ICNA 2006 Com Phys Corrige

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ICNA - SESSION 2006

ÉPREUVE COMMUNE DE PHYSIQUE


CORRIGÉ

Rayonnement dipolaire.
1. Le champ magnétique est donné par B ( M ) = ∇ ∧ A ( M ) soit :
∂Az ( M ) ∂Az ( M )  ∂r ∂r  ∂ A z ( M ) y e x − x e y ∂ A z ( M )
B (M) = ex − ey =  ex − ey  =
∂y ∂x  ∂y ∂x  ∂r r ∂r
Or :
∂Az ( M ) µ0 δ  1 
y e x − x ey = r ∧ ez = −r sin θ eϕ et =− I0 + jk  exp ( j ( ωt − kr ) )
∂r 4π r  r 
On en déduit :
µ0 δ 1 
B (M) = I0 sin θ  + jk  exp ( j ( ωt − kr ) ) eϕ
4π r r 

2. Dans la zone de rayonnement ( kr  1) l'onde électromagnétique engendrée par le fil est


localement plane. Son champ électrique est donc tel que :
E ( M ) = c ( B ( M ) ∧ er )
soit :
µ0 c
E ( M ) = jk I0 δ sin θ exp ( j ( ωt − kr ) ) eθ
4π r

3. Pour calculer le vecteur de Poynting il faut revenir aux expressions réelles des champs, soit :
µ δ
B ( M ) = ℜe {B ( M )} = − k 0 I0 sin θ sin ( ωt − kr ) eϕ
4π r
µ0 c
E ( M ) = ℜe {E ( M )} = − k I0 δ sin θ sin ( ωt − kr ) eθ
4π r
On en déduit :
1 µ c
R (M) = ( E ( M ) ∧ B ( M ) ) = 0 2 ( kI0δ sin θ )2 sin 2 ( ωt − kr ) er
µ0 16 ( π r )
d'où :
µ0 c
R (M) = ( kI0 δ sin θ )2 sin 2 ( ωt − kr )
16 ( π r )
2

4. La puissance totale moyenne rayonnée par la portion de fil est égale au flux du vecteur de
Poynting moyen à travers la surface sphérique de centre O et de rayon r tel que kr  1 . On a donc :

P= ∫∫ R ( M ) . ( dS e r ) = ∫∫ R (M) (r 2
sin θ dθ dϕ )
S S
soit :
2π π
µ0 c µ0 c
( kI0 δ ) ∫ dϕ∫ sin ( kI0 δ )2
2 3
P= θ dθ =
32π 2
12π
0 0

AC
182 ICNA - SESSION 2006

Sphère uniformément chargée en surface.


5. Toute rotation autour d'un axe de la sphère laisse la distribution de charge invariante donc
E = E ( r ) où r est la distance entre le centre O de la sphère et le point M considéré.
Tout plan contenant le centre O de la sphère est plan de symétrie pour la distribution de charge ; E,
vecteur vrai, appartenant à tous ces plans est radial : E = E ( r ) er .
On applique alors le théorème de Gauss à une surface sphérique Σ de centre O et de rayon r, soit :
Q / ε 0 si r > R
4π r 2 E ( r ) = 
0 si r < R
OM
Compte tenu que er = , il vient :
OM
Q 1 OM
E(M) = H (r − R )
4πε 0 r 2 OM

