Crois Tu
Crois Tu
Crois Tu
RANIERO CANTALAMESSA
Crois-tu ?
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5
18 Mc 9, 23.
19 Mt 11, 25.
20 Ga 5, 5.
21 Lc 18, 13.
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disent entre eux, dans leurs faux calculs... nous sommes nés du
hasard », affirmait déjà autrefois l’Écriture Sainte6. Dans
l’Antiquité il y avait des gens qui considéraient le monde
comme l’œuvre d’un rival de Dieu ou d’un dieu inférieur, le
Démiurge, ou comme le fruit d’une nécessité ou d’un accident
survenu dans le monde divin. Dieu aurait créé le monde par un
excédent d’énergie (et non d’amour !) qu’il ne pouvait plus
contenir. Aujourd’hui, certains considèrent l’existence de
l’homme et des choses comme l’effet de lois cosmiques
inconnues. Il y a aussi ceux qui la considèrent comme une
condamnation, comme le fait d’avoir été « balancé dans
l’existence ». La découverte de l’existence qui, chez sainte
Catherine de Sienne, engendrait stupeur et grande joie, ne
procure dans cette dernière perspective – qui est celle de
l’existentialisme athée – que la « nausée ». Les saints ne disent
rien de neuf, mais ils ont le don de dire d’une façon inimitable
des choses anciennes et vraies. Comme le dit Jésus : « Ainsi
donc, tout scribe devenu disciple du Royaume des Cieux est
semblable à un propriétaire qui tire de son trésor du neuf et du
vieux7. »
6 Sg 2, 1-2.
7 Mt 13, 52.
4
Créateur
de l’univers visible et invisible
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Pour nous, qui sommes mauvais, agir « pour nous-mêmes » est
le signe d’un extrême égoïsme, mais pour Dieu, qui est amour,
agir « pour soi-même » découle obligatoirement de l’extrême
amour. Il n’y a donc pas deux raisons diverses ou, pire, en
contradiction l’une avec l’autre expliquant pourquoi Dieu s’est
fait homme, mais une seule qui rassemble, d’une façon
différente, Dieu et l’homme : la gloire de Dieu réside dans le
fait de donner ce qui, pour l’homme, consiste à recevoir le salut.
Jean, dans son évangile, met aussi en lumière cette conception
nouvelle et dérangeante de la gloire de Dieu. Il voit dans la mort
du Christ en croix la gloire suprême de Dieu, parce qu’en elle
se révèle l’amour suprême de Dieu. Pour un Dieu qui est
Amour, la gloire ne peut consister en rien d’autre qu’aimer.
L’amour est la raison ultime de l’Incarnation pour la
rédemption des péchés. L’interprétation de la mort du Christ
nous le révèle. En premier lieu, la foi affirme le fait : « il est
mort », « il est ressuscité » ; puis, dans un second temps, on
découvre qu’il est mort pour nos péchés et ressuscité pour notre
justification, parce qu’il nous aimait ! « Il m’a aimé et s’est
livré pour moi29. » Le Christ nous aime, il « nous a lavés de nos
péchés par son sang » et c’est pour cela qu’« à lui
[appartiennent] donc la gloire et la puissance pour les siècles
des siècles30 ». Ce que l’on dit de sa mort est vrai aussi pour sa
naissance : Dieu nous aime, il a donc choisi de se faire homme
pour notre salut. « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son
fils unique afin que quiconque croit en lui ne meure pas, mais
qu’il ait la vie éternelle31. » Il a tant aimé le monde qu’il a
donné son Fils !
29 Ga 2, 20.
30 Ap 1, 5-6.
31 Jn 3, 16.
10
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comme l’a soutenu quelqu’un. Entre l’Évangile prêché par
Jésus et l’Évangile prêché par les Apôtres, il n’y a aucune
rupture, mais une continuité puisque les Apôtres ont « prêché
l’Evangile dans l’Esprit Saint64 » ; en d’autres termes, parce
qu’ils ont prêché sous la conduite de ce même Esprit qui faisait
parler Jésus.
Après la Pâque, on ne parle pas seulement d’un Jésus prêché,
un Jésus « objet » passif, mais également d’un Jésus « sujet »,
un Jésus qui continue de parler, même si ce n’est plus en chair
et en os, mais à travers son Esprit, de la même façon qu’il ne vit
plus « selon la chair », mais « selon l’Esprit de sainteté en
vertu de la résurrection des morts65 ».
