Dispositions Sur La Presentation D'un Travail-1

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MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE

ARCHIDIOCESE DE KINSHASA
UNIVERSITE OMNIA OMNIBUS
B. P. 1800 Kinshasa 1
17, Avenue du Grand Séminaire, Kinshasa/Lemba-Righini
République Démocratique du Congo

DISPOSITIONS PORTANT GRILLE DE


PRESENTATION D’UN MEMOIRE ET
D’UN TRAVAIL DE FIN DE PREMIER
CYCLE AU SEIN DE L’UNIVERSITE
OMNIA OMNIBUS

Année académique 2023-2024


Les mémoires de licence et les travaux de fin de cycle à défendre au sein de
l’Université Omnia Omnibus comportent les éléments suivants :

- Les informations préliminaires


- L’introduction
- Le développement
- Le canevas du projet
- La conclusion
- Les informations complémentaires.

CHAPITRE 1 : LES INFORMATIONS PRELIMINAIRES

Les pages préliminaires comprennent :


- La page de couverture
- La page de garde
- In memoriam
- L’épigraphe
- La dédicace
- La page de remerciements ou l’avant-propos
- La liste des abréviations et sigles suivant l’ordre alphabétique
- Les pages de la liste de tableaux, graphiques, diagrammes, figures,
illustrations, photographies, images et cartes.

1. La page de couverture
La couverture constitue la première page de mémoire ou du travail de fin de cycle.
Elle est généralement cartonnée.
Dans les travaux scientifiques et universitaires, la page de couverture est la même
que la page de garde.
La page de couverture et la page de garde comprennent obligatoirement dans
l’ordre et d’une façon centrée les éléments suivants répartis de la manière suivante
sur toute la page :

- En haut de la page

2
République Démocratique du Congo
Ministère de l’Enseignement Supérieur et Universitaire

Archidiocèse de Kinshasa
Université Omnia Omnibus
Logo de l’Omnia

- Au centre

Titre du mémoire ou du TFC

Par
Prénom, Nom et Post-nom de l’Étudiant

Mémoire ou TFC présenté pour l’obtention de


grade de licencié/gradué en …………………
Option ……………………………………………
Orientation …………………………………….....

Directeur

Rapporteur

- Bas de page (centre)

Mois et année de défense

3
2. La page de garde
La page de garde et la page de couverture sont identiques

3. L’épigraphe
Une courte citation de deux ou trois phrases en rapport avec le sujet développé.
Évitez les citations bibliques sans lien avec le travail. L’épigraphe n’est pas
obligatoire.

4. La dédicace
Elle se présente sous forme de vers, deux ou trois lignes suffisent au milieu de la
page. Elle fait état de celui à qui le travail est dédié.

5. La page de remerciements
Elle est appelée aussi Avant-propos, une ou deux pages maximum. Vous exprimez
le sentiment de gratitude à tous ceux qui vous ont aidé à réaliser le travail.

6. La page de la liste des abréviations et sigles


Il s’agit de la liste comprenant les abréviations et sigles utilisés dans le texte
suivant l’ordre alphabétique.

7. Les pages de listes de tableaux, graphiques, diagrammes, figures,


illustrations, photographies, images et cartes utilisées dans le texte.

4
CHAPITRE 2 : LE CORPS DU TRAVAIL

2.1. L’introduction générale


L’introduction, quoique déjà disponible au début du travail dans le projet, se
précise définitivement quand le travail est quasiment terminé, quand la partie
centrale du mémoire ou de travail de fin de cycle d’études (développement et
conclusion) est terminée. Quand chaque chapitre comporte déjà une introduction
(partielle), on parlera d’introduction générale. Elle comprend les huit éléments
classés en l’ordre suivant :

