Solution ECM Examen Critique
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adaptée de gestion de
contenu :
examen critique
Septembre 2007
Sélectionner une solution adaptée de gestion
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Avec la prolifération des solutions de gestion de contenu d'entreprise (ECM) disponibles “Considérez les BCS comme un vecteur
sur le marché, les organisations doivent éviter de prendre pour argent comptant ces relativement bon marché d'interactivité et de
solutions et adopter, au contraire, une approche pragmatique et réfléchie pour répondre productivité d'équipe et de groupe de travail :
à leurs besoins ECM. Un ECM adapté implique une évaluation minutieuse des besoins de c'est un premier pas dans la construction d'un
l'entreprise, de la structure organisationnelle et des objectifs stratégiques. Là où espace de travail très performant ... les
beaucoup d'organisations abordent la construction d'une architecture de contenu sous responsables de la stratégie commerciale ont
l'angle de la technologie, il est plus productif de se concentrer en premier sur les besoin d'évaluer là où un outil de gestion de
retombées pour l’entreprise. Les entreprises devraient développer une stratégie de contenu haut de gamme sera source de
contenu d'entreprise qui soutient la direction stratégique de l'entreprise, plutôt que de bénéfice. Ils devraient regarder leurs scénarios
et apprécier là où l'utilisation d'une
simplement accepter une architecture de contenu qui répond aux objectifs informatiques application contenu-centrique, permettant les
de normalisation. Comme l'expose la société d'analystes Gartner, Inc. « Ne construisez processus et hautement évolutive, apporte un
pas une architecture de contenu sans une stratégie de contenu d'entreprise qui suive la bénéfice.”
1
direction stratégique de votre activité. »
—De Gartner, Inc., “Microsoft Content
Tout aussi importants sont les besoins, les compétences et les aptitudes des travailleurs Management Topics from PCC Conference,”
du savoir et des gestionnaires de processus métier. Est ce que la solution aura un impact par Mark R. Gilbert et Regina Casonato, 2 avril
positif sur le cœur des processus de travail ? Les collaborateurs voudront-ils apprendre à 2007
faire les choses différemment, même si cela implique des étapes supplémentaires ? Ainsi,
les décisionnaires ont besoin d'estimer si les utilisateurs voudront entrer les métadonnées,
déclarer des enregistrements et effectuer d'autres tâches manuelles. L'implication des
travailleurs du savoir et des gestionnaires de processus est cruciale lorsqu'on choisit une
solution qui impacte les sphères individuelles mais aussi l'entreprise dans son ensemble.
Une autre étape importante consiste à évaluer le contenu et à décider ce que l'on aura
besoin de conserver et de gérer et ce qui peut être détruit. Selon Gartner, « le contenu n'a
de valeur que si les hommes et les systèmes s'en servent dans les processus d'entreprise.
D'abord, vous devez définir quel contenu vos hommes et vos systèmes devraient utiliser
1
et lequel (ils ne devraient) pas. »
Après avoir conduit une évaluation précise de l'utilisation du contenu, une société peut
trouver qu'un fournisseur unique est capable de lui fournir toutes les fonctionnalités ECM
nécessaires. Pourtant, beaucoup d'organisations découvriront à l'usage qu'une meilleure
réponse à leurs objectifs ECM est apportée par une stratégie de services partagés – à
savoir, une interconnexion d'applications de fournisseurs différents pour fournir une
collaboration de groupe de travail, des services de contenu basiques et une gestion de
contenu de classe-entreprise.
.
Une approche services partagés pour une gestion de contenu d'entreprise : beaucoup de
constituants, une solution
Une solution ECM doit dresser le bilan des besoins de gestion de contenu de toutes les
parties prenantes au sein de l'entreprise. Des systèmes de gestion de contenu basiques,
appelés aussi services de contenu basiques (BCS), et apparus plus récemment, offrent des
composants gratuits ou de faible coût qui conviennent à la simple édition de documents,
à la collaboration de groupe, à l'approbation et à la circulation documentaire. Le
compromis avec ces systèmes est leur «extensibilité» intrinsèquement limitée. Des
applications de tierces parties et une personnalisation importante sont nécessaires pour
la contourner. A l'inverse, des systèmes traditionnels de gestion de contenu de classe-
entreprise sont en mesure de fournir toutes les capacités dont une société peut avoir
besoin mais peuvent rendre les utilisateurs confus et résistants, du fait de la complexité
inhérente à l'application, et ce, à un niveau de coût par utilisateur extrêmement élevé.