En Jésus – et en Jésus seul – on voit la parfaite équation entre
sujet et objet de la prédication, car il est à la fois Dieu et
homme. La science moderne des communications a créé
l’adage : « Le moyen est le message. » Cet adage ne se réalise à
la perfection qu’en Christ, qui est à la fois le messager et le
message, le révélateur et la révélation.
La règle fondamentale de l’annonce chrétienne est donc de
prêcher le Christ dans l’Esprit Saint ou, comme dit Pierre, « de
porter l’Évangile, de porter le Christ au monde, dans l’Esprit
Saint ». « Christ » ou « l’Évangile » indique le contenu, « dans
l’Esprit Saint » indique la façon d’annoncer.
62 Ac 1, 7-8.
63 Ac 2, 36 ; 10, 38.
64 1 P 1, 12.
65 Cf. Rm 1, 3-4 ; 2 Co 5, 16.
15
66 Mt 25, 31.
67 Ac 10, 39-42.
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Nous savons malheureusement ce que le monde comprend
quand il entend prononcer ce mot « Église ». Pour lui, c’est « le
Vatican » ou « la hiérarchie, le pape, les évêques et les
prêtres » ! Nous risquons de nous retrouver dans cette même
équivoque, quand encore nous ne la provoquons pas nous-
mêmes.
Les pères (saint Jérôme et saint Augustin en particulier) ont
appliqué à Marie et à l’Église ensemble le verset du Psaume
44/45 – l’épithalame royal ! – qui, dans la version qu’ils
connaissaient, disait : « Toute la beauté de la fille du roi vient
de l’intérieur » (omnia gloria filiae regis ab intus).
La beauté de l’Église est la grâce dont elle est « pleine »,
comme Marie. Naturellement, ce n’est pas l’Église qui génère la
beauté, la grâce, mais c’est la grâce de Dieu qui génère l’Église.
Il se passe pour l’Église ce qui se passe avec les vitraux d’une
cathédrale gothique, comme lorsqu’on visite la cathédrale de
Chartres. Si on regarde de l’extérieur, de la rue, le vitrail n’est
qu’un ensemble de morceaux de verre sombre, reliés entre eux
par des bandes de plomb noires. Mais si l’on entre dans la
cathédrale et qu’on regarde le même vitrail à contre-jour, de
l’intérieur, quel spectacle de couleurs, de visages, de sens !
Nous devons nous placer à l’intérieur de l’Église pour en
comprendre le mystère. À l’intérieur, c’est-à-dire pas seulement
institutionnellement, mais avec le cœur.
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2 Cf. Jn 7, 49.
3 Cf. Lc 2, 25.38.
4 Lumen Gentium, n° 55.
5 Lc 2, 20.
4
6 1 P 1, 23
7 Mt 11, 3 ; Lc 7, 19.
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d’un sacrement indépendant, la « confirmation » c’est-à-dire, à
la lettre, la consécration, l’onction.
25 Mc 1, 10.
26 Ac 10, 37-38.
27 Cf. Ac 11, 26.
10
Le mystère
de la prédication de Jésus
28 Mc 1, 14-15.
29 Mt 4, 17.
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16
La Pâque :
passage à travers
la « Passion » du Seigneur
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« Car l’amour du Christ nous presse, à la pensée que, si un seul est mort
pour tous, alors tous sont morts. Et il est mort pour tous, afin que les
vivants ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort et
ressuscité pour eux4. »
C’est l’amour du Sauveur, plus encore que son droit, qui nous
pousse à prendre une décision. « Le Christ nous a aimés et s’est
livré pour nous5 » ; il nous a aimés « alors que nous étions
encore pécheurs, […] étant ennemis6 ». Il nous a aimés, chacun
pris personnellement : « Il m’a aimé et s’est livré pour moi7. »
Il serait mort même si j’avais été le seul sur terre à devoir être
sauvé. L’amour de Jésus est infini, c’est l’amour d’un Dieu, et
on ne peut diviser l’infini en morceaux, ce n’est pas une partie
d’un ensemble ; c’est la raison pour laquelle Il nous aime
chacun avec cette même intensité par laquelle il aime
l’humanité tout entière. De même que son corps dans
l’Eucharistie est présent tout entier dans chacune des
innombrables parcelles qui sont consacrées dans l’Église, de
même son amour est présent tout entier dans chacun de ceux
qui ont été rachetés. C’est à chacun de nous qu’il répète ces
mots : « Car tu comptes beaucoup à mes yeux, tu as du prix et
je t’aime8. »
1 Rm 14, 7-9.
2 Ga 2, 20.
3 Rm 8, 38.
4 2 Co 5, 14-15.