- Problématique : Pose le(s) problème(s) que l’étude veut résoudre au


moyen d’explications claires et d’arguments plausibles, cherchant à
convaincre universellement. Car ce qui est problème pour vous ne l’est pas
évidemment pour tous. Une bonne problématique se termine par quelques
deux ou trois questions (de préférence une seule question principale, pour
plus de précision) à répondre dans l’hypothèse.
- Hypothèse(s) : Réponse(s) anticipative(s) à la (aux) question(s) posée(s)
dans la problématique. C’est la thèse ou la vérité scientifique que l’étude
veut promouvoir.
- Délimitation du sujet : un découpage spatial, temporel et notionnel qui
circonscrit/délimite le territoire de la validité de l’étude sous les trois angles
précités (milieu, période et notions/du domaine théorique/scientifique).
- État de la recherche, État de la question ou revue de la littérature : Bref
parcours critique de la documentation scientifique ou de la littérature
disponible des travaux antérieurs effectués dans le domaine ou la question
abordés, dégageant les zones déjà mieux exploitées (qu’on ne reprendra
plus) et celles mal ou sous-exploitées (dans lesquelles s’insère l’étude
présente). Cela permet de révéler l’originalité et l’apport de votre
démarche.
- Choix, intérêt et objectifs de l’étude : sans répéter la problématique,
présenter les raisons pour lesquelles le sujet a été choisi, le bénéfice
(scientifique ou humain-social-concret) à gagner au terme de la démarche
et les visées particulières poursuivies qui rendent l’étude à la fois utile et
intéressante.
- La méthodologie utilisée : Bref exposé des méthodes et techniques
réellement utilisées pour récolter et traiter les données de l’étude. Au
besoin, on indiquera les raisons du choix des procédés et les étapes où
chacun sera d’application.
- La division du travail : une présentation succincte de différentes parties,
se limitant aux seuls énoncés des titres de différents chapitres que comporte
le travail.
- Remarques préliminaires : présentation non-nécessaire des difficultés
scientifiques rencontrées et les stratégies de leur résolution et d’autres
observations utiles pour la compréhension de l’étude. S’abstenir d’évoquer
5
les difficultés économiques, conjoncturelles, sanitaires… qui ne manquent
pas.

2.2. Le développement
Le développement proprement dit peut comporter deux, trois ou quatre parties ou
chapitres, au besoin subdivisés en sections, en articles et en paragraphes. Evitons
les morcellements fantaisistes de parties, chapitres ou sections (chapitre de deux
pages ou trois pages par exemple) et le déséquilibre entre les grandes subdivisions.
Commençons toujours par une partie introductive (2 -3 – 4 lignes), terminons par
une conclusion partielle de ce qui vient d’être dit en annonçant logiquement la
suite ; évitons une succession des titres sans textes.

2.3. Le canevas du projet de développement

Introduction
4.1. Conception du projet
4.1.1. Problème
4.1.2. Variables
4.1.3. Contraintes
4.1.4. Alternatives
A. Analyse des alternatives

4.2. Elaboration du projet


4.2.1. Titre du projet
4.2.2. But et finalité
4.2.3. Objectifs généraux
4.2.4. Objectifs spécifiques
4.2.5. Résultats attendus
4.2.6. Echéanciers des activités

4.3. Programmations
4.3.1. Coût des activités
4.3.2. Analyse des besoins
A. Besoins en Ressources humaines
B. Besoins en salaires
C. Besoins en frais généraux
D. Besoins en équipements
E. Besoins en fournitures
F. Besoins en placement
G. Besoins en matériels
H. Budget du projet

6
4.4. Viabilité du projet
4.4.1. Ordinogramme du projet
4.4.2. Ordinogramme des parties concernées
4.4.3. Tableaux des parties concernées
4.5. Arbre à problème
4.6. Arbre des résultats
2.4. Arbre des stratégies
2.5. Arbre des objectifs
2.6. Tableau des stratégies
2.7. Cadre logique
2.8. Plan de trésorerie
4.5. Gestion, suivi et évaluation du projet
4.5.1. Organes de gestion du projet
4.5.2. Organigramme du projet
4.5.3. Triangle de gestion
4.5.4. Triangle du projet
4.5.5. Plan de suivi
4.5.6. Evaluation du projet

Conclusion

2.4. La conclusion (générale)


La conclusion présente la synthèse de la recherche et les ouvertures aux
recherches à venir. Vous reprenez les visées de la démarche entreprise et
l’essentiel des conclusions partielles (sans copier-coller mais en dégageant les
points essentiels) et vous signalez, en ouverture de recherche, les points qui restent
à éclairer pour telle ou telle raison.

