Rapport de Stage INPP Lubumbashi

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PLAN DU RAPPORT DE STAGE

PLAN DU RAPPORT DE STAGE.................................................................................................1


AVANT PROPOS...............................................................................................................................2
INTRODUCTION...............................................................................................................................3
CHAPITRE I GENERALITE SUR L’INSTITUT NATIONALE DE PREPERATION
PROFESSIONNELLE(INPP).......................................................................................................4
I.1 BREUVE HISTORIQUE DE L’INPP.................................................................................4
I.2 SITUATION GEOGRAPHIQUE..........................................................................................5
I.3 MISSION..................................................................................................................................5
I.4 STRUCTURE...........................................................................................................................6
I.5 LES RESSOURCES...............................................................................................................7
a. LES RESSORCES FINANCIERES.................................................................................7
b. RESSOURCES HUMAINES............................................................................................7
I.6 PROCESSUS ET MODE D’INTERVENTION...............................................................7
I.7 DOMAINE D’INTERVENTION.........................................................................................7
I.8 STATUT JURIDIQUE DE L’INPP....................................................................................8
I.9 PROGRAMME DE FORMATION.....................................................................................8
I.9.1 PROGRAMME DE FORMATION DE L’INPP.......................................................8
I.9.2 METHODE DE FORMATION....................................................................................8
I.10 ORGANIGRAMME DE L’INPP.......................................................................................8
CHAPITRE II DEROUMENT DE STAGE................................................................................9
II.1 ADRESSAGE.......................................................................................................................10
II.1.1 ADRESSES IP/V4...........................................................................................................10
II.1.2 ADRESSE MAC...............................................................................................................10
II.2 NOTION DES PROTOCOLES........................................................................................11
II.2.1 PROTOCOLE HTTP...................................................................................................11
II.2.2 PROTOCOLE FTP......................................................................................................12
II.2.3 PROTOCOLE SSH.....................................................................................................13
II.2.4 PROTOCOLE DNS.....................................................................................................13
II.3 TECHNIQUES DES ANTENNES..................................................................................13
II.3.1 REALISATION ET MONTAGE D’UNE ANTENNE A FENTES....................14
II.3.2 REALISATION ET MONTAGE D’UNE ANTENNE GUIDE D’ONDES
OUVERT...................................................................................................................................14
II.3.3 REALISATION ET MONTAGE D’UNE ANTENNE PATCH A
POLORISATION LINIAIRE...............................................................................................14

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II.4 EXPERIENCES « STREAMING/AUDIO/VIDEO/DONNEES IMAGES DANS
LE RESEAU »..............................................................................................................................15
II.5 TECHNIIQUE DE MODULATION NUMERIQUE QPSK.....................................15
II.5.2 QPSK..............................................................................................................................15
II.6 TECHNIIQUE DE MODULATION D’AMPLITUDE (MA).........................................17
II.6.1 DETERMINATION DU DEGRE DE MODULATION DU SIGNAL DE
SORTIE MA..............................................................................................................................17
II. 12 EVALUATION DU SATGE...............................................................................................23
CRITIQUES......................................................................................................................................23
SUGGESTION..................................................................................................................................23
CONCLUSION..................................................................................................................................24

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AVANT PROPOS
A tout seigneur tout honneur, toute reconnaissance revient au père céleste,
ceci pour toute grâce qu'il nous a fait, et son assistance tout au long de
notre parcours estudiantin.

Il nous sera d'une ingratitude impardonnable si nous tirons les rideaux sans
faire part de notre profonde gratitude à tout corps professoral de l'Université
de Protestante de Lubumbashi généralement pour cette organisation et la
bonne gestion de l'institution qui nous a transformé en homme important de
la société, et particulièrement ceux de la faculté des sciences Informatiques
de Réseaux et Télécommunications eux qui, pas seulement battent pour
nous le tamtam sous un rythme charmé, mais aussi se s'ont soucié de nous
apprendre comment danser sous ce même rythme en prévoyant non
seulement une formation dynamique pour nous, mais aussi un stage de
professionnalisation. Ce dernier dans lequel toute théorie du domaine
Télécommunication était confronté à une pratique et ceci nous a permis
d'avoir une maitrise de ressortir d'une théorie une stratégie pratique quand
il s'agit de son applicabilité sur terrain. A tous nous disons Gracias.

