TD Enim 2009 2011
TD Enim 2009 2011
TD Enim 2009 2011
ARID Hassan
Année 2009-2010
Introduction à la télédétection
-Principes physiques de la télédétection
-Acquisition des données satellites :
-Plates formes et capteurs
-Caractéristiques des images
-Produits images
Interaction
avec la cible
Applications
5) Transmission,
Transmission
réception et traitement réception
( E ) l’énergie captée et et traitement
Interprétation
enregistrée par le capteur est et analyse
Rayonnement
transmise à une station de et atmosphère
réception où l ’information est
transformée en images
(numériques ou
photographiques)
Interaction
avec la cible
- Le flux terrestre en grandes L.O. ( 4 - 100 µm ) : ce flux est proportionnel à la température du corps
émetteur.
- Transmis ou ré émis:
Mécanismes d ’Interactions du Rayonnement
1- LA REFLEXION
C ’est le renvoi dans le milieu incident d’une partie du rayonnement électromagnétique reçu, sans
modification de L.O.
Dans la télédétection passive, c ’est la fraction de l ’énergie solaire incidente réfléchie par le corps.
La réflexion est fonction des effets de l’albédo.
Le rayonnement capté par le satellite ( L = luminance ), est proportionnel au rayonnement incident et au
pouvoir réfléchissant de la cible ( r ).
L = r I, I = éclairement solaire
Elle varie selon 1) la L.O. des radiations solaires; 2) la nature de la surface
La T.D. s’intéresse surtout à la quantité et à la répartition de l’énergie réfléchie par les objets.
Le signal mesuré par le capteur varie d’une classe d’onde à une autre en fonction de la nature des objets.
Ex : - Forte végétation : absorbe beaucoup et réfléchie peu dans le visible ( inversement dans le PIR)
- Les sols nus : réflexion élevée dans le visible et faible dans le PIR.
- La mer : absorbe tout et ne réfléchie pas dans le visible.
- La neige : réflexion totale du rayonnement solaire incident dans le visible ( couleur blanche ).
Mécanismes d ’Interactions du Rayonnement
2. ABSORPTION
La partie non réfléchie du signal électromagnétique reçu est absorbée
Absorption atmosphérique
N.B. Une partie de ce rayonnement émis est interceptée par l’atmosphère (qui rayonne à son
tour vers l’espace) avant d ’atteindre le capteur (nécessité de corrections atmosphériques )
LE SPECTRE ELECTROMAGNETIQUE ET LES
LONGUEURS D’ONDES UTILISEES EN TELEDETECTION
Le spectre E.M. s ’étale sur une étendue de L.O. des rayons cosmiques de P.L.O. ( Gamma ) : ( 10-10 µm
aux ondes herteziennes de G.L.O de G.L.O. (1010 µm ).
- Plusieurs domaines de ce spectre E.M. sont inutilisables en T.D. (forte absorption et / ou diffusion de
l ’atmosphère : ozone, VE, … )
Les fenêtres où l’absorption atmosphérique du rayonnement incident est totale :
Les rayons Gamma : L.O. < 0.03 nm
Les rayons X : 0.03 à 3 nm
Les rayons UV : 3 à 400 nm
- La T.D ne s’intéresse qu ’à une gamme du spectre E.M :
N.B.
Le bleu, le vert et le rouge = couleurs
primaires (ne peuvent être créées par deux
autres couleurs, mais toutes les autres
couleurs peuvent être créées en combinant les
couleurs primaires )
4. L ’INFRAROUGE
Deux catégories :
Comparer les caractéristiques des deux sources d’énergie les plus communes ( le Soleil et la Terre )
avec les fenêtres atmosphériques disponibles et identifier les λ les plus utiles pour la télédétection.
Cultures endommagées
Différentes cultures
Unités géologiques
SPOT
Acquisition des données satellite
Capteurs et satellites
DETECTION PASSIVE ET ACTIVE Passif
Capteur passif :
Capteur actif :
Produit sa propre énergie pour illuminer la cible
(énergie artificielle).
