Enonce 16
Enonce 16
Enonce 16
PC* 22 - DEVOIR No 16
Le 3 février
La plupart des montagnes russes dans les parcs d’attraction disposent d’un freinage magnétique. Nous
étudions ici un modèle simple permettant d’en expliquer le principe.
A. Dispositif de freinage
Un dispositif de freinage magnétique est constitué de deux parties, l’une fixée au wagon, l’autre fixée au
niveau des rails. Sous chaque wagon est placée une plaque fabriquée dans un matériau non magnétique et
conducteur ohmique (typiquement du cuivre) de conductivité électrique γ (voir figure 1).
Figure 2 –
→
− →
−
où E désigne le champ électrostatique. La détermination du vecteur densité de courant j au sein de la
plaque, particulièrement dans la partie qui n’est pas soumise au champ magnétique, est complexe. Nous
→
−
allons, dans un premier temps, considérer exclusivement la partie P0 de la plaque soumise à B 0 . On
→
−
suppose que le vecteur densité de courant j y est uniforme et porté par l’axe x.
→
−
a. Si I est l’intensité totale parcourant la partie P0 de la plaque, donner l’expression de j en fonction
de I et de deux longueurs caractéristiques de P0 .
b. On note U = V (d/2) − V (−d/2) la ddp entre les plans x = d/2 et x = −d/2. En faisant circuler loi
d’Ohm sous la forme (1), établir la relation
rI = −U + ei (2)
a. Le circuit est orienté dans le sens indiqué sur la figure (3). Exprimer, à une constante près, le flux
magnétique à travers le circuit en fonction d, B0 et de la coordonnée Y de la barre.
b. En déduire l’expression de la fem induite dans le circuit. Pour la suite, vous admettrez que cette
fem est localisée dans la barre mobile.
c. La barre possède une résistance électrique r et est parcourue par l’intensité i. Exprimer la tension U
aux bornes de cette barre fonction de r, i et de la fem induite.
d. Expliciter les analogies entre la relation (2) et celle de la question précédente. Dans le problème du
freinage du wagon, que représentent respectivement ei et r ?
4. On revient au problème du freinage du wagon et on modélise la partie de la plaque situé hors de P0
par une résistance R de façon à ce que le circuit électrique équivalent soit celui de la figure 4. Reproduire
cette figure sur la copie et plaçant les grandeurs e, I et U orientées.
FIN DE LA PARTIE I
Mesure du champ magnétique terrestre
Mines-Ponts
II. — Utilisation d’une boussole
II.A. — Etude générale G
Dans cette partie on utilise une boussole constituée d’une Figure 2 – La Boussole
aiguille aimantée mobile, présentant un axe de symétrie
longitudinal. Cette aiguille peut pivoter sans frottement autour d’un axe passant par son centre
de masse G et perpendiculaire à l’axe de symétrie. La liaison avec l’axe est du type ≪ pivot
parfait ≫ sans frottement. Cette aiguille aimantée se comporte comme un dipôle magnétique de
moment magnétique M~m ayant la direction de l’axe de symétrie de celle-ci.
Cette boussole est placée dans un champ magnétique B, ~ permanent et localement uniforme
(il est considéré comme uniforme tout le long de l’aiguille aimantée). Les forces magnétiques
soumettent la boussole à un couple ~Γ = M~m ∧ B. ~ On note J le moment d’inertie de l’aiguille
aimantée par rapport à l’axe de rotation. Dans un premier temps nous allons étudier les petits
mouvements de l’aiguille autour de sa position d’équilibre stable, en négligeant les frottements
fluides dus à l’air. Le champ magnétique et l’axe de symétrie de l’aiguille sont dans un plan
horizontal. On appelle α l’angle entre la direction de B ~ et celle de M~m .
5 — Après avoir exprimé le couple des forces magnétiques
s’exerçant
sur l’aiguille en fonc-
~
~
tion des paramètres du problème que sont B =
B
, Mm =
Mm
et α, établir l’équation
différentielle dont α est solution. En déduire les positions d’équilibres de l’aiguille, et indiquer
sans calcul l’équilibre stable. En supposant α ≪ 1, donner l’expression de α (t) en notant α0 la
Mm
valeur maximale de cet angle, en faisant apparaı̂tre le rapport κ =Mesuresetdeen supposant
champs que
magnétiques
J
dα −1
dt t=0
= 0 rad · s .
