Expose Sur Babylone-Perses-Dieux Du NT G 3
Expose Sur Babylone-Perses-Dieux Du NT G 3
Expose Sur Babylone-Perses-Dieux Du NT G 3
PAR
FEVRIER 2016
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Nianzou Emon
SUJET :
Recherches sur les peuples babyloniens et perses, et les dieux du Nouveau Testament.
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INTRODUCTION
Le mot « archéologie » vient du grec ancien ἀρχαιολογία et est formé à partir des
scientifique dont l'objectif est d'étudier l'Homme depuis la Préhistoire jusqu’à l'époque
contemporaine à travers sa technique grâce à l'ensemble des vestiges matériels ayant subsisté
et qu’il est parfois nécessaire de mettre au jour (outils, ossements, poteries, armes, pièces de
Depuis des siècles, à travers plusieurs écrits, l’on a tenté de montrer que les découvertes
Plusieurs sites et vestiges découverts ont permis d’une part de confirmer que la Bible est
vraie.
Notre travail consistera à faire des recherches sur les Babyloniens, les Peres et les
témoignage des vestiges découverts à travers l’histoire de ces peuples que ce que la Bible dit
est vrai. Nous le présenterons selon l’ordre suivant : Les babyloniens, les Perses et les dieux
du nouveau testament.
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LE PEUPLE BABYLONIEN
Dans la chronologie d’existence des empires, de leur apogée et de leur déclin, l’empire
la ville et d’y fonder une nouvelle dynastie en 626 av. J. C. Son œuvre fut poursuivie par ses
PRESENTATION DE BABYLONE
Babylone est une plaine de quelques vingt mille kilomètres carré ayant pour frontières
l’Assyrie au Nord, les collines d’Elam à l’Est, le désert arabic à l’Ouest et le Golfe persique
On ne sait pas exactement d’où viennent les Sumériens qui ont habité la Mésopotamie
avec les Akkadiens, 5 000 avant Jésus-Christ. Les Akkadiens semblent être venus des terres
du nord (Syrie, Liban, Arabie), tandis qu’on ne sait pas d’où sont venus les Sumériens, dont la
langue mal connue n’est ni indo-européenne ni sémite. Ces deux groupes ethniques donneront
Mésopotamie (les céramiques) ont mis en lumière une culture pré-ubaidienne datée d’environ
4.000 av. J .C et une langue basée sur un Sumérien ancien non Sémitique. Cela fait croire que
probablement les Sémites et les Sumériens aient été les plus anciens (ou parmi) occupants de
fondation de villes très importantes avant le déluge. On peut noter entre autre :
- Les dynasties archaïques vers 2800-2400 av. J. C avec les héros comme Gilgamesh et
Agga.
- Les Akkadiens vers 2400-2200 av. J. C qui ont reconstruit la ville de Babylone après
le déluge avec le héros Sargon qui mit au point de nouvelles techniques militaire (arcs
Babylone une place primordiale. Cette dynastie fonde la Ier dynastie de Babylone. Le
plus grand roi de cette dynastie est Hammourabi. Ce roi qui réunifiera la Mésopotamie
est surtout connue pour le code de lois qu’il fit rédiger, savoir le code d’Ammourabi.
de Jérusalem en 587 avant notre ère et qu’il déporta les Judéens à Babylone (2Rois
25 : 8).
Le panthéon babylonien est fait de plusieurs dieux dont les principaux étaient Ann
(An), le dieu-ciel dont le temple principal Eanna était à Ourouk. El le dieu Sémitique dont
l’épouse est Inanna. Le dieu-air. Il existe aussi des déesses dont Ishtar déesse suprême de
l’amour et l’héroïne de la guerre. La liste des dieux se trouve sur cette stèle (voir image).