Nos sincères remerciements s'adressent aux autorités et agents de l'institut


national de professionnalisation, eux qui, sans tenir compte de nos origines,
nous ont témoigné patriotisme et citoyenneté en nous accueillant dans leur
institution comme stagiaires. Chers messieurs et dames, tout notre respect
et reconnaissance vous revient.
A notre Formateur Mr. Gabin LWAMBA KIPALO qui, malgré ses multiples
occupations a accepté avec joie, amour et courage que nous soyons à sa
disposition afin de concilier la théorie à la pratique, ses conseils nous ont été
profitables.
Nous tenons à remercier également toutes les autorités académiques pour
leurs belles itératives d’envoyer les étudiants qui nous sommes, à passer le
stage de Bac 2 Département Réseaux et Télécommunications pour asseoir et
approfondir notre formation en nous mettant dans l’univers du travail
professionnel, à l’occurrence de :Monsieur le secrétaire générale
académique…Monsieur le secrétaire administratif Pele OMANGA Daniel…
Monsieur le doyen de la faculté des sciences informatiques Blaise FYAMA…
Monsieur Franck TSHIBUABUA secrétaire du doyen.
A mes parents, frères et soeurs, le même mot revient : merci

A vous tous amigo, camarades, compatriotes de lutte et de connaissance que


je cite en abrégeant la liste : Nestor PETER, Lukis LUBABA, Prisca
KABEZYA, Taylor MUGANGA, Young MALOBA et autres ; je dis gracias.

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INTRODUCTION

Le quotient intellectuel étant un atout majeur dans la vie professionnelle, la


maitrise de cette dernière se confirme lors de son applicabilité, d'où pour y
arriver, le ministère du travail dans la république démocratique du Congo a,
face aux diverses incompétences que manifestaient la population quand
s’agissait-il d'exercer une profession, mis en place un processus de
rééducation à une profession en créant l'institut national de préparation
professionnelle.

C'est dans ce dernier que, par l'ordre ministériel, les autorités de l’Université
Protestante de Lubumbashi ont prévu un stage de professionnalisation pour
tout Etudiant de la deuxième licence en sciences Informatiques de Réseaux
et Télécommunications que nous sommes. Ceci pas seulement pour
permettre les étudiants à vivre les différents cas pratiques conformément
aux connaissances théoriques qu'ils ont acquises durant leurs études sur le
banc de l'université en sciences Informatiques de Réseaux et
Télécommunications, mais aussi et surtout initier ces étudiants à une vie
professionnelle, à un comportement des professionnelles leurs préparant
d'entrer à tapis vert sur le marché d'emploi.

Tout est bien qui finit bien, dit-on, notre stage de professionnalisation que
nous avons effectué du 29/03/2021 au 29/04/2021, comme de coutume, la
fin de ce stage est sanctionnée par la rédaction d'un rapport que présent,
dans lequel nous mentionnerons en détaille tout ce que nous avons vécu
durant cette période à l'institut nationale de préparation professionnelle en
terme d'apprentissage.

Eu égard à tout ce qui précède, notre rapport de stage sera subdivisé en


deux chapitres hormis les remerciements, introduction, critiques,
suggestions et conclusion.

D'où le premier chapitre traite des généralités sur l’INPP, qui sera intitulé :
présentation de l’INPP ; dans ce chapitre nous martèlerons sur l'historique
de l'INPP, son domaine d'intervention entant qu'entreprise publique ; sa
structure, son statut juridique, ses processus et mode d'interventions, ses
ressources financières et humaines, ses programme et méthodes de
formation, ainsi que son organigramme.

En second chapitre intitulé déroulement de stage, nous montrerons sans


hésiter les différentes tâches et pratiques effectuées pendant au courant de
notre stage.

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CHAPITRE I GENERALITE SUR L’INSTITUT
NATIONALE DE PREPERATION
PROFESSIONNELLE(INPP)

I.1 BREUVE HISTORIQUE DE L’INPP

Apres l'accession à l'indépendance du Congo vers l'année 1960, il s'est


manifesté un manque des mains d'œuvres qualifiées.

L'institut nationale de préparation professionnelle, en sigle l'INPP est une


institution de l'Etat dotée de la personnalité civile sous l'ordonnance loi
numéro 206 du 29/06/1964.

Son siège social est à Kinshasa sur la 6eme rue, Limete industriel.

En effet, au terme d'une étude sur les possibilités du développement du


pays, à la suite des évènements qui ont suivis lors de l'accession du Congo à
l'indépendance.

Les autorités du Congo avec le concours de l'OIT (Organisation


internationale du travail), aboutirons à la conclusion selon laquelle, la
qualité professionnelle des nationaux était très faible selon qu'ils n'étaient
dotés d'aucune expérience et il faudrait la promouvoir.

D'où un plan a été mis à pied pour créer des diverses directions de l'INPP
dans différentes provinces du pays.

Ainsi, ont-ils commencé :


Ø Vers les années 1964, il y a eu création de l'INPP,
Ø en 1966 démarrage de la direction provinciale de Kinshasa,
Ø en 1968 démarrage de la direction provinciale de Boma,
Ø en 1971 démarrage de la direction provinciale de Katanga,
Ø en 1973 démarrage de la direction provinciale de Kisangani,
Ø en 1981 démarrage de la direction provinciale de Bukavu,
Ø en 1990 intégration des antennes de Gbadolite, Kikwite, Mbujimayi,etc.
Ø En 1991, création de l'antenne de Kananga.

