Dimensionnent D Un Pignon Crémaillère
Dimensionnent D Un Pignon Crémaillère
Dimensionnent D Un Pignon Crémaillère
Pignon crémaillère.
Le système à pignon et crémaillère transforme le mouvement de rotation du pignon en un mouvement de translation de la crémaillère ou vice versa.Si l'on fait bouger la crémaillère, les dents de la crémaillère s'engrèneront dans les dents du pignon qui subira alors un mouvement de rotation. Il s'agit donc d'un système réversible.On utilise un système
pignon-crémaillère dans le mécanisme de direction des voitures.Direction à crémaillère d'une voitureAvantages :Il n'y a aucun glissement lors de la transformation de ce mouvement.La force de ce système est relativement grande.Inconvénients :Les engrenages qui sont utilisés peuvent nécessiter une lubrification importante.Ce mécanisme nécessite
un ajustement précis à cause des dents entre la roue et la crémaillère.Il y a beaucoup d'usure.Ce n'est pas un mouvement cyclique, c'est un mouvement fini (on doit s'arrêter lorsqu'on est rendu au bout de la crémaillère).Principe du système pignon-crémaillèreLa roue a les même propriétés géométriques qu'une roue dentée classique. La loi
cinématique d'entrée/sortie est issue du roulement sans glissement entre le cercle primitif de la roue et la ligne primitive de la crémaillère.Un système pignon-crémaillère peut être représenté par le schéma ci-contre :Entrée : énergie de rotation, caractérisée par une vitesse angulaire ω et un couple C.Sortie : énergie de translation, caractérisée par
une vitesse linéaire V et une force F.Paramètres :Le rayon primitif : rayon primitif du pignon (en m), dépendant du nombre de dents et du module.Le rendementFlux du système pignon-crémaillèreGrandeurs de flux :La crémaillère avance d'une distance L égale à l'arc α (en radians) décrit par le cercle primitif.En divisant par le temps, on obtient la
relation entre les vitesses.Pignon-crémaillère : grandeurs de fluxGrandeurs d'effort :Le système actionné en sortie demande un effort F qui va appeler un couple C à fournir en entrée.La puissance en entrée est égale à la puissance en sortie au rendement près :Pigono-crémaillère : grandeurs d'effortPage 2Le système de came et tige-poussoir (aussi
appelée tige guidée) permet de transformer le mouvement de rotation de la came en un mouvement de translation alternatif (de va-et-vient) de la tige-poussoir.Le contact de la tige sur la came ne peut être maintenu que grâce à une force de rappel souvent obtenue à l'aide d'un ressort. Une traction sur la tige ne peut donc pas entraîner la came. Ce
système est irréversible.Dans un moteur à explosion, les soupapes d'admission et l'échappement des gaz sont synchronisées grâce à un système de cames.Cames et soupapesArbre à cames dans un moteur à explosionAvantages :On peut configurer la came de façon à faire varier le déplacement de la tige d'un mouvement de translation à un autre.Ce
système permet une réduction considérable de la vitesse.Il permet des ajustements précis.Inconvénients :Les pièces s'usent rapidement et elle nécessite un besoin constant de lubrification.Le risque de vibrations importantes est présent si la came tourne à grande vitesse.Came à profil spécifiqueLa came a la particularité d'avoir un rayon variable. La
loi cinématique d'entrée/sortie dépend donc de la forme de la came. En fait, la forme de la came doit être déterminée en fonction de la loi d'entrée/sortie souhaitée.Un système came-tige peut être représenté par le schéma ci-contre :Entrée : énergie de rotation, caractérisée par une vitesse angulaire ω et un couple C.Sortie : énergie de translation,
caractérisée par une vitesse linéaire V et une force F.Paramètres :Le rayon variable détermine la course = rayon maximum - rayon minimumLe rendementFlux du système came-tigeGrandeurs de flux :Le mouvement de la tige est périodique. Il dépend de la forme de la came.On fait l'hypothèse que le mouvement de rotation se fait à vitesse angulaire
