Ev1 Francais005
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Séance 3 : syntaxe
Les figures de style : comparaison, métaphore, personnification
Séance 4 : lexique
Lexique de la peur
Séance 5 : Lecture d’élargissement
Le veston ensorcelé, 2ème partie
Séance 6 : activités d’écriture
Rédiger un récit fantastique ..
Annexe :
Corrigés :
Séance 1 : Compréhension de l’écrit
Qui sait, 2ème partie
Objectifs de la séance :
Plan de la séance
- Qui sait ? – 2ème partie
- Questions
- Retiens
Déroulement de la séance :
Questions
1. Observe les débuts de paragraphes puis relève les indicateurs de temps qui
signalent les différentes étapes de l’aventure.
2. Pourquoi le personnage ne tient-il plus compte de l’avertissement ?
3. Relève le champ lexical du bruit. Quel effet a-t-il sur le personnage ?
4. Les objets se transforment. A qui sont ils comparés ?
a) Relève la phrase qui montre qu’ils deviennent des ennemis.
b) Quel est l’effet produit sur le lecteur ?
5. Quels sentiments le combat du personnage avec le bureau provoque-t-il ? 6.
Le combat avec les objets conduit le personnage à un malheureux échec. Montre-
le en complétant le tableau ci-dessous.
Objectifs de la séance :
- Développer l’écoute.
- Sélectionner des informations.
- Prendre des notes.
- Dégager le genre narratif.
- Dégager la visée de la narration
Durée de la séance : une heure
Documents à consulter : un dictionnaire
Plan de la séance
Objectifs de la séance :
Plan de la séance
- Rappel
- Activité 1
- Activité 2
Déroulement de la leçon :
Rappel
Activité 1 :
Mot de
Comparé Comparant Elément commun
comparaison
Objectifs de la séance :
Plan de la séance
Activité 1
Activité 2
Activité 3
Activité 4
Activité 5
Déroulement de la leçon :
Activité 1
Nul ne marche seul la nuit dans la forêt sans tremblement. Ombres et arbres,
deux épaisseurs redoutables […]. On a peur et envie de regarder derrière soi
[…]. Sans se rendre compte de ce qu’elle éprouvait, Cosette se sentait saisie par
cette énormité noire de la nature. Ce n’était plus seulement de la terreur. Elle
frissonnait. Les expressions manquent pour dire ce qu’avait d’étrange ce frisson
qui la glaçait jusqu’au fond du cœur. Son œil était devenu farouche.
d’après V.Hugo, Les Misérables
Complète le tableau en classant les mots soulignés dans la colonne qui convient.
Activité 2
Trouve le sentiment de peur que l’on éprouve dans chacune des situations ci-
dessous (utilise le dictionnaire si nécessaire) : anxiété / épouvante / trac /
affolement / peur / horreur / crainte / terreur / angoisse / panique.
Activité 4
Classe les expressions suivantes selon le degré de peur qu’elles expriment ( du
moins fort au plus fort).
Activité 5
Questions
Le veston ensorcelé (2ème partie)
Ce jour-là, je m’en souviendrai toujours. C’était un mardi d’avril et il pleuvait.
Quand j’eus passé mon complet – pantalon, gilet et veston –, je constatai avec
Par habitude, je ne mets rien dans la poche droite de mon veston, mes papiers, je
les place dans la poche gauche. Ce qui explique pourquoi ce n’est que deux
heures plus tard, au bureau, en glissant par hasard ma main dans la poche droite,
Je restai interdit. Ce n’était certes pas moi qui l’y avais mis. D’autre part, il était
venu lui verser un acompte, à ce moment-là il n’avait pas son portefeuille et, pour
ne pas laisser traîner le billet, il l’avait glissé dans mon veston pendu à un cintre.
et lui restituer cet argent qui n’était pas à moi. Mais, à ce moment, et je ne saurais
J’avais dû pâlir comme la mort. Dans la poche, mes doigts avaient rencontré les
bords d’un morceau de papier qui n’y était pas quelques instants avant.
« Non, non, ce n’est rien, dis-je, un léger vertige. Ça m’arrive parfois depuis
quelque temps. Sans doute un peu de fatigue. Vous pouvez aller, mon petit,
j’avais à vous dicter une lettre mais nous le ferons plus tard. »
Ce n’est qu’une fois la secrétaire sortie que j’osai extirper la feuille de ma poche.
C’était un autre billet de dix mille lires. Alors, je fis une troisième
tentative. Et un troisième billet sortit.
Mon cœur se mit à battre la chamade. J’eus la sensation de me trouver entraîné,
pour des raisons mystérieuses, dans la ronde d’un conte de fées comme ceux que
Sous le prétexte que je ne me sentais pas bien, je quittai mon bureau et rentrai à la
femme qui faisait mon ménage était déjà partie. Je fermai les portes, baissai les
stores et commençai à extraire les billets l’un après l’autre aussi vite que je le
d’un moment à l’autre le miracle. J’aurais voulu continuer toute la soirée, toute la
nuit jusqu’à accumuler des milliards. Mais à un certain moment, les forces me
manquèrent.
maintenant était de les dissimuler, pour que personne n’en ait connaissance. Je
vidai une vieille malle pleine de tapis et, dans le fond, je déposai par liasses les
millions.
de me trouver tout habillé sur mon lit. Je m’efforçai de rire, en lui expliquant que
l’improviste.
Je répondis que je devais sortir tout de suite et que je n’avais pas le temps de me
ma femme de ménage ; le mien, celui qui ferait de moi en quelques jours un des
Questions
Avertissement, transgression, aventure fantastique, sanction
I – Ce jour-là.
1. De quel jour s’agit-il ?
2. Quels mots de la première phrase indiquent que « ce jour » est inoubliable ?
3. Quel phénomène inexplicable se produit-il ?
4. Quel rôle « ce phénomène » joue-t-il dans la nouvelle ?
5. Quelles expressions traduisent le doute du personnage ? Quels procédés
grammaticaux sont utilisés ?
6. Relève les champs lexicaux de l’argent, du surnaturel et de la peur.
Objectifs de la séance :
Déroulement de la séance :
Sujet :
Le satellite artificiel
1. Compréhension de l’écrit
2. Compréhension orale
3. Syntaxe
4. Lexique
5. Lecture d’élargissement
6. Activités d’écriture
1. Compréhension de l’écrit
1. Puis soudain
Paragraphe 4 : soudain, je n’ai plus peur
Paragraphe 6 : puis j’entendais au loin
2. Le personnage ne tient plus compte de l’avertissement parce qu’il ne peut
plus supporter cette situation.
3. Champ lexical du bruit : bruit d’explosion / le coup sonna comme une
détonation de fusil / un formidable tumulte, si terrible, si assourdissant /
extraordinaire piétinement / béquilles de bois, béquilles de fer qui vibraient
comme des cymbales /
Ce bruit assourdissant frappe les oreilles du personnage et traduit un
moment de tension violente.
2. Compréhension orale
I - Les articulateurs temporels : d’abord, après deux ans, vingt ans plus tard.
II - Les deux planètes citées dans le texte sont la Lune et Mars.
Vrai ou faux :
– Le texte raconte un voyage interplanétaire : vrai.
– Les Martiens ont occupé la terre : faux.
– L’exploration de la Lune a été très bénéfique pour les Terriens : faux.
– Les Terriens ignoraient l’existence des Martiens : faux.
– Les Martiens sont organisés: vrai.
– Les terriens ont informé les Martiens de leur voyage : faux.
– Le narrateur est ironique : vrai.
– Le narrateur dénonce la prétention, la vanité des Terriens : vrai.
– Ce texte est un récit de science-fiction : vrai.
– Ce texte est un récit fantastique : faux.
3. Syntaxe
Activité 1 :
Activité 2 :
a) -
Mot de
Comparé Comparant Elément commun
comparaison
1. Le gros tas
un tombeau avait l’air la forme
d’arbres
2. Les canapés crocodiles comme la forme
3. Les étoffes pieuvres a l a façon de la forme
4. Les autres
charge de cavalerie ainsi que puissance, cruauté
meubles
b)
- Le personnage est terrifié, terrorisé, fou d’épouvante.
- L’univers décrit est horrible, dangereux, périlleux, menaçant.
4. Lexique
Activité 1
1) E
2) – peu r/ affolement / panique
3) – trac
4) – crainte
5) –.anxiété/ angoisse
6) – éprouvante /peur / horreur
7) – horreur / terreur
Activité 3
Activité 4
2/6/5/3/1/4
Activité 5
La peur c’est comme le froid : cela vous donne la chair de poule, vous fait
trembler comme une feuille et claquer des dents, puis vous paralyse.
5. Lecture d’élargissement
I – Ce jour-là :
1. Ce jour-là : le jour où j’ai porté le complet3.
Jour inoubliable : je m’en souviendrai toujours.
Un mardi d’avril.
Il pleuvait.
2. « En glissant ma main dans la poche droite, je m’aperçus qu’il y avait un
billet de dix milles lires ».
3. Le rôle que joue ce phénomène dans la nouvelle : l’avertissement et le début
de l’aventure fantastique.
4. « Est-ce que ce serait ?» (emploi de la forme interrogative et du mode
conditionnel) :
« peut-être » : expression de l’incertitude.
« je ne saurais expliquer la raison » : expression de l’incertitude.
6.
6. Activités d’écriture
Réponse libre