Rappelons toutes fois que jusqu'à ce jours, l'INPP ouvre l'ensemble de


territoires de la république démocratique du Congo (RDC).

I.2 SITUATION GEOGRAPHIQUE

L'INPP Katanga se situe dans la république démocratique du Congo, dans la


province du haut Katanga, commune de kampemba, quartier industriel, 18
avenue LUVUNGI, BP :48. Et il est sans oublier que l'INPP Katanga travail
encore sur la superficie selon l'ancien découpage des onze provinces sans
jusque-là une organisation nationale de ses fonctions selon l'actuelle
répartition des vingt-six provinces.

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Pour plus des renseignements, adresse e-mail : [email protected]

I.3 MISSION

Depuis la nuit de temps, la mission de l'institut national de préparation


professionnelle est toujours l'amélioration de la qualification professionnelle
de la population active, et cette qualification se fixe par :

ü La sélection et l'orientions professionnelle soit pour la formation ;

ü La préparation professionnelle des personnes au vue de la tendance de


marché de l'emploi, sue demande des employeurs et à la requête de l'ONEM
(office national de l'emploi).

ü Le perfectionnement professionnel de travailleurs dans l'emploi, de


l'ouvrier ou cadre de l'entreprise publique ou privée ;

ü La formation des jeunes ayant acquis un enseignement scolaire, mais non


orientés vers une profession o la quelle il y a lieu de les préparer en avance ;

ü La reconversion professionnelle des travailleurs devant de profession ou de


métier ;

ü La préparation professionnelle des bénéficiaires d'une formation technique


ou professionnelle de type scolaire ou d'une culture générale de base ;

ü L'aide aux entreprises pour la création de leurs propres centres de


formation ou de sélection et d'orientation professionnelle ;

ü L'aide aux entreprises pour mettre au point leur classification des


emplois ;

ü La fourniture aux autorités publiques de supports techniques nécessaires


à l'élaboration et à l'exécution de la politique nationale en matière de
formation professionnelle.

En dehors de la formation professionnelle est proprement dite, l'INPP


par le biais de son personnel hautement qualifié, est en mesure de concevoir
et de réaliser plusieurs ouvrages domestiques et industriels ou nécessaires à
l'élaboration et à l'exécution de la politique nationale en matière de formation
professionnelle.

I.4 STRUCTURE
Ø La tutelle de l'Etat est exercée par le ministère du travail et de prévoyance
sociale (tutelle technique), et le ministère de portefeuille (tutelle
administrative et financière).

Ø Le conseil d'administration de forme tripartite est composé de présentation


de :
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· Etat
· Les employeurs
· Les travailleurs

Il est l'organe suprême de l'INPP, et rappelons le, la situation opérationnelle


comprend :
1. la direction générale et les services centraux ;
2. le département technique ;
3. le département administratif et financier

I.5 LES RESSOURCES


a. LES RESSORCES FINANCIERES

L'INPP est ressourcé de :


Ø Subventions de l'Etat au taux de 50% du budget ;
Ø Cotisation mensuelle des employeurs ;
Ø Rétribution exceptionnelle,
Ø Don et legs.
b. RESSOURCES HUMAINES
Ø Personnels expérimentés et hautement qualifiés

I.6 PROCESSUS ET MODE D’INTERVENTION

La formation se fait à la demande :

Ø Soit dans les installations de l'INPP, elle est dite externée

Ø Soit à l'entreprise, elle est dite intégrée.

I.7 DOMAINE D’INTERVENTION

L'INPP/Katanga, pour assurer sa formation dans les métiers de base selon


les besoins exprimés par chaque entreprise, organisme ou individu. De façon
permanente, il dispose des ateliers et laboratoires pour les domaines ci-
après :

Ø Mécanique générale, ajustage, affutage, alésage, freinage, perçage,


rectification, rabotage, sciage, tournage, mécanique d'entretien, répartition et
installation des membres hydrauliques et pneumatique, dessin industriel,
traitements thématiques, mécanique automobile, etc.

Ø Organes d'ensembles, électricité automobile, engins lourds,


hydropneumatique appliquée à l'automobile, injection électronique de
carburant ;

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Ø Chaudronnerie, tôlerie et soudure, tuyauterie, plomberie sanitaire,
charpente métallique, traçage métallique, construction métallique, montage
métallique, sécurité et secourisme ;

Ø Electricité, froid et électronique, électricité des bâtiments, électricités


industrielle, froid domestique, froid commercial, froid industriel, électricité
générale, électronique de puissance, radio fréquence, automatique ;

Ø Commerce, administration et informatique, établissement des états


financiers, comptabilité de l'entreprise, statistique, déclaration de la fiscalité,
calculs des salaires, lutte contre la fraude fiscale et la fraude douanière,
contrôle des prix, dactylographe, secrétariat de direction, secrétariat de
bureau, petit commerce, comptabilité publique, gestion de trésorerie,
marketing, logistique, gestion des stocks, gestion des équipements, etc.