Mesure le rayonnement de même nature réfléchi
par la cible: hyperfréquences (radar,
diffusiomètre,…)
Avantage de pouvoir prendre des mesures à
n ’importe quel moment de la journée de la saison.
Inconvénient : produire une énorme quantité
d’énergie pour bien illuminer une cible.
Exemples : laser fluoromètre et le Radar à
Synthèse d ’Ouverture ( RSO ).
Actif
Capteurs
Dispositif capable de détecter l’intensité du signal
électromagnétique réfléchie ou émise par un objet
dans une bande spectrale donnée
Mesure une grandeur physique
Radiation électromagnétique
Enregistrement
Détecteur :
C ’est l’élément sensible qui permet de moduler le passage du courant en fonction de l’énergie
électromagnétique
Il existe différents détecteurs pour différentes L.O. : on juxtaposant plusieurs éléments sensibles, on
crée une matrice de détecteurs
Capteur à Balayage MultiSpectral
C’est un capteur dont le champ de vision instantanée (CVI) balaie la surface afin d ’en
produire une image bidimensionnelle.
Balayage MultiSpectral (BMS) : système utilisant plusieurs L. O.
Il y a deux de modes de balayage multispectral :
Caractéristiques orbitales :
1. Orbite :
Chaque satellite est placé sur une orbite autour de la terre
Lors du lancement du satellite, on détermine la vitesse idéale pour atteindre la
bonne orbite et la maintenir
2. Inclinaison : (angle orbital) :
Angle entre le plan de l ’orbite et le plan de l’équateur
Détermine la région de la terre à observer par le capteur
Ex : un satellite avec une inclinaison de 50° couvre uniquement une région comprise
entre 50° de latitude N et 50° de latitude S
Inclinaison = 90 ° : couverture de tout le globe
3.TYPES DE SATELLITES
A. Satellite Géostationnaire
Satellite géosynchrone : Toujours au
dessus du même point sur une orbite
circulaire
Orbite équatoriale : Évolution dans le
Plan Équatorial
Altitude d ’environ36000 kilomètres.
Vitesse égale à celle de la rotation de la
Terre ( stationnaire pour un observateur au
sol ).
Inclinaison = 0
Fournit des informations sur une région
spécifique.
Ex. SPOT croise la même latitude chaque 101 mn, Donc répétitivité de 26 jours
Observent toujours chaque région du globe à la même heure locale solaire : la position du
Soleil au moment où le satellite survole la zone au cours d ’une saison donnée est la même
(SPOT passe au-dessus du Maroc vers 10 30 mn environ)
Déplacement vers le nord d’un côté de la
Terre, et vers le sud dans l’autre moitié de
l’orbite (respectivement orbite ascendante et
orbite descendante )
Résolution spatiale :
Détermine le détail qu’un capteur peut décerner;
Est fonction de la dimension du plus petit élément
détectable (zone couverte par un pixel).
Dépend du Champ de Vision Instantané du capteur
(CVI)
Le CVI est défini comme étant le cône visible du
capteur (A)
Il détermine l'aire de la surface "visible" à une altitude
donnée et à un moment précis (B).
La grandeur de cette aire est obtenue en multipliant le
CVI par la distance de la surface au capteur (C).
Une carte ayant une échelle de 1:100 000 représente un objet au sol de 100 000 cm
(1 km) par un objet de 1 cm.
Les cartes pour lesquelles le rapport est petit (1:100 000) sont des cartes à petite échelle, tandis
que les cartes pour lesquelles ce rapport est plus grand (1:5 000) sont des cartes à grande échelle.
Correspondance entre résolution spatiale numérique et
échelle cartographique
Le rapport entre la distance que l'on mesure sur une image ou une
carte, et la distance correspondante au sol est appelée échelle.