Champ électrique et potentiel scalaire sont liés par E = −∇V , ce qui nous donne ici dV ( r ) = − E ( r ) .dr . Il
en résulte que :
 Q
 + K e si r > R
V ( r ) =  4πε0 r
K si r < R
 i
On détermine les constantes Ke et Ki à partir des conditions aux limites.
♦ Le potentiel est supposé nul à l'infini, soit : lim V ( r ) = K e = 0 .
r →+∞
Q
♦ Le potentiel est continu à la surface de la sphère, soit : K i = .
4πε0 R
En définitive il vient :
Q Q
V (M) = H (r − R ) + H (R − r)
4πε0 r 4πε 0 R
Remarques.
a) H(x) est l'échelon d'Heaviside.
b) A l'extérieur de la sphère (r > R) tout se passe comme si on avait une charge ponctuelle Q en O.
6. L'énergie électrostatique associée à cette distribution de charge est :
2 2π π +∞
ε ε  Q  dr
W = ⌠⌠⌠ 0 E 2 ( r ) dτ = 0 
⌡⌡⌡ 2 
2  4πε0  ∫ dϕ∫ sin θ dθ⌠⌡ r
0 0
2
R
soit :
Q2
W=
8πε0 R

7. La rotation de la sphère engendre un courant de convection de densité superficielle :


Q
js ( M ) = σV ( M,S / R ) = σ ( Ω ( S / R ) ∧ OM ) = σ Ω R sin θ eϕ = Ω sin θ eϕ
4πR
L'anneau, d'axe ∆ = ( O, e z ) , repéré par l'angle θ et d'extension angulaire dθ, est alors parcouru par un
courant d'intensité :
ΩQ
( )
dI = js ( θ ) . R dθ eϕ =

sin θ dθ

8. Cet anneau, de rayon ρ = R sin θ , crée en O un champ magnétique élémentaire :


µ0 µ QΩ 3
dB ( O ) = dI sin 3 θ ez = 0 sin θ dθ ez
2ρ 8π R

AC
ÉPREUVE COMMUNE DE PHYSIQUE - CORRIGÉ 183

On en déduit, par intégration, le champ magnétique total en O :


µ QΩ
B (O) = 0 ez
6π R

Conduction et rayonnement thermiques.


9. Les deux conducteurs thermiques, cylindriques et homogènes, sont montés en série et il n'y a pas
de résistance thermique de contact entre les deux cylindres. La résistance thermique de l'ensemble est
alors :
4e  1 1  4e  λi + λs 
Re = Ri + Rs = 2 
+ =  
πD  λi λ s  πD 2  λi λ s 

10. En régime stationnaire il y a continuité du flux thermique au niveau de la surface plane supérieure
ce qui se traduit par :
Tinf − Tsup,0 πD2
Re
=
4
(
h Tsup,0 − Tatm )
On en déduit la température de cette surface :
πD 2 hR e Tatm + 4Tinf
Tsup,0 =
πD 2 hR e + 4

11. Le contact entre les deux cylindres étant parfait on définit une température d'interface unique notée
TI,0 . En régime stationnaire, en l'absence de terme de production, le flux thermique est conservé ce que l'on
peut traduire par :
TI,0 − Tsup,0 Tinf − Tsup,0
=
Rs Re
4e
avec R s = . On en déduit :
πD 2 λs

TI,0 = Tsup,0 +
4e
πD 2 λs R e
(
Tinf − Tsup,0 )
soit encore, si on explicite Re :
λ i Tinf + λ s Tsup,0
TI,0 =
λi + λs
La température à l'interface des deux cylindres apparaît comme le barycentre de Tinf et Tsup,0 affectés
respectivement des coefficients λi et λs.
12. Si Tmur = Tsup alors l'échange net radiatif entre les murs et le cylindre supérieur est nul.

13. La surface plane du cylindre supérieur est en contact avec un fluide transparent. En régime
stationnaire la condition de continuité du flux d'énergie, compte tenu de la loi de Stefan, implique :
Tinf − Tsup πD 2 πD 2
Re
=
4
(
h Tsup − Tatm +
4
4
)
σ Tsup 4
− Tmur ( )
Or, on suppose que les températures Tmur et Tsup sont suffisamment proches pour écrire le terme
d'échange net radiatif sous la forme :
πD2 πD2
4
( 4
σ Tsup 4
− Tmur = ) 4
2
σ Tsup ( 2
+ Tmur ) (T sup + Tmur )( Tsup − Tmur ) ≈ πD2σTmur
3
( Tsup − Tmur )
Il en résulte que :

Tsup =
(
πD2 R e hTatm + 4σTmur
4
+ 4Tinf )
πD 2
( 3
R e h + 4σTmur )+4

AC
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N.B. Le rayonnement thermique et la loi de Stefan ne sont pas au programme des classes de
PC et PSI.

