeur v 0 = 15 m/s. On prendra g = 9,8 m·s-2.
La figure proposée illustre la situation mais n’est pas à l’échelle. Dans tout l´exercice, on posera les
hypothèses de simplification suivantes :
- la balle de tennis est assimilable à un point matériel G.
- les frottements aérodynamiques sont négligeables.
- la surface de jeu est parfaitement horizontale.
3.1. Établis, dans le repère ( o , i⃗ , ⃗j )proposé, les équations horaires x(t) et y(t) de la trajectoire de la balle
après le choc avec la raquette, puis déduis-en l´expression littérale de l’équation de la trajectoire y(x).
3.2. En utilisant les données numériques du texte, écris l´équation y(x). Elle sera utilisée pour résoudre
la suite de l´exercice.
3.3. Nadal, lobé, saute en tenant sa raquette verticalement à bout de bras de telle sorte que le sommet
de sa raquette se trouve à une hauteur H = 3,50 m du sol. Peut-il intercepter la balle avec sa raquette ?
3.4. La balle retombe-t-elle dans la surface de jeu, la ligne de fond de court étant à la distance L = 12
m du filet ? Autrement dit, le lob est-il réussi ?
3.5. Le ballon atteint le plan du court avec une vitesse VB. Déterminer les caractéristiques de ⃗ V B (sa
norme et sa direction)
MOUVEMENT DES SATELLITES
EXERCICE 1:
1. Etablir l’expression du champ de gravitation g d’un astre en fonction du champ g0 sur sa surface, de son
rayon R et l’altitude h.
2. On considère des satellites Martiens (satellites autours de la planète mars) :
a)Pour une trajectoire circulaire, établir l’expression de la vitesse d’un satellite martien évoluant à une altitude
h au-dessus de la surface de Mars.
b) En déduire l’expression de la période de révolution T du satellite
c)En déduire la troisième loi de Kepler.
3. Si un jour, des hommes vivront sur mars, il leur faut aussi des satellites « marsostationnaires » pour diffuser
leurs programmes de télévision.
a)Calculer l’altitude d’un satellite marsostationnaires, c’est-à-dire un satellite qui évolue constamment au-
dessus d’un même point de Mars. On donne la masse de mars = 6,421.1023Kg, son rayon = 3397,2 Km et sa
période de rotation = 24,62 j.
b) Que vaut la vitesse linéaire d’un satellite évoluant à une altitude deux fois plus grande ?
EXERCICE 2:
Pour déterminer la masse d’une planète, on envoie un satellite de masse 600 kg dans ses alentours, et on
mesure la vitesse de révolution du satellite en fonction de son altitude.
Pour l’altitude z1 = 1500 km, cette vitesse vaut v1 = 18884 m/s.
Pour l’altitude z2 = 2800 km, cette vitesse vaut v2 = 17106 m/s.
a)Calculer le rayon de la planète.
b) En déduire sa masse.
c)Trouver la valeur du champ de gravitation à sa surface. On donne :G = 6 , 67. 10−11 m 3 kg−1 s−2
EXERCICE 3:
Données : Rayon terrestre R = 6370 km ; g0 = 9,8 m.s-2
Dans un référentiel géocentrique un satellite évolue sur une orbite circulaire de rayon r 1= 1800 km dans le plan
équatorial terrestre.IL se déplace vers l’est ; dans le référentiel géocentrique la terre tourne vers l’est avec une
période de rotation T0 = 86164s.
1.
1.1. Montrer que le mouvement du satellite est uniforme.
1.2. Etablir l’expression puis calculer la vitesse du satellite dans le référentiel géocentrique.
1.3. Exprimer alors la période du mouvement du satellite puis la calculer.
2.
2.1. Définir un satellite géostationnaire.
'
2.2. Déterminer le rayon r 1 de l’orbite du satellite pour qu’il soit géostationnaire.
2.3. Calculer alors la vitesse de ce satellite géostationnaire.
EXERCICE 4
La constante de gravitation universelle est G = 6,67.10-11 S.I. On considère une planète P de masse M.
Le mouvement de l'un de ses satellites S, assimilé à un point matériel de masse m, est étudié dans un
référentiel considéré comme galiléen, muni d'un repère dont l'origine coïncide avec le centre O de la
planète P et les trois axes dirigés vers trois étoiles fixes. On admet que la planète a une distribution de
masse à symétrie sphérique et que l'orbite de son satellite est un cercle de centre O et de rayon r.
5.1. Donner les caractéristiques de la force de gravitation exercée par la planète P sur le satellite S.
Faire un schéma.
5.2. Donner l'expression du vecteur champ de gravitation créé par la planète P au point où se trouve le
satellite S. Représenter ce vecteur champ sur le schéma précédent.
5.3. Déterminer la nature du mouvement du satellite S dans le référentiel d'étude précisé.
5.4. Exprimer le module de la vitesse linéaire v et la période de révolution T du satellite S en fonction
de la constante de gravitation G, du rayon r de la trajectoire du satellite et de la masse M de la planète
2
T
P. Montrer que le rapport 3 est une constante.
r
5.5. Sachant que l'orbite du satellite S a un rayon r = 185 500 km et que sa période de révolution vaut
T = 22,6 heures, déterminer la masse M de la planète P.
5.6. Un autre satellite S' de la planète P a une période de révolution T' = 108,4 heures. Déterminer le
rayon r' de son orbite.
EXERCICE 5
- la constante de gravitation universelle : G = 6,67.10-11 S.I
- le rayon de l'orbite de Titan (satellite de Saturne) : r = 1,22.106 km
- la période de rotation de Titan autour de Saturne : T = 1,38.106 s.
En avril 1996, la France participe à la mission Cassini qui étudie Titan, satellite de Saturne ; ce
satellite est le seul dans le système solaire à posséder comme la Terre, une atmosphère dense de
diazote favorable à l'apparition de la vie. Le mouvement de Titan, de masse m, est étudié dans un
référentiel considéré comme galiléen, ayant son origine au centre de Saturne.
On suppose que Saturne et Titan ont une répartition de masse à symétrie sphérique. Titan se déplace
sur une orbite circulaire à la distance r du centre de Saturne.
1) Faire le schéma de l'orbite de Titan et y présenter la force de gravitation exercée par Saturne sur
Titan ; donner son expression vectorielle conforme au schéma.
2) Montrer que le mouvement de titan est uniforme.
3) Établir l'expression littérale de la vitesse V et de la période T de Titan sur son orbite, en fonction de
G, r et de la masse MS de Saturne. En déduire la valeur de MS.
−GmMs
4) On donne l'énergie potentielle de gravitation du système (saturne-titan) Ep = où EP = 0
r
pour r infini.
a) En déduire l'énergie mécanique du système.
b) Calculer la vitesse de libération d'un satellite de Saturne sachant que le rayon moyen de Saturne est
de 60 080 km.
EXERCICE 6
Un satellite, suppose ponctuel, de masse m, décrit une orbite circulaire d’altitude h autour de la Terre
assimilée a une sphère de rayon RT. On fera l’étude dans le référentiel géocentrique suppose galiléen.
1- Etablir l’expression de l’intensité G du vecteur champ de gravitation a l’altitude h en fonction de sa
valeur au sol g0 de RT et h.
2- Montrer que le mouvement de ce satellite est uniforme.
3- Déterminer l’expression de la vitesse V du satellite, celle de sa période T en fonction de h, RT et g0
puis celle de son énergie cinétique Ec en fonction de m, RT, G0 et h. Faire l'application numérique: h
= 400 km; g0 = 9,81 m.s-2; m = 1020 kg; RT = 6400 km.
4- L’énergie potentielle du satellite dans le champ de gravitation a l’altitude h est donnée par la
relation:
−GmM
Ep= , M est la masse de la Terre, G la constante universelle de gravitation.
R T +h '
a) Justifier le signe négatif.
b) Exprimer Ep en fonction de m, RT, g0 et h.
c) Donner l’expression de l’énergie mécanique Em du satellite en fonction de m, RT, g0 et h.
Comparer cette énergie mécanique a l’énergie cinétique Ec du satellite.
5- Le satellite se trouvant dans les hautes couches de l’atmosphère est soumis a des forces de
frottement. Comment va évoluer son énergie mécanique? En déduire qualitativement l’évolution de la
vitesse v et de l’altitude du satellite.
EXERCICE 7
Dans cet exercice, les mouvements étudiés sont rapportés à des repères galiléens. Les mobiles étudiés présentent
une répartition à symétrie sphérique. On prendra G = 6,67.10-11S.I.
1)On considère deux mobiles A et B: On suppose que la masse M A du mobile A est très grande devant celle m
du mobile B. Le mobile B tourne autour de A considéré comme étant fixe (voir fig 1).
EXERCICE 8
Dans le référentiel géocentrique un satellite évolue sur une orbite circulaire de rayon r 1 = 20 000km dans le
plan équatorial de la Terre. Il se déplace d'Ouest en Est. La période du mouvement de rotation de la Terre
dans ce référentiel est T2 = 86 164 s.
1) Montrer que le mouvement de rotation du satellite est uniforme.
2) Etablir l'expression de la vitesse du satellite dans le référentiel géocentrique puis calculer sa valeur.
3)En déduire l'expression de la période T1 du mouvement du satellite puis calculer sa valeur.
4) Déterminer la valeur r de l'orbite du satellite pour qu'il soit géostationnaire.
5) Quelle est pour un observateur terrestre, la période de révolution Ta du satellite évoluant sur l'orbite
circulaire de rayon r1 = 20 000 km.
6)Un autre satellite, de période T2 évoluant dans le plan équatorial de la Terre sur une orbite circulaire de
rayon r2 = 18 000 km dans le même sens que le premier.
A l'aide d'un schéma clair indiquer les positions des deux satellites quand leur distance est minimale. Ce
rapprochement entre les deux satellites se répète périodiquement. Calculer la période T 0 de ces
rapprochements.
EXERCICE 9
1. Etablir l’expression du champ de gravitation g d’un astre en fonction du champ g0 sur sa surface,
de son rayon R et l’altitude h.