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CHAPITRE 3 : LES INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES
OU REFERENCES

3.1. La bibliographie
Placée après la conclusion, la bibliographie reprend en ordre alphabétique tous les
documents qui ont servi d’une façon immédiate à la rédaction du texte et à la
réalisation des figures, tableaux, photographies, illustrations, cartes dont on a fait
appel de façon explicite dans le texte.

Le schéma à suivre est le suivant :

1. Sources d’archives
1.1. Sources d’archives éditées
1.2. Sources d’archives inédites

2. Sources éditées
2.1. Ouvrages
2.2. Articles des revues et des journaux

3. Sources inédites
3.1. Notes des cours et travaux académiques (TFC et Mémoires)

4. Netographie / Webographie
Documents issus de différents types de base de données bibliographiques, des
données textuelles, des données numériques, particulièrement sur Internet.

5. Documents de référence
5.1. Encyclopédie
5.2. Dictionnaires encyclopédiques
5.3. Dictionnaires (étymologiques, analogiques, techniques, etc.)

N.B. : Suivre l’ordre alphabétique

3.2. Normes pour présenter la bibliographie et les références


bibliographiques

3.2.1. Sources d’archives

a. Sources d’archives éditées


Ce sont des documents officiels imprimés qui ont une valeur d’archives.
Ils ont été émis par une organisation de l’État ou une autorité officielle
dans le cadre de l’exercice de ses fonctions.

8
L’ordre à suivre est le suivant :
- L’auteur (s’il y en a)
- Le titre de la publication en italique
- La maison d’édition
- Le lieu
- L’année
- La page

Exemple : Loi n°97 – 010 portant Code de la famille, Présidence de la République,


Saint Paul, Kinshasa, 1997.

b. Sources d’archives inédites


L’ordre à suivre est à respecter scrupuleusement.
Le dépôt d’archives (si possible le nom de l’auteur), les emplacements (dépôts
d’archives) peuvent être remplacés par les sigles ou abréviations. Il serait mieux
de prendre les noms actuels, (ACK = Archives de la Commune de Kinshasa)
Le titre de l’article qui intéresse dans la farde
Le titre en italique qui figure sur le document
L’année
La page

Exemple : - ACK, Rapport économique de la Commune de Kinshasa, 2013, p.10

Exemple : ACK, Affaires économiques, KAZADI Lomela, J.P., le coût de la vie


à la Commune de Kinshasa en 2013, dans le dossier pour constituer le Rapport
économique 2013, le 10 juillet 2013.

3.2.2. Ouvrages et Livres


Ils sont présentés selon l’ordre alphabétique de noms des auteurs. Les ouvrages
anonymes sont classés selon l’ordre alphabétique du premier mot du titre.
Respectez la ponctuation.

L’ordre à suivre sera :


- NOM (complètement en majuscule) et Post-noms de l’auteur (en
minuscule), les initiales de prénoms en majuscule, le titre de l’ouvrage en
italique, la maison d’édition, la ville d’édition, l’année de parution, le
nombre de pages de l’ouvrage.
Exemple : MUTOMBO Kalwisha, J. M., la lutte pour l’indépendance, éd.
Progrès, Elisabethville, 1960, 175 p.

3.2.3. Articles d’une revue ou d’un journal


Ils sont à présenter selon l’ordre alphabétique de noms des auteurs. Respectez la
ponctuation.