Machine frigorifique.
14. Dans une machine thermique on a, rapporté à l'unité de masse, q froid > 0 , q chaud < 0 et w > 0 .
Dans l'exemple proposé, le fluide caloporteur reçoit de la source froide, au cours d'un cycle, une quantité
de chaleur par unité de masse :
q froid = h A − h E = h A − h D = 1137kJ.kg −1
et de la source chaude :
q chaud = h D − h B = −1325kJ.kg −1

q froid
15. L'efficacité de la machine frigorifique est définie par η = . Or, le premier principe de la
w
thermodynamique appliqué, au cours d'un cycle, à l'unité de masse du fluide s'écrit :
w + q froid + q chaud = 0
Il en résulte que :
q froid −1
η= = ≈6
− ( q froid + q chaud ) q
1 + chaud
q froid

16. La variation d'enthalpie massique de la vapeur - considérée comme un gaz parfait - au cours du
refroidissement isobare BC est donnée par la deuxième loi de Joule :
h C − h B = c p ( TC − TB )
D'autre part, la variation d'enthalpie massique du fluide au cours de sa liquéfaction isobare et totale CD, à
la température TC, est telle :
h D − h C = −A v ( TC )
L'enthalpie massique étant une fonction d'état on déduit, des deux relations précédentes, la chaleur latente
de vaporisation du fluide à la température TC :
A v ( TC ) = h B − h D − cp ( TB − TC )

17. Au cours de la vaporisation totale du fluide du point d'équilibre E au point A, à la température TA,
on observe une variation d'enthalpie massique :
h A − h D = (1 − x E ) A v ( TA )
On en déduit le titre massique en vapeur au point E :
h − hD
xE = 1− A ≈ 0,12
A v ( TA )

18. Pour maintenir constante la température de la chambre froide le fluide doit recevoir de la source
froide, en régime stationnaire, une puissance thermique :
Pth = D m q froid
Le fluide frigorifique présente donc un débit massique :
P
D m = th = 0, 012kg.s −1
q froid

Circuit RC en régime transitoire.


19. Après fermeture de l'interrupteur le circuit est parcouru par un courant d'intensité :
dq b ( t ) dv ( t ) v ( t ) − u ( t ) u ( t ) du ( t )
i(t) = − = −C b = = + Ca
dt dt Rb Ra dt
On en déduit les deux équations différentielles :

AC
ÉPREUVE COMMUNE DE PHYSIQUE - CORRIGÉ 185

dv ( t ) v(t) − u (t) d2u ( t )  1 1 1  du ( t ) u (t)


+ =0 (1) 2
+ + +  + =0 (2)
dt R b Cb dt  R b Ca R a Ca R b C b  dt R a R b Ca Cb

L'équation différentielle (2) a pour équation caractéristique l'équation du second degré :


 1 1 1  1
z2 +  + + z + =0
 R b Ca R a Ca R b C b  R a Ca R b C b
Le discriminant de cette équation :
2 2
 1 1 1  4 1 2  1 1   1 1 
∆= + +  − = +  + + − 
 R b C a R a Ca R b C b  R a C a R b C b ( R b Ca )
2
R b Ca  R a C a R b C b   R a Ca R b C b 
est toujours positif. L'équation caractéristique admet donc deux solutions réelles et négatives (le produit
des racines est positif alors que leur somme est négative). On les notera respectivement z1 et z2 avec
z 2 < z1 . La solution générale de (2), de type apériodique, est donc de la forme :
u ( t ) = A exp ( z1t ) + Bexp ( z 2 t )
On détermine les constantes A et B à l'aide des conditions initiales :
 du ( t )  v ( 0)
u ( 0 ) = A + B = 0 et   = z1A + z 2 B =
 dt  R b Ca
 t =0
On obtient en définitive :
v ( 0)
u (t) =
( z1 − z 2 ) R b Ca
( exp ( z1t ) − exp ( z2 t ) )
On peut alors déterminer v(t) avec l'équation (1).
Notons que u(t) passe par un maximum à l'instant t1 > 0 tel que :
1 z 
t1 = ln  2 
z1 − z 2  z1 