2. On considère des satellites Martiens (satellites autours de la planète mars) :
a)Pour une trajectoire circulaire, établir l’expression de la vitesse d’un satellite martien évoluant à
une altitude h au-dessus de la surface de Mars.
b) En déduire l’expression de la période de révolution T du satellite
c)En déduire la troisième loi de Kepler.
3. Si un jour, des hommes vivront sur mars, il leur faut aussi des satellites « marsostationnaires » pour
diffuser leurs programmes de télévision.
a)Calculer l’altitude d’un satellite marsostationnaires, c’est-à-dire un satellite qui évolue
constamment au-dessus d’un même point de Mars. On donne la masse de mars = 6,421.1023Kg, son
rayon = 3397,2 Km et sa période de rotation = 24,62 j.
b) Que vaut la vitesse linéaire d’un satellite évoluant à une altitude deux fois plus grande ?
EXERCICE 10
On suppose que la Terre, de masse MT, de rayon RT et de centre O, est une sphère et qu'elle présente une
répartition de masse à symétrie sphérique et que le satellite peut être assimilé à un point matériel. Le satellite
artificiel S, de masse ms, décrit une orbite circulaire de rayon r autour de la Terre. On suppose que le satellite
est soumis uniquement à la force gravitationnelle exercée par la Terre. On notera K, la constante de gravitation
universelle.
1. Exprimer l’intensité du champ de gravitation terrestre G(h) en fonction de M T, RT, h et K puis en fonction de
RT, h et G0 (G0 étant l’intensité du champ de gravitation terrestre au sol).
2. Montrer que le mouvement du satellite dans le référentiel géocentrique est uniforme.
3. En déduire l'expression de la vitesse vs du satellite en fonction de G0, RT et h puis celle de sa période de
révolution Ts.
4. Calculer Vs et Ts sachant que G0 = 9,8 m.s-2 ; h = 200 km et RT = 6400 km.
5. METEOSAT 8 : un satellite géostationnaire.
Les satellites météorologiques comme Météosat sont des appareils d'observation géostationnaires. Ce satellite a
été lancé par ARIANE 5 le 28 août 2002. Il est opérationnel depuis le 28 janvier 2004. Il fournit de façon
continue des informations couvrant une zone circulaire représentant environ 42% de la surface de la Terre.
5.1. Préciser les conditions à remplir par METEOSAT 8 pour qu'il soit géostationnaire.
5.2. En déduire, pour METEOSAT 8, la valeur du rayon RT + h de son orbi
MOUVEMENT DE PARTICULES DANS UN CHAMP ELECTRIQUE
EXERCICE 1
Des particules de charge q et de masse m sont envoyées avec une vitesse ⃗ V 0 entre deux plaques métalliques,
parallèles soumises à une d.d.p UAB= U > 0. Les plaques ont une longueur l et sont distantes de d. Ces particules
sont recueillies sur un écran E où se forme un spot S. Le centre des plaques est noté I et la distance du centre
des plaques à l’écran est noté D ; (D = 1 m ; l = 0,2 m ; d = 10 cm ; U = 2.104V)
1. Etablir en fonction des divers paramètres l’équation de la trajectoire des particules entre les plaques.
2. En déduire en fonction des divers paramètres la déviation angulaire à la sortie des plaques.
3. Calculer en fonction des divers paramètres la déviation linéaire y observée sur l’écran.
4. En fait les particules envoyées en O sont de natures différentes :
- les unes sont des électrons de vitesse V 0=2, 5. 108 m. s−1
- les autres sont des ions X2+, de masse m’ et de vitesse V '0=107 m. s−1
4.1. Calculer la déviation y0 des électrons sur l’écran.
4.2. Sachant que les ions X2+ forment un spot en S’ et que O’S’ = 1,9 cm, calculer la masse m’ de ces ions. En
déduire son nombre de masse (ou nombre de nucléons) A.
On donne : masse d’un nucléon :1,67.10-27Kg ;masse d’un électron :9,1.10-31Kg ;charge élémentaire :e=1,6.10-19C
EXERCICE 2
Charge élémentaire : e = 1,6.10-19 C ; Masse de la particule α : m = 6,64.10 -27 kg. Un faisceau de particules
(ions He2+) pénètre entre les plaques horizontales P 1 et P2 d'un condensateur à la vitesse de valeur V 0 = 448
km/s dont la direction fait un angle θ = 45° avec l’horizontale. La largeur de la plaque est L = 10 cm ; La
distance entre les armatures est d = 8cm ; La tension entre les armatures est U > 0.
1. Etablir les équations horaires du mouvement, d'une particule entre les armatures du condensateur, en
fonction des paramètres du problème.
2. Etablir l'équation de la trajectoire d'une particule entre les armatures du condensateur.
3. Déterminer la valeur de U pour que le faisceau sorte des armatures au point O'.
4. Déterminer les caractéristiques du vecteur vitesse ⃗V '0 des particules α à leur sortie au point O'
EXERCICE 3
Dans tout le problème, on supposera que le mouvement des ions a lieu dans le vide et que leur poids est
négligeable.
1. Des ions Mg2+, sortant d’une chambre d’ionisation pénètrent, avec une vitesse négligeable, par un trou O1,
dans l’espace compris entre les deux plaques verticales P1 et P2. Lorsqu’on applique entre ces deux plaques
verticales une tension U0, les ions atteignent le trou O2 avec la vitesse V0.
1.1. Quelle plaque (P1 ou P2) doit-on porter au potentiel le plus élevé? Pourquoi?
1.2. Donner la valeur de v0 en fonction de la charge q, de la masse m d’un ion et de U0.
24 2+¿
1.3. Calculer la valeur de V0 pour les ions 12 Mg ¿ dans le cas où la tension U0 = 4000 V.
2. A la sortie de O2, les ions ayant cette vitesse v0 horizontale pénètrent entre les armatures P et Q d’un
condensateur. On applique entre ces armatures une différence de potentiel positive U PQ que l’on notera U,
créant entre elles un champ électrique uniforme vertical.
2.1. Préciser les caractéristiques de la force électrique à laquelle chaque ion est soumis, on exprimera son
intensité en fonction de q, U et de la distance d entre les plaques P et Q.
2.2. Déterminer la nature de la trajectoire d’un ion à l’intérieur de ce condensateur lorsque U garde une valeur
constante.
2.3. On dispose d’un écran vertical E à la distance D du centre des plaques de longueur ℓ. Trouver en fonction
de q, m, U, V0, ℓ, D et d l’expression de la distance Z = OM, M étant le point d’impact d’un ion sur l’écran. La
distance OM dépendra t-elle des caractéristiques des ions positifs utilisés? (on admet que la tangente à la
trajectoire au point de sortie S du condensateur passe par le milieu de celui-ci).
Calculer la durée de la traversée du condensateur dans le cas où ℓ = 10 cm.
24 2+¿
Données: m (12 Mg ¿)=24u ;u=1,67.10-27Kg
EXERCICE 4
Des noyaux d’hélium 24H2+ de masse m sont émis sans vitesse à travers l’ouverture O1d’une plaque P.
Ils traversent successivement les régions (1) ;(2) et (3)
1) La région (1) est limitée par les plaques P et N entre lesquelles on applique une tensionU O = UPN . On
ne veut que les particules en passant par O2 aient une vitesse VO ayant la direction O1O2.
1.1) Préciser et justifier le signe de UO.
1.2) Déterminer l’expression de VO en fonction de m, UO et e.
Calculer VO.AN: m = 6,68. 1O-27kg ,‖U 0‖ = 2OOOV.
2) Les particules pénètrent dans la région (2) de longueur
L = 5O cm ou n’existe aucun champ électrique avec la vitesse
VO .
2.1) Quelle est la nature du mouvement dans cette région ?
2.2) Quelle est la durée du trajet dans cette région ?
3) Apres avoir franchi la région (2) les particules entrent en O dans la région (3). Entre les armatures
A et B distantes de d et de longueur l existe un champ électrique E crée par une tension UAB. On veut
que les particules sortent de cette région au point S. Déterminer le sens de E pour que S soit au dessus
de O’.
4)Etablir l’équation de la trajectoire dans le repère (O, i , j ) Faire apparaitre dans l’expression de
cette équation les tensions UAB et UO. En déduire la valeur de UAB pour que O’S soit égale à 5 mm et la
durée du trajet entre O2 et S. AN : l = 2O cm et d = 5 cm.
EXERCICE 5
1°) La cathode C d'un oscilloscope électronique émet des électrons avec une vitesse négligeable.
Les électrons sont accélérés entre la cathode C et l'anode P. Ils la traversent par l'ouverture O 1.
On établit une différence de potentiel Uo = Vp - Vc = 2000 V.
1.1) Déterminer la vitesse V0 des électrons à leur passage en O1.
Calculer sa valeur.
1.2) Indiquer, en justifiant votre réponse, la nature de leur mouvement au-delà de P, entre O 1 et O.
On admettra que le poids d'un électron est négligeable par rapport aux autres forces appliquées.
2°) Les électrons pénètrent en O entre les armatures horizontales A et B d'un condensateur.
Les armatures, de longueur L, sont distantes de AB = d.
On établit entre les armatures une tension positive U = UA - UB.
On donne :l = 4 cm ; d = 2 cm ; MO' = L
Charge de l'électron : q = - e = - 1,6 x 10-19 C
Masse de l'électron : m = 9,1.10-31 kg
2.1) Représenter sur un schéma le champ électrique ⃗ E et la force électrique ⃗f
qui agissent sur les électrons entre les deux armatures.
2.2) Déterminer l'accélération des électrons entre les deux plaques dans le système d'axes (Ox,Oy).
Etablir l'équation de leur trajectoire sous la forme y = Kx2 où K est une constante fonction de U, U0 et
d.
2.3) Exprimer en fonction de l , d et U0 la condition sur U pour que les électrons puissent sortir du
condensateur AB sans heurter une des armatures.
Calculer cette valeur limite de la tension U.