Il y avait dans les temples de nombreuses classes d’officiants. Des rites et des
incantations étaient régulièrement organisés, quelquefois pour des exorcismes. Les temples
La Littérature
enseignées dans les écoles. On trouve une littérature « religieuse » comprenant des psaumes
et des prières adressées à des dieux ou à des rois, ainsi que de la littérature « scientifique » :
remarquer qu’en Babylonie, la rédaction d’annales était très développée et traitaient de tous
les sujets. Notons également le code d’Hammourabi, le mieux connu des savants modernes et
Dans la foulée de son Père, de grandes réalisations ont été faites par le roi
d’innombrables chambres réservées aux gardes et aux personnes. La cours centrale du palais
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était en briques émaillées où se mêlaient sur un fond bleu des motifs. Bâtie sur la rive
gauche de l’Euphrate, la ville avait une double muraille de protection, sans oublier que le
fleuve constituait à l’Ouest une défense naturelle. Toutes ces réalisations ont fait de
Babylone une ville splendide appelée « ville merveille ». Nous notons les jardins suspendus,
une des sept merveilles du monde antique (voir Image du plan de la ville P. 134).
Sous le règne de Balthazar, une main mystérieuse écrivit une phrase toute aussi
mystérieuse sur le mur de la salle du palais pendant qu’il festoyait avec les grands de son
royaume. Daniel le juif a été le seul capable de décoder et d’interpréter le message qui
indiquait la fin de son règne. Il fut tué par les Perses la nuit même.
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LE PEUPLE PERSE
A- LEUR ORIGINE
Du Grec ancien hê persis’, le mot Perse est le nom métonymique hérité des grecs de
l’antiquité pour désigner le territoire gouverné par les rois Achéménides. Peuple indo-
européens, berger nomades originaire du sud de la Russie, ils arrivèrent probablement sur le
plateau Iranien dans la dernière partie du IIe millénaire avant Jésus-Christ. L’apogée de la
Perse antique est représenté par la dynastie achéménide dont les conquérants Darius premier
et Xerxès premier ont étendu le territoire jusqu’à en faire le plus grand empire connu alors.
Convoitée, cette région sera ensuite conquise par Alexandre le Grand au IV siècle avant
Jésus-Christ, par les troupes musulmanes au VIIeme siècle après Jésus-Christ, par Gensis
Cette période s’étend de 500 à 330 ans avant JC ; Elle nous est présentée après la
construction du temple où les Juifs entrèrent dans une période de l’histoire qui reste obscure,
c’est le moins qu’on puisse dire. On ne perce cette obscurité qu’en un ou deux points, en
fouilles ont permis de découvrir beaucoup d’objets et de vestiges divers dans les villes de la
Palestine habitées à l’époque Perse. Ainsi, à travers ces découvertes archéologiques, des types
de construction, des poteries, de la culture Grec ont été aperçu. L’on ne sait exactement pas
comment les Perses gouvernaient le pays ; Nous ne connaissons que deux gouverneurs de
cette époque, Néhémie et Bagosès, toutefois, nous avons quelques raisons de penser que les
prêtres s’occupaient des questions courantes, surtout dans le domaine de la collecte des
impôts.
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A la fin du VI siècle, Darius le grand gouvernait toujours ; son règne prit fin en 486
avant JC. Il attaqua les grecs à Marathon en 490 avant JC et fut défait au cours de ce combat.
Ses réalisations ont été importantes et son fils Xerxès (486-465 avant JC), formé dans l’art de
gouverner en servant comme vice –roi à Babylone, put poursuivre son œuvre. Grâce à cette
expérience, il fut capable d’opérer des changements importants dans l’administration de son
gouvernement. Son père avait entrepris la construction de plusieurs palais, dont le plus
l’exécution de ces superbes plans et d’y apporter certaines modifications. C’est à lui que sont
dus les magnifiques bas –reliefs qui surpassent l’œuvre des ouvriers de son père. Il eut de
nombreux succès militaires dans différentes régions de son empire, bien qu’il ait subit des
défaites de la part des Grecs dans les batailles de Thermopyles et de Salamine en 480 avant JC
et de Platées l’année suivante. C’est de ce Xerxès dont nous parle dont nous parle l’histoire
biblique D’Esther sous le nom D’Assuérus, histoire qui se passe dans l’ancienne ville élamite
Le roi suivant fut Artaxercès I (465-424 avant JC). C’est pendant son règne que le
célèbre Néhémie fut gouverneur de Juda et que vécut Esdras le scribe. Darius II (423-404) fut
le successeur d’Artaxercès, pendant son règne des informations suffisantes nous sont données
sur les juifs de la diaspora. Il y entre ces deux rois une brève période de deux années au cours
de laquelle Xèrcès II (424-423 avant JC) fut sur le trône ; Mais ce roi n’a pas une grande
importance. Les derniers souverains furent Artaxèrxès II (404-358 avant JC), Artaxèrxès III
(358-338), Arsès (338-336) et Darius III (336-331). L’empire Perse s’effondra en 331 avant.