Avant de boucler sa sélection de vendeur, il est logique d'examiner les systèmes
document-centriques paramétrables, comme DocuShare de Xerox, qui autorisent des
processus plus élaborés à un niveau de prix abordable.
DocuShare est unique dans l'espace ECM du fait qu'il utilise une stratégie de services
partagés au-travers de son approche “plateforme unique, produits multiples”, surmontant
ainsi les défauts majeurs des produits BCS et des applications ECM haut de gamme. Avec
une approche services partagés, telle que définie par le consultant industriel Doculabs,
Inc., les organisations peuvent ajuster finement les outils délivrés aux utilisateurs, aussi
bien d'un point de vue fonctionnel que temporel.2 Les ressources humaines, par exemple,
prendraient les nouveaux employés à bord du système au moment précis où ils seraient
prêts en terme de processus, de ressources et d'infrastructure. Cette optimisation du
système « juste à temps » est tout à fait réaliste avec une application ECM document-
centrique telle que DocuShare de Xerox.
La seule façon de savoir avec certitude si la meilleure approche réside dans une offre
vendeur unique ou dans une solution services partagés c'est d'évaluer les besoins et
l'utilisation de contenu d'une organisation au-travers d'un nombre représentatif de
critères essentiels.
6. Extensibilité : l'extensibilité est cruciale lorsque la solution ECM doit soutenir des
processus métier spécifiques à une application, comme, par exemple, les ressources
humaines et les comptes fournisseurs.
10. Stockage et délocalisation de contenu : les outils qui gèrent la façon dont les
documents circulent à travers les systèmes de stockage de fichiers sous-jacents sont une
garantie d'efficience et de conformité.
1. Types de contenu
Comme le déclare Forrester Research, “La gouvernance ECM et l'équipe de gestion de
projets devraient aborder le contenu de l'entreprise sous ces trois perspectives : contenu
3
transactionnel, contenu d'entreprise et contenu de persuasion.» Comprendre les
différences entre les trois types et la façon dont chacun convient à l'organisation est un
facteur clé de l'évaluation correcte des besoins ECM.
Le contenu d'entreprise comprend des documents qui transmettent des idées, tels que
propositions commerciales, documentation technique, supports de formation du
personnel et contrats. Pour reprendre les termes de Forrester, « Le contenu créé dans
l'entreprise, comme un plan de développement ou une procédure d'exploitation, est
3
capteur ou vecteur de connaissance. »
La gestion de contenu basique ou les systèmes BCS peuvent gérer comme il faut ce type
de contenu ad-hoc mais il faut avoir soin de garantir son adéquation à sa rétention à
long-terme appropriée et aux directives de conformité. Typiquement, les organisations
ont besoin de déplacer les documents vers un système de plus en plus complet, tel que
DocuShare ou DocuShare CPX, où l'archivage, la rétention et l'audit, l'automatisation des
processus ou d'autres actions peuvent être effectués.
