Carr William Guy - Le Poison Du Diable

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WILLIAM GUY CARR

LE POISON DU DIABLE
William Guy CARR

Le Poison
du
Diable
L’Asservissement par la Fluoration
ou
La Vérité sur le Fluor

(Traduction d’E. L.)

Éditions Saint-Remi
– 2015 –
Du même auteur au éditions Saint-Remi :

- « Des Pions sur l’Echiquier » ;


- « Brouillard Rouge sur l’Amérique » ;
- « La Conspiration Mondiale » ;
- « Satan, Prince de ce Monde » ;
- « Les Plans de la Synagogue de Satan » ;
- « La Secte des Illuminés » ;
- « La Conspiration Internationale »

© 2015 – Tous droits réservés sur la traduction.

Éditions Saint-Remi
BP 80 – 3341 CADILLAC
www.saint-remi.fr
J
’ai vingt-sept petits-enfants ; en consé-
quence, il m’a paru important de savoir
si la fluoration pouvait leur être bénéfi-
que ou non. Depuis 1925 j’ai entretenu des re-
lations étroites avec les hôpitaux et la recher-
che médicale ; je pouvais rencontrer facilement
les hommes et les femmes reconnus comme les
plus hautes autorités dans la recherche médi-
cale et nutritionnelle.
Je transmets donc aux parents et aux méde-
cins d’Amérique ce que j’ai appris sur le fluor et
l’empoisonnement par le fluor, et je défie qui-
conque des partisans de la fluoration de nier
l’exactitude de ce que je publie.
Le fluor est le poison le plus mortel que
l’homme connaisse. Sa nocivité et la difficulté à
la maîtriser sont dues à ses affinités puissantes
avec de nombreux autres éléments chimiques ;
il possède une capacité remarquable à former
des composés stables mais il cache aussi de
terribles propriétés ou particularités mortifères.
Le fluor est incolore, inodore et sans saveur.
Les hommes de science, avant l’Ère Romaine, le
désignaient sous le nom de « Souffle du Diable ».
A la fin des années 1700, Scheele1 le dénomma

1 NDT : Carl Wilhelm Scheele (1742-1786) est un chi-


miste suédois célèbre pour avoir découvert plusieurs
éléments chimiques tels que le molybdène, le tungstène,
et des composés chimiques comme le cyanure
4 W. G. CARR

‘tigresse du chimiste’. Henri Moissan1 fut le


premier, en 1886, à l’isoler sous sa forme ga-
zeuse. Puis, vers 1935, Joseph Simmons put
l’associer à une molécule de carbone alors qu’il
menait des recherches à l’Université d’État de
Pennsylvanie. Les scientifiques allemands dé-
couvrirent alors comment produire de l’essence
pure de fluor, tellement mortelle que si une
simple goutte entre en contact avec la peau
d’un animal ou d’un être humain, celui-ci
meurt aussitôt. Une des particularités peu
connues du fluor est son aptitude à se déplacer
le long des troncs nerveux et à paralyser le sys-
tème respiratoire comme le fait aussi la polio-
myélite.
Les scientifiques de l’Université de Toronto
ont prouvé que le fluor ingéré par le corps hu-
main finit par s’accumuler et devient nocif2.

d’hydrogène, le fluorure d’hydrogène, l’hydrogène sulfu-


ré.
1 NDT : Henri Moissan ( 1852-1907), né dans une fa-

mille israélite de Paris, fut un chimiste français de re-


nom, spécialiste des corps à hautes températures, Mé-
daille Day en 1896, Prix Nobel de Chimie en 1906 ;
connu pour avoir isolé le premier, le fluor… Comman-
deur de la Légion d’Honneur, membre de l’Académie de
Médecine (1883) et de l’Académie des Sciences (1891).
Pour la petite histoire, la Poste a émis un timbre, en
1986, pour le centenaire de l’isolement du fluor…
2 Les professeurs M. P. Ham et Doreen Smith du ‘Dépar-

tement de Chimie Alimentaire’ sont les auteurs de


LE POISON DU DIABLE 5

Quoiqu’il en soit des affirmations des parti-


sans du fluor, il y a une différence notable entre
le fluor naturel et le fluorure de sodium : le
fluor naturel se trouve dans les feuilles et les
fruits de tout le règne végétal. En revanche on
extrait le fluorure de sodium lors de la fabrica-
tion de l’aluminium ou des autres métaux.
Le Créateur a voulu que le fluor puisse se
combiner avec d’autres éléments, dans la
croûte terrestre, ce qui permettait de contrôler
sa dangerosité. De petites quantités se déver-
sent dans le sol et les eaux, du fait de l’érosion.
Les plantes terrestres et maritimes, quant à el-
les, absorbent de minuscules quantités de ce
fluor par leurs racines et, à la suite de ce pro-
cessus ‘miraculeux’ qu’est le métabolisme, le
fluor se trouve déposé dans les feuilles et les
fruits des plantes. Toutes les créatures qui se
nourrissent d’herbe, de feuilles et de fruits in-
gèrent ce fluor naturel.

« Fluorine Balance Studies on Four Infants » (Études du


Bilan de Fluor sur Quatre Nourrissons) et de « Fluorine
Balance Studies on Three Women » (Études du Bilan de
Fluor sur Trois Femmes), études publiées dans le
« Journal of Nutrition » (américain), vol. 53, n°2 de juin
1954. Ces études ont prouvé de manière concluante que
la majeure partie du fluor ingérée par les êtres humains
par le biais de la nourriture ou de la boisson est conser-
vée par le corps.
6 W. G. CARR

Un être humain adulte qui suit un régime


normal composé d’aliments naturels ingère de
476 à 706 milligrammes de fluor par jour1.
La Nature (Dieu) a en effet prévu que le fluor
a pour fonction de durcir petit à petit les
structures osseuses. Lorsqu’un être humain, de
l’enfance à l’âge adulte a bénéficié d’une ali-
mentation naturelle, le niveau de fluor qu’on
relève dans le corps en pleine croissance est
parfait ; le durcissement de la structure os-
seuse se fait graduellement et la personne ar-
rive à une taille normale en possession d’os so-
lides et d’une dentition non moins solide. Le
manque de fluor naturel dans le corps, pendant
la croissance, occasionne un ramollissement
des os qui deviennent alors vulnérables aux at-
taques de germes, ce qui se traduit par des ca-
ries au niveau de la dentition, par la tubercu-
lose et d’autres maladies qui affectent les os.
Trop de fluor, ingéré prématurément provo-
que un durcissement anticipé du fémur et met
un terme à la croissance2. Il faut savoir que le
fluor extrait le calcium des os.
Selon des chercheurs, les signes visibles
d’empoisonnement par le fluor sont les sui-