On cherche à mesurer le rapport κ. Pour cela on mesure la période des pe-
tites oscillations de l’aiguille aimantée placée
Page dans
3/7un champ magnétique I
Tournez la page I
S.V.P.
uniforme connu, créé par des bobines de Helmholtz.
Les bobines de Helmholtz sont constitués de deux bobines plates, c’est-à- x O
dire d’épaisseurs négligeables, identiques et équidistantes. Chacune d’entre
elles comprend N spires circulaires de rayon R, parcourues par le même R d
courant d’intensité I et dont le sens est indiqué sur la figure 3. Ces deux
bobines sont distantes de d = R. L’axe Ox de révolution des spires a
pour origine le point O tel que les bobines soient équidistantes de celui-ci.
Fig. 3 – Bobines
On montre qu’en un point M situé à l’abscisse x, sur l’axe Ox, le champ
~ (x) créé par les bobines s’écrit de Helmholtz
magnétique B
"
2 #−3/2 " 2 #−3/2
~ (x) = N B ~0 x 1 x 1
B 1+ − + 1+ +
R 2 R 2
~
6 — La quantité B0 =
B 0
s’exprime en fonction de µ0 , R et I. Par comparaison avec
d’autres champs magnétiques, choisir en justifiant précisément ce choix, l’expression de B0
parmi les suivantes :
µ0 I µ0 R µ0 IR IR
B0 = B0 = B0 = B0 =
2R 2I 2 2µ0
Dans quelle zone située sur l’axe Ox, peut-on considérer que la variation relative de la norme
du champ est inférieure à 2% ? Préciser la valeur numérique de cette norme sachant que N = 50
spires et I = 4 A ?
8 — La valeur mesurée de la période des petites oscillations de l’aiguille aimantée est
T = 0,30 s. Déterminer l’unité et calculer la valeur numérique du rapport κ pour cette boussole.
9 — Après avoir fait un schéma représentant M~T ainsi que le vecteur B(M ~ ), les angles i
et θ si le point M est la ville de Paris, déduire des mesures effectuées la coordonnée θ de cette
ville. Que peut-on en conclure concernant l’axe de symétrie du champ magnétique terrestre et
l’axe de rotation de la terre ?
FIN DE LA PARTIE II
6HFWLRQ6
]
)LJXUHFRQGXFWHXURKPLTXH
G G
([SULPHU HQ IRQFWLRQ GH γ HW MH OH FKDPS pOHFWULTXH ( TXL UqJQH j O¶LQWpULHXU GH FH
FRQGXFWHXU
'RQQHU HQ IRQFWLRQ GH γ MH HW GHV FDUDFWpULVWLTXHV JpRPpWULTXHV GH FH FRQGXFWHXU OHV
H[SUHVVLRQVGXFRXUDQWpOHFWULTXH,WUDYHUVDQWFHFRQGXFWHXUHWGHODGLIIpUHQFHGHSRWHQWLHO
8DX[ERUQHVGHFHFRQGXFWHXU
(Q GpGXLUH HQ IRQFWLRQ GH γ HW GHV FDUDFWpULVWLTXHV JpRPpWULTXHV GH FH FRQGXFWHXU OD
UpVLVWDQFHpOHFWULTXH5ΩGHFHFRQGXFWHXU
&DUDFWpULVWLTXHVGHODERELQHjWHPSpUDWXUHDPELDQWH
2QVXSSRVHLFLTXHODERELQHHVWPDLQWHQXHjWHPSpUDWXUHDPELDQWH7 .
/ SFRXFKHVGHERELQDJH
5PR\
]
G
)LJXUHERELQH
D 6XU XQH VHXOH FRXFKH GH ERELQDJH FRPELHQ \ DWLO GH VSLUHV MRLQWLYHV SDU XQLWp GH
ORQJXHXUGHVROpQRwGH"
E&RPELHQGHVSLUHVSDUXQLWpGHORQJXHXUFRPSRUWHFHVROpQRwGH"
D'RQQHUHQIRQFWLRQGHGS,HWμO¶H[SUHVVLRQGXFKDPSPDJQpWLTXHFUppjO¶LQWpULHXU
GXVROpQRwGH
E$SSOLFDWLRQQXPpULTXH% 7G PP, $'pWHUPLQHUS
D(QDVVLPLODQWOHUD\RQGHFKDTXHVSLUHDXUD\RQPR\HQ5PR\H[SULPHUODORQJXHXU/ILO
GHILOQpFHVVDLUHjODUpDOLVDWLRQGHFHWWHERELQHHQIRQFWLRQGH5PR\GSHW/
E$SSOLFDWLRQQXPpULTXH/ PHW5PR\ FP(YDOXHU/ILO
D([SULPHUHQIRQFWLRQGHγ&XGH/ILOHWGHGODUpVLVWDQFHpOHFWULTXH5pOHFGHODERELQH
E$SSOLFDWLRQQXPpULTXHpYDOXHUODSXLVVDQFH3- GLVVLSpHSDUHIIHW-RXOHGDQVODERELQH
&RPPHQWHU
&DUDFWpULVWLTXHVGHODERELQHUHIURLGLHj.