5 Cf. Ep 5, 2.
6 Rm 5, 6.10.
7 Ga 2, 20.
8 Is 43, 4.
2
La foi, un don
qui « vient de la prédication »
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jusqu’ici, autour du mystère de l’onction, tend à être agissant ;
elle tend à porter en nous son fruit. Et le fruit, le voilà, c’est
que nous devenions nous-mêmes « odeur du Christ » dans le
monde. « Grâces soient à Dieu qui, dans le Christ, nous
emmène sans cesse dans son triomphe et qui, par nous, répand
en tous lieux le parfum de sa connaissance. Car nous sommes
bien, pour Dieu, la bonne odeur du Christ30. »
En consacrant, au cours de la messe chrismale, l’huile qui doit
servir à l’onction du baptême et de la confirmation, l’évêque
dit : « Que cette onction pénètre et sanctifie pour que, libres de
la corruption originelle et temples consacrés de sa gloire, ils
répandent la bonne odeur d’une vie sainte. » Origène nous
informe que les païens de son temps défiaient les chrétiens en
disant : « Comment un homme seul ayant vécu dans une
misérable bourgade de Judée pourrait-il remplir le monde entier
du parfum de la connaissance de Dieu, comme vous le
prétendez, vous les chrétiens ? » Et Origène répondait en
disant : « Jésus le peut, car Il a consacré par l’Esprit divin et a
envoyé dans le monde un grand nombre de disciples, qui se
consacrent au salut des hommes, en vivant dans la pureté et la
droiture, enseignant la doctrine même de Jésus. » Le parfum du
Christ se dégage des « fruits de l’Esprit » qui sont « charité,
joie, paix, longanimité, serviabilité, bonté, confiance dans les
autres, douceur, maîtrise de soi31 ».
29 Ps 105, 15.
30 2 Co 2, 14-15.
31 Ga 5, 22.
7
Baptême et confirmation :
l’onction prophétique pour évangéliser
32 Jn 3, 34.
33 Mc 1, 22.
34 Lc 7, 22.
35 Lc 4, 18.
36 Is 52, 7.
37 Rm 10, 9.
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habituelle ; au contraire, c’est toi qui te transformeras en moi. »
(Saint Augustin) Dire que Jésus, dans la communion, nous
assimile à lui, veut dire concrètement qu’il assimile, c’est-à-dire
qu’il rend nos sentiments semblables aux siens, nos désirs
semblables aux siens, notre façon de penser semblable à la
sienne ; il nous fait avoir, en somme, « les mêmes sentiments
qui sont dans le Christ Jésus57 ».
Voilà, comme l’explique saint Paul, avec qui exactement nous
entrons en communion dans l’Eucharistie : « La coupe de
bénédiction que nous bénissons, n’est-elle pas communion au
sang du Christ ? Le pain que nous rompons, n’est-il pas
communion au corps du Christ58 ? » Il faut bien mettre en
lumière le rapport de personne à personne, de vivant à vivant,
qui se réalise dans la communion avec simplicité et
immédiateté. Les termes corps et sang, dans le langage biblique,
ont un sens concret et historique. Ils indiquent toute la vie du
Christ, mieux, sa vie, sa mort et sa résurrection.
Selon nos dispositions intérieures ou nos besoins du moment,
« faire communion avec le Christ » veut dire vivre avec le
Christ, s’approcher et demeurer joue contre joue avec le Jésus
qui prie, le Jésus qui est tenté, le Jésus qui est fatigué, le Jésus
qui meurt sur la croix, le Jésus qui ressuscite. Tout cela non par
un montage mental, mais parce que ce Jésus existe toujours et
est vivant, même s’il ne vit plus dans la chair, mais dans
l’Esprit : « Celui qui s’unit au Seigneur n’est avec lui qu’un
seul esprit59. »
56 Jn 6, 57.
57 Ph 2, 5.
58 1 Co 10, 16.