1 Machle, Scott & Largent : ’42 ; McClure : ’49 ; Ham &


Smith : ’54.
2 Maladie connue sous le nom de ‘Maladie de Legg-

Perthes’.
LE POISON DU DIABLE 7

vants : des dents tachetées, mal placées, mal


formées ; des racines trop développées ou dif-
formes. En excédent, le fluor tend à provoquer
des malformations des os de la mâchoire par
réduction de la taille des alvéoles dentaires.
Cette conséquence pernicieuse peut en arriver
au stade où les canaux à l’intérieur de la dent
finissent par s’obstruer puis empêchent
l’arrivée du sang vers les nerfs à l’intérieur de la
cavité dentaire. Les racines des dents fusion-
nent avec les os de la mâchoire ; une extraction
s’avère en conséquence difficile et fait courir le
risque de briser la dent morte voire de l’extraire
par morceaux.
Les dents mortes peuvent être la source
d’affections telles que la ‘pyorrhée’ et la ‘gingi-
vite’1. Les êtres humains n’étant pas physique-
ment adultes avant l’âge de vingt ans, la Nature
(Dieu) a prévu une double dentition : les dents
de lait et les dents définitives. La première den-
tition correspond à l’âge tendre ; la seconde doit
durer toute notre vie. La première dentition
disparaît au profit de la dentition définitive. Or,

1 Le Dr H. Trendley Dean, ancien Chef du Service de


Santé Publique des E.-U. (Dentaire), publia une longue
série de rapports sur les effets toxiques des fluors natu-
rels sur les dents, de 1933 à 1949. Le Dr Webster, Chef
de la Faculté Royale de Chirurgie Dentaire, de Toronto
avait découvert bien avant ce dont le Dr Dean faisait
état dans ses rapports…
8 W. G. CARR

ce remplacement ne pourra se manifester si l’on


a ingurgité trop de fluor au cours de l’enfance ;
raison pour laquelle certains fabricants de pâ-
tes dentifrices fluorées avertissent les parents
que tout enfant en-dessous de six ans ne de-
vrait pas utiliser leurs marques.
Les chercheurs en Chimie Alimentaire ont ef-
fectué des recherches sur des milliers de dents
d’enfants, sur une période d’une quinzaine
d’années. D’après ce que j’ai pu apprendre, le
durcissement de l’émail n’est que le premier
effet de l’action du fluor sur les dents des en-
fants. Au fur et à mesure que le poison
s’accumule, les dommages ci-dessus mention-
nés se produisent et les dentistes doivent alors
adapter un appareillage ou mettre en place de
longs soins coûteux afin de corriger les dents
mal positionnées ou abîmées. Aucune personne
habituée depuis l’enfance à un régime alimen-
taire sain, à base de denrées fraîches, non dé-
naturées par des conservateurs ou divers pro-
cédés de fabrication artificiels ne développe de
caries. Les caries, les dents mal positionnées ou
les mâchoires mal formées, inconnues des abo-
rigènes, furent leur triste lot après qu’ils aient
abandonné leur alimentation naturelle et fré-
quenté la soi-disant civilisation1.

1 Des praticiens dentistes m’ont écrit que badigeonner


les dents avec du fluor les rend si fragiles qu’en l’espace
LE POISON DU DIABLE 9

Les scientifiques pensent qu’en bouleversant


l’équilibre du fluor on peut occasionner des ef-
fets très dévastateurs sur les dents, les mâchoi-
res et les fémurs ; en outre, ces bouleverse-
ments peuvent avoir très certainement des ef-
fets nuisibles sur d’autres parties du corps
humain à cause de la propension du fluor à se
combiner avec ou à former des composés sta-
bles.
De récentes recherches scientifiques fonda-
mentales indiquent que le fluor exerce un ac-
tion toxique lorsqu’il constitue des composés
insolubles avec des éléments alcalino-terreux,
en particulier avec le calcium (oxyde) et le ma-
gnésium, éléments essentiels dans le processus
de la vie. L’oligo-élément magnésium joue un
rôle crucial dans l’action des enzymes (vitaux)
essentiels à toute vie. McClure a prouvé que le
fluor – même à proportion d’1/15 000 000°
dans l’eau – paralysait les enzymes. Le Dr E.M.
Josephson1 déclare que lorsque les enzymes
de cinq ans il devient impossible d’utiliser une roulette :
la dentition volerait en éclat !
1 NDT : Le Dr Emmanuel Josephson est l’auteur

d’ouvrages fondamentaux dans les domaines de la santé


et du mondialisme. Lires ses ouvrages : « Roosevelt’s
Communist Manifesto » (1955) ; « The Truth about Rocke-
feller, Public Enemy N°1. Studies in Criminal Psychopa-
thy » (1964) ; « Rockefeller Internationalist. The Man who
misrules the World » ; « The Federal Reserve Conspiracy
and the Rockefellers » (1968) ; « The Strange Death of
10 W. G. CARR

cessent d’agir il en résulte chez les enfants en


bas âges, et les plus grands, des maladies telles
que la Myasthénie1, le diabète et le cancer.
On trouve par ailleurs une source de fluor
dans l’utilisation des ustensiles de cuisine en
aluminium. Les chercheurs m’ont expliqué que
lorsque la nourriture est cuite ou conservée
dans des ustensiles en aluminium, il se produit
une réaction chimique qui libère des traces de
fluor, absorbées par la nourriture et ingérées
par ceux qui la mangent. A la suite de ces re-
cherches, les archives hospitalières révélèrent
que depuis que l’aluminium a pris la place du
fer, de l’acier, du cuivre, de l’étain et de la
faïence dans la préparation, la cuisson et la
conservation des aliments, y compris les ali-
ments préparés pour bébés, on a constaté une
augmentation régulière du nombre de person-
nes atteintes des maladies suivantes :
1) Colites : troubles affectant les
intestins et le tube digestif.