Le contenu de persuasion inclut les documents et autres contenus qui participent à la
vente des produits et services ou qui, à leur façon, en font la promotion auprès de
l'extérieur (catalogues produit, supports de communication marketing, canal extranet,
sites Web, blogs et wikis, contenu Flash et fichiers média enrichis). Selon Forrester, « Le
contenu délivré à l'extérieur – un élément graphique, un logo, un catalogue produit ou un
fichier média enrichi – peuvent influencer et persuader les clients d'agir. » 3
2. Message électronique
Un message électronique est unique du fait qu'il est à la fois un document de plein droit Microsoft Office SharePoint et ECM
et à la fois une « enveloppe de transmission » utilisée au-travers de toutes sortes de fonctionnel
contenus et de tâches de processus. Si une organisation se sert de messages Les Services Microsoft Windows
électroniques pour du contenu transactionnel, d'entreprise ou de persuasion, les courriels SharePoint (WSS) et Microsoft Office
ont besoin d'être gérés et stockés exactement comme n'importe quel document, sinon SharePoint Server (MOSS) ont leur place
l'organisation prend le risque de ne pas être en conformité avec diverses dispositions dans une approche services partagés, en
réglementaires. Malheureusement, la plupart des systèmes de gestion de contenu offrant une intégration directe aux
basiques ne savent pas encore traiter le stockage et l'archivage sélectifs des messages applications desktop et à la collaboration
électroniques. de petits groupes de travail pour créer du
contenu non-transactionnel. Cependant,
Les sociétés devraient aussi réfléchir à la façon dont un courriel peut être utilisé pour les organisations ne devraient pas partir
déclencher des workflows et si l'organisation tire profit de cette possibilité. Dans les du principe que SharePoint résoudra tous
comptes fournisseurs, par exemple, les factures « bon pour paiement » qui sont envoyées les problèmes ECM, car il n'a pas encore
par courriel vers un dossier donné pourraient invoquer un workflow automatisé qui route fait ses preuves pour des processus ECM
les factures vers les services financiers pour vérification et paiement, et les mémoriser plus évolués. De plus, si une organisation
alors comme enregistrements. Typiquement, un système ECM plus évolué, comme ajoute à SharePoint des capacités
DocuShare de Xerox, est nécessaire pour y parvenir. fonctionnelles et spécifiques à des
applications pour palier à ce constat, les
3. Collaboration coûts de développement qui en
Chaque société est structurée pour fonctionner sur un mode collaboratif, avec des résulteront annuleront
personnes qui travaillent ensemble pour créer, réviser et traiter du contenu d'entreprise et vraisemblablement les raisons mêmes qui
de persuasion. La collaboration est nécessaire même pour le contenu transactionnel ont conduit l'organisation à donner la
automatisé où se produisent des exceptions qui nécessitent le retrait du document du préférence à la solution : simplicité et
processus standard tant qu'une solution n'est pas apportée. Les systèmes de gestion de faible coût.
contenu basiques conviennent à un partage simple mais ne savent pas bien traiter les
processus métier et une collaboration qui impose des révisions structurées et des chemins
d'accès conditionnels. Beaucoup de sociétés ont aussi besoin de supporter la
collaboration en dehors du firewall, ce qui entraîne des surcoûts significatifs avec certains
systèmes de gestion de contenu basiques. Il faut que les organisations évaluent
comment, quand et pourquoi les utilisateurs collaborent pour garantir que la solution
s'accommode des différentes interactions des utilisateurs.
4. Groupes de travail
La compréhension de la façon dont les gens ont besoin de
travailler ensemble est cruciale pour développer les besoins des utilisateurs. La taille du
groupe de travail et sa localisation géographique, les types de documents partagés, les
méthodes de travail, le moment où l'information est partagée et la façon dont le contenu
transactionnel circule au sein et entre les groupes ... tout influe sur le choix de la solution.
Par exemple, de petites équipes situées à un endroit donné ont des besoins très différents
de gros groupes de travail répartis à travers le monde. D'ailleurs, certains systèmes ne
supportent que les membres de groupes de travail qui sont des utilisateurs nommés dans
l'annuaire d'entreprise (par ex, LDAP). Ceci limite de façon sensible les possibilités si le
groupe de travail intègre des fournisseurs, des clients ou des partenaires d'affaires ou si
l'équipe veut créer des comptes utilisateurs génériques pour faire des tests.
Des systèmes, comme DocuShare, qui supportent une combinaison de comptes
utilisateurs spécifiques à une application et de comptes utilisateurs liés à un annuaire
d'entreprise – sans avoir à impliquer les services informatiques – rendent la collaboration
de groupe de travail beaucoup plus efficace
5. Workflow
Des processus organisationnels bien ajustés impliquent une large palette de workflows.
Les workflows processus-centriques, comme l'inscription au plan d'avantages sociaux
d'entreprise ou les achats de produits en ligne, sont les mieux connus. Les outils
spécialisés de gestion de processus métier (BPM), souvent utilisés pour exécuter ces
workflows (comme Pegasystems ou Savvion), sont typiquement optimisés pour des
transactions de grands volumes et de forte valeur où la vitesse, la sécurité et l'audit sont
des besoins clé. Hélas, ces systèmes sont complexes, fragiles et ne sont pas faciles à
modifier pour des propriétaires de processus individuels et des membres d'équipe. A
l'inverse, les capacités d'approbation et de routage de documents ad-hoc disponibles
avec les systèmes BCS sont extrêmement faciles à utiliser mais très restreintes, avec
presque aucune extensibilité et aucune supervision administrative et de sécurité fournie
avec les systèmes de haute finition.