Ø Formation des agents des maitrises et cadres, établissements des modèles


de gestion des stocks et des équipements statistiques, analyses et
classifications d'emplois, établissement des modèles de notation du
personnel, etc.

Ø Pédagogie de la formation, méthode de la formation pour adultes,


encadrement des formateurs, formation des formateurs, etc.

Ø Sélection psychotechniques, administrations des tests psychotechniques


et psychomoteurs pour embauche, etc.

Ø Contrôle technique, contrôle technique générale de véhicules,


établissement des apports techniques d'expertise des véhicules, contre
vérification des véhicules, petite mise au point des véhicules, etc.

I.8 STATUT JURIDIQUE DE L’INPP


L'INPP est une entreprise publique à caractère technique et social dosé de la
personnalité juridique, créée en le 29 juin 1964 par l'ordonnance loi numéro
206.
I.9 PROGRAMME DE FORMATION

I.9.1 PROGRAMME DE FORMATION DE L’INPP


Pas de programme préétablit type scolaire. Les programmes se font sur
mesure suivant les exigences du poste du travail et le niveau de candidats.

I.9.2 METHODE DE FORMATION


Les méthodes formations sont axées sur la pratique, elles sont
fonctionnelles, actives et audio-visuelles : méthode d'entrainement,
séminaires, travaux pratique, etc.

I.10 ORGANIGRAMME DE L’INPP

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Avant de présenter l'organigramme, parlons d'abord subdivision du travail
qui est un concept sociologique.

Dans l'organisation mécanique de la société, la division du travail n'apparait


presque pas permis les membres de la société. L'homogénéité sociale fait que
la diversité dans le travail n'ait pas sa place. Les membres d'une société
organisée mécaniquement organisé.

Avec l'organisation sociale issue d'une certaine hétérogénéité de couche ou


composante sociale, la division de travail issue de la réalité fondée sur la
spécialisation s'observe et intéresse tous les membres de la collectivité.

En joignant Raymond BOUDON et François BOURICAUD, nous retenons


que la division entendue comme spécialisation et donc un phénomène social.
Elle intéresse non seulement les sociologues, mais également d'autres
producteurs des connaissances scientifiques, en l'occurrence l'économiste
aussi d'autres instituts de préparation professionnelle, en l'occurrence l'INPP
dans la mesure où elle est liée à la productivité du travail, phénomène qui
semble une de conditions essentielles de progrès de préparation
professionnelle.

La comparaison avec le cas des sociétés d'insectes, sur ce point est


intéressante. Les naturalistes ont souligné la stricte spécialisation qui
s'observe dans ces sociétés en même temps l'étroite coordination des taches
à quoi serait l'efficacité du travail fournit et des abeilles. La ruche et la
termitière sont souvent citées comme de modelé d'organisation sociale non
seulement ordonné, mais efficace.

Les sociétés humaines paraissent diffuses de ce qui précède, par la division


du travail qui concerne les taches exécutées ou accomplis par les individus
non spécialisés et celles par les individus spécialisés.

Pour DURKHEIME, la division du travail, même-si elle s'accompagne d'une


spécialisation des taches au niveau de la location de ressources et d'une
élévation de productivité, est aussi et avant tout un problème de solidarité.

Dans un système de la solidarité organique, la différenciation des activités


productives selon les critères de la compétences et de l'efficacité est
parfaitement légitime (Raymond BOUDON et François BOURICAUD,
2006,p.187-192).

ORGANIGRAMME INPP

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CHAPITRE II DEROUMENT DE STAGE
Dans le présent chapitre, nous allons sans doute expliquer les différentes
activités effectuées au sein de l'entreprise dans le cadre pratique, soit : dans
le service de Réseaux et Télécommunications.

Lors de notre acceptation au sein de l'INPP, il a été question d'une visite


guidée au sein de l'entreprise dans les différents services suivit d'entretien
avec notre formateur Mr. Gabin LWAMBA KIPALO. Cette vision a été
importante pour nous du fait qu'on a eu à déceler les activités produites par
tout un chacun. Tout au long de ce stage, nous avons eu l'occasion
d'accomplir différentes activités qui nous ont permis de perfectionner
d'avantage notre savoir-faire. Les taches réalisées dans la division Réseaux
et Télécommunications de l'INPP Katanga sont :