20. Dans le cas limite Rb = 0 le condensateur de capacité Ca se charge très rapidement, sans que la
tension aux bornes de Cb varie notablement. Les deux condensateurs montés en parallèle, de capacité
totale C = ( Ca + Cb ) , se déchargent alors à travers la résistance Ra avec une constante de temps
τ = R a ( Ca + C b ) .

L'œil.
Remarques préliminaires.
♦ Typiquement l'œil normal (emmétrope) qui n'accommode pas (punctum remotum R à l'infini)
présente une vergence de l'ordre de V ≈ 60 δ . Par ailleurs si on suppose que le punctum
proximum P est à 15 cm en avant de l'œil on aura une amplitude dioptrique d'accommodation
A ≈ 6, 7 δ .
♦ Les questions gagneraient à être posées avec plus de rigueur et de clarté. Quant à la
distance cristallin/rétine elle est à revoir à la hausse.
21. L'objet, situé entre le punctum remotum et le punctum proximum de l'œil normal donne, sur la
rétine, une image réelle et renversée. C'est le cerveau qui la redresse.
Le cristallin est assimilé à une lentille mince convergente, de centre optique O et de vergence V variable,
4
séparant deux milieux d'indices différents no = 1 (air) et n i = (corps vitré) ; une telle lentille
3
convergente est équivalente à un dioptre sphérique de sommet O.

22. On a AB = 10 cm , OA = −1m et OA ' = d = 15 mm . Le grandissement transversal correspondant


est :

AC
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A 'B' 1 OA '
Gt = = = −0, 0113
AB n i OA
et la taille de l'image :
A 'B' = G t AB = −0,113cm

23. Dans cette situation la vergence du cristallin est :


−1 n
V= + i = 89,9 δ
OA OA '
24. La distance œil/objet est divisée par 4 ; il en résulte que :
♦ le grandissement transversal et la taille de l'image sont multipliés par 4, soit A ' B' = −0, 45cm ;
♦ la vergence du cristallin est augmentée de 3 δ.
25. L'œil myope, lorsqu'il regarde un objet à l'infini, présente une vergence :
n ( 4 / 3)
V= i = = 92, 0 δ
d ' 14,5.10−3
La position de son punctum remotum est donc telle que :
d
OR = = −32, 6 cm
n i − Vd
c'est-à-dire à 32,6 cm en avant de l'œil.
On corrige ce problème de vue avec une lentille divergente dont le foyer image doit être confondu avec le
punctum remotum de l'œil myope. Elle doit donc présenter une vergence :
1 1
V' = = = −3,3 δ
O 'F' O 'O + OR
26. Une lentille divergente ne donne jamais une image réelle d'un objet réel. Dans la situation
présente, la position de l'image intermédiaire par rapport à l'œil est telle que :
O'A O 'O + OA
OA ' = OO ' + O ' A ' = OO ' + = OO ' + = −25,3cm
1 + V '.O ' A (
1 + V ' O 'O + OA )
Cette image virtuelle sert d'objet réel pour l'œil.
27. L'image définitive se forme sur la rétine. Le cristallin de l'œil myope présente alors une vergence :
−1 n
V= + i = 92,8 δ
OA ' OA"
Le grandissement transversal relatif à la lentille divergente est :
A 'B ' O 'A '
G 't = = = 0, 238
AB O'A
et celui relatif à l'œil :
A "B" 1 OA "
Gt = = = −0, 0445
A ' B ' n i OA '
28. Des résultats précédents on déduit :
A ' B' = 2,38cm A"B" = 0,11cm

Dispositif des fentes d'Young.