3°) Le faisceau d'électrons arrive ensuite sur un écran fluorescent E
situé à la distance L du centre de symétrie M des plaques.
3.1) Exprimer le déplacement Ym du spot sur l'écran en fonction de U, l , L, d et U0
N.B : On peut utiliser la propriété suivante :
la tangente à la trajectoire, à la sortie des plaques, passe par le point M.
3.2) On peut obtenir une déviation maximale Ym = 4 cm .
Sachant que la valeur de L est L = 40 cm, calculer la valeur de U qu'il faut alors appliquer entre les
plaques.
EXERCICE 6
Une particule α (42He 2+¿ ¿ ) pénètre dans le champ électrostatique uniforme créé par deux armatures
parallèles et horizontales de longueur ℓ =10 cm et distantes de d = 6 cm. La particule pénètre au milieu
des deux armatures avec une vitesse V0= 3.105 m/s qui fait un angle de α= 30° (vers le haut) avec
l'horizontale.
5.1. Faites une figure soignée et précisez la polarité des armatures pour que la particule soit déviée
vers le bas.
5.2. On néglige le frottement et le poids de la particule.
5.2.1. Déterminez son accélération et déduisez-en les équations paramétriques.
5.2.2. Déterminer l'équation cartésienne (formules). Précisez la nature du mouvement et de la
trajectoire.
5.3. Quelle est la condition d'émergence du champ de la particule?
5.4. Déterminez la tension U qu'il faut appliquer aux armatures pour que la particule sorte du champ
électrostatique à la même hauteur qu'elle y est entrée. 5.5. Calculez la tension accélératrice Uacc qui a
été nécessaire pour amener la particule en question à la vitesse de 3.105 m/s à partir du repos.
EXERCICE 7
1)La cathode (C) d’un oscillographe émet des électrons dont la vitesse à la sortie du métal est supposée nulle.
Les électrons arrivent ensuite sur l’anode (P) et la traverse par l’ouverture Oi avec une vitesse Vo horizontale
(voir figure). On applique une ddp. U0 = Vp - Vc entre l’anode et la cathode. On néglige le poids des électrons.
Etudier le mouvement des électrons entre C et P déduire U0 sachant que V0 =1,875.107ms-1
2)A la sortie de Ox les électrons pénètrent en O entre 2 armatures (A) et (B) d’un condensateur
plan de longueur L, sont distantes de d = 2 cm. Entre (A) et (B) on établit une tension U = VA -VB >
0
a)Indiquer le sens de E entre (A) et (B)
b )Etablir l’équation cartésienne de la trajectoire de l’électron et représenter son allure.
c)Soit Vs : vecteur vitesse des électrons à la sortie du condensateur calculer Vs
d)Déterminer l’angle a que fait Vs, avec l’axe (x’x)
3) Le pinceau d’électrons arrive ensuite sur un écran (E) situé à L, du centre I des plaques.
Calculer le déplacement Y du spot sur l’écran.
On donne :U0 = 1000V ;L=6 m ;L1=5m ;U=100V ;me= 9,1.10-31Kg ;e =1,6.10-19C ;d=2 cm
EXERCICE 8
Un électron animé, d’une vitesse ⃗
V 0 horizontale pénètre dans un champ uniforme ⃗
E au point O à la date t = 0. Il
sort du champ à la date t = 2.10-9 s au point S, puis produit un impact sur l’écran placé à la distance D de l’extrémité
des plaques (voir figure). La déflexion électrique Ym est telle que Ym = O’P = 50 mm.
1. Établir l’équation cartésienne de la trajectoire de l’électron dans le repère (O, x, y).
2. Déterminer la valeur V 0 du vecteur-vitesse ⃗
V 0 avec laquelle l’électron pénètre dans le champ ⃗
E.
3. Calculer la valeur du champ électrostatique ⃗E en utilisant l’expression littérale de Ym.
4. Déterminer la valeur de la tension UAB établie entre les plaques A et B.
On donne : d = 5 cm ; l = 10 cm ; D = 50 cm ; m = 9,1.10-31 Kg
N.B : On admet que la tangente de la trajectoire au point S passe par le point I, milieu des plaques.
EXERCICE 9
Un électron de masse m = 9,1.10-31 kg et de charge q = -e = -1,6.10-19C pénètre sans vitesse initiale, en un point
O d’une plaque verticale P1 et se trouve dans un champ électrique uniforme horizontal crée entre deux plaques
P1 et P2 verticales parallèles en regard telles que
|Vp2-Vp1| = |U| = 400 V. La distance entre les deux plaques est d = 10 cm. g = 9,8 m.s-2
1) Montrer que la valeur du poids de l’électron est négligeable devant la valeur de la force électrique.
2) Préciser le signe de la tension U.
3) Montrer que le mouvement de l’électron entre les deux plaques est uniformément accéléré.
4) En appliquant le théorème de l’énergie cinétique, déterminer la vitesse de l’électron lorsqu’il atteint le point
M au niveau de la plaque P2.
EXERCICE 10
Des électrons pénètrent en O, avec une vitesse horizontale de 2.107 m/s, entre deux plaques
horizontales P1 et P2, séparées par une distance d = 2 cm, et entre lesquelles est appliquées une tension
constante U = 140 V. On admettra que le champ électrique qui en résulte agit sur les électrons, sur
une distance L = 10 cm mesurée à partir du point O.
1) Comparer les valeurs du poids d’un électron et de la force électrique qu’il subit à l’intérieur du
champ électrique et conclure.
2) Donner les équations horaires x(t) et y(t) du mouvement d’un électron dans le repère (O,i⃗ , ⃗j ) entre
les plaques P1 et P2.
3) Établir l’équation cartésienne de la trajectoire d’un électron dans le repère (O,i⃗ , ⃗j ).
4) De quelle distance verticale des élections sont-ils déviés à la sortie au point A des plaques.
5) Ces électrons forment un spot sur un écran E vertical situé à la distance D = 25 cm du point O ?
EXERCICE 11
Un proton animé d’une vitesse ⃗
V 0 horizontale, suivant l’axe Ox, pénètre en O, entre les plaques AB et
A’B’ où règne un champ électrique uniforme de vecteur ⃗ E , vertical dirigé vers le haut
Exercice 1:
On considère un solide supposé ponctuel de masse m fixé à l’une des extrémités d’un ressort à spires non jointives, de
masse négligeable et de raideur
K = 40N/m, qui est enfilé sur une tige ; l’autre extrémité du ressort étant soudée en un point A. (fig)
1- On écarte le solide S de sa position d’équilibre d’une distance de 4cm et on l’abandonne sans vitesse initiale à un instant
que l’on prendra pour origine des temps. Le mouvement de S sera étudié dans le repère d’axe Ox dont l’origine O coïncide
avec la position du centre d’inertie G du solide à l’équilibre.
1.1- Etudier le mouvement du solide S et en déduire son équation différentielle (par 2 méthodes). (1pt)
L’expression de l’accélération a du solide est donnée en fonction de l’abscisse x à un instant t par la relation : a + 400x = 0.
1.2.1- Déduire la valeur de la pulsation du mouvement.
1.2.2- Calculer la masse m du solide.
1.3- Déterminer l’équation horaire du mouvement du solide S.
1.4-Calculer l’énergie cinétique maximale du solide S.
Exercice 2:
On prend pour origine des énergies potentielles de pesanteur le plan horizontal passant par l’origine O des abscisses et
pour origine des énergies potentielles élastiques l’énergie potentielle du ressort lorsqu’il n’est ni comprimé ni allongé.
2.1 Exprimer l’énergie potentielle de pesanteur Epp en fonction de m,g et x.
2.2 Exprimer l’énergie potentielle élastique du ressort Epe en fonction de m, g , x et K.
3°) Exprimer l’énergie mécanique Em du système (ressort - masse- terre) en fonction de m, g, x, V et K.
4°) Déterminer la nature du mouvement et écrire son équation horaire si à l’instant t = 0, x 0 = 0 et V0 = - 2m/s.
5°) Calculer la valeur de Em.
Exercice 3:
Un solide (S) de masse m = 150 g est suspendu à un ressort à spires non jointives. Ce dernier subit un
allongement x 0 = 4,9 cm.
1) Calculer la constante de raideur k du ressort .g = 9,8 m/s2.
2) Le ressort est maintenant disposé suivant l’horizontal ; le solide (S) est écarté de sa position d’équilibre de x 0
= 4,9 cm puis lâché sans vitesse initiale à l’instant t = 0.La position du centre d’inertie G du solide est repere à
l’instant t par son abscisse x dont la valeur est nulle lorsque le solide est en équilibre au repos.
2.1) En appliquant la seconde loi de Newton au solide (S), montrer que l’équation différentielle du mouvement
¨
de G est m x +kx=0
√
2 πt
2.2) Sachant que la solution de cette équation est de la forme x ( x ) =X m cos ( +φ) avec T 0=2 π m
T0 k
déterminer les valeurs de X m et φ .
2.3) Que représente T 0? Comment l’appelle-t-on ? Calculer sa valeur.
3) Donner l’expression de l’énergie mécanique de ce pendule élastique en fonction de sa position x et de sa
vitesse ẋ .
4) Montrer que l’énergie mécanique du solide (S) est constante. L’exprimer en fonction de k et x 0.Calculer sa
valeur.
Exercice 4:
On considère un ressort à spires non jointives (c'est-à-dire
O xm
x qu’il peut être étiré et comprimé) de masse négligeable et
de raideur k = 12,0 N∙m–1, fixé horizontalement à un mur
et dont l’extrémité libre est rattachée à une masse m = 100
g.
Cette masse, supposée ponctuelle et repérée par son centre de gravité G, est écartée de sa position d’équilibre
O, pour être lâchée sans vitesse initiale à l’origine du temps depuis l’abscisse positive xm.
Toutes les forces de frottement seront négligées dans cet exercice.
1)Donner l’expression littérale de l’intensité des forces qui s’exercent sur la masse en fonction de m, k, g et xm.