Franklin Delano Roosevelt » ; « The Unheeded Teachings


of Jesus or Christ Rejected » (sur la secte des « Skopt-
sis ») ; « Merchants of Medecine » ; « Breathe Deeply and
avoid Colds » ; « The Thymus, Manganese & Myasthenia
Gravis » ; « Glaucoma and its Medical Treatment with Cor-
tin » ; « Near-Sightedness is preventable ».
1 Grande fatigue musculaire.
LE POISON D U DIABLE 11

2) Maladie Cœliaque : troubles af-


fectant les organes au niveau du dia-
phragme (liée à l'allergie au gluten).
3) Maladie de Legg-Perthes : dé-
veloppement interrompu et durcisse-
ment p r é m a t u r é du fémur et de la
cuisse, ainsi que des articulations du
genou, affectant les enfants qui arri-
vent à l'adolescence. Cette maladie
était extrêmement rare avant 1945.
Depuis 1954, le Dr Alan Carrie, de To-
ronto, a traité 120 à 140 cas tous les
ans.
4) La poliomyélite : paralysie des
muscles qui contrôlent l'appareil respi-
ratoire. La polio tue ses victimes de la
m ê m e façon que le gaz de combat au
fluor. L'atropine peut être utilisée
comme antidote efficace dans les deux
cas.
5) La n é p h r o s e : maladie des
reins, à la fois chronique et grave, gé-
n é r a l e m e n t diagnostiquée comme n é -
phrite. (On considère que la néphrite
tue maintenant plus d'enfants en-
dessous de l'âge de 15 ans que tout au-
tre maladie médiatisée, y compris les
différentes formes de tuberculose, de
12 W. G . CARR

polio, de rhumatisme articulaire aigu et


de maladie cardiaque).
6) La Dystrophie Musculaire :
semble a p p a r e n t é e à la polio.
7) Le cancer, chez les enfants
(pratiquement inconnu i l y a 30 ans).
8) La Myasthenia Gravis (Myas-
thénie Grave), la mucoviscidose et la
paralysie cérébrale : toutes
s'attaquent aux nourrissons et aux t r è s
jeunes enfants, soit avant la naissance
ou peu de temps a p r è s . Environ 10 000
b é b é s naissent chaque a n n é e avec une
paralysie cérébrale ; 7 000 avec u n
mucoviscidose et 100 000 nourrissons
développent une m y a s t h é n i e grave.
9) La Bronchite et les affections
chroniques de l'appareil respiratoire : le
Dr Léo Spira, M.D., Ph.D., M.R.C.S.i,
de Londres, Vienne et New-York, re-
connu comme u n des plus grands spé-
cialistes du fluor, auteur du livre inti-
tulé « The Drama of Fluorine », affirme
catégoriquement avoir prouvé que des

1 NDT : M . D. : Doctor of Médecine.


Ph.D. : Doctor [of Philosophy]
M.R.C.S. : Member of the Royal Collège of Surgeons
(Membre de la Faculté Royale de Chirurgie).
LE POISON D U DIABLE 13

milliers de personnes dont les maladies


ont été diagnostiquées sous une grande
variétés de termes médicaux, souffrent
en fait d'empoisonnement au fluor et
ont ingéré plus de fluor que l'organisme
ne pouvait en supporter. Il assure que
les ustensiles en aluminium libèrent
vraiment du fluor dans la nourriture,
déclarant avoir guéri des milliers de cas
d'eczéma (qui avaient résisté à toutes
sortes de traitements pendant des an-
nées) en conseillant tout simplement
aux personnes atteintes d'arrêter
d'utiliser leurs ustensiles en alumi-
nium pour cuisiner. Le Dr Spira énu-
mère encore d'autres symptômes ca-
ractéristiques d'empoisonnement chro-
nique au fluor tels que la constipation
alternant avec la diarrhée, les troubles
chroniques gastriques et duodénaux,
les gaz, les furoncles, les ulcères, les
ongles cassants aux mains et aux
pieds, les bronchites^.

1 Des sources fiables m'ont informé que « Ceux qui diri-


gent au Sommet » ont persuadé les Autorités Américai-
nes de nommer le gaz fluoré (stocké à usage militaire)
'gaz de combat' de façon à ce que les propriétés diaboli-
ques, mortelles, du fluor ne soient pas connues du pu-
blic et ne mettent ainsi u n terme à leur politique de fluo-
ration des eaux potables. Le 'gaz de combat', vaporisé
jq9

14 W. G. CARR LEI

Le Dr V i c t o r Vaughan, q u i f u t p e n d a n t corps humain, <


trente ans Doyen de l a Faculté de Médecine de d'être mis en co
l'Université d u M i c h i g a n à A n n Arbor, et le D r tionnalités du c
A.P. M a t t h e w s , de la Faculté de Médecine de tion sélective. Ih
l'Université de C i n c i n n a t i , dans l'Ohio, confir- certains tissus ;
m e n t tous deux les effets dangereux d u fluor, vent ajouter de
même lorsqu'il a été régulièrement ingéré e n peuvent soustrai
quantité infîmes. Ils o n t expliqué en détail, vent tout simple
par-devant la C o m m i s s i o n Fédérale d u Com- ture des tissus
merce c o m m e n t le fluor, ce poison, agit et corps tente de s<
c o m m e n t i l s'attaque a u sang, a u x tissus et a u (fluorures) et les
système osseux d u corps h u m a i n . E t aussi ou bien, ils peuv
p o u r q u o i l a m a n i f e s t a t i o n de symptômes aigus et recommencer x
et les m o r t s subites dépendent de la quantité Ces témoignage
ingérée à u n m o m e n t donné, et en outre com- topsies, pratiquée
m e n t les quantités c u m u l a t i v e s provoquent des êtres humains
symptômes chroniques. chronique a u flu
Ces chercheurs n'ont pas exprimé leurs opi- des signes de gr
n i o n s ; ils ont dévoilé des faits dûment prou- t i n s et d u tube
vés. Le Dr V . V a u g h a n déclare à propos d u malades en essay
fluor l a chose suivante : « J'affirme que la devrait suffire à
plupart de ces poisons sont transportés par pourquoi les col
le sang et la lymphe dans toutes les parties sont devenues si
du corps, ou dans de nombreuses parties du pourquoi les nép
avant l'adolesce
largement médiati
par les militaires, extermine tout être vivant avec lequel
i l entre en contact. L'Armée Allemande disposait
d'énormes stocks de ce gaz lorsqu'elle a capitulé. La rai-
son pour laquelle elle ne l'a pas utilisé pour éviter la dé- 1 NDT : maladie Cœl
faite et la capitulation s a n s c o n d i t i o n s n'a jamais été 2 NDT : maladie rén
rendue publique. quentes chez le jeun
LE POISON D U DIABLE 15