Les workflows documentaires créés par l'utilisateur sont un hybride utile, surtout pour les
flux typiques de contenu d'entreprise. Les équipes de travail ou les départements peuvent
autoriser les utilisateurs à créer des workflows documentaires pour rationaliser localement
le flux d'information et de contenu. Par exemple, un département des ressources
humaines pourrait facilement générer un workflow documentaire qui véhicule
automatiquement des CV qu'il vient de recevoir vers les différents responsables du
recrutement. C'est là que des systèmes comme DocuShare excellent. La plupart des
systèmes BCS n'offrent pas les outils ou les technologies sous-jacentes indispensables aux
workflows documentaires créés par un utilisateur et ceux qui le font nécessitent souvent
que des développements de programmes coûteux soient faits, même pour de simples
workflows comme ceux cités plus haut. Des systèmes ECM trop haut de gamme sont
simplement difficiles à manier et il leur manque la capacité « juste à temps » qu'une
approche services partagés procure.
6. Extensibilité
L'extensibilité est primordiale pour développer des solutions ECM qui supportent
l'automatisation de processus métier départementaux, comme ceux que l'on trouve dans
les départements Ressources Humaines,comptabilité et service clients. Pour être
extensible, le système ECM doit offrir une panoplie complète d'interfaces de
programmation (APIs) et permettre le prototypage, le réajustement, le déploiement et la
réplication d'applications métier. Typiquement, les systèmes BCS ne sont pas une option
dans ce domaine et les systèmes ECM traditionnels sont plus coûteux et moins agiles
qu'un système document-centrique paramétrable tel que DocuShare avec le Réseau de
Développeurs DocuShare.
7. Numérisation
Malgré la prolifération des communications électroniques, le papier reste au cœur de la
plupart des processus métier. Beaucoup d'idées, de concepts et de dessins sont d'abord
enregistrés sur papier. Les factures, ordres d'achat et formulaires sont fréquemment
manipulés sous forme papier. Et beaucoup d'organisations exigent qu'une signature
« manuscrite » figure sur les documents légaux. En fait, le volume de papier circulant dans
une société-type continue à augmenter chaque année. La diminution du coût et de la
complexité de gestion du papier est souvent le facteur décisif pour financer et adopter
une solution ECM.
9. Fédération de contenu
Si de nombreuses personnes ou équipes travaillent et accèdent au contenu en utilisant
plus d'un référentiel documentaire, alors la fédération s'impose à la réflexion. De
nombreux modèles de fédération existent, depuis de simples vues de type « portlet » dans
des référentiels de tierces parties jusqu'à la synchronisation de contenu bi-directionnelle
en temps réel entre des systèmes distribués et hétérogènes. Ces possibilités sont offertes
dans un produit, au-travers d'applications tierces ou au-travers d'une personnalisation.
Déterminer la bonne solution dépend d'un certain nombre de facteurs métier, certains
d'entre eux pouvant être diamétralement opposés voire contradictoires. Par exemple, une
unité opérationnelle peut décider qu'elle a besoin d'une synchronisation de contenu en
temps réel entre ses bureaux d'Afrique du Sud et du Royaume Uni. Pour autant, il arrive
que le coût des systèmes et la fragilité du réseau annulent tous les avantages qui en
seraient tirés autrement avec un portlet de recherche fédéré et plus simple.
La plupart des systèmes BCS et ECM savent travailler avec des systèmes de stockage liés à
un réseau (NAS), en le traitant comme un gros disque lié. Pourtant, les organisations
veulent de plus en plus que les méthodologies de stockage de fichiers basé sur des règles
contre-balancent le coût, la vitesse et les besoins de conformité. Beaucoup de systèmes
BCS et ECM peu élaborés n'offrent pas d'interfaces à ces moteurs de règles, ce qui se
traduit par une faible optimisation et une augmentation des coûts de stockage.
