Chapitre Quatre - Théories de La Traduction. Dernier.
Chapitre Quatre - Théories de La Traduction. Dernier.
Chapitre Quatre - Théories de La Traduction. Dernier.
Théories linguistiques :
Georges Mounin :
Le point de départ de sa réflexion est que la traduction est « un contact
de langues, un fait de bilinguisme ». Son souci premier est « la
scientificité de la discipline », ce qui le conduit à poser la question
obsédante à l’époque « L’étude scientifique de l’opération traduisante
doit-elle etre une branche de la linguistique ? ». Il défendait dans ses
ouvrages la thèse que les problèmes de la traduction ne pourraient etre
débattues et résolues que dans le cadre de la linguistique. Ce qui la
réduirait en une simple opération de recherche de correspondances
lexicales et de reformulations syntaxiques. Faits qui excluent « le
talent, l’adaptation culturelles, l’intervention stylistique.. »
John Catford :
Eugène Nida :
Roman Jakobson :
Approches littéraires :
Edmond Cary :
Antoine Bermane :
Selon Berman, une culture ne peut rester replié sur elle-même, elle a
besoin d’autres cultures pour se constituer, ou se rajeunir « exemple :
Apport de la traduction dans de la littérature arabe après la conquête
de Napoléon ». La traduction en est l’un des instruments de
l’universalité.
Il dresse à cet effet, une virulente critique contre les traductions qui
abusent de la marge de liberté.
1. la rationalisation :
2. la clarification;
3. l’allongement;
4. l’ennoblissement et la vulgarisation;
5. l’appauvrissement qualitatif;
6. l’appauvrissement quantitatif;
1
- Depré, p 76.
Il réalisa la première étude systématique du processus de traduction
« Essay on the principles of translation ». Il estime que le traducteur
doit, en principe, respecter le style de l’auteur « traduit », et pourrait,
toutefois, se permettre une marge de manœuvre, pour « ajouter, ou
modifier » l’original, obéissant à une nécessité stylistique, si sa
formulation lui semble incorrecte ou inexacte. Le traducteur doit
éclaircir le sens.
Théorie du jeu :
Jiry Levy :
Pourquoi « jeu » ?
2
- Levý, 1967. Cité dans : Erudit, Fabio Regattin, Quand « la traduction est un jeu » : métaphores
ludiques dans le discours contemporain sur la traduction. Volume 26, Numéro 1, 1er semestre 2013,
p. 221–254.
culture d’arrivée, le traducteur doit la remplacer ou même inventer une
autre afin que la qualité littéraire globale soit maintenue. »3
Théorie interprétative :
3
Zarakova, p 139.
assignée par l’auteur du texte de départ, et on focalise sur le but de la
traduction « par rapport au public cible : client, ... » Pourtant, le
traducteur doit respecter deux principes importants : la cohérence
(intratextuelle) du texte, et la fidélité (intertextuelle), au texte source.
Théorie de polysystème :
Exemple :
Travail de recherche :
Efim Etkind
John Delisle
Guideon Toury
Henri Meschonnic
Marianne Lederer
Vinay et Darbelnet
Daniça Seleskoviç