Préciser pour chacune d’elle, la direction et le sens.
d2 x
2
+ ω2⋅x =0
2) Montrer que l’équation différentielle du mouvement de m peut s’écrire : dt
Préciser l’expression de ω en fonction de m et k.
3) Montrer que la fonction x (t )=x m cos(ω⋅t+B ) est bien solution de cette équation différentielle.
On place une aiguille aimantée au point de rencontre O des axes de symétrie perpendiculaire des deux
aimants droits S1N1 et S2N2 . On néglige le champ magnétique terrestre. L’aiguille prend une position
d’équilibre stable telle que l’axe sn fasse l’angle α = 5O⁰
EXERCICE 8
On donne : μ0=4 π .10-7 S.I.
Un solénoïde de grande longueur L = 80 cm par rapport à son diamètre, comporte une couche de N
spires, isolées par un vernis d’épaisseur négligeable.
1) Rappeler l’expression de l’intensité ⃗B du vecteur champ magnétique crée par le courant au centre
de la bobine en fonction de N, L, μ0 et de l’intensité I du courant qui parcourt les spires.
2) Représenter sur la figure 2 de la page 4 le sens du courant dans les spires et préciser les faces de la
bobine.
3) L’axe Δ est perpendiculaire au méridien magnétique du lieu de l’expérience, la valeur de la
composante horizontale du vecteur champ magnétique terrestre est ⃗ B H = 2.10-5 T.
Une petite aiguille aimantée sn, mobile autour d’un axe vertical, et placée au centre de la bobine se
stabilise dans une position d’équilibre telle que l’angle de la ligne sn et de l’axe Δ soit α=1°.
a) Exprimer ⃗ B en fonction de ⃗
B H et α
b) Déterminer le nombre N de spires de solénoïde sachant que l’intensité du courant I = 3,647 A
EXERCICE 9
On désire étudier le champ magnétique à l'intérieur d'un solénoïde.
I - étude qualitative :
NB : sur la figure 4 on a représenté quelques spires visibles avec le sens du courant.la flèche (SN) est une
aiguille aimantée.
1) a) Sur la figure 4 de la page 4, préciser les faces de solénoïde, le sens du champ magnétique dans le solénoïde
et dessiner l’aiguille aimantée (SN) au point M en précisant clairement son orientation et ses pôles Nord et Sud.
b) On place ensuite cette aiguille aimantée au point P. Son orientation va-t-elle changer ? Justifier.
II - étude quantitative :
On place maintenant en un point intérieur au solénoïde une sonde permettant de mesurer l'intensité notée ⃗ B du
champ magnétique créé par un courant électrique continu d'intensité I qui parcourt le solénoïde. On fait varier
I et on mesure ⃗Bpour diverses valeurs de I. On trace ensuite le graphe représentant les variations de ⃗
B en
fonction de I :
EXERCICE 10
On néglige le champ magnétique terrestre.
1/ Un solénoïde (S) d’axe horizontal (X’X) et de longueur L = 0.5 m est parcouru par un courant
électrique d’intensité I1 = 6.36A. Le vecteur champ magnétique ⃗ B1 au centre de (S) est dirigé de O
vers X’ et de valeur ||⃗ -3
B1|| = 8.10 T. (voir figure 1)
a/ Reproduire la figure (1) et la compléter en indiquant le sens du courant et les faces du solénoïde.
Expliquer.
X X’
O
X X’
O
a/ Quelle est la position prise par l’aiguille en absence du courant dans (S). (position 1).
b/ On fait passer un courant d’intensité I1 = 6.36 A dans (S). On remarque que l’aiguille dévie d’un
angle α = 30° (position 2).
1. Justifier la déviation de l’aiguille et préciser le sens de cette déviation. Faire un schéma.
2. Calculer la valeur du vecteur champ magnétique ⃗ Ba créé par l’aimant (SN) au point O.
c/ On inverse le sens du courant dans (S), l’aiguille dévie d’une angle β à partir de la position (2),
déterminer β.On donne µ0 = 4π 10-7 (SI)
EXERCICE 11
Un solénoïde (bobine cylindrique d’axe horizontal) de grande longueur L par rapport à son diamètre D,
comporte une couche de fil, isolé par un vernis d’épaisseur négligeable, à spires jointives. Le diamètre du fil est
d.
1) Exprimer, en fonction de l’intensité I du courant qui parcourt les spires, l’intensité ⃗
B du vecteur
champ magnétique crée par le courant au centre de la bobine.
2) Représenter sur un schéma le sens du courant dans les spires, la direction et le sens du vecteur
champ magnétique ⃗ B correspondant.
3) L’axe Δ est perpendiculaire au méridien magnétique du lieu de l’expérience, la valeur de la composante
-5
horizontale du vecteur champ magnétique terrestre est BH = 2.10- T.
Une petite aiguille aimantée sn, mobile autour d’un axe vertical, et placée au centre de la bobine se
stabilise dans une position d’équilibre telle que l’angle de la ligne sn et de l’axe Δ soit α=60°.
Quelle est l’intensité I du courant les spires ?
4) On remplace le solénoïde précédent par une autre bobine de même dimensions, mais comportant deux
couches de fil à spires jointives, bobinées avec le même fil isolé de diamètre d. L’axe Δ de cette nouvelle bobine
est encore normal au méridien magnétique du lieu de l’expérience et la bobine est parcourue par un courant de
même intensité I que celle calculée à la question c).
Quel angle d’équilibre α’ fait l’aiguille aimantée placée au centre de la bobine avec l’axe Δ ?
EXERCICE 12
On donne ; μO = 4π .1O-7 SI
Un solénoïde S est constitué d’un enroulement de 1OOO spires sur une longueur de 1,2 m ; il est
traversé par un courant d’intensité I1 = 3,82 A.
1)Donner les caractéristiques du vecteur champ
magnétique ⃗ B à l’intérieur du solénoïde et en son centre.
2)L’axe Δ du solénoïde est placé perpendiculairement
au méridien magnétique (voir figure) Quand on fait
passer un courant d’intensité I1 dans le solénoïde, une
petite aiguille aimantée placée au centre tourne d’un angle Ѳ.
Indiquer sur un schéma clair le sens du courant dans le solénoïde, le sens de déviation de l’aiguille et
calculer Ѳ. On donne BH = 2.1O-5 T
EXERCICE 13
Une petite aiguille aimantée horizontale mobile autour d’un axe vertical est placée au centre C d’un
solénoïde de longueur 5O cm, comportant 4OO spires. L’axe de ce solénoïde horizontal est
perpendiculaire au plan méridien magnétique du lieu.
Lorsqu’un courant parcourt le solénoïde, l’aiguille aimantée tourne d’un angle α = 6O⁰.
1) Faire le schéma vu de dessus en indiquant :
a)Le sens du courant ;
b)Les vecteurs qui représentent
La composante horizontale du champ magnétique terrestre ⃗ BH, au point C
Le champ magnétique ⃗ BS crée par le solénoïde au point C ;
La position initiale de l’aiguille aimantée, avec ses pôles ;
La position finale de l’aiguille aimantée
2) calculer l’intensité du courant qui parcourt le solénoïde.
Données : BH = 2.1O-5 T ; μO = 4π .1O-7 SI
EXERCICE 2:
Le schéma représente, en vue de dessus, l'expérience des rails de Laplace.
Le générateur a une f.é.m E= 6,0 V et une résistance interne R=0,30 Ohm. La barre mobile MN de
résistance négligeable, ferme le circuit entre les deux rails. Elle est placée dans l'entrefer d'un aimant
en U (de largeur d=40mm) centrée sur la barre où règne un champ magnétique uniforme de valeur
B=0;10 T.
1. Comment doit-on placer l'aimant en U pour obtenir le champ magnétique tel qu'il est représenté
sur la figure ?
2. a. Déterminer le sens du courant dans le circuit et la valeur I de l'intensité.
.b. Quelles sont les caractéristiques de la force de Laplace qui s'exerce sur la barre ?
3. Cette barre est reliée à un ressort d'axe horizontal, parallèle aux rails et fixé au centre de la barre.
La force de Laplace provoque un allongement delta l du ressort.
.a. Schématiser le nouveau dispositif
.b. Sachant que l'allongement du ressort est delta l = 2,0 cm et que sa raideur est k = 0,50 N/m,
retrouver la valeur B du champ magnétique créé
EXERCICE 3 :
On néglige les forces de frottement et le champ magnétique terrestre.
Deux barres conductrices sont disposées parallèlement suivant la ligne de plus grande pente d'un plan
incliné d'un angle sur l'horizontale. Elles sont distantes de L; leurs extrémités supérieures sont
reliées entre elles par un générateur G et par un interrupteur K. Une barre MN conductrice est posée
perpendiculairement sur les deux barres précédentes. Le contact électrique se fait en M et N. On crée
dans la région où se trouve la barre MN un champ magnétique uniforme perpendiculaire au plan
des rails. On ferme K. Un courant d’intensité I circule dans le montage.
1)Représenter les forces exercées sur la barre MN pour qu’elle puisse être en équilibre (on peut
utiliser la vue de droite). Déduire le sens de
2)La barre MN a une masse m =10 g et pour qu’elle soit en équilibre il faut que l’intensité du courant
soit égale à I1=10 A.
a-Etablir la condition la condition d’équilibre de la barre MN.
b-Exprimer la norme de en fonction de I1 , L, m, g et pour que la barre reste en équilibre.
EXERCICE 4
Une tige de cuivre KM, de masse m, homogène et de section constante, est placée dans un champ
magnétique uniforme ⃗ B sur une longueur l, et parcourue par un courant d’intensité I. On admet que
la tige ne peut que glisser sans frottement sur ses rails. Déterminer dans quel sens et de quel angle α
on peut incliner les rails AD et CE pour que la tige soit en équilibre, dans les deux cas suivant :
1) ⃗Breste orthogonal aux rails.
⃗
2) Breste vertical.
