Explication de Texte de Manon Lescaut

Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 3

Explication de texte de Manon Lescaut 

:
Notes de Léo :
Mes notes :
Cette corruption comment est-elle introduite ?
« La veille même de celui que je devais quitter cette ville » on voit inst-ce sur le tps, placé en tête de
phrase comme « un jour plus tôt » -> ça tient à rien « étant à me promener avec mon ami
Tiberge » innocence sagesse antique de bonheur, la promenade avec son ami, à laquelle tend parfois
DesGrieux.
« et nous le suivîmes jusqu’à l’hôtellerie où ces voitures descendent. Nous n’avions pas d’autre motif
que la curiosité. » mise en place de l’événement. Le pronom « nous » DesGrieux dans sa
communauté avec Tiberge pas individualisé, à l’inverse de la suite où très forte individualisat°
présence d’un Moi d’un Je très présent ap. Et Tiberge disparait aussi. Eléments de proto-réalisme,
élément du réel Amiens, le coche d’Arras, « l’hôtellerie où ces voitures descendent » -> présent de
vérité général, sur la manière dont fc° le réel. Y viennent juste par curiosité, vilain défaut, y compris
en théol.
Les femmes sortent énoncés anodin puis « Mais il en resta une, fort jeune, qui s’arrêta seule dans la
cour, pendant qu’un homme d’un âge avancé, qui paraissait lui servir de conducteur, s’empressait de
faire tirer son équipage des paniers » panier dans le coche servent à ranger les bagages. Elle est
introduite par conjonct° de coordinat° Mais donc rupture. Cette formule introduit la distinct° de
Manon par rapport aux autres femmes, au cadre elle est isolé avec le « seul ». En plus elle est plus
jeune, et elle accompagné, à la fois peut-être indice qu’elle est surveillée. Mais sur le plan de
l’imagination visuelle le vieux bouge « s’empressa de faire tirer » alors que elle elle est immobilisée
dans la cour « s’arrêta ». Comme peut-être ce figement de l’amour, du sentiment amoureux qui fait
que le temps se fige. L’espace tt est suspendu d’une certaine manière, dans un effet de sidération.
L’utilisation de la circonstancielle « pendant qu’un » -> crét° deux réalistés qui se supersposent. Une
banale et l’apparition. Et que ce soit au passé simple aussi, par rapport à l’imparfait.
« Elle me parut si charmante que moi, qui n’avais jamais pensé à la différence des sexes, ni regardé
une fille avec un peu d’attention ; moi, dis-je, dont tout le monde admirait la sagesse et la retenue, je
me trouvai enflammé tout d’un coup jusqu’au transport. » ce qui nous est dit de Manon c’est curieux
car on a pas de portrait on en attendrait un. On a seulement l’effet produit sur DEsGrieux « elle me
paru si charmante ». rencontre solipsiste, des grieux parait peu attentif déjà à Tiberge, mais aussi à
Manon car on est que dans son esprit. Altération de sapersonnalité on en sort pas. Et altération peut
être vu dans le sens de charmant peut peut-être être pris au sens premier, c à d le charme,
l’ensorcellement qu’elle fait subir à Des Grieux, ensrcellement amoureux. Le processus se recentre sur
desgreiux davantage que sur Manon. Il est caractérisé antérieurement par sa méconnaissance du
sexe et par sa sagesse. On passe d’une qualifiacation affectif à une morale. Intérresant car « on
admire sa sagedsse et sa retenue » car des grieux présente son hist comme positionné entre
tentation du bien et du vice. Mais là on pet aussi voir qu’il n’est peut-être pas indifférent à la vanité, y
compris dans la vertu. Il est content de ceette admiration. D’ailleur lors de sa carrière à St Sulpice, il
est content d’avoir du sccès, disposit° narcissiue chez ce perso. « je me trouvai enflammé tout d’un
coup jusqu’au transport » ces termes enflammés, transprt, sont du lexiques de la passion assez
classiques. Idée du transport vraiment idée de l’égarment de celui qui est aliéné par l’amour, emporté
hors de lui-même, la fureur amoureuse.
Ici on arrive au moment de transition, ap cette énoncé du coup de foudre, annonce deuxième phase
qu’est celui de l’échange. « J’avais le défaut d’être excessivement timide et facile à déconcerter ; mais,
loin d’être arrêté alors par cette faiblesse, je m’avançai vers la maîtresse de mon cœur. » On retrouve
ici cet étonnement de DesGrieux vis-à-vis de la métamorphose que l’amour opère en lui. D’une part il