Les produits ECM DocuShare intègrent fédération, extensibilité, collaboration, workflow © 2008 Xerox Corporation. Tous droits
défini par l'utilisateur et un irrésistible mélange de fonctionnalités basiques et évoluées réservés. La protection garantie par les
de gestion de contenu à un niveau de prix acceptable par toutes les organisations. De droits d’auteur s’applique à tout ce qui se
plus, un simple changement de licence permet de panacher, de façon dynamique, des rapporte à la forme et au fond des
niveaux d'utilisateurs et de fonctionnalités – aucun autre vendeur ne peut le revendiquer informations et du matériel étant
– ce qui permet aux entreprises de délivrer en tout point des fonctionnalités de gestion de actuellement permis par les dispositions
contenu ciblées, rentables et appropriées. En se basant sur une approche services législatives ou la jurisprudence ou
véritablement partagés, les sociétés peuvent déployer la plate-forme DocuShare en tout accordés ci-après, y compris sans limite
point de l'organisation (au niveau d'un département ou au niveau global de l'entreprise) aucune, le matériel provenant des
et la faire évoluer graduellement horizontalement et verticalement en combinaison avec programmes logiciels apparaissant sur les
des produits d'autres vendeurs. Résultat, une gestion de contenu optimisée, accessible à écrans tels que les styles, les modèles, les
tous les utilisateurs et à un niveau de prix privilégié. icônes, l’aspect des pages écrans, etc.
Conclusion
Quand une organisation se pose la question d'une solution ECM adaptée, il est crucial Xerox et DocuShare sont des marques
qu'elle prenne le temps de conduire une évaluation en profondeur de ses objectifs déposées identifiant les produits de Xerox
stratégiques, de son utilisation des documents et des besoins de ses utilisateurs. Ne pas le Corporation. Toutes les autres marques
faire pourrait conduire à une solution qui est plus onéreuse sur le long terme parce que sont la propriété de leurs détenteurs
difficile à manier et n'offrant pas la flexibilité attendue. Dans le pire des scénarios, une respectifs et sont reconnues comme
solution taille-unique- qui-convient-à-tous conduit à un réponse-taille-unique-et-de-rejet- telles.
par-tous de la part des utilisateurs. Certaines sociétés peuvent être amenées à penser
qu'un système peut procurer tout ce qui faut pour un déploiement réussi, mais plus
vraisemblablement, elles découvriront qu'une approche services partagés est meilleure.
Les produits DocuShare de Xerox sont de bons exemples de solutions ECM qui procurent
l'extensibilité, la flexibilité et les éléments d'intégration indispensables pour supporter des
configurations ECM mixtes.
A propos de DocuShare
DocuShare de Xerox, système de gestion de contenu d'entreprise (ECM) hautement
sécurisé et intuitif, permet aux utilisateurs d'organisations faisant usage intensif de
documents de capturer de façon dynamique, de gérer, d'accéder et de distribuer
l'information facilement, sans avoir à tenir compte de niveau de compétence ou de
localisation. Membres de la famille de produits ECM DocuShare de Xerox, les clients
DocuShare peuvent améliorer de façon significative leur productivité, rationaliser leurs
processus métier et réduire le temps et le coût que représente la gestion d'information et
de documents d'entreprise de routine. Montrant la voie dans son domaine par sa rapidité
de déploiement et par sa facilité d'administration et d'utilisation, DocuShare de Xerox
réduit l'installation et la complexité et s'intègre avec flexibilité dans une infrastructure
existante, ce qui se traduit en un coût total d'acquisition moins élevé et un retour sur
investissement plus rapide. Étroitement intégré à Xerox Document Centre et à
WorkCentre Pro, DocuShare peut gérer aussi bien des impressions papier que du contenu
électronique avec une facilité et un confort jamais égalés.
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1
“Value Content Based on Risks and Rewards” par Toby Bell et Debra Logan (Gartner, 31 mai 2007)
2
”ECM Shared Services: A Growing Trend” (Doculabs, 9 février 2007, AIIM E-Doc Magazine)
3
“Topic Overview: Enterprise Content Management” (Forrester Research, 26 décembre 2006)