EXERCICE 5
A) Rappeler les caractéristiques de la force de Laplace s’exerçant sur une tige de longueur l plongée
dans un champ magnétique uniforme ⃗ B faisant un angle α avec la tige et parcourue par un courant
d’intensité I
B) Deux rails parallèles AD et A’D’, distantes de l = 12 cm, sont disposées selon des lignes de plus
grande pente d’un plan faisant un angle θ = 8° avec le plan horizontal. Les deux rails sont reliées à un
générateur électrique, et le circuit est fermé par une tige T de masse m = 32 g qui peut glisser sans
frottement sur les rails en restant horizontale. Le circuit est alors parcouru par un courant d’intensité
constante I = 2 A.
1) Le rectangle ADD’A’ est plongé dans un champ magnétique ⃗ B uniforme et vertical.
a) Préciser les trois forces qui s’exercent sur la tige T
b) Représenter, sur la figure 1 de la page 4, ces trois forces dans le cas où la tige reste en équilibre
(immobile).
c) En déduire le sens du vecteur champ magnétique ⃗ B
d) Exprimer la norme‖ du champ magnétique ⃗ B. Calculer ⃗
B. L’intensité de la pesanteur est g=10
N/kg.
2) Dans le cas où ⃗B est perpendiculaire au plan des rails, doit-on augmenter ou diminuer l’intensité I
du courant pour maintenir la tige T en équilibre ? Justifier.
EXERCICE 6 :
Un fil de cuivre rigide, rectiligne, homogène, de longueur l et de masse m, peut se déplacer dans un
plan vertical autour d’une de ses extrémités. L’autre extrémité plonge dans un bac de mercure qui
permet de maintenir le contact électrique avec un générateur de tension continue. L’intensité du
courant dans le circuit est I. Le dispositif est placé dans un champ magnétique uniforme ⃗⃗⃗ , horizontal
et orthogonal au plan de la figure.
1) décrire le mouvement de la tige dans les trois cas suivants :
I=0, B ≠0 ; I≠0, B =0 ; I≠0, B ≠0.
2) On néglige la longueur de la partie de la tige situé dans le mercure. On admet que la droite d’action
de la force électromagnétique passe par le milieu de la tige. Calculer la déviation angulaire de cette
tige quand elle atteint sa position d’équilibre.
On donne : I= 6 A ; B= 2.10-2 T ; l = 10 cm ; m = 8 g ; g = 10 N./kg-
EXERCICE 7 :
Deux rails conducteurs rectilignes sont disposés horizontalement, parallèles entre eux et sont distants
d'une longueur L=10cm. Une tige de cuivre cylindrique de masse m=30g est libre de rouler sur ces
deux rails et assure entre eux un contact électrique. La résistance électrique du circuit ainsi formé est
négligeable. Cette tige est placée dans l'entrefer de l'aimant en U qui crée un champ magnétique
uniforme et vertical autour de la tige. Sa valeur
est B=100mT. Les deux rails sont reliés aux bornes d'un générateur continu de force électromotrice
E=12V et de résistance interne r=1 ohm.
1. Faire le schéma du dispositif en indiquant le sens du courant, du champ magnétique, de la force de
Laplace.
2. Quelle est la valeur de la tension électrique aux bornes du générateur ? Calculer la valeur de
l'intensité I du courant dans la tige.
3.Calculer la valeur de la force de Laplace qui s'exerce sur la tige.
Les rails sont à présent inclinés d'un angle de 10° par rapport à l'horizontale. L'intensité I' du courant
dans la tige est suffisante pour qu'elle reste immobile sur les rails.
4.Ecrire la relation entre les forces agissant sur la tige, en projection sur un axe perpendiculaire à la
tige.
5. Calculer la valeur de l'intensité I'. En déduire la valeur de la résistance R du rhéostat qu'il faut
placer en série avec les rails pour obtenir cette
EXERCICE 8 :
Deux rails métalliques, parallèles, horizontaux PP' et QQ', distants de 20 cm, sont reliés à un
générateur de courant continu de f.e.m. E = 4 V et de résistance interne r. Sur ces deux rails une tige
métallique MN peut glisser sans frottement en restant perpendiculaire aux rails. Le circuit est
parcouru par un courant d'intensité I = 0,5 A et sa résistance équivalente a pour valeur R = 6 .
L'ensemble est plongé dans un champ
magnétique uniforme, d'intensité B = 0,5 T, perpendiculaire au plan des rails.
1- Indiquer le sens du courant.
2- Déterminer la valeur de la résistance interne du générateur.
3- Déterminer les caractéristiques de la force exercée sur la tige. La représenter.
EXERCICE 9
Deux rails métalliques, parallèles, horizontaux AA' et CC', distants de 10 cm, sont reliés à un
générateur de courant continu de f.e.m. E et de résistance interne r = 1Ω.
Sur ces deux rails une tige métallique MN peut glisser sans frottement en restant perpendiculaire aux
rails. Le circuit est parcouru par un courant d'intensité I = 0,5 A.
La résistance équivalente au circuit extérieur au générateur est constante et vaut R = 11Ω .
Lorsque l'ensemble est plongé dans un champ magnétique uniforme, d'intensité B = 0,5 T,
perpendiculaire au plan des rails, la tige se déplace vers la droite du schéma.
1- Indiquer le sens du courant circulant dans la tige.
2- Déterminer la valeur de la f.e.m. du générateur.
3- Déterminer les caractéristiques de la force exercée sur la tige. La représenter.
4- Déterminer le sens du champ magnétique. Le représenter sur le schéma.
EXERCICE 10
Dans tout l'exercice on négligera le champ magnétique terrestre
Un cadre rectangulaire (CDEF) indéformable comportant N = 100 spires est suspendu à un dynamomètre
(électriquement isolé). Il se trouve partiellement plongé dans un champ magnétique uniforme ⃗⃗ qu'il restera
perpendiculaire au plan vertical du cadre.
On admet que le champ est limité par le rectangle (MNPQ) comme l'indique le schéma. Les brins horizontaux
CF et DE ont une longueur l = 5,0 cm.
Lorsqu'on établit un courant d'intensité constante I = 0,50 A, l'ensemble prend une position d'équilibre et
l'indication du dynamomètre augmente de 0,50 N. on supposera que les fils destinés à amener le courant ne
perturbent pas l'équilibre du centre dont le plan reste fixe.
Le courant circulant dans le conduit DE de D à E
La force de Laplace agit verticalement vers le bas sur le brin DE
1) Préciser, sur la figure 1 , le sens du vecteur champ magnétique ⃗ B.
2) Préciser les sens des forces qui s’exercent sur les brins verticaux. En déduire que les forces s’exerçant sur les
brins verticaux du cadre n’ont aucune action sur son en équilibre.
3) Calculer la valeur de vecteur champ magnétique ⃗ B.
4) Que se passe-t-il si le cadre est entièrement plongé dans le champ magnétique ⃗ B et si on maintient le courant
précédent?
MOUVEMENT DE PARTICULES DANS UN CHAMP MAGNETIQUE
EXERCICE 1:
Dans cette partie, on négligera le poids de particules chargées.
Un faisceau de particules de charge q=1,6.10-19 C et de masse m=1,6.10-27Kg pénètre par le trou A d'un
accélérateur (zone 1) avec une vitesse nulle. Ces particules chargées sont accélérées sous l'action d'une d.d.p
positive U=UPN=200V établie entre les plaques parallèles et verticales P et N.
Elles parviennent au trou C avec une vitesse de valeur VC.
1)Etablir l'expression de vC en fonction de q; m et U. Faire l'application numérique.
2)Le faisceau pénètre ensuite dans une région où règne un champ magnétique uniforme (zone 2) dans laquelle il
décrit un quart de cercle de rayon R=20cm avant de passer à travers le trou D.
a-Etablir l'expression de la valeur du champ magnétique en fonction de m; q; R; vC puis en fonction de U; R et
vC. Faire le calcul numérique.
b-Donner les caractéristiques (direction et valeur) du vecteur vitesse des particules à la traversée du trou D.
3)Le faisceau de particules pénètre enfin dans une région dans laquelle règne un champ électrostatique
uniforme parallèle à l'axe Oy (zone 3).
a-Etablir les équations horaires du mouvement projeté sur les axes Ox et Oy.
b-En déduire l'équation et la nature de la trajectoire.
c-Sachant que le faisceau de particules sort par le trou H situé à la distance R=20cm du point O. Exprimer dans
cette condition la valeur du champ électrostatique en fonction de m; q; VC et R puis en fonction de U et R. Faire
l'application numérique.
EXERCICE 2:
La partie accélératrice d'un spectrographe de masse est constituée de deux plaques conductrices P1 et P2
verticales et parallèles. On applique entre ces deux plaques une tension électrique positive U. une
particule de masse m et de charge q positive, arrive au niveau de la plaque P1 avec une vitesse quasi-nulle.
Elle arrive au niveau de la plaque P2 avec une vitesse horizontale⃗V 0 . Elle pénètre ensuite avec cette vitesse dans
un champ magnétique de valeur B.
1) a) Sur le schéma de la page 3, représenter les signes des charges des plaques accélératrices P 1 et P2, le sens du
vecteur champ électrique ⃗ E.
b) Montrer que la valeur de la vitesse à la sortie du champ électrique s'exprime par V 0=
2) a) Rappeler les caractéristiques de la force de Lorentz.
√ 2 qU
m
EXERCICE 4:
Deux plaques métalliques notées A et B, de coté, sont placées parallèlement et horizontalement l’une
et l’autre dans une enceinte où règne un vide poussé.
La distance entre les deux plaques est notées d. (voir figure).
Un faisceau homocinétic1ue de protons pénètre, entre les plaques A et B, au point O avec une vitesse
initiale horizontale et de valeur V0. Soient q et m respectivement la charge et la masse d’un proton.
1. Donner la direction et le sens du vecteur champ électrique créé entre les plaques A et B pour que le
faisceau de protons soit dévié vers le haut (point S du schéma).
2. Quel est alors le signe de la tension U?
3. Etablir la trajectoire d’un proton entre O et S. Préciser sa nature.
4. Les protons sortent du champ au point S et sont reçus en I sur un écran placé perpendiculairement
à l’axe. Quelle est la nature de leur trajectoire entre les points S et I?