2QVXSSRVHLFLTXHODERELQHHVWPDLQWHQXHjODWHPSpUDWXUHGH.
3RXUGLPLQXHUODSXLVVDQFHGLVVLSpHRQSHXWHQYLVDJHUGHUHIURLGLUOHFRQGXFWHXUHQFXLYUH
SDUO¶LQWHUPpGLDLUHG¶XQEDLQG¶D]RWHOLTXLGHj.2QSHXWDORUVLPSRVHUGDQVXQFRQGXFWHXUGH
FXLYUHGHPrPHGLDPqWUHG PPXQFRXUDQWSOXVLPSRUWDQW,¶ $2QUpGXLWDLQVLOHQRPEUH
GHVSLUHVGHODERELQHHWGRQFVDUpVLVWDQFHpOHFWULTXHHWVRQUD\RQPR\HQ
D4XHOHVWDORUVOHQRPEUHGHFRXFKHVGHERELQDJHS¶jVXSHUSRVHUSRXUREWHQLUXQFKDPS
PDJQpWLTXHGH7"
E(QDVVLPLODQWOHUD\RQGHFKDTXHVSLUHDXQRXYHDXUD\RQPR\HQ 5
PR\ FPpYDOXHU
ODQRXYHOOHSXLVVDQFHGLVVLSpHSDUHIIHW-RXOH 3-
GDQVODERELQH
&RPSWHWHQX GX FRW GH OD UpIULJpUDWLRQ GH OD ERELQH j . LO IDXW WHQLU FRPSWH GH
O¶HIILFDFLWpGHODPDFKLQHWKHUPLTXHDVVXUDQWOHPDLQWLHQGHFHWWHEDVVHWHPSpUDWXUH
PC* 22 - Devoir de physique no 16
XLVVDQFH3¶PLQLPDOHQpFHVVDLUHSRXUDEVRUEHUODSXLVVDQFH 3-
GLVVLSpHGDQVOD
8
XLYUHUHIURLGL&RPPHQWHU
2QFRQVLGqUHXQHPDFKLQHIULJRULILTXHF\FOLTXHHWUpYHUVLEOHTXLDVVXUHSDUO¶LQWHUPpGLDLUH
G¶XQ IOXLGH FDORSRUWHXU OHV WUDQVIHUWV WKHUPLTXHV HQWUH GHX[ VRXUFHV GH WHPSpUDWXUHV
FRQVWDQWHV7IHW7F
)LJXUHVXSUDFRQGXFWHXU
→
− 5
La densité volumique de courant j e dans le supraconducteur ne dépend que de la coordonnée
→
−
cylindrique r et est portée par le vecteur →−
e z : j e = je (r) →
− ] I donnée,
e z . Pour un courant d’intensité
G
cette densité de courant je n’est pas forcément uniforme dans le supraconducteur ; elle ne peut prendre
XGHVLQYDULDQFHVGXSUREOqPHODGHQVLWpYROXPLTXHGHFRXUDQWQRWpH MH GDQV
que les valeurs +j0 , −j0 ou 0. Ce courant se distribue de façon à protéger le centre du supraconducteur
de toute variation de champ magnétique. G G G
QHGpSHQGTXHGHUHWHVWSRUWpHSDUOHYHFWHXU H] 2QD MH = MH UH] 3RXUXQ
)LJXUHVXSUDFRQGXFWHXU
G
W,GRQQpODGHQVLWpGHFRXUDQWQ¶HVWSDVXQLIRUPHGDQVOHVXSUDFRQGXFWHXUVRQ
&RPSWHWHQXGHVLQYDULDQFHVGXSUREOqPHODGHQVLWpYROXPLTXHGHFRXUDQWQRWpH MH GDQV