constante.Pour connaître la vitesse de la tige, il faut dériver la course de la tige par rapport au temps.Dans l'exemple suivant la came est de forme elliptique.Course et vitesse de la tigeGrandeurs d'effort :La tige est généralement rappelée par un ressort. La force exercée par le ressort est de la forme : F = F0 + k . LF0 : précontraintek : raideur du
ressortL : longueur de déplacement de la tigeLa puissance en entrée est égale à la puissance en sortie au rendement près :Ce système est complexe en raison de la variabilité de la forme de la came. Il est préférable de déterminer le couple de manière expérimentale.Page 3contenumenunavigationpied de pagePage 4contenumenunavigationpied de
pagePage 5Page 6Page 7Un générateur électrique est un dispositif permettant de produire de l'énergie électrique à partir d'une autre forme d'énergie. Par opposition, un appareil qui consomme de l'énergie électrique s'appelle un récepteur électrique.Alimentation stabiliséeL'alimentation stabilisée offre la possibilité de régler la tension délivrée.La
batterie se caractérise par la tension nominale qu"elle délivre et par sa capacité ( Ah ) . La batterie se recharge.BatteriePilesLa pile se caractérise par la tension nominale qu'elle délivre et par sa capacité ( Ah ) . La pile ne se recharge pas .Le générateur délivre une tension continue U en volts et une intensité I en ampère qui dépend de la puissance
du récepteur auquel il est connecté.Le générateur se modélise par un générateur de tension parfait E associé à une résistance R .Parfois le générateur se trouve éloigné du récepteur auquel il doit transmettre l'énergie. Dans ce cas la résistance des fils d'alimentation n'est pas forcément négligeable devant la résistance interne du
générateur.Attention, l'alimentation nécessite deux fils, Rf représente la résistance des deux fils.Page 8contenumenunavigationpied de pagePage 9Page 10La résistance électrique traduit la propriété d'un composant à s'opposer au passage d'un courant électrique (l'une des causes de perte en ligne d'électricité).
Elle est souvent désignée par la lettre R et son unité de mesure est l'ohm (symbole : Ω). Elle est liée aux notions de résistivité et de conductivité électrique.La résistance est responsable d'une dissipation d'énergie sous forme de chaleur. Cette propriété porte le nom d'effet Joule. Cette production de chaleur est parfois un effet souhaité (résistances de
chauffage), parfois un effet néfaste (pertes Joule) mais souvent inévitable.Le courant qui traverse la résistance est en phase avec la tension à ses bornes.Les fils conducteurs qui permettent de transporter l'électricité ne sont pas dépourvus de résistances. Cette résistance est déterminée par la relation :Page 11Le condensateur est un composant
électronique élémentaire, constitué de deux armatures conductrices (appelées « électrodes ») séparées par un isolant polarisable (ou « diélectrique »). Sa propriété principale est de pouvoir stocker des charges électriques opposées sur ses armatures. La valeur absolue de ces charges est proportionnelle à la valeur absolue de la tension qui lui est
appliquée. Il est souvent désigné par la lettre C, il est caractérisé par sa capacité exprimée en farads (F). L'intensité et la tension sont déphasées. En régime continu, l'intensité qui traverse le condensateur est nulle.Le condensateur est utilisé principalement pour :stabiliser une alimentation électrique (il se décharge lors des chutes de tension et se
charge lors des pics de tension) ;traiter des signaux périodiques (filtrage...) ;séparer le courant alternatif du courant continu, ce dernier étant bloqué par le condensateur ;stocker de l'énergie, auquel cas on parle de supercondensateur.Page 12Une inductance, solénoïde, bobine ou quelquefois self , est un composant courant en électrotechnique et
électronique.