9
- NOM (complètement en majuscule) et Post-noms de l’auteur (en
minuscule), les initiales du prénom en majuscule l’intitulé de l’article entre
guillemets suivi de la mention « dans », le nom de la revue en italique, la
série en chiffre romain, le numéro en chiffre arabe, la périodicité de la revue
entre parenthèse, le nombre de pages que contient l’article.

Exemple : MECKE, D. L., « Facteurs antérieurs et infrastructures des pays


en voie de développement », dans Revue du Tiers Monde, XVII (Avril-Juin
1977), p. 256-350.

3.2.4. Travail inédit (TFC, Mémoire, Thèse, Cours)

a. Travail de Fin de Cycle


NOM (complètement en majuscule) et Post-noms de l’auteur (rien que son initial
en majuscule), le titre du travail en italique, la nature du travail (TFC), la
spécialité, l’institution, la ville où est située l’institution, l’année, le nombre de
page du travail.

Exemple : NGOY Mbuyu F., Le regroupement en coopérative et son incidence


sur l’amélioration des conditions socio-économiques des agro-pratiquants de la
vallée de Nsanga dans la commune de Kimbanseke, Ville de Kinshasa, TFC en
Sciences et Techniques de Développement, OMNIA, Kinshasa, 2013, 78 p.

b. Mémoire de licence
NOM (complètement en majuscule) et Post-noms de l’auteur (rien que son initiale
en majuscule), le titre de mémoire en italique, la nature du travail (mémoire), la
spécialité, l’institution, la ville où est située l’institution, l’année, le nombre de
page du travail.

Exemple : BOSENGELE Issa Mondoko H., l’horticulture périurbaine pour un


développement socio-économique d’un milieu semi urbain. Cas de centre
maraichère de Ndjili / CECOMAF (2012-2013), mémoire de licence en Sciences
et Techniques de Développement, UOC, Lubumbashi, 1970, 232 p. + (XII
polycopies).

c. Thèse de doctorat
NOM (complètement en majuscule) et Post-noms de l’auteur (rien que son initiale
en majuscule), le titre de mémoire en italique, la spécialité de la thèse, le nombre
de tome, l’institution, la ville où la thèse a été soutenue, l’année, le nombre de
page de la thèse.

Exemple : BOKONGO Libakea, J. M., les Ngombe de l’Equateur. Une nouvelle


histoire d’un peuple en quête de son identité. Mutations sociales et stratégies
politiques, Thèse de doctorat en Sciences Historiques, 2t, UPN, 2011, 680p.

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d. Cours inédit
NOM (complètement en majuscule) et Post-noms de l’enseignant (rien que son
initiale en majuscule), le titre de cours en italique, spécifiez « cours inédit », la
promotion, l’institution, la ville, l’année, le nombre du cours.

Exemple : BOKONGO Libakea, J. M., Institutions politiques, administratives et


développement, cours inédit, L1 GAP, IFAD, 2015, 109 p.

3.3. Écritures brèves en notes infrapaginales

3.3.1. Références infrapaginales successives

Lorsque nous citons l’auteur d’un ouvrage pour la première fois dans une page,
citons-le intégralement :
NOM (complètement en majuscule) et Post-noms de l’auteur (rien que son initiale
en majuscule), le titre de l’ouvrage en italique, la maison d’édition, le lieu,
l’année, la page consultée.

Exemple : DUROSSELLE, J. P., L’Europe de 1815 à nos jours, PUF, Paris, 1967,
p. 117.

Lorsque nous citons l’auteur d’un article pour la première fois, nous le citons
intégralement :
NOM (complètement en majuscule) et Post-noms de l’auteur (rien que son initiale
en majuscule), l’intitulé de l’article entre guillemets suivi de la mention « dans »,
le nom de la revue en italique, la série en chiffre romain, le numéro en chiffres
arabes, la périodicité de la revue entre parenthèses, la ou les pages consultée(s).