se retrouve enflammé alors qu’il était froid et impassible, et deux il avance alors qu’il est timide et
facile à déconcerter. C’est cette révolution qui s’opère en lui alors qu’il « s’avançait vers la maitresse
de mon cœur ». la structure même de la phrase met en valeur cette métamorphose, d’abord l’état
initial, puis la transformation même de cette métamorphose. C’est prolongé dans le style même dans
la phrase précédente. Le Moi avant évoque lui pcq il ne sait plus qui il est. La formule on y retrouve le
lexique galant très classique, amour courtois même, « la maitresse de mon cœur ». D’ailleurs est ce le
narrateur ou le perso qui parle. Elle est devenu dans l’instant même cette maitresse. Et Manon se
retrouve déjà dans une relation intersubjective, ce n’est plus une personne qu’il ne connait pas, déjà
dans une relation avec lui, sans qu’elle ait rien demandé.
« Quoiqu’elle fût encore moins âgée que moi, elle reçut mes politesses sans paraître embarrassée. »
énoncé proche de ce qu’on a dans Manon Lescaut caractérisé par sa sournoiserie sza perfidie. Là elle
parait très à l’aise et pas du tout ingénue, même si concessive « « Quoiqu’elle fût encore moins âgée
que moi, », au contraire montre que si elle est jeune elle déjà plus ingénue du tt. Elle est déjà très au
fait des choses de l’amour, car recevoir les politesses d’une personne du sexe opposé ne lu pose
aucun embarras.
« Je lui demandai ce qui l’amenait à Amiens et si elle y avait quelques personnes de connaissance. Elle
me répondit ingénument qu’elle y était envoyée par ses parents pour être religieuse. » mais comment
entendre alors ce ingénument. N’y aurait il pas une manière de jouer cette ingénuité, pour que
desgrieux la sauve. Peut-être mais ici surement avant tt pour se donner une bonne image. Les motifs :
religieuse et tt, reste à préciser, même si pas de raison qu’elle mente sur ses parents l’ont envoyé
pour être religieuse. Ingénument le sous-entend qu’elle le joue, car normalement un type, un type de
comédie l’ingénue, donc idée qu’elle se glisserait dans une sorte de moule, un type, afin de manipuler
DesGrieux.
« . L’amour me rendait déjà si éclairé depuis un moment qu’il était dans mon cœur, que je regardai ce
dessein comme un coup mortel pour mes désirs. » cette sorte d’intelligence de l’amour. Une véritable
révélation assez Marivaudien, juste contemporain avant, une sorte d’intelligence tactique de l’amour
dans l’innocence, tt le charme pièce de Marivaux duplicité, tactique amour, innocence, tt le charme
de la jeunesse, et de la naïveté. En plus c’est l’amour lui-même qui conduit en rendant Des Grieux
éclairé, il est objet dans la phrase alors que l’amour est sujet. Et il voit entrée de Manon au couvent
comme un coup mortel pour ses désirs, on retrouve tournure hyperbolique du sentiment amoureux.
« Je lui parlai d’une manière qui lui fit comprendre mes sentiments, car elle était bien plus
expérimentée que moi » On retrouve ici ambivalence, et cette manière qu’a le texte de procéder, avec
une ceetaine duplicité. On retrouve cette intelligence de l’amour à se comprendre à demi mot, ça
passe par des regards des allusions, donc d’un côté enchantement de l’amour. Et d’un autre côté
déconstruction dans la même phrase à trav l’explication. Avec le « car » qui vient poser un regard plus
froid, sur les raison de leur bonne entente « car elle était bien plus expérimentée que moi. » par
l’expérience de Manon. Dans la 1ere partie de la phrase on a l’impression que c’est lui qui est
manipulateur et doué y tt en amour y tt. Mais en vrai c’est juste elle qui a de l’expérience. Par grâce à
sa propre intelligence. Dans le fond grâce à son expérience déjà entamée, plus précoce du vice.
« C’était malgré elle qu’on l’envoyait au couvent, pour arrêter sans doute son penchant au plaisir, qui
s’était déjà déclaré et qui a causé, dans la suite, tous ses malheurs et les miens. » On a surement ici
un discours indirect libre, peut-être aussi narrativisé. Au fond c’est la parole de Manon qui est
restituée ici à travers la voix du narrateur. [ tt ici c’est du discours indirect libre (en gros), ou peut-être
narrativisé ].
Notes de Massil :

Vous aimerez peut-être aussi