Une bobine est constituée d'un enroulement de fil conducteur éventuellement autour d'un noyau en matériau ferromagnétique qui peut être un assemblage de feuilles de tôle ou un bloc de ferrite (céramique ferromagnétique). Elle est souvent désignée par la lettre L et son unité de mesure est le Henry ( symbole : H ). L'intensité et la tension sont
déphasées. En régime continu, la tension aux bornes d'une self est nulle.Les bobines sont utilisées dans de nombreuses applications : pour créer une impulsion de haute tension ( moteurs à allumage commandé, clôture électrique tube fluorescent) ; pour leurs propriétés électromagnétiques (électroaimants ; relais électromécaniques moteurs
électriques) ;pour le filtrage d'un signal électrique ;pour constituer des circuits résonants ;pour accorder l'impédance d'un circuit ;pour les alimentations à découpage ;pour les flashs électroniques, ;pour les armes fonctionnant par choc électrique.Page 13Page 14Le pont diviseur de tension est un montage électronique simple qui permet de diviser
une tension d'entrée. Un circuit constitué de deux résistances en série est par exemple un montage élémentaire qui peut réaliser cette opération. Il est couramment utilisé pour créer une tension de référence ou comme un atténuateur de signal à basse fréquenceLa tension de sortie Us est toujours inférieure à la tension d'entrée Ue, en effet K < 1.R1
et R2 doivent être choisies de telle sorte que le courant de sortie Is soit très inférieur au courant d'entrée Ie.Page 15Le hacheur série ou convertisseur continu - continu est un dispositif de l'électronique de puissance mettant en œuvre un ou plusieurs interrupteurs électroniques commandés ce qui permet de modifier la valeur de la tension d'une
source de tension continue avec un rendement élevé.
Il est plus souvent appelé MLI ( Modulation par Largeur d'Impulsion ) ou PWM ( Pulse Wide Modulation ).Le rapport th/T est appelé : rapport cyclique.Page 16Un transformateur électrique (parfois abrégé en transfo) est une machine électrique permettant de modifier les valeurs de tension et d'intensité du courant délivrées par une source d'énergie
électrique alternative, en un système de tension et de courant de valeurs différentes, mais de même fréquence et de même forme. Il est analogue à un engrenage en mécanique (le couple sur chacune des roues dentées étant l'analogue du courant et la vitesse de rotation étant l'analogue de la tension).Les relations sont établies avec un rendement de
100 %.Page 17Page 18Une machine électrique est un dispositif électromécanique basé sur l'électromagnétisme permettant la conversion d'énergie électrique en énergie mécanique.Ce processus est réversible et peut servir à produire de l'électricité.Les machines électriques produisant de l'énergie électrique à partir d'une énergie mécanique sont
communément appelées des génératrices, dynamos ou alternateurs suivant la technologie utilisée.Les machines électriques produisant de l'énergie mécanique à partir d'une énergie électrique sont communément appelées des moteurs.
Les machines électriques tournantes sont réversibles, la même machine peut fonctionner en moteur ou en génératrice.Le moteur à courant continu utilisé en génératrice produit une tension continue au stator, c'est la génératrice à courant continu (dynamo).Le moteur synchrone utilisé en génératrice produit une tension de fréquence directement
proportionnelle à la vitesse de rotation, c'est la génératrice synchrone (alternateurs des centrales électriques).Le moteur asynchrone utilisé en génératrice produit une tension de fréquence légèrement inférieure au cas de la génératrice synchrone c'est la génératrice asynchrone (centrales éoliennes). Les machines tournantes fonctionnant en moteur
se caractérisent par :En entrée (énergie électrique) :un courant I (en A)une tension U (en V)En sortie (énergie mécanique) :une vitesse angulaire ω (en rad/s)un couple C (en N.m)La figure ci-contre représente ce fonctionnement en moteur.Lorsqu'elles fonctionnent en génératrice, le flux d'énergie est inversé. L'énergie d'entrée devient l'énergie
