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5(11), 626-632
RESEARCH ARTICLE
Kouamé raphaël oussou1,3, djedoux maxime angaman2, jacques ackah2, muriel koffi3 and nathalie
guessennd4.
1. Laboratoire de Chimie Organique et des substances Naturelles et; Université Jean Lorougnon Guédé Daloa.
2. Laboratoire Biochimie et de pharmacologie ; Université Jean Lorougnon Guédé Daloa.
3. Laboratoire de chimie Organique Biologique et Structurale, Université de Félix Houphouet Boigny Abidjan.
4. Laboratoire de Bactériologie –Virologie, Unité des substances naturelles, Institut Pasteur de Côte d’Ivoire.
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Manuscript Info Abstract
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Manuscript History The essentials oils of the leave of Ageratum conyzoïdes, Eucalyptus
citriodora, Cymbopogon nardus and Clausena anisata extracted by
Received: 09 September 2017 internment to steam are tested on some bacterias. The oils of Clausena
Final Accepted: 11 October 2017 anisata have the better action again all the bacterias. The GC and GC-
Published: November 2017
SM are used to identify the chemical component. The oil of Clausena
Key words:- anisata and Ageratum conyzoïdes contained much hydrocarbon
Aromatic plants; essential oil; bacteria. compounds. The volatile oils of Eucalyptus citriodora and
Cymbopogon nardus in oxygen compounds.
Copy Right, IJAR, 2017,. All rights reserved.
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Introduction:-
Ageratum conyzoïdes, Eucalyptus citriodora, et Clausena anisata sont des plantes très utilisées dans la pharmacopée
traditionnelle ivoirienne à cause des propriétés thérapeutiques qui leur sont attribuées par les populations. En effet A.
conyzoïdes est utilisée comme hémostatique, antipaludique (ADJANOHOUN et al, 1992), anti-inflammatoire,
stomachique et vermifuge (LAVERGNER. et VERA, 1992)
Clausena anisata est reconnue pour ses propriétés aphrodisiaques et ses effets contre les migraines
(ADJANOHOUN et al, 1979). Quant à E. citriodora, en plus de ses propriétés antipaludiques, elle est utilisée contre
les affections respiratoires (MAZURA et al, 1994).
Les huiles essentielles de ces quatre plantes ont plus ou moins fait l’objet d’étude anti-bactérienne et / ou chimique.
NANA et al ont montré que l’essence de Clausena anisata exerce une action antimicrobienne sur le VIH in vitro en
2003. L’estragole (66,2 %) et (E)-anéthol (17,6 %) sont les composés majoritaires de cette essence, selon AVIESSI
et al (2004). Ils ont aussi déterminé les composés à activités antiradicalaires et antioxydantes de l'huile et comparé à
celles trouvées pour les composés de référence.
L'effet inhibiteur de l'huile essentielle de Cymbopogon nardus sur la croissance du mycélium d’Aspergillus niger fut
évalué sur un milieu d'agar par DE BILLERBECK et al en 2001. La croissance du mycélium fut complètement
inhibée à 800 mg/L.
BODJONA et OUATTARA en Côte d’Ivoire en 1997 ont respectivement déterminé la composition chimique de
l’huile essentielle « HE » (BODJONA ; 1997) et l’effet hyperglycémiant (OUATTARA ; 1998) des extraits aqueux
d’A. conyzoïdes. KANKO et al (2004) en étudiant les propriétés physico-chimiques des essences de Eucalyptus
citriodora et de Cymbopogon nardus ont pu montrer que ces huiles essentielles ne sont pas newtoniennes.
Cette étude vient établir une relation entre la composition chimique et l’activité antibactérienne des HE de ces
plantes aromatiques en Côte d’Ivoire.
Matériel Et Méthodes:-
Etude antibactérienne:-
A partir d’une culture bactérienne de 18 heures sur la gélose Mueller Hinton, nous avons réalisé un bouillon de 3
heures. Celui-ci a été repiqué dans 10 mL de bouillon Mueller Hinton, selon le protocole décrit par OUSSOU et al
en 2004 et ALLEGRINI et al en 1998. Les huiles essentielles ont été d’abord diluées dans du tween 80 avant d’être
remises dans l’eau (ALLEGRIN, 1972 ; OUSSOU, 2004). Les CMI (Concentrations minimales inhibitrices) ont été
déterminées. Les effets des huiles essentielles ont été comparés à ceux de l’amoxicilline, une molécule
antibactérienne de référence. Les souches bactériennes suivantes ont servi à déterminer l’effet antibactérien des
huiles essentielles :
10 souches d’Acinetobacter baumanii,
10 souches de Citrobacter freundii,
10 souches de Citrobacter koseri,
10 souches d’Escherichia coli
10 souches de Klebsiella ozaenae
10 souches de Klebsiella pneumoniae
10 souches de Proteus spp,
10 souches de Salmonella Typhi
10 souches de Serratia marcescens
10 souches de Staphylococcus aureus.