corps humain, et qu'ils ont la possibilité


d'être mis en contact avec toutes les fonc-
tionnalités du corps... Ils exercent une ac-
tion sélective. Ils peuvent se combiner avec
certains tissus ; avec d'autres, non. Ils peu-
vent ajouter des éléments étrangers ; ils
peuvent soustraire des éléments ou ils peu-
vent tout simplement réorganiser la struc-
ture des tissus vivants. Il s'ensuit que le
corps tente de se débarrasser de ces intrus
(fluorures) et les évacue dans les intestins,
ou bien, ils peuvent à nouveau être absorbés
et recommencer un cycle ».
Ces t é m o i g n a g e s expliquent p o u r q u o i les a u -
topsies, p r a t i q u é e s sur des a n i m a u x o u des
êtres humains décédés d'empoisonnement
chronique a u fluor, r é v è l e n t presque toujours
des signes de graves d é t é r i o r a t i o n s des intes-
t i n s et d u t u b e digestif. E t les reins t o m b e n t
malades en essayant d ' é l i m i n e r le poison. Ceci
devrait suffire à expliquer a u corps m é d i c a l
p o u r q u o i les colites et l a maladie c œ l i a q u e i
sont devenues si courantes chez les enfants et
p o u r q u o i les n é p h r o s e s ^ t u e n t p l u s d'enfants
a v a n t P a d o l e s c e n c e que t o u t autre maladie
largement m é d i a t i s é e .

1 NDT : maladie Cœliaque ou intolérance au gluten.


2 NDT : maladie rénale s'accompagnant de lésions fré-
quentes chez le jeune enfant, entre 1 et 8 ans.
d39

15 W. G. CARR LE PC*

Chittenden et Underhill, chercheurs de ré- (d'eau) inhibe ou pœ


putation mondiale, ont aussi découvert que le dont dépend toute lié
fluor ingéré avec la nourriture et la boisson dé- S'inspirant des dé
truit leur valeur nutritive en éliminant les vita- chercheurs de I I . ' :
mines et les enzymes. McClure, autre autorité d'ailleurs, ont décoir
reconnue en matière de fluor, a signalé entre ingéré avec la nour
1933 et 1936, que les jambes a r q u é e s , nutritionnelle et pro^
l'hémophilie, le rhumatisme ankylosant, la signifie en langage <
pyorrhéei, les pertes de dents, le diabète, les vitamines et des car
malades rénales, la stérilité, la cécité due à la aussi confirmé les dé
cataracte ou au cancer, et d'autres maladies Underhill. Le Dr Al\y
encore sont attribuables au fluor, apparaissant a expliqué commen
naturellement dans l'eau. Ses recherches ont de toutes ces plaies
m o n t r é que chez u n adulte moyen mangeant dérale du Commerce
normalement, i l y a une ingestion de l'ordre de
t
540 rapporte son
476 à 706 milligrammes de fluor par jour. fond dans tous les i
Les m é d e c i n s et les dentistes qui p r é c o n i s e n t tiels des substances
la fluoration déclarent invariablement : « On soires alimentaires,
sait peu de choses sur le fluor sauf qu'il n'est les transforme ensi.:'
pas dangereux lorsqu'il est ingéré à raison d'une puissent plus exerci
partie par million (PPM), dans l'eau ». En tuelle dans le corps
l'occurrence nous avons affaire à une demi-
En d'autres mots,
vérité : 1 PPM dans l'eau n'aura pas d'effets
seulement u n débou
dommageables i m m é d i a t s , mais McClure af-
briquent l'alumini'-L
firme : « Une partie de fluor dans 15 millions
(sous-produits toxic
faires des fabricants
I
1 NDT : maladie dentaire ; gingivite accompagnée 1 NDT : maladie due à
d'écoulement de pus et de d é c h a u s s e m e n t des dents feste par les symptôrr.r
atteintes. et dans les cas les plus ç
L E POISON D U D I A B L E 17

(d'eau) inhibe ou paralyse l'action des enzymes


dont dépend toute vie ».
S'inspirant des découvertes de McClure, des
chercheurs de l'Université de Toronto, et
d'ailleurs, ont découvert à leur tour que le fluor
ingéré avec la nourriture détruisait sa valeur
nutritionnelle et provoquait la pellagre ce qui
signifie en langage courant des déficiences en
vitamines et des carences alimentaires. Ils ont
aussi confirmé les découvertes de Chittenden et
Underhill. Le Dr Albert Matthews, quant à l u i ,
a expliqué comment le fluor était responsable
de toutes ces plaies devant la Commission Fé-
dérale du Commerce des É t a t s - u n i s . Le registre
540 rapporte son intervention : « Le fluor se
fond dans tous les éléments constitutifs essen-
tiels des substances alimentaires appelés acces-
soires alimentaires, substances ou vitamines, et
les transforme ensuite de façon à ce qu'elles ne
puissent plus exercer leur action bénéfique habi-
tuelle dans le corps humain ».
En d'autres mots, la fluoration n'offrirait pas
seulement u n d é b o u c h é pour les usines qui fa-
briquent l'aluminium et les autres m é t a u x
(sous-produits toxiques) ; elle accroîtrait les af-
faires des fabricants de vitamines. Les dentistes