mécanique et l'énergie de sortie l'énergie électrique.Conversion électromécanique : flux d'énergieLe transfert d'énergie n'étant pas parfait, il génère des pertes caractérisées par le rendement :Pa : puissance absorbée (en W)Pu : puissance utile (en W)Si La machine fonctionne en moteur, Pu est la puissance mécanique et Pa la puissance électrique.Si
La machine fonctionne en génératrice, Pu est la puissance électrique et Pa la puissance mécanique.Page 19Page 20Hypothèses de la machine idéale :pas de pertes : Pu = Papas d'inertie : marche et arrêt instantanésLe fonctionnement peut être décrit à partir d'une constante appelée constante de couple et notée k.Machine à courant continu : flux
d'énergie en mode moteurFonctionnement en moteur :la tension pilote la vitesse : le couple appelle le courant : Fonctionnement en génératrice :la vitesse génère la tension : le courant débité appelle le couple : Unités : ω en rad/s, U en V, k en N.m/A, I en A et C en N.m.Caractéristiques du moteur à courant continu idéalMoteur à courant continu avec
SimulinkPage 21Hypothèse de la machine réelle en régime permanent :la résistance d'induit est constante : Rles pertes à vide sont caractérisées par un courant à vide supposé constant : Iole couple résistant de la charge est constant : Cl'inertie du rotor est négligéeMachine à courant continu réelle en régime permanent : flux d'énergie en mode
moteurLes relations de conversion deviennent :E est la force électromotrice (fem) en V, ω la vitesse angulaire du rotor en rad/s, C le couple sur l'arbre moteur en N.m, I le courant relatif au couple utile en A, et k la constante de couple en Nm/A.Fonctionnement en moteur :la tension pilote la vitesse : le couple appelle le courant : Caractéristiques du
moteur à courant continu en régime permanentFonctionnement en génératrice :la vitesse génère la tension : le courant débité appelle le couple : A noter que k.Io représente le couple de perte Co à fournir pour entraîner la génératrice à vide (circuit électrique ouvert)Schéma électrique en moteur ou génératriceMoteur à courant continu en régime
permanent avec SimulinkPage 22Hypothèse de la machine réelle en régime transitoire :la résistance d'induit est constante : Rles pertes à vide sont caractérisées par un courant à vide supposé constant : Iol'inertie du mécanisme est prise en compte avec le moment d'inertie : JLes deux premiers paramètres sont fréquemment donnés dans les
documentations des constructeurs, ainsi que l'inertie du rotor. L'inertie du mécanisme comprend celle du rotor du moteur, mais aussi celle de la charge donc le moment d'inertie global doit être calculé et ramené sur l'arbre du moteur.Machine à courant continu réelle en régime transitoire : flux d'énergie en mode moteurLes relations de conversion
deviennent :E est la force électromotrice (fem) en V, ω la vitesse angulaire du rotor en rad/s, C le couple sur l'arbre moteur en N.m, I le courant relatif au couple utile en A, k la constante de couple en Nm/A, Ca le couple d'accélération en N.m, J le moment d'inertie en kg.m², ω' l'accélération angulaire en rad/s².Fonctionnement en moteur :la tension
pilote la vitesse : le couple appelle le courant : Fonctionnement en génératrice :la vitesse génère la tension : le courant débité appelle le couple : Cm est le couple moteur que doit fournir le système d'entraînement de la génératrice.Moteur à courant continu en régime transitoire avec SimulinkPage 23Hypothèses :rendement constantfacteur de
puissance constantpas d'inertie : fonctionnement en régime permanentLa vitesse ne dépend que du nombre de paires de pôles p (pôle sud + pôle nord).Machine synchrone : flux d'énergieFonctionnement en moteur :la fréquence pilote la vitesse : n est la vitesse en tr/s, N la vitesse en tr/min, f la fréquence du courant en Hz, p le nombre de paires de
pôles.Expression du courant : Le facteur correspond à un moteur triphasé, le plus utilisé industriellement. Pour un moteur monophasé, ce facteur est 1.Fonctionnement en génératrice :C'est l'alternateur des centrales électriques. On ne l'étudie pas au niveau bac.Page 24Hypothèses :Utilisation entre 70% et 100% de la charge nominalerendement