Les souches bactériennes de référence d’Escherichia coli ATCC 25922, ATCC 35218 et de Staphylococcus aureus
ATCC 29253 ont été également testées
Résultats:-
1- Analyse chimique des huiles essentielles
2- Le tableau I présente les résultats de l’analyse chimique des huiles essentielles. Les composés majoritaires sont
en gras.
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Tests antibacteriens:-
Les valeurs des CMI sont consignées dans le tableau II. L’huile de Clausena anisata exercice une action sur presque
toutes les bactéries étudiées.
Discussion:-
Analyse chimique des huiles essentielles:-
L’analyse détaillée de la composition chimique des échantillons d’huiles essentielles nous a permis de faire les
observations suivantes :
L’essence d’Ageratum conyzoïdes est prédominée par les composés hydrogénés (81,37%) avec à leur tête le
précocène I (51,51%). Les autres composés les plus abondants de cette huiles sont le 2,2-diméthyl- 3 -heptyne
(15,62%), le 1-méthyl- cyclohexène (11,50%) et le -caryphyllène (7,31%). Ces résultats sont différents de ceux de
BOJONA (1997) qui a identifié le -Caryophyllène (30,36%) et l’-Farnesène (11,5%) comme composés
majoritaires. Ils sont cependant en accord avec ceux de TOURE (2015) qui a trouvé le Procène I à 58,78%.
Le citronnellol (35,11%), le géraniol (30,68%), le muurolol (12,61%), et le -Terpinéol (6,86%) sont les composés
les plus importants de l’huile essentielle de Cymbopogon nardus. L’essence de cette espèce végétale est prédominée
par les composés oxygénés (87,60%). La portion hydrogénée est essentiellement dominée par le limonène (2,91%),
le -Elémène (0,99%) et le -Cadinène (0,92%).
L’huile essentielle de Clausena anisata doit sa richesse en hydrocarbure (70,7%) à la présence du caryophyllène
(15,51%), du germacrène D (10,18%), des isomères (Z et E) du -ocimène (15,42%), de l’-pinène (7,54%) et du -
humulène (3,93%). Les composés oxygénés (12,9%) en très faible proportion sont dominés par l’oxyde de
caryophyllène (3,7%) et le terpinèn 4 ol (3,03%). Tous les composés majoritaires identifiés dans nos échantillons
existent dans les huiles essentielles de Clausena anisata de Mazura au Zimbabwé (MAZURA, 1994). Chez
AVIESSI l’essence des feuilles de cette plante renferme essentiellement l’estragole (66,2 %) et (E)-anethole (17,6
%) (MAZURA, 1994). Ces mêmes composés lorsqu’ils existent, dans les échantillons d’huile essentielle du Ghana,
du Bénin et Togo sont en faible proportion (MOUDACHIROU, 1997). Dans les échantillons de MARIMUTHU
(2010), le Sabinène représente 28,3%.
L’échantillon d’Eucalyptus citriodora renferme le citronellal (84.86%) et le citronellol (5.23%) qui sont des
composés oxygénés. Les seuls hydrocarbures majoritaires de cette huile essentielle sont -caryophyllène (1,62%) et
le -pinène (0,96%). Ces résultats sont en accord avec ceux de SILOU et al (2013) qui ont identifié le citronellal à
plus de 88%. Les échantillons de TONZIBO et de MOUDACHIROU, étaient plus riches en citronellol. Le
citronellal était en très faible proportion ou presque inexistant dans leur échantillon. La présence du citronellal
(84.86%) confère à cette huile un nouveau chémotype (MOUDACHIROU, 1997). Cependant on pourrait penser à
une oxydation du citronellol en citronellal au cours du séchage. En effet au cours de la déshydratation des organes
végétaux, certains composés présents dans les huiles subissent une oxydation. Les huiles extraites aussi peuvent
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subir une oxydation sous l’action du rayonnement solaire. C’est le cas par exemple du citronellol (alcool) qui
pourrait se transformer en citronellal (aldéhyde) (TONZIBO, 1998).
Composés antibactériens:-
Plusieurs composés présents dans nos échantillons sont doués d’activité antibactérienne. Ils sont consignés dans le
tableau suivant. MAZURA en 1994 et AMVAM en 1998 ont attribué l’activité antibactérienne et antifongique des
huiles essentielles à un groupe de composés présents dans les huiles (MAZURA, 1994 ; AMVAM, 1998). Parmi les
essences de ces quatre plantes on remarque que l’échantillon de Clausena anisata est la plus riche en composés
antibacteriens (7.10%).