1 NDT : maladie due à la malnutrition et qui se mani-


feste par les symptômes suivants : dermatite, diarrhée,
et dans les cas les plus graves, par la ... démence !
18 W. G. CARR
perdraient des clients en ne rebouchant plus
les cavités creusées par les caries mais récolte-
raient davantage d'argent en soignant les dents
mal placées ou déformées chez les enfants, et
aussi en soignant les pyorrhées et les gingivites
des personnes d'âge moyen ou en arrachant les
dents et les prothèses dentaires des personnes
plus âgées. La profession médicale soignerait
davantage de patients du berceau à la tombe !
Selon les autorités que nous avons citées, i l
apparaîtrait que tout être humain qui boit de
l'eau fluorée s'approprie une quantité suffisante
de fluor pour le rendre invalide et le faire souf-
frir de tout autre forme de maladie, après avoir
dépassé la cinquantaine.
Des traitements pourraient nous maintenir
en vie plus longtemps mais ne nous guériraient
pas des effets cumulatifs dangereux du fluor !
Les médecins gagneraient en outre plus
d'argent en sauvant nos vies. Tous ces faits
contredisent les affirmations des dentistes et
des médecins qui recommandent le fluor : ils
n'agissent pas de manière désintéressée !
Si votre médecin ignore la vérité sur le fluor,
telle qu'elle est définie dans les Encyclopédies
Médicales et les publications auxquelles nous
avons fait référence, ce dernier est manifeste-
ment incapable de diagnostiquer une fluorose
aiguë et chronique lorsqu'il est confronté à cette
LE POISON DU DIABLE 19
rebouchant plus maladie. En conséquence vous ne pouvez plus
tries mais récolte- le considérer comme votre médecin de fa-
joignant les dents mille. Nous supplions, enfin, les mères
ez les enfants, et d'Amérique du Nord de poser à leurs médecins
; s et les gingivites traitants les questions énumérées ci-dessous,
i e n arrachant les d'exiger des réponses satisfaisantes et surtout
es des personnes que ces réponses ne soient pas remises à plus
édicale soignerait tard :
eau à la tombe !
1) Si la recherche médicale
is avons citées, i l n'avait pas relié le fluor au cancer, qui
main qui boit de touche de plus en plus d'enfants,
uantité suffisante pourquoi donc les hôpitaux qui soi-
le et le faire souf- gnent les patients atteints du cancer
iladie, après avoir ont-ils arrêté d'utiliser des ustensiles
en aluminium pour la préparation, la
: nous maintenir cuisson et la conservation des ali-
) nous guériraient ments ? Si le fluor (1 partie par million)
Lgereux du fluor ! n'est pas dangereux, pourquoi ces mê-
en outre plus mes établissements utiliseraient-ils de
5. Tous ces faits l'eau pure, même dans les zones fluo-
des dentistes et rées ?
ient le fluor : ils 2) Si ce que nous avons publié
ïsintéressée ! quant aux effets dangereux du fluor
érité sur le fluor, n'est pas la vérité, pourquoi les autori-
les Encyclopédies tés médicales britanniques mirent-elles
auxquelles nous en garde le personnel médical, au mi-
er est manifeste- lieu des années 30, vis à vis du « Pa-
uer une fluorose blum », lui demandant de ne plus pres-
[ confronté à cette crire ce médicament aux mères sur le
20 W. G. CARR
p o i n t de sevrer leurs enfants et a u x i n -
valides, en t a n t que p r o d u i t sans exci-
t a n t s , s i n o n parce qu'il contenait u n
t a u x élevé de fluor ?
3) Pourquoi le Gouvernement B r i -
t a n n i q u e a - t - i l interdit le fluor sous
toutes ses formes (y compris l'alun) et
recommandé de ne p l u s l'utiliser en
t a n t que conservateur dans les ali-
m e n t s et les boissons destinés a u x
êtres h u m a i n s ? N'est-il pas v r a i que
p o u r se conformer à cette exigence,
l'ordre b r i t a n n i q u e des médecins (ou
des membres de celui-ci) a inventé u n
sevrage alimentaire de son c r u q u i éli-
m i n a i t les farines animales c o m p o r t a n t
u n t a u x élevé de fluor, t a u x qu'on t r o u -
vait dans les f o r m u l e s précédentes ?
4) Si le c o n t e n u fluoré d u 'Pa-
hlum' (fabriqué a i n s i j u s q u ' e n 1954) ne
s'était avéré dangereux p o u r les n o u r -
rissons, les enfants et les adolescents,
alors pourquoi l a f o r m u l e a-t-elle été
changée et y a-t-on substitué d u phos-
phate de c a l c i u m tribasique à l a place
des farines animales ? Nous avons reçu
en m a i 1954 u n lettre de M . Menzies,
PDG de l a Société q u i f a b r i q u a i t le 'Pa-
LE POISON DU DIABLE 21

blum', courrier qui confirmait nos d i -


res.
5) Demandez à votre médecin s'il
considère opportun de donner d u 'Pa-
blum' aux nourrissons, même en sa
nouvelle formule, puisque M . Menzies,
dans sa lettre, certifie que le nouveau
produit contient encore 1,5 à 2,2 PPM
de fluor.
6) N'est-il pas vrai que les « Lois
sur les Aliments » promulguées aux
États-unis et au Canada autorisent
une quantité de 0,2 PPM dans les ali-
ments fabriqués et destinés à la
consommation humaine ? S'il en est
ainsi, p o u r q u o i permet-on que le 'Pa-
b l u m ' soit encore vendu ?
Pourquoi les Gouvernements des États-unis
et d u Canada ont-ils interdit l'utilisation des
ossements d'animaux ayant dépassé deux ans
d'âge, dans la fabrication des farines animales^
destinées à la consommation humaine si le
fluor introduit dans les aliments pour bébés ou
pour invalides n'était pas considéré comme
dangereux pour la santé à cause de ses effets
cumulatifs toxiques ?

1 NDT : on a p u constater, en notre époque, le danger de


certaines 'farines animales' données à des ... herbivores
( !) lors de l'Affaire de la 'Vache Folle'...

T SKN-:Î268.00345.0
65F
22 W. G. CARR

N'est-il pas vrai que les colites, la maladie c o n n u dans le "


cœliaque, les néphroses, etc, ne sont que des cause de nos rech
termes généraux employés p o u r occulter les T o u t aliment ;
malades de l'intestin et d u tube digestif ; les dangereux à p a m r
maladies se s i t u a n t dans l a zone d u dia- t a u x élevé en f-U : r
phragme et les maladies rénales q u i ne seraient risé par l a loi, c e E "
en fait que des formes chroniques et aiguës
d'empoisonnement a u fluor, n o t a m m e n t chez
les n o u r r i s s o n s à q u i l'on a donné des aliments Le
p o u r bébés à h a u t e teneur en fluor ?
7) C o m m e n t pouvons-nous savoir Assurez-vous
e n toute certitude le t a u x de fluor donnez à vos •
dans les aliments destinés aux en- bourré de :
fants ? l'entreprise q u :
elle utilise des :
8) E n f i n , et s u r t o u t , si votre mé- sition de ses r :
decin de famille reconnaît l a vérité de sachant que '.r
nos propos, et l'accepte, demandez-lui
ont i n t r o d u i t zz
alors pourquoi, a u n o m d u Ciel, i l ne
les, de n o m b r e .
conteste pas les a r g u m e n t s des p a r t i -
croyant bien :.
sans d u fluor, q u i veulent mettre ce
gamme de prc :
« Poison d u Diable » dans nos eaux po-
tables ? S'il vous répond q u ' i l « n'en
sait pas beaucoup sur le fluor et
l'empoisonnement par le fluor », changez
de médecin de famille et prenez-en u n
q u i soit a u c o u r a n t .