Au III siècle sous l’empire Sassanide, apparaît le mot èràn ou èrànshar qui signifie «
pays des Aryens » traduit aussi par « pays des Iraniens ». Au VII siècle, après la chute des
Sassanides, le pays reprend à l’étranger le nom « Perse », qui est utilisé jusqu’en 1934, date à
laquelle Reza Pahlavi par un décret remplace le nom de « Perse » par « Iran 2 ». L’Iran,
autrefois connu sous le nom de Perse, a donné naissance il y a 2500 ans au premier empire
universel. Depuis lors, les plateaux iraniens ont abrité des civilisations du plus extrême
Les Perses furent un très grand et puissant empire sous Cyrus Le Grand, l’empire
infrastructures innovantes firent des Perses les maîtres de l’orient jusqu’à ce qu’Alexandre Le
Grand mit fin à leur suprématie en 330 avant Jésus-Christ. Peuple nomade, ils se fixèrent en
4000 avant notre ère sur les plateaux Iraniens. Leur sédentarisation augmente leur besoin en
eau qui les conduira à concevoir un système traditionnel de recherche de nappes souterraines
par des sourciers qui plus tard sera transformé en un système d’irrigation performant par des
reliait l'empire à l'Egypte. Sa construction représente une prouesse technique aussi grande que
celle du canal de Suez, près de 2 000 ans plus tard. Les ponts flottants que Darius et Xerxès
construisirent lors des guerres médiques à partir de navires échoués, ainsi que la Voie Royale
route de 2 500 km de long qui traversait tout l'empire, témoignent de la puissance de ces deux
rois. La sublime Persépolis, capitale de 125 000 m 2 dont la construction fut ordonnée par
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Darius Ier, ainsi que la beauté des jardins des palais, véritables paradis sont relatées dans les
récits épiques d'Homère. Les Perses étaient des jardiniers très doués.
Les premiers témoignages sur l'histoire de la médecine dans l’antiquité Perse peuvent
de Grèce, d’Égypte, d’Inde et de Chine pendant plus de 4000 ans et en a fait la synthèse pour
former un noyau de connaissances qui a permis d’établir les fondements de la médecine dans
différentes civilisations. Ces pôles ont prolongé avec succès les théories de leurs
période de l'histoire.
Au cours des dernières années, certaines études expérimentales ont en effet évalué les
Ces études ont évoqué la possibilité de relancer des traitements traditionnels sur la base de la
Laque Safavide : œuvre représentant un médecin prenant le pouls d'un patient. Extrait d’une copie
du XVIIe siècle du Canon de la médecine d'Avicenne.Wellcome Library, Londres.
chapitres à la médecine.
distinguait trois types de traitements : la médecine par le couteau (chirurgie), la médecine par
les herbes, la médecine par les paroles divines et le meilleur traitement était, selon le
Vendidad, la guérison par la parole divine. Bien que l'Avesta mentionne plusieurs médecins
réputés, les praticiens les plus remarquables de la Perse antique ont été les médecins de
Darius I, dont l'intérêt pour la médecine était si grand qu'il a reconstruit l'école de médecine
de Sais, en Égypte qui avait été détruite auparavant, restaurant ses livres et son matériel.
méthodiquement leur métier sur des patients sous la supervision de médecins a été
prétendre que dans une très large mesure, le mérite d’avoir inventé le système hospitalier
revient à la Perse.
guérissant trois patients adeptes du Divyasnan et s’ils échouaient ils n’avaient pas le droit de
pratiquer la médecine. À première vue, cette règle peut paraître discriminatoire et fondée sur
l'expérimentation humaine. Mais certains auteurs considèrent que, dès le début, les médecins
ont appris à refuser les préjugés et à soigner leurs adversaires aussi bien que leurs amis. Fait
intéressant, les honoraires du médecin étaient calculés en fonction des revenus du patient.