59 1 Co 6, 17.
13
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« commettre » le péché, mais il ne peut pas « remettre » le
péché. « Qui peut remettre les péchés, sinon Dieu seul 79 ? » Et
saint Jean dit : « Petits enfants, je vous écris ceci pour que vous
ne péchiez pas. Mais si quelqu’un vient à pécher, nous avons
comme avocat (le Paraclet) auprès du Père Jésus Christ, le
Juste. C’est lui qui est victime de propitiation pour nos
péchés80. » « Le sang de Jésus, son Fils, nous purifie de tout
péché81. »
Le sang du Christ est le grand et puissant « solvant » qui peut
dissoudre le corps du péché. L’Église a reçu le pouvoir de
remettre les péchés au nom de Jésus et en vertu de l’Esprit
Saint : « Recevez – dit Jésus à ses apôtres – l’Esprit Saint.
Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis 82. »
L’Esprit Saint ne se borne donc pas à « nous convaincre de
péché », il nous libère aussi de ce péché. Il est donc lui-même
« la rémission des péchés ». Ce qui est le plus important pour
l’Écriture Sainte, à propos du péché, ce n’est pas que nous
soyons pécheurs, mais que Dieu nous pardonne nos péchés.
74 Rm 1, 18-3, 31.
75 Rm 3, 23-24.
76 Ps 36, 2-3.
77 Ez 36, 26.
78 Rm 6, 6.
79 Mc 2, 7.
80 1 Jn 2, 1-2.
81 1 Jn 1, 7.
82 Jn 20, 22-23.
19
83 Jc 5, 13-16.
84 Ep 3, 20-21.
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25
104 Cf. 1 Tm 4, 8.
105 Rm 8, 26-27.
26
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nous ne voyons pas seulement nous-mêmes ; nous voyons – et
c’est le plus important – le visage de Dieu, mieux, nous voyons
le cœur de Dieu. L’Écriture, dit saint Grégoire le Grand, « est
une lettre du Dieu tout-puissant à sa créature. On y apprend à
connaître le cœur de Dieu dans les mots de Dieu ». Ce que dit
Jésus vaut aussi pour Dieu : « C’est du trop-plein du cœur que
la bouche parle136. » Dieu nous a parlé par l’Écriture de ce qui
remplit son cœur ; et ce qui remplit son cœur, c’est l’amour.
Toutes les Écritures ont été écrites dans ce seul but : que
l’homme comprenne combien Dieu l’aime et qu’il le comprenne
au point d’être embrasé d’amour pour lui (saint Augustin).
Saint Paul, lorsqu’il parle de l’amour, dit que nous voyons Dieu
« comme en un miroir 137 » et ce miroir est avant tout l’Écriture.
La lecture et la contemplation de la Parole nous permettent de
grandir dans une double connaissance pour avancer sur le
chemin de la vraie sagesse : la connaissance de soi et la
connaissance de Dieu. La connaissance de Dieu sans la
connaissance de soi conduit à la présomption ; la connaissance
de soi sans la connaissance de Dieu porte au désespoir. « Que
je me connaisse et que je te connaisse », priait saint Augustin ;
et saint François passait ses nuits à répéter : « Qui es-tu,
Seigneur, et qui suis-je, moi ? » La Parole de Dieu est la seule à
pouvoir répondre à cette demande.
130 Jc 1, 19-25.
131 Ph 3, 8.
132 Dei Verbum, 21 ; 25.
133 Jn 8, 50.
134 Mt 5, 3.
135 1 Co 13, 4-5.
136 Mt 12, 34.
137 1 Co 13, 12.
32
La lecture
spirituelle de l’Écriture
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37
« Il apprit l’obéissance
de ce qu’il souffrit »
162 Ph 2, 8.
163 He 5, 8-9.
164 Cf. 1 P 1, 2.14.22.
165 1 P 2, 13. 16.
166 Cf. 1 Co 3, 16 ; 6, 19.
167 Cf. Ga 4, 6 ; Rm 8, 15-16. 26.
168 Cf. Jn 16, 13.
169 Cf. Ep 4, 11-12 ; 1 Co 12, 4 ; Ga 5, 22.
170 Lumen Gentium, n° 4.
171 Mc 1, 27.
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14 Lc 2, 7.