3 200 m 2 400 m
1 180 m
1 750 m
Échelle approximative :
Échelle approximative :
1/6 600
1/9 600
Image IKONOS sur la région des Image QUICK-BIRD sur la région de
Doukkala CASA
Résolution = 1m Résolution = 68 cm
Image QUICK-BIRD sur la région
de RABAT-SALE Image
Résolution : 2.5m QUICKBIRD
Traitements Numériques des
Images Satellite
Pourquoi les traitements ?
Le traitement numérique des images a pour but d’améliorer la qualité d’une image pour
faciliter son interprétation et satisfaire l’œil de l ’observateur : obtenir une meilleure
discrimination visuelle de l’information :
Résultat satisfaisant
DONNEES T.D
RECTIFICATION Données
exogènes
INTEGRATION DE DONNEES
# dates, # résolutions...
(# photographie)
- L ’image est une traduction des mesures des énergies (réfléchies, émises ou
retro diffusées) pour chaque surface explorée dans différentes L. O.
-Ces mesures physiques sont converties en données numériques (image
numérique)
Capteur
Scène
CN=Compte numérique=valeur du pixel=valeur de brillance=niveau de gris
Image satellite
-Chaque pixel est associé à une valeur d’intensité lumineuse « luminance » sous
forme de valeur numérique exprimant une information
- Les valeurs des pixels sont exprimées en langage binaire codé sur un
octet ou 8 bits (256 valeurs allant de 0 à 255 niveaux de gris)
Image satellite
Chaque point est défini par
- 2 coordonnées (i,j) relatives à la situation du point
- une valeur numérique ou compte numérique (CN) correspondant au flux émis
ou réfléchi par la cible observée qui permet de calculer sa valeur de luminance
Image satellite
Location
spatiale
(coordonnées,ou
lignes,colonnes)
- L’image est composée d’un (mono canal) ou plusieurs canaux (multi spectral)
Notion d’histogramme d’une image
L’histo. est une représentation graphique des valeurs numériques
d'intensité qui composent une image(entre 0 et 255: 8 bits)
Histogramme
Composition colorée
Visualisation mono - canal
Visualisation mono - canal
Visualisation multi-canal (Combinaisons colorées)
Notion de couleur :
Couleurs primaires : Rouge, Vert et Bleu
Avantage : analyse d’un seul coup des données ayant 3 composantes (0 à 255 du rouge, 0 à
255 du vert et 0 à 255 du bleu qui définissent la couleur d ’un pixel (16 millions de
couleurs différentes)
Visualisation multi-canal (Combinaisons colorées)
Visualisation multi-canal (Combinaisons colorées)
- Supposons qu’on veut combiner les canaux de Landsat TM : (7canaux) : canal
Bleu : TM1, canal Vert : TM2, canal Rouge : TM3, canal PIR: TM4
TM1 B
V
R
Image vraies
TM2 couleur
B
TM3 V
R
Application :
Utilisation pour obtenir des produits multi- temporels tels que le suivi de
phénomènes saisonniers ou à évolution inter annuelle
Ex :
- étude du développement de la végétation : une image par période
Conséquences :
. Lignage : alternance de ligne claires et de lignes sombres de même direction
. Le contraste : faible dynamique de la distribution des niveaux de gris
. Bruit : Tâches de faibles dimensions dont la présence sur l ’image est aléatoire
. Ombrages de certaines zones de l ’image
. Les déformations géométriques
Correction des bruits
Erreurs :
Le bruit dans une image peut être causé par des
irrégularités ou des erreurs dans la réponse du
capteur, ou dans la transmission et
l'enregistrement des données.
Ex. Rayures, lignage (lignes manquantes),...
Correction :
Rayures : correction relative de chacun des
capteurs pour amener leurs valeurs apparentes au
même niveau.
Lignes manquantes :remplacement par la ligne
au-dessus ou au-dessous ou par la : moyenne des
deux
Les corrections géométriques
- Pour comparer et superposer l ’image avec une carte de référence ou avec une autre
image prise par un capteur différent où à une date différente
- Pour avoir accès aux coordonnées cartographiques des tous les éléments de l’image
q Modèle de déformation
y
50m
40m
30m
20m
10m
Angle de visée
5° 10 ° 15 ° 20 ° 25 °
Corrections géométriques
Les vraies coordonnées au sol sont habituellement mesurées à partir d'une carte: correction
de type « image-à-carte » ou à partir d ’une image : correction de type « image-à- image »
L'information est traitée par l'ordinateur pour déterminer les équations de transformation
à appliquer aux coordonnées originales (ligne et colonne) pour obtenir les nouvelles
coordonnées au sol.