II.1 ADRESSAGE
II.1.1 ADRESSES IP/V4
On distingue 2 méthodes d’attribution d’adresses IP pour les hôtes :
 Statique : chaque équipement est configuré manuellement avec une
adresse unique
 Dynamique : On utilise des protocoles qui attribuent des IP aux hôtes
 RARP : Protocole associant les adresses MAC aux adresses IP. Il
permet à des stations sans disque dur local connaissant leur
adresse MAC de se voir attribuer une IP.
 BOOTP : Ce protocole permet à un équipement de récupérer son
adresse IP au démarrage. L’émetteur envoie un message de
broadcast (255.255.255.255) reçu par le serveur qui répond lui
aussi par un broadcast contenant l’adresse MAC de l’émetteur
ainsi qu’une IP.
 DHCP : Remplaçant de BOOTP, il permet l’obtention dynamique
d’IP. Lorsqu’un ordinateur entre en ligne, il communique avec le
serveur qui choisit une adresse et un masque de sous réseau et
l’attribue à l’hôte. Il permet de plus d’obtenir des serveurs DNS, la
passerelle par défaut ainsi qu’optionnellement les adresses des
serveurs WINS.
Cette pratique a été profitable à nous, car nous avons pu réalisation d’un
réseau d’une entreprise avec la configuration des adresses IP/V4 de la classe
C, dont cette pratique a été basée sur les partages des fichiers entre les
hôtes.

II.1.2 ADRESSE MAC


Chaque carte réseau possède sa propre adresse matérielle, appelée adresse
MAC (Media Access Control).
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Celle-ci identifie un ordinateur dans un réseau. Elle est utilisée dans la
couche « liaison de données » (couche 2) du modèle OSI et sert à la
transmission entre les couches 2 et 3 :
Elle sert au fonctionnement fondamental d'un réseau, car elle représente la
communication de base. Une adresse MAC est par ex. également requise
pour des paquets IP, pour que le paquet correspondant soit envoyé à un
destinataire.
Seuls les appareils qui transfèrent des paquets (par ex. des commutateurs)
et ne sont donc pas sollicités par la couche 2 n'ont pas besoin d'adresse
MAC.
Exception : si le commutateur est un « managed switch » (commutateur
administrable). Ces types de commutateurs peuvent être configurés par ex.
via une interface Web et doivent donc être sollicités par la couche 2.
Une adresse MAC (appelée aussi adresse physique) est constituée de 48 bits
et toujours unique. Elle est attribuée par le fabricant d'un adaptateur
matériel et ne peut être modifiée.
Les 24 premiers bits (bits 3 à 24) décrivent une identification de fabricant
accordée par l'IEEE (appelée aussi OUI – Organizationally Unique Identifier),
qui peut être consultée dans une base de données.
Les 24 bits restants (bits 25 à 48) sont déterminés individuellement par le
fabricant pour chaque interface.
En règle générale, l'écriture est hexadécimale, les différents octets étant
séparés par des tirets ou des doubles points.
Exemple d'adresse MAC :
00:0c:29:6c:f6:bb 00-80-41-EA-FD-7E
Les adresses MAC des adaptateurs de réseau disponibles peuvent être lues
librement sur un ordinateur par le système d'exploitation.
Adresses MAC
L'adresse MAC du destinataire et de l'émetteur est transmise dans chaque
trame (Ethernet II) avant le champ de type et les données. Le destinataire et
l'expéditeur doivent faire partie du réseau local LAN.
o Sous Windows, on peut utiliser par ex. l'instruction suivante pour
retrouver l’adresse MAC de la carte réseau :
ipconfig /all ou getmac /v
o Sous Linux, on peut utiliser par ex. l'instruction suivante :

ifconfig -a

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II.2 NOTION DES PROTOCOLES
Un protocole est défini comme un ensemble des règles strictes pour
déterminer une tâche très bien spécifique ou Ensemble formel de règles et de
conventions qui régit l’échange d’informations entre des unités.
II.2.1 PROTOCOLE HTTP
Le protocole de transfert hypertexte (HTTP) fonctionne avec le World Wide
Web, qui est la partie la plus utilisée et la plus importante d’Internet. Une
des raisons principales de cette croissance extraordinaire est la facilité avec
laquelle il permet l'accès à l'information. Un navigateur web est une
application client/serveur, qui implique l’existence d'un client et d’un
serveur, composant spécifique installé sur les 2 machines afin de
fonctionner. Un navigateur web présente des données dans un format
multimédia, c'est-à-dire un contenu réagissant aux actions de l’utilisateur.
Le contenu peut être du texte, des graphiques, du son, ou de la vidéo.
Les pages web sont écrite en utilisant l’HTML (HyperText Markup
Language) : un navigateur web reçoit la page au format HTML et l’interprète
de manière à afficher la page d’une manière beaucoup plus agréable qu’un
document texte.
Pour déterminer l’adresse IP d’un serveur HTTP distant, le navigateur utilise
le protocole DNS pour retrouver l’adresse IP à partir de l’URL. Les données
qui sont transférées au serveur HTTP contiennent la localisation de la page
Web sur le serveur.
Le serveur répond à la requête par l'envoi au navigateur du code html ainsi
que des différents objets multimédias qui agrémente la page (son, vidéo,
image) et qui sont indiqués dans les instructions de la page HTML. Le
navigateur rassemble tous les fichiers pour créer un visuel de la page Web,
et termine la session avec le serveur. Si une autre page est demandée, le
processus entier recommence.

