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Séance 1
Diagnostic de la distribution
OBJECTIFS
Bien choisir les lieux de ventes est un prérequis indispensable pour assurer une distribution optimale de
ses produits. Le niveau de spécificité, de positionnement, d’accompagnement commercial varie d’un point
de vente à un autre. C’est pourquoi choisir le point de vente qui corresponde le mieux à ses produits est si
crucial.
Être en place dans le bon magasin ne suffit pourtant pas. Il est tout aussi important de suivre l’évolution des
ventes de ses produits pour déceler ce qui fonctionne comme prévu, ce qui est en avance et ce qui est en
retard par rapport aux objectifs préétablis.
Les commerciaux qui suivent les ventes de leurs produits dans les différents points de vente couvrent une
zone géographique importante. Avec la digitalisation, et pour les aider dans le caractère itinérant de leurs
missions, ils sont très souvent équipés d’outils tels que des tablettes tactiles, PC portables, smartphones. Le
terme qui désigne les équipes commerciales qui se sont digitalisées est « Sales Forces automatisation ».
3. Les sondages
Le sondage est une enquête à grande échelle, qui permet de recouper des réponses sur des problématiques
bien définies autour d’un vaste échantillon de la population étudiée. L’objectif ici, à l’inverse de l’étude
qualitative, est de rassembler des informations généralisables à l’ensemble de la population ciblée, en
limitant le temps passé à réaliser l’étude.
La méthode d’échantillonnage varie en fonction des objectifs de l’étude. Les deux principales méthodes pour
échantillonner sont :
• La méthode aléatoire : les consommateurs sont pris au hasard
• la méthode convenue : des profils types sont déterminés avec des caractéristiques précises : âge,
CSP, ville de résidence, genre…
4. Le client mystère
Cette technique consiste à faire appel à quelqu’un qui va jouer le rôle d’un client, incognito. À la suite de son
expérience, il lui sera demandé de partager cette expérience : comment s’est passé son accueil, est-ce qu’il a
bien été conseillé…
Il doit retranscrire tout ce qu’il a ressenti en positif comme en négatif. Un client mystère peut aussi simuler
une situation problématique : une réclamation pour un produit défectueux par exemple.
C’est un exercice très riche d’enseignement, à la condition de pouvoir faire les changements nécessaires en
cas de service qui ne donne pas satisfaction.
5.1. L
e CRM (Customer Relation Management ou Gestion de la
relation client)
5.1.1. Qu’est-ce qu’un CRM ?
CONTACT
Un CRM est une base de données, dans laquelle est répertorié CAMPAGNES PROSPECTS
l’ensemble des informations concernant les interactions qui se
sont produites entre la marque et les distributeurs.
Il y aura donc les comptes rendus de réunions, les offres faites, les CRM
ventes effectuées, les tableaux d’analyses… ACTIVITES CLIENTS
AFFAIRES PRODUITS
www.google.fr
Source : gmconseil
Un agenda en ligne
Cela permet d’organiser leur temps de travail et de faire savoir où ils sont à leurs collaborateurs.
Le tunnel de conversion
Une fonctionnalité qui se développe beaucoup et la visualisation sous la forme d’un graphique de l’entonnoir
de conversion. Il peut être ainsi : piste, prospect qualifié par le marketing, prospect qualifié par l’équipe
commerciale, offre remise, client.
Cette liste n’est pas exhaustive ; il existe beaucoup d’autres fonctionnalités possibles, selon la performance
du CRM.
• La gestion des équipes commerciales : organisation des tournées en fonction des objectifs et des
priorités.
• La gestion des workflows (campagne d’e-mailings générés automatiquement)
• Accès automatique aux fiches clients selon la tournée prévue
• Analyse de la performance : par familles de produits, par enseignes, par zone géographique, sur une
durée spécifiée (dernier mois, dernière année.)
• Prévision des ventes : estimation des ventes à venir basée sur l’historique des ventes et les prévisions
des commerciaux.
5.3.1. Le panéliste
Un panéliste, est une entreprise qui offre un accès à des études effectuées sur un échantillon représentatif
de la population. Il existe deux grandes familles de panélistes : les panels distributeurs et les panels
consommateurs.
Ces informations vont renseigner les commerciaux sur l’évolution de la consommation d’un type de produit
sur une zone géographique donnée, quels sont les prix pratiqués, quels sont les points de vente les plus
performants.
La veille digitale se fait aussi sur les réseaux sociaux. Il est possible de suivre tout ce qui se dit sur ses
produits en ligne et repérer ainsi quel est l’état de la e-réputation de l’entreprise. Par exemple sur Twitter,
l’outil Tweetdeck permet d’être averti en temps réel chaque fois que le nom de l’entreprise est cité.
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