Corrections géométriques
Application du modèle
Établissement d’une relation linéaire entre les coordonnées image (ligne/colonne) et
les coordonnées cartographiques (X,Y) :
X = X0 + (i - 1) * résolution
Y= Y0 + (j - 1) * résolution
La correction géométrique peut aussi être effectuée d'une image à une autre image
plutôt qu'à des coordonnées géographiques (correction image-à-image),
1. Règle du plus proche voisin (PPV) méthode simple affectant peu les valeurs
Prend une moyenne pondérée par la distance (ou combinaison linéaire) des quatre
pixels de l'image originale les plus près du nouveau pixel.
Calcule la moyenne pondérée par la distance sur un bloc de seize pixels à partir de
l'image originale entourant la localisation du nouveau pixel de sortie (méthode
bicarrée ou combinaison polynomiale cubique)
-Association d ’une échelle de niveaux de gris ou d ’une table de couleur à chaque CN (LUT)
-Ces fonctions permettent l'étirement des contrastes pour augmenter la distinction des tons
entre les différents éléments d'une scène,
-Ces procédés n’affectent que les « couleurs » associées à chaque pixel sans modifier son CN
-L’ajustement différent des tons doit être fonction de l'utilisation et de l'état de chacune des
images
-La visualisation est subjective (en fonction de l’appréciation de l ’opérateur)
4/15
1. Rehaussement de l’image
1. Rehaussement de l’image 5/15
A) Rehaussement linéaire du contraste (LUTs Linéaires) : Étalement linéaire
-C’est la méthode d ’amélioration du contraste la plus simple
-C’est un recadrage de la dynamique de l ’image initial qui consiste à utiliser
une transformation linéaire permettant d’adapter l’ensemble du contraste à la
gamme des valeurs significatives des CN
6/15
1. Rehaussement de l’image
Image originale Histogramme de l’image originale Image recadrée Histogramme de l’image recadrée
dynamique [10-40]
Image recadrée
8/15
1. Rehaussement de l’image 9/15
Image brute
Image étalée
10/15
B- LUTs non linéaires : étalement non linéaire
Asymétrie Bimodalité
Lorsque la distribution des CN n’est pas uniforme
(défauts de contraste) :
Histogramme asymétrique (cas souvent) ou bimodal
0 255 0 255
On utilise alors :
Binarisation, seuillage
Effets du filtrage : supprime, atténue ou accentue les fréquences spatiales d ’une image
- Le filtrage spatial a pour but de rehausser (ou éliminer) les patrons spatiaux spécifiques
sur une image.
- le contraste spatial est la différence entre le CN d ’un pixel et le CN des ses voisins, donc,
il prend en compte l’environnement des pixels
- Le filtrage se fait sur un voisinage V de l ’image, centré sur point P contenu dans
ce voisinage (modification du CN de chaque pixel en fonction des CN des pixels
voisins)
Les filtres Spatiaux
- La fréquence spatiale est liée au concept de texture basée sur la variation des
différents tons de gris d’une image : variation des CN par unité de surface (mesure de
«la rugosité») : fréquence spatiale forte (rugueuse)ou faible (lisse) des niveaux de gris.