29. Les deux ondes qui interfèrent proviennent de la diffraction de la lumière (raie turquoise, peu
intense, du mercure) par les fentes F1 et F2.
30. Pour observer le phénomène de diffraction (et d'interférence) dans les conditions de Fraunhofer, il
faut placer :

AC
ÉPREUVE COMMUNE DE PHYSIQUE - CORRIGÉ 187

♦ la fente source S dans le plan focal objet de la lentille L1 (on réalise un collimateur) ;
♦ l'écran d'observation E dans le plan focal image de la lentille L2.
L'objet diffractant se situe entre L1 et L2.
31. Si on suppose que la fente source est centrée sur l'axe optique du système alors l'éclairement de
l'écran E est tel que :
 ax    dx  
E ( x ) = 2E0 sinc 2  π   1 + cos  2π λf '  
 λ f '   
On observe, à l'intérieur de la tâche centrale de diffraction, des franges d'interférence parallèles à l'axe Oy
et équidistantes de :
λf '
i= ≈ 0, 05mm
d
32. La translation, parallèlement à Ox, de l'objet diffractant est sans effet sur la distribution
d'éclairement de l'écran E : la figure d'interférence et la valeur de l'interfrange ne sont pas modifiées.
33. Si, à partir du montage initial, on translate la fente source S d'une distance c suivant la direction
Ox alors la figure d'interférence subit une translation de c en sens inverse de celle de S, mais la valeur de
l'interfrange n'est pas modifiée.
34. La frange centrale, brillante, est centrée sur image géométrique de la source.

Mouvement d'une sphère homogène le long d'un plan incliné.


35. On a un mouvement plan sur plan donc le vecteur rotation instantanée est tel que :
Ω ( S/ R ) = Ωez0

36. Le théorème de la résultante dynamique appliqué à S dans R s'écrit :


ma ( S / R ) = m g + R
On en déduit par projection, respectivement suivant ex et ey, les deux équations scalaires :
 = T + mg sin α
mx (1-a) 0 = N − mg cos α (1-b)

37. On applique à S le théorème du moment cinétique barycentrique :


 dσ ( C,S / R *) 
  = M ext ( C )
 dt R *
avec σ ( C,S / R *) = I Ω ez0 et M ext ( C ) = CC ∧ mg + CI ∧ R = rT e z0 .
On en déduit :
dΩ
I = rT (2)
dt
38. La sphère roule sans glisser sur le plan incliné si sa vitesse de glissement en I est nulle à chaque
instant :
V ( I,S / R ) = V ( I,S/ R ) + Ω ( S / R ) ∧ CI = ( x + r Ω ) e x = 0
soit :
x = −r Ω (3)
Les relations (2) et (3) nous conduisent alors à :
2
T = − mx  (4)
5
39. On obtient l'énergie cinétique de la sphère dans R à l'aide du théorème de Koenig :
1 1
E c = mx 2 + IΩ 2
2 2
soit avec le condition de roulement sans glissement :

AC
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7 7
Ec = mx 2 = IΩ 2 (5)
10 4
On applique le théorème de la puissance cinétique à S dans R :
dE c
= Pext
dt
La sphère roulant sans glisser sur le plan incliné la puissance des efforts extérieurs se réduit à la puissance
développée par le poids, soit :
Pg = m g.V ( C,S / R ) = m g x sin α
On en déduit :
5
x=
 g sin α (6)
7
puis avec (1-a) ou (4) :
2
T = − mg sin α (7)
7

40. Il y a effectivement roulement sans glissement si, d'après les lois de Coulomb-Morin, T < fN ,
soit :
7
tan α < f (8)
2

AC

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