EXERCICE 5:
Des ions AZ X +¿ ¿ et AZ X +¿ ¿ d’atomes isotopes, créés dans une chambre d’ionisation avec une vitesse
1 2
négligeable, sont accélérés par une d.d.p U0. Ils sont ensuite envoyés dans une chambre de déviation
où règne un champ magnétique uniforme B. L’impact des deux types d’ions sur une plaque
photographique se fait respectivement aux points M1 et M2.
Montrer que la relation entre les distances OM1 et OM2 peut se mettre sous la forme :
OM 1
OM 2 √
= 1
A
A2
EXERCICE 6:
D = 40 cm ; ℓ = 1 cm ; d = 10 cm ; m = 9,1.10-31 kg ; E = 5.104 V.m-1.
Dans tout l’exercice, on négligera le poids de l’électron devant les autres forces qui agissent sur lui.
1) Des électrons de masse m et de charge q sont émis sans vitesse initiale par la cathode (C). Ils
subissent sur
la longueur
d, l’action du champ électrique uniforme E .
a) Quelle est la nature du mouvement de l’électron entre la cathode (C) et l’anode (A)?
b) Que vaut la vitesse V0 d’un électron au point O1 ?
2) Arrivés en O1, les électrons subissent sur la distance l l’action d’un champ magnétique uniforme
B perpendiculaire au plan de la figure (le domaine où règne ce champ B est hachuré).
Quel doit être le sens du vecteur B pour que les électrons décrivent l’arc de cercle O 1N? Justifier la
réponse.
Établir l’expression du rayon R = O’O1 = O’N de cet arc de cercle. A.N: Calculer R pour B = 2.10-3 T.
3) Quelle est la nature du mouvement de l’électron dans le domaine III où n’existe aucun champ ?
4) Le domaine III est limité par un écran (E) sur lequel arrivent les électrons. Exprimer en fonction
de m, e, B, D, ℓ et V0 la déflexion magnétique O3 I = Y subie par un électron à la traversée du système
II +III.
La droite IN coupe l’axe O1O2 au point M. L’écran E est à la distance D de ce point M.
On fera les hypothèses simplificatrices suivantes :
- dans le domaine II de l’espace, on peut confondre la longueur de l’arc avec la longueur O1O2 = ℓ où
règne le champ ⃗ B
- on supposera que la déviation angulaire est faible.
Sachant que Y= 3,35 cm, retrouver la valeur v0 de la vitesse de l’électron au point O1.
EXERCICE 7:
Entre deux plaques A et B, distantes de d=5cm on établit une tension de valeur absolue U=1kV. La
plaque A comporte un orifice O1 et la plaque B un orifice O2 tels que la droite (O1O2 ) soit parallèle au
champ électrique. Un électron de masse me=9,1.10-31kg et de charge q= - 1,6.10-19C est mis en
mouvement rectiligne
uniformément accéléré à partir de l’orifice O1 où sa vitesse est supposé nulle.
1- a- Monter que la valeur du poids ⃗ P de l’électron est négligeable devant celle de la force électrique
⃗
Fe qui s’exerce sur l’électron.
b- Préciser, en le justifiant, le signe de UAB .
2- En appliquant le théorème de l’énergie cinétique, déterminer la valeur de la vitesse ⃗ V 0 de l’électron
à sa sortie en O2.
3- A la sortie de O2, à t=0s, l’électron pénètre entre les deux plaques P et N distantes de l= 2cm avec
une
vitesse ⃗
V 0 ; Entre ces deux plaques de longueur l =1cm est appliquée une tension UPN = 10V.
a- Etablir les équations horaires du mouvement.
b- Déduire l’équation de la trajectoire.
4- A la deuxième sortie, au point M, l’électron entre dans une région où il n’y a pas de champ, elle
subit un mouvement rectiligne uniforme.
a- Calculer la vitesse⃗V M de la sortie au point M.
b- Calculer, avec deux méthodes, la déviation α de l’électron.
c- Déduire la déflexion Y sur l’écran.
EXERCICE 8:
Des ions 19 K ¿ et 19 K ¿ pénètrent par l’ouverture O1 suivant l’axe O1x avec la vitesse ⃗
A +¿ A +¿
1 2
V c (voir figure).Ila
passent entre deux plaques parallèles P1 et P2 distante de d et qui permettent d’obtenir un champ électrique ⃗ E
crée par une tension U =V P −V P .Dans toute la région où règne le champ électrique ⃗
1 2
E ,on produit également
un champ magnétique uniforme ⃗ B0 perpendiculaire à ⃗ E et à O1x.
E
1) Montrer que les ions dont la vitesse est V C = ne sont
B0
pas déviés et sortent par l’ouverture O. Calculer VC pour
B0 =0,1T ;d =5cm et U =500V.
A +¿
2) Les ions 19 K ¿ de masse m1 et de charge q sortent du
1
EXERCICE 9:
Les particules se propagent dans le vide et on néglige leur poids devant les autres forces.
24 2+
1) Des ions Mg produits dans une chambre d’ionisation pénètrent sans vitesse dans un accélérateur
constitué de deux plaques métalliques P et P’ entrent lesquelles est appliquée une tension électrique réglable U
= VP-VP’.
a)Déterminer le signe de la tension U pour que les ions soient accélérées de P vers P’.
b) Etablir l’expression de la vitesse de l’ion à son passage par le point O en fonction de m,e et U. La calculer
2) A la sortie de l’accélérateur les ions passent dans un champ magnétique ⃗ B ,perpendiculaire au plan de la
figure, crée dans une zone carrée ABCD de coté a. Les ions pénètrent dans cette zone au point O milieu de AD.
a)Déterminer le sens du champ magnétique ⃗ B pour que les ions soient déviés vers le haut.
b) Montrer que le mouvement, dans le champ magnétique, des ions est uniforme et circulaire. Déterminer
l’expression du rayon de la trajectoire en fonction de e,U,B et m. Calculer sa valeur.
c)Calculer la valeur de la déviation angulaire α.
3) Calculer la valeur de U’ de la tension pour que les ions sortent par le trou O’ après avoir décrit un quart de
cercle de rayon AO = AO’.
4) A quelle valeur U’’ faut-il régler la tension entre les plaques P et P’ pour faire sortir dans les mêmes
23 2+ 24 2+
conditions par la fente O’ des ions Mg isotopes de Mg .
−27
Données :a = 5cm ;B = 0,2T ;U = 5000V ;e = 1 , 6.10−19 C ;m p=1 , 67.10 Kg.Bac D 2011
EXERCICE 10:
1) Un proton de charge q pénètrent au point A dans la région 1 de largeur l où règne un champ magnétique
B avec la vitesse horizontale ⃗
uniforme ⃗ V0 .
a)Déterminer le sens de ⃗ B pour que le proton sort du champ magnétique au point O.
b)Montrer que le mouvement du proton est un mouvement circulaire uniforme et donner l’expression du rayon
R de la trajectoire.
c)Placer sur le schéma l’angle de déviation α et calculer sa valeur.
d)Préciser les caractéristiques du vecteur vitesse au point de sortie O.
2)A la sortie de la région 1,le proton pénètrent dans la région 2 où règne un champ électrique uniforme ⃗ E qui
existe entre deux plaques P1 et P2 distantes de d et de longueur L.
a)Déterminer le signe de la tension U = VP1-VP2 pour que le proton passe par le point O’.
b)Etablir l’équation de la trajectoire du mouvement du proton dans la région 2.
c)trouver les coordonnées du point le plus bas C de la trajectoire sachant que le proton n’atteint pas le point P 2.
4 −1 5 −1 −27 −19
On donne :V 0=10 m. s ; B=0 , 2 T ; E=10 V . m ; m p=1, 67.10 Kg ; e=1 ,6.10 C
EXERCICE 11:
3 2+¿ A 2+¿
Des ions 2 H ¿ et 2H ¿ sont produits en un point A avec une vitesse nulle. Ils sont d’abord accélères entre
les plaques P1 et P2 par une tension U=VP1-VP2 qui leurs permet de traverser le trou B avec une vitesse non nulle
puis pénètrent en O dans un champ magnétique uniforme ⃗ B orthogonal au plan de la figure.Le champ ⃗ B
n’existe que dans une zone de largeur
l=1 , 5 cm.
1-a-Quel doit être le signe de U pour que les ions traversent le trou B. Justifier
3 2+¿
b-Etablir l’expression de la vitesse V1 de l’ion 2 H ¿ au trou B en fonction de sa masse m1,de sa charge q et
de la tension U. Calculer V1.
A.N :e=1 , 6.10−19 C ,|U|=100V , mp=1 , 67.10−27 Kg , B=3.10−3 T .
2-Les ions 32 H 2+¿ ¿ pénètrent en O dans le champ magnétique uniforme ⃗ B avec une vitesse V1.
¿ dans le champ ⃗
3 2+¿
a-Quelle est la nature du mouvement de 2 H B?
3 2+¿
b-Trouver l’expression du rayon r1 de la trajectoire de 2 H ¿ en fonction de B,e,m1 et U. Calculer r1.
c-Soit α 1 l’angle que fait la trajectoire de l’ion 32 H 2+¿ ¿ après sa sortie du champ magnétique ⃗ B avec l’axe Ox ;
calculer l’angle de déviationα 1.
3-En fait les trajectoires des deux ions 32 H 2+¿ ¿ et A2H 2+¿ ¿ sont différents. Soient m2la masse de l’ion A2H 2+¿ ¿ et r2
de sa trajectoire .