15 Lc 1, 31.
16 Mt 1, 20-21.
17 Is 7, 14.
6
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7. Noël et Épiphanie : « Arrêtez, sachez que moi je suis
Dieu! »
8. Jésus Christ, « lumière pour éclairer les nations et gloire
de ton peuple »
9. Le Baptême de Jésus : « Dieu le consacra dans l’Esprit
Saint et la puissance »
10. Le mystère de la prédication de Jésus
11. Le mystère de la Transfiguration de Jésus
12. C’est en contemplant que nous sommes transfigurés
13. Le Carême : « Morts au péché, mais vivants pour Dieu
en Jésus Christ »
14. Le mystère de Pâques : « Que signifie pour vous ce
rite? »
15. « Le Christ notre Pâque a été immolé! »
16. La Pâque : passage à travers la « Passion » du Seigneur
17. Le Christ est vraiment ressuscité!
18. Résurrection du Christ et mystère pascal
19. Le mystère de l’Ascension : « Passer de ce monde au
Père »
20. 20 – Le mystère de la Pentecôte : l’Esprit Saint, « âme »
de l’Église
QUATRIÈME PARTIE
1. Nous vivons pour le Seigneur
2. La foi, un don qui « vient de la prédication »
3. L’espérance est la joie d’être « régénérés pour une
vivante espérance »
4. La charité reçue et donnée : nous aimons parce que nous
sommes « aimés de Dieu »
5. Le baptême : « renaître de l’eau et de l’Esprit »
6. Baptême et confirmation : l’onction royale pour « être
avec le Christ »
7. Baptême et confirmation : l’onction prophétique pour
évangéliser
8. Baptême et confirmation : l’onction sacerdotale et la
prière avec Jésus
9. L’Eucharistie : Jésus-Christ œuvre dans l’Histoire
10. L’Eucharistie « fait » l’Église
11. L’Eucharistie « fait » l’Église par la consécration à Dieu
12. L’Eucharistie fait l’Église par la communion avec le
Christ
13. L’Eucharistie « fait » l’Église par la contemplation du
Christ
14. L’Eucharistie « fait » l’Église au moyen de l’imitation
du Christ
15. L’Eucharistie comme présence réelle du Seigneur Jésus
16. L’Eucharistie comme l’attente du retour du Seigneur
17. Le mystère de Pâques : le retour à l’intériorité
18. Le « mystère de l’iniquité »
19. L’Église, lieu unique de rémission des péchés
20. La Famille, grand mystère « qui s’applique au Christ et à
l’Église »
21. Parents et enfants, un lien « dans le Seigneur »
22. Le sacerdoce ministériel et le sacerdoce universel
23. Nés et consacrés pour pouvoir mourir en Christ
24. Les « lieux » de l’Esprit dans la vie chrétienne
25. Vie nouvelle, prière renouvelée
26. À l’école de prière de la Bible
27. La prière de Jésus et de l’Esprit
28. Prier avec les mots mêmes de Jésus : le Notre Père
29. La prière, c’est « faire ce que tu peux et demander ce que
tu ne peux »
30. Prière et action
31. Écouter et lire la Parole de Dieu
32. La lecture spirituelle de l’Écriture
33. « Ceux qui écoutent la Parole de Dieu et la mettent en
pratique »
34. Les Béatitudes : « Apprenez de moi que je suis doux et
humble de cœur »
35. « Bienheureux les pauvres dans l’esprit »
36. « Bienheureux les cœurs purs »
37. « Il apprit l’obéissance de ce qu’il souffrit »
CINQUIÈME PARTIE
1. Marie, lettre écrite par le doigt du Dieu vivant
2. « Pleine de grâce »
3. « Voici la servante du Seigneur »
4. « Bienheureuse celle qui a cru »
5. « Tu concevras dans ton sein et tu enfanteras un fils »
6. « Que me veux-tu, femme? »
7. Marie, disciple du Christ
8. Elle se tenait près de la croix de Jésus
9. « Femme, voici ton Fils! » et au disciple : « Voici ta
mère! »
10. « Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez
lui »
11. « Persévérants et unis dans la prière »
12. « L’Esprit Saint viendra sur toi »
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