II.2.2 PROTOCOLE FTP


Le FTP (File Transfer Protocol) est utilisé pour transmettre des fichiers entre
différents systèmes informatiques.
Le FTP se situe sur la couche application (couche 7) du modèle ISO/OSI.
La communication a lieu selon le principe client-serveur, le FTP établissant
deux liaisons logiques entre le client et le serveur :
o Une liaison est le canal de commande (command channel) sur le
port TCP 21. Ce canal sert exclusivement à la transmission de
commandes FTP et à leurs réponses.
o La seconde liaison est le canal de données (data channel) sur le port
TCP 20. Ce canal sert exclusivement à la transmission de données. Le
canal de commande permet au client et au serveur d'échanger des
commandes qui introduisent et concluent une transmission de
données sur le canal de données.
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L'échange de données entre le serveur et le client peut s'effectuer selon deux
variantes :
Actif et passif se réfèrent aux clients FTP.
FTP actif
Dans le cas du FTP actif, le client doit ouvrir un port TCP (en règle générale
supérieur à 1023) sur lequel il est en écoute. Il devient donc quasiment lui-
même un serveur et le serveur à proprement parler s'en sert pour établir une
liaison avec le client. L'inconvénient de ce type de communication est qu'un
client se trouve normalement derrière un pare-feu et que ce dernier empêche
une communication.
FTP passif
Dans le cas du FTP passif, le serveur ouvre un port supérieur à 1023 et
indique ce port au client. Ainsi, le client peut établir une connexion avec le
serveur sur ce port. Des problèmes peuvent survenir si le serveur se trouve
derrière un pare-feu. Le mode FTP passif est plus convivial et par
conséquent recommandé par ex. par Filezilla.
Un inconvénient du FTP est la communication non cryptée entre le serveur
et le client.
II.2.3 PROTOCOLE SSH
Le SSH (Secure Shell) est un protocole cryptographique qui permet d'accéder
à un ordinateur distant au moyen d'une connexion cryptée via un réseau
non sécurisé.
Selon les droits qu'il dispose, l'utilisateur aura alors par cette connexion un
accès limité ou complet au système distant. Une autre application est un
échange de données sécurisé entre deux systèmes.
L'accès au système cible peut s'effectuer à l'aide de différents programmes.
Le port utilisé pour le SSH est par défaut le 22. Pour des raisons de sécurité,
l'accès SSH à des systèmes connectés à Internet doit être interdit à
l'administrateur. Au lieu de cela, il est conseillé de créer un utilisateur aux
droits restreints permettant de se connecter alors en tant qu'administrateur.
Linux
En règle générale, sous Linux, un client SSH est déjà installé. Celui-ci est
tout simplement appelé au moyen d'une commande dans un terminal et
paramétré pour la session :
ssh [email protected]
« root » devant le caractère @ représentant l'utilisateur à utiliser et l'adresse
IP après le @ étant l'IP du système de destination. Si l'on n'entre pas
l'utilisateur et le @, le nom d'utilisateur utilisé sera celui avec lequel on est
connecté au système local. Ainsi est-il possible également de se connecter
d'une carte à une autre.

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Windows
Sous Windows, on utilise volontiers le programme Putty (qu'on peut
télécharger gratuitement sur Internet). Il permet également d'accéder à un
système distant via SSH.
II.2.4 PROTOCOLE DNS
DNS (Domaine Names System) ce protocole est utilisé pour changer un nom
en adresse IP ou inversement proportionnel.
Chaque station possède une adresse IP propre. Cependant il est nettement
plus simple de travailler avec des noms de stations ou des adresses plus
explicites comme par exemple http://www.labo-soft.com, qu’avec des
adresses IP.
Pour répondre à cela, le protocole DNS permet d'associer des noms en
langage courant aux adresses numériques. Résolution de noms de
domaines : Corrélation entre les adresses IP et le nom de domaine associé.
II.3 TECHNIQUES DES ANTENNES

II.3.1 REALISATION ET MONTAGE D’UNE ANTENNE A FENTES


La transition guide-coaxial (R100-N) est enfichée directement sur l'antenne à
fentes et fixée à l'aide d'un connecteur rapide. L'autre extrémité du guide
d'ondes ouvert de l'antenne à fentes est pourvue d'une terminaison.