A 2+¿
α2
a-α 2 étant la déviation angulaire de l’ion 2H ¿ ,montrer que le rapport ne dépend que des masses m1 et
α1
m2.On suppose que les deux angles sont petits (sin α=tan α=α (rad )¿ ¿
b-Calculer la masse atomique A de l’ion 2H ¿ sachant que α 2=0,216 rad
A 2+¿
EXERCICE 12 :
Des particules pénètrent dans un champ magnétique après avoir été accélérées par un champ électrique à
partir d’une vitesse négligeable .Dans le carré PQRS de 5cm coté ,la champ magnétique ⃗ B orthogonal au plan
du carré est constant d’intensité 2,5T.A la sortie du champ électrique, les particules entrent en P dans le champ
magnétique avec une vitesse ⃗ V O colinéaire à ⃗
PQ (voir figure)
2+ ¿¿
Les particules son des noyaux d’hélium He .
a)Préciser le sens de ⃗
B pour que les particules parviennent en R.
Déterminer la nature de la trajectoire des particules entre P et R.
b) Déterminer la valeur du vecteur vitesse ⃗ V O d’injection des particules
en P dans le champ magnétique et préciser les caractéristiques de leur vitesse au point R. Calculer la valeur de
la tension accélératrice U nécessaire pour obtenir ⃗ V O .On donne m He =6 ,64. 10 Kg ¿
2+ ¿ −27
EXERCICE 13 :
On considère le dispositif ci-contre plongé dans le vide. Un faisceau d’électrons, émis au point M de la plaque
A, est accéléré par la différence de potentiel entre les plaques A et A’.Les électrons traversent le trou en M’
avec la vitesse v=1000km/s/.Les électrons entrent ensuite dans une enceinte carré de coté a=1m. Cette enceinte
comporte quatre trous T1,T2,T3 et T4 au milieu de chacun de ses cotés. Il y règne un champ magnétique
uniforme ⃗ B perpendiculaire au plan de la figure
1-Quel est le signe de la tension UAA’ ?
2-Quelle est en joule l’énergie d’un électron en M’ ?Et en electron-volt ?
3-Les électrons décrivent un quart de cercle et sortent par l’ouverture T 2.
3.1-Donner l’expression de la force qui s’exerce sur l’électron de vitesse ⃗
V O dans le champ magnétique ⃗ B .Quel
est le sens de ⃗
B?
3.2-Donner l’expression de l’intensité B du champ magnétique en fonction de V0,q, a et me. Effectuer
l’application numérique.
4-On supprime le champ magnétique précédent et on applique à présent un champ électrique uniforme ⃗ E
vertical, de manière que les électrons sortent part le trou T3.
4.1-Etablir l’équation de la trajectoire des électrons dans l’enceinte carrée.
4.2-Donner l’expression de l’intensité du champ électrique en fonction de V0,q,a et me. Effectuer l’application
numérique.
5-On applique cette fois simultanément un champ magnétique et un champ électrique dans l’enceinte carrée.
Ils conservent les directions respectives qu’ils avaient dans les questions précédentes. Quelle relation doit
vérifier leurs normes pour que les électrons sortent sans déviation par le trou T 4 ? Cette relation était-elle
vérifiée par les champs des questions précédentes ?
−31 −19
On donne m e =9 , 1.10 Kg ; q=−1 ,6. 10 C
EXERCICE 14
+¿¿
Des protons H de masse m = 1,67.10-27 kg sont produits par une chambre d’ionisation. On néglige les forces
de pesanteur. Ces protons pénètrent en S sans vitesse initiale dans un accélérateur linéaire où ils sont soumis à
un champ électrique uniforme ⃗B créé par une tension U = V C – V A (voir schéma ci-dessous).
1) En appliquant le théorème de l’énergie cinétique, exprimer la norme ⃗ V 0 de la vitesse du proton à la sortie du
champ électrique en fonction de m, U et la charge élémentaire e.
2) Les protons pénètrent ensuite en O avec une vitesse , dans un domaine limité par deux plans P et P’ où règne
un champ magnétique uniforme ⃗ B orthogonal à la vitesse .
a) Qu’appelle-t-on la force magnétique subie par un proton entre P et P’. Calculer sa norme.
e = 1,6.10-19 C ; U = 10 kV ; B = 0,5 T
b) Montrer que le mouvement des protons est uniforme et circulaire entre P et P’. Exprimer le rayon R de leur
trajectoire en fonction de m,⃗ B , e et U.
c) On admet que la distance l entre les plans P et P’ est négligeable devant la distance L entre O et l’écran et
que les protons sortent par P’ et viennent heurter l’écran en M. Sachant que la déviation magnétique s’exprime
par α=l/R exprimer la déflexion magnétique Y = O’M en fonction de l,⃗ B, L, e, U et m.
d) Pour empêcher les protons d’atterrir sur l’écran, on augmente la largeur du champ magnétique.
Préciser la largeur minimale l1 de la région entre P et P’ que les protons
EXERCICE 15:
Dans le dispositif ci-dessous règne un vide poussé. La force de pesanteur sera négligée par rapport aux autres
forces. un faisceau homocinétique de protons d’abord accéléré par une tension appliquée entre deux plaques
A et C pénètre en O à une vitesse VO = 8OO km/s dans une enceinte de section carrée de coté 2 r = 5O cm ou
les ouvertures sont situées aux milieux des cotés .Le proton est
une particule de masse m = 1,67.1O-27kg et de charge
q = 1,6.1O-19 C
1.1)Quel doit être le signe de la différence de potentiel
U = VA – VC ?
1 .2)Calculer en joule et en électronvolt l’énergie cinétique
d’un proton qui franchit l’ouverture O.
2.) dans cette enceinte règne un champ magnétique uniforme ⃗ B pour que les protons décrivent à la vitesse
constante VO un quart de cercle de rayon r avant de sortir par l’ouverture M.
2.1) donner l’expression de la force ⃗ F qui s’exerce sur un proton de vitesse ⃗ V O dans le champ magnétique ⃗ B.
2.2) Préciser la direction et le sens de ⃗B.
2.3) Etablir l’expression de la valeur de B du champ magnétique en fonction de VO , q , m et r .Calculer B.
3) on supprime le champ magnétique précédent et on applique maintenant un champ électrique uniforme ⃗ E
pour que le faisceau franchisse l’ouverture N après avoir décrit une trajectoire parabolique dans le repère
(Ox, Oy) .
3.1) Donner l’expression de la force ⃗ F ’qui s’exerce sur un proton dans le champ électrique uniforme ⃗E
⃗
3.2) Préciser la direction et le sens de E .
3.3) Donner l’expression de la valeur E du champ électrique en fonction de m,VO , q et r . Calculer
numériquement E.
4) Les champ ⃗ E et ⃗
B , conservant les directions et sens précédents , sont appliqués simultanément . Quelle
relation doit vérifier leurs valeurs pour que les protons sortent du dispositif par l’ouverture P sans être
déviés ?
EXERCICE 3
Un spectrographe de masse est composé de 3 enceintes notées (I) , (II) et (III) sur la figure ci-dessous
1)Des ions potassium K+ pénètrent sans vitesse initiale dans l’enceinte (I) par l’ouverture O1 et sont
ensuite accélérés par une tension UAB =U appliquée entre les plaques A et B. Etablir l’expression de la
vitesse v des ions à leur sortie en O2 en fonction de leur charge q et de leur masse m.
2)Ces ions pénètrent par l’ouverture O2 dans l’enceinte (II) ou règne simultanément un champ
électrique ⃗
E et un champ magnetique ⃗ B dont les directions et sens sont indiquées sur le schema.
a)Déterminer les caractéristiques (direction, sens et module) des forces électrique ⃗ F e et magnétique
agissant sur un ion K+ à son entrée en O2.
E
b)En déduire que seuls les ions dont la vitesse et telle que v = pourront sortir par l’ouverture O3.
B
c)Les valeurs de E et B sont fixées : E = 5.1O4 V/m et B = O,5 T. Quelle tension doit-on donner à la
tension accélératrice U pour sélectionner les ions de l’isotope 3919 K
+
-19 -27
On donne : e = 1,6.1O C. mn = mp= 1,67.1O kg
3)Les ions ainsi sélectionnés pénètrent dans l’enceinte (III) par l’ouverture O3 et ne sont plus soumis
qu’au seul champ magnétique ⃗ B (champ précédent). On observe sur la plaque sensible (P) une trace
T due à l’impact des ions.
Interpréter la position de cette trace et calculer la distance O3T (expression littérale puis l’application
numérique)
EXERCICES SUR LA LOI DE LENZ
EXERCICE 1:
On donne : 0 =4.10-7 S.I
Un solénoïde S est constitué d’un enroulement de 1000 Spires sur une longueur de 1,2m ; il est traversé par un
courant d’intensité I1 = 3,82A.
⃗
1. Donner les caractéristiques du vecteur Champ magnétique B à l’intérieur du solénoïde et en son centre.
2. L’axe Δ du solénoïde est placé perpendiculairement au méridien magnétique (voir figure 2)
Quand on fait passer le courant d’intensité I1 dans le solénoïde, une petite aiguille aimanté placée en son centre
tourne de l’angle . Indiquer sur une figure claire le sens du courant dans le solénoïde, le sens de déviation de
l’aiguille et calculer .
On donne : BH= 2.10-5T.
3. A l’intérieur du solénoïde S, est placée une bobine S’ comportant 600 spires de rayon r = 1,78cm. Les bobines
sont coaxiales d’axe Δ horizontal (voir figure 3).
⃗
3.1 Calculer la valeur du flux du champ magnétique B à travers la bobine S’.
3.2 On fait décroître l’intensité I du courant traversant S de la valeur I1 = 3,82A jusqu’à la valeur 0 en 0,2s selon
une fonction affine du temps. Quelle est la force électromagnétique d’induction dont la bobine S’ est le siège ?
Préciser sur un schéma le sens du champ magnétique
⃗
B , du courant I1 traversant S et du courant induit i qui
traverse la bobine S’ si on réunissait ses extrémités.
4. On fait passer dans le solénoïde un courant dont l’intensité varie comme l’indique la figure 4.
Préciser la valeur de la période T. Calculer les valeurs de la force électromagnétique induite pendant une période.
EXERCICE 2:
−7
On donne : μ0=4 π .10 SI
Un solénoïde S est constitué d’un enroulement de 1000 spires sur une longueur de 1,2m ;il est traversé par un
courant d’intensité I1=3,82A.