Exemple : HENDRICKS, J., « L’enseignement au Congo dans le diocèse de


Basankusu », dans Annales Aéquatoria, 24 (2003), p. 110.

Lorsque nous citons l’auteur d’un travail inédit pour la première fois, nous le
citons intégralement :
NOM (complètement en majuscule) et Post-noms de l’auteur (rien que son initiale
en majuscule), le titre du TFC, mémoire ou thèse en italique, la spécialité du
travail, l’institution, le lieu, l’année, la ou les page(s) consultée(s).

Exemple : NGALULA Kabale, B., La communication communautaire comme


stratégie d’appui au développement durable dans la Commune de Kasa-Vubu,
TFC en Sciences et Techniques de Développement, IFAD, Kinshasa, 2014, p. 16
Voir les cours inédits, voir le point Dd. + la page consultée.

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Lorsque nous citons le même auteur pour toutes les fois suivantes dans la même
page (référence/S successive/s), nous utilisons Ibid. (abréviation de Ibidem).
Quand les deux notes infrapaginales qui se suivent ont la même page, le seul
Ibid. suffit. Mais quand ce sont des pages différentes, on les indique. Quand
entre les deux références au même livre s’intercale un autre livre, on fait
précéder Ibid. des noms de l’auteur tout en précisant la page même si c’est la
même.

Exemples :
1 DUROSSELLE, J. P., L’Europe de 1815…, p. 128.

2 Ibid.
3 Ibid., p. 130

4 HENDRICKS, J., « L’enseignement au Congo… », p. 15.

5 DUROSSELLE, J. P., Ibid., p. 130.

3.3.2. Références infrapaginales non successives


Lorsque nous citons le même livre du même auteur dans d’autres pages du travail,
nous le faisons de la manière suivante :

Exemples :
- DUROSSELLE, J. P., Op. cit., p. 198.
(op.cit. = opus citatum)
- HENDRICKS, J., Art. cit., p. 125.
(art. cit. = article cité)
- NGALULA Kabale, B., Op. cit., p. 28.

Il en est de même pour le cours, document, rapports, nous notons cours cit., doc.
cit., rap. cit., enquête cit., infos cit., interw. cit., etc.

3.4. Présentation des tableaux, graphiques, photographies, les statistiques


et autres.
Il faut numéroter les statistiques, les tableaux, les graphiques, les illustrations, les
photographies, leur donner des intitulés, indiquer les sources au – dessous du
tableau, illustration, graphique, cartes, etc.

3.5. La numérotation d’un TFC ou d’un mémoire


Les pages préliminaires sont numérotées en lettre I minuscule.
Exemple : I, II, III, IV.

La première page de l’introduction est la page 1 et la numérotation arabe se


poursuit jusqu’à la toute dernière page de la table des matières. La page de
l’annexe est celle qui suit directement la dernière page de la bibliographie. Les
autres pages que contiennent les annexes ne sont pas numérotées. Il est mentionné
ceci : Annexe 1 : intitulé de l’annexe, etc.

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Les parties, les chapitres, les sous chapitres doivent être hiérarchisés
numériquement (numérotation pseudo décimale) sans dépasser les trois chiffres
(exemple : 1.1.1.). Pour une plus grande hiérarchisation, on complète avec des
divisions alphabétiques (en majuscules, puis en minuscules).

Exemple : Chapitre 1
1.1.
1.1.1.
A.
a.
b.
c.
d.
B.
a.
b.
c. etc.

N.B. : Évitez trop de subdivisions qui risquent de donner au TFC ou au


mémoire l’impression des notes des cours et qui, de suite de ces cassures des
titres, leur font perdre l’aspect d’une argumentation continue.

Les présentes dispositions ont été adoptées par le Conseil académiques de


l’Université Omnia Omnibus.

Pour la mise en application des dispositions

Kinshasa, Janvier 2023

Le Rectorat
Professeur Théophile MBEMBA FUNDU

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