II.3.2 REALISATION ET MONTAGE D’UNE ANTENNE GUIDE


D’ONDES OUVERT

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II.3.3 REALISATION ET MONTAGE D’UNE ANTENNE PATCH A
POLORISATION LINIAIRE

II.4 EXPERIENCES « STREAMING/AUDIO/VIDEO/DONNEES IMAGES


DANS LE RESEAU »

Au cours de cette expérience, nous allons utiliser le serveur de streaming


DNLA pour une transmission audio/vidéo.
Streaming audio/vidéo consiste à diffuser une vidéo ou une audio en direct
avec une application Putty via un lecteur VLC.

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II.5 TECHNIIQUE DE MODULATION NUMERIQUE QPSK
II.5.2 QPSK
Au cours de cette expérience, vous allez mesurer les signaux aux points de
mesures DATA et DIBIT-CLOCK du modulateur QPSK pour une
configuration binaire réglée.

 1ere Etape  : Montage du circuit d'expérimentation suivant :

Bit Bit Bit Bit Bit Bit Bit Bit


8 7 6 5 4 3 2 1
 2ème Etape : sur
la 0 0 0 1 1 1 1 0 rangée

d'interrupteurs se trouvant en haut sur le modulateur PSK/QPSK,


réglez la configuration binaire (octet) suivante :

MSB LSB

 3ème Etape  : Réglage de l'interrupteur pour le type de modulation


en position « QPSK », la vitesse de transmission sur « 1200 » et
actionnez l'interrupteur « LOAD » pour entrer la configuration binaire.

Remarque : selon le changement de réglage des bits de données, vous devrez


actionner encore une fois l'interrupteur « LOAD » pour valider la nouvelle
configuration binaire pour la transmission !

Avec le canal A de l'oscilloscope, mesurez successivement les tensions aux


points de mesure DATA, BITCLOCK et DIBITCLOCK. Réglez l'oscilloscope
selon le tableau suivant :

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Instrument :
Oscilloscope
Base de temps : 1 ms / div
Canal A : 2 V / div
Canal B : 2 V / div
Trigger : Canal B
Démarrez la mesure de l'oscilloscope en cliquant sur la touche « Start »
et « Mesurer en continu » . Pour obtenir un meilleur déclenchement,
réglez le point du trigger à 50% de l'amplitude du signal rectangulaire.
Avec l'oscilloscope, mesurez les tensions aux points de mesure DATA,
BITCLOCK et DIBITCLOCK
Résultat :
a) Signal de données

X = 1 ms/DIV X/T (B)


Canal A= 2V/DIV DC
Canal B= 2V/DIV DC

b) Cycle binaire

X = 1 ms/DIV X/T (B)


Canal A= 2V/DIV DC
Canal B= 2V/DIV DC

c) Cycle didit

X = 1 ms/DIV X/T (B)


Canal A= 2V/DIV DC
Canal B= 2V/DIV DC

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- Dans ce cas les bits sont transmis par l’ordre LSB et ces derniers sont
reçus par l’ordre MSB

II.6 TECHNIIQUE DE MODULATION D’AMPLITUDE (MA)


II.6.1 DETERMINATION DU DEGRE DE MODULATION DU
SIGNAL DE SORTIE MA
Cette pratique ou expérience a pour objet de déterminer le degré de
modulation du signal de sortie MA.

 1ere Etape  : Montage du circuit d'expérimentation de MA  :

2ème Etape : Réglez, à l’aide du potentiomètre HFout, une tension de sortie


d’oscillateur de 100 à 120 mV CC et une fréquence d’env. 800 kHz à la sortie
d’oscillateur HFout 1 :1.
Reliez à présent la sortie HFout 1:1 de l’oscillateur Hartley à l’entrée « Oscil. »
du modulateur MA ainsi que la sortie du générateur de fonctions (allure de
la courbe « Sine », 1:10, 10k, amplitude : env. 15 %) à l’entrée « NFin » du
modulateur MA. Reliez la sortie « AMout » du modulateur MA au canal B+ et
la sortie du générateur de fonctions au canal A+ de l’interface UniTrain.
Reliez les entrées négatives A- et B- à la masse.

Ne pas connecter la fiche de shuntage MA/BLD sur la platine


modulateur/démodulateur MA. Le potentiomètre « Carrier Null » doit être
réglé sur la butée de droite.

Démarrez à présent l’oscilloscope . Sélectionnez la base de temps de 10


µs/Div. Réglez le diviseur d’entrée du canal A sur 100 mV/Div et celui du
canal B sur 1 V/Div et impérativement sur le couplage CA.

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Pour obtenir une meilleure représentation dans cette expérience, déplacez, à
l’aide des marques se trouvant sur la droite de l’oscilloscope, les deux lignes
zéro des canaux A et B sur la ligne zéro centrale de l’écran.