43) Déterminer en fonction de j0 et de R l’intensité maximale Ic , aussi appelée valeur critique, qui peut
G G G
RXcirculer
M HVW
Rdans le filXQH FRQVWDQWH &H FRXUDQW VH GLVWULEXH GH
OHVXSUDFRQGXFWHXUQHGpSHQGTXHGHUHWHVWSRUWpHSDUOHYHFWHXU
supraconducteur. H] IDoRQ
2QDjSURWpJHU OH
MH = MH UH] 3RXUXQ
FRXUDQWGHWUDQVSRUW,GRQQpODGHQVLWpGHFRXUDQWQ¶HVWSDVXQLIRUPHGDQVOHVXSUDFRQGXFWHXUVRQ
GXFWHXUGHWRXWHYDULDWLRQGHFKDPSPDJQpWLTXH
DPSOLWXGH YDXW ± M RX R M HVW XQH FRQVWDQWH &H FRXUDQW VH GLVWULEXH GH IDoRQ jSURWpJHU OH
HQIRQFWLRQGH M HWGH5ODYDOHXUPD[LPDOH,FGLWHYDOHXUFULWLTXHGXFRXUDQW
FHQWUHGXVXSUDFRQGXFWHXUGHWRXWHYDULDWLRQGHFKDPSPDJQpWLTXH
GHFHFRQGXFWHXU
'pWHUPLQHUHQIRQFWLRQGH M HWGH5ODYDOHXUPD[LPDOH,FGLWHYDOHXUFULWLTXHGXFRXUDQW
GHWUDQVSRUWGHFHFRQGXFWHXU
PC* 22 - Devoir de physique no 16 9
(WXGHGHODSUHPLqUHPRQWpHGXFRXUDQWGDQVOHVXSUDFRQGXFWHXU
2QV¶LQWpUHVVHLFLjODSUHPLqUHPRQWpHGXFRXUDQW,WGDQVOHVXSUDFRQGXFWHXU
2Q VXSSRVH TXH FHWWH SUHPLqUH PRQWpH V¶HIIHFWXH SHQGDQW XQH GXUpH 7 VXLYDQW XQH
,
FRQVLJQH HQ UDPSH GH VRUWH TXH ,W = W R , HVW OD YDOHXU ILQDOH GX FRXUDQW GDQV OH
7
VXSUDFRQGXFWHXU
&HFRXUDQWVHGLVWULEXHGHIDoRQjSURWpJHUOHFHQWUHGXVXSUDFRQGXFWHXUGHWRXWHYDULDWLRQ
GHFKDPSPDJQpWLTXHGHVRUWHTX¶LOVHUpSDUWLWjXQLQVWDQWWGHFHWWHSUHPLqUHpWDSHjODSpULSKpULH
GXVXSUDFRQGXFWHXUGDQVOD]RQH U1WU5ILJXUH
U1W
5
)LJXUHUpSDUWLWLRQGXFRXUDQWGDQVOHVXSUDFRQGXFWHXU
,
2QGpILQLWSDU X = OHWDX[G¶XWLOLVDWLRQGXVXSUDFRQGXFWHXU([SULPHUXHQIRQFWLRQGHM
,F
5HW,
D $ O¶DLGH GH SURSULpWpV GH V\PpWULH HW G¶LQYDULDQFH SUpFLVHU GH TXHOOHV YDULDEOHV GH
G
O¶HVSDFHGpSHQGOHFKDPSPDJQpWLTXH % GDQVOHVXSUDFRQGXFWHXUHWSDUTXHOVYHFWHXUV
GHEDVHLOHVWSRUWp
E 3DU DSSOLFDWLRQ GX WKpRUqPH G¶$PSqUH GDQV O¶DSSUR[LPDWLRQ GHV UpJLPHV TXDVL
VWDWLRQQDLUHVVXUXQFRQWRXUTXHO¶RQSUpFLVHUDGpWHUPLQHUjO¶LQVWDQWWOHFKDPSPDJQpWLTXH
G
%U W GDQVOD]RQH U ∈ [ U W ]
G
F'HPrPHGpWHUPLQHUHQIRQFWLRQGH μ MHWUWOHFKDPSPDJQpWLTXH %U W GDQVOD