1 NDT : pains ai
Q u ' i l soit b i e n e n t e n d u que n o u s avons m e n - Vitamine D, des
tionné le n o m d u 'Pablum' - ce médicament ces en vitamines.
23

connu dans le monde entier - uniquement à


cause de nos recherches.
Tout aliment pour bébé ou pour invalide est
dangereux à partir du moment où il contient un
taux élevé en fluor, supérieur à ce qui est auto-
risé par la loi, c'est-à-dire 0,2 PPM.

Le Pain Fortifié

Assurez-vous que le pain fortifiéi que vous


donnez à vos enfants ne soit pas également
bourré de fluor ! Renseignez-vous sur
l'entreprise qui cuit votre pain pour savoir si
elle utilise des farines animales dans la compo-
sition de ses pains. D'après nos informations,
sachant que les spécialistes des nourrissons
ont introduit de la farine d'os dans leurs formu-
les, de nombreux boulangers en ont fait autant,
croyant bien faire et croyant améliorer leur
gamme de produits.

1 NDT : pains auxquels on a ajouté, entre autres, de la


Vitamine D, destinés aux personnes atteintes de caren-
ces en vitamines.
24
dgg

W. G . CARR
1 LE F

L e s d é c h e t s de fluor - u n problème bien là le t r a i t ca


d'élimination sant de toute cette
Si ce que nous
B i e n avant l'Ère Romaine, les i n d u s t r i e s de p o u r q u o i a-t-on
fonte des m é t a u x étaient confrontées à ce re- p o u r q u o i leur a-t
doutable problème. Très récemment, la Société s'adresser a u p u l
des Aciers Américains a réglé quelque 900 fonds destinés à fû
créances estimées à un montant de découvrir les mo}"e
4 450 234 $ p o u r i n d e m n i s e r des éleveurs de n o u s avons n o m u
bétail dont les a n i m a u x étaient décédés par chercheurs avec
empoisonnement a u fluor, fait dûment prouvé questions, j e pens
p a r des chimistes spécialisés dans l a recher- marché et bea
che ; poisons q u i se trouvaient dans les déchets l'humanité de s u p
rejetés par les usines de l'US Steel Corporation, plutôt que de con
implantées dans les environs de Provo (Utah). ches coûteuses af
Ces déchets avaient contaminé le fourrage et guérir les maladie
l'eau destinés a u bétail.
Le numéro de <
Les chimistes de la Compagnie des Aciers ne février 1958 cor.s;
s'étaient j a m a i s douté que les quantités de fluor t u a des millions :
que contenaient l a fumée et les autres déchets tières de l a côte
pouvaient s'avérer mortels p o u r le bétail en
t r a i n de b r o u t e r à quelques kilomètres de là. 1 N D T : « Des Noui
Mais ce f u t p o u r t a n t le cas. US Steel d u t payer b u l l e t i n mensuel
p o u r cette faute i m p u t a b l e à ses chimistes. NFCL (National Fr
A v a n t que le bétail ne meure, on observa r a t i o n Nationale zz
l'évolution des symptômes caractéristiques des de « Pawns in Vre
d o n t les n u m é r c s
maladies que n o u s avons citées. N'ont-elles pas
b u l l e t i n était de 5:1
tué, ces trente dernières a n n é e s , u n n o m b r e de W. G. Carr grâce i
p l u s en p l u s considérable de personnes ? C'est tionales. Nous avir
quelques r a r i s s i n e ^
L E POISON D U D I A B L E 25

bien là le trait caractéristique le plus intéres-


sant de toute cette affaire !
Si ce que nous affirmons n'est pas la vérité
pourquoi a-t-on institué des Fondations et
pourquoi leur a-t-on d o n n é l'autorisation de
s'adresser au public sinon pour r é u n i r des
fonds destinés à financer la recherche ? 11 fallait
découvrir les moyens de guérir les maladies que
nous avons n o m m é e s . A l'instar de nombreux
chercheurs avec lesquels j ' a i discuté de ces
questions, je pense que ce serait bien meilleur
marché et beaucoup plus profitable à
l'humanité de supprimer la cause - le fluor -
plutôt que de continuer à financer des recher-
ches c o û t e u s e s afin de trouver les moyens de
guérir les maladies qu'elle provoque ou aggrave.
Le n u m é r o de « News behind the News »i de
février 1958 consacré à la « Marée Rouge » - qui
tua des millions de poissons dans les eaux cô-
tières de la côte ouest de la Floride - rapporta

1 NDT : « Des Nouvelles derrière les Nouvelles » : petit


bulletin mensuel fondé par William G u y C a r r et la
N F C L (National Fédération of Christian Laymen ; Fédé-
ration Nationale des Laïcs Chrétiens) a p r è s la parution
de « Pawns in the Game » et « Red Fog over America »,
dont les n u m é r o s sont bizarrement introuvables... Ce
bulletin était destiné à compléter les deux volumes de
W. G. Carr grâce à de pertinentes informations interna-
tionales. Nous avons p u consulter, à titre personnel,
quelques rarissimes exemplaires.
26 W. G. CARR

que des chercheurs en chimie avaient sérieu-


sement envisagé la possibilité que les déchets
de fluor rejetés par les usines implantées dans
la zone aient contaminé les eaux, gravement
touchées, et pussent être une des causes prin-
cipales sinon la cause réelle de l'hécatombe en
vie marine. En étudiant sous cet angle, j'ai p u
lire u n rapport d'analyse sur le « Rondeau Mou-
ton »i, poisson que l'on pêche dans les eaux cô-
tières de la Floride, très apprécié pour sa chair
succulente. Le rapport indiquait que ce poisson
avait u n taux de fluor de l'ordre de 59,2 PPM !
Malgré ces preuves, les partisans du fluor
s'acharnent à vouloir encore fluorer les eaux
potables de St Petersburg2 ! Cette mesure a
heureusement été interrompue en juillet 19583.
Dans le présent travail, nous avons limité nos
remarques à expliquer pourquoi le fluor repré-
sente u n danger pour l'ensemble d u corps h u -
m a i n et à en apporter les preuves. Tandis que