Les filtres Spatiaux
Fréquence spatiale (contraste local)
Faible Forte
Pas de
fréquence fréquence
fréquence
Les deux filtres utilisent la même méthode de «re calcul» du CN sur la base de
la prise ne compte de l ’environnement du pixel
1) Filtre passe-bas
Ces différents filtres peuvent être combinés additivement pour générer une variété de filtres
plus complexes
3) Les filtres linéaires directionnels
C’est la détection des changements brusques de niveau de gris du pixel
dans l’image par rapport à son voisin (frontière entre 2 objets différents)
Les filtres détectent les contours : utilisés pour rehausser les caractéristiques
linéaires d'une image (routes, limites des champs…)
Recherche de contours pour une direction fixée (horizontale, verticale,…) avec un
filtre passe-haut
Ces filtres peuvent aussi être conçus pour rehausser des caractéristiques ayant une
certaine orientation dans l'image.
Applications :
En Agriculture, environnement :
limites des parcelles cultivées, fronts de
défrichement
Rehaussement de contours
4) Les filtres linéaires non directionnels
Non directionnels : Rehaussent les transitions radiométrqiues dans toutes les directions
Indice de
IV = PIR/Rouge
végétation
- Cet indice est corrélé à la biomasse active de la végétation, car :
-La végétation réfléchit fortement dans le Proche Infra Rouge PIR) et absorbe fortement dans
le Rouge(R).
-Les autres types de surface comme le sol nu et l'eau ont des réflectivités presque égales
dans ces deux zones du spectre.
-Une image des rapports spectraux entre les images de la bande 7de Landsat MSS (PIR 0,8 à
1,1um) divisée par la bande 5 (rouge, 0,6 à 0,7um) aurait des valeurs beaucoup plus grandes que
1,0 pour la végétation et des rapports autour de 1.0 pour la terre et l'eau
Il est donc facile de différencier la végétation des
autres types de surface en utilisant cette transformation
Indice de végétation
- Aussi, Identification des zones de végétation à stress hydrique : réflectance plus basse , le
rapport spectral sera donc plus faible que dans les régions où la végétation est saine
NDVI : Indice de Végétation par Différence Normalisée : rapport entre les sommes et les
différences de bandes spectrales afin de surveiller les conditions et l ’état de la végétation
Ex : les canaux 1 et 2 de NOAA/AVHRR , NDVI = (PIR- Rouge) / (PIR +Rouge)
Les valeurs sont comprises entre 0 et 1, = (canal2- canal1) / (canal2 + canal1)
0 = sol nu (désert), près de 1 : forte végétation, ex : forêt
équatoriale)
Avantage : réduction de l’effet de variation de
l’illumination du à la topographie
Procédé :
- L’image constitue un nuage de
points.
- Isolement de portions de
nuages
Processus de classification
1) Choix des canaux spectraux : images brutes, ACP, ratio,...
4) Classification de chacun des pixels en fonction des signatures : choix, étude de séparabilité
5) Évaluation et Amélioration du résultat
Connaissance du Image
Terrain Seuillage radiométrique
(parcelles tests) des canaux de l ’image
Algorithme de traitement
(maximum de vraisemblance /approche probabilistique)
(approche métrique)
( approche pixels purs,…..)
Image « classée »
thématiquement
Validation de la classification
LES CLASSIFICATIONS
Classification supervisée :
classification basée sur une
méthode statistique, mais à
philosophie déterminante
LES CLASSIFICATIONS
Classification non supervisée Classification automatique
- Pas d ’information a priori sur le terrain
- Utilise un algorithme de classification basé sur l’analyse la distribution de
l ’ensemble des signatures spectrales des pixels de l ’image
- Définit le centre des classes spectrales en
fonction de leur densité de distribution Image Seuillage radiométrique
- Regroupement des pixels sur la base des des canaux de l ’image
signatures spectrales similaires
Algorithme de traitement
-L’opérateur peut fixer seulement le
(nuée dynamique, blocs,…)
nombre de classes
Kenitra
Image SPOT XS - Province de Kénitra-
Rainfed Cropland
Irrigated cropland
Others (Forest, Grazing)
(million Qx)
Télédétection
DPAE/Ministère
de l ’Agriculture
Production (millionProduction
Qx)
Remote sensing
DPAE
Blé dur
Orge
1996
1996
Reconnaissance de cultures
Tournesol
Pois
Blé
Manques dans les
parcelles
Stress thermique et hydrique des cultures