constantfacteur de puissance constantpas d'inertie : fonctionnement en régime permanentLa vitesse ne dépend que du nombre de paires de pôles p (pôle sud + pôle nord).Machine asynchrone : flux d'énergieFonctionnement en moteur :la fréquence pilote la vitesse et dépend du couple : n est la vitesse en tr/s, N la vitesse en tr/min, f la fréquence du
courant en Hz, p le nombre de paires de pôles, C couple utile et Cn couple nominal en N.m, g glissement nominal.Expression du courant : Le facteur correspond à un moteur triphasé, le plus utilisé industriellement. Pour un moteur monophasé, ce facteur est 1.Fonctionnement en génératrice :C'est l'alternateur des centrales éoliennes. On ne l'étudie
pas au niveau bac.Couple du moteur asynchronePage 25Page 26Le stockage de l'énergie est souvent une nécessité :pour différer son utilisation par rapport à sa production : stockage longpour optimiser les performances des systèmes à fonctionnement intermittent en assurant un stockage provisoire : stockage courtOn peut ainsi distinguer deux
modes de stockage :sous forme d'énergie potentielle : stockage longsous forme d'énergie cinétique : stockage courtLa fonction de stockage est par nature réversible.Le stockage peut se faire dans différentes filières énergétiques. 29/12/2009, 13h43 #1 ------ Bonjour à tous, Malgré mes recherches sur le net, je ne trouve pas de document assez précis
afin de dimensionner un système de pignon crémaillière. Je dois en effet à partir de la rotation d'un moteur effectuer un mouvement de translation de la crémaillère avec une force de 300 kN.
Est ce que quelqu'un aurait des documents ou les calculs afin que je puisse calculer le module nécessaire si je souhaite faire cette crémaillère en acier ? Merci d'avance. Boris ----- 29/12/2009, 14h29 #2 Bonjour Regardez à la page 10 de ce document. Cordialement PS en acheter une toute faite vous coûtera toujours moins que d'en fabriquer.
29/12/2009, 16h58 #3 Merci pour cette réponse mais malheureusement je n'y trouve pas mon bonheur. Je souhaiterais en effet connaitre le module nécessaire afin que ma crémaillière résiste. Merci d'avance.
Cordialement, Boris 29/12/2009, 17h40 #4 Bonsoir 300 kN ça comme à faire. C'est certainement un module très important je n'ose même pas dire la taille. Il serait plus prudent de questionner un fabricant de crémaillère. Il faut préciser la vitesse car la taille du pignon est influencé par cette donnée. Egalement précisez si c'est une charge statique ou
dynamique (quelle est l'inertie aussi). Peut être que si Fred où Mécano41 passe par là ils pourront vous donner des calculs plus précis, mais avec les fêtes il faut être un peu patient. En attendant vous pourriez regarder ceci qui utlisé pour les chemins de fers.
Vous y verrez au moins les différentes techniques de crémaillères et le choix des aciers à utiliser. Cordialement Aujourd'hui 29/12/2009, 18h29 #5 bonjour tout le monde et zozo en particulier, 300 kn , cela fait en effet beaucoup. Je crois que les premiers points seraient d'avoir une idée un peu plus precise de l'application. Pour ma part, sauf
contrindications, je serai plutot parti sur un systeme à base de chaines, mais seule une description un peu plus precise de l'application peut permettre d'envisager les solutions les plus adaptées fred On ne vient pas de nulle part et il serait souhaitable qu'on n'aille pas n'importe où ! 29/12/2009, 19h03 #6 re, Je souhaiterais en effet connaitre le module
nécessaire afin que ma crémaillière résiste. le module ne suffit pas, il faut aussi la largeur de la cremaillere. dans le message 4 de cette discution, les documents envoyés par Jaunin te permettent de predimentionner ton module fred On ne vient pas de nulle part et il serait souhaitable qu'on n'aille pas n'importe où ! 07/01/2010, 13h42 #7 Bonjour, J'ai
trouvé pour le module. Il me faut un Kb =12 ( largeur la plus important car Kb = [8;12 ]). Ensuite on considère l'engrainement entre deux cylindre et on utilise la formule qui met en jeu la contrainte max admise par le matériaux, l'effort demandé et cela m'a donné une idée du module. Merci pour cette aide. Boris