L’essence de C. nardus n’en contient que deux : l’Eugénol (1.56%) et le Terpinène (0.27%)
Les huiles essentielles d’A. conyzoïdes (0.36%) et d’E. citriodora (0.39%) renferment moins de composés
antibactériens que celles des deux premières plantes.
Tous nos échantillons d’huile renferment du terpène. Le sabinène est retrouvé uniquement chez Clausena anisata et
chez Eucalyptus citriodora. Le carvacrol est présent uniquement dans les huiles d’Ageratum conyzoïdes avec une
faible proportion (0,1%).
Activité antibactérienne:-
Toutes les CMI déterminées sont inférieures à 5mg/mL. Toutes les bactéries à l’exception des souches de Klebsiella
ozaenae sont très sensibles à l’essence de C. aniasata (CMI < 3mg/mL) (OUSSOU, 2004)
Chez C. nardus, lorsque la CMI est inférieure à 1mg/mL, nous avons la moitié des souches bactériennes testée qui y
sont sensibles. Pour les CMI comprises entre 1,2 et 2,45mg/mL on a Escherichia coli, Klebsiella ozaenae, Klebsiella
pneumoniae et Salmonella Typhi. Ces bactéries ont une sensibilité diminuée par rapport aux autres vis-à-vis de cette
essence.
Chez C. anisata nous avons aussi deux bactéries qui sont très sensibles. Il s’agit de E. coli (0,72mg/mL) et de
Klebsiella pneumoniae (0,29mg/mL).
Après ces deux bactéries nous avons aussi deux autres qui ont une sensibilité moyenne à l’huile de C. anisata
(2mg/mL<CMI<6mg/mL) : Enterobacter agglomerans et Citrobacter frendii.
E.coli et Klebsiella pneumoniae sont les plus sensibles à l’essence de E citriodora.
L’huile d’A. conyzoïdes possède les CMI les plus élevées. Elle est donc la moins active sur les souches bactériennes
étudiées.
Toutes les huiles essentielles étudiées sont plus actives sur les bactéries testées que l’ampicilline. Tous les
échantillons d’huile essentielle testés ont des effets inhibiteurs sur la souche de référence testée.
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Nous pouvons attribuer l’activité antibactérienne de C. anisata à la présence du Thymol, du linallol, du p- cymène et
du sabinène. Le linalol (2,72%) et le sabinène (2,41%) sont les composés à activité antibactériens les plus importants
de cette essence.
L’action antibactérienne de l’essence de C nardus est due à la présence de l’eugénol (1,58%) et du terpinène
(0,27%).
Les deux échantillons de A conyzoïdes et de E citriodora renferment peu de composés à activité antibactérienne.
Leurs proportions respectives sont 0,36% et 0,39%. Cela justifierait leur faible action sur les bactéries étudiées.
L’activité antibactérienne des HE serait donc liée à la présence dans celles-ci d’un certains groupe de molécules.
Conclusion:-
Les espèces végétales ayant fait l’objet de cette étude sont couramment rencontrées dans la pharmacopée
traditionnelle ivoirienne. Les bactéries qui ont servi à faire les tests antibactériens ont été isolées sur des malades en
consultation à l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire. L’échantillon de Clausena anisata est le plus actif. Cette activité
est attribuée à la présence du thymol, du linalol, du terpène, du p-cymène et du sabinène. La faible activité
antibactérienne des huiles essentielles d’Ageratum conyzoïdes et d’Eucalyptus citriodora est due au manque de
composés à activité antibactérienne dans ces essences. Il existe donc une relation étroite entre l’action
antimicrobienne d’une huile essentielle et sa composition chimique. Toutes les huiles étudiées sont actives sur la
souche de référence. L’étude comparée des huiles aux molécules de référence montre que l’essence de C. anisata et
celle de C. nardus sont plus actives in vitro que l’amoxicilline.
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21- TOURE DAOUDA « études chimique et biologique des huiles Essentielles de quatre plantes Aromatiques
médicinales de côte d’ivoire» Thèse d’Université Felix Houphouet Boigny, Soutenue le 15 Janvier 2015 ;
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Remerciements:-
Nous remercions le Laboratoire de Chimie des Huiles Essentielles, Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand,
Campus des Céseaux, 63177 Aubière, France, et le professeur Gilles FIGUERODO d’avoir accepté d’analyser nos
échantillons d’huiles essentielles.
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