Beaucoup d'écoles, d’universités et de bibliothèques ont été détruites, des livres ont été brûlés
et des chercheurs tués. Néanmoins, les scientifiques iraniens ont continué leur activité et la
science Perse a refait surface au cours de la période islamique. Pour sauver les livres de la
destruction par les arabes, de nombreux textes pahlavi ont été traduits en arabe et l’Iran a
produit des médecins et des scientifiques comme Avicenne, Razi et des mathématiciens
Au regard de ce qui précède nous pouvons dire ceci : Depuis des siècles, l’histoire des
Perses révélée à travers les découvertes archéologiques des vestiges, des sites et des récits à la
lumière des Saintes Ecritures est une réalité qui ne peut être occultée. Elle confirme ainsi que
cette science est crédible, digne de confiance. Elle nous permet d’avoir accès à une meilleure
connaissance du monde de la Bible, mais aussi des choses de l’antiquité. C’est pour cette
raison qu’il serait bon chaque fois que l’occasion se présente de faire recours à l’Archéologie
Le Nouveau Testament est loin de la politique internationale et des règnes de rois. Son
Il est certes vrai que ces peuples ont plusieurs dieux et idoles, mais nous nous
intéresserons seulement à ceux mentionnés dans la période du Nouveau Testament, qui part
A travers l’archéologie, nous découvrons les dieux adorés par certains peuples
mentionnés dans le Nouveau Testament. Parmi ces dieux et idoles nous pouvons citer (voir
Gaïa Terra
Hadès Pluton dieu des enfers et du royaume des morts.
Vulcain ou
Héphaïstos dieu du feu.
Mulciber
Héra Junon La vache et le paon lui était consacrés; Argos était sa cité favorite.
dieu du commerce et des marchés, protecteur des négociants. Il
Hermès Mercure
était le messager de Zeus.
déesse du foyer, fille aînée de Chronos et Rhéa, et donc de sœur de
Hestia Vesta
Zeus, Hadès et Poséidon, mais moins connue que ces derniers.
Hypnos Somnus Le sommeil.
Moires
Parques (Les) Le destin des hommes
(Les)
Notos Auster Le vent du sud.
Odysséus Ulysse Un héros.
Ouranos Uranus
Perséphone Proserpine Le monde souterrain avec Hadès, son époux.
Poséidon Neptune dieu de la mer, frère de Zeus et de Hadès
Rhéa Ops
Zéphyre Favonus Le vent d'Ouest.
Le dieu des dieux, l'aigle était son oiseau favori, son arbre, le
Zeus Jupiter
chêne
mythologie et ne sauraient être réels. Ils avaient des activités comme les humains : ils se
mariaient, faisaient des enfants, avaient des frères et sœurs, se jalousaient, se faisaient la
guerre pour le contrôle de leur monde, etc. Ils avaient un chef, nommé Zeus en grec et Jupiter
en latin. C’étaient des dieux parfois sanguinaires, sensuels, et qui correspondaient à toutes les
Le Nouveau Testament mentionne dans le livre des Actes des Apôtres quelques-uns de
ces dieux. En effet, une légende dit que la ville de Rome a été fondée par le dieu Romulus, fils
du dieu Mars et de la déesse Rhéa Silvia qui a tracé les sillons de cette ville en 753 avant
Jésus-Christ. Il a été le premier roi de Rome. A sa suite, les empereurs romains tels que
Néron, Caligula et biens d’autres se faisaient adorer. C’est le refus des chrétiens de se
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conformer à cette pratique qui a entrainé la persécution dans tout l’empire romain. Nous
voyons en Actes 12, les versets 21 à 22, les auditeurs du roi Hérode l’ont élevé au rang de
dieu : « voix d’un dieu et non d’un homme ». Cela s’ajoute à tous les dieux déjà cité (voir
tableau).