Lancez la mesure . Pour obtenir une image stationnaire, déclenchez le


canal A.
Réglez sur le générateur de fonctions une amplitude du signal de modulation
de 300 mVCC et une fréquence f = 10 kHz.
Résultat d’un signal de mesure à l’aide d’un Oscilloscope :
X = 10 µs /DIV X/T (A)
Canal A= 100 mV /DIV CC
Canal B= 1SV/DIV DC

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II. 12 EVALUATION DU SATGE

Notre stage au sein de l'INPP nous a permis d'enrichir aussi bien sur le plan
académique et professionnel. En effet, il sied de retenir que ce stage nous a
permis de recueillir certaines notions théoriques acquises à l'université et sa
passation nous a permis non seulement de compléter nos connaissances
intellectuelles, mais aussi d'être au courant de spécificité relative à la gestion
des institutions.

CRITIQUES

Dans toute institution, comme toute entreprise, tout succès est une
résultante d'une bonne organisation et d'une planification qui a réussi. Mais
à l'opposé de cette hypothèse apparait une séance des difficultés au cours de
l'exécution des taches planifiées.

D'où pour le cas de l'INPP, nous avons rencontré les difficultés comme : avoir
facilement les chaises pour le bon déroulement de stage, comme avoir été
nombreux de différentes option et le nombre de formateurs étant minime,
notre formation ne pouvait prendre que Deux ou Trois heures par jour selon
que les personnels hautement qualifiés devant nous occuper devraient être
attendu ailleurs ; difficultés comme : la construction des nouveaux
bâtiments ne nous ayant pas permis de visité aucun bureaux d'aucun
service et avoir des large explications sur la façons ils fonctionnent hormis ce
qui nous a été dit par le Formateurs, et enfin le fait d'associer les étudiants
de troisième graduat à ceux des deuxième licence empêchait les uns d'aller
vite vu l'horaire court, et aux autres de comprendre facilement ce qui se
passe vu qu'il y a des notion qui leur passaient par-dessus la tête.

SUGGESTIONS

Pour résoudre différentes difficultés que connaissent les stagiaires et pour


un impact positif des objectifs assignés par l’institut nationale de
préparation professionnelle ; nous suggérons à ses autorités ce qui suit :

v Pour faciliter la formation des stagiaires de toutes option et dans n'importe


quelle discipline, il serait sage d'engager, recruter, et même de former des
nouveaux agents formateurs dans tous les domaines.

v Lors de l'évaluation, l'INPP devrait offrir de l'emploi aux stagiaires qui,


après stage se sont distingués.

v Séparer les stagiaires lors de la formation selon leur niveau et pour leur
permettre de pratiquer ce qu'ils savent.
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v Nous demandons aux personnels de l’INPP entant que Stagiaires de
pouvoir mettre en place aussi les équipements CISCO permettant aux
étudiants de s’adapter facilement à la pratique, car c’est à partir de ce
derniers que les différentes théories sont orchestrées dans l’auditoire.

v Et enfin pour le gouvernement congolais, ils doivent prendre conscience de


payer les agents de l'INPP comme il se doit et un salaire qui correspond à ce
qu'ils font comme travail selon que toutes les entreprises œuvrant au pays
contribuent à l'INPP soit disant pour la formation même si cette dernière ne
leur intéresse pas.

CONCLUSION

Nous voici au terme de notre stage de professionnalisation à l'institut


national de préparation professionnelle. Il sied de relever, dans le double
objectif d'apprécier le déroulement des activités au sein de ce dernier,
comparativement aux théories de différents auteurs et de proposer certaines
stratégies susceptibles d'aider les cadres et les agents de cette entreprise
publique au service de toute la communauté congolaise à améliorer,
favoriser, stigmatiser l'efficience et la productivité dans différentes activités
en vue de trouver un meilleur rendement et leur fournir une bonne
qualification tant attendue dans une telle ou telle autre profession.

Au courant de notre stage de professionnalisation à l'INPP, nous nous


sommes heurtés à plusieurs difficultés, dont les plus marquantes étaient
celle d'ordre fonctionnel, c'est-à-dire celle liées à notre encadrement qui était
moins favorable suite à la surcharge de travaux dans certaines pratiques et
le nombre minime des formateurs contre une multitude des taches à
réaliser. Pour y remédier, nous acceptions toute sorte de condition (debout
ou assis, etc.) et nous conformions au respect de l'heur selon que c'est de
façon que notre formation devrait dépendre.

Ce stage nous a conforté dans notre choix de carrière professionnelle. En


effet, il a été au-delà de nos attentes et nous a permis de découvrir une
vocation que nous ne connaissions pas finalement que très peu mais pour
laquelle nous portons un immense intérêt.

Enfin, pour nous, ce dernier nous a formé sur le sens d'organisation, de


responsabilité et de créativité dans l’institution, entreprise voire même la vie
courante en se référant les 5S (Respecter, Eliminer, Ranger, Nettoyer,
Standardiser) qui constituent même le fondement et le fonctionnement de
l’INPP.

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