1) Donner les caractéristiques du vecteur champ magnétique ⃗ B à l’intérieur du solénoïde et en son centre.
2) L’axe ∆ du solenoide est placé perpendiculairement au méridien magnétique (figure 1).Quand on fait passer
un courant d’intensité I1 dans le solénoïde, une petite aiguille aimantée placée en son centre tourne d’un angle θ
.Indiquer sur une figure claire le sens du courant dans le solénoïdale sens de déviation θ et calculer θ .
−5
On donne BH =2.10 T .
Figure 1
3) A l’intérieur du solénoïde S, est placé une petite bobine S’ comportant 600 spires de rayon r=1,78cm. Les
bobines sont coaxiales d’axe ∆ horizontal (figure 2).
3.1) Calculer la valeur du flux du champ magnétique ⃗ B à travers la bobine S’.
3.2) On fait décroitre l’intensité I du courant traversant S de la valeur I1=3,82A jusqu'à la valeur 0 en 0,2s selon
une fonction affine du temps. Quelle est la force électromotrice d’induction dans la bobine S’est le siège ?
Préciser sur un schéma le sens du champ magnétique ⃗ B,du courant I1 traversant S et du courant induit i qui
traverse la bobine S’ si on réunissait ses extrémités.
Figure 2
4) On fait passer dans le solénoïde un courant dont l’intensité varie comme l’indique la figure 3.Préciser la
valeur de la période T.
Figure 3
Bac D 2004
EXERCICE 3:
A l’intérieur d’un solénoïde S comportant n = 20 spires par cm, on place une petite bobine b dont les
caractéristiques sont :
Nombre total de spires N = 5OO.
Surface d’une spire s = 100 cm2.
Resistance totale de la bobine R = 10Ω.
Le solénoïde S et la bobine b ont même axe et le circuit de la bobine est fermé.
1)On fait passer dans le solénoïde S un courant dont l’intensité i varie de 0 à 10A en 5s. Calculer :
a)L’intensité moyenne du courant qui circule dans la bobine b entre les instants précédents.
b)La quantité moyenne totale d’électricité qui a circuler dans la bobine b au cours de l’opération.
c)Déterminer le sens du courant induit dans la bobine b au cours de l’opération précédente :faire le schéma
(Solénoïde S + bobine b) sur lequel indiquer les sens des courants.
On fait passer maintenant dans le solénoïde S un courant dont l’intensité i varie comme l’indique la courbe.
a)Ecrire l’expression de l’intensité i en fonction du temps dans les intervalles [ 0 ; 40 ms ] et [ 40 ; 50 ms ].
b) Donner l’expression de la force électromagnétique induite dans les intervalles précédents et représenter sa
variation en fonction du temps dans ces intervalles.
BAC D MIE
Exercice 2: Bac--D--2005
Un solide ponctuel de masse m=50kg glisse sur un plan AO incliné d'un angle α=30° par rapport à l'horizontale.
On enregistre le mouvement de ce solide pendant des intervalles de temps successifs et égaux θ=5Oms.
Le document de la fig.1 représente cet enregistrement.
1. Calculer les vitesses aux points M2; M3 ; M4 et M5.
2. Calculer les accélérations aux points M3; M4, en déduire la nature de son mouvement.
3. Le mouvement se fait- il avec frottement ? Si la réponse est positive déterminer la valeur de cette force de
frottement f.
4. Le solide quitte le plan incliné au point O avec la vitesse V0=2m.s-1 et continue son mouvement dans le vide,
(voir fig.2)
fig.1
1. Calculer les vitesses aux points M2; M3 ; M4 et M5.
2. Calculer les accélérations aux points M3; M4, en déduire la nature de son mouvement.
3. Le mouvement se fait- il avec frottement ? Si la réponse est positive déterminer la valeur de cette force de
frottement f.
4. Le solide quitte le plan incliné au point O avec la vitesse V0=2m.s-1 et
continue son mouvement dans le vide, (voir fig.2)
4.1 Préciser la direction et le sens du vecteur V0.
4.2 Etudier le mouvement du solide S et calculer l'équation de sa
trajectoire.
4.3 Déterminer les coordonnées du point de chute du solide s'il a mis
0,5s pour effectuer son mouvement dans le vide.
4.4 En utilisant la conservation de l'énergie mécanique, trouver la
vitesse au point de chute.
fig.2
Exercice 3: Bac-D-1998
Un solide S de masse m, est lâché sans vitesse initiale sur un plan incliné d'un angle α par rapport à
l'horizontale. Au cours du mouvement, il est soumis à une force de frottement f⃗ supposée constante, de même
direction et de sens opposé à celui du mouvement.
1- Donner les caractéristiques du vecteur accélération du centre d'inertie de S. Faire un schéma mettant en
évidence les forces agissantes sur S et le vecteur-accélération. Quelle est la nature du mouvement de S ?
Justifier.
2- Quelle serait l'expression littérale de l'accélération de S, s'il n'y avait pas de frottement ? Quelle serait la
valeur de l'accélération dans ce cas?
3- On relève les positions x du centre d'inertie de S en fonction de la date t ; les résultats sont :
3 - 1 Compléter le tableau sur une feuille annexe et représenter x = f(t2)
x(en cm) 0 0,38 1,50 3,38 6,00 9,38 13,50 18,38
t(en s) 0 0,05 0,10 0,15 0,20 0,25 0,30 0,35
Echelle : 1cm pour 2cm et 1cm pour 0,01 s.
3 - 2 Exprimer la position en fonction de la date t.
En utilisant la courbe précédente, calculer la valeur numérique de l'accélération du mouvement.
3 - 3 Le résultat précédent permet-il de conclure à l'existence d'une force de frottement ? Si c'est le cas, calculer
l'intensité de cette force.
Données : α = 30° ; m = 1kg ; g = 10m/s2.
Exercices sur phénomènes périodiques et corpusculaires
Exercice 1 :
Une lame vibrante impose à l’extrémité S d’une corde horizontale un mouvement transversal rectiligne et
sinusoïdal d’équation y=a cos 100 πt avec t en seconde. La célérité de propagation des ébranlements le long de
la corde est C = 10 m/s.On néglige l’amortissement.
1) Calculer la fréquence N de vibration de l’extrémité S et la longueur d’onde λ de l’onde progressive se
propageant le long de la corde..
2)-a-Représenter l’aspect de la corde aux instants t1 = 0,02s et t2 = 0,05s, sachant que le mouvement de
l’extrémité S de cette corde commence à l’instant t = 0.
b-Quel est le rapport à la source S l’état vibratoire de chacun des points M 1 et M2 distants de S respectivement
de x1 = 10cm et x2 = 40cm.
3) On éclaire la corde avec un stroboscope de fréquence Ne variable. Quel est l’aspect de la corde lorsque Ne
vaut 25Hz, 49Hz et 51Hz ? Justifier la réponse.
Exercice 2 :
A l’extrémité d’une lame, vibrant verticalement, est fixé un fil de longueur l=2m, de masse m=20g soumis à
une tension T=4N. La fréquence de vibration de la lame est N=100Hz
1) Quelle est la longueur d’onde de la vibration ?
2) L’extrémité (S) de la lame a un mouvement sinusoïdal d’amplitude a = 2mm. Ecrire l’équation du
mouvement de S ainsi que celle du point M du fil situé à la distance SM=x=65cm.
3) Le mouvement de S commence à t=0,S partant dans le sens positif. Dessiner dans un même système d’axes,
les digrammes des mouvements de S et de M. Echelle :10cm/1m ;0,5cm/1mm.
4) Quel est l’aspect du fil à l’instant t=0,047s ; les conditions initiales étant les mêmes qu’à la question 3).
{horizontalement
Echelle :
:10 cm/1 m
verticalement : 2mm /1mm
Exercice 3 :
On relie l’extrémité O d’une lame vibrante à une corde tendue de longueur OO’=2m. La lame vibrante subie
des oscillations sinusoïdales verticales de fréquence N=100Hz et d’amplitude a=3mm. Ces vibrations se
propagent le long de la corde avec une célérité C=20m/s
a)Calculer la longueur d’onde λ .
b) Décrire le phénomène observé au moment où la corde est éclairée par un stroboscope dont les fréquences
prennent les valeurs : Ne=200Hz ;Ne=25Hz ;Ne=50Hz et Ne=102Hz.
c)En considérant l’origine des temps à l’instant où O passe par sa position d’équilibre dans le sens positif ;
écrire l’équation horaire y0 du mouvement de la source O et donner l’élongation yM d’un point M situé à la
distance x de la source O.
d) Déterminer l’expression des abscisses des points qui vibrent en phase avec la source O, préciser leur nombre
et la valeur de l’abscisse du point le plus proche de O.
Exercice 4 :
On dispose d’un dispositif d’interférence constitué de deux sources S 1 et S2 et d’un écran E d’observation placé
perpendiculairement à la trajectoire moyenne de la lumière et situé à
la distance D = 2,5m du plan des sources.
1) On éclaire le dispositif à l’aide d’une source S qui émet une lumière
monochromatique de longueur d’onde λ = 0,6 μm.
1.1)On observe la distance S1S2 à partir du centre O de l’écran sous
l’angle α=8.10−4 rad .Calculer la distance a = S1S2.
1.2) Calculer l’interfrange i du phénomène d’interférence et préciser
la nature des franges dont les milieux sont situés aux points d’abscisses
respectives x1 = 4,5mm et x2=6mm.
1.3) Trouver l’expression de la différence de marcheδ .
2) La source S émet simultanément deux radiations de longueurs d’onde λ 1=0 , 42 μm et λ 2=0 , 63 μm .A quelle
distance du milieu de la frange centrale observe-t-on la 1ere coïncidence entre les franges brillantes des deux
radiations ?
3) La source S émet à présent de la lumière blanche. Soit un point P de l’écran situé à x = 5mm du milieu de la
frange centrale. Trouver les longueurs d’onde des radiations qui présentent en P une frange moire. On donne
les limites du spectre visible :[ 0 , 4 μm; 0 ,8 μm ] .