Chez les grecs où l’Evangile a été apporté par l’apôtre Paul, nous pouvons citer
Artémis (Diane pour les romains), et Athéna Parthénos, la déesse protectrice d’Athènes à qui
était dédié le Parthénon d’Athènes. En Actes 17, l’apôtre Paul n’a pas manqué de relever le
caractère foncièrement religieux des Athéniens, ce qui a été un pont pour leur annoncer
l’Evangile de Jésus-Christ (voir Actes 17). Zeus, père des dieux, et Poséidon font partie des
Jupiter de Smyrne, sculpture réalisée vers 150 après Jésus Christ, restaurée au XVII° siècle, musée
du Louvre, Paris.
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Junon (l'équivalent romain d'Héra), II° siècle après Jésus Christ, musée du Louvre, Paris.
Poséidon Soter, bronze réalisé vers 575 avant Jésus Christ, musée archéologique d'Athènes.
21
Triton, représentation figurant sur un vase grec du VI° siècle avant Jésus Christ, Altes museum,
Berlin.
Vulcain le forgeron (Vulcain est le nom romain d'Hephaïstos), par Johan SCHUCH, vers 1680,
Deutsches historisches museum, Berlin.
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Athéna sortant du crâne de Zeus, entourée de plusieurs divinités, représentation figurant sur un
vase grec du VI° siècle avant Jésus Christ, musée du louvre, Paris.
Athéna Mattéi, sculpture réalisée au II° siècle avant ou après Jésus Christ, musée du louvre, Paris.
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Minerve dite Alexandre Mazarin, sculpture réalisée au II° siècle après Jésus Christ, restaurée au
XVII° siècle, musée du louvre.
Arès, bronze réalisé vers le IV° siècle avant Jésus Christ, musée de Gaziantep, Turquie.
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Mars et Vénus (noms romains d'Arès et Aphrodite) ou Les horreurs de la guerre, anonyme, XVII°
siècle, Deutsches historisches museum, Berlin.
Statue d'Apollon, sculpture réalisée par Guillaume II COUSTOU, 1753, château de Versailles.
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Diane chasseresse (Diane est le nom romain d'Artémis), école de Fontainebleau, XVI° siècle, musée
du Louvre, Paris (à noter que les traits de la déesse sont ceux de Diane de Poitiers, maîtresse du roi
de France Henri II.).
Diane et Actéon, par Michel DORIGNY, vers 1630, Petit Palais, Paris (à noter que Diane est le nom
que les Romains donnèrent à Artémis.).
Hermès, représentation figurant sur un vase de l'époque archaïque (période allant, en ce qui
concerne la Grèce, du IX° au VI° siècle avant Jésus Christ.).
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Dionysos, satires et ménades, représentation figurant sur un vase grec du IV° siècle avant Jésus
Christ, musée du Louvre, Paris.
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CONCLUSION
L’Archéologie biblique est une science qui permet de comprendre par les fouilles, les
origines des peuples et leur vie actuelle. A travers ce développement, nous nous sommes
évertués à présenter les Babyloniens, les Perses et les dieux adorés aux temps du Nouveau
Testament. Nous retenons de tout ce qui a été dit que ces peuples ont réellement existé et
qu’ils ont eu une grande influence sur la vie du peuple d’Israël, peuple de Dieu. Israël (Juda)
s’est en partie développé en Babylonie où ils ont plusieurs fois été exilés et les synagogues
qui ont été utiles au développement du judaïsme aux temps de Jésus-Christ en sont issues.
Par l’archéologie donc, l’étudiant de la Bible est éclairé et conforté dans sa foi et ses
convictions qui prennent vie par la réalité et le caractère scientifique des découvertes qui
(l’archéologie) mérite d’être étudiée par tout apprenant de la Bible qui se veut sérieux et qui
Sources consultées
- Alexander, Pat, ed. Le monde de la Bible. Bâle, Suisse : Editions Brunnen Verlag
(ebv), 1996.
- Alain, Millard. Trésors des temps bibliques. Angleterre : Editions Sator-cerf, 1986.
- https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9decine_dans_la_Perse_antique, consulté le
- http://upload.wikipedia.org/wikipedia/commons/7/72/Fr-arch%c3%A9ologie.ogg,
- http://fr.wikipedia.org/wiki/m%c3%a9decine_dans_la_perse_antique
- www.dieux-grecs.fr/htm