1 NDT : 'Sheephead' ou 'Rondeau Mouton', espèce de


poisson marin de la famille des 'sparidés', également
appelé 'Sparr Tête-de-Mouton'.
2 NDT : St Petersburg-[Clearwater] est une ville de Flo-
ride qui fait partie de l'agglomération et de la Région Mé-
tropolitaine de Tampa (grande ville située sur la côte
occidentale de la Floride).
3 La mesure qui visait à fluorer les eaux potables a été
rejetée et St Petersburg a de nouveau des eaux potables
non fluorées.
IRR LE POISON D U DIABLE 27

chimie avaient sérieu- je faisais des recherches sur la composition


bilité que les déchets exacte du fluor, j ' a i trouvé des arguments qui
aines implantées dans établissent formellement que les experts en n u -
les eaux, gravement trition animale ont eux aussi commis des er-
une des causes prin- reurs é p o u v a n t a b l e s : les spécialistes de
elle de l'hécatombe en l'enfance et les boulangers ont utilisé des fari-
;ous cet angle, j ' a i p u nes animales dans leurs formules
sur le « Rondeau Mou- d'alimentation pour nourrissons, pour invali-
che dans les eaux cô- des, dans les pains fortifiés et... les fabricants
ipprécié pour sa chair qui ont commercialisé certaines marques
iiquait que ce poisson d'aliments p r é p a r é s pour animaux ont fait de
'ordre de 59,2 PPM ! m ê m e . Ce qu'on affirmait être bénéfique pour
•s partisans du fluor les b é b é s et les invalides aurait d û être bon
core fluorer les eaux pour les 'chinchillas' ! Or, u n certain Mr W. R.
rg2 ! Cette mesure a Cox a écrit u n ouvragei racontant l'histoire de
npue en juillet 19583. ses chinchillas et comment ils ont été t u é s par
le fluor ; la recherche médicale ayant formelle-
nous avons limité nos ment établi que la cause de leur mort était bien
urquoi le fluor repré- le fluor qui se trouvait dans leur alimentation
Lsemble du corps hu- très particulière...
> preuves. Tandis que

deau Mouton', espèce de Votre pharmacien peut confirmer la v é r i t é


des 'sparidés', également
Si u n de nos lecteur a encore des doutes sur
ater] est une ville de Flo- la vérité des faits que j ' a i r a p p o r t é s sur le fluor,
ration et de la Région Mé-
; \dlle située sur la côte
1 W. R. Cox : « Hello. Test Animais... Chinchillas ? Or
îr les eaux potables a été You and Your Grandchildren » (1953, éditions Lee
Duveau des eaux potables Foundation for Nutritional Research, Milwaukee, Wis-

1
consin, 180 p).
28 W. G. CARR

qu'il se rende à la pharmacie la plus proche et sont devenus


demande au pharmacien de l u i laisser consul- quoi les per:
ter son exemplaire du « Dispensatory ofthe Uni- fémur si faciï
ted States of America »^, 24° édition. Qu'il aille trait le calci
j u s q u ' à la page 1456 et i l pourra lire : « Les n é s âgées ont
fluorures constituent des poisons violents pour a p r è s avoir é::
tous les tissus vivants à cause de leurs préci-
pitations à l'oxyde de calcium. Rs peuvent in- Le 'United
duire une diminution de la pression artérielle, rubrique « Al:
une chute de la pression artérielle et une paraly- mentionne c v
sie généralisée. Une ingestion permanente de d'éviter de r
doses non mortelles (selon Soliman Pharmacol. jusqu'à l'âge
1421, 17, 197) provoque une cachexie générale^, s è m e n t aussi
une inhibition permanente de la croissance, des n'est pas pour
changements analogues au niveau de la denti- posées dans n
tion, et une ossature de plus en plus fragile ».
A la vieillesse, i l arrive que les êtres humains Le témoL
ont ingéré une telle quantité de fluor, m ê m e
dans leurs r é g i m e s ordinaires, que leurs os Le Révérend
sous serment
1 NDT : 'Formulaire Pharmaceutique des E.-U.
d'Amérique'. Sorte de dictionnaire de la science pharma-
ceutique, traitant des m é d i c a m e n t s essentiels et des 1 NDT : on comp
politiques pharmaceutiques. l'ostéoporose à ce
2 NDT : 'Cachexie' : profonde diminution de l'état géné- 2 NDT : 'Livre de
ral d'un individu, en rapport avec une dénutrition sévère 3 NDT : auteur
de l'organisme. Elle est souvent une des conséquences tout d'une br
de l'anorexie majeure, du cancer, d'insuffisances cardia- « Brainwashing
ques, rénales ou h é p a t i q u e s aux stades évolués, d'une book on Psyc)
maladie auto-immune ou d'une maladie infectieuse Synthèse du Y.:
grave comme la tuberculose ou le SIDA. La perte de crée au 'Lavag:
masse musculaire entraîne une immobilité (Internet). Contrôle Mental
la p l u s proche et
( L E POISON D U DIABLE

sont devenus cassants et fragiles^. Voilà p o u r -


29

l u i laisser consul- quoi les personnes âgées se cassent le col d u


ensatory ofthe Uni- fémur si facilement. C'est parce que le fluor ex-
° édition. Q u ' i l aille trait le c a l c i u m des os que les os des person-
p o u r r a lire : « Les nes âgées ont de la difficulté à se ressouder
poisons violents pour après avoir été brisés.
cause de leurs préci-
Le 'Unûed States Year Book'^ de 1939, à l a
um. Us peuvent in-
r u b r i q u e Alimentation et Vie», pages 212-213
pression artérielle,
m e n t i o n n e q u ' « il est particulièrement important
irielle et une paraly-
d'éviter de prendre du fluor, de la naissance
ion permanente de
jusqu'à l'âge de 12 ans ». P o u r q u o i u n avertis-
Soliman Pharmacol.
sement aussi spécifique a u r a i t - i l été donné si ce
cachexie générale^,
n'est pas p o u r les raisons que n o u s avons ex-
le la croissance, des
posées dans notre b r o c h u r e ?
niveau de la denti-
en plus fragile ».
les êtres h u m a i n s L e t é m o i g n a g e du Rév. K e n n e t h GofF
itité de fluor, m ê m e
inaires, que leurs os Le Révérend K . GofP a signé l a déclaration
sous serment suivante, le 26 m a r s 1957, dans
maceutique des E.-U.
de la science pharma-
essentiels et des 1 NDT : on comprend mieux maintenant les 'progrès' de
l'ostéoporose à cet âge...
ainution de l'état géné- 2 NDT : 'Livre de l'Année' des Etats-Unis.
une dénutrition sévère 3 NDT : auteur d'ouvrages anticommunistes mais sur-
une des conséquences tout d'une brochure particulièrement importante :
d'insuffisances cardia- « Brainwashing. A Synthesis of the Russian Text-
stades évolués, d'une book on Psychopolitics » (Le Lavage de Cerveau. Une
maladie infectieuse Synthèse du Manuel Russe de Psychopolitique ) consa-
le SIDA. La perte de crée au 'Lavage de Cerveau' et aux 'Techniques de

I
immobilité (Internet). Contrôle Mental' mises au point par les Soviétiques (La
30 W. G. CARR

l ' É t a t d u Colorado ( C o m t é d'Arapahoe) par- les câbles z-:


devant le notaire Joe R. Atancio : d'alimentatior f-
à ce qu'ils f-r
« A qui de droit,
manque de c :
Moi, Olivier Kenneth Goff, affirme avoir été verses et des
membre du Parti Communiste et de dérailler les
l'Organisation des Jeunesses Communistes, du sonner les res-t:
2 mai 1936 au 9 octobre 1939. Durant cette pé- potables.
riode, j'ai agi sous le pseudonyme de John Keats
et sous le matricule 18-B2. Mon témoignage par- Nous avons z
devant les Autorités Gouvernementales est ré- tion de la fluc - :
pertorié dans le volume 9 du Rapport sur les Ac- son utilisatic
tivités Anti-Américaines pour l'année 1939. sant dans les c-
gras par nos
Tandis que j'étais membre du Parti Commu- nos écoles :
niste, j'ai assisté aux cours des Écoles de For- conseiller i::
mation Clandestines Communistes situées à d'alimentatic^-.
l'extérieur de la ville de New-York dans le 'Blues entraînerait un
Hall' et au 113 East Wells Street de Milwaukee, rendrait la
dans le Wisconsin. L'École de East Wells Street délicate d'imp'.z:^
fonctionnait sous le nom d'École Eugène Debs, avons égaleme " -
sous le tutorat d'Eugène Dennis, M. Sparks, Mor- un dépôt de /Tu. -
ris Childs, Jack King et autres agents. On nous voirs d'eau, ce
enseignait l'art du renversement révolutionnaire moment de la
du Gouvernement établi. l'opportunité di
On nous a appris comment démonter et remon- seaux d'alime^-
ter des ronéotypeuses pour assurer la propa- mourir la pop-^
gande pendant la Révolution ; comment utiliser d'exterminatic^. r-.
et puisse boire ±£

'Science Psychopolitique'). A étudier la plume à la


main...
:ARR LE POISON DU DIABLE 31

imté d'Arapahoe) par- les câbles de guidage et les conduites


\tancio : | d'alimentation en carburant des avions de façon
à ce qu'ils prennent feu ou s'écrasent au sol par
manque de contrôle ; comment s'occuper des tra-
Goff, affirme avoir été verses et des rails de chemin de fer pour faire
Communiste et de dérailler les trains et aussi comment empoi-
3sses Communistes, du | sonner les réseaux de distribution en eaux
; 1939. Durant cette pé- potables.
udonyme de John Keats
Nous avons abordé en profondeur la ques-
12. Mon témoignage par-
tion de la fluoration des eaux potables et de
fuvemementales est ré-
son utilisation en Russie comme tranquilli-
5 du Rapport sur les Ac-
sant dans les camps de prisonniers (mis en
70ur l'année 1939. I
gras par nos soins, W.G.C.). Les dirigeants de
imbre du Parti Commu- nos écoles ont compris que s'ils pouvaient
Durs des Écoles de For- conseiller (ou verser) dans les réseaux
:ommunistes situées à d'alimentation en eau d'Amérique du fluor, cela
New-York dans le 'Blues entraînerait un état de léthargie dans le pays et
Us Street de Milwaukee, rendrait la population docile pendant la phase
oie de East Wells Street délicate d'implantation du Communisme. Nous
n d'École Eugène Dehs, avons également discuté de la question d'avoir
Dennis, M. Sparks, Mor- un dépôt de fluor (poison mortel) près des réser-
autres agents. On nous voirs d'eau, ce qui constituerait un avantage au
srsement révolutionnaire moment de la Révolution et nous donnerait
l'opportunité de déverser ce poison dans les ré-
ment démonter et remon- | seaux d'alimentation en eau. On ferait ainsi, soit
pour assurer la propa- mourir la population, ou bien on la menacerait
dution ; comment utiliser d'extermination pour qu'elle accepte de se rendre
et puisse boire de la bonne eau.

A étudier la plume à la
32 W. G . CARR

Nous avons étudié dans ces écoles le grand


art de la Révolution ; notamment comment acca-
parer les principaux services publics : éclairage,
électricité, gaz et eau, mais les dirigeants ont
bien saisi qu'une politique de fluoration des
eaux, si elle était entreprise dans tout le
pays, constituerait la meilleure voie pour le
succès de la Révolution »K

1 NDT : Dans son ouvrage « Brouillard Rouge sur


l'Amérique» (ESR), qu'on peut considérer comme la
suite de « Des Pions sur VÉchiquier » (ESR) et dont
« La Conspiration visant à détruire tous les Gouver-
nements et Religions existants » (ESR) constitue le
r é s u m é des deux, William Carr consacre une bonne part
du chapitre XIV ('La Conspiration dans les Sciences So-
ciales), pages 293 et suivantes, au Poison du Fluor...
Objet d'un âpre combat dans le monde anglo-saxon, la
question du fluor subit u n 'black-out' total en France, à
la m ê m e période !
Depuis les cris d'alarme de William Carr, on trouve sur
Internet u n certain nombre d'ouvrages consacrés à dé-
noncer l'action malfaisante du fluor, ce fléau dont nous
souflrons tous : actuellement nous sommes tous plus ou
moins c o n t a m i n é s par le FLUOR !
Dans cet écrit captivant, Wil-
liam Carr démontre que le Fluor
est un des pires poisons jamais
utilisés, responsable de nombreu-
ses maladies. Sa brochure était
justement sous-titrée «L'Asservis-
sement par la FLuoration ou la Véri-
té sur le Fluor » ; elle complétait
parfaitement le chapitre qu'il avait
consacré au fluor dans son livre
« Brouillard Rouge sur
l'Amérique ».
Nous espérons que nos lecteurs
seront édifiés par ce texte qui a
dépassé le demi-siècle mais reste
plus que jamais d'actualité. 11 se-
rait bon de le diffuser auprès de
ses amis, parents, relations car i l
importe d'être sur ses gardes en ce
qui concerne le fluor, poison très
prisé par la Contre-Église, utilisé
pour mieux chloro-former les po-
pulations, à leur insu !...

Couverture : Portrait de William Guy Carr

5€ ISBN : 2-8162-0304-2

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