]RQH U ∈ [ U W 5 ]
G
G7UDFHUO¶DOOXUHGHODIRQFWLRQ %U W jXQLQVWDQWWSRXU U ∈ [ 5 ]
D 5DSSHOHU O¶pTXDWLRQ GH 0D[ZHOO)DUDGD\ 'RQQHU OH QRP GX SKpQRPqQH SK\VLTXH UpJL
SDUFHWWHORL+LVWRULTXHPHQWjTXHOVLqFOHDWHOOHpWpGpFRXYHUWH"
PC* 22 - Devoir de physique no 16 10
'RQQHUO¶H[SUHVVLRQGHODGHQVLWpYROXPLTXHORFDOHHWLQVWDQWDQpHGHSXLVVDQFHGLVVLSpHGDQV
OHVXSUDFRQGXFWHXUQRWpHSYUW
D GDQVOD]RQH U ∈ [ U W ]
E GDQVOD]RQH U ∈ [ U W 5 ]
3DULQWpJUDWLRQVXUO¶HVSDFHHQGpGXLUHHQIRQFWLRQGH μ ,7/VXSUDXHWWO¶H[SUHVVLRQ
GHODSXLVVDQFH3pOHFWGLVVLSpHGDQVXQHORQJXHXU/VXSUDGHVXSUDFRQGXFWHXUjO¶LQVWDQWWORUV
GHODSUHPLqUHPRQWpHGXFRXUDQW
D3DULQWpJUDWLRQVXUOHWHPSVGpWHUPLQHUO¶pQHUJLH4GLVVLSpHORUVGHODSUHPLqUHPRQWpH
GXFRXUDQWGDQVXQVXSUDFRQGXFWHXUGHORQJXHXU/VXSUDHQIRQFWLRQGH μ ,/VXSUDHWX
E (VWLO XWLOH G¶DXJPHQWHU OD GXUpH 7 G¶pWDEOLVVHPHQW GH FH FRXUDQWSRXU UpGXLUH O¶pQHUJLH
GLVVLSpHGDQVOHVXSUDFRQGXFWHXU"
/D PDFKLQH WKHUPLTXH TXL DVVXUH OH UHIURLGLVVHPHQW GX VXSUDFRQGXFWHXU j . D XQH
HIILFDFLWpGH
2QGRQQH, $/VXSUD PHWX (YDOXHUO¶pQHUJLHFRQVRPPpH4DPESDUOH
UpIULJpUDWHXU GHYDQW DEVRUEHU O¶pQHUJLH 4 GLVVLSpH ORUV GH OD SUHPLqUH PRQWpH GX FRXUDQW
&RPPHQWHU
Formulaire mathématique
ˆ ˆ
x x2 x x2 (1 − αx) − (1 − αx) ln(1 − αx)
+ 6WDELOLWpWKHUPLTXHGHVILODPHQWVVXSUDFRQGXFWHXUV
x ln dx = ln − ln(1 − αx) dx =
x0 2 x0 4 α
(TXDWLRQGHODGLIIXVLRQWKHUPLTXHHQUpJLPHSHUPDQHQW
−−→ ∂f →− 1 ∂f →
− ∂f →−
grad f (r, θ, z) = ur+ uθ+ uz
∂r r ∂θ ∂z
2QFRQVLGqUHXQFRQGXFWHXUWKHUPLTXHF\OLQGULTXHILJXUHSDJHVXSSRVpLQILQLVLqJH
→
− G r ) 1 ∂Aθ ∂Az
1 ∂(rA
div A (r, θ, z) = H] 2QQHFRQVLGqUHLFLTXHOHUpJLPHSHUPDQHQW/D
GHFRQGXFWLRQWKHUPLTXHORQJLWXGLQDOHVXLYDQW + +
r ∂r r ∂θ ∂z
WHPSpUDWXUH 7] HVW VXSSRVpH XQLIRUPH VXU WRXWH VHFWLRQ GURLWH 6 GX FRQGXFWHXU 2Q QRWH N VD
FRQGXFWLYLWpWKHUPLTXH
−→→ −
rot A (r, θ, z) = (
1 ∂Az ∂Aθ →
− )−u +(
∂Ar ∂Az →
− )−u + (
1 ∂(rAθ ) ∂Ar →
− )−u
r θ z
r ∂θ ∂z ∂